Dispositif de commande hydraulique pour appareil électrique La présente invention concerne un dispositif de com mande hydraulique qui, comme celui décrit dans le bre vet principal, a essentiellement pour but, sous l'effet d'une action temporaire sur un poussoir mécanique ou un bouton électrique - d'enclencher un disjoncteur et de le maintenir enclen ché en établissant une communication entre un accu mulateur hydraulique et un vérin hydraulique, dont le piston,
solidaire du contact mobile du disjoncteur, agit dans ces conditions, à l'encontre de moyens élas tiques tendant à ouvrir ce disjoncteur; - de déclencher cet appareil et de le maintenir déclen ché en provoquant l'évacuation rapide du :liquide du vérin, vers une zone à basse pression et en intercep tant simultanément sa communication avec l'accu mulateur.
Pour atteindre ces objectifs, le dispositif hydraulique de la présente invention comporte deux valves identi ques d'enclenchement et de déclenchement par décom pressions graduées, directement accolées à deux blocs de commande identiques qui contiennent lesdits clapets et sont montés en dessous d'une bâche, le bloc d'enclen chement portant une soupape d'équilibrage et une sou pape de sécurité, tandis que le bloc de déclenchement porte une soupape de manque de pression, ces trois der nières soupapes étant placées à l'intérieur de ladite bâche.
Une réalisation sera décrite, à titre d'exemple, en se reportant au dessin annexé dont la fig. 1 représente, en coupe verticale, l'ensemble de la commande en position disjoncteur déclenché et sans pression d'huile, et la fig. 2 la soupape à manque de pression en position disjoncteur enclenché.
Comme dans le brevet principal, cette réalisation comporte les deux clapets principaux identiques avec pis- tons différentiels d'enclenchement et de déclenchement, mais présentant un agencement simplifié, deux valves identiques d'enclenchement et de déclenchement, égale ment simplifiées, tous ces organes fonctionnant par dé- compressions étagées,
et un clapet d'équilibrage des pres sions agencé pour assurer le maintien du disjoncteur en position d'enclenchement. La soupape de manque de pression suivant le brevet principal est modifiée de façon à permettre la suppression du clapet antiretour qui était disposé entre les deux clapets principaux, la commande comporte d'autre part, à titre d'organe supplémentaire une soupape de sécurité perfectionnée,
qui est sensible aux surpressions anormales.
Comme le montre la fig. 1, les valves d'enclenche ment et de déclenchement qui sont désignées épar A et B, ainsi que les pistons différentiels principaux qui jouent un rôle de clapets distributeurs pour d'enclenchement et le déclenchement et qui sont désignés par 52a et 52b, sont montés en dessous d'une bâche 60 dont le niveau d'huile minimum est indiqué en 12.
Cette bâche ren ferme une soupape à manque de pression S, un clapet d'équilibrage des pressions D et une soupape de sécurité à maxima de pression C perfectionnée. L'accumulateur non représenté est raccordé en 9, son débit pouvant être réglé par un pointeau 45 .par exemple ou éventuel lement par un diaphragme approprié, la pompe non représentée est branchée en 10.
Il est à noter que les blocs G et H qui renferment les pistons différentiels prin cipaux 52a et 52b et qui portent les valves A et B, sont identiques et que le nombre des tuyauteries ainsi que leurs longueurs sont réduites au minimum par le grou pement représenté qui permet donc de réduire les inter connexions ainsi que l'encombrement de l'équipement et de le simplifier.
Suivant ce groupement, les valves d'enclenchement et de déclenchement A et B sont directement accolées aux blocs identiques G et H des pistons différentiels princi paux, ces blocs étant montés en dessous d'une bâche 60 et disposés respectivement, d'une part sous le clapet D avec la soupape C et d'autre part sous la soupape S, tous ces derniers organes étant placés à l'intérieur de la. bâche.
