CH564477A5

CH564477A5 -

Info

Publication number: CH564477A5
Application number: CH1371172A
Authority: CH
Original assignee: Six Edouard Raymond
Priority date: 1971-10-19
Filing date: 1972-09-19
Publication date: 1975-07-31
Also published as: DE2250709B2; FR2157318A5; DE2250709A1; ATA887972A; BR7207266D0; US3820735A; IT964394B; AT331152B; JPS4848749A; DE2250709C3; JPS5652817B2

Description

La présente invention concerne un porte-écheveau permettant non seulement de mettre sans peine un écheveau autour d'un sup
port mais aussi d'exercer automatiquement une tension sur cet
écheveau.

On connaît des porte-écheveaux comportant deux tambours
autour desquels l'écheveau à dévider est tendu. Un des tambours
est mobile par rapport à l'autre qui est dit fixe , pour tendre
l'écheveau par écartement des axes des tambours et les deux tam
bours sont montés perpendiculairement sur un bras commun pouvant basculer autour d'un pivot horizontal. Ce bras peut osciller
entre une position horizontale et une position verticale. Le tam
bour mobile est déplacé par un mécanisme commandé à la main
ou par de l'air comprimé, d'une telle manière que la distance entre
axes des deux tambours soit réglable.

De tels dispositifs présentent toutefois le désavantage que le mécanisme de commande n'agisse que lorsque le bras est en position horizontale et les tambours en position verticale. L'écheveau glisse donc vers le bas des tambours avant d'être tendu. Dans les deux cas, plusieurs interventions manuelles sont indispensables pour débloquer le tambour mobile sur le bras.

Pour remédier à ces inconvénients, le porte-écheveau, conformément à la présente invention, est caractérisé par le fait que des moyens sont prévus entre le châssis fixe du porte-écheveau et le tambour mobile sur le bras basculant pour d'une part écarter le tambour mobile du tambour fixe afin d'exercer une tension permanente sur l'écheveau dès qu'on commence à faire basculer le bras basculant vers sa position horizontale et d'autre part, rapprocher le tambour mobile du tambour fixe lorsqu'on fait basculer le bras basculant vers sa position verticale afin de pouvoir mettre un écheveau autour des tambours.

Ce porte-écheveau offre donc l'avantage que le tambour mobile est déplacé automatiquement dans les deux sens sur le bras basculant au moyen d'un mécanisme relativement simple, ne nécessitant aucune intervention manuelle, ni air comprimé pour exercer une force de traction sur l'écheveau. De plus, la traction exercée sur l'écheveau se faisant dès le début du mouvement du bras vers le bas, l'écheveau ne peut plus glisser vers le bas sur les tambours.

A titre d'exemple, il est donné ci-après une description plus détaillée d'un mode d'exécution du porte-écheveau conforme à la présente invention, en se référant au dessin annexé dans lequel:
la fig. 1 est une vue en élévation avec coupes partielles d'un porte-écheveau non garni d'écheveau;
la fig. 2 représente une vue en élévation avec coupes partielles de la partie avant du porte-écheveau lorsque celui-ci se trouve au repos;
la fig. 3 montre le porte-écheveau garni d'écheveau.

Dans ces figures on remarque un châssis 1 duquel fait partie une traverse 2. Sur cette traverse est fixée au moins une fourche 3, à laquelle est suspendu par un pivot 4 un bras basculant 5. A l'avant, ce bras repose sur une traverse 6 faisant également partie du châssis 1. L'autre bout de ce bras est muni d'une pédale 7. Sur le bras est monté un chariot mobile 8 sur roues 9. Ce bras porte
aussi un support déplaçable 10 qui peut être immobilisé sur le
bras au moyen d'une vis de blocage 11. Sur le chariot 8, ainsi que
sur le support 10, est monté un axe fixe portant des roule
ments 13, 14 autour desquels est monté un tambour, respective
ment 15, 16. Une fourche 17 avec pivot 18 est solidaire du chariot 8. Sur le pivot 18 est articulé un tube 19 dans lequel coulisse
un tube télescopique 20. Ce tube 20 est articulé à l'une de ses
extrémités sur un pivot 21 fixé au châssis 1.

