Procédé pour l'analyse d'échantillons radioactifs et appareil pour la mise en oeuvre de ce procédé
On connaît un procédé d'analyse de l'activité d'une source radioactive, qui consiste à associer à celle-ci un produit, tel qu'un liquide, susceptible d'émettre des scintillations lumineuses sous l'effet des radiations ionisantes, et à compter les éclairs de scintillation par le moyen de détecteurs appropriés, tels que des photomultiplicateurs. D'autre part, il arrive fréquemment qu'on ait à analyser ainsi un très grand nombre d'échantillons et le problème s'est posé de réaliser ces opérations dans les meilleures conditions de rapidité et de sécurité.
L'invention qui tend à résoudre ce problème sans toutefois être limitée à l'utilisation d'un détecteur à scintillation, a pour objet un procédé pour l'analyse d'échantillons radioactifs. Selon l'invention ce procédé est caractérisé en ce qu'on répartit ces échantillons en groupes distincts, en ce qu'on emmagasine ces groupes à des emplacements respectifs séparés les uns des autres, en ce qu'on les transfère successivement un par un au droit d'un appareil de détection du rayonnement radioactif, en ce qu'on fait avancer le groupe ainsi transféré de façon à amener un à un les échantillons qu'il renferme en face de l'entrée dudit appareil de détection pour y être introduits et analysés, et enfin en ce qu'on ramène ensuite tout le groupe à son emplacement de magasinage une fois ces échantillons analysés.
L'invention a encore pour objet un appareil pour la mise en oeuvre du procédé ci-dessus. Cet appareil est caractérisé en ce qu'il comprend un appareil de détection fixe, des supports propres à renfermer chacun un certain nombre d'échantillons, un dispositif de magasinage comportant au moins un emplacement pour chacun desdits supports, un poste récepteur de support disposé sur l'appareil de détection, des moyens pour transférer à ce poste l'un quelconque des supports à partir de son emplacement dans le dispositif de magasinage et pour le ramener ensuite sélectivement à cet emplacement après analyse des échantillons qu'il renferme, et des moyens pour faire avancer par déplacements successifs le support qui se trouve au poste récepteur,
de façon à amener successivement chacun de ses échantillons au droit de l'entrée de l'appareil de détection pour être introduit dans celui-ci et analysé.
Le dessin annexé montre, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'appareil selon l'invention.
La fig. 1 est une vue en élévation de ladite forme d'exécution, l'armoire de l'appareil étant silhouettée en traits mixtes.
La fig. 2 est une coupe horizontale suivant 2-2 (fig. 1).
La fig. 3 est une coupe de détail correspondant à la ligne 3-3 de la fig. 2, pour montrer plus particulièrement certaines parties d'un mécanisme d'orientation des plateaux.
La fig. 4 est une vue en plan partielle par-dessous d'un plateau porte-échantillons, cette vue correspondant substantiellement à la coupe 4-4 de la fig. 3. Le plateau figuré reçoit un certain nombre d'échantillons radioactifs et il permet leur transfert successif à un poste de détection.
La fig. 5 est une coupe de détail suivant 5-5 (fig.
4), le plateau étant représenté à la position redressée.
La fig. 6 est une vue en plan de mécanismes de centrage et d'avance des plateaux, cette vue corres pondant à la coupe 6-6 de la fig. 3. On y a représenté, en traits interrompus, la position d'un plateau pendant un cycle d'avance.
La fig. 7 est une vue en plan par-dessous, correspondant à la ligne de coupe 7-7 de la fig. 3, en vue de montrer certains détails des mécanismes de centrage et d'avance.
La fig. 8 est une vue en plan partielle à très grande échelle des mécanismes de centrage et d'avance, certaines pièces étant cependant enlevées pour la clarté du dessin. Le mécanisme d'avance est repré senté à la position enclenchée > avant son verrouil- lage avec le plateau, tandis que le tracé en traits interrompus indique le décalage qu'il faut faire comporter au plateau pour amener ce mécanisme à la position
déclenchée .
La fig. 9 est une vue semblable à celle de la fig. 8, mais dans laquelle le tracé en traits pleins représente la position déclenchée , tandis que le tracé en traits interrompus indique les positions relatives du plateau et du mécanisme d'avance à la fin d'un parcours angulaire égal au quart d'une phase d'avance normale.
La fig. 10 est une coupe partielle suivant 10-10
(fig. 6), indiquant le détail de l'entraînement du mé
canisme d'avance.
La fig. 11 est une coupe partielle suivant 11-11
(fig. 6) en vue de montrer les détails de l'entraînement du mécanisme de centrage du plateau.
La fig. 12 est une coupe suivant 12-12 (fig. 8) représentant les détails du mécanisme de centrage.
La fig. 13 est une vue en élévation avec coupe
partielle suivant 13-13 (fig. 8), en vue d'indiquer les
détails d'un mécanisme tâteur de flacons.
La fig. 14 est une vue en plan correspondant à la ligne de coupe 14-14 de la fig. 1, pour montrer
certaines parties d'un mécanisme de magasinage et
de transfert des plateaux suivant l'invention.
La fig. 15 est une vue partielle à grande échelle
par l'arrière, correspondant sensiblement à la ligne
de coupe 15-15 (fig. 14) et montrant les détails d'un
mécanisme de déplacement vertical et latéral des
plateaux.
La fig. 16 est une coupe verticale partielle à
grande échelle suivant 16-16 (fig. 14), destinée à
représenter les dispositifs d'entraînement du méca
nisme de transfert vertical des plateaux.
La fig. 17 est une vue semblable à celle de la fig.
16, mais correspondant à la ligne de coupe 17-17 de
la fig. 14 et montrant les détails du mécanisme de
transfert latéral des plateaux.
La fig. 18 est une coupe partielle à grande échelle
suivant 18-18 (fig. 15), cette vue étant destinée à
indiquer les liaisons entre le mécanisme de transfert
vertical des plateaux et celui de centrage angulaire
de ces derniers.
La fig. 19 est une coupe à grande échelle suivant
19-19 (fig. 15) montrant une partie du dispositif
d'entraînement du mécanisme de transfert latéral des
plateaux.
La fig. 20 est une coupe de détail à grande échelle suivant 20-20 (fig. 14).
Les fig. 21a à 21e sont des schémas partiels montrant les commandes électriques de l'appareil représenté dans la fig. 1.
La fig. 22 est une représentation schématique d'un ensemble électrique propre à recevoir, à compter et à enregistrer la réponse d'un détecteur de rayonnement.
L'appareil représenté dans la fig. 1, est destiné à emmagasiner un certain nombre de plateaux d'échantillons radioactifs et à les transférer un par un à un mécanisme à avance tournante (mécanisme revolver) qui centre les échantillons successifs de chaque plateau par rapport au dispositif de montecharge d'un détecteur de radiation. Dans la fig. 1, ce détecteur a été désigné par la référence A, tandis que le mécanisme revolver d'avance et de centrage des plateaux de l'appareil a été référencé B et le dispositif de magasinage et de transfert indiqué par la référence C.
Comme le montre bien la fig. 1, les mécanismes
B et C de l'appareil 30 sont enfermés avec le mécanisme A dans une armoire 31, laquelle est préférablement réfrigérée en vue d'abaisser la température des échantillons à une valeur d'équilibre propre à réduire l'agitation thermique qui tendrait autrement à accroître le niveau des signaux parasites de bruit de fond. Le mécanisme de détecteur et de monte-charge
A est disposé avec l'appareil dans la partie basse de l'armoire 31, le mécanisme revolver de centrage et d'avance B étant monté sur le haut du précédent.
Pour emmagasiner un grand nombre de plateaux d'échantillons radioactifs prêts à être transférés au mécanisme B, l'appareil 30 comporte respectivement à droite et à gauche, deux rangées de rayons convenablement espacés dans le sens vertical, ces rangées ou rayonnages ayant été référencés 32 et 34. Lorsqu'on met en marche les organes de transfert du dispositif de magasinage, les plateaux 35 portant les échantillons 36 sont déplacés latéralement un par un en direction de l'axe de l'appareil 30 où le plateau 35 considéré est supporté par une plateforme 38, mobile verticalement, laquelle est utilisée pour abaisser le plateau à un poste unique de sélection réalisé par le mécanisme revolver B.
L'armoire 31 est dimensionnée de façon à déterminer dans sa partie haute, un compartiment 39 propre à recevoir et à loger certains au moins des organes électriques de l'appareil 30, par exemple des plaques à circuit imprimé et analogues, non représentées. Pour assurer la commande des cycles de comptage et de changement d'échantillon, on a monté sur l'avant de l'armoire 31 un certain nombre d'interrupteurs à main, dont trois ont été schématiquement indiqués en 40, 41 et 42 dans la fig. 1. On décrira plus loin le fonctionnement de ces interrupteurs 40, 41 et 42, en combinaison avec les circuits de commande (fig. 21a-21e). I1 suffit de noter pour l'instant que l'interrupteur 40 correspond à la sélection de modes, l'interrupteur 41 au nombre de cycles par plateau et l'interrupteur 42 à la sélection des plateaux.
Pour faciliter la compréhension, on décrira très brièvement l'agencement général et le fonctionnement du mécanisme ou appareil A de détecteur et de monte-charge.
Comme le montre la fig. 1, ce mécanisme ou appareil A comporte une embase 44 renfermant deux transducteurs de lumière, tels que des photomultiplicateurs 45, 46, disposés de part et d'autre d'un puits vertical de monte-charge 48. Dans ce puits 48 se déplace la plateforme 50 du monte-charge et qui est destinée à recevoir un échantillon 36 à partir du mécanisme revolver d'avance B et à l'abaisser dans le puits pour l'aligner entre les photomultiplicateurs 45 et 46. Les échantillons 36 peuvent par exemple être constitués par un flacon ou autre récipient approprié renfermant un liquide scintillateur et le ou les isotopes qu'on désire analyser.
Ainsi, lorsque ces isotopes se désintègrent, il se produit des éclairs lumineux dans le liquide scintillateur, à la façon bien connue dans la technique ; ces éclairs sont détectés par les photomultiplicateurs qui engendrent des signaux de réponse sous la forme d'impulsions de tension correspondant à chaque éclair détecté. A la fin d'un cycle de comptage, le monte-charge est remonté de manière à ramener l'échantillon 36 dans le plateau 35 dont il avait été enlevé. Sur l'extrémité supérieure de l'embase 44 est monté un mécanisme obturateur 51 destiné à éviter les signaux parasites des photomultiplicateurs 45, 46 résultant du rayonnement ambiant.
En même temps, l'embase 44 est ellemême faite en une matière protectrice appropriée, telle que le plomb, qui réduit le risque d'apparition d'éclairs soit dans le liquide scintillateur, soit dans les photomultiplicateurs sous l'effet du rayonnement ionisant ambiant.
Pour assurer le déplacement vertical du montecharge en vue d'introduire les échantillons 36 dans le puits 48 et de les en faire sortir, ce monte-charge est accouplé à un moteur réversible M1. Dans l'exemple représenté cela est obtenu en attachant un câble 52 en un point intermédiaire 54 du monte-charge, l'autre extrémité du câble passant sur une poulie folle 55 et sur une poulie 56 montée de façon excentrée sur l'arbre 58 du moteur M1. Un second câble 59 est fixé à l'extrémité inférieure du monte-charge, comme indiqué en 60, ce câble 59 passant lui aussi sur la poulie 55 et sur une seconde poulie 61, également excentrée sur l'arbre 58.
La disposition est telle que, lorsqu'on alimente le moteur M1 pour le faire tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, tel que vu en fig. 1, le câble 59 se déroule de sa poulie 61, tandis qu'en même temps, le câble 52 s'enroule sur sa poulie 56, ce qui fait descendre la plateforme 50 dans le puits 48 avec l'échantillon qu'elle supporte. Bien entendu, le mouvement en sens inverse du moteur M1 déroule le câble 52 et enroule le câble 59 en soulevant ainsi le monte-charge.
Le circuit d'alimentation du moteur M1 comporte un interrupteur limiteur LSl (fig. 1 et 21a), monté sur le bâti du mécanisme A à une position telle que son organe d'actionnement LSla soit déplacé par une rampe latérale 62 montée à l'extrémité inférieure du monte-charge, lorsque ce dernier est à la position abaissée pour laquelle l'échantillon 36 est aligné entre les photomultiplicateurs 45, 46. L'actionnement de l'organe LS1, coupe le moteur M1 en permettant ainsi à l'appareil d'être prêt pour un cycle de comptage.
Un second interrupteur limiteur LS2, inséré dans un autre circuit d'alimentation du moteur M1, est disposé sur le bâti du mécanisme A de détecteur et de monte-charge de manière que son organe d'actionnement LS2a soit repoussé par la rampe 62 lorsque le monte-charge arrive au haut de sa course, l'échantillon 36 ayant alors été ramené au plateau 35 dont il avait été enlevé. Ainsi, l'interrupteur limiteur
LS2 a pour rôle de couper le moteur M1 lorsque le monte-charge arrive à sa fin de course supérieure.
Les circuits d'alimentation propres à provoquer la rotation du moteur M1 dans un sens et dans l'autre seront décrits de façon plus détaillée en liaison avec les circuits de commande représentés dans les fig.
21a-21e.
Dispositif à programme
On décrira maintenant un dispositif à programme indiqué par la référence générale 63 dans la fig. 22 et propre à être utilisé avec des circuits de commande correspondants.
Si l'on se réfère à ladite fig. 22, on notera qu'après qu'un échantillon 36 a été convenablement disposé entre les photomultiplicateurs détecteurs 45, 46, un signal apparaît sur une borne 64 (comme on l'expliquera mieux ci-après) et est amené par un conducteur 65 à un programmateur 66. Ce signal indique qu'un échantillon est prêt pour la mesure.
En réponse à ce signal, le programmateur 66 émet un signal correspondant sur des conducteurs 68 et 69 pour ouvrir une porte 70 et déclencher le fonctionnement d'un appareil à temps 71. Pendant le temps pour lequel ce dernier a été réglé, les impulsions de tension émises par les photomultiplicateurs 45, 46 traversent un amplificateur 72, passent par la porte 70, alors ouverte, pour arriver à un compteur 74. A la fin du temps prévu, l'appareil à temps émet un signal sur les conducteurs 75 et 76 pour respectivement fermer la porte 70 et indiquer au programmateur 66 que le décompte est terminé. En réponse au signal reçu du conducteur 76, le programmateur 66 émet à son tour un signal d'actionnement sur un conducteur 78 aboutissant à un dispositif d'impression 79.
Ce dernier est relié au compteur 74 par une voie 80 et il imprime ainsi sur un ruban de papier ou analogue la valeur affichée par le compteur. Une fois que le dispositif 79 a ainsi effectué sa lecture , le programmateur 66 émet des signaux sur les conducteurs 81 et 82 pour ramener à zéro le compteur 74 et l'appareil à temps 71. Simultanément, ce programmateur 66 envoie en outre un signal à une borne 85 pour indiquer qu'il y a lieu de changer l'échantillon qui se trouve dans un détecteur.
Ainsi qu'on le décrira plus complètement en se référant aux fig. 21a à 21e, il est également prévu d'arrêter un cycle de comptage pour un échantillon déterminé avant la fin du temps fixé par l'appareil à temps 71 au cas où l'opérateur désirerait, par exemple, insérer un nouvel échantillon dans le mécanisme de monte-charge et de détecteur A, ou mettre en place un nouveau plateau 35 dans le mécanisme revolver B. Dans ces conditions, un signal correspondant est reçu sur une borne 86 d'où un conducteur 88 l'amène aux conducteurs 75, 76 précités, afin de fermer la porte 70 et d'indiquer au programmateur 66 qu'il y a lieu d'arrêter le cycle de comptage. Le programmateur 66 répond donc aux signaux appliqués à la borne 86 exactement de la même manière qu'à ceux qui apparaissent sur les conducteurs 75 et 76 à la fin d'un cycle de comptage normal déterminé par l'appareil à temps 71.
Comme le système schématiquement représenté en fig. 22 peut affecter l'une quelconque des nombreuses formes connues dans la technique, il n'y a pas lieu de le figurer ou de le décrire de façon plus détaillée. On comprend cependant que le décomp te imprimé par le dispositif 79 englobe les réponses au rayonnement ambiant susceptible de produire des éclairs dans le liquide scintillateur, ce rayonnement, qui provient de sources extérieures et qu'on peut considérer comme un bruit de fond, venant s'ajouter aux réponses qui résultent du rayonnement de l'échantillon examiné. Toutefois, on peut procéder à une mesure préalable de bruit de fond en l'absence de tout échantillon ou avec un échantillon de radioactivité bien connue.
On peut alors soustraire sa valeur de toutes les mesures subséquentes pour obtenir l'indication de la puissance de rayonnement des échantillons.