Les pièces mobiles des différents organes de la com mande sont représentées sur la fig. 1 dans les positions qu'elles occupent lorsque le disjoncteur est déclenché et que la pression d'huile à l'arrivée, c'est-à-dire au droit du pointeau 45, est nulle.
On fera toutefois observer avant d'aborder la des cription du fonctionnement que lorsque le disjoncteur est enclenché, les pistons différentiels 52a et 52b ainsi que les pièces mobiles du clapet d'équilibrage D et des valves d'enclenchement A et de déclenchement B occu- pent également les positions illustrées sur la fig. 1,
mais que l'équipage mobile de la soupape S se place suivant la fig. 2.
Lorsque la pompe reliée à la conduite 10 est mise en service, la. pression s'établit dans une conduite 46 dont l'extrémité supérieure est obstruée par un clapet 47 de la soupape de sécurité C.
Le débit d'une fuite fi qui est prévue sur le piston 49 du clapet d'équilibrage D étant par construction inférieur au débit de lapompe, ce pis ton 49 est repoussé sur la gauche à l'encontre de son. ressort 50 et son pointeau 51 est solidement appliqué sur son siège.
La :pression d'huile, grâce aux fuites f2 et f3 prévues sur le piston différentiel 52a s'établit dans l'enceinte 84a et par l'intermédiaire d'un orifice t1 prévu dans la valve A, elle s'établit également dans l'enceinte 56a de la valve A pour renforcer l'action de son ressort 53a; la bille 54a et le piston à pointeau 55a de cette valve sont ainsi énergiquement appliqués sur leurs sièges.
L'enclenchement du disjoncteur est obtenu :de la manière suivante La valve d'enclenchement A comporte un bouton poussoir d'enclenchement 57a et .un électro-aimant 58a qui lorsqu'ils sont man#uvrés repoussent la bille 54a appliquée sur son siège par le ressort 53a ; cette manoeu- vre décharge à la bâche 60 l'enceinte 56a qui, comme on l'a montré, est normalement maintenue sous pres sion ;
à la suite de cette décharge, le piston à pointeau 55a est soulevé par la pression qui agit d'abord sur la surface annulaire entourant la partie cylindrique du poin teau ensuite sur toute la surface inférieure de 55a ; la bâche 60 est alors reliée par une conduite 61a à l'en ceinte 84a.
La valve A et l'enceinte 84a sont dans ces conditions complètement déchargées et le piston diffé rentiel 52a se déplace vers la droite sous l'effet de la pression de l'accumulateur qui est appliquée sur son pourtour par la conduite 46. Cette pression se transmet alors par les conduites principales 62, 63 et 66 aux con duites 5a, 5b, 5c qui alimentent les vérins non représen tés, et elle effectue l'enclenchement du disjoncteur.
Le piston différentiel 52a en se déplaçant vers la droite crée sous le piston 55a une contrepression qui le maintient ouvert, mais une fois ce mouvement achevé, la pression dans l'enceinte située sous le piston 55a dimi nue notablement bien que cette enceinte soit alors ali- mentée par les fuites f2 et f3,
car cesdites fuites ne sont pas assez importantes pour compenser l'effet de dépres sion dû au fait que ladite enceinte est réunie à la bâche par la conduite 61a. Le pointeau du piston 55a est alors de nouveau appliqué sur son siège par le ressort 53a et la pression se rétablit dans l'enceinte 56a par l'orifice t1 et les fuites f2 et f3 si la bille 54a n'est plus maintenue par le bouton poussoir 57a ou la bobine d'enclenche ment 58a.
Quant au piston différentiel 52a, i1 est main tenu, à l'encontre du ressort 64a dans sa position à droite par la pression dynamique qui est engendrée par le chan gement de direction de l'huile s'écoulant de la conduite 46 à la conduite 62, c'est-à-dire jusqu'à la fin de la période d'enclenchement. Après quoi, l'action du res sort 64a devient prépondérante et le piston différentiel 52a vient de nouveau obstruer l'entrée de cette conduite 62, tandis que la pression s'équilibre de part et d'autre de ce piston.
