CH618810A5

CH618810A5 - Rapid-action electric breaker switch with safety cut-out

Info

Publication number: CH618810A5
Application number: CH745377A
Authority: CH
Inventors: Michel Rochard
Original assignee: Telemecanique Electrique
Priority date: 1975-11-24
Filing date: 1977-06-17
Publication date: 1980-08-15
Also published as: FR2332605B1; DE2653001B2; FR2332605A1; GB1518880A; DE2653001C3; DE2653001A1

Description


  
 

**ATTENTION** debut du champ DESC peut contenir fin de CLMS **.

 



   REVENDICATIONS
 1. Interrupteur électrique à rupture brusque avec coupure de sécurité comprenant, dans un boîtier, une tige de commande mobile longitudinalement portant un pont de contact dont chacune des extrémités, munie d'un contact, est reliée, par l'intermédiaire d'un élément élastique déformable transversalement par rapport à la direction d'actionnement de la tige de commande, à un point d'appui de cette dernière, tandis qu'une région de ladite tige présente des surfaces de guidage comportant chacune une rampe inclinée précédée et suivie de surfaces parallèles à ladite direction, qui coopérent au moins en fin de course de la tige avec des organes mobiles (24, 25) de séparation dont le mouvement provoque le soulèvement longitudinal du pont contact au cas où les éléments élastiques n'ont pas provoqué ledit soulévement,

   caractérisé en ce que les organes mobiles comportent au moins un coulisseau   (24, 25;    38) mobile transversalement dans un guidage (17, 18) du bâti (1) de l'interrupteur, dont une première extrémité (26,27; 42, 43) coopère avec une portion de surface inclinée (28,29; 44, 45) du pont de contact (2), voisine du contact (7; 8), et dont une seconde extrémité   (30, 31;    40, 41) reste en contact permanent avec les surfaces de   giudage    correspondantes (50, 51; 36, 37) pour toutes les positions de la tige de commande (11).



   2. Interrupteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que les organes mobiles comprennent deux coulisseaux (24,25) mobiles dans des directions opposées, dont les secondes extrémités (30, 31) sont appliquées sur les surfaces de guidage (50,51) symétriques par rapport à l'axe longitudinal (XX') de la tige (11),   pardes    ressorts (32,33; 55).



   3. Interrupteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que les organes mobiles sont portés par un coulisseau unique (38) comportant une ouverture (39), dont les parois intérieures comportant les secondes extrémités (40, 41) et qui est traversée par la tige de commande (11) comportant à ce niveau deux surfaces de guidage (36,37) parallèles entre elles, et séparées par une distance voisine de celle qui sépare les secondes extrémités.



   L'invention se rapporte à un interrupteur électrique à rupture brusque avec coupure de sécurité comprenant dans un boîtier, une tige de commande mobile longitudinalement portant un pont de contact dont chacune des extrémités, munie   d'un    contact, est reliée par l'intermédiaire d'un élément élastique déformable transversalement par rapport à la direction d'actionnement de la tige de commande, à un point d'appui de cette dernière, tandis qu'une région de ladite tige présente des surfaces de guidage comportant chacune une rampe inclinée précédée et suivie de surfaces parallèles à ladite direction qui coopèrent au moins en fin de course da la tige avec des organes mobiles de séparation, dont le mouvement provoque le soulèvement longitudinal du pont de contact.



   De tels interrupteurs sont utilisés dans les boîtiers d'appareils dits interrupteurs afin de course  (ou interrupteurs  de position ), dont le rôle est de provoquer l'arrêt d'un élément mobile de machine en un endroit déterminé.



   On connaît déjà des appareils conformes à la constitution mentionnée ci-dessus, dans lesquels la position des organes mobiles n'est que partiellement asservie à la position de la tige de commande, et présentant par suite un certain degré de liberté dont les effets peuvent être néfastes, par exemple lorsque l'appareil est installé dans un milieu sujet à vibration ou lorsque l'appareil étant disposé dans une certaine position, la gravité déplace les organes de coupure auxiliaire   poules    placer dans une région où ils risquent d'interférer avec, respectivement de ralentir, les mouvements brusques du pont de contact, surtout lorsque les contacts ont subi une certaine usure.



   L'invention se propose de porter remède aux inconvénients signalés ci-dessus par la mise en   oeuvre    d'organes simples, et par suite, d'augmenter la qualité du fonctionnement des appareils conformes à l'art antérieur.



