CH619517A5

CH619517A5 -

Info

Publication number: CH619517A5
Application number: CH606577A
Authority: CH
Inventors: Thomas William Mcsherry; Allan Thaw
Original assignee: Mechanical Plastics Corp
Priority date: 1976-05-14
Filing date: 1977-05-16
Publication date: 1980-09-30
Also published as: IT1083055B; SE431361B; MX143184A; PT66548A; GB1583075A; DK211877A; CA1057181A; CH628711A5; PT66548B; DK143951C; AU2517177A; ZA772901B; FR2351297B1; US4075924A; JPS616221B2; JPS52154474A; SE7705677L; AU510495B2; FR2351297A1; DE2721768C2

Description

La présente invention concerne un dispositif d'ancrage pour maintenir un élément de fixation oblong dans une ouverture d'un mur qui présente au moins un côté caché.

Des dispositifs de ce genre sont utilisés avec succès pour fixer des objets à des murs creux en panneaux de plâtre, en maçonnerie, en briques ou en d'autres matériaux similaires, au moyen d'un élément de fixation oblong tel une vis, un boulon ou un autre élément similaire.

Les nombreux dispositifs connus de ce genre présentent cependant l'inconvénient qu'ils ne peuvent pas être fixés au mur de façon indépendante de l'élément de fixation oblong respectif. Un autre inconvénient majeur des dispositifs connus consiste en ce qu'ils ne fournissent pas un moyen satisfaisant de commande de la position et de l'orientation du dispositif lors de sa mise en place dans l'ouverture du mur dont une face est cachée.

La présente invention a pour but de fournir un dispositif d'ancrage du genre précité qui permet de maintenir un élément de fixation oblong dans une ouverture d'un mur qui présente au moins un côté caché, en évitant les inconvénients des dispositifs connus de ce genre, tout en conservant leurs avantages.

Le dispositif selon l'invention, est défini dans la revendication 1 ci-dessus.

La description suivante traite, à titre d'exemple, des modes de réalisation du dispositif selon l'invention, en regard du dessin. Sur ce dessin:

La figure 1 montre une vue en perspective d'un dispositif d'ancrage qui est un mode de réalisation du dispositif selon l'invention.

La figure 2 montre une vue de face d'une paire de branches du dispositif de la figure 1.

La figure 3 montre une vue latérale des branches de la figure 2.

La figure 4 montre une vue d'en haut d'une collerette du dispositif de la figure 1.

La figure 5 montre une vue latérale, partiellement en coupe, de la collerette de la figure 4.

La figure 6 montre une vue en perspective de la collerette des figures 4 et 5.

La figure 7 montre une vue, partiellement en coupe, du dispositif de la figure 1 dans sa position lors de sa mise en place dans l'ouverture de la paroi.

La figure 8 montre une vue, partiellement en coupe, du dispositif d'ancrage des figures 1-7 lorsqu'une partie inutilisée des branches est séparée du reste du dispositif.

La figure 9 montre une vue partielle, selon la ligne 9-9 de la figure 8, d'une branche du dispositif de cette figure.

La figure 10 montre une vue, partiellement en coupe, d'un ensemble complet de fixation comportant un objet fixé au mur au moyen d'un boulon maintenu dans l'ouverture de celui-ci par le dispositif des figures 1-9.

La figure 11 montre une vue latérale d'une variante des branches du dispositif des figures 1-10.

La figure 12 montre un dispositif d'ancrage qui est un autre mode de réalisation du dispositif selon l'invention.

La figure 13 montre une vue d'en haut d'une collerette du dispositif de la figure 12.

La figure 14 montre une vue, partiellement en coupe, du dispositif de la figure 12 dans sa position lors de sa mise en place dans l'ouverture du mur.

La figure 15 montre une vue de face du dispositif de la figure 12, la collerette étant disposée sur des branches du dispositif.

La figure 16 montre une vue, partiellement en coupe, d'un ensemble complet de fixation comprenant le dispositif des figures 12-15.

La figure 17 montre une vue d'un dispositif d'ancrage qui est un troisième mode de réalisation du dispositif selon l'invention.

La figure 18 montre vue en coupe selon la ligne 18-18 de la figure 17.

La figure 19 montre une vue latérale, partiellement en coupe, du dispositif de la figure 17 dans sa position lors de sa mise en place dans l'ouverture du mur.

Dans la description suivante les parties similaires de composante symétriques sont désignées par les mêmes symboles de référence et la signification du terme «murs creux» comprend des murs en pièrres sèches, en plaques de plâtre, en panneaux de plâtre, de bois ou en matière synthétique qui sont généralement fixés à des poutres, des boulons prisonniers ou à d'autres éléments analogues, ainsi que d'autres structures de béton coulé ou préfabriqué, de blocs de clinker et de ciment, de briques etc., du genre utilisé dans les ouvrages modernes.

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Le dispositif d'ancrage 10 pour maintenir un élément de fixation oblong 54 dans une ouverture 50 d'un mur ayant au moins un côté caché, que la figure 1 montre et qui est un mode de réalisation du dispositif selon l'invention, comporte des branches 12 en matière flexible tel le polypropylène, le poly- s éthylène, le nylon et d'autres matériaux analogues. Les bords des branches 12 présentent des dents 14 disposées à la manière de celles d'une scie.