Outre le comptage du nombre des réponses des photomultiplicateurs pendant un intervalle de temps donné (opération à temps prédéterminé), l'on peut aussi, à la façon connue, mesurer et enregistrer le temps nécessaire pour l'obtention d'un certain nombre de réponses (opération à nombre prédéterminé).
De plus, et ainsi que la chose est bien connue dans la technique, il serait possible de prévoir un appareil de mesure de la fréquence moyenne qui permettrait d'imprimer le nombre d'éclairs par unité de temps, par exemple par minute. Tous ces systèmes fournissent finalement une indication de la cadence de l'émission radioactive et, par conséquent, de sa puissance.
La description suivante vise un procédé pour diviser un grand nombre de flacons échantillons renfermant un scintillateur liquide et une substance radioactive, en groupes séparés et totalement indépendants les uns des autres, pour transférer ces groupes un à un à la demande à un poste de sélection, pour faire avancer chaque groupe à ce poste pour centrer successivement avec l'appareil détecteur tous les échantillons qu'il renferme, pour mesurer le niveau d'activité radioactive de chaque échantillon, et enfin pour retourner chaque groupe à son point de départ.
L'appareil B (fig. 3 et 6) est propre à recevoir les plateaux d'échantillons suivant un certain ordre, à centrer exactement sur chacun d'eux un point de référence suivant l'axe du mécanisme de montecharge du détecteur, et à déplacer chaque plateau considéré pour centrer successivement tous les échantillons qu'il renferme sur l'axe précité. L'invention concerne encore un dispositif C (fig. 14 et 15) d'emmagasinage et de transfert des plateaux, qui est caractérisé par le fait qu'il peut recevoir un grand nombre de groupes d'échantillons du genre précité, tous ces groupes étant maintenus entièrement indépendants les uns des autres, et pouvant être individuellement et sélectivement transférés sur demande vers un poste revolver qui les présente au détecteur, pour être ramenés ensuite à leur point de départ.
Mécanisme revolver pour le centrage
et l'avance des plateaux
Ce mécanisme a pour objet de centrer un certain nombre de flacons échantillons 36, disposés dans des compartiments individuels prévus sur un plateau porteur. Dans l'exemple représenté, le plateau comprend vingt-quatre compartiments auxquels on a affecté respectivement les références 89-1 à 89-24, comme le montrent bien les fig. 4 à 6. Le plateau 35 est de forme annulaire. I1 comprend une paroi périphérique extérieure 90, une paroi périphérique intérieure 91 et une série de cloisons radiales de liaison 92 qui déterminent ici la succession des compartiments 89-1 à 89-24. Ces compartiments du plateau sont ouverts aux deux bouts, ce qui permet d'introduire les flacons échantillons par le haut du compartiment considéré et de les prélever par le bas.
Mais l'extrémité inférieure de chaque compartiment est normalement obturée par un tiroir 94 fixé à coulissement à la face inférieure du plateau à l'aide d'une série de pinces 95 et de vis 96. Pour permettre le passage à chaque fois d'un flacon échantillon 36 par l'extrémité inférieure du compartiment correspondant, ce tiroir 94 est découpé d'une ouverture 98 de dimensions un peu plus grandes que celles des compartiments.
Le tiroir 94 est monté sur le plateau 35 de façon à pouvoir coulisser librement sur celui-ci, mais il est cependant prévu de le verrouiller à une position fixe pour laquelle celle des cloisons radiales 92 qui sépare les compartiments 89-1 et 89-24 se trouve disposée transversalement au milieu de l'ouverture 98 du tiroir, comme le montre bien la fig. 4. A cet effet, un pêne 99 est monté dans une rainure verticale 100 creusée dans la paroi périphérique intérieure 91 du plateau 35, ce pêne étant articulé audit plateau 35 autour d'un axe horizontal 101 qui le traverse en son milieu.
La partie inférieure du bord du pêne 99 le plus éloigné de l'axe du plateau comporte une entaille 102 et un doigt dépassant 104, l'entaille étant disposée de manière à coopérer avec une entaille correspondante 105 découpée dans le bord intérieur du tiroir 94. A la position verrouillée le doigt 104 dépasse au-dessous de la face inférieure du tiroir 94. L'extrémité supérieure du pêne 99 comporte une oreille 106 qui dépasse radialement vers l'intérieur pour former butée.
Le pêne 99 est normalement rappelé à la position verrouillée par rapport au tiroir 94 (c'est-à-dire à la position pour laquelle les entailles 102 et 105 sont engagées l'une dans l'autre) par le moyen d'une lame de ressort 108 disposée dans la rainure verticale 100, ce ressort tendant à solliciter le pêne à tourner en sens inverse des aiguilles d'une montre (en fig. 5) autour de son axe d'articulation 101. Le ressort 108 a ainsi pour rôle, non seulement de rappeler le tiroir 94 et le plateau 95 à la position verrouillée, mais encore de repousser l'oreille de butée 106 vers l'intérieur par rapport à la paroi intérieure 91 du plateau, en l'amenant ainsi en position utile de fonctionnement.
Il est prévu des moyens pour centrer automatiquement et exactement l'ouverture rectangulaire 98 du tiroir 94 du plateau 35 par rapport à l'axe du puits 48 du monte-charge dans le mécanisme A, ce centrage étant effectué très rapidement lorsqu'un plateau 35 a été déposé au poste revolver correspondant au mécanisme B. A cet effet, et comme le montrent bien les fig. 3 et 6, ledit mécanisme B comporte une table 109 rigidement fixée sur la face supérieure de l'embase 44, par exemple par le moyen d'un certain nombre de vis dont une a été figurée en 110 en fig. 3.
La table 109 supporte à coulissement un chariot 111 libre de se rapprocher ou de s'éloigner de l'axe du puits 48. A cet effet, le chariot 111 est solidaire d'un goujon 112 orienté vers le haut et qui traverse une fenêtre allongée 114 découpée dans la table 109 pour se terminer par une tête 115 présentant un diamètre substantiellement plus grand que la largeur de la fenêtre (fig. 6). La disposition est telle, que le chariot 111 se trouve suspendu à la table 109 par la tête 115, le goujon 112 restant libre d'aller et de venir dans la fenêtre 114.
En fig. 3, le chariot a été représenté à sa position avancée (c'est-à-dire en fin de course vers la droite dans cette figure), il est normalement rappelé vers l'arrière par le moyen d'un ressort 116 dont les deux extrémités sont attachées à des goujons 118 et 119 solidaires des faces inférieures respectives de la table 109 et du chariot 111 à partir desquelles ils dépassent en direction du bas.
Pour faire avancer le chariot 111 en direction de l'axe du puits 48 du monte-charge lorsque la plateforme mobile 38 et ses accessoires sont à leur fin de course de descente (c'est-à-dire à la position représentée en fig. 3), il est prévu un câble 120 rigidement fixé au goujon 119 du chariot et qui part de celui-ci en direction de l'avant (c'est-à-dire de la droite en fig. 3) pour passer sur une poulie de renvoi 121 montée sur des supports 122 (fig. 3 et 7). Les supports 122 sont rigidement fixés à la table 109 et ils dépassent en direction du bas à travers une entaille 124 découpée dans le chariot 111. Ils sont donc fixes par rapport à la table. L'extrémité libre du câble 120 se prolonge en direction de l'arrière à partir de la poulie 121 et passe sur une poulie folle 125 (fig. 3 et 18) articulée sur un des supports 126 solidaires du bâti arrière de l'appareil (fig. 15).
L'extrémité correspondante du câble 120 est rigidement fixée à une traverse 128 (fig. 18) qui dépasse à travers des rainures verticales 129, découpées dans le support 126 et qui est susceptible de se déplacer dans le plan vertical déterminé par lesdites rainures 129. Un poussoir 130, solidaire de la traverse 128 dépasse en direction du haut à partir de celle-ci.
Les choses sont agencées de telle sorte que, lorsque la plateforme mobile 38 descend vers la table 109 (à la position qu'on décrira plus en détail ciaprès), elle vient porter sur le bâti de l'appareil 30, sa face inférieure substantiellement au niveau de la face supérieure de la table. Mais un écrou d'avance 131 (fig. 18) du mécanisme de commande verticale continue à descendre sur sa vis d'actionnement 132, ce dépassement de l'écrou constituant une course supplémentaire . Au cours de cette course, une aile 134 orientée vers l'arrière et rigidement solidaire de l'écrou 131 vient au contact de l'extrémité supérieure du poussoir 130 de façon à abaisser celui-ci à la position représentée en fig. 18.
Pendant cette descente du poussoir 130, celui-ci coopère avec la traverse 128 pour tirer le câble 120 vers l'arrière à l'encontre de l'action normale de rappel du ressort 116. Ce déplacement du câble entraîne le chariot 111 vers l'avant, c'est-à-dire vers l'axe du puits du monte-charge.
I1 est prévu, en liaison avec cette avance du chariot 111, d'établir un dispositif à trois points pour centrer exactement le plateau 35 sur la plateforme 38, en dépit de tout désaxage accidentel qui aurait pu se produire lors de la mise en place du plateau sur celle-ci. A cet effet, le chariot 111 est rigidement solidaire d'un sabot de centrage 135, préférablement établi en une matière résistant à l'usure, telle par exemple que le nylon, la fixation en place de ce sabot étant assurée par un certain nombre de vis 136 (fig. 12), qui traversent des fenêtres 138 découpées dans la table 109.
De cette manière, lorsque le chariot 111 s'avance vers l'axe du puits de montecharge, le sabot de nylon 135 s'avance avec lui et son bord avant incurvé 139 (fig. 3), vient au contact d'une surface ou portée périphérique intérieure 140 prévue sur la paroi intérieure 91 du plateau 35 (fig.
3 et 5) en déterminant ainsi l'un des trois points de centrage.
Pour compléter ce dispositif de centrage en trois points du plateau 35 sur la plateforme 38, le mécanisme revolver d'avance B représenté à titre d'exemple comporte deux galets 141, 142, associés au chariot 111 de manière telle qu'ils soient amenés en contact roulant intime avec la surface de portée 140 du plateau. Les galets 141, 142 sont montés dans ce but sur des leviers coudés, respectivement 144, 145 articulés contre la face inférieure de la table 109, comme indiqué respectievment en 146, 148 (fig. 6 et 7). Ces leviers sont normalement sollicités autour de leurs axes respectifs par des ressorts 149, 150 fixés au voisinage de l'extrémité de chacun d'eux, comme indiqué en 151, 152. Les extrémités opposées de ces ressorts sont attachées à des goujons 154-155 orientés vers le bas à partir de la table 109.
Ainsi, les ressorts 149, 150 tendent à solliciter les galets vers l'extérieur pour les amener en contact avec la surface de portée 140 du plateau 35.
I1 est encore prévu des moyens pour n'autoriser le déplacement des galets 141, 142 en direction de l'extérieur, que lors de l'avance du chariot 111. Dans l'exemple représenté, deux goujons de retenue 156, 158, orientés en direction du bas, sont rigidement fixés au chariot 111, ces goujons étant disposés de manière à venir au contact des extrémités des leviers coudés 144, 145 sur lesquels agissent les ressorts, à l'effet de commander le mouvement desdits leviers et, par conséquent, celui des galets. Lorsque l'écrou d'avance 131 (fig. 18) exécute sa course supplémentaire, le chariot 111 est entraîné vers l'avant à la facon sus décrite, de manière à amener la face incurvée 139 du sabot 135 au contact de la surface de portée 140 du plateau 35.
En même temps, les ressorts 149, 150 tendent à faire tourner les leviers coudés 144, 145 autour de leurs axes respectifs de façon à repousser les galets 141, 142 contre la surface de portée 140 en réalisant ainsi le centrage en trois points nécessaires pour amener exactement le plateau 35 sur l'axe voulu. Si l'on considère la fig. 3, on peut noter que les galets et le sabot 135 comnortent un mentonnet dépassant 159, biseauté en direction de l'extérieur et agencé de manière à venir chevaucher une surface annulaire biseautée 160 prévue sur la paroi intérieure 91 du plateau 35. De cette manière, le mécanisme de centrage à trois points n'assure pas seulement la mise en place exacte du plateau 35 pour que celui-ci puisse tourner autour d'un axe prédéterminé, mais il empêche en tourne, il tend à faire basculer le bras dans le même sens.
Comme le montre bien la fig. 11, le bras 184 supporte rigidement un manchon tubulaire 189, orienté en direction du haut et dans lequel est monté à rotation un arbre 190 qui porte à son extrémité supérieure le galet de friction 170. L'extrémité inférieure de l'arbre 190 est clavetée dans l'engrenage de sortie 175, lequel tend à agir à la façon d'un satellite tournant autour de l'engrenage 174 formant planétaire central. La disposition est telle que lorsque le moteur
M2 est mis en fonctionnement, l'engrenage planétaire 174 est entraîné en sens inverse des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 6) par le train 171, 172, 173.
A ce moment, le bras 184 est entraîné par friction avec ledit engrenage planétaire 174 autour de l'axe de celui-ci, en entraînant avec lui le manchon 189, l'arbre 190 et le galet 170, tout cet ensemble tournant en sens inverse des aiguilles d'une montre autour de l'engrenage planétaire. En même temps, comme cet engrenage et le satellite 175 sont en engrènement direct, ce dernier est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre avec le galet 170. On notera en fig. 6 et 11, que le manchon 189 traverse une rainure 191 découpée dans la table 109 et passe en outre dans l'ouverture 161 de la plateforme 38.
Par conséquent, lorsque le bras bascule en sens inverse des aiguilles d'une montre autour de l'axe de l'engrenage planétaire 174, le galet de friction 70 (qui tourne dans le sens des aiguilles d'une montre) se déplace en direction de l'extérieur pour venir porter sur la surface 140 prévue sur la paroi intérieure du plateau. Ce contact arrête le déplacement planétaire de l'engrenage 175 et du bras 184 en sens inverse des aiguilles d'une montre. Mais le frottement entre la face supérieure de l'engrenage planétaire 174 et le bras 184, tel qu'il est assuré par la rondelle 182 et le ressort 185, maintient le galet de friction 170 en contact étroit avec le plateau 35.
Comme ce galet 170 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, le plateau se met à tourner dans le même sens en entraînant avec lui le tiroir 94, jusqu'à amener l'ouverture 98 de celui-ci sur l'axe des ouvertures respectives 166, 168 de la plateforme 38 et de la table 109.
I1 est encore prévu un dispositif de positionnement des plateaux, indiqué par la référence générale 192 en fig. 8, et dont le rôle consiste à arrêter la rotation du plateau 35 lorsque l'ouverture 98 du tiroir est centrée par rapport à l'axe du puits de montecharge 48 du mécanisme A. Dans la forme d'exécution représentée, ce mécanisme comprend un goujon de positionnement 193 (fig. 8 et 12) monté à coulissement dans une fenêtre 194 découpée dans le sabot de nylon 135, ce goujon étant destiné à être entraîné en direction de l'avant pour venir s'enclencher dans l'un des quarante-huit creux 195 déterminés par une denture 196 prévue sur la paroi intérieure 91 du plateau.
Le goujon de positionnement 193 est normalement retenu à sa position arrière effacée par le moyen d'une biellette 198 articulée en 199 sur la table 109, cette biellette comportant une encoche 200 propre à recevoir un goujon vertical 201 solidaire du goujon de positionnement 193. Le goujon 201 passe en direction du haut dans une fenêtre allongée 202 découpée dans le sabot 135, ce qui permet ainsi le mouvement de coulissement des deux goujons 193 et 201 dans les fenêtres respectives 194, 202.
Pour dégager le goujon vertical 201 de l'encoche 200, il est prévu des moyens propres à faire basculer la biellette 198 dans le sens des aiguilles d'une montre, autour de son articulation 199 lorsque le plateau 35 atteint une position de référence prédéterminée.
Dans l'exemple représenté, ces moyens comportent une biellette 204 articulée sur le sabot de nylon 135 au voisinage de la pointe de celui-ci et qui est reliée à la biellette de retenue 198 par le moyen d'un goujon 206 solidaire de cette dernière, ce goujon étant orienté en direction du haut pour traverser une fenêtre allongée 208 découpée dans la biellette 204.
Sur la dite biellette 204 et au vosinage de sa périphérie, est monté un cliquet 209 articulé en 210, ce cliquet étant rappelé à sa position arrêt par le moyen d'un ressort 211 attaché à des goujons 212, 214 respectivement fixés à la biellette 204 et au cliquet 209. Comme le montre bien la fig. 12, le goujon 214 se prolonge en direction du bas au-dessous de la biellette 204, de sorte que le ressort 211 tend à solliciter ledit goujon contre le bord de cette biellette.