Ladite pression qui, à l'extrémité supérieure de la conduite 65, était jusqu'à ce moment même relativement faible du fait du mouvement des pistons de vérins, atteint brusquement une valeur transitoire importante qui re pousse vers la droite le pointeau du clapet d'équilibrage D, grâce à quoi les vérins alimentés par 5a, 5b et 5c sont en fin d'enclenchement maintenus en communica tion avec l'accumulateur par l'intermédiaire d'une fuite fi qui est prévue sur le piston 49 du clapet d'équili brage D et par les conduites 65, 63 et 66.
Les enceintes délimitées par le piston 49 du clapet D étant dès lors en équilibre de pression, ledit clapet D est maintenu ouvert par son ressort 50, jusqu'au déclen chement du disjoncteur ;
il compense donc les variations volumétriques d'origine thermique ainsi que les faibles fuites éventuelles et par conséquent assure le maintien du disjoncteur dans la position enclenchée. En cas de fuites anormales, trop importantes (avarie, chute de pres sion excessive dans 65), il se referme et coupe l'alimen tation des vérins par l'accumulateur 9, ce qui permet à la soupape à manque de pression S de jouer son rôle de protection de la façon qui sera exposée plus loin.
Pendant et après l'enclenchement, ,le piston différen tiel de déclenchement 52b est, comme on le montrera maintenant, énergiquement appliqué vers la droite par la pression de manaeuvre contre l'extrémité inférieure de la conduite d'échappement 67.
Avant la période d'enclenchement, l'équipage mobile de la soupape à manque de pression S occupe la posi tion de la fig. 1 ;
la conduite 68 est pleine d'huile à pres sion sensiblement nulle et débouche dans l'enceinte 69 délimitée par un piston 70 et un tiroir creux 71 car celui- ci est, à l'encontre d'un ressort 72, maintenu dans sa position inférieure par un ressort calibré 73 dont l'effort est transmis sur le tiroir 71 par .l'intermédiaire d'une pièce d'appui en forme de cloche 74, d'un axe cylin drique 75 terminé par un pointeau extérieur 76,
et enfin d'une pièce T comportant un pointeau intérieur 77 pro longé par une tige 78, ledit piston 70 comportant une extrémité inférieure 79 sur laquelle peut venir prendre appui, comme représenté fig. 1, le tiroir 71.
Dès que la pression apparaît dans la conduite 68, c'est-à-dire dès le début de la période d'enclenchement, elle agit sur le piston 70 pour pousser vers le haut la pièce T dont le pointeau 77 est rapidement appliqué sur son siège coupant ainsi toute communication entre les enceintes 69 et 83 d'une part et la bâche 60 d'autre part.
Ce mouvement ascendant de T libère le tiroir 71 qui, étant mis en équilibre -de pression par une fuite t, se sou lève sous l'action de son ressort 72 jusqu'à prendre appui sur la pièce fixe 82, mais ce soulèvement se produit len- tement, car il est retardé par ,le petit orifice de la fuite t. Ce retard a pour effet de prolonger l'application de la pression qui agit pour maintenir fermement sur son siège le piston principal de déclenchement 52b.
En effet, pendant toute cette période de remontée du tiroir 71, période qui est réglée pour être au moins égale à la durée d'enclenchement, la conduite 68 est en com munication avec une conduite 80, qui transmet la pres sion à l'enceinte 84b ainsi qu'à l'enceinte 56b de la valve d'enclenchement B, en passant, dans ce dernier cas, par l'orifice t'1.
Il en résulte que le piston de grand diamètre de 52b est énergiquement appliqué sur son siège par la pression de service de façon à fermer la conduite d'échappement 67 ; il en est de même de :la bille 54b et du pointeau du piston 55b. La valve B et le piston diffé rentiel 52b de déclenchement sont donc immobilisés avec sécurité dans les positions représentées.