Une collerette 16 comporte, comme les figures 1 et 4-6 le montrent, une base plane 18 et des brides 20 perpendiculaires i» sur celle-ci. Les brides 20 et la base 18 forment une pièce unique 18, 20 de préférence en matière identique à celle des branches 12. La liaison entre les brides 20 et la base 18 présente ainsi une flexibilité élastique et les brides 20 sont également flexibles. Ces propriétés de la collerette 16 offrent des 15 avantages décrites par la suite.

Les brides 20 présentent des fentes 22 comportant des dentures 24 que la figure 5 illustre. Les fentes 22 communiquent avec des canaux cunéiformes 26 prévus pour guider les branches 12 vers les fentes 22 afin de faciliter le montage de la 20 collerette 16 sur les branches 12.

Comme la figure 1 le montre, des parties supérieures 28 sont reliées aux branches 12 par des parties arquées 30, de manière à former un moyen élastique 28,30 pour reliér les branches 12 à un élément d'encrage 32. Les parties 30 et les branches 12 2S fournissent, du fait de l'élasticité de leurs matériaux, des forces stabilisatrices qui maintiennent l'orientation relative désirée des éléments du dispositif d'ancrage décrit lors de son montage à l'intérieur du mur creux.

Comme la figure 1 le montre, l'élément d'ancrage 32 en métal30 présente la forme d'un canal et comporte des brides 36 qui pendent d'une plaque centrale 34. Celle-ci peut former avec les brides 36 un angle de 90° environ. Cet angle est cependant de préférence inférieur à 90°, ce qui présente l'avantage de permettre à l'élément 32 de supporter des forces de compres- 35 sion plus élevées que lorsque les brides 36 sont perpendiculaires à la plaque 34. Cet angle est de préférence de 80°

environ, ce qui permet à l'élément 32 de supporter des forces suffisamment élevées pour permettre une mise en place correcte au dispositif d'ancrage dans l'ouverture du mur creux. 40

L'élément 32 est de préférence en acier et présente une ouverture 46 pour recevoir un élément de fixation allongé 54, par exemple un boulon ou une vis 54, comme la figure 10 l'illustre. Un écrou 38 est, de préférence, fixé, par exemple soudé, collé, cimenté, à l'élément 32. Lorsque celui-ci est d'un 45 matériau suffisamment épais, l'ouverture 46 peut être taraudée pour recevoir l'élément de fixation fileté 54.

L'élément 32 supporte les forces d'interaction avec le mur creux même si l'épaisseur des brides 36 et de la plaque 34 ne dépasse pas 0,5 mm. A cette épaisseur l'utilisation de l'écrou so 38 est indispensable pour recevoir l'élément fileté 54. Au besoin l'ouverture taraudée 46 peut être formée directement dans la plaque 34 en repoussant le bord d'une ouverture 46 non taraudée et en taraudant ensuite l'ouverture repoussée 46, comme les figures 17-19 l'illustrent. L'ouverture 46 ainsi ss obtenue a une forme d'entonnoir qui guide l'élément de fixation fileté 54 lors de son introduction dans le dispositif d'ancrage vers le taraudage caché de l'ouverture 46 de l'élément 32, ce qui représente un avantage considérable par rapport aux dispositifs d'ancrage connus dont l'élément de fixation est diffi- 60 cile à introduire dans le taraudage caché associé.

Comme les figures 10 et 11 le montrent, la plaque 34 présente deux autres ouvertures 40 prévues pour coopérer avec deux boutons respectifs 42 pour fixer l'élément d'ancrage 32 aux branches 12 dans une position transversale par rapport à 65 celles-ci. Les boutons 42 font partie intégrante des branches 12 respectives. Celles-ci et l'élément 32 sont prévus de manière que dans leur position assemblée l'ouverture taraudée 46 se trouve dans une position médiane par rapport aux branches 12, en vue de recevoir un élément de fixation fileté 54 inséré entre ces branches 12. Comme les figures 1, 2 et 3 l'illustrent, les boutons 42 des parties 28 des branches 12 sont du même matériau élastique flexible que celles-ci. Chacun des boutons 421, comme la figure 2 le montre, une tête conique comportant ime fente centrale. Lors de l'assemblage de l'élément 32 et des branches 12 les têtes fendues des boutons 42 s'engagent en faisant ressort dans les ouvertures 40 de la plaque 34, de manière à fixer l'élément 32 aux branches 12 dans une position perpendiculaire à celles-ci.

Comme les figures 1,2 et 3 l'illustrent, les extrémités inférieures des branches 12 sont reliées par un pont 39. Une poignée 42 A qui fait partie intégrante du pont 39, permet, comme exposé ci-dessous, une commande manuelle aisée des branches 12 et de l'élément 32.

