CH538326A - Pince autocentreuse pour le maintien en contact bout à bout de pièces cylindriques - Google Patents

Description

  
 



   Le brevet principal a pour objet une pince autocentreuse pour le maintien en contact bout à bout de pièces cylindriques, comprenant un corps encastré entre deux mâchoires articulées l'une sur l'autre autour d'un axe, chaque mâchoire portant une fourche avec deux mors et deux butées mobiles, entre lesquelles fourches est serré l'assemblage des pièces, un tambour qui tourne à l'intérieur de galets et coaxial au trajet de révolution sur lequel doit travailler un moyen d'action, ledit tambour étant entraîné en rotation au moyen d'un moteur par l'intermédiaire de pignons, des leviers de serrage permettant d'exercer un effort de pression sur l'assemblage entre les mors et les butées, une gorge étant prévue sur le tambour pour permettre l'enroulement des tuyauteries d'arrivée du gaz, de l'eau, de l'électricité et du retour d'eau pendant la rotation du tambour porte-outil.



   La pince selon la présente invention est caractérisée en ce que ledit corps porte une bobine d'alimentation garnie avec un fil d'apport destiné à recharger la soudure en avant d'une électrode, ledit fil étant entraîné à une certaine vitesse dans un sens ou dans l'autre entre un raccord coudé relié au corps fixe de la pince et une gaine flexible noyée à l'intérieur du tambour tournant.



   Une forme d'exécution de la pince selon la présente invention va maintenant être décrite en référence au dessin annexé dans lequel:
 La fig. 1 est une vue cavalière de la pince de raboutage du brevet principal.



   La fig. 2 est une vue en élévation d'une pince à souder suivant l'invention.



   La fig. 3 est une vue cavalière d'un détail du dispositif de la fig. 2.



   On voit sur la fig. 1 une pince 10 en position pour s'appliquer sur un assemblage de deux tubes 2 et 3 à souder en 1.



   Sur la fig. 2, on voit une pince analogue 100 suivant l'invention sur laquelle le corps 43 porte une bobine 68 chargée du fil d'un métal d'apport 69 qui doit alimenter la soudure circulaire de raboutage au-devant de l'électrode 70 de la torche 28.



   On voit que le fil 69 en sortant de la bobine 68 passe dans un guide 71 puis entre les deux molettes d'entraînement 72 et 73 dont l'une au moins est commandée par un système moteur 74. Il pénètre ensuite dans un tube coudé 75 qui débouche sur un canal circulaire prévu à la périphérie du tambour 30, à la hauteur d'une fenêtre 76.



   A l'intérieur de ce canal se présente une extrémité d'une gaine flexible 77 dont l'autre extrémité porte une gaine rigide 78 dont la position réglable détermine le point précis où le fil d'appoint alimente le cordon de soudure en face de l'électrode 70.



   Le bloc moteur 61 qui entraîne le tambour 30 en rotation pendant l'exécution de la soudure comprend un dispositif de synchronisation entre la vitesse angulaire du tambour 30 et la vitesse linéaire d'alimentation du fil 69 de façon à régler à volonté le débit de l'introduction du métal d'apport dans le bain.



   La vitesse linéaire du fil 69 peut être convenablement réglée dans un sens ou dans l'autre pour que l'alimentation en fil soit nulle dans la buse 78. Si le tambour 30 tourne dans le sens de la flèche fi à une vitesse angulaire   o   il faut que le fil soit entraîné dans la direction   f2   à une vitesse V telle que pour un tour du tambour 30 l'extrémité 79 de la buse débite une longueur de fil correspondant exactement au périmètre décrit par la boucle 80 figurée en pointillé et visible dans la fente 46.



   Au contraire si le tambour tourne à la vitesse dans le sens de la flèche   13    le moteur 74 doit rappeler le fil 69 à cette même vitesse V dans le sens de la flèche f4.



   Une transmission par engrenage d'un type connu reliant le moteur 61 du tambour avec le système d'entraînement 74 permet donc d'annuler l'alimentation en fil au niveau de l'électrode 70 quel que soit le sens de rotation du tambour.



   Le soudage du fil d'apport s'effectuant toujours pour une rotation du tambour dans le sens B, toute vitesse du fil 69 plus petite que V dans la direction f4 fournit à la buse 78 un certain débit de métal d'apport qui peut être dosé à volonté dans la soudure au moyen d'un dispositif différentiel agissant par exemple au niveau du moteur 74.



   Sur la fig. 3 on voit que le fil 69, initialement introduit directement du tube coudé 75 dans la gaine flexible 77, a fait un tour complet. Dans certaines techniques de soudage on procède d'abord à un tour de soudage TIG dans la direction fl, puis ensuite à un tour de soudage dans la direction inverse f3 avec un métal d'apport.



   REVENDICATION



   Pince autocentreuse selon la revendication du brevet principal, caractérisée en ce que ledit corps porte une bobine d'alimentation garnie avec un fil d'apport destiné à recharger la soudure en avant d'une électrode, ledit fil étant entraîné à une certaine vitesse dans un sens ou dans l'autre entre un raccord coudé relié au corps fixe de la pince et une gaine flexible noyée à l'intérieur du tambour tournant.



   SOUS-REVENDICATION
 Pince suivant la revendication, caractérisée en ce que la vitesse angulaire d'entraînement du tambour est synchronisée avec la vitesse linéaire d'entraînement du fil au moyen d'un mécanisme différentiel de façon à obtenir, lorsque le moteur d'entraînement du fil est au repos, un débit nul du fil au niveau de l'électrode quel que soit le mouvement de rotation du tambour dans un sens ou dans l'autre et pendant l'exécution de la soudure dans un sens ou dans l'autre à volonté un certain débit de métal d'apport dans la soudure.