Lorsque les pistons des vérins ont terminé leur course d'enclenchement, le tiroir 71 vient obstruer, comme on l'a vu, les conduites 68 et 80 mais les fuites f'2 et f'3 au tour de 52b se substituent à la conduite 80 pour assurer la sécurité de positionnement des pièces mobiles de la valve B et du piston différentiel 52b et pour maintenir sous pression les conduites 80 et 81 ; les fuites autour du tiroir 71 et du :piston 70 font que les enceintes 69 et 83 de la soupape S sont constamment maintenues sous pression;
la surface qui correspond à la portée du poin teau 77 étant soustraite à cette pression, la pièce T est soumise à une force verticale dirigée .de bas en haut.
S'il n'y a pas de baisse anormale de pression, le dis joncteur achève son mouvement d'enclenchement et est maintenu dans la, position enclenchée . Les voies 68, 80 et 81 ainsi que les valves A et B sont sous pression ; les extrémités des voies 68 et 80 sont obstruées par le tiroir 71 qui est dans sa position supérieure représentée sur la fig. 2.
L'équipagemobile de la soupape à manque de pres sion S occupe donc, une fois le disjoncteur enclenché, la position représentée sur la fig. 2 ; le tiroir 71, en équi libre de pression .par l'orifice t est, sous l'action de son ressort 72 en butée sur la pièce 82 et les pièces T, 75 et 74 sont maintenues soulevées à l'encontre du ressort calibré 73 par la force résultante des pressions élémen taires, agissant sur les différentes surfaces de la pièce T ;
par conséquent le pointeau intérieur 77 de T est appliqué sur son siège et le pointeau extérieur 76 solidaire de 75 occupe une position d'ouverture; une douille 85 solida risée avec la cloche 74 par l'action du ressort 73 est assemblée à une tige 86 qui peut actionner à toutes fins utiles un contact électrique non représenté disposé en dehors de la bâche et utilisable notamment pour indi quer les positions du disjoncteur.
Pour déclencher normalement le disjoncteur, on met l'enceinte 56b de la valve B en dépression en repoussant la bille 54b au moyen -d'un électro-aimant 58b ou d'un bouton poussoir 57b ; le piston 55b .est de ce fait soulevé à l'encontre de son ressort par la pression produite grâce aux fuites f'2 et<B><I>f 's</I></B> ;
la chute de pression dans l'enceinte 84b, qui avait été amorcée à travers l'orifice t'1 lors de la mise à la bâche de l'enceinte 56b par le déplacement de la bille 54b, est accélérée par le soulèvement du pis ton 55b, ce soulèvement ayant pour effet de relier l'en ceinte 84b directement à :la bâche par la conduite 61b. Il s'ensuit que le piston différentiel 52b se déplace vers la gauche à l'encontre du ressort 64b, sous l'action de la pression régnant dans la conduite annulaire 83 et que les vérins sont purgés par l'ouverture de l'échappement 67.
Simultanément, le clapet d'équilibrage D se ferme sous l'effet de la baisse de la pression dans la conduite 65 consécutive à la purge des vérins ; celle-ci s'effectue donc rapidement et totalement, le piston différentiel 52b étant maintenu repoussé à gauche pendant toute cette période par la pression dynamique due à la variation du sens d'écoulement de l'huile, passant de la conduite annulaire 83 à la conduite 67.
Simultanément, la pression dans les conduites 68, 80, 81 devient nulle, et le ressort calibré 73 de la soupape à manque de ,pression S agit d'abord rapidement pour ouvrir le pointeau intérieur 77 puis plus lentement pour entraîner vers le bas, par la pièce T, le tiroir 71 à l'en contre de son ressort 72 dont la force n'est à aucun moment suffisante pour vaincre celle du ressort 73. Ce mouvement descendant du -tiroir 71 est retardé dans une mesure qui est fonction du dimensionnement de l'ori fice t.
Tant que le pointeau extérieur 76 n'est pas appli qué sur son siège, l'enceinte 56b est maintenue en dépres sion car elle continue à être reliée à la bâche par la con duite 81, par le canal prévu entre les deux pointeaux 76 et 77 et parles orifices 87.