Après avoir fixé l'élément 32 aux parties 28 des branches 12, la collerette 16 est montée aux extrémités inférieures de celles-ci en écartant leurs parties inférieures 44 qui ont des bords lisses, autour de la collerette 16, comme la figure 4 l'illustre. Les branches 12 sont guidées le long des bords respectifs de le partie cunéiforme 26' de la base 18 de la collerette 16 jusqu'à ce qu'elles entrent dans les fentes 22 respectives, en passant par les canaux cunéiformes 26 respectifs. L'expérience a montré que la liason élastique entre le pont 39 et les branches 12 provoque une résistance de celles-ci à l'action d'écar-tement de la partie cunéiforme 26' de la base 18 de la collerette 16 de sorte que, lorsque les canaux 26 sont atteints par les branches 12, celles-ci entrent automatiquement dans les fentes 22 en passant par les canaux 26, du fait de l'action de rappel des forces stabilisatrices des branches élastiques 12. Cette action de rappel est, par ailleurs, due au fait que la base 18 de la collerette 16 est, comme la figure 4 l'illustre, plus large que l'espace entre les branches 12.

Comme la figure 5 le montre, les dents 24 de la fente 22 de la collerette 16 forment un angle aigu avec les branches 12. Dans la position assemblée des branches 12 et de la collerette 16, les dents 24 de celle-ci et les dents 14 des branches 12 coopèrent à la manière de celles d'un système à cliquet, de manière à permettre à la collerette 16 de glisser le long des branches 12 vers l'élément d'ancrage 32, tout en empêchant le glissement de la collerette 16 dans le sens opposé.

Le dispositif d'ancrage décrit 10 peut être utilisé dans une ouverture de mur dont l'épaisseur est inférieure à la longueur de l'élément d'ancrage 32. Comme la figure 7 l'illustre, l'insertion de l'élément 32 dans l'ouverture du mur est facilitée par la rotation de cet élément dans une position pratiquement parallèle aux branches 12. Dès que l'élément 32 dépasse, lors de sa mise en place dans l'ouverture du mur, la face cachée 48 de celui-ci, il est libéré et rappelé automatiquement dans sa position transversale par rapport aux branches 12, par des forces stabilisatrices des parties élastiques 30 de celles-ci. Cet effet de rappel est particulièrement avantageux, vu qu'une commande directe de l'élément d'ancrage 32 n'est pas possible après sa libération derrière le mur. L'orientation de l'élément 32 par rapport à la collerette 16 étant par ailleurs connue, son orientation à l'intérieur caché du mur peut être aisément commandée en observant la direction dans laquelle pointe la partie cunéiforme 26' de la collerette 16.

La mise en place des dispositifs d'ancrage 10 est achevée en faisant glisser la collerette 16 le long des branches 12 de manière à loger les brides 20 de la collerette 16 dans l'ouverture du mur et à obtenir, entre les dents 24 et 14, la force d'engagement désirée. Lorsque la collerette 16 est logée dans l'ouverture 50 du mur, la partie inutilisée des branches 12 est enlevée, comme la figure 8 l'illustre. Comme la figure 9 le montre, des entailles transversales 49 sont prévues pour faciliter l'enlèvement des parties inutilisées des branches 12. La

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distance entre les entailles 49 est, de préférence, la même que celle entre les dents 14 et les branches 12. Les entailles 49 forment ainsi des points de rupture prédéterminés dans les branches 12. Pour obtenir une résistance encore plus réduite à la rupture des branches 12, celles-ci sont, de préférence, formées d'un monomère polymérisé comportant un agent de contamination, de préférence de la poudre de talc, ou une autre substance analogue. La «contamination» provoque la création de discontinuités dans le polymère, ce qui a l'avantage de diminuer la résistance à la rupture du matériau obtenu, sans en diminuer la résistance aux sollicitations désirées. La pratique a démontré que les entailles 49 ou l'agent de contamination de la matière plastique, utilisés séparément, sont suffisants pour obtenir une diminution satisfaisante de la résitance à la rupture des branches 12.

Lorsque les parties inutilisées des branches 12 sont enlevées, le dispositif d'ancrage 10 est prêt à être complété pour supporter des objets de décoration du mur, des appareils d'éclairage ou d'autres objets similaires. Comme la figure 8 l'illustre, la partie 12a des branches 12 qui reste dans le mur 48 est sous une certaine tension, du fait de l'effet de blocage de la collerette 16 et des forces de traction résultant de l'interaction du mur 48 avec l'élément 32 dans la direction de la flèche «A» de la figure 8.

Le dispositif complet de fixation de la figure 10 qui est monté dans une ouverture 50 d'un mur creux 48, présente un élément d'ancrage 32 dont une extrémité s'appuie sur des épaufrures cachées 52 qui obstruent une partie des proximités de l'extrémité cachée de l'ouverture 50. De telles épaufrures 52, produites lors du perçage d'une ouverture dans un panneau de plâtre d'un mur creux par exemple, obstruent souvent les environs de l'extrémité cachée de l'ouverture percée. Des obstructions analogues sont formées également lorsque des excès de béton ou de ciment s'accumulent à l'intérieur des murs par exemple entre les joints des blocs, des briques ou d'autres matériaux de ce genre. Ces obstructions présentent l'inconvénient de dévier souvent l'élément de fixation fileté 54, à cause de l'asymétrie provoquée du fait qu'une seule extrémité de l'élément d'ancrage 32 s'appuie sur le matériau obstruant.