Les fig. 8 et 12 montrent bien que le goujon 2C9 est disposé de façon telle que, lorsque le plateau 35 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, ledit cliquet est frappé par l'oreille 106, prévue sur le pêne de verrouillage 99 du tiroir. Par conséquent, à partir de ce moment, la rotation du plateau sous l'action du galet de friction 170 fait basculer le cliquet d'arrêt 209 et la biellette 204 de la position en traits pleins en fig. 8 à celle indiquée en traits mixtes en 209', 204' sur cette même figure.
Cela a pour effet de faire tourner la biellette de retenue 198 dans le sens des aiguilles d'une montre autour de son axe 199 grâce à l'interaction du goujon 206 et de la fenêtre 208, cette rotation s'effectuant à l'encontre de la réaction d'un ressort de rappel 215 dont les extrémités sont attachées à des goujons 216-218, respectivement montés sur la table 109 et sur ladite biellette 198. Du fait de cette rotation des biellettes 204, 198, le goujon vertical 201 est libéré de l'encoche 200 découpée dans la biellette 198, ce qui permet au goujon de positionnement 193 de s'avancer pour s'engager dans un creux 195 (fig. 9) du plateau.
I1 est prévu des moyens pour enfoncer positivement ce goujon de positionnement 193 dans le creux 195 qui lui fait face sur le plateau en vue d'arrêter la rotation de ce dernier. A cet effet, le goujon vertical 201 est disposé entre les branches d'une fourche 219 solidaire d'une biellette 220 articulée en 221 sur la table 109. La biellette 220 est normalement sollicitée en sens inverse des aiguilles d'une montre (telle que vue en fig. 8) autour de son axe 221 par le moyen d'un ressort 222, dont les extrémités sont respectivement attachées au goujon 216 et à un autre goujon 224 solidaire de la biellette 220.
Ainsi qu'on peut le voir en fig. 12, la fourche 219 de la biellette 220 est reçue dans une rainure transversale 226 découpée dans le bloc de nylon 135 et peut glisser dans celle-ci sous l'action du ressort 222 lorsque le goujon 201 est libéré de l'entaille 200.
n résulte de l'agencement susdécrit que, lorsque le plateau 35 est entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre par le galet de friction 170, l'oreille 106 du pêne de verrouillage 99 bute contre le cliquet d'arrêt 209 à la position relative représentée en traits pleins en fig. 8.
Le mouvement de rotation se poursuit sur quelques degrés supplémentaires en faisant passer le levier 204 à la position 204', ce qui libère le goujon 201 de l'encoche 200; le ressort 222 entraîne alors la fourche 219 en sens inverse des aiguilles d'une montre autour de l'axe 221 en faisant ainsi avancer le goujon de positionnement 193 dans le creux 195 du plateau qui se trouve en face de lui (comme indiqué par le tracé en traits pleins représenté en fig. 9). A cette position, le goujon vertical 201 est libre de coulisser sur le bord 228 de la biellette de retenue 198.
A mesure que la biellette 220 pivote, une oreille 229 (fig. 8, 9 et 12), orientée vers le bas et dont elle est solidaire dégage le bouton MSla du micro-interrupteur MS1 en coupant ainsi le circuit d'alimentation du moteur M2 et en arrêtant la rotation du galet de friction 170.
il est encore prévu des moyens pour verrouiller le tiroir 94 du plateau 35 à la position pour laquelle son ouverture 98 est centrée par rapport à l'axe vertical du puits de monte-charge 48. A cet effet, la face inférieure du tiroir 94 est solidaire d'un goujon de verrouillage 230 orienté en direction du bas.
Un dé 231, découpé d'une entaille réceptrice 232, est rigidement monté sur un bras 234 articulé en 235 sur la face inférieure de la table 109, ce dé 231 traversant en direction du haut une ouverture 236 (fig. 7), découpée dans ladite table, ainsi que l'ouverture 165 (fig. 14) découpée dans la plateforme 38 et alignée avec la précédente. Pour amener le dé 231 à sa position effacée, le bras 234 est goupillé en 238 à l'armature 239 d'un électro-aimant S1 qui le retient à ladite position à l'encontre de l'action de rappel d'un ressort 240, dont une extrémité est attachée à la goupille 238, l'autre s'accrochant à un goujon 241 solidaire de la table 109.
Comme on le décrira avec plus de détails en parlant du fonctionnement du circuit de commande, l'agencement précité est tel que lorsque le bouton MSla du micro-interrupteur MS1 est libéré pour couper le moteur M2 d'entraînement du galet 170, l'électro-aimant S1 est également coupé en permettant ainsi au ressort 240 de faire tourner le bras 234 en sens inverse des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 8 et 9) pour passer de la position effacée (fig. 8) à celle pour laquelle le goujon 230 du tiroir 94 est engagé dans l'entaille 232 du dé (fig. 9), ce qui arrête positivement la rotation du tiroir.
Dans le cas d'un léger défaut de centrage entre le goujon 230 de l'entaille 232, des rampes 242 découpées dans le dé 231 à l'entrée de ladite entaille, permettent de déplacer le tiroir 94 d'un angle suffisant pour permettre à ce dé de s'engager sur le goujon 230. Simultanément, le bord vertical 244 du dé 231 vient au contact du doigt radial dépassant 104 prévu à l'extrémité inférieure du pêne de verrouillage 99 du tiroir (fig. 5 et 8), en faisant ainsi pivoter ce pêne dans le sens des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 5) autour de son axe d'articulation 101 et à l'encontre de la réaction de la lame de ressort 108.
Cela a pour résultat de dégager l'entaille 102 dudit pêne 99 de celle 105 découpée dans le tiroir en libérant ainsi le plateau 35, pour permettre son mouvement d'avance angulaire par rapport au tiroir luimême. Lorsque le plateau reçoit la première phase d'avance (à la façon qu'on décrira ci-après), le doigt 104 est libéré de son contact avec le bord 244 du dé de verrouillage 231 et, par conséquent, le ressort 108 repousse à nouveau le pêne 99 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig.
5), de sorte que l'entaille 102 dudit pêne chevauche alors la partie non découpée du bord périphérique intérieur du tiroir 94.
L'appareil comprend un mécanisme propre à faire avancer le plateau 35 suivant des déplacements angulaires correspondant au pas P de la denture 196 prévue à l'intérieur du plateau 35 (cette avance angulaire correspondant à la moitié de la distance qui sépare les axes de deux compartiments adjacents sur le plateau), le tout de façon à amener l'axe du compartiment 89-1 sur l'alignement de l'axe du puits de monte-charge 48, puis à faire à nouveau avancer ce plateau par saccades angulaires successives correspondant à deux fois le pas de denture, soit 2P. Le plateau passe ainsi par une suite de positions permettant la sortie par gravité des flacons échantillons renfermés par les compartiments 89-1 à 89-24.
Lorsque le vingt-quatrième échantillon a été traité et a été ramené dans son compartiment 89-24, le plateau 35 est à nouveau avancé d'un angle correspondant au pas P de la denture 196. Ce mouvement d'avance du plateau 35 est assuré par un mécanisme désigné par la référence générale 248 en fig. 9 et 10. Ce mécanisme d'avancement 248 comporte à cet effet un goujon d'entraînement 249 monté sur la face supérieure d'un plateau 250 lui-même porté à rotation par un bout d'arbre 251 rigidement fixé sur la face supérieure de l'embase 44 à partir de laquelle il dépasse en direction du haut. La came et le goujon traversent une ouverture 252 découpée dans la table 109, ainsi que l'ouverture 163 (fig. 14) prévue dans la plateforme 38.
Le goujon 249 est entraîné suivant un parcours circulaire autour de l'axe déterminé par le bout d'arbre 251, de façon à pénétrer successivement dans les quarante-huit creux 195 de la denture du plateau 35 pour faire avancer angulairement celui-ci à la façon d'un mécanisme à croix de Malte.
A cet effet sur le moyeu 254 du plateau 250 est rigidement fixée une roue dentée 255, reliée à une autre roue 256 calée sur l'arbre de sortie 258 d'un moteur
M3, la liaison étant assurée par une chaîne 259. Dans l'exemple représenté, les roues dentées 255, 256 sont dimensionnées respectivement de manière telle que le goujon 249 et le plateau 250 effectuent deux tours complets pour chaque tour de l'arbre moteur 258. Ainsi que le montrent bien les fig. 7 et 10, ce moteur M3 est rigidement fixé sous un socle 260, lui-même attaché à la face inférieure de la table 109 par le moyen d'un certain nombre d'entretoises 261 et de vis 262.
Le circuit d'alimentation du moteur M3 (et qu'on décrira plus en détails en référence aux figures 21a21e) comprend le micro-interrupteur MS1, ainsi que deux autres micro-interrupteurs MS2, MS3 (fig. 10), respectivement montés sur des consoles 264, 265 solidaires du socle 260 précité. Toutefois, pour comprendre la liaison qui existe entre les diverses pièces, il convient d'observer qu'en fig. 10 le bouton
MSAa du micro-interrupteur MS2 est repoussé une fois au cours de chaque tour de l'arbre 258 du moteur M3 par une came 266 qui dépasse radialement du moyeu 268 de la roue dentée d'entraînement (roue de chaîne) 256. Cela a pour résultat de couper le circuit d'alimentation du moteur M3 après chaque tour complet de cette roue 256.
Donc, lorsque le vingt-quatrième échantillon a été retourné au compartiment 89-24 et que le plateau 35 est prêt à être enlevé de la table 109, il convient de prévoir d'arrêter la rotation de l'arbre 258 du moteur M3 à la fin d'un simple demi-tour (c'est-à-dire lorsque la came 266 est déphasée de 1800 par rapport au bouton MS2 du micro-interrupteur MS2), ceci dans le but d'assurer que le goujon d'entraînement 249 n'exécute qu'un tour complet pour faire avancer le plateau 35 d'un angle correspondant au pas P de la denture 196 prévue sur sa paroi intérieure 91. De cette manière, le mouvement d'avance du plateau s'arrête lorsque sa paroi radiale 92 séparant les compartiments 89-1 et 89-24 est centrée sur l'axe du puits de montecharge 48.
A cet effet, une roue d'engrenage 269, calée sur l'arbre moteur 258, constitue l'entrée d'un train 269, 270, 271 et 272, les engrenages 270 et 271 étant rigidement solidaires en rotation autour d'un arbre 274 qui dépasse en direction du haut à partir du socle de support 260. Dans l'exemple figuré, l'engrenage de sortie 272 est calé sur un arbre 275 accouplé avec un commutateur circulaire 276 monté sous le socle 260. Cet interrupteur 276 joue dans le circuit de commande (à la façon qu'on décrira plus loin en liaison avec ce circuit lui-même), le rôle de mémoire indiquant continuellement l'échantillon particulier soumis à l'opération de comptage.
Le train d'engrenages 269, 270, 271, 272 est prévu pour as
surer une démultiplication de 24 à 1, de sorte que l'engrenage 272 ne fait qu'un seul tour complet pour vingt-quatre tours de l'arbre moteur 258, c'est-à-dire, évidemment, pour quarante-huit tours du goujon d'entraînement 249. Ainsi une came 278 montée sur ledit engrenage 272 vient actionner le bouton MS3a du micro-interrupteur MS3 une fois au cours de chaque tour dudit engrenage 272 et, par conséquent, une fois tous les vingt-quatre tours de l'arbre 258 du moteur M3. A ce moment, le moteur M3 est coupé.
Les explications ci-dessus font bien comprendre qu'en disposant les micro-interrupteurs MS2 et MS3 ainsi que leurs cames d'actionnement respectives 266, 278 de manière telle qu'elles soient actionnées avec un déphasage de 1800 tous les vingt-quatre tours, on assure la coupure du circuit d'alimentation du moteur
M3 lorsque les compartiments 89-1 et 89-24 du plateau 35 sont symétriquement disposés de part et d'autre de l'axe du puits de monte-charge, c'est-àdire lorsque le plateau est revenu, par rapport au tiroir 94, à la position qu'il occupait avant que son mouvement ne commence. Il en résulte que le plateau et le tiroir sont alors à la position voulue pour être déverrouillés par le pêne 99 (fig. 5).
Pour permettre le mouvement d'avance ci-dessus, il convient de prévoir de dégager le goujon de positionnement 193 au creux correspondant 195 de la denture 196 duplateau 35 lorsque celui-ci est entraîné par le goujon 249. A cet effet, et comme le montre bien la fig. 9, le plateau 250 qui supporte ce goujon, comporte d'autre part sur sa périphérie, une came 279 agencée de manière à coopérer avec une pièce 280, orientée en direction du bas et fixée à l'oreille 229 de la biellette 220 (fig. 9 et 12), et cela une fois au cours de chaque tour du goujon d'entraînement 249.
Les choses sont disposées de manière que lorsque la came 279 du plateau 250 se déplace en fig. 9 de la position en traits pleins à celle en traits interrompus 279', elle vient au contact de la pièce 280 et fait tourner la biellette 220 dans le sens des aiguilles d'une montre (telle que vue en fig. 9) autour de l'axe d'articulation 221 et à l'encontre du ressort de rappel 222, ce qui a pour effet de dégager le goujon de positionnement 193 du creux 195 du plateau sous l'effet de la fourche 219 de ladite biellette 220 et du goujon vertical 201 associé au goujon 193 précité. Toutefois, la hauteur radiale de la came, bien que suffisante pour dégager entièrement le goujon 193 par rapport au plateau 35, ne l'est pas pour ramener le goujon vertical 201 dans l'encoche 200 de la biellette 198. On notera à ce sujet en fig.
9, que le goujon 201 ne recule que jusqu'à un point 201' où il glisse encore sur le bord 228 de la biellette de verrouillage 198, de sorte que le dispositif de positionnement 192 reste déclenché . Bien entendu en même temps que la came agit ainsi pour dégager le goujon 193 du plateau 35, le goujon d'entraînement 249 se déplace en fig. 9 de la position en traits pleins à la position en traits interrompus 249' en pénétrant ainsi dans l'un des creux 195 pour amorcer le mouvement d'avance angulaire du plateau.
Lorsque ce goujon fait un tour complet en par tant de la position en traits pleins de la fig. 9 pour y revenir, le plateau 35 se déplace d'un angle qui correspond au pas P de la denture 196, cependant que le goujon de positionnement 193 sort d'un creux
195 pour revenir s'engager dans le creux suivant.
Comme la came 266 (fig. 10) du moyeu 268 de la roue de chaîne 256 est décalée de 1800 par rapport au bouton MS2a du micro-interrupteur MS2 et comme l'arbre moteur 258 ne fait qu'un demi-tour lorsque le goujon d'entraînement 249 en fait un complet, cette came 266 va maintenant actionner le bouton
MS2a et le moteur M3 va être coupé.
Pendant le cycle d'avance ci-dessus l'échantillon disposé dans le compartiment 89-1 glisse sur le tiroir 94, alors verrouillé, et lorsque le moteur M3 est coupé (c'est-à-dire quand la came 266 agit sur le bouton MS2a), cet échantillon se trouve situé sur le plateau 50 du mécanisme A de détection et de montecharge (fig. 1). Lors de cette coupure du moteur M3 il s'établit automatiquement un circuit d'alimentation du moteur M1 associé au mécanisme A, de sorte que l'échantillon est abaissé à la position de comptage entre les transducteurs de lumière 45, 46. Lorsque l'opération de comptage est terminée, le signal qui apparaît sur la borne 85 (fig. 22) remet en marche le moteur M1 et soulève la colonne 49 du monte-charge pour ramener le premier échantillon dans le compartiment 89-1.
Ainsi qu'on l'a décrit plus haut, lorsque le monte-charge atteint sa fin de course supérieure, le rebord 62 agit sur l'organe d'actionnement LS2a de l'interrupteur limiteur LS2 pour couper le moteur M1. Simultanément le circuit du moteur d'avance M3 se referme pour entraîner le plateau dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 9) et pour amener ainsi le compartiment 89-2 sur l'axe du puits 48 du montecharge.
Lorsque le moteur d'avance M3 est à nouveau mis en marche, comme décrit ci-dessus, la came 266 de la roue de chaîne 256 (fig. 10) exécute un tour complet avant de revenir au contact du bouton d'actionnement MS2a. Par conséquent le goujon d'entraînement 249 effectue deux tours complets en faisant avancer le plateau 35 d'un angle correspondant à deux fois le pas de la denture 196, soit 2P. Au cours de ce cycle de fonctionnement le goujon de positionnement 193 recule deux fois de manière à s'engager successivement dans deux creux 195 de la denture.
De cette façon le plateau 35 est avancé pour amener successivement les compartiments 89-2 à 89-24 au droit du puits de monte-charge 48. Bien entendu, lorsque le dernier échantillon est ramené à son compartiment, le plateau 35 n'avance que d'un angle correspondant au pas P de la denture pour que le plateau se retrouve à sa position initiale représentée en fig. 9.