Enfin le mouvement descen dant de 71, amorti par la fuite t, continue plus lentement sous l'effet du ressort plus faible 88 jusqu'au complet dégagement des orifices des conduites 80 et 68 et fer meture du pointeau extérieur 76 ; celle-ci a pour effet de maintenir dans la tuyauterie de l'équipement une cer taine pression résiduelle réduite, mais non nulle, de sorte que toutes les conduites restent remplies d'huile.
Si la pression de service faiblit anormalement lorsque le disjoncteur est enclenché, les pièces mobiles de la soupape à manque de pression S qui occupent alors la position représentée sur la fig. 2 sont sollicitées vers le bas par le ressort calibré 73 ;
le pointeau interne 77 s'ouvre, ce qui décharge à la bâche l'enceinte 56b de la valve B par la conduite 81, par le canal .entre les poin teaux 76 et 77 et par les orifices 87.A partir de ce mo ment, les vérins sont vidangés par décompression étagée avec la même séquence opératoire que lorsque l'enceinte 56b était mise en dépression par la bille 54b, les pièces mobiles de la soupape S occupant en fin de déclenche ment la position illustrée fig. 1.
La soupape de sécurité C fonctionne de la façon sui vante Si, pour une raison quelconque, la pression d'huile dans la conduite 46 .devient excessive, soit lorsque le dis joncteur est au repos, soit lorsqu'il est enclenché, le cla pet 47 est soulevé à l'encontre de son ressort calibré 89 mais ce mouvement est ralenti par le faible diamètre d'un orifice d'échappement <B>90;</B> d'autre part, la contre- pression qui apparaît dans l'espace supérieur où se trouve le ressort calibré 89 limite la course de 47.
Cet arran gement a pour effet de supprimer les battements habi tuels des soupapes de sécurité et d'éviter les partes exces. sives du fluide ainsi que le matage du clapet 47 et de son siège.
Comme on le voit, l'arrangement décrit, qui peut être modifié de diverses façons, se distingue, en dehors de plusieurs avantages qui ont été signalés ci-dessus, par sa simplicité, sa robustesse et sa sécurité ainsi que par son faible encombrement et par la facilité des réglages et de l'entretien, car ses divers éléments sont accessibles, remplaçables et peu nombreux.
The present invention relates to a hydraulic control device which, like that described in the main patent, essentially aims, under the effect of a temporary action on a mechanical push button or an electrical button - switch on a circuit breaker and keep it engaged by establishing communication between a hydraulic accumulator and a hydraulic cylinder, including the piston,
integral with the moving contact of the circuit breaker, acts under these conditions, against elastic means tending to open this circuit breaker; - trigger this device and keep it triggered by causing the rapid evacuation of the: liquid from the cylinder, to a low pressure zone and simultaneously intercepting its communication with the accumulator.
To achieve these objectives, the hydraulic device of the present invention comprises two identical switching on and off valves by graduated decompression pressure, directly attached to two identical control blocks which contain said valves and are mounted below a tarpaulin, the engagement block carrying a balancing valve and a safety valve, while the tripping block carries a pressure relief valve, these last three valves being placed inside said cover.
An embodiment will be described, by way of example, with reference to the appended drawing of which FIG. 1 shows, in vertical section, the entire control in the circuit breaker tripped position and without oil pressure, and FIG. 2 the pressure loss valve in the circuit breaker engaged position.
As in the main patent, this embodiment comprises the two identical main valves with differential switching on and off pistons, but having a simplified arrangement, two identical switching on and off valves, also simplified, all these components functioning. by staged decompression,
and a pressure balancing valve arranged to ensure that the circuit breaker is held in the closed position. The pressure relief valve according to the main patent is modified so as to allow the elimination of the non-return valve which was arranged between the two main valves, the control comprises on the other hand, as an additional member an improved safety valve,
which is sensitive to abnormal overpressures.