Comme la figure 10 l'illustre, l'obstruction cachée, formée à titre d'exemple par le morceau 52 de plâtre, de ciment ou d'un autre matériau analogue, n'altère pas l'orientation de l'élément d'ancrage 32 du dispositif 10 de la figure 10, du fait de la construction en même temps rigide et élastique de ce dispositif 10. Lorsque l'élément 32 est déplacé vers le mur 48, il est arrêté par le morceau 52 lors de son entrée en contact avec lui mais l'axe du taraudage 46 reste perpendiculaire au mur 48, comme la figure 10 le montre, le dispositif 10 se trouvant de ce fait dans sa position désirée pour recevoir l'élément de fixation fileté 54. Des essais ont montré que la combinaison des deux branches flexibles 12 avec la collerette 16 forme, à l'intérieur de l'ouverture 50 du mur 48, une structure suffisamment rigide pour maintenir le dispositif 10 dans sa position désirée.

Lorsqu'au cours de la mise en place du dispositif 10, l'élément d'ancrage 32 est libéré derrière la face cachée du mur 48, la commande de son orientation devient moins aisée, la commande directe n'étant plus possible. Dès la libération de l'élément d'ancrage 32 tout le dispositif 10 est commandé par des forces de commande transmises aux branches 12 au moyen de la poignée 42A en la tournant ou en exerçant sur elle des forces dans la direction des flèches «B» de la figure 2, le trajet des forces de commande sans visibilité ayant une forme trapézoïdale. Les forces ainsi transmises par les branches 12 permettent de commander la position et l'orientation de l'élément d'ancrage 32 lorsqu'il se trouve derrière la face cachée du mur 30.

La combinaison des branches 12 avec l'élément d'ancrage oblong 32 et la collerette 16 permet d'obtenir une distribution satisfaisante des forces exercées par le dispositif 10 sur la partie du panneau formant le mur 48, qui entoure l'ouverture recevant ce dispositif, de sorte que même des murs creux construits avec des panneaux dont l'épaisseur ne dépasse pas 10 mm peuvent supporter des objets d'un poids considérable, suspendus à l'élément de fixation 54 du dispositif 10. Les propriétés combinées d'élasticité et de rigidité rendent l'utilisation du dispositif 10 dans des murs de plâtre relativement solides plus avantageuse que celle des dispositifs connus comparables.

La figure 11 montre une version légèrement modifiée du dispositif 10 des figures 1-10, qui comporte des branches 58 dont chacune n'a qu'une seule série de dents 60 ainsi qu'une collerette 62 qui n'a qu'une seule dent respective 64 pour coopérer avec celles 60 de chacune des branches 12. Des séries respectives d'encoches 66 forment, sur les branches 58, des points de rupture prédéterminés avec une résistance réduite à la rupture et dont l'emplacement correspond à celui des dents 60 des branches 58. Les dents 60 et 64 travaillent à la manière de celles d'un système à cliquet. Des essais ont prouvé que l'unique dent respective 64 de la collerette 62, qui coopère avec les brache 58, fournit suffisamment de force pour obtenir un serrage satisfaisant du mur 48 par le dispositif 10, de manière à supporter les objets que l'on envisage d'y suspendre.

Le dispositif d'ancrage 70 des figures 12-16, qui est un autre mode de réalisation du dispositif selon l'invention, comporte, comme la figure 12 le montre, deux branches parallèles 72 munies de parties supérieures 74 reliées aux branches 72, au moyen de parties élastiques 76, analogues à celles du dispositif 10 des figures 1-10. Des boutons de fixation 78, de préférence de la même matière plastique flexible que celle des branches 72, sont identiques à ceux 42 du dispositif 10 des figures 1-10. La tête conique de chaque bouton 78 a une fente centrale et s'engage, en faisant ressort, dans une ouverture respective 82 d'un élément d'ancrage transversal 80. Celui-ci est construit en acier de façon pratiquement identique à celle de l'élément 32 du dispositif 10 des figures 1-11. Un écrou taraudé 84 est fixé, de préférence soudé, a l'élément 80, dans une position coaxiale avec une ouverture non désignée de celui-ci. Cette ouverture a une position médiane entre les branches 72 lorsque celles-ci sont assemblées avec l'élément 80. L'écrou 84 peut, au besoin, être cimenté, collé ou fixé d'une autre manière à l'élément d'ancrage 80, de façon analogue à celle de l'écrou 38 du dispositif 10 des figures 1-11.

Comme la figure 12 le montre, chacune des branches 72 présente une série de dents 86 échelonnées sur sa surface intérieure opposée à la face correspondante de l'autre branche 72. Un pont 88 relie les extrémités inférieures des branches 72. Une poignée 90 est fixée au pont 88.

Une collerette 92, similaire à celle 16 du dispositif 10 des figures 1-11, comporte cependant une structure de brides 91 différentes de celles 20 du dispositif 10 des figures 1-11. Les brides 91 coopèrent avec les branches 72 respectives. La collerette 92 a une base plane 94 avec une partie cunéiforme 96 ainsi que des brides 91 qui forment au moins deux fentes 98 pour recevoir les branches respectives 72.