L'autre extrémité du
tube 20 vient buter sur le pivot 18 fixé sur le chariot 8, lorsque les
tambours 15 et 16 ne sont pas chargés d'écheveaux. A travers le
tube 19 est fixée une cheville 22, coulissant au travers du tube 20
dans deux fentes 23, fraisées dans ce dernier. A l'intérieur du
tube 20 est placé un ressort de traction 24 (ce pourrait être un ressort de compression). L'une des extrémités de ce ressort 24 est fixée sur le pivot 21, et l'autre sur la cheville 22.

L'extension du ressort 24, et par conséquent le déplacement du tambour mobile 15 est donc limité à la longueur des fentes 23. De ce fait on obtient une distance maximum A entre les deux tambours 15, 16. L'écheveau B est tendu autour des tambours 15, 16.

Un ressort de traction 25 est interposé entre le bras 5 et une traverse 26 du châssis 1, par l'intermédiaire d'un tendeur réglable 27.

Ce ressort tient le dispositif en équilibre lorsque le bras 5 est basculé verticalement autour de son pivot 4. Le châssis est muni, en dessous, d'une butée 28 contre laquelle bute la pédale 7 quand le bras 5 est mis en position verticale. Il va de soi qu'on pourrait monter plusieurs des dispositifs décrits ci-devant sur un châssis commun. Sur le châssis est aussi monté un support 29 supportant à sa partie supérieure une tige de guidage 30 le long de laquelle le fil de l'écheveau est amené vers le bobinoir. Ce support peut être déplacé par rapport au châssis au moyen de fentes 31 prévues dans le châssis 1 et de boulons de fixation 32.

Lorsqu'on doit mettre un écheveau autour des tambours 15, 16, on actionne au pied la pédale 7, d'une telle manière que le bras 5 oscille en position verticale (fig. 2). Le basculement du bras 5 est facilité par le ressort 25 sollicitant le bras. L'extrémité libre du tube 20 pousse sur le pivot 18 du chariot 8 qui est déplacé vers le haut sur le bras 5 d'une telle manière qu'on obtient une distance minimum C entre les tambours 15, 16. Au moment où le bras est mis en position verticale et où la pédale 7 bute contre la butée 28, le ressort 25 maintient le bras 5 dans cette position. On peut mettre maintenant un écheveau B de grande largeur autour des tambours 15, 16. Ensuite on pousse sur un des tambours d'une telle façon que le bras 5 bascule autour de son pivot 4 jusqu'à ce qu'il vienne en position horizontale.

Lors de ce déplacement le ressort 25 fait office de moyen de freinage et le ressort 24 exerce une force de traction sur le chariot 8 d'une telle façon que la distance entre les tambours 15, 16 s'accroît. La distance entre les tambours est choisie d'une telle manière qu'il soit possible d'exercer une tension suffisante sur l'écheveau. Si nécessaire on peut régler cette distance selon le périmètre de l'écheveau, en déplaçant le tambour 16 sur le bras 5 et ensuite en immobilisant ce tambour au moyen de la vis de blocage 11. Lorsque les deux tambours sont garnis d'écheveaux, la cheville 22 du tube 20 se trouve à l'extrémité des fentes 23, le ressort 24 étant alors en traction maximum. La tension de l'écheveau n'est alors exercée que par le bras télescopique 19, 20, à fond de course, et le ressort 24 n'agira sur le chariot mobile qu'au fur et à mesure du dévidage de l'écheveau.

Le fil D de l'écheveau B est amené, par la tige de guidage 30, vers un bobinoir non représenté et ensuite l'écheveau est dévidé par le bobinoir.