   Selon l'invention, ce but est atteint grâce au fait que les organes mobiles de séparation comportent au moins un coulisseau mobile transversalement dans un guidage du bâti de l'interrupteur, dont une première extrémité coopère (en cas de non déplacement du pont de contact) avec une portion de surface inclinée de ce dernier, voisine du contact, et dont une seconde extrémité reste en contact permanent avec les surfaces de guidage correspondantes pour toutes les positions de la tige de commande.



   Selon un mode de réalisation intéressant, les organes de coupure auxiliaire sont au nombre de deux et sont placés symétriquement par rapport à l'axe de la tige de commande parallèlement au pont de contact, chacun d'eux étant soumis à l'action d'un ressort qui l'applique vers ladite tige.



   Dans une variante particulièrement avantageuse de l'invention, deux rampes parallèles sont placées de part et d'autre de la tige de commande, tandis que l'organe de coupure auxiliaire prenant la forme d'un coulisseau comporte une ouverture munie de deux parties placées de part et d'autre desdites rampes pour constituer avec elles une commande desmodromique.



   Le fonctionnement de l'appareil sera mieux compris à l'aide de la description ci-après:
 Au dessin annexé:
 les figures 1 et 2 représentent, vu en élévation et avec le boîtier ouvert, un appareil conforme à un mode de réalisation faisant appel à des ressorts d'asservissement; et
 la figure 3 illustre un mode de réalisation à commande desmodromique.



   En se rapportant à la figure 1, on reconnaît en (1) le boîtier de l'appareil contenant les contacts fixes (3,4,5,6) de l'interrupteur. Les contacts mobiles (7) et (8) sont portés par un pont conducteur (2) qui est relié par deux ressorts de compression (9) et (10) à une tige de commande (11) mobile dans le sens de sa (longueur, dont l'extrémité (20) sera actionnée par un organe extérieur au boîtier. Les extrémités des ressorts s'appuient sur des arrêtes (12, 13) de la tige de commande et des rebords (14, 15) du pont de contact.



   Une glissière (16) dont les surfaces de guidage visibles (17, 18) sont portées par une paroi du boîtier, est placée en regard d'une glissière analogue située sur la paroi du boîtier enlevée pour la clarté du dessin. Ces deux glissières sont placées de part et d'autre de la tige de commande qui comporte à ce niveau une portion (19) de largeur réduite, qui se raccorde à une portion (21) de plus grande largeur, par deux rampes (22,23) dont les pentes sont inversées, constituant ainse des surfaces de guidage (50,51) représentées par des pointilés.



   Deux coulisseaux (24,25) placés symétriquement par rapport à la tige de commande, et guidés par les glissières, présentent chacun une première extrémité (26,27) placée au voisinage de l'une des portions de surface inclinée   (2829),    appartenant au pont de contact (2), tandis que chacune de leur seconde extrémité (30, 31) est appliquée sur la portion (19) de la tige de commande par un ou plusieurs ressorts tels que (32, 33). Il serait également possible d'utiliser des ressorts de traction (55) dont les extrémités seraient accrochées sur les côtés des coulisseaux placés entre les glissières pour obtenir un résultat voisin, ainsi que cela est représenté à la figure 2.



   La figure 2 montre la position respective des diverses pièces lorsque, le pont de contact n'ayant pas été conduit dans sa position supérieure par les ressorts (9) et (10) à la suite d'un enfoncement de la tige de commande, les coulisseaux se trouvent repoussés en sens inverse par les rampes et appliquement leur première extrémité contre les portions de surface inclinée  



  du pont de contact pour soulever celui-ci à la manière d'un coin, et provoquer une séparation des contacts si   celle    n'a pas été effectuée par l'action des ressorts   (9, 10).   



   Dans le cas où le pont de contact aurait été effectivement conduit dans sa position supérieure, l'action précédente n'aurait pas eu lieu.



   Dans l'exemple de réalisation illustré à la figure 3, la tige de commande (11) possède de part et d'autre de sa région centrale (35) deux surfaces de guidage (36, 37) (représentées avec des pointillés), tandis que le coulisseau est constitué par une pièce unique (38) en forme de cadre dont l'ouverture (39) est traversée par la tige et qui est guidée par les surfaces   (17, 18).    La surface de guidage (36) comprend à partir du bas une première région (46) parallèle à l'axe longitudinal   XX'    de la tige de commande, une seconde région (47) qui est inclinée dans le sens d'éloignement de l'axe en constituant une rampe, et enfin,

   une troisième région (48) parallèle à l'axe   XX'.    La surface de guidage (37) se déduit de la surface (36) par une translation perpendiculaire à l'axe   XX'.    Elles sont donc parallèles et sont séparées par une distance voisine de celle qui sépare les secondes extrémités.



