CH513421A - Procédé de formation d'une image cinématographique - Google Patents
Procédé de formation d'une image cinématographiqueInfo
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- G03B—APPARATUS OR ARRANGEMENTS FOR TAKING PHOTOGRAPHS OR FOR PROJECTING OR VIEWING THEM; APPARATUS OR ARRANGEMENTS EMPLOYING ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ACCESSORIES THEREFOR
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Description
Procédé de formation d'une image cinématographique La présente invention concerne un procédé de formation d'une image cinématographique, ainsi qu'un appareil pour la mise en oeuvre de ce procédé. Par formation d'unie image cinématographique , on entend aussi bien la formation d'une image sur un écran à partir d'un film impressionné, ce qui correspond à la projection, que la formation d'une image latente sur un film vierge, ce qui correspond à la prise de vues. L'expression formation d'une image couvre également le cas où les images d'un film sont explorées par un pinceau lumineux mobile et par un élément photoélectrique pour produire un signal électnque capable d'être à son tour transformé en images, par exemple sur l'écran d'un poste récepteur de télévision. La formation d'une image cinématographique, notamment lors de la projection, est le plus souvent obtenue en déplaçant le film dans un couloir comportant une fenêtre à travers laquelle passe un faisceau lumineux. Le déplacement du film est produit par une griffe provoquant des déplacements successifs du film sur une logueur correspondant à la dimension d'une image. L'image du film est projetée pendant les temps d'arrêt du film, tandis que le faisceau lumineux est obturé pendant les périodes de déplacement du film. En outre, pour éviter le phénomène de scintillement, il est nécessaire de prévoir des obturations supplémentaires pendant la projection d'une même image individuelle du film, de façon que la fréquence des obturations soit au moins de l'ordre de quarante-huit par seconde. Pour éviter une trop grande perte de luminosité par suite de ces obturations, il est nécessaire que la griffe déplace le film en un temps très court. n faut donc donner au film une grande vitesse pendant chacun de ses dépIacements, et il en résulte des efforts relative ment élevés sur les perforations du film, ainsi qu'un bruit désagréable et des trépidations gênantes de l'appareil de projection. Suivant un autre procédé, utilisé principalement dans les visionneuses, le film est projeté pendant qu'il subit un déplacement continu et si possible régulier. Dans ce cas, on utilise un dispositif optique de stabilisation d'image qui est destiné à compenser le déplacement de chaque image pendant la projection et à obtenir ainla une image stable sur l'écran. Cette compensation du déplacement de l'image est généralement obtenue à l'aide d un miroir oscillant, ou encore d'un prisme rotatif. Les moyens de compensation du déplacement de l'image du film nécessitent également un temps d'obturation entre le passage de la projection d'une image à la suivante, et cette interruption du faisceau lumineux doit être obtenue de la même façon qu'indiqué précédemment. Dans le cas où l'image du film dot être traduite en un signal électrique applicable à un poste de télévision, les temps d'obturation sont très gênants, car ils produisent des pertes de parties d'images, ou encore de certaines lignes d'exploration, ce qui se traduit par une moins bonne définition de l'image. Ceci provient de ce que les images télévisées se succèdent dans le temps pratiquement sans interruption. L'invention a pour but de permettre de diminuer dans une très grande mesure, et même de supprimer totalement, les temps d'obturation lors de la formation d'images cinématographiques. L'invention a pour objet un procédé de formation d'une image cinématographique, caractérisé en ce que, durant le déplacement du film correspondant au plus à deux images, on fait parcourir aux rayons lumineux destinés à la formation d'image au moins deux trajets, au moins en partie différents, I'un au moins de ces trajets comprenant des moyens optiques de stabilisation de l'image pendant le déplacement du film. L invention concerne également un appareil pour la mise en oeuvre du procédé, caractérisé en ce qu'il comprend un mécanisme d'entraînement intermittent du film et des moyens optiques de stabilisation de l'image pendant les déplacements du film. Le dessin annexé représente, schématiquement et à titre d'exemple, une forme d'exécution et des variantes d'un appareil