REVENDICATION

Porte-écheveau extenseur pour bobiner les écheveaux sectionnels de fil, comportant deux tambours dont les axes sont montés perpendiculairement sur un même bras basculant sur un châssis fixe entre une position verticale et une position horizontale, tambours autour desquels l'écheveau à dévider est tendu, l'axe d'un des tambours étant mobile pour pouvoir s'écarter de l'autre tambour fixe, pour tendre l'écheveau, caractérisé en ce que des moyens (17 à 24) sont prévus entre le châssis fixe (1) du porteécheveau et le tambour mobile (15) sur le bras basculant pour d'une part écarter le tambour mobile (15) du tambour fixe (16) afin d'exercer une tension permanente sur l'écheveau (B), dès qu'on commence à faire basculer le bras basculant (5) vers sa position horizontale et d'autre part,

rapprocher le tambour mobile (15) du tambour fixe (16) lorsqu'on fait basculer le bras basculant (5) vers sa position verticale afin de pouvoir mettre un écheveau (B) autour des tambours (15, 16).

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims

**ATTENTION** debut du champ CLMS peut contenir fin de DESC **.

La présente invention concerne un porte-écheveau permettant non seulement de mettre sans peine un écheveau autour d'un sup port mais aussi d'exercer automatiquement une tension sur cet écheveau.

On connaît des porte-écheveaux comportant deux tambours autour desquels l'écheveau à dévider est tendu. Un des tambours est mobile par rapport à l'autre qui est dit fixe , pour tendre l'écheveau par écartement des axes des tambours et les deux tam bours sont montés perpendiculairement sur un bras commun pouvant basculer autour d'un pivot horizontal. Ce bras peut osciller entre une position horizontale et une position verticale. Le tam bour mobile est déplacé par un mécanisme commandé à la main ou par de l'air comprimé, d'une telle manière que la distance entre axes des deux tambours soit réglable.

De tels dispositifs présentent toutefois le désavantage que le mécanisme de commande n'agisse que lorsque le bras est en position horizontale et les tambours en position verticale. L'écheveau glisse donc vers le bas des tambours avant d'être tendu. Dans les deux cas, plusieurs interventions manuelles sont indispensables pour débloquer le tambour mobile sur le bras.

Pour remédier à ces inconvénients, le porte-écheveau, conformément à la présente invention, est caractérisé par le fait que des moyens sont prévus entre le châssis fixe du porte-écheveau et le tambour mobile sur le bras basculant pour d'une part écarter le tambour mobile du tambour fixe afin d'exercer une tension permanente sur l'écheveau dès qu'on commence à faire basculer le bras basculant vers sa position horizontale et d'autre part, rapprocher le tambour mobile du tambour fixe lorsqu'on fait basculer le bras basculant vers sa position verticale afin de pouvoir mettre un écheveau autour des tambours.

Ce porte-écheveau offre donc l'avantage que le tambour mobile est déplacé automatiquement dans les deux sens sur le bras basculant au moyen d'un mécanisme relativement simple, ne nécessitant aucune intervention manuelle, ni air comprimé pour exercer une force de traction sur l'écheveau. De plus, la traction exercée sur l'écheveau se faisant dès le début du mouvement du bras vers le bas, l'écheveau ne peut plus glisser vers le bas sur les tambours.

A titre d'exemple, il est donné ci-après une description plus détaillée d'un mode d'exécution du porte-écheveau conforme à la présente invention, en se référant au dessin annexé dans lequel: la fig. 1 est une vue en élévation avec coupes partielles d'un porte-écheveau non garni d'écheveau; la fig. 2 représente une vue en élévation avec coupes partielles de la partie avant du porte-écheveau lorsque celui-ci se trouve au repos; la fig. 3 montre le porte-écheveau garni d'écheveau.