As shown in fig. 1, the cut-in and cut-out valves which are designated separately A and B, as well as the main differential pistons which act as distributor valves for engagement and release and which are designated by 52a and 52b, are fitted below a tank 60 whose minimum oil level is indicated in 12.
This tarpaulin contains a pressure relief valve S, a pressure balancing valve D and an improved maximum pressure safety valve C. The accumulator (not shown) is connected at 9, its flow rate being able to be regulated by a needle 45. For example or possibly by an appropriate diaphragm, the pump, not shown, is connected at 10.
It should be noted that the blocks G and H which contain the main differential pistons 52a and 52b and which carry the valves A and B, are identical and that the number of pipes as well as their lengths are reduced to a minimum by the group shown. which therefore makes it possible to reduce the interconnections as well as the size of the equipment and to simplify it.
According to this grouping, the engagement and release valves A and B are directly attached to the identical blocks G and H of the main differential pistons, these blocks being mounted below a cover 60 and arranged respectively, on the one hand under the valve D with the valve C and on the other hand under the valve S, all these latter members being placed inside the. tarpaulin.
The moving parts of the different control units are shown in fig. 1 in the positions they occupy when the circuit breaker is tripped and the incoming oil pressure, that is to say to the right of the needle 45, is zero.
However, before approaching the description of operation, it should be observed that when the circuit breaker is engaged, the differential pistons 52a and 52b as well as the moving parts of the balancing valve D and of the closing A and B tripping valves occupied also the positions illustrated in fig. 1,
but that the movable assembly of the valve S is positioned according to FIG. 2.
When the pump connected to line 10 is put into service, the. pressure is established in a pipe 46, the upper end of which is blocked by a valve 47 of the safety valve C.
The flow rate of a leak fi which is provided on the piston 49 of the balancing valve D being by construction lower than the flow rate of the pump, this udder tone 49 is pushed to the left against its sound. spring 50 and its needle 51 is firmly applied to its seat.
The: oil pressure, thanks to the leaks f2 and f3 provided on the differential piston 52a is established in the enclosure 84a and through an orifice t1 provided in the valve A, it is also established in the enclosure 56a of the valve A to reinforce the action of its spring 53a; the ball 54a and the needle piston 55a of this valve are thus energetically applied to their seats.
The circuit breaker is engaged: as follows: The closing valve A comprises a closing pushbutton 57a and an electromagnet 58a which, when operated, push back the ball 54a applied to its seat by the spring 53a; this maneuver discharges to the cover 60 the enclosure 56a which, as has been shown, is normally maintained under pressure;
following this discharge, the needle piston 55a is lifted by the pressure which acts first on the annular surface surrounding the cylindrical part of the needle then on the entire lower surface of 55a; the sheet 60 is then connected by a pipe 61a to the enclosure 84a.
The valve A and the enclosure 84a are in these conditions completely discharged and the differential piston 52a moves to the right under the effect of the pressure of the accumulator which is applied to its periphery through the pipe 46. This pressure is applied to the right. then transmits via the main conduits 62, 63 and 66 to the conduits 5a, 5b, 5c which supply the jacks not shown, and it activates the circuit breaker.
The differential piston 52a by moving to the right creates a back pressure under the piston 55a which keeps it open, but once this movement is completed, the pressure in the chamber located under the piston 55a decreases notably although this chamber is then ali - mented by leaks f2 and f3,
because these said leaks are not large enough to compensate for the effect of depression due to the fact that said enclosure is joined to the cover by the pipe 61a. The needle of the piston 55a is then again applied to its seat by the spring 53a and the pressure is reestablished in the enclosure 56a through the orifice t1 and the leaks f2 and f3 if the ball 54a is no longer held by the button pusher 57a or the engagement coil 58a.
As for the differential piston 52a, it is hand held against the spring 64a in its right-hand position by the dynamic pressure which is generated by the change of direction of the oil flowing from the pipe 46 to the pipe. 62, i.e. until the end of the switch-on period. After which, the action of the res out 64a becomes predominant and the differential piston 52a again obstructs the inlet of this pipe 62, while the pressure is balanced on either side of this piston.