   Deux arêtes de guidage (40,41) du coulisseau sont placées à
 l'intérieur de l'ouverture (39) de façon à se trouver chacune en contact avec la surface de guidage correspondante, tout en respectant un léger jeu.



   Par ailleurs, le coulisseau comporte deux rampes de séparation (42, 43) dont les plans sont parallèles et dont les surfaces sont placées au voisinage de deux portions inclinées parallèles (44,45) du pont de contact.



   Dans la position de repos correspondant à la figure 3, l'arête de guidage (40) se trouve en regard de la portion de surface (36) et l'arête (41) en regard de la portion correspondante de la surface de guidage (37).



   Le coulisseau (38) est par suite maintenu en position, quels que soient l'orientation de l'appareil ou les vibrations et chocs auxquels il est soumis.



   Lorsque la tige de commande est déplacée vers le bas de la figure, le coulisseau (38) est conduit vers la gauche, et les rampes de séparation (42,43) interviennent pour soulever, à la manière d'un coin, les portions (44,45) du pont de contact, si celui-ci n'a pas pris la position supérieure sous l'effet des ressorts (9) et (10).



   En raison du caractère desmodromique de la commande des déplacements du coulisseau, toute interférence avec le pont de contact se trouve exclue malgré l'usure des contacts et l'influence des perturbations extérieures.

Claims

REVENDICATIONS 1. Interrupteur électrique à rupture brusque avec coupure de sécurité comprenant, dans un boîtier, une tige de commande mobile longitudinalement portant un pont de contact dont chacune des extrémités, munie d'un contact, est reliée, par l'intermédiaire d'un élément élastique déformable transversalement par rapport à la direction d'actionnement de la tige de commande, à un point d'appui de cette dernière, tandis qu'une région de ladite tige présente des surfaces de guidage comportant chacune une rampe inclinée précédée et suivie de surfaces parallèles à ladite direction, qui coopérent au moins en fin de course de la tige avec des organes mobiles (24, 25) de séparation dont le mouvement provoque le soulèvement longitudinal du pont contact au cas où les éléments élastiques n'ont pas provoqué ledit soulévement,

caractérisé en ce que les organes mobiles comportent au moins un coulisseau (24, 25; 38) mobile transversalement dans un guidage (17, 18) du bâti (1) de l'interrupteur, dont une première extrémité (26,27; 42, 43) coopère avec une portion de surface inclinée (28,29; 44, 45) du pont de contact (2), voisine du contact (7; 8), et dont une seconde extrémité (30, 31; 40, 41) reste en contact permanent avec les surfaces de giudage correspondantes (50, 51; 36, 37) pour toutes les positions de la tige de commande (11).
2. Interrupteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que les organes mobiles comprennent deux coulisseaux (24,25) mobiles dans des directions opposées, dont les secondes extrémités (30, 31) sont appliquées sur les surfaces de guidage (50,51) symétriques par rapport à l'axe longitudinal (XX') de la tige (11), pardes ressorts (32,33; 55).
3. Interrupteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que les organes mobiles sont portés par un coulisseau unique (38) comportant une ouverture (39), dont les parois intérieures comportant les secondes extrémités (40, 41) et qui est traversée par la tige de commande (11) comportant à ce niveau deux surfaces de guidage (36,37) parallèles entre elles, et séparées par une distance voisine de celle qui sépare les secondes extrémités.

L'invention se rapporte à un interrupteur électrique à rupture brusque avec coupure de sécurité comprenant dans un boîtier, une tige de commande mobile longitudinalement portant un pont de contact dont chacune des extrémités, munie d'un contact, est reliée par l'intermédiaire d'un élément élastique déformable transversalement par rapport à la direction d'actionnement de la tige de commande, à un point d'appui de cette dernière, tandis qu'une région de ladite tige présente des surfaces de guidage comportant chacune une rampe inclinée précédée et suivie de surfaces parallèles à ladite direction qui coopèrent au moins en fin de course da la tige avec des organes mobiles de séparation, dont le mouvement provoque le soulèvement longitudinal du pont de contact.

De tels interrupteurs sont utilisés dans les boîtiers d'appareils dits interrupteurs afin de course (ou interrupteurs de position ), dont le rôle est de provoquer l'arrêt d'un élément mobile de machine en un endroit déterminé.