Dans ces figures on remarque un châssis 1 duquel fait partie une traverse 2. Sur cette traverse est fixée au moins une fourche 3, à laquelle est suspendu par un pivot 4 un bras basculant 5. A l'avant, ce bras repose sur une traverse 6 faisant également partie du châssis 1. L'autre bout de ce bras est muni d'une pédale 7. Sur le bras est monté un chariot mobile 8 sur roues 9. Ce bras porte aussi un support déplaçable 10 qui peut être immobilisé sur le bras au moyen d'une vis de blocage 11. Sur le chariot 8, ainsi que sur le support 10, est monté un axe fixe portant des roule ments 13, 14 autour desquels est monté un tambour, respective ment 15, 16. Une fourche 17 avec pivot 18 est solidaire du chariot 8. Sur le pivot 18 est articulé un tube 19 dans lequel coulisse un tube télescopique 20. Ce tube 20 est articulé à l'une de ses extrémités sur un pivot 21 fixé au châssis 1.

L'autre extrémité du tube 20 vient buter sur le pivot 18 fixé sur le chariot 8, lorsque les tambours 15 et 16 ne sont pas chargés d'écheveaux. A travers le tube 19 est fixée une cheville 22, coulissant au travers du tube 20 dans deux fentes 23, fraisées dans ce dernier. A l'intérieur du tube 20 est placé un ressort de traction 24 (ce pourrait être un ressort de compression). L'une des extrémités de ce ressort 24 est fixée sur le pivot 21, et l'autre sur la cheville 22.

L'extension du ressort 24, et par conséquent le déplacement du tambour mobile 15 est donc limité à la longueur des fentes 23. De ce fait on obtient une distance maximum A entre les deux tambours 15, 16. L'écheveau B est tendu autour des tambours 15, 16.

Un ressort de traction 25 est interposé entre le bras 5 et une traverse 26 du châssis 1, par l'intermédiaire d'un tendeur réglable 27.

Ce ressort tient le dispositif en équilibre lorsque le bras 5 est basculé verticalement autour de son pivot 4. Le châssis est muni, en dessous, d'une butée 28 contre laquelle bute la pédale 7 quand le bras 5 est mis en position verticale. Il va de soi qu'on pourrait monter plusieurs des dispositifs décrits ci-devant sur un châssis commun. Sur le châssis est aussi monté un support 29 supportant à sa partie supérieure une tige de guidage 30 le long de laquelle le fil de l'écheveau est amené vers le bobinoir. Ce support peut être déplacé par rapport au châssis au moyen de fentes 31 prévues dans le châssis 1 et de boulons de fixation 32.

Lorsqu'on doit mettre un écheveau autour des tambours 15, 16, on actionne au pied la pédale 7, d'une telle manière que le bras 5 oscille en position verticale (fig. 2). Le basculement du bras 5 est facilité par le ressort 25 sollicitant le bras. L'extrémité libre du tube 20 pousse sur le pivot 18 du chariot 8 qui est déplacé vers le haut sur le bras 5 d'une telle manière qu'on obtient une distance minimum C entre les tambours 15, 16. Au moment où le bras est mis en position verticale et où la pédale 7 bute contre la butée 28, le ressort 25 maintient le bras 5 dans cette position. On peut mettre maintenant un écheveau B de grande largeur autour des tambours 15, 16. Ensuite on pousse sur un des tambours d'une telle façon que le bras 5 bascule autour de son pivot 4 jusqu'à ce qu'il vienne en position horizontale.

Lors de ce déplacement le ressort 25 fait office de moyen de freinage et le ressort 24 exerce une force de traction sur le chariot 8 d'une telle façon que la distance entre les tambours 15, 16 s'accroît. La distance entre les tambours est choisie d'une telle manière qu'il soit possible d'exercer une tension suffisante sur l'écheveau. Si nécessaire on peut régler cette distance selon le périmètre de l'écheveau, en déplaçant le tambour 16 sur le bras 5 et ensuite en immobilisant ce tambour au moyen de la vis de blocage 11. Lorsque les deux tambours sont garnis d'écheveaux, la cheville 22 du tube 20 se trouve à l'extrémité des fentes 23, le ressort 24 étant alors en traction maximum. La tension de l'écheveau n'est alors exercée que par le bras télescopique 19, 20, à fond de course, et le ressort 24 n'agira sur le chariot mobile qu'au fur et à mesure du dévidage de l'écheveau.