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.



   

Claims (1)

1. **ATTENTION** debut du champ CLMS peut contenir fin de DESC **.

   Le brevet principal a pour objet une pince autocentreuse pour le maintien en contact bout à bout de pièces cylindriques, comprenant un corps encastré entre deux mâchoires articulées l'une sur l'autre autour d'un axe, chaque mâchoire portant une fourche avec deux mors et deux butées mobiles, entre lesquelles fourches est serré l'assemblage des pièces, un tambour qui tourne à l'intérieur de galets et coaxial au trajet de révolution sur lequel doit travailler un moyen d'action, ledit tambour étant entraîné en rotation au moyen d'un moteur par l'intermédiaire de pignons, des leviers de serrage permettant d'exercer un effort de pression sur l'assemblage entre les mors et les butées, une gorge étant prévue sur le tambour pour permettre l'enroulement des tuyauteries d'arrivée du gaz, de l'eau, de l'électricité et du retour d'eau pendant la rotation du tambour porte-outil.

   La pince selon la présente invention est caractérisée en ce que ledit corps porte une bobine d'alimentation garnie avec un fil d'apport destiné à recharger la soudure en avant d'une électrode, ledit fil étant entraîné à une certaine vitesse dans un sens ou dans l'autre entre un raccord coudé relié au corps fixe de la pince et une gaine flexible noyée à l'intérieur du tambour tournant.

   Une forme d'exécution de la pince selon la présente invention va maintenant être décrite en référence au dessin annexé dans lequel: La fig. 1 est une vue cavalière de la pince de raboutage du brevet principal.

   La fig. 2 est une vue en élévation d'une pince à souder suivant l'invention.

   La fig. 3 est une vue cavalière d'un détail du dispositif de la fig. 2.

   On voit sur la fig. 1 une pince 10 en position pour s'appliquer sur un assemblage de deux tubes 2 et 3 à souder en 1.

   Sur la fig. 2, on voit une pince analogue 100 suivant l'invention sur laquelle le corps 43 porte une bobine 68 chargée du fil d'un métal d'apport 69 qui doit alimenter la soudure circulaire de raboutage au-devant de l'électrode 70 de la torche 28.

   On voit que le fil 69 en sortant de la bobine 68 passe dans un guide 71 puis entre les deux molettes d'entraînement 72 et 73 dont l'une au moins est commandée par un système moteur 74. Il pénètre ensuite dans un tube coudé 75 qui débouche sur un canal circulaire prévu à la périphérie du tambour 30, à la hauteur d'une fenêtre 76.

   A l'intérieur de ce canal se présente une extrémité d'une gaine flexible 77 dont l'autre extrémité porte une gaine rigide 78 dont la position réglable détermine le point précis où le fil d'appoint alimente le cordon de soudure en face de l'électrode 70.

   Le bloc moteur 61 qui entraîne le tambour 30 en rotation pendant l'exécution de la soudure comprend un dispositif de synchronisation entre la vitesse angulaire du tambour 30 et la vitesse linéaire d'alimentation du fil 69 de façon à régler à volonté le débit de l'introduction du métal d'apport dans le bain.

   La vitesse linéaire du fil 69 peut être convenablement réglée dans un sens ou dans l'autre pour que l'alimentation en fil soit nulle dans la buse 78. Si le tambour 30 tourne dans le sens de la flèche fi à une vitesse angulaire o il faut que le fil soit entraîné dans la direction f2 à une vitesse V telle que pour un tour du tambour 30 l'extrémité 79 de la buse débite une longueur de fil correspondant exactement au périmètre décrit par la boucle 80 figurée en pointillé et visible dans la fente 46.

   Au contraire si le tambour tourne à la vitesse dans le sens de la flèche 13 le moteur 74 doit rappeler le fil 69 à cette même vitesse V dans le sens de la flèche f4.

   Une transmission par engrenage d'un type connu reliant le moteur 61 du tambour avec le système d'entraînement 74 permet donc d'annuler l'alimentation en fil au niveau de l'électrode 70 quel que soit le sens de rotation du tambour.

   Le soudage du fil d'apport s'effectuant toujours pour une rotation du tambour dans le sens B, toute vitesse du fil 69 plus petite que V dans la direction f4 fournit à la buse 78 un certain débit de métal d'apport qui peut être dosé à volonté dans la soudure au moyen d'un dispositif différentiel agissant par exemple au niveau du moteur 74.

   Sur la fig. 3 on voit que le fil 69, initialement introduit directement du tube coudé 75 dans la gaine flexible 77, a fait un tour complet. Dans certaines techniques de soudage on procède d'abord à un tour de soudage TIG dans la direction fl, puis ensuite à un tour de soudage dans la direction inverse f3 avec un métal d'apport.

   REVENDICATION

   Pince autocentreuse selon la revendication du brevet principal, caractérisée en ce que ledit corps porte une bobine d'alimentation garnie avec un fil d'apport destiné à recharger la soudure en avant d'une électrode, ledit fil étant entraîné à une certaine vitesse dans un sens ou dans l'autre entre un raccord coudé relié au corps fixe de la pince et une gaine flexible noyée à l'intérieur du tambour tournant.

   SOUS-REVENDICATION Pince suivant la revendication, caractérisée en ce que la vitesse angulaire d'entraînement du tambour est synchronisée avec la vitesse linéaire d'entraînement du fil au moyen d'un mécanisme différentiel de façon à obtenir, lorsque le moteur d'entraînement du fil est au repos, un débit nul du fil au niveau de l'électrode quel que soit le mouvement de rotation du tambour dans un sens ou dans l'autre et pendant l'exécution de la soudure dans un sens ou dans l'autre à volonté un certain débit de métal d'apport dans la soudure.