On connaît déjà des appareils conformes à la constitution mentionnée ci-dessus, dans lesquels la position des organes mobiles n'est que partiellement asservie à la position de la tige de commande, et présentant par suite un certain degré de liberté dont les effets peuvent être néfastes, par exemple lorsque l'appareil est installé dans un milieu sujet à vibration ou lorsque l'appareil étant disposé dans une certaine position, la gravité déplace les organes de coupure auxiliaire poules placer dans une région où ils risquent d'interférer avec, respectivement de ralentir, les mouvements brusques du pont de contact, surtout lorsque les contacts ont subi une certaine usure.

L'invention se propose de porter remède aux inconvénients signalés ci-dessus par la mise en oeuvre d'organes simples, et par suite, d'augmenter la qualité du fonctionnement des appareils conformes à l'art antérieur.

Selon l'invention, ce but est atteint grâce au fait que les organes mobiles de séparation comportent au moins un coulisseau mobile transversalement dans un guidage du bâti de l'interrupteur, dont une première extrémité coopère (en cas de non déplacement du pont de contact) avec une portion de surface inclinée de ce dernier, voisine du contact, et dont une seconde extrémité reste en contact permanent avec les surfaces de guidage correspondantes pour toutes les positions de la tige de commande.

Selon un mode de réalisation intéressant, les organes de coupure auxiliaire sont au nombre de deux et sont placés symétriquement par rapport à l'axe de la tige de commande parallèlement au pont de contact, chacun d'eux étant soumis à l'action d'un ressort qui l'applique vers ladite tige.

Dans une variante particulièrement avantageuse de l'invention, deux rampes parallèles sont placées de part et d'autre de la tige de commande, tandis que l'organe de coupure auxiliaire prenant la forme d'un coulisseau comporte une ouverture munie de deux parties placées de part et d'autre desdites rampes pour constituer avec elles une commande desmodromique.

Le fonctionnement de l'appareil sera mieux compris à l'aide de la description ci-après: Au dessin annexé: les figures 1 et 2 représentent, vu en élévation et avec le boîtier ouvert, un appareil conforme à un mode de réalisation faisant appel à des ressorts d'asservissement; et la figure 3 illustre un mode de réalisation à commande desmodromique.

En se rapportant à la figure 1, on reconnaît en (1) le boîtier de l'appareil contenant les contacts fixes (3,4,5,6) de l'interrupteur. Les contacts mobiles (7) et (8) sont portés par un pont conducteur (2) qui est relié par deux ressorts de compression (9) et (10) à une tige de commande (11) mobile dans le sens de sa (longueur, dont l'extrémité (20) sera actionnée par un organe extérieur au boîtier. Les extrémités des ressorts s'appuient sur des arrêtes (12, 13) de la tige de commande et des rebords (14, 15) du pont de contact.

Une glissière (16) dont les surfaces de guidage visibles (17, 18) sont portées par une paroi du boîtier, est placée en regard d'une glissière analogue située sur la paroi du boîtier enlevée pour la clarté du dessin. Ces deux glissières sont placées de part et d'autre de la tige de commande qui comporte à ce niveau une portion (19) de largeur réduite, qui se raccorde à une portion (21) de plus grande largeur, par deux rampes (22,23) dont les pentes sont inversées, constituant ainse des surfaces de guidage (50,51) représentées par des pointilés.

Deux coulisseaux (24,25) placés symétriquement par rapport à la tige de commande, et guidés par les glissières, présentent chacun une première extrémité (26,27) placée au voisinage de l'une des portions de surface inclinée (2829), appartenant au pont de contact (2), tandis que chacune de leur seconde extrémité (30, 31) est appliquée sur la portion (19) de la tige de commande par un ou plusieurs ressorts tels que (32, 33). Il serait également possible d'utiliser des ressorts de traction (55) dont les extrémités seraient accrochées sur les côtés des coulisseaux placés entre les glissières pour obtenir un résultat voisin, ainsi que cela est représenté à la figure 2.

La figure 2 montre la position respective des diverses pièces lorsque, le pont de contact n'ayant pas été conduit dans sa position supérieure par les ressorts (9) et (10) à la suite d'un enfoncement de la tige de commande, les coulisseaux se trouvent repoussés en sens inverse par les rampes et appliquement leur première extrémité contre les portions de surface inclinée **ATTENTION** fin du champ CLMS peut contenir debut de DESC **.