Une bride 91 de la collerette 92 de la figure 12 est enlevée afin de mieux illustrer une dent intérieure 100 disposée sur un côté d'une des fentes 98. Une autre dent 100 est disposée dans la fente 98 opposée. Les deux dents 100 sont formées pour pouvoir s'engager à la manière d'un cliquet, ou s'encliqueter dans les dents échelonnées 86 des branches 72, lorsque la collerette 92 est montée sur celles-ci, selon la figure 15, les branches 72 étant disposées dans les fentes 98 de la collerette 92. Celle-ci est alors glissée le long des branches 72 vers une ouverture 104 d'un mur 102, sur la figure 15.

L'ouverture 104 du mur 102 est, comme la figure 15 le montre, plus petite que la longueur de l'élément d'ancrage 80.

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Pour son insertion dans l'ouverture 104 de la paroi 102, l'élément 80 est tourné, comme la figure 14 l'illustre, dans une position pratiquement parallèle aux branches 72. Après avoir passé la face cachée 106 du mur creux 102, l'élément 80 est libéré et rappelé dans sa position perpendiculaire aux branches 72, par des forces stabilisatrices fournies par les parties arquées élastiques 76 qui relient les parties supérieures 74 aux branches 72. Tout le dispositif 70 est alors déplacé dans le direction de la flèche «A» de la figure 15 au moyen de la poignée 90 jusqu'à ce que l'élément d'ancrage 80 entre en contact avec la surface cachée 106 de la paroi 102.

Lorsque l'élément d'ancrage 80 est en contact avec la surface cachée 106 du mur 102, la collerette 92 est glissée, ou coulissée, dans la direction de la flèche «B» de la figure 15 vers l'ouverture 104 du mur 102. Lors de ce glissement, les dents 100 des fentes 98 successivement engagent et libèrent les dents 86, de forme correspondante, des branches 72, de sorte que la collerette 92 peut glisser dans la direction «B» vers l'ouverture 104 du mur 102, comme la figure 15 le montre. La forme des dents 86 est cependant telle que leur engagement avec les dents 100 de la collerette 92 oppose une résistance aux forces qui tendent à éloigner celles-ci de l'ouverture 104 du mur 102. Pour son assemblage avec les branches 72 et son enlèvement de celles-ci, la collerette 92 est déplacée dans la direction des flèches respectives «C» de la figure 12.

Pour la mise en place de la collerette 92 dans le mur 102, la structure de brides 91 est reçue dans l'ouverture 104 et la base plane 94 entre en contace avec la face extérieure non désignée du mur 102. Après la mise en place de la collerette 92, les parties non utilisées des branches 72 qui se prolongent à l'extérieur du mur 102 sont rompues et enlevées de manière similaire à celle décrite en connection avec le dispositif 10 des figures 1-11.

Comme la figure 12 le montre, la distance verticale D entre les dents 100 et la base 96 de la collerette 92 est égale au pas de la denture 86 de la branche 72. De ce fait, lorsque la collerette 92 et les branches 72 sont assemblées dans le mur 102 et les dents 56,100 des éléments respectifs 72,92 sont en prise, la partie inutilisée de la branche 72 qui se prolonge à partir du mur 102, peut être rompue à sa section transversale respective minimum «E», que la figure 15 illustre. La rupture et l'enlèvement de la partie non utilisée des branches 72 sont ainsi facilitées, la section transversale minimum «E» respective déterminant avec précision le point désiré de rupture. Lorsque la matière plastique élastique flexible utilisée est un monomère polymérisé tel le polypropylène, polyéthylène, nylon ou un autre matériau similaire, la réduction désirée de la résistance à la rupture des branches 72 peut être obtenue par l'addition au monomère, avant sa polymérisation, d'un contaminant, de préférence de la poudre de talc, ou d'une autre substance similaire, de manière analogue à celle décrite en connection avec le dispositif 10 des figures 1-11.

Le dispositif de fixation complet de la figure 16 est obtenu en attachant au dispositif d'ancrage 70 un objet 108 au moyen d'une vis oblongue filetée 110'.

Le dispositif d'ancrage 109, que les figures 17-19 illustrent et qui est un troisième mode de réalisation du dispositif selon l'invention, comporte deux branches parallèles 112 en matière plastique flexible élastique reliées à leurs extrémités inférieures par un pont (non représenté) similaire à ceux décrits plus haut.

Une partie supérieure et une partie arquée des branches 112 ont une forme similaire à celle des parties correspondantes 28, 30 et 74, 76 des dispositifs 10, 70 des figures 1-11 et 12-16.

Un élément d'ancrage 124 en acier est fixé aux branches 112 dans une position transversale à celles-ci au moyen de saillies 118 qui pénètrent dans des ouvertures latérales 119, comme les figures 17 et 18 l'illustrent. Comme cette dernière figure le montre, la pénétration des saillies 118 dans les ouvertures 119 est assurée du fait que la dimension hors tout «F» des saillies est supérieure à la dimension intérieure associée «G» de l'élément d'ancrage 124.

Pour son introduction dans l'ouverture non désignée du mur 125, l'élément 124 est tourné dans une position pratiquement parallèle aux branches 112 et inséré dans l'ouverture du mur 125.