Pendant tout ce cycle d'avance du plateau 35 l'électro-aimant S1 reste coupé étant donné que la biellette 220 n'est jamais suffisamment repoussée vers l'arrière pour actionner le bouton MS1a du microinterrupteur MS1. Par conséquent le tiroir 94 du plateau reste verrouillé à une position fixe pour laquelle son ouverture 98 coïncide avec l'axe du puits du monte-charge, en permettant ainsi aux échantillons successifs d'être abaissés les uns après les autres dans le détecteur A par le monte-charge (fig. 1).
1l est prévu d'enlever le plateau 35 du mécanisme d'avance B lorsque le dernier échantillon a été ramené à son compartiment respectif et que ce plateau se trouve lui-même à la position représentée en fig. 9. A cet effet, lorsque le plateau 35 a été ramené à la position pour laquelle la paroi radiale 92 qui sépare les compartiments 89-1 et 89-24 se trouve sur l'axe du puits de monte-charge 48, le microinterrupteur MS3 agit non seulement pour couper le circuit du moteur d'avance M3, à la façon susdécrite, mais pour fermer en outre un circuit d'alimentation du dispositif à course verticale associé au mécanisme C d'emmagasinage et de transfert (le tout à la façon qu'on décrira plus loin en référence aux fig.
21a-21e). Lorsque cela se produit, l'écrou 131 (fig.
18) commence à se déplacer en direction du haut sur sa vis 132 qui est alors entraînée en rotation. Cette montée de l'écrou 131 provoque celle de l'aile 134 qui lui est associée, ce qui donne du mou au câble 120 et permet au ressort 116 (fig. 3) de ramener le chariot 111 en arrière. Lorsque ce chariot recule, le sabot de nylon 135 s'écarte de la surface de portée 140 du plateau 35. En même temps, les goujons de retenue 156, 158 (fig. 7) dudit chariot 111 agissent sur les extrémités des leviers coudés 144, 145 pour faire pivoter ces derniers à l'encontre de la réaction des ressorts 149, 150 et pour repousser vers l'intérieur les galets de centrage 141,142 qui se dégagent ainsi du plateau 35.
Un bras dépassant 281 solidaire du levier 144 vient buter contre le manchon tubulaire 189 du mécanisme d'entraînement à friction 169 (fig. 6, 7 et 11) en repoussant le galet 170 et le bras 184 vers l'intérieur, c'est-à-dire en les effaçant par rapport au plateau 35.
Le chariot 111 poursuivant son mouvement vers l'arrière sous l'action du ressort 116, le goujon vertical 201 (fig. 8 et 9) vient au contact du sabot de nylon 135 au voisinage de la fenêtre 202 découpée dans celui-ci, de sorte que ledit goujon 201 recule sur le bord 228 de la biellette 198. En même temps, comme ce goujon 201 est solidaire du goujon de positionnement 193 et est donc mécaniquement relié à la fourche 219 de la biellette 220, ledit goujon 193 est dégagé du plateau 35, la biellette 220 tournant dans le sens des aiguilles d'une montre (telle que vue en fig. 8 et 9) autour de son axe 221 à l'encontre de l'action de rappel du ressort 222. La suite du mouvement de recul du chariot 111 et du sabot 135 a pour effet de ramener la partie dépassante du goujon 201 au droit de l'encoche 200 découpée dans la biellette 198.
A ce moment, le ressort 215 déplace brusquement la biellette de verrouillage 198 en sens inverse des aiguilles d'une montre autour de son axe 199, en ramenant le goujon 201 dans l'encoche et en enclenchant ainsi le dispositif de positionnement 192, lequel est ramené à la position en traits pleins représentée en fig. 8. Par conséquent, le bouton MSla du micro-interrupteur MS1 est à nouveau actionné par l'oreille 229 de la biellette 220 en fermant le circuit d'alimentation de l'électro-aimant S1. Lorsque cela se produit, l'armature 239 de cet électroaimant recule en faisant tourner le bras 234 dans le sens des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 9) autour de son axe 235 pour l'amener à la position représentée en fig. 8.
Lorsque ce bras 234 recule, le dé de verrouillage 231 se dégage du goujon 230 du tiroir et du doigt 104 du pêne 99 en permettant ainsi à ce dernier de se déplacer en sens inverse des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 5) autour de son point d'articulation 101 pour engager l'une dans l'autre les entailles 102, 105 respectivement découpées dans le pêne 99 et dans le tiroir 94. Le plateau 35 est alors libre de tout enclenchement avec les diverses pièces du mécanisme B d'avance et de centrage et il est libre de monter avec la plateforme 38 lorsque l'écrou 131 (fig. 18) poursuit son ascension sur la vis 132.
Pour achever d'établir le mécanisme automatique de changement d'échantillon, il est prévu dans l'appareil figuré des moyens propres à détecter la présence ou l'absence de flacons 36 dans les compartiments 89-1 à 89-24 et pour réaliser plusieurs phases d'avance successives au droit des compartiments ne renfermant pas de flacon. A cet effet, un levier tâteur 282 (fig. 8 et 13) est articulé sur la table 139, comme indiqué en 284. Ce levier 282 comporte une partie décalée 285 formant détecteur de flacons et qui est propre à glisser contre la face extérieure 286 de la paroi extérieure 90 du plateau 35. Comme le montrent bien les fig. 5, 9 et 13, cette paroi extérieure 90 du plateau comporte des découpures 288 au voisinage de son bord inférieur, chacune étant associée à l'un des compartiments 89-1 à 89-24.
Ces découpures traversent entièrement la paroi 90 et débouchent à l'intérieur des compartiments respectifs. Le levier 282 est chargé par un ressort 289 dont les extrémités prennent appui sur ledit levier 282 et sur la table 109, comme indiqué respectivement en 290 et 291.
Ainsi, lorsque le plateau 35 avance, la partie détectrice 285 du levier 282 court sur la face extérieure 286 de la paroi 90, comme indiqué en traits interrompus en 282' en fig. 9. Lorsque le plateau s'arrête, la partie 285 du levier 282 s'engage dans une découpure 288 sous l'effet du ressort 289 ; si le compartiment correspondant renferme un flacon 36, cette partie 285 bute contre celui-ci et occupe ainsi la position en traits pleins en fig. 9. Au contraire, si le compartiment ne renferme pas de flacon, le levier tâteur s'y enfonce davantage en tournant d'un plus grand angle autour de son pivot 284. Ce déplacement angulaire supplémentaire qui correspond à un compartiment vide, est détecté par un micro-interrupteur MS4 dont le bouton MS4a coopère avec une patte d'actionnement 292 solidaire du levier 282.
En fig. 9, on comprend que la partie détectrice 285 du levier 282 est centrée par rapport à l'une des découpures 288 au moment où deux compartiments adjacents du plateau 35 sont disposés symétriquement par rapport à l'axe du puits du monte-charge, c'est-à-dire juste avant l'instant où le compartiment considéré se trouve au droit de l'ouverture 98 du tiroir 94. I1 est prévu des moyens pour assurer que le mécanisme tâteur de flacons soit mis hors d'action à tout moment autre que celui où la partie détectrice 285 du levier 282 est exactement alignée avec le centre d'une découpure 288 du plateau, afin qu'on soit certain que la paroi 90 de celui-ci ne donne pas lieu à l'émission d'un signal erroné flacon présent .
Bien que le fonctionnement du circuit détecteur de flacons soit décrit avec plus de détails en même temps que le circuit de commande des fig. 21a à 21e, on se référera ici à la fig. 10 dans laquelle on peut le sens. des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig.
6) et un mécanisme d'avance indiqué par la référence 248 (fig. 10) faisant tourner ce plateau en sens inverse des aiguilles d'une montre, on pourrait employer d'autres dispositifs sans pour autant sortir de l'esprit et du domaine de l'envention. Pour prendre un simple exemple, il serait parfaitement possible d'employer un mécanisme tel que 169 qui tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre et un mécanisme d'avance 248 tournant au contraire dans le sens des aiguilles d'une montre. En variante, et moyennant mise en oeuvre d'engrenage appropriés, les deux mécanismes pourraient être entraînés dans le même sens. De telles modifications n'exigeraient que de minimes modifications aux positions relatives du cliquet d'arrêt 209 (fig. 8) et du pêne 99.
Mécanisme de magasinage et de transfert
Pour permettre d'emmagasiner un grand nombre de plateaux 35 portant des échantillons 36, les rayonnages gauche et droite 32 et 34 de fig. 1, comprennent chacun dix rayons, qu'on a désigné par les références 32a-32j et 34a-34j, respectivement. Bien entendu, l'on comprendra au cours de la description ciaprès, qu'on pourrait disposer n'importe quel nombre n de rayons dans lesdits rayonnages 32, 34, le nombre maximal n'étant limité que par la hauteur des plateaux 35 de flacons 36 et par les limites pratiques normalement imposées. En outre, le mécanisme C pourrait lui-même comporter un nombre m de rayonnages autre que deux, comme représenté en 32, 34 dans l'appareil 30.
En fig. 1 à 15, les rayons 32a-32j et 34a-34j de l'appareil figuré, sont maintenus à l'écartement voulu par des tirants verticaux et par des entretoises 301, les tirants traversant un bâti inférieur 302, tous les rayons des rayonnages 32, 34 et enfin un bâti supérieur 304. Les entretoises 301, disposées sur les tirants 300 sont interposées entre les rayons successifs. Tout l'ensemble est serré par le moyen d'écrous 305 vissés sur les deux extrémités des tirants 300.
Dans le présent cas, on utilise deux tirants 300 pour chaque rayonnage 32, 34. Pour faciliter la mise en place et l'enlèvement des plateaux 35 d'échantillons 36 par rapport aux rayons, le bord intérieur de chacun de ces derniers est entaillé, comme indiqué en 306 en fig. 2 et 14. De cette manière, l'opérateur est a même de saisir rapidement le plateau considéré pour l'enlever du rayon. Un guide 308, solidaire du bord arrière extérieur des rayons, dépasse légèrement au-dessus du niveau de chacun d'eux pour centrer exactement les plateaux 35.
l1 est prévu des moyens pour ramener chaque plateau 35 du mécanisme d'avance B à l'étage qui lui correspond et sur le rayon à partir duquel il avait été enlevé, ainsi que pour transférer un plateau de son rayon et de son étage audit mécanisme d'avance B.
A cet effet, la plateforme mobile 38 est portée par un chariot 309 (fig. 18 et 19) propre à monter et à descendre sur deux barres de guidage verticales parallèles 310-311 rigidement fixées au bâti de l'appareil par leurs extrémités supérieure et inférieure. Pour assurer le déplacement vertical du chariot 39, ce dernier comporte une partie centrale creusée 312, de forme rectangulaire, formant logement, propre à recevoir l'écrou 131. Pour loger la vis d'avance verticale 132, le haut et le bas du chariot 309 sont découpés d'alésages 314 (fig. 18). La disposition est telle que lorsqu'on fait tourner la vis 132, l'écrou 131 se déplace verticalement sur celleci. Par conséquent, lorsque cet écrou monte à partir de sa position de la fig. 18, sa face supérieure 315 vient buter contre la paroi supérieure 316 du logement 312.
La poursuite du mouvement ascendant de l'écrou 131 élève donc le chariot 309 sur les barres de guidage 310, 311. Bien entendu, lorsque l'on fait descendre l'écrou 131, le chariot 309 descend également du fait qu'il est supporté par les faces ou parois en butée 315, 316 respectivement prévues sur l'écrou et sur le chariot. En fait, et comme le montrent bien les fig. 15 et 16, la face supérieure 315 de l'écrou 131 et la paroi supérieure 316 du logement 312 du chariot 309 sont rappelées l'une contre l'autre par deux ressorts 318, 319, respectivement attachés par leurs extrémités supérieures au chariot et par leurs extrémités inférieures à l'aile 134 utilisée pour entraîner le poussoir. 130 en direction du bas.
Si l'on considère les fig. 3 et 18, on remarque que la plateforme 38 est entraînée et rigidement supportée par deux bâtis (dont l'un a été figuré en 320), qui dépassent vers l'avant à partir d'une pièce en T 321 rigidement solidaire du chariot 309.
En vue de réaliser le déplacement vertical de l'écrou 131, et par onséelue : lt du chariot 3 ;)-. I ex- trémité supérieure de ladite vis dépasse en direction du haut à travers des paliers 322 (fig. 16) rigidement fixés au bâti supérieur 304, la partie dépassante portant, clavetée sur elle, une roue de chaîne 324 maintenue en position axiale par un écrou 325.
Un moteur d'entraînement vertical M4 est rigidement suspendu au bâti 304 par le moyen - d'un certain nombre de vis 326 et d'entretoises 328. L'arbre de sortie 329 de ce moteur M4 dépasse vers le haut à travers une ouverture 330 découpée dans le bâti et porte une roue de chaîne 331 clavetée en place. Pour transmettre le mouvement de rotation entre le moteur
M4 et la vis 132, il est prévu une chaîne sans fin 332, qui s'enroule sur les deux roues 324, 331.
Pour couper le moteur M4 lorsque le chariot 309 repose sur le bâti de l'appareil et que l'écrou 131 a terminé sa course supplémentaire, le circuit de ce moteur comporte un micro-interrupteur MS6 (fig. 15) pourvu d'un bouton d'actionnement MS6a, ce microinterrupteur étant supporté, dans l'exemple représenté, par une console 334 solidaire du bâti. Lorsque l'écrou 131 dépasse la fin de course du chariot (position représentée en fig. 15 et 18), l'aile 134 solidaire dudit écrou vient actionner un galet 335 porté par un levier élastique 336 en repoussant ce dernier contre le bouton MS6a du micro-interrupteur
MS6 et en coupant ainsi le circuit du moteur M4 (circuit qu'on décrira plus en détail en référence aux fig. 21a-21e).
I1 est encore prévu d'assurer la coupure du moteur M4 lors du mouvement ascensionnel du chariot 309, lorsque la plateforme 38 est convenablement alignée par rapport au rayon dont le plateau à échantillons 35 avait été enlevé. A cet effet, on utilise un signal d'arrêt propre à agir sur le moteur M4 lorsque ladite plateforme 38 se trouve en face de chacun des étages du rayonnage. Dans l'exemple représenté, l'arbre 329 du moteur M4 est accouplé par son extrémité supérieure avec une roue d'angle 338, laquelle engrène avec une autre roue d'angle 339 montée sur l'arbre d'entrée 340 d'un réducteur de vitesses approprié 341 (fig. 14 et 16). Ce réducteur 341 renferme un mécanisme (non représenté) qui assure une démultiplication sur son arbre de sortie 342. Une came circulaire 344 (fig. 14, 15) est calée sur ledit arbre 342 de façon à tourner avec lui.
La disposition est telle que lorsque le chariot 309 s'élève à partir de sa position la plus basse (pour laquelle la plateforme mobile 38 repose sur la table 109 du mécanisme d'avance B, comme représenté en fig. 3) jusqu'à sa position la plus haute au droit des rayons 32j, 34j, la came 344 effectue un peu moins qu'un tour complet. Comme le montre bien la fig. 15, la came circulaire 344 est découpée d'un certain nombre d'encoches 345 régulièrement disposées sur sa périphérie et qui correspondent à des déplacements verticaux successifs du chariot 309.
Ainsi l'encoche à laquelle est affectée la référence 345 en fig. 15 correspond à la position de comptage du chariot 309 (c'està-dire celle représentée en fig. 1 et 3, pour laquelle la plateforme 38 repose sur le mécanisme d'avance angulaire B), tandis que les encoches désignées par les références 345a-345j correspondent respectivement aux positions en hauteur du chariot 309 pour lesquelles la plateforme 38 est au niveau des rayons 32a, 34a - 32j, 34j.
Ainsi, lorsque le chariot s'élève à partir de la position de comptage, la plateforme 38 passe successivement au niveau et au droit des rayons respectifs 32a, 34a - 32j, 34j. Lorsqu'elle atteint le niveau correspondant aux rayons 32a, 34a, un galet 346 porté et par un levier élastique 348 s'encliquette dans l'encoche 345a en dégageant ainsi le bouton d'actionnement MS7a d'un micro-interrupteur MS7 monté sur le réducteur 341. Comme on le décrira plus en détail en référence aux circuits des fig. 21a-21e, la libération du bouton MSUa n'agit pour couper le circuit d'alimentation du moteur M4 que lorsque le plateau 35 en cours de retour appartient soit au rayon 32a, soit au rayon 34a.
Au contraire si ce rayon appartient, par exemple, au rayon 32b, le circuit du moteur M4 n'est pas coupé avant que le galet 346 du levier d'actionnement du micro-interrupteur ne retombe dans l'encoche 345b de la came circulaire 344. Pour envoyer au circuit de commande un signal représentant à chaque instant la position en hauteur de la plateforme 38, il est prévu un commutateur tournant 349 (fig. 14) qu'on appellera ci-après commutateur de niveau de plateau. Ce commutateur est rigidement monté sur le démultiplicateur 341 et il est disposé de manière telle que les frotteurs qui lui sont associés (voir fig. 21e) passent successivement sur les bornes x et a-j qui correspondent respectivement aux onze positions en hauteur possible de la plateforme 38.