Said pressure which, at the upper end of the pipe 65, was until that very moment relatively low due to the movement of the ram pistons, suddenly reaches a large transient value which pushes the needle of the valve back to the right. balancing D, whereby the jacks supplied by 5a, 5b and 5c are at the end of engagement maintained in communication with the accumulator by means of a leak fi which is provided on the piston 49 of the balance valve brage D and by pipes 65, 63 and 66.
The enclosures delimited by the piston 49 of the valve D therefore being in pressure equilibrium, said valve D is kept open by its spring 50, until the circuit breaker trips;
it therefore compensates for volumetric variations of thermal origin as well as any possible small leaks and consequently ensures that the circuit breaker is maintained in the engaged position. In the event of abnormal, excessively large leaks (damage, excessive pressure drop in 65), it closes and cuts off the supply to the cylinders via accumulator 9, which allows the underpressure valve S to operate. its protective role in the way which will be explained below.
During and after engagement, the differential triggering piston 52b is, as will now be shown, energetically applied to the right by the operating pressure against the lower end of the exhaust pipe 67.
Before the cut-in period, the moving part of the pressure-loss valve S occupies the position of FIG. 1;
the pipe 68 is full of oil at substantially zero pressure and opens into the chamber 69 delimited by a piston 70 and a hollow slide 71 because the latter is, against a spring 72, held in its position lower by a calibrated spring 73, the force of which is transmitted to the spool 71 by .l'intermediate a bell-shaped support piece 74, a cylindrical axis 75 terminated by an external needle 76,
and finally of a piece T comprising an inner needle 77 pro along by a rod 78, said piston 70 comprising a lower end 79 on which can come to rest, as shown in FIG. 1, drawer 71.
As soon as the pressure appears in the pipe 68, that is to say from the start of the engagement period, it acts on the piston 70 to push the part T upwards, the needle 77 of which is quickly applied to its seat thus cutting off all communication between the speakers 69 and 83 on the one hand and the cover 60 on the other hand.
This upward movement of T releases the slide 71 which, being brought into pressure equilibrium by a leak t, rises under the action of its spring 72 until it rests on the fixed part 82, but this lifting occurs. slowly, because it is delayed by the small orifice of the leak t. This delay has the effect of prolonging the application of the pressure which acts to firmly hold the main trigger piston 52b in its seat.
In fact, throughout this period of ascent of the drawer 71, a period which is set to be at least equal to the switching on time, the line 68 is in communication with a line 80, which transmits the pressure to the enclosure. 84b as well as to the enclosure 56b of the engagement valve B, passing, in the latter case, through the orifice t'1.
As a result, the large diameter piston 52b is energetically applied to its seat by the operating pressure so as to close the exhaust pipe 67; it is the same for: the ball 54b and the needle of the piston 55b. The valve B and the differential triggering piston 52b are therefore securely immobilized in the positions shown.
When the pistons of the jacks have finished their engagement stroke, the spool 71 clogs, as we have seen, the pipes 68 and 80 but the leaks f'2 and f'3 around 52b replace the pipe 80 to ensure the positioning safety of the moving parts of the valve B and of the differential piston 52b and to keep the lines 80 and 81 under pressure; the leaks around the drawer 71 and the: piston 70 cause the enclosures 69 and 83 of the valve S to be constantly maintained under pressure;
the surface which corresponds to the bearing of the needle 77 being subtracted from this pressure, the part T is subjected to a vertical force directed from bottom to top.
If there is no abnormal drop in pressure, the circuit breaker completes its closing movement and is held in the engaged position. Channels 68, 80 and 81 as well as valves A and B are under pressure; the ends of the tracks 68 and 80 are blocked by the slide 71 which is in its upper position shown in FIG. 2.