Le dispositif 109 comporte une collerette 130 qui glisse sur des branches parallèles 132, de manière similaire à celle décrite en connexion avec les dispositifs 10, 70 et 109 mais ne comporte pas de dents qui coopèrent à la manière de celles d'un système à cliquet comme cela est décrit en connexion des dispositifs précédents 10,70, ce qui rend cette version particulièrement économique par rapport à ces dispositifs 10,70.

Lorsque l'élément d'ancrage 124 est libéré derrière la face cachée 123 du mur 125, les branches 112 sont tirées à partir du mur 125 vers l'extérieur à l'aide d'une poignée 134, jusqu'à ce que l'élément d'ancrage 125 entre en contact avec la surface cachée 123 du mur 125, comme la fig. 19 le montre. Un élément de fixation oblong et fileté (non représenté) est vissé dans le taraudage 46 de l'élément 124 de manière à le déplacer vers le mur 125 et le forcer d'entrer en contact avec la face cachée 123 de celuici, et la partie non utilisée des branches 132 est rompue et enlevée comme décrit précédemment.

Les dispositifs 70,109 des fig. 12-19 offrent également l'avantageuse forme trapézoïdale des trajets des forces de commande sans visibilité du dispositif 10 des fig. 1—11.

L'intérêt pour le dispositif décrit se base sur l'utilisation de plus en plus répandue de matériaux de construction du genre des panneaux de mur, en plâtre, en gypse et autres matériaux similaires. Un avantage majeur du dispositif décrit consiste dans le perfectionnement de la commande sans visibilité de la position et de l'orientation du dispositif lors de sa mise en place dans le mur dont une face est cachée.

Le dispositif décrit permet d'ailleurs d'obtenir une meilleure répartition des forces dans les panneaux qui ne sont en général pas capables de supporter des concentrations de forces importantes. L'avantage principal du présent dispositif consiste cependant dans son utilité en combinaison avec des murs creux dont certaines faces sont entièrement accessibles mais qui comportent des faces cachées dont l'accès est limité ou qui sont inaccessibles. Le dispositif décrit offre en plus l'avantage de permettre d'accrocher aux murs creux modernes des objets d'un poids relativement élevé.

Le moyen de commande sans visibilité de la position et de l'orientation dans le mur du dispositif décrit offre l'avantage appréciable de permettre de monter ce dispositif en moins de temps que celui nécessaire au montage des dispositifs connus comparables. Le dispositif décrit est particulièrement utile sur des types de construction de masse où la mise en place de nombreux dispositifs d'ancrage dans les structures de base est désirable avant même de connaître l'élément de fixation à utiliser et l'objet à suspendre. Contrairement aux dispositifs connus comparables qui utilisent des vis ou des boulons nécessaires pour le montage du dispositif dans le mur, le présent dispositif peut être monté de façon indépendante de la vis ou du boulon utilisés pour fixer au mur l'objet choisi.

Le dispositif décrit offre une combinaison d'élasticité et de rigidité qui rendent son utilisation particulièrement avantageuse dans les murs qui présentent une face cachée inégale ou discontinue. Dans le cas des panneaux en plâtre par exemple, le perçage d'un trou pour un dispositif de fixation provoque l'accumulation d'épaufrures autour de l'extrémité cachée du trou percé. Dans le cas les murs en béton ou en ciment, un débordement ou un excès de ciment aux joints ou une formation de cratères lors du perçage d'un trou crée souvent une surface inégale autour de l'extrémité cachée d'une ouverture.

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Dans ces cas les dispositifs d'ancrage connus ne pouvaient pas être mis en place dans la position désirée, parce que les obstructions cachées empêchaient l'élément d'ancrage d'entrer en contact uniforme avec la surface cachée du mur. La combinaison d'une certaine élasticité avec une rigidité bien dosée permet, dans le cas du présent dispositif, à l'élément d'ancrage de rester parallèle au mur, même en présence d'ingalités de la surface cachée de celui-ci.

Le dispositif décrit offre d'autres avantages appréciables. La forme de canal de l'élément d'ancrage en acier permet d'obtenir une meilleure distribution des forces et une capacité de charge plus élevée. La forme conique de l'élément d'ancrage à proximité de son ouverture médiane permet du guider l'élément de fixation introduit dans le mur pour être inséré dans cette ouverture. Dans le cas d'un élément de fixation fileté, la partie conique de l'élément d'ancrage guide cet élément vers un écrou taraudé adjacent à l'ouverture centrale de cet élément. Le fait d'utiliser un élément d'ancrage comportant des brides inclinées l'une vers l'autre de manière à former, avec la plaque centrale de l'élément, un angle inférieur à 90 °, permet à cet élément de supporter des charges élevées qui, autrement,

provoqueraient l'écartement des brides de l'élément vers l'extérieur. Avec l'augmentation de la charge, par exemple dans le cas d'une utilisation dans un mur de béton, les brides inclinées vers l'intérieur se plient vers la plaque centrale de s l'élément d'ancrage. Un tel élément d'ancrage en tôle d'acier de 1,5 mm, chargé au moyen d'un boulon de fixation d'un diamètre de 6 mm environ a supporté, lors des essais, une charge compressive de 750 kp. Sous de telles charges, les brides de l'élément d'ancrage finissent par prendre une forme complètement pliée, de sorte que l'élément d'ancrage se transforme en une plaque d'acier comportant deux couches aplaties contre la face cachée du mur.