1l est encore prévu de freiner positivement la vis 132 lorsque le moteur M4 est coupé. A cet effet, et comme le montre bien la fig. 16, l'extrémité supérieure de ladite vis 132 traverse un tambour de frein 350 dans lequel elle est clavetée, la face supérieure de ce tambour se trouvant à une certaine distance au-dessous du bâti supérieur 304. Sur cette face supérieure du tambour 350 est disposée une couche 351 d'une matière de friction appropriée. Un sabot 352 est interposé entre le bâti supérieur 304 et ladite couche 351, ce sabot étant sollicité par des ressorts 354 au contact du tambour 350. Pour mettre le frein hors d'action, on a prévu un électro-aimant S2 monté sur le bâti 304 et dont l'armature 355 est directement accouplée avec le sabot 352.
La disposition est telle que lorsque le moteur M4 est coupé, l'électro-aimant 52 est également hors circuit, de sorte que les ressorts 354 repoussent le sabot contre le tambour. Au contraire, lorsque le moteur M4 est mis sous tension pour faire monter l'écrou 131, l'électro-aimant S2 est en même temps excité (à la façon qu'on décrira ciaprès) pour déplacer le sabot 352 à l'encontre de la réaction des ressorts 354 en faisant ainsi disparaître l'effort de freinage appliqué au tambour 350 et en permettant à ce dernier de tourner librement.
L'appareil comprend en outre des moyens pour décaler ou faire coulisser les plateaux 35 à partir de la plateforme 38 vers l'un des rayons voisins (opération de déchargeement d'un plateau) ou à partir d'un tel rayon sur la plateforme (chargement d'un plateau). A cet effet, le mécanisme de transfert comprend une pièce 356 en forme de fer à cheval ou de fourche (fig. 2) disposée de manière à se déplacer verticalement avec le chariot 309 et également dans le sens latéral sur un rail 358 déterminé par la face supérieure de la pièce en T 321 (fig. 8) portée par ce chariot, comme déjà indiqué. La fourche 356 est ainsi supportée par la pièce 321, laquelle est rigidement solidaire du chariot mobile 309, par l'intermédiaire d'un certain nombre de galets à gorge (fig. 3 et 18) dont quatre ont été représentés en 359 en fig.
2. Quand la plateforme 38 est disposée en face d'un rayon déterminé au cours d'une opération de déchargement , la fourche 356 occupe substantiellement la position représentée en fig. 2, c'est-à-dire qu'elle entoure partiellement le plateau 35 porté par la plateforme. Par conséquent, le déplacement latéral de cette fourche 356 sur le rail 358 fait glisser le plateau 35 sur le rayon adjacent.
Une fois ce déplacement latéral terminé, il suffit de remettre en marche le moteur M4 pour déplacer le chariot 309 verticalement vers l'étage suivant. Au cours de ce mouvement, la fourche se déplace elle aussi dans le sens vertical autour des. rayonnages 32, 34 avec lesquels elle se trouve alignée, jusqu'à entourer partiellement le plateau 35 de l'étage suivant.
Cette fourche est alors prête à se déplacer latéralement en sens inverse pour faire glisser le plateau sur la plateforme 38 (laquelle s'est bien entendu déplacée verticalement avec la fourche, puisqu'elle est elle aussi supportée par le chariot 309). De cette manière, une opération de chargement de plateaux se trouve terminée.
Pour assurer le déplacement latéral précité, le bord arrière de la fourche 356 comporte un talon 360 (fig. 18) qui dépasse en direction du bas et dans lequel est découpée une rainure verticale 361. Une chaîne sans fin 362, particulièrement visible en fig.
15 s'enroule sur des roues de renvoi 364, 365 et 366, lesquelles sont toutes portées à rotation par la pièce en T 321. Pour tendre cette chaîne 362, il est prévu un galet 368 porté à rotation par un bras 369 articulé en 370 sur la pièce 321. La chaîne 362 comporte un maillon particulier 371 (fig. 18) qui porte deux galets 372, 374 dépassant respectivement vers l'arrière et vers l'avant. Le galet 372 est retenu dans la rainure verticale 361 découpée dans le talon 360, tandis que le galet 374 est logé de son côté dans une rainure 361' prévue dans un talon 360' coupé à une longueur moindre que le talon 360.
La disposition est telle que lorsque la chaîne 362 (fig. 15) est entraînée, le maillon 371 court sur le brin supérieur de celle-ci et, par coopération des galets 372, 374 et des rainures 361, 361' prévues dans les talons 360, 360', assure l'entraînement de la fourche 356 dans le sens transversal sur le rail 358 réalisé par la pièce 321.
Pour assurer la commande de la fourche 356, la chaîne 362 engrène avec la denture d'une roue 375 (fig. 15 et 19) elle-même clavetée sur un bout d'arbre 376 monté à rotation dans un manchon 378 solidaire de la pièce 321. L'autre extrémité de ce bout d'arbre 376 est supportée dans un logement 379 et porte elle-même une roue d'angle 380 à l'intérieur de celui-ci. Un arbre calé 381 traverse verticalement un manchon 382 dans lequel il peut librement coulisser, ce manchon étant lui-même monté à rotation dans le logement 379 et portant, clavetée sur lui, une roue d'angle 384 dont les dents engrènent avec celles de la roue 380. L'extrémité supérieure de l'arbre 381 s'engage dans une ouverture carrée 385 creusée dans un bout d'arbre 386 et elle y est bloquée en position par une vis pointeau 388 (fig. 17).
Dans l'exemple représenté le bout d'arbre 386 se prolonge en direction du haut et il est monté à rotation dans le bâti supérieur 304, cet arbre portant une roue de chaîne 389 clavetée sur son extrémité supérieure. Une chaîne 390 s'enroule sur la roue 389 ainsi que sur une autre roue dentée 391 calée sur l'arbre de sortie 392 d'un moteur d'entraînement M5. Ainsi, quand le moteur M5 est mis sous tension, le mouvement de rotation est transmis de l'arbre 392 à la chaîne 390, à la roue 389 et à l'arbre carré 381, puis de celui-ci aux roues d'angle 380, 384 et au bout d'arbre 376, pour arriver à la roue 375 qui engrène avec la chaîne sans fin 362. Par conséquent, le fonctionnement du moteur M5 assure le déplacement latéral de la fourche 356, le sens de ce mouvement dépendant du sens de rotation de l'arbre 392 de ce moteur.
Bien entendu, lorsque la pièce 321 s'élève et s'abaisse sous l'effet du moteur M4, le manchon angulaire 382 et le logement 379 (fig. 19) coulissent librement sur l'arbre carré 381 tout en restant angulairement solidaires de celui-ci à toutes les positions.
Si l'on considère la fig. 2, on comprend que la fourche 356 en forme de fer à cheval est dimensionnée de manière à être de largeur légèrement supérieure au diamètre extérieur d'un plateau 35. Par conséquent, si l'on suppose que cette fourche 356 (telle que vue en fig. 3) va commencer à se décaler latéralement pour amener le plateau 35 sur l'un des rayons du rayonnage de droite 34, on comprend qu'elle se déplacera légèrement vers la droite avant que sa branche gauche 394 ne bute contre la face extérieure du plateau. Par conséquent, lorsque le plateau progresse latéralement, la branche droite 395 de la fourche se trouve légèrement en avance par rapport au bord droit du plateau.
Si l'on revient maintenant à la fig. 15 (et en supposant, bien entendu, que la pièce 321 a été élevée pour amener la plateforme 38 au droit de l'un des rayons du rayonnage 34), on comprend que le maillon particulier 371 de la chaîne 362 va se déplacer latéralement vers la roue de renvoi 365 (roue qui se trouve à gauche dans cette figure puisque celle-ci est une vue par l'arrière). Lorsque ce maillon 371 (fig. 18) atteint l'axe vertical de ladite roue, son déplacement latéral s'accompagne d'un mouvement de descente sur la périphérie de celle-ci. Ce mouvement de descente est possible puisque les galets 372, 374 peuvent se déplacer verticalement dans les rainures 361, 361' (fig. 18).
Quand le maillon 371 arrive au point H1 (c'est-à-dire à la fin de la course latérale maximale permissible), la branche gauche (en fig. 2) 394 de la fourche 356 repousse le plateau 35 au contact du guide dépassant 308 prévu sur la périphérie du rayon sur lequel ledit plateau a été chargé. A ce moment, le bras droit 395 de la fourche est suffisamment dégagé du bord droit du rayonnage 34 pour permettre le déplacement vertical de celle-ci. Toutefois, la branche gauche 394 se trouve alors à une position telle que son déplacement vertical interférerait avec les rayons. Par conséquent, on laisse tourner le moteur M5 de déplacement horizontal jusqu'à ce que le maillon 371 arrive au point H2 (fig. 15) où ledit moteur est coupé.
Lors du déplacement du maillon 371 du point H1 au point H2, la fourche 356 se déplace latéralement en sens inverse d'une petite quantité qui correspond approximativement au rayon de la roue 355, ce qui a pour résultat de centrer la fourche 356 par rapport aux -rayonna- pes 34 en laissant un jeu suffisant à ses deux branches 394, 395 pour leur permettre de se déplacer verticalement sans encombre jusqu'au niveau du rayon suivant.
Il est prévu des moyens pour assurer la coupure du moteur M5 de déplacement horizontal lorsque la fourche est symétriquement disposée par rapport au rayonnage 34. A cet effet, le circuit d'alimentation de ce moteur M5 est interrompu lorsque le maillon 371 se trouve au droit du point H2. Dans l'exemple représenté (et comme on le décrira plus loin), le circuit du moteur comporte un micro-interrupteur MS8 (fig. 14) propre à être actionné quand le maillon 371 arrive au point H2. Si l'on se réfère à la fig. 17, on peut voir que sur l'arbre de sortie 392 du moteur M5 est clavetée une seconde roue de chaîne 396 accouplée avec une roue 398 par le moyen d'une chaîne sans fin 399. Dans l'exemple figuré, la roue 398 est calée sur un bout d'arbre 400, monté à rotation dans le bâti supérieur 304 de l'appareil 30.
Un pignon 401, également claveté sur l'arbre 400, engrène avec une roue 402 montée à rotation sur un axe 404, rigidement fixé sur une console 405. Cette console 405 est elle-même fixée au bâti supérieur 304 du mécanisme C par un certain nombre d'entretoises 406 et de vis 408. Une came circulaire 409, dont la périphérie est découpée d'une encoche 410 (fig. 21e), est clavetée avec l'engrenage 402, de manière à tourner avec lui autour de l'axe 404. La disposition est telle que lorsque le moteur d'entraînement horizontal M5 déplace le maillon 371 de la position située au centre de l'appareil vers le point H1 (fig.
15), la came 409 est entraînée en rotation par la roue 396, la chaîne 399, la roue 398 et les engrenages 401, 402, l'entaille 410 de ladite came se rapprochant alors du bouton d'actionnement MS8a d'un micro-interrupteur MS8 rigidement monté sur la console 405. Quand le maillon 371 arrive au droit du point H2, un galet suiveur 403 s'encliquette dans l'encoche 410 en libérant ainsi le bouton MS8a du micro-interrupteur MS8 et en coupant le circuit d'alimentation du moteur M5.
Le moteur MS de déplacement horizontal doit s'arrêter lorsque le plateau est centré sur la plateforme 38 au cours d'un cycle de chargement. A cet effet, sur l'axe 404 est également montée une seconde came circulaire 411 découpée d'une encoche périphérique 412 (fig. 21e). Un disque d'embrayage 414 est claveté sur l'axe fixe 404 immédiatement au-dessus de la came inférieure 409 et au-dessous de la came supérieure 411. Une couche de matière 415 de friction est interposée entre la came 411 et le disque 414. Pour solliciter normalement la came 411 au contact de la couche 415 en empêchant ainsi la rotation de ladite came, un ressort 416 est intel;posé entre la face supérieure de cette came 411 et un écrou 418. Comme le font bien comprendre les fig.
14 et 17, les deux cames 409 et 411 sont reliées l'une à l'autre par le moyen d'un goujon 419 solidaire de la came inférieure 409 et qui traverse une ouverture allongée 420 découpée dans la came 411.
I1 résulte de la disposition susdécrite que, lorsque le moteur M5 de déplacement horizontal est mis sous tension au cours d'un cycle de chargement d'un plateau, la came inférieure 409 commence immédiatement à tourner en même temps que la chaîne 362 (fig. 15) commence elle-même à se déplacer. Toutefois, la came supérieure 411 retarde légèrement par rapport à la came 409 du fait qu'elle ne démarre que lorsque le goujon 419 a traversé la fenêtre 420 précitée. En raison de ce faible retard, l'axe de la fourche 356 se déplace légèrement au-delà de celui de la plateforme 38 avant qu'un galet suiveur 423 (fig.
21e) ne s'encliquette dans l'entaille 412 du bord périphérique de la came supérieure 411 pour dégager ainsi le bouton d'actionnement MS9a d'un microinterrupteur MS9 (fig. 14 et 21e). Ce léger trajet supplémentaire de la fourche 356 assure que le plateau soit centré sur la plateforme mobile 38 et il est prévu pour tenir compte de la différence entre le diamètre du plateau et la largeur de la fourche.
Bien que la description ci-dessus ait été donnée en référence à un cycle de déchargement et 11e chargement d'un plateau 35 par rapport aux rayons du rayonnage de droite 34, on comprend que le fonctionnement est substantiellement identique en ce qui concerne le chargement et le débarquement des plateaux 35 par rapport au rayonnage 32 de gauche.
A cet effet, la liaison par chaîne et par engrenages entre le moteur M5 et les cames 409, 411 est choisie telle que la came 409 exécute un tour complet lorsque le maillon particulier 371 se déplace entre le point H2 (fig. 15) qui correspond à la roue de renvoi 365, et le point H2' associé à la roue de renvoi opposée 364. Par conséquent, l'encoche 410 de la came 409 sert également à actionner le micro-interrupteur MS8 pour couper le circuit d'alimentation du moteur M5 lorsque le maillon 371 se trouve au droit du point H2', et cela de la même manière que celle décrite plus haut concernant le point H2.
En outre, bien entendu, le micro-interrupteur MS9 et la came 411 assurent la coupre du moteur M5 lorsque la fourche 356 se déplace du rayonnage de gauche 32 vers la plateforme 38, exactement de la même façon que celle exposée ci-dessus concernant le déplacement de cette même fourche à partir du rayonnage de droite 34.
Pour faciliter la compréhension des circuits de commande des dispositifs de déplacement vertical et latéral suivant l'invention, on se référera aux fig.
14 et 15, dans lesquelles on peut noter qu'il est prévu deux micro-interrupteurs supplémentaires MS10, MS1 1 montés sur des consoles 421 rigidement fixées aux extrémités opposées de la pièce 321 du chariot 309, ces micro-interrupteurs MS10 et MS11 étant respectivement associés aux rayonnages 32, 34. Dans la forme d'exécution représentée les micro-interrupteurs MS10 et MS11 ont pour rôle d'émettre un signal de commande pour le circuit d'alimentation associé au moteur d'entraînement vertical M4, en assurant ainsi que celui-ci ne soit pas coupé au cas où aucun plateau 35 ne se trouve disposé sur le rayon suivant.
A cet effet, les rayons des rayonnages 32, 34 comportent sur leur bord arrière des découpures 422, 424 propres à recevoir des galets tâteurs 425, 426, respectivement associés aux microinterrupteurs MS10, MSll. Par conséquent, lorsque l'appareil fonctionne pour rechercher des plateaux 35 dans, par exemple, le rayonnage de gauche, le galet 425 s'élève à travers les rayons en traversant les découpures 422 prévues dans chacun d'eux. Si un plateau 35 se trouve sur le rayon considéré, ce galet 425 vient au contact de la paroi de celui-ci en repoussant ainsi le bouton MSl0a (fig. 21d) du microinterrupteur MS10 pour avertir le circuit logique de la présence d'un plateau.
Au contraire, si le rayon ne supporte aucun plateau 35, le galet 425 traverse librement la découpure 422 et le bouton MSl0a du micro-interrupteur MS10 n'est pas actionné. I1 résulte de cette disposition que le moteur M4 n'est pas coupé au cours d'un cycle de recherche de plateaux aussi longtemps qu'un tel plateau 35 ne se trouve pas sur le rayon vers lequel la fourche 356 arrive.