pour la mise en oeuvre du procédé faisant l'objet de l'invention. La fig. 1 illustre les éléments qui sont nécessaires dans un appareil cinématographique pour la mise en oeuvre du procédé selon l'invention. La fig. 2 montre certains des éléments de la fig. 1 dans une autre position de fonctionnement. La fig. 3 est une vue d'un disque réflecteur visible à la fig. 1. La fig. 4 illustre le principe de fonctionnement d'une variante d'exécution. La fig. 5 montre un disque réflecteur utilisable dans la variante selon la fig. 4. La fig. 1 montre une platine 1 d'un projecteur cinématographique, cette platine portant une lampe de projection 2 destinée à envoyer un flux lumineux sur une fenêtre de projection 3 prévue dans un couloir 4 compris entre un volet presseur 5 et une plaque d'appui 6. Cette dernière présente une fente 7 pour le passage des ergots d'une griffe 8 assurant le déplacement intermittent du film. Les mouvements de la griffe sont produits par deux cames 9 et 10 agissant respectivement sur un bras 11 portant la griffe 8 et sur la portion arrière 12 de cette dernière. Le bras i1 pivote en 13 et est rappelé contre la came 10 par un ressort 14 disposé obliquement, de façon à maintenir également la griffe 8 en contact avec la came 9. Les cames 9 et 10 sont solidaires l'une de l'autre en rotation et entraînées par un moteur M par l'intermédiaire de roues dentées de champ 15 et 16, d'un arbre 17 et de roues dentées 18 et 19. L'arbre 17 entraîne également par des roues dentées 20 et 21 un arbre 22 portant un disque rotatif 23. Ce disque 23 est représenté en plan à la fig. 3 et présente une portion réfléchissante semi-circulaire 24, une portion réfléchissante semi-annulaire 25 et deux portions opaques d'obturation 26, 27. Le disque 23 est incliné à 450 par rapport à l'axe optique 28 d'un objectif 29. De part et d'autre du disque 23 sont placés deux miroirs 30 et 31 articulés en 32 et 33 respectivement. Le miroir 30 est maintenu appuyé contre une vis de réglage 34 par un ressort 35. Le miroir 31 est maintenu par un ressort 36 en contact avec un bec 39 du bras 11 de la griffe 8. Dans la position illustrée à la fig. 1, la griffe 8 est en prise avec le film, ce dernier étant représenté pendant son temps de descente. La portion annulaire réfléchissante 25 du disque rotatif 23 se trouve à la hauteur de la fenêtre de projection 3, de sorte que les rayons issus de la lampe 2 et ayant traversé une image du film sont réfléchis vers le miroir 31 par ladite portion 25 du disque 23. Après réflexion sur le miroir 33, les rayons traversent une portion transparente 37 du disque 23 pour être captés par l'objectif 29. Le mouvement du bras 11 pendant le déplacement de la gnffe communique au miroir 33 un déplacement assurant la stabilisation des rayons provenant de l'image par rapport à l'objectif 29, de sorte que ce dernier projette une image stable sur l'écran. Après le mouvement d'avance du film, la griffe 8 sort des perforations et effectue un déplacement inverse pour aller reprendre sa position d'entraînement du film. La fig. 2 correspond au mouvement de retour de la griffe et donc à une période d'immobilisation du film. Pendant cette période, par suite de la rotation du disque 23, la portion annulaire réfléchissante 25 a quitté l'axe de la fenêtre 3 pour être remplacée par une partie transparente. Les rayons ayant traversé la fenêtre 3 viennent alors frapper le miroir 30 qui les réfléchit vers la partie réfléchissante 24 du disque 23 afin d'être renvoyés suivant l'axe optique 28 vers l'objectif qui n'a pas. été représenté à la fig. 2. La vis de réglage 34 permet d'ajuster la position du miroir 30 de façon à obtenir une coincidence parfaite entre le trajet des rayons réfléchis par ce miroir et ceux réfléchis par le miroir 31. On voit ainsi que la projection du film s'effectue en deux phases successives, une phase se produisant pendant le déplacement du film, et l'autre phase pendant la période d'immobilisation du film. Les phases successives sont séparées les unes des autres par une très courte obturation produite par les portions opaques 26 et 27 du disque 23. Toutefois, si l'on prend des précautions pour que le miroir 31 soit déjà dans sa position correcte un peu avant le début du déplacement du film et qu'il reste en position de correction pendant une période suffisante après l'arrêt de film, il est alors possible de supprimer complètement les périodes d'obturation. Dans ce cas, pendant le passage de l'arête de séparation entre une portion réfléchissante du disque 23 et la portion consécutive