Des éléments d'ancrage comportant des brides perpendiculaires à la plaque centrale de l'élément sont utilisées avec avantage pour supporter des charges moins élevées. La plaque centrale peut être formée en entonnoir autour de l'ouverture centrale de l'élément d'ancrage et cette ouverture peut être taraudée ensuite. Le bord en entonnoir ainsi obtenu a l'avantage d'offrir plus de matière pour former le taraudage et de guider l'élément de fixation fileté que l'on aurait, sans cela, de la peine à insérer dans le taraudage caché.

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REVENDICATIONS 1. Dispositif d'ancrage pour retenir un élément de fixation allongé dans une ouverture d'un mur ayant au moins un côté caché comprenant:

a) au moins deux branches oblongues (12, 58, 72,112) en matière flexible disposées parallèlement,

b) des moyens (39, 88, 134) fixant ensemble une paire d'extrémités adjacentes des branches,

c) un élément d'ancrage oblong (32, 80,124) disposé transversalement aux branches aux extrémités opposées de celles-ci et définissant une ouverture médiane (46) par rapport aux branches pouvant recevoir un élément de fixation oblong (54, 110') disposé entre les branches pour la fixation à l'élément d'ancrage,

d) des moyens (42,78, 118) pour fixer une extrémité de chaque branche à l'élément d'ancrage, au moins cette extrémité ainsi fixée étant orientée transversalement aux branches et au moins des parties des branches adjacentes aux parties fixées étant élastiques et formant un angle avec la partie principale de la branche associée pour rappeler l'élément d'ancrage vers sa position transversale par rapport aux branches contre des forces qui tendent à impartir une rotation à l'élément d'ancrage vers une orientation parallèle aux branches, et la commande de l'orientation et de la disposition de l'élément d'ancrage derrière une partie cachée du mur est facilitée par ces branches, et e) une collerette (16, 62, 92,130) en matière élastique dont la conformation est prévue pour être partiellement reçue dans l'ouverture du mur, comportant au moins une bride (18, 94) s'étendant vers l'extérieur de celle-ci dans une direction transversale à son axe et définissant au moins deux ouvertures (22,98) pour recevoir les branches, la collerette définissant au moins une ouverture pratiquement alignée avec l'ouverture de l'élément d'ancrage pour recevoir un élément de fixation allongé (54,110') disposé entre les branches.
2. Dispositif selon la revendication 1, dans lequel les branches oblongues (12, 58,72,112) comportent des cliquets (14, 60, 86) disposés le long d'au moins une portion de leur longueur, les ouvertures (22,98) de la collerette comprenant des moyens de cliquetage (24, 64,100) ayant la disposition, la configuration et les dimensions pour coopérer avec les cliquets des branches lorsque celles-ci sont disposées dans les ouvertures de la collerette de manière à permettre le mouvement de celle-ci par rapport aux branches dans une direction vers la pièce d'ancrage pendant que des cliquets s'engagent et se dégagent élastiquement et progressivement et empêchent relativement le mouvement de la collerette suivant la direction opposée permettant ainsi de serrer sélectivement des portions de mur de diverses épaisseurs entre l'élément d'ancrage et la collerette, tandis que la bride engage au moins une portion de la partie du mur adjacente à l'ouverture du mur pour empêcher la collerette de pénétrer dans l'ouverture du mur.
3. Dispositif selon la revendication 2, dans lequel les ouvertures (22,98) sont en forme de fente.
4. Dispositif selon la revendication 3, dans lequel les cliquets pour fixer la position de la collerette le long des branches comprennent des dents qui coopèrent avec des dents correspondantes des branches.
5. Dispositif selon la revendication 4, dans lequel les branches sont des bandes de matière plastique flexible élastique et les cliquets sont des dents de forme triangulaire.
6. Dispositif selon la revendication 5, dans lequel les dents