Il est encore prévu des moyens pour centrer les plateaux mal orientés sur leurs rayons respectifs afin de les amener au contact des guides verticaux 308 d ces derniers et d'assurer qu'ils n'interfèrent pas avec le déplacement vertical de la plateforme. A cet effet, une courroie souple 428 (fig. 20) est fixée près de l'extrémité d'une console 429 montée sur le bord latéral inférieur de la plateforme 38. Comme le montre bien la fig. 15, cette courroie 428 s'enroule sur deux poulies folles 430-431 portées par le bâti de l'appareil au-dessous du rayon inférieur 34a dans le rayonnage 34. Les poulies 430, 431 sont respectivement disposées au-dessous du bord latéral intérieur et du bord latéral extérieur du rayon 34a.
La courroie 428 remonte à partir de la poulie 431 et passe sur drux autres poulies 432, 434 supportées par des consoles du bâti supérieur 304 de l'appareil (fig. 14).
Elle descend de la poulie supérieure intérieure 434 pour arriver à une console 435 (fig. 20) rigidement fixée au chariot 309 par son extrémité arrière et comportant à son extrémité avant une partie rabattue 436 fixée à l'avant de la plateforme mobile 38. La courroie 428 constitue ainsi un guide substantiellement continu qui entoure tous les rayons du rayonnage 34 à l'exception de celui avec lequel la plateforme 38 est alignée. Cette disposition est particulièrement visible en fig. 20 où l'on peut remarquer que les parties 435, 436 de la console, la plateforme 38 et le chariot 39 délimitent un passage libre de forme générale rectangulaire qui permet le déplacement latéral du plateau 35 lorsque la fourche 356 se déplace elle-même latéralement.
Ainsi, au cas où un opérateur n'apporterait pas assez de soin pour disposer un plateau d'échantillons sur un rayon quelconque, la courroie 428 empêcherait ce plateau 35 de dépasser latéralement vers l'axe de l'appareil où il risquerait autrement d'interférer avec le déplacement vertical de la plateforme 38.
Pour assurer que la courroie 428 ne soit pas repoussée en direction de l'extérieur par un plateau mal centré, chacun des rayons du rayonnage vertical 34 comporte une fourchette de centrage 438 (fig. 2) fixée à sa face inférieure et qui dépasse vers l'intérieur au-delà du bord du rayon pour entourer ladite courroie 428. I1 est de même prévu une courroie 428' attachée au bas de la plate-forme 38 et enroulée sur des poulies 430', 431', 432' et 434', son extrémité libre se fixant à une console 435' montée sur le côté opposé du chariot 309. Cette courroie 428' entoure ainsi substantiellement le rayonnage de gauche 32.
Circuit logique de programme pour le transfert
des plateaux et le changement des échantillons
On décrira en détail, en référence à la fi l'interrupteur sélecteur de mode 40 et par sa borne de sortie en vue d'établir un circuit d'alimentation pour la bobine d'enclenchement RlL d'un relais R1, ou relais chargement-déchargement , et qui commande le moteur M1 du monte-charge.
Pour bien comprendre la description qui suit, il y a lieu de noter que les circuits de commande représentés en fig. 21a-21e, comportent quinze relais désignés par les références respectives Rl-R15. A l'exception du relais R1, tous les autres sont identiques.
Ils sont du type communément appelés relais à enclenchement magnétique et comportent une bobine de déclenchement désignée par la référence L ainsi qu'une bobine de déclenchement à laquelle on a affecté la référence U. Toutes ces bobines, à l'exception de la bobine R1L précitée, sont excitées en reliant leurs bornes à celles L1, L2 (fig. 21a) d'une source appropriée de courant alternatif (non représentée). Au contraire, la bobine de verrouillage R1L du relais R1 est reliée à une source de courant continu schématiquement représentée en El (fig. 21a) le circuit à courant continu qui traverse cette bobine R1T se ferme lorsqu'un signal apparaît sur la borne 85 à la façon susdécrite.
Pour simplifier la description ci-après, tous les relais ont été représentés comme commandant huit jeux de contacts auxquels on a affecté les références a à h associées à un nombre correspondant au numéro du relais. Les contacts associés au relais R1 sont ainsi référencés al-hl, ceux du relais R2, a2-h2, etc. Ces relais sont du type qui n'exige qu'une impulsion instantanée pour les faire passer d'un état à l'autre, par exemple de l'état enclenché à l'état déclenché a. Avec les suppositions qu'on a faites plus haut, tous les relais sont initialement à l'état déclenché, à l'exception du relais de rotation R4 qui se trouve à l'état enclenché.
Ainsi, lorsqu'un signal de changement d'échantillon apparaît sur la borne 85 du dispositif à programme ou dispositif logique 63 et qu'il traverse l'in interrupteur sélecteur de mode 40, il fournit une impulsion d'excitation momentanée à la bobine d'enclenchement R1L du relais chargement-déchargement R1 (fig. 21a) qui passe de l'état déclenché à l'état enclenché. De ce fait, un circuit d'alimentation est fermé pour le moteur M1 du monte-charge par les contacts gl, maintenant fermés, et les contacts marche de l'interrupteur limiteur LS2.
Simultanément, le circuit de la bobine d'enclenchement R2L se ferme par les contacts marche dudit interrupteur LS2 et par le frotteur 40b de l'interrupteur-sélecteur de mode 40, de sorte que le relais R2 ou relais arrêt passe à la position enclenchée. On comprend que le moteur M1 du monte-charge est un moteur réversible classique qui peut tourner dans un sens ou dans l'autre suivant celles de ses bornes auxquelles on fournit le courant.
Ainsi, lorsque ce moteur M1 est alimenté par sa borne déchargement , le plateau de monte-charge 50 commence à monter et, lorsqu'il atteint sa fin de course supérieure, la rampe 62 bute contre l'organe d'actionnement Ls2a de l'interrupteur limiteur LS2 en ouvrant les contacts marche, de celui-ci et en fermant ses contacts arrêt . Cela a pour résultat de couper le moteur M1 et simultanément de fermer un circuit de commande du mouvement d'avance angulaire du plateau à échantillons 35.
A cet effet, la fermeture des contacts arrêt de l'interrupteur limiteur LS2 établit le circuit d'alimentation du moteur M3 (fig. 21b) de la façon suivante: contact e2 du relais enclenché R2, contact f6 du relais déclenché R6, contact h5 du relais déclenché
R5, contact h3 du relais déclenché R3, contact g4 du relais enclenché R4 et moteur M3.
Le moteur M3 tourne alors d'un tour complet pour faire exécuter deux tours au goujon d'entraînement 249, ce qui fait tourner le plateau 35 jusqu'à aligner l'échantillon No 2 par rapport au puits montecharge 48. Au cours de ce mouvement d'avance, l'échantillon No 1 coulisse latéralement dans son compartiment 89-1 sur le plateau du monte-charge et sur le tiroir 94. Au moment où l'arbre 258 du moteur M3 démarre, la came 266 de la roue 256 s'écarte du bouton MS2a de l'interrupteur MS2 en fermant ainsi les contacts marche de ce dernier. Puis lorsque l'arbre 258 du moteur M3 s'est déplacé de 180O, cette came 266 vient actionner le bouton MS5a du micro-interrupteur MS5, lequel est normalement ouvert.
Cet interrupteur se ferme donc, ce qui a pour effet de mettre momentanément sous tension le micro-interrupteur MS4 qui correspond à la détection des flacons. S'il existe un flacon dans le compartiment 89-2, les contacts de ce micro-interrupteur
MS4 restent fermés en fermant du même coup un circuit d'alimentation pour la bobine d'enclenchement R31 du relais de rotation R3 à travers les contats, maintenant fermés, des deux micro-interrupteurs
MS4 et MS5, le contact a4 du relais enclenché R4, les contacts i6 du relais déclenché R6, pour aboutir à la bobine R3L susvisée, ce qui a pour effet de faire passer le relais R3 à l'état enclenché.
De ce fait les contacts h3 s'ouvrent et les contacts g3 se ferment en coupant le circuit d'alimentation précédent, mais en permettant au moteur M3 de continuer à être alimenté par les contacts marche > du micro-interrupteur MS2. Lorsque l'arbre 258 du moteur d'avance M3 a terminé son tour complet, la came 266 agit à nouveau sur l'organe d'actionnement MS2a du microinterrupteur MS2 en ouvrant les contacts marche de celui-ci et par conséquent en coupant le moteur
M3. En même temps, cela a pour effet de fermer un circuit d'alimentation pour la bobine de déclenchement Rîu du relais chargement-déchargement R1 par les contacts e3, maintenant fermés, du relais de rotation R3.
Du fait du passage à l'état déclenché du relais chargement-déchargement R1, un circuit est établi qui aboutit à la borne chargement du moteur M1 par les contacts hl de ce relais R1, mainte nant déclenché, et les contacts marche , normale- ment fermés de l'interrupteur limiteur LS1 (fig. 21a).
Le plateau de monte-charge 50 commence à faire descendre l'échantillon No 2 pour l'amener à la position de comptage entre les transducteurs de lumière 45, 46 (fig. 1). En même temps la fermeture des contacts hl ferme un circuit d'alimentation des bobines d'enclenchement R2U et R311 des deux relais
R2 et R3 par les contacts respectifs a2 et a3, de sorte que ces deux relais passent à l'état déclenché en ramenant les circuits à leurs conditions initiales.
Lorsque l'échantillon No 2 est correctement disposé entre les transducteurs de lumière 45, 46, la rampe 62 du monte-charge vient au contact de l'organe d'actionnement Ls1a de l'interrupteur limiteur LSl en faisant passer ce dernier de la position marche à la position arrêt , et en coupant le moteur
M1.
En même temps, une capacité C1, qui avait été chargée par les contacts marche de l'interrupteur limiteur LS1 à partir d'une source de courant continu schématiquement représentée en E2 en fig. 21a, se décharge maintenant par les contacts arrêt de ce même interrupteur et par un dispositif à conduction asymétrique, ici figuré sous la forme d'une diode 439 en produisant de ce fait une impulsion instantanée sur la borne d'entrée 64 du dispositif logique ou dispositif à programme 63, ceci en vue d'indiquer que le cycle chargement d'échantillon est maintenant terminé.
Après la fin du cycle de comptage sur l'échantillon No 2, le cycle de changement d'échantillon sus décrit se répète pour ramener ledit échantillon No 2 au plateau No 1, pour faire avancer ce dernier et pour charger l'échantillon No 3. Tout ceci se reproduit de façon répétée jusqu'au moment où l'échantillon No 23 a été déchargé et où l'échantillon No 24 est prêt à être chargé.
Pendant le temps durant lequel le plateau No 1 a été avancé, le commutateur circulaire 276, qui est directement relié à l'arbre 258 du moteur M3 (fig.
10 et 21b), a vu ses frotteurs 276a, 276b avancer par saccades successives sur les plots 1-23 qui correspondent aux échantillons Nos 1-23. Lorsque le plateau s'avance à la position correspondant au chargement de l'échantillon No 24, le frotteur 276a passe sur le plot 24, ce qui ferme un circuit d'alimentation pour la bobine de déclenchement RSL du relais R5 ou relais d'échantillons No 24 (fig. 21b, 21c), ce circuit s'établissant par le plot 24 du commutateur 276, le plot No 1 d'un interrupteur à avance saccadée SS1 et le plot No 1 de l'interrupteur 41 (interrupteur cycle par plateau ), pour aboutir à la bobine R5L précitée. Le relais R5 passe ainsi à la position enclenchée.
Lorsque le plateau 35 arrive à la position No 24, le moteur d'avance M3 est coupé à la façon susdécrite et le relais R1 est à nouveau déclenché. Simultanément, un circuit s'établit par les contacts c3 du relais R3 et a5 du relais R5 pour déclencher ce dernier. Il y a lieu de noter que ce relais R5 a pour rôle d'indiquer que le plateau est à la position No 24 au cas où il n'y aurait aucun échantillon dans le compartiment 89-24.
Comme (moyennant les suppositions faites cidessus) il existe en fait un échantillon No 24 sur le plateau, cet échantillon sera chargé dans le mécanisme détecteur A à la façon susdworite. Mais pendant le cycle de chargement, lorsque l'échantillon NO 24 est amené à la chambre de comptage, il est prévu d'actionner le relais R6 (fig. 21c) ou relais de dernier échantillon .
A cet effet un circuit d'alimentation de la bobine R6L de ce relais R6 est établi par le frotteur 276b du commutateur tournant 276 (qu'on appellera ci-après consommateur de numéros d'échantillons ), par son plot No 24, par le frotteur SSla et le plot No 1 de l'interrupteur SS1, par le frotteur 41b et le plot No 1 de l'interrupteur de cycle par plateau 41, pour arriver à la bobine RL6. La description qui précède fait bien comprendre que si le seul relais R4 est enclenché pendant le comptage des échantillons No 1 à No 23, lorsqu'on arrive à l'échantillon No 24, c'est-à-dire au dernier, l'enclenchement affecte deux relais,
savoir le relais de rotation R4 et le relais de dernier échantillon R6.
Lorsque le cycle de comptage de l'échantillon No 24 est terminé, le flacon 36 est déchargé à la façon habituelle. Toutefois, le circuit s'établit alors par les contacts e6 et non plus par les contacts f6. Par conséquent, le circuit d'alimentation du moteur d'avance
M3 passe par les contacts marche du microinterrupteur MS3 et par les contacts g4 du relais de rotation R4. Lorsque le plateau 35 tourne d'un angle correspondant au pas P de sa denture intérieure (ce qui corespond à un tour du goujon d'entraînement 249 et à un demi-tour de l'arbre moteur 258), la came 278 de la roue d'engrenage 272 (fig. 10 et 21b) actionne le bouton MS3a du micro-interrupteur
MS3 et amène celui-ci à la position arrêt en fermant ainsi un circuit d'alimentation du mécanisme de transfert de plateau C.
Avant de décrire le fonctionnement des circuits logiques en vue d'enlever le plateau No 1 et de le remplacer par le plateau No 2, il y a lieu de souligner qu'il est prévu diverses possibilités de fonctionnement par rapport à un plateau quelconque. Par exemple, si l'opérateur désire effectuer plus d'une fois le comptage de tous les échantillons du plateau No 1, cela peut être aisément obtenu en actionnant simplement l'interrupteur cycle par plateau 41 pour l'amener sur le plot correspondant au nombre désiré de rénétitions des opérations de comptage.
Par exemple, si l'opérateur désire compter chaque échantillon trois fois, il amène le bouton de cet interrupteur 41 (fig. 1 et 21c) à la position 3 , en disposant ainsi les frotteurs 41a, 41b sur leurs plots No 3 respectifs.
La disposition ci-dessus décrite est telle que lorsque l'appareil est réglé pour compter chaque échantillon du plateau une fois seulement, les plots No 24 de l'interrupteur à avance saccadée SS1 et de l'interrupteur 41 (cycles par plateau) ferment les circuits d'alimentation des bobines d'enclenchement RSL et
R6L des relais R5 et R6. Au contraire, lorsque l'opérateur amène l'interrupteur 41 sur la position 3 , ces circuits ne peuvent pas être fermés. Par consé quent, le moteur d'avance M3 continue à tourner d'un nouveau tour complet en ramenant le plateau à la position qui correspond à l'échantillon No 1.
Dans ces conditions, lorsque la came 278 de la roue 272 (fig. 10 et 21b) actionne le bouton Mu30, cela ferme momentanément les contacts arrêt du micro-interrupteur MS3 en établissant un circuit d'alimentation pour la bobine S3 de l'interrupteur à avance saccadée SS1 par les contacts f6 du relais déclenché R6. Lorsque la came 278 s'éloigne du bouton Mu3,, ce circuit est coupé. Comme le montre schématiquement la fig. 21c, l'interrupteur à SS1 est du type classique à rochet dans lequel, lors de la mise sous tension, l'armature 440 de l'électro-aimant de commande est aspirée à l'encontre d'un ressort de rappel 441, ce qui a pour effet d'engager cette armature contre la dent suivante de la roue à rochet 442.
Lorsque la bobine S3 est coupée (c'est-à-dire lorsque la came 278 a quitté le bouton Mu3,), le ressort 441 ramène l'armature 440 à la position dégagée en faisant avancer la roue 442 d'une dent et en faisant passer les frotteurs SSla, SSlb sur les plots No 2 qui leur correspondent. A la façon habituelle dans ce type d'interrupteur, il est prévu un cliquet de retenue 444 chargé par un ressort et qui empêche le recul de la roue 442 lorsque la bobine S3 est mise sous tension.
Ce mouvement saccadé de l'interrupteur SS1 se poursuit (à raison d'une avance par cycle) jusqu'à ce que les frotteurs SS1,, SSlh arrivent sur les plots correspondant à ceux sélectionnés par l'opérateur sur l'interrupteur cycle par plateau > , soit les plots
No 3 dans l'exemple précité. Lorsque les frotteurs Sus1", SS1,, et ceux 41a, 41b sont ainsi en coïncidence. le circuit d'alimentation des relais R5, R6 s'établit à la façon précédemment décrite.