transparente devant la fenêtre 3, une partie de l'image est transmise par réflexion sur la portion 25 du disque 23 et sur le miroir 31, tandis que son autre partie est réfléchie par le miroir 30, puis par la portion 24 réfléchissante du disque 23. Les fig. 4 et 5 représentent une variante permettant l'utilisation d'un disque rotatif de construction plus simple. Comme le montre la fig. 5, ce disque 40 présente une seule portion réfléchissante 41 et une portion transparente 42, ainsi que trois portions opaques 43. En référence à la fig. 4, les rayons 44 provenant de la fenêtre de projection peuvent, pour une certaine position du disque 40, traverser la portion transparente de celui-ci pour être réfléchis par un miroir 45 dans une direction 46 qui pourrait être celle de l'axe optique de l'objectif. Pour l'autre position du disque 40, les rayons 44 rencontrent la portion réfléchissante 41 et sont réfléchis en 47 vers un miroir 48 pour être renvoyés une seconde fois contre la partie réfléchissante 41 du disque 40, cette portion réfléchissante renvoyant également les rayons dans la direction 46. On remarque que dans ce dernier cas, comme d'ailleurs dans la forme d'exécution illustrée aux fig. 1 à 3, la longueur du trajet des rayons reste la même pour les deux phases de projection considérées. Toutefois, dans le cas illustré à la fig. 4, les rayons ne sont réfléchis qu'une seule fois par le miroir 45 dans l'une des phases, tandis qu'ils subissent trois réflexions suc cessives sur la portion réfléchissante 41 et le miroir 48 dans la deuxième phase. Si l'on veut éviter un effet possible de scintillement, il y a lieu de traiter le miroir 45 de façon que son pouvoir réfléchissant corresponde pour chaque couleur du spectre visible au pouvoir réfléchissant total obtenu par une réflexion sur le miroir 48 et deux réflexions sur la portion réfléchissante 41. Il est bien clair que la forme d'exécution et la variante décrites pourraient tout aussi bien convenir au cas de la prise de vues qu'au cas de la projection. Dans le cas d'une caméra de prise de vues travaillant suivant le principe illustré à la fig. 1, la lampe 2 de projection serait, bien entendu, supprimée et en outre la caméra devrait être pourvue d'un volet d'obturation actionné, par exemple, par le déclencheur, afin d'éviter que la lumière ne vienne frapper la portion de film arrêtée devant la fenêtre d'exposition pendant l'arrêt entre deux prises de vues successives. L'intéret de la disposition décrite dans le cas d'une caméra est évident, car on obtient ainsi un temps d'exposition sensiblement deux fois plus long que dans les caméras habituelles pour une vitesse de prise de vues donnée. Cet avantage est particulièrement important dans le cas où l'éclairage du sujet est faible. La disposition décrite présente un intérêt tout particulier dans le cas d'un appareil cinématographique destiné à la production d'un signal électrique vide. En effet, l'absence d'un temps d'obturation, ou la très courte durée de cette obturation, permet d'utiliser toute la période de passage d'une image pour créer le signal en question. L'exploration peut se faire au moyen d'un pinceau lumineux balayant toute l'image du film, les rayons traversant le film étant captés par un élément photoélectrique se trouvant de l'autre côté de ce dernier. Dans le cas illustré à la fig. 1, l'émetteur fournissant le pinceau lumineux pourrait aussi bien être disposé du côté de la lampe 2 que de côté de l'objectif 29, l'élément photoélectrique devant bien entendu se trouver du côté oppose. Le dispositif décrit présente encore un avantage important, puisque l'absence d'obturation permet pratiquement d'etre indépendant de la vitesse de projection. Il est ainsi possible de projeter un film très lentement sans gêne pour les spectateurs. En outre, comme le temps de travail de la griffe peut atteindre sensiblement la moitié du temps de passage d'une image, les sollicitations du film par la griffe ne sont pas plus élevées lors d'une vitesse de cent-vingt images par seconde que ce n'est le cas dans un projecteur classique pour une vitesse de projection de dix-huit images par seconde. Il est donc possible de faire passer le film en marche avant ou en marche arrière à une vitesse très grande, ce qui est particulièrement apprécié dans le cas des projecteurs destinés à l'enseignement. Suivant une variante du procédé selon l'invention, on pourrait prévoir deux trajets des rayons lumineux présentant chacun un miroir oscillant ou prisme rotatif pour stabiliser l'image pendant le déplacement du film, ces deux miroirs travaillant alternativement. Dans ce cas, le film pourrait soit être animé d'un mouvement continu, soit être commandé par intermittence par deux griffes associées respectivement à chacun des miroirs ou prismes. REVENDICATION I Procédé de formation d'une image cinématographique, caractérisé en ce que, durant le déplacement du film correspondant au plus à deux images, on fait parcourir aux rayons lumineux destinés à la formation d'image au moins deux trajets, au moins en partie diff rents, l'un au moins de ces trajets comprenant des moyens optiques de stabilisation de l'image pendant le déplacement du film. SOUS-REVENDICATIONS 1. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on opère la formation de chaque image en deux phases successives, une phase consistant à déplacer le film et à stabiliser l'image par des moyens optiques, l'autre phase consistant à laisser le film immobile et à former l'image par des' moyens optiques au moins en partie différents des moyens de stabilisation. 2. Procédé selon la revendication I et la sous-reven diction 1, caractérisé en ce que les deux phases sont séparées, l'une de l'autre par une période d'obturation de durée beaucoup plus brève que celle de l'une ou l'autre des deux phases. 3. Procédé selon la revendication I et la sous-revendication 1, caractérisé en ce que les deux phases. se suo cèdent alternativement sans période d'obturation entre elles. 4. Procédé selon la revendication I et les sous-re vendications 1 et 3, caractérisé en ce que les deux phases présentent des périodes de recouvrement partiel entre elles. REVENDICATION II Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'il comprend un mécanisme d'entraînement intermittent du film et des moyens optiques de stabilisation de l'image pendant les déplacements du film. SOUS-REVENDICATIONS 5. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce que les moyens optiques de stabilisation de l'image comprennent un miroir ou un prisme oscillant dont les déplacements sont asservis aux déplacements du film produits par un mécanisme d'entraînement. 6. Appareil selon la revendication II et la sous-res vendication 5, caractérisé en ce que le miroir ou prisme oscillant est relié mécaniquement au mécanisme d'entraînement intermittent du film. 7. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens de déviation des rayons lumineux pour les faire passer suivant deux trajets diffé rents, l'un de ces trajets passant par les moyens de stabilisation optiques, l'autre trajet évitant ces derniers. 8. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 7, caractérisé en ce que lesdits moyens de déviation comprennent un disque rotatif présentant des portions réfléchissantes et respectivement transparentes, ces portions venant couper alternativement les rayons lumineux destinés à la formation de l'image. **ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
Claims (1)
- **ATTENTION** debut du champ CLMS peut contenir fin de DESC **. par exemple, par le déclencheur, afin d'éviter que la lumière ne vienne frapper la portion de film arrêtée devant la fenêtre d'exposition pendant l'arrêt entre deux prises de vues successives.L'intéret de la disposition décrite dans le cas d'une caméra est évident, car on obtient ainsi un temps d'exposition sensiblement deux fois plus long que dans les caméras habituelles pour une vitesse de prise de vues donnée. Cet avantage est particulièrement important dans le cas où l'éclairage du sujet est faible.La disposition décrite présente un intérêt tout particulier dans le cas d'un appareil cinématographique destiné à la production d'un signal électrique vide. En effet, l'absence d'un temps d'obturation, ou la très courte durée de cette obturation, permet d'utiliser toute la période de passage d'une image pour créer le signal en question. L'exploration peut se faire au moyen d'un pinceau lumineux balayant toute l'image du film, les rayons traversant le film étant captés par un élément photoélectrique se trouvant de l'autre côté de ce dernier.Dans le cas illustré à la fig. 1, l'émetteur fournissant le pinceau lumineux pourrait aussi bien être disposé du côté de la lampe 2 que de côté de l'objectif 29, l'élément photoélectrique devant bien entendu se trouver du côté oppose.Le dispositif décrit présente encore un avantage important, puisque l'absence d'obturation permet pratiquement d'etre indépendant de la vitesse de projection.Il est ainsi possible de projeter un film très lentement sans gêne pour les spectateurs. En outre, comme