(14, 60) sont disposées le long d'au moins un bord de la branche.
7. Dispositif selon la revendication 5, dans lequel les dents (86) sont disposées le long des surfaces internes des branches.
8. Dispositif selon la revendication 6, comprenant en outre un moyen de prise (42A, 90,134) fixé aux extrémités reliées des branches de manière à permettre d'exercer des forces sur celles-ci afin de commander l'orientation et la position de l'élément d'ancrage lorsque celui-ci se trouve derrière la face cachée d'une partie creuse du mur.
9. Dispositif selon la revendication 8, dans lequel les extrémités des branches reliées à l'élément d'ancrage sont perpendiculaires à la partie principale des branches.
10. Dispositif selon la revendication 9, comprenant en outre un moyen de fixation (42,78,118) disposé sur les extrémités des branches et formé pour être reçu dans des ouvertures de l'élément d'ancrage, de sorte que l'ouverture centrale de cet élément se trouve dans une position médiane entre les branches.
11. Dispositif selon la revendication 10, dans lequel l'ouverture centrale de l'élément d'ancrage peut recevoir dans un taraudage un élément de fixation allongé fileté (54,110').
12. Dispositif selon la revendication 11, dans lequel un moyen taraudé (38, 84) est fixé à l'élément d'ancrage adjacent à son ouverture centrale, afin de recevoir l'élément de fixation allongé fileté.
13. Dispositif selon la revendication 12, dans lequel chacune des fentes de la collerette comporte une dent (24,64) de forme triangulaire prévue pour pouvoir glisser à la manière de celle d'un système à cliquet au-dessus des dents coopérantes des branches lorsque la collerette est déplacée dans un sens le long de celle-ci, mais qui empêche la collerette d'être déplacée le long des branches dans le sens opposé.
14. Dispositif selon la revendication 13, comprenant en outre plusieurs entailles (49, 66) transversales par rapport aux branches et qui déterminent des points de rupture choisis de celles-ci, lorsque le dispositif d'ancrage est monté dans l'ouverture du mur creux.
15. Dispositif selon la revendication 14, dans lequel le moyen pour fixer les branches à l'élément d'ancrage comprend au moins deux boutons de fixation coniques (42,78) qui comportent des fentes centrales et sont dimensionnés de manière à pouvoir être reçus dans des ouvertures correspondantes

(40, 82) de l'élément d'ancrage, ces ouvertures étant plus petites que la largeur maximum des boutons coniques de manière à fixer l'élément d'ancrage aux branches.
16. Dispositif selon la revendication 15, dans lequel la collerette comprend une base plane (18) avec une partie cunéiforme (26', 96) sur un de ses côtés ainsi qu'un corps (20, 91) perpendiculaire sur cette base, différentes parties de ce corps étant reliées de façon souple à la base et définissant des fentes (22,98) prévues pour recevoir les branches.
17. Dispositif selon la revendication 16, dans lequel les branches comportent plusieurs entailles transversales (49) qui correspondent à chacune des dents, de manière à diminuer la résistance à la rupture des branches à l'endroit des entailles, et dans lequel l'élément d'ancrage est un organe oblong à section transversale en U.
18. Dispositif selon la revendication 17, dans lequel l'élément d'ancrage est en acier.
19. Dispositif selon la revendication 18, dans lequel l'élément d'ancrage comporte une plaque centrale (34) et des bords (36) formant avec cette plaque un angle aigu ou un angle approximativement droit, de manière à conférer à cet élément la faculté de supporter des forces de compression prévues, la plaque centrale ayant une ouverture (46) médiane par rapport aux branches et qui présente un écrou taraudé (38, 84) disposé pour recevoir un élément de fixation allongé

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fileté (54,110') qui est disposé entre les branches pour la fixation à l'élément d'ancrage.
20. Dispositif selon la revendication 18, dans lequel l'ouverture centrale de l'élément d'ancrage est taraudée dans une partie en forme d'entonnoir (Fig. 17).
21. Dispositif selon la revendication 20, dans lequel des branches sont en monomère polymérisé comportant un agent de contamination tel que la poudre de talc, de manière à diminuer la résistance à la rupture des branches afin de permettre d'enlever les parties non utilisées de ces branches de leurs parties logées dans l'ouverture du mur, lorsque le dispositif d'ancrage est fixé à celui-ci.
22. Dispositif selon la revendication 3, dans lequel les branches comportent plusieurs dents successives (60) de forme triangulaire qui sont disposées le long d'une partie au moins d'un bord marginal de la branche, ainsi que plusieurs encoches (66) situées le long d'une partie correspondante du bord opposé de la branche, de manière à diminuer la résistance à la rupture de la branche à des points prédéterminés le long de celle-ci, les fentes de la collerette étant formées pour recevoir ces branches, chacune des fentes comportant, à un de ses côtés, une dent (64) prévue de manière à coopérer avec les dents des branches lorsque la collerette est déplacée vers l'élément d'ancrage, les dents de la collerette et les dents des branches étant prévues de manière à se bloquer mutuellement lorsque la collerette est déplacée le long des branches dans le sens opposé.
23. Dispositif selon la revendication 3, dans lequel une dent (100) en saillie vers l'extérieur est disposée sur des parois opposées adjacentes aux fentes (98), chacune des branches comportant plusieurs dents respectives (86) triangulaires tournées vers l'intérieur, les unes contre les autres, et qui sont prévues de manière à pouvoir coopérer avec les dents associées de la collerette, ces branches étant prévues de manière à diminuer la résistance à la rupture et permettre d'enlever des parties non utilisées des branches à l'extérieur du mur et de la collerette pendant que les parties des branches à l'intérieur du mur sont maintenues sous traction.
24. Dispositif selon la revendication 3, dans lequel les branches oblongues sont en matière plastique flexible élastique, les cliquets sont sous forme de plusieurs dents adjacentes (86) disposées le long de parties de la surface intérieure de celles-ci, les moyens (88) fixant ensemble les extrémités adjacentes des branches comportent un moyen de prise (90) et l'élément d'ancrage présente une ouverture taraudée médiane entre les branches, destinée à recevoir un élément de fixation oblong fileté (Ilo') entre les branches.