Par conséquent, lorsque l'échantillon No 24 a été compté pour la troisième fois, le relais R6 est enclenché en empêchant la mise sous tension de la bobine S3 et en arrêtant ainsi toute avance ultérieure de l'interrupteur SS1. Le plateau 35 se doplacera donc ensuite suivant le cycle transfert de plateaux .
Au cas où il n'y aurait pas d'échantillon No 24 sur le plateau 35, c'est-à-dire si en fait le dernier échantillon porte un numéro autre que 24, les circuits fonctionnent comme suit: Après que le dernier échantillon a été changé à nouveau sur le plateau 35, celui-ci commence à avancer et le mécanisme tâteur de flacons recherche l'échantillon suivant.
Toutefois, comme il n'existe plus de flacon sur le plateau, le micro-interrupteur MS4, normalement ouvert, reste à la position d'ouverture en assurant ainsi que le relais de rotation R3 reste lui-même déclenché. Par conséquent, le moteur d'avance M3 continue à tourner jusqu'à ce que les frotteurs 276,, 276,, du commutateur 276 de numéros d'échantillon arrivent sur leurs plots respectifs No 24.
Lorsque cela se produit, c'est-à-dire lorsque le plateau 35 passe de la position échantillon No 3 à la position échantillon No 24 , le relais R5 est déclenché à la façon susdécrite, ce qui coupe le circuit d'alimentation directe du moteur M3, lequel continue à fonctionner par l'intermédiaire des contacts marche > du micro-interrupteur MS2. Lorsque la came 266 de la roue 256 actionne le bouton MS2a de ce microinterrupteur MS2 (fig. 21b), les contacts précités s'ouvrent, tandis que les contacts arrêt se ferment.
Le moteur M3 est donc coupé en même temps que la bobine d'enclenchement R6L du relais R6 de
denier échantillon est excitée par les contacts f3 du relais de'clenché R3 et les contacts e5 du relais enclenché R5, ce qui a pour effet d'enclencher ledit relais R6. I1 en résulte que le moteur d'avance M3 est à nouveau alimenté par les contacts e6 de ce relais R6 et les contacts marche du microinterrupteur MS3. Lorsque la came 278 de la roue 272 revient agir sur le bouton M530 du micro-interrupteur MS3 pour amener celui-ci à la position arrêt , le moteur d'avance M3 est coupé et il apparaît un signal destiné au mécanisme de transfert de plateaux, à la façon décrite plus haut.
I1 est encore prévu des moyens permettant à l'opérateur de répéter l'opération de comptage pour un échantillon choisi quelconque de chaque plateau considéré. Ainsi, en supposant que cet opérateur a réglé l'interrupteur 41 (cycles par plateaux) à sa position No 1 de manière que tous les échantillons ne soient analysés qu'une seule fois, s'il désire soumettre à deux opérations de comptage l'échantillon No 6, par exemple, il lui suffit d'amener l'interrupteur sélecteur de mode 40 (fig. 1 et 21a) sur le plot répétition lorsque ledit échantillon No 6 est en cours de chargement ou vient d'être chargé.
Cela a pour effet de renvoyer directement le signal changement d'échantillon qui apparaît sur la borne 85 du programmateur 63, vers la borne 64 ou borne échantillon prêt . Ainsi, bien qu'il ne s'effectue alors aucun changement d'échantillon, ce signal d'échantillon prêt apparaît et l'opération de comptage recommence entièrement pour l'échantillon No 6 considéré. Dès que ce second cycle de comptage a commencé, l'opérateur peut alors ramener l'interrupteur 40 sur son plot fonctionnement (en fait cela peut être exécuté à n'importe quel instant du second cycle). Une fois le second cycle terminé, l'appareil passe à la position échantillon No 7 , comme décrit précédemment.
On comprend que cette possibilité de répétition qu'offre l'appareil suivant l'invention est particulièrement avantageuse lorsque l'opérateur travaille sur des échantillons à période très courte, d'un ordre de grandeur allant de quelques minutes à quelques heures. En pareil cas, il est extrêmement souhaitable que le décomptage soit effectué plusieurs fois par répétition, alors que cela est indésirable pour les autres échantillons du plateau 35.
En prévoyant la possibilité de répétition du cycle on peut réaliser ce qui précède et enregistrer le résultat des opérations successives. En variante, si l'opérateur désire analyser plusieurs fois de suite chacun des échantillons du plateau 35, il lui suffit de tourner le bouton 41 (cycles par plateau) pour l'amener à la position ° infini > . Les bobines d'enclenchement R5L et R6L ne peuvent plus alors être excitées et par conséquent, le mécanisme de transfert de plateaux ne peut pas être actionné.
I1 peut arriver qu'un opérateur juge nécessaire d'analyser un échantillon par priorité, alors que celuici n'est pas disposé dans le plateau qui se trouve à ce moment sur le mécanisme d'avance B. En pareil cas, l'opérateur amène simplement l'interrupteur sélecteur de mode 40 sur son plot arrêt . Cela a pour résultat qu'un signal est appliqué à la borne de retour 86 du circuit logique ou dispositif de programme 63 (fig. 22). Dans ces conditions, le programmateur 66 agit sur le dispositif d'impression 79 pour qu'il lise immédiatement le décompte enregistré dans le compteur 74 sans se soucier de la période déterminée par l'appareil à temps 71. Aussitôt que le décompte a été lu, il apparaît un signal sur la borne de sortie 85 et l'échantillon qui se trouve alors dans le détecteur A est évacué.
Lorsque cet échantillon a été complètement remonté, l'opérateur l'enlève simplement du plateau et le remplace par l'échantillon prioritaire. Il amène ensuite l'interrupteur sélecteur 40 sur son plot fonctionnement en fermant ainsi un circuit par les contacts arrêt dudit interrupteur, les contacts h2 du relais déclen ché R2 et la bobine de déclenchement Rî du relais chargement-déchargement R1. Cela ferme un circuit d'alimentation qui, partant de la borne à courant alternatif L1 (fig. 21a) passe par les contacts hl et les contacts marche de l'interrupteur limiteur LS1 pour arriver à la borne chargement du moteur M1 du monte-charge, ce moteur étant ainsi mis en marche.
La capacité C1 se décharge à nouveau à la façon susdécrite pour donner naissance à un signal indiquant que le changement d'échantillon est terminé.
D'autre part, l'appareil comporte des moyens pour assurer l'enlèvement du plateau No 1 du mécanisme d'avance B lorsque tous les échantillons qu'il renferme ont été analysés. A cet effet, lorsque l'échantillon No 24 est revenu dans son compartiment 89-24 dudit plateau No 1, et que ce dernier a avancé d'un angle corespondant au pas P de sa denture 196, la came 278 de la roue 272 (fig. 10 et 21b) actionne le bouton MS3a du micro-interrupteur MS3 à la façon susdécrite pour amener ce dernier à la position arrêt , ce qui a pour effet d'établir un circuit d'alimentation pour le mécanisme de transfert de plateau.
Ce circuit passe par les contacts e6 du relais R6 de dernier échantillon , alors enclenché, par les contacts arrêt du micro-interrupteur
MS3, par les contacts h8 et h12 des relais respectifs
R8 (relais de retour vertical) et R12 (relais de retour horizontal), alors déclenchés, pour arriver finalement à la borne montée du moteur M4 d'entraînement vertical.
En même temps que cette borne montée du moteur M4 est ainsi mise sous tension, la bobine S2 du frein est excitée par les contacts R20a d'un relais
R20, ce dernier étant lui-même alimenté par le signal qui agit sur le moteur M4. Cela a pour effet de dégager le tambour de frein 350 (fig. 16 et 21d) en permettant ainsi la rotation de la vis 132. Par conséquent l'écrou 131 commence à remonter, suivant sa course additionnelle, en direction de la face inférieure 316 du chariot 309 (fig. 18). Simultanément, le ressort 116 (fig. 3) repousse le chariot 111 vers l'arrière en enclenchant ainsi le mécanisme de centrage 192 (comme montré en traits pleins en fig.
8) et en amenant le micro-interrupteur MS1 (fig. 8, 9 et 21b de la position verrouillée à celle déverrouillée . Cela a pour effet de fermer le circuit d'alimentation de l'électro-aimant S1 (fig. 7), de sorte que l'armature 239 de celui-ci recule en faisant reculer également le dé de verrouillage 231 et en libérant le tiroir 94 par rapport au mécanisme d'avance B.
Simultanément, un circuit se ferme pour alimenter la bobine de déclenchement R4U du relais de rotation R4 par les contacts c4 de ce dernier qui passe ainsi à la position déclenchée. Un autre circuit s'établit par les contacts g6 du relais enclenché R6, les contacts d'interruption 445 (fig. 21c) et les contacts normaux 446 de l'interrupteur SS1 à avance saccadée, ce circuit aboutissant à la bobine S3 pour exciter cette dernière et assurer que les frotteurs
SS'la, SSlb balaient tous leurs plots, jusqu'au No 10 inclus.
Lorsque ces frotteurs arrivent sur les plots No 10, les contacts normaux 446 sont amenés à leur position d'ouverture, par une came (non représentée) en coupant ainsi la bobine S3 et en amenant l'interrupteur SS1 sur ses plots No 11, sur lesquels il s'arrête alors.
* Comme le moteur de déplacement vertical M4 (fig. 16 et 21d) est toujours alimenté, l'écrou 131 continue à remonter jusqu'à buter contre le chariot 309 et à commencer à entraîner la plateforme 38 avec le plateau No 1. En même temps que le moteur
M4 a été mis en marche, le courant est également arrivé au frotteur 349a du commutateur tournant 349 (représenté en fig. 14 et 21e) et qu'on appellera ciaprès commutateur d'étages de plateaux . Cet interruteur a pour rôle d'indiquer en permanence le niveau auquel le plateau se trouve lors de sa montée avec la plateforme 38.
Comme ce frotteur 349, est directement relié au moteur d'entraînement vertical
M4, il passe progressivement de son plot X (qui correspond à la position de comptage) à ses plots successifs a-j qui correspondent respectivement aux rayons 32a-34a - 32e, 34j. Juste avant que le plateau No 1 ne soit correctement aligné avec le rayon à partir duquel il avait été prélevé (dans ce cas le rayon 32a) un circuit se ferme par le frotteur 349a et son plot a (qui représente l'étage du plateau No 1) pour aboutir au frotteur SS2, d'un second interrupteur à avance saccadée SS2 (fig. 21e). Cet interrupteur SS2 est du type classique à roue de rochet 448 avec une bobine S4 agencée de façon à agir sur les dents de cette roue.
A cet effet, l'armature 449 qui correspond à la bobine S4 est chargée par un ressort 450 de façon que chaque fois qu'on coupe cette bobine, ledit ressort ramène l'armature 449 à sa position de repos en faisant avancer la roue 448 d'une dent. Le déplacement rétrograde de la roue est ici empêché par un cliquet de retenue 451 chargé par ressort. Dans l'exemple représenté l'interrupteur S'S2 comprend quatre rangées de plots successivement balayés par quatre frotteurs SS2a, SS2b, SS2c et SS2d, tandis qu'il est prévu vingt plots 1 à 20 pour chacune des rangées, ces vingt plots correspondant respectivement aux vingt rayons propres à supporter les plateaux No 1 à No 20.
Si l'on se base sur les suppositions exposées plus haut, les frotteurs de l'interrupteur SS2 seront tous sur leur plot No 1 étant donné que le p mature 449 pour faire avancer la roue 448 de l'angle corespondant à une dent. I1 en résulte que les frotteurs SS2a à SS2d passent tous sur leur plot No 2 qui correspond au rayon 325 sur lequel se trouve le plateau No 2.
Le cycle de recherche de plateaux se poursuivant ainsi en entraînant la montée de la pièce 321 du chariot 309, le galet tâteur 425 du micro-interrupteur MS10 (fig. 14 et 21d) traverse la découpure 422 du rayon 32b un peu avant que la plateforme 38 n'atteigne le niveau de ce rayon. Comme on a supposé qu'il y a des plateaux sur tous les rayons, ce galet 425 vient au contact du plateau N 2 et actionne le bouton MS10a de l'interrupteur MS'10 qui passe de sa position passage à celle plateaux présents en fermant ainsi un circuit d'alimentation de la bobine R9L du relais de recherche verticale R9 par les contacts h7 du relais de sélection de plateaux R7 en amenant ainsi ce relais
R9 à la position enclenchée.
L'enclenchement du relais R9 ouvre les contacts d9 insérés dans le circuit d'alimentation du moteur M4. Toutefois, celui-ci est encore alimenté par les contacts marche du microinterrupteur MS7 et par conséquent, il continue à tourner jusqu'à ce que le galet suiveur 346 associé à la came 344 tombe dans l'encoche 345b de cette dernière qui correspond au plateau No 2. A ce moment, ce micro-interrupteur MS7 passe à la position arrêt i) et le moteur d'entraînement vertical M4 est coupé. Simultanément la bobine de frein S2 est également coupée en provoquant l'arrêt positif de la vis 132.
I1 est maintenant prévu d'exécuter un cycle de chargement horizontal en vue de déplacer latéralement le plateau No 2 pour l'amener du rayon 321 > sur la plateforme 38. A cet effet, un circuit d'alimentation est établi pour le moteur d'entraînement horizontal M5 par les contacts arrêt du micro-interrupteur MS7, les contacts e8 du relais enclenché R8, les contacts c11 du relais enclenché Roll, les contacts e9 du relais enclenché R9, les contacts d12 du relais déclenché R12, les contacts marche du micro-interrupteur MS9,
les contacts f13 du relais déclenché R13 pour arriver à la borne de marche dans le sens des aiguilles d'une montre dudit moteur MS. Celuici tourne alors et la fourche 35o se déplace latéralement pour amener le plateau No 2 vers le centre où il vient reposer sur la plateforme 38. En même temps que la fourche 356 entraîne ainsi le plateau No 2 vers la plateforme, le galet suiveur 423 associé au micro-interrupteur MS9 court sur la périphérie de la came circulaire 411.
Lorsque le plateau No 2 est convenablement centré sur la plateforme 38, ce galet 423 s'encliquette dans l'encoche 412 découpée dans la came 411 en faisant ainsi passer Ie microinterrupteur MS9 de la position marche à la position arrêt et en fermant un circuit d'alimentation
de la bobine R12L du relais de chargement horizontal
R12 par les contacts arrêt du micrn-interrupteur
MS9.
Le mécanisme de transfert vertical C est maintenant prêt pour abaisser la plateforme sur le mécanisme revolver d'avance B. A cet effet, il est établi un circuit d'alimentation du moteur de déplacement vertical M4 par les contacts g8 du relais enclenché
R8, les contacts e12 du relais enclenché R12, les contacts h10 du relais déclenché R10 et les contacts marche du micro-interrupteur MS6 pour arriver à la borne descente dudit moteur M4. En même temps que celui-ci est mis sous tension, le relais R21 est également excité pour fermer ses contacts R21a en fermant ainsi le circuit d'alimentation de la bobine S2 qui dégage le frein et permet à la vis 132 de tourner pour assurer la descente de la plateforme 38.
La plateforme 38 et le plateau No 2 qu'elle supporte continuent alors à descendre jusqu'à ce que le chariot 309 et ladite plateforme reposent sur le bâti de l'appareil 30. A ce moment la plateforme 38 s'arrête à une position substantiellement de niveau par rapport à la face supérieure de la table 109. Mais le moteur M4 d'entraînement vertical continue à fonctionner et l'écrou 131 exécute sa course additionnelle (fig. 15 et 18). Au cours de celle-ci, l'aile 134 dudit écrou vient buter contre le poussoir 130 pour entraîner la traverse 128 vers le bas et tirer le câble 120 vers l'arrière autour de la poulie 121 (fig. 3), ce qui a pour effet de faire avancer le chariot 111.
Lorsque l'écrou 131 atteint la fin de sa course addi tionnelle, le bouton MS6 du micro-interrupteur MS6 est actionné par l'aile 134, ce qui le fait passer de la position marche à la position arrêt en coupant simultanément les circuits d'alimentation du moteur M4 et de la bobine de frein S2. Le moteur s'arrête donc et la vis 132 est positivement freinée.
A ce moment un circuit s'établit pour la bobine d'enclenchement RîOL du relais de descente R10 par les contacts arrêt du micro-interrupteur MS6, de sorte que ce relais R10 passe à la position enclen chée.
Pour commencer un cycle d'avance d'échantillon concernant le plateau No 2, il est prévu d'émettre un signal propre à ramener à l'état déclenché les relais
R5, R6 et R8 à R12. A cet effet un circuit s'établit par les contacts g10 (fig. 21d) du relais enclenché
R10, les contacts f14 du relais R14 (relais de rayonnage I) alors déclenché (fig. 21e), les contacts f15 du relais Roi 5 (relais de rayonnage Il) également déclenché, et la bobine de déclenchement R5u du relais R5 (relais d'échantillon No 24, fig. 21c). Cette bobine est excitée et ramène le relais R5 à l'état déclenché.