Once the circuit breaker has been activated, the mobile equipment of the pressure relief valve S therefore occupies the position shown in fig. 2; the spool 71, in equi free pressure. by the orifice t is, under the action of its spring 72 in abutment on the part 82 and the parts T, 75 and 74 are kept raised against the calibrated spring 73 by the force resulting from the elementary pressures acting on the different surfaces of the part T;
consequently the inner needle 77 of T is applied to its seat and the outer needle 76 integral with 75 occupies an open position; a bush 85 secured to the bell 74 by the action of the spring 73 is assembled to a rod 86 which can actuate for all intents and purposes an electrical contact not shown arranged outside the cover and usable in particular to indicate the positions of the circuit breaker .
To normally trigger the circuit breaker, the enclosure 56b of the valve B is placed in a vacuum by pushing the ball 54b by means of an electromagnet 58b or of a push button 57b; the piston 55b. is therefore lifted against its spring by the pressure produced by the leaks f'2 and <B> <I> f 's </I> </B>;
the pressure drop in the enclosure 84b, which had been initiated through the orifice t'1 during the tarpaulin of the enclosure 56b by the displacement of the ball 54b, is accelerated by the lifting of the udder 55b, this lifting having the effect of connecting the enclosure 84b directly to: the tarpaulin via the pipe 61b. It follows that the differential piston 52b moves to the left against the spring 64b, under the action of the pressure prevailing in the annular pipe 83 and that the jacks are purged by the opening of the exhaust 67 .
Simultaneously, the balancing valve D closes under the effect of the drop in pressure in the line 65 following the bleeding of the jacks; this is therefore carried out rapidly and completely, the differential piston 52b being kept pushed back to the left throughout this period by the dynamic pressure due to the variation in the direction of flow of the oil, passing from the annular pipe 83 to the driving 67.
Simultaneously, the pressure in the pipes 68, 80, 81 becomes zero, and the calibrated spring 73 of the pressure relief valve S first acts rapidly to open the inner needle 77 then more slowly to drive downwards, for example the part T, the drawer 71 against its spring 72, the force of which is at no time sufficient to overcome that of the spring 73. This downward movement of the drawer 71 is delayed to an extent which is a function of the dimensioning of the ori fice t.
As long as the outer needle 76 is not applied to its seat, the enclosure 56b is maintained in depression because it continues to be connected to the tarpaulin by the duct 81, by the channel provided between the two needles 76 and 77 and through orifices 87.
Finally, the downward movement of 71, damped by the leak t, continues more slowly under the effect of the weaker spring 88 until the orifices of the pipes 80 and 68 are completely released and the external needle 76 is closed; this has the effect of maintaining a certain reduced, but not zero, residual pressure in the equipment piping, so that all lines remain filled with oil.
If the operating pressure drops abnormally when the circuit breaker is switched on, the moving parts of the pressure relief valve S which then occupy the position shown in fig. 2 are biased downwards by the calibrated spring 73;
the internal needle 77 opens, which discharges the enclosure 56b of the valve B to the tarpaulin through the pipe 81, through the channel between the pins 76 and 77 and through the orifices 87. , the jacks are emptied by staged decompression with the same operating sequence as when the enclosure 56b was depressurized by the ball 54b, the moving parts of the valve S occupying the position shown in fig. 1.
The safety valve C operates as follows If, for any reason, the oil pressure in line 46 becomes excessive, either when the circuit breaker is at rest or when it is on, the valve is 47 is lifted against its calibrated spring 89 but this movement is slowed down by the small diameter of an exhaust port <B> 90; </B> on the other hand, the back pressure which appears in the The upper space where the calibrated spring 89 is located limits the stroke of 47.
This arrangement has the effect of suppressing the usual beating of the safety valves and of avoiding excessive parts. sives of the fluid as well as the matting of the valve 47 and its seat.
As can be seen, the arrangement described, which can be modified in various ways, is distinguished, apart from several advantages which have been pointed out above, by its simplicity, its robustness and its safety as well as by its small footprint and by the ease of adjustments and maintenance, because its various elements are accessible, replaceable and few in number.