Le fil D de l'écheveau B est amené, par la tige de guidage 30, vers un bobinoir non représenté et ensuite l'écheveau est dévidé par le bobinoir.

REVENDICATION

Porte-écheveau extenseur pour bobiner les écheveaux sectionnels de fil, comportant deux tambours dont les axes sont montés perpendiculairement sur un même bras basculant sur un châssis fixe entre une position verticale et une position horizontale, tambours autour desquels l'écheveau à dévider est tendu, l'axe d'un des tambours étant mobile pour pouvoir s'écarter de l'autre tambour fixe, pour tendre l'écheveau, caractérisé en ce que des moyens (17 à 24) sont prévus entre le châssis fixe (1) du porteécheveau et le tambour mobile (15) sur le bras basculant pour d'une part écarter le tambour mobile (15) du tambour fixe (16) afin d'exercer une tension permanente sur l'écheveau (B), dès qu'on commence à faire basculer le bras basculant (5) vers sa position horizontale et d'autre part,

rapprocher le tambour mobile (15) du tambour fixe (16) lorsqu'on fait basculer le bras basculant (5) vers sa position verticale afin de pouvoir mettre un écheveau (B) autour des tambours (15, 16).

SOUS-REVENDICATIONS 1. Porte-écheveau selon la revendication, caractérisé par le fait que lesdits moyens sont constitués par un chariot (8) coulissant le long du bras basculant (5), et supportant le tambour mobile (15) et par une bielle (19, 20) élastique, de longueur minimum fixe, articulée sur le chariot (8) et sur un pivot (21) du châssis fixe (1), le pivot (21) étant placé en deçà et au-dessus de l'axe d'articulation (4) du bras (5) par rapport aux tambours (15, 16).

2. Porte-écheveau selon la sous-revendication 1, caractérisé par le fait que la bielle élastique de commande de déplacement du tambour mobile est composée de deux éléments télescopiques (19, 20) dont l'un est articulé au châssis fixe (1) et l'autre est articulé au chariot coulissant (8), lesdits éléments contenant un ressort (24) tendant à tirer le chariot (8) vers l'axe (4) de basculement des bras, une butée limitant l'enfoncement des deux éléments télescopiques (19, 20) I'un dans l'autre.

3. Porte-écheveau selon la sous-revendication 2, caractérisé par le fait que le ressort (24) est ancré à l'articulation sur le châssis (1) du tube télescopique antérieur (20) et à une cheville (22) solidaire du tube télescopique extérieur (19), la cheville (22) étant perpendiculaire à l'axe des deux tubes et traversant le tube intérieur par deux fentes (23) dont la longueur limite la course d'extension de la bielle élastique.

4. Porte-écheveau selon la revendication, caractérisé par le fait qu'un tambour (15) est monté sur un chariot (8) sur roues (9) pouvant rouler sur le bras basculant (5) et en ce que l'autre tambour (16) est monté également sur un support (10) qu'on peut déplacer et immobiliser sur le bras.

5. Porte-écheveau selon la revendication, caractérisé en ce que le bras basculant (5) est muni d'une pédale (7) coopérant avec une butée (28) du châssis (1), lorsque le bras (5) est mis en position verticale.

6. Porte-écheveau suivant la revendication, caractérisé par le fait qu'entre le bras basculant (5) et le châssis (1) du porte-écheveau est prévu un ressort de traction (25) avec tendeur (27) réglable pour tenir en équilibre les tambours (15, 16) dans n'importe quelle position angulaire.

7. Porte-écheveau selon la revendication, caractérisé en ce que les tambours (15, 16) sont montés sur le chariot (8) et le support (10), par l'intermédiaire de roulements (13, 14).

8. Porte-écheveau selon la revendication, caractérisé par le fait que plusieurs paires de tambours sont montées l'un à côté de l'autre dans un même châssis (1).

9. Porte-écheveau selon la revendication, caractérisé en ce qu'il est muni d'une tige de guidage (30) montée sur un support vertical (27) déplaçable par rapport au châssis (1) du porte-écheveau.