le temps de travail de la griffe peut atteindre sensiblement la moitié du temps de passage d'une image, les sollicitations du film par la griffe ne sont pas plus élevées lors d'une vitesse de cent-vingt images par seconde que ce n'est le cas dans un projecteur classique pour une vitesse de projection de dix-huit images par seconde. Il est donc possible de faire passer le film en marche avant ou en marche arrière à une vitesse très grande, ce qui est particulièrement apprécié dans le cas des projecteurs destinés à l'enseignement.Suivant une variante du procédé selon l'invention, on pourrait prévoir deux trajets des rayons lumineux présentant chacun un miroir oscillant ou prisme rotatif pour stabiliser l'image pendant le déplacement du film, ces deux miroirs travaillant alternativement. Dans ce cas, le film pourrait soit être animé d'un mouvement continu, soit être commandé par intermittence par deux griffes associées respectivement à chacun des miroirs ou prismes.REVENDICATION I Procédé de formation d'une image cinématographique, caractérisé en ce que, durant le déplacement du film correspondant au plus à deux images, on fait parcourir aux rayons lumineux destinés à la formation d'image au moins deux trajets, au moins en partie diff rents, l'un au moins de ces trajets comprenant des moyens optiques de stabilisation de l'image pendant le déplacement du film.SOUS-REVENDICATIONS 1. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on opère la formation de chaque image en deux phases successives, une phase consistant à déplacer le film et à stabiliser l'image par des moyens optiques, l'autre phase consistant à laisser le film immobile et à former l'image par des' moyens optiques au moins en partie différents des moyens de stabilisation.2. Procédé selon la revendication I et la sous-reven diction 1, caractérisé en ce que les deux phases sont séparées, l'une de l'autre par une période d'obturation de durée beaucoup plus brève que celle de l'une ou l'autre des deux phases.3. Procédé selon la revendication I et la sous-revendication 1, caractérisé en ce que les deux phases. se suo cèdent alternativement sans période d'obturation entre elles.4. Procédé selon la revendication I et les sous-re vendications 1 et 3, caractérisé en ce que les deux phases présentent des périodes de recouvrement partiel entre elles.REVENDICATION II Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'il comprend un mécanisme d'entraînement intermittent du film et des moyens optiques de stabilisation de l'image pendant les déplacements du film.SOUS-REVENDICATIONS 5. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce que les moyens optiques de stabilisation de l'image comprennent un miroir ou un prisme oscillant dont les déplacements sont asservis aux déplacements du film produits par un mécanisme d'entraînement.6. Appareil selon la revendication II et la sous-res vendication 5, caractérisé en ce que le miroir ou prisme oscillant est relié mécaniquement au mécanisme d'entraînement intermittent du film.7. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens de déviation des rayons lumineux pour les faire passer suivant deux trajets diffé rents, l'un de ces trajets passant par les moyens de stabilisation optiques, l'autre trajet évitant ces derniers.8. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 7, caractérisé en ce que lesdits moyens de déviation comprennent un disque rotatif présentant des portions réfléchissantes et respectivement transparentes, ces portions venant couper alternativement les rayons lumineux destinés à la formation de l'image.
Priority Applications (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
CH1072470A CH513421A (fr) | 1970-07-15 | 1970-07-15 | Procédé de formation d'une image cinématographique |
Applications Claiming Priority (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
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CH1072470A CH513421A (fr) | 1970-07-15 | 1970-07-15 | Procédé de formation d'une image cinématographique |
Publications (1)
Publication Number | Publication Date |
---|---|
CH513421A true CH513421A (fr) | 1971-09-30 |
Family
ID=4366158
Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
---|---|---|---|
CH1072470A CH513421A (fr) | 1970-07-15 | 1970-07-15 | Procédé de formation d'une image cinématographique |
Country Status (1)
Country | Link |
---|---|
CH (1) | CH513421A (fr) |
-
1970
- 1970-07-15 CH CH1072470A patent/CH513421A/fr not_active IP Right Cessation
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PL | Patent ceased |