Du fait du déclenchement du relais R5 un circuit s'établit pour alimenter la bobine de déclenchement R6U du relais R6 de dernier échantillon par les contacts b5 du relais R5. De même, le déclenchement du relais R6 ferme par les contacts d6 de celui-ci un circuit qui assure le déclenchement des relais R8 à R12 (fig. 21d). Ce circuit passe par les contacts R8 de la bobine R8U du relais R8 qui déclenche. Son déclenchement envoie un signal par les contacts d8 et a9 à la bobine R9ü du relais R9 qui déclenche à son tour. De ce fait, la bobine de déclenchement R10u du relais R10 est alimenté par les contacts d9 du relais R9 et a10 du relais R10 qui déclenche lui aussi.
Son déclenchement entraîne celui du relais R12 par les contacts d10 du relais R10 luimême et la bobine de déclenchement R12 dudit relais R12. Quant au relais Ri 1, il est enclenché en même temps que le relais R9. A cet effet, lorsque le relais R8 passe à la position déclenchée, cela ferme un circuit pour la bobine de déclenchement Ri lu de ce relais R11 par les contacts d8 du relais R8 et les contacts all du relais Ri 1. Ce circuit de déclenchement particulier pour le relais Rî 1 est prévu dans l'exemple représenté pour assurer simplement que seul ce relais Ri 1 soit déclenché quand on passe du rayonnage de gauche 32 au rayonnage de droite 34 (fig. 1).
Par conséquent lorsque l'appareil est prêt à passer au rayonnage 34, il convient de s'assurer que les bobines d'enclenchement R8-R10 et R12 restent alimentées.
I1 convient maintenant que le moteur M2 d'entraînement par friction (fig. 11 et 21b) soit alimenté pour orienter convenablement le plateau No 2 par rapport à la table d'avance angulaire 109. A cet effet, en même temps que le relais R6 a été déclenché, il s'est établi un circuit d'alimentation de ce moteur
M2 par les contacts f6, les contacts h5, les contacts h3, les contacts h4 et la borne d'entrée dudit moteur qui tourne en impartissant un mouvement rapide au plateau No 2 dans le sens des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 6) en vue d'amener l'ouverture 98 du tiroir 94 dans l'alignement des ouvertures 166 168 de la plateforme 38 et de la table 109.
Lorsque le plateau No 2 tourne ainsi dans le sens des aiguilles d'une montre, l'oreille dépassante 106 du pêne 99 vient buter contre le cliquet d'arrêt 209 en permettant le déclenchement du dispositif de positionnement 192 et en libérant le bouton MSla du micro-interrupteur MSI (fig. 9 et 21b). Cela fait passer le microinterrupteur MS1 de la position déverrouillée à la position verrouillée en fermant ainsi un circuit propre à alimenter la bobine d'enclenchement R4L du relais de rotation R4.
Lorsque ce rabais R4 passe de l'état déclenché à l'état enclenché, ses contacts h4 s'ouvrent, tandis que ses contacts g4 se ferment, ce qui coupe le moteur de positionnement M2 et ferme le circuit d'ali- mentation du moteur d'avance d'échantillon M3. Le passage du micro-interrupteur MS1 à la position verrouillée coupe l'électro-aimant S1 en permettant ainsi au ressort 240 d'amener le dé 231 au contact du goujon de verrouillage 230 qui dépasse en direction du bas à partir du tiroir 94 du plateau No 2.
A ce moment, ce plateau No 2 et le mécanisme de positionnement 192 se trouvent à la position en traits pleins de la fig. 9 c'est-à-dire que la paroi radiale 92 qui sépare les compartiments 89-1 et 89-24 est centrée sur l'axe vertical de la cage ou puits de monte-charge 48. Le plateau est maintenant prêt à être avancé en sens inverse des aiguilles d'une montre (tel que vu en fig. 9), et comme la came 266 de la roue 256 (fig. 10 et 21b) est au contact du bouton
MS5a du micro-interrupteur MS5, le micro-interrupteur MS4 ou tâteur de flacons est momentanément en fonctionnement pour détecter la présence ou l'absence d'un flacon échantillon dans le compartiment 89-1. L'avance angulaire du plateau No 2 s'effectue de façon identique à ce qu'on a décrit plus haut pour le plateau No 1.
Lorsque ce plateau No 2 avance vers la position No 1 (c'est-à-dire celle correspondant au compartiment 89-1) le micro-interrupteur MS3 passe de la position marche à la position arrêt en coupant ainsi le circuit d'alimentation de la bobine S3 associée à la roue à rochet 442 de l'interrupteur à avance saccadée SS1. La coupure de cette bobine S3 provoque le retour de l'armature 440 sous l'effet du ressort 441, ce qui fait avancer la roue 442 d'une dent en ramenant les frot teurs sala, SSiio SSlb sur leurs plots No 1 respectifs.
La description qui précède fait bien comprendre que les échantillons du plateau No 2 seront successivement abaissés dans l'appareil de détection A et analysés par comptage de la même manière que celle décrite précédemment pour le plateau No 1. Le second plateau sera ramené de la même façon que le premier au rayon qui lui correspond et le mécanisme sélecteur de plateaux se déplacera ensuite successivement en face des dix premiers plateaux 32a32j du rayonnage de gauche 32 pour amener ainsi les uns après les autres tous les plateaux de ces dix rayons sur le mécanisme revolver d'avance B (fig. 1 et 6).
Au cas où un ou plusieurs de ces dix premiers plateaux ne se trouverait pas sur leurs rayons respectifs, cet état de choses serait détecté par le galet tâteur 425 associé au micro-interrupteur MS10 en assurant ainsi que le relais de recherche verticale R9 (fig. 21d) ne soit pas amené à la position enclenchée pour les rayons correspondants. Par conséquent, le moteur d'entraînement vertical M4 continuerait à tourner dans le sens de la montée jusqu'à ce qu'on détecte la présence d'un nouveau plateau.
I1 est encore prévu des moyens pour faire passer le mécanisme de sélection de plateaux du rayonnage de gauche 32 au rayonnage de droite 34 lorsque le cycle de recherche a été terminé dans le premier, c'est-à-dire après que le plateau N" 10 a été ramené à son rayon 32j. Lorsque ce retour est effectué, le mécanisme de transfert de plateau réamorce le cycle de recherche verticale décrit plus haut, en envoyant ainsi un signal de départ à la borne mon tés du moteur d'entraînement vertical M4. Ce signal arrive simultanément au frotteur 349a de l'in interrupteur d'étages de plateaux 349, frotteur qui est alors sur le plot j correspondant à l'étage du plateau
No 10.
Cela a pour effet de fermer un circuit d'alimentation pour les bobines d'enclenchement R14L,
R15L des relais respectifs R14, RIS, par les contacts h9 du relais déclenché R9, les contacts a1 1 du relais enclenché Roi 1 le frotteur SS2b de l'interrupteur à avance saccadée SS2 (frotteur qui est alors sur le plot No 10), pour aboutir simultanément aux bobines
R14L et R15L précitées, de sorte que les deux relais
R14 et R15 passent à la position enclenchée. En même temps un autre circuit s'établit pour la bobine de déclenchement Rl lu du relais R11 de déchargement horizontal, ce qui amène ce dernier à l'état déclenché.
Enfin, un troisième circuit se ferme sur la bobine d'enclenchement R12L du relais de chargement horizontal R12 par les contacts e8, les contacts arrêt du micro-interrupteur MS8, et les contacts c14 du relais enclenché R14, de sorte que le relais
R12 passe à l'état enclenché. De ce fait, les contacts h12 s'ouvrent, ce qui coupe le moteur d'entraînement vertical M4. I1 en résulte que ce moteur s'arrête un instant après avoir amorcé le mouvement de recherche ascendante à partir du rayon 32j qui correspond à la position du plateau No 10. A ce moment, les relais R8, R12 et R15 sont enclenchés, tandis que les relais R9, R10, R11 et R13 sont déclenchés.
On comprend qu'à cet instant du cycle de sélection de plateaux , la fourche 356 qui assure le déplacement latéral des plateaux se trouve située au sommet du rayonnage de gauche 32, après avoir terminé un cycle de recherche pour tous les autres plateaux de ce rayonnage. I1 est alors prévu d'abaisser cette fourche 356 autour de tous les plateaux du rayonnage 32 jusqu'à sa position la plus basse, puis de la décaler latéralement jusqu'à l'aligner par rapport au rayonnage de droite 34. A cet effet, un circuit se ferme pour alimenter la borne descente du moteur d'entraînement vertical M4 par les contacts g8, les contacts e12, les contacts h10 et les contacts marche du micro-interrupteur MS6.
En même temps un autre circuit se ferme pour le relais
R21, lequel ferme ses contacts R2la en établissant un circuit pour la bobine S2, ce qui dégage le frein et permet le mouvement de descente du chariot 309.
Lorsque la plateforme 38 atteint sa position basse (fig. 1 et 18), l'écrou 131 fait passer le micro-interrupteur MS6 de la position marche à la position arrêt en coupant le moteur M4 et en mettant hors d'action le relais R21 pour réappliquer le frein. Simultanément, un circuit s'établit par les contacts arrêt du micro-interrupteur MS6 vers la bobine d'enclenchement R10L du relais de descente R10, lequel passe ainsi à la position enclenchée.
Pour décaler latéralement la fourche 356 du rayonnage de gauche 32 vers le rayonnage de droite 34 en passant par la position centrale (position d'avance), un circuit s'établit pour alimenter la borne sens des aiguilles d'une montre du moteur d'entraînement horizontal M5 (fig. 21e), par les contacts elO du relais R10, maintenant enclenché, les contacts e14 du relais R14, les contacts marche du microinterrupteur MS9 et les contacts f13 du relais déclenché R13 pour aboutir à la borne sens des aiguilles d'une montre du moteur. Ainsi, le moteur d'entraînement horizontal M5 est mis sous tension et la fourche 356 démarre latéralement à partir du rayonnage de gauche 32 en direction de la plateforme 38.
Lorsque le moteur M5 amène ainsi la fourche latéralement à la position centrale, le micro-interrupteur
MS9 (fig. 21e) passe de la position marche à la position arrêt , ce qui a pour effet de couper momentanément ledit moteur M5. Mais en même temps, un circuit s'établit pour la bobine d'enclenchement
R13L du relais de rayonnage R13 par les contacts arrêt du micro-interrupteur MS9, les contacts g14 du relais enclenché R14 et par le frotteur Sus20 de l'interrupteur à avance saccadée SS2 (et par son plot No 10), de sorte que le relais R13 passe à la position enclenchée.
De ce fait, le courant peut circuler par les contacts ai 3 de ce relais R13, maintenant enclenché, et les contatcs a14 du relais enclenché R14 pour arriver à la bobine de déclenchement Rl4u de ce dernier qui passe ainsi de la position enclenchée à la position déclenchée. I1 en résulte que le courant peut passer maintenant par les contacts g10 du relais enclenché R10, les contacts f14 du relais R14 et les contacts e15 du relais enclenché R15 pour arriver à la bobine de déclenchement Ri2u du relais R12 qui passe ainsi à la position déclenchée.
A cet instant du cycle opératoire, les relais R8,
R10, R13 et R15 sont tous enclenchés, tandis que les relais R9, Roll, R12 et R14 sont déclenchés. La fourche 356 se trouve maintenant à sa position centrale la plus basse.
Pour assurer la poursuite du déplacement latéral de la fourche 356 vers le rayonnage de droite 34, il s'établit un circuit aboutissant à la borne sens des aiguilles d'une montre du moteur d'entraînement horizontal M5 par les contacts arrêt du microinterrupteur MS6, les contacts e8 du relais enclenché
R8, les contacts dll du relais déclenché Roll, les contacts marche du micro-interrupteur MS8, les contacts b12 du relais déclenché R12 et les contacts gel 3 du relais enclenché R1 3. Ainsi, le moteur M5 est à nouveau alimenté et la fourche 356 continue à se déplacer de gauche à droite vers le rayonnage de droite 34 à partir de sa position centrale.
Quand elle parvient ainsi à sa position extrême droite, pour laquelle elle est alignée avec les rayons du rayonnage de droite 34, le micro-interrupteur MS8 passe de la position marche à la position arrêt en coupant ainsi le circuit d'alimentation du moteur d'entraînement horizontal M5 qui s'arrête. De ce fait, un circuit se ferme par les contacts arrêt du microinterrupteur MS8 et les contacts el4 du relais R14 pour arriver à la bobine d'enclenchement R11L du relais de déchargement horizontal R11, lequel passe de la position déclenchée à la position enclenchée.
L'appareil est maintenant prêt à commencer un cycle de recherche verticale dans le rayonnage de droite 34, la fourche sélectrice 356 s'élevant progressivement autour des rayons qui correspondent aux plateaux No 11 à No 20. Pour amorcer ce cycle, un circuit d'alimentation s'établit pour le moteur d'entraînement vertical M4 par les contacts g8 du relais
R8, los contacts gll du relais R11, les contacts d9 du relais R9, les contacts h12 du relais R12 et la borne montée du moteur d'entraînement vertical
M4 qui est ainsi mis sous tension. Simultanément, le relais R20 est excité pour fermer ses contacts
R20a, normalement ouverts, et pour établir ainsi le circuit d'alimentation de la bobine S2, laquelle dégage le frein en permettant la rotation de la vis 132.
Un autre circuit s'établit par les contacts g8, les contacts ell, les contacts e 15 et la bobine de déclenchement R10, du relais R10, qui passe ainsi de la position enclenchée à la position déclenchée. En même temps, le relais R15 est déclenché par fermeture d'un circuit d'alimentation de sa bobine de déclenchement R15u à travers les contacts g15 du relais enclenché
R15, les contacts. marche du micro-interrupteur
MS7 et la bobine de déclenchement Ri SU.
Le circuit de programme est maintenant en état de commencer un cycle de recherche verticale dans le rayonnage de droite 34. Ce cycle sera identique à celui décrit plus haut pour le rayonnage de gauche 32. Au cours de ce cycle, la fourche 356 va s'élever progressivement au droit des divers rayons 34a-34j en choisissant successivement les plateaux qui s'y trouvent et en transférant ceux-ci au mécanisme revolver d'avance B. Après que le cycle de comptage des échantillons renfermés par chacun de ces plateaux a été terminé, le plateau considéré sera ramené au rayon dont il avait été enlevé.
Après que le plateau No 20 a été transféré au mécanisme revolver B, puis ramené à partir de celuici, il y a lieu de prévoir un nouveau changement de rayonnage de droite 32. L'opération correspondante est substantiellement identique à celle susdécrite, sauf que le relais de rayonnage R13 est initialement à l'état enclenché, et non pas déclenché. Par conséquent, lorsque la fourche 356 a été abaissée à sa position inférieure et que le moteur d'entraînement vertical M4 a été coupé, ladite fourche commence à se déplacer latéralement vers le centre de l'appareil.
Quand elle arrive à la position centrale, le relais R13 passe de l'état enclenché à l'état déclenché et le moteur d'entraînement horizontal M5 continue à entraîner la fourche latéralement vers une position pour laquelle elle se trouve alignée avec le rayonnage de gauche 32, après quoi le cycle d'opération est terminé.
Il y a lieu de noter ici que, pendant un cycle de recherche verticale, l'interrupteur à avance saccadée SS2 (qui joue le rôle de mémoire de la position du plateau auquel correspond le plateau en cours de comptage) passe progressivement de ses plots 1 à ses plots 10 au cours de la sélection des plateaux No 1 à N" 10. Chaque fois qu'un plateau a été ramené sur son rayon, cet interrupteur s'avance d'un plot à la façon déjà décrite. Après le retour du plateau No 10 à son rayon 32j, l'interrupteur SS2 passe sur le plot No 1 1 qui correspond à la position du plateau
No 11.
Mais à ce moment le relais R11 se déclenche en empêchant la fermeture du circuit d'alimentation par le contact c11 et en s'opposant ainsi à toute avance subséquente de l'interrupteur SS2. Aussi longtemps que ce relais R11 reste déclenché, l'interrupteur SS2 ne peut plus avancer. Lorsque la fourche 356 est alignée avec le rayonnage de droite R4, le relais R11 passe à nouveau à l'état enclenché et par conséquent, le fonctionnement d'avance de l'interrupteur SS2 peut s'effectuer normalement.
Au cours des cycles de recherche verticale dans les rayonnages de gauche ou de droite 32, 34, le relais de recherche verticale R9 passe à l'état enclenché toutes les fois qu'un plateau a été sélectionné et déplacé latéralement à partir du rayon qui lui correspond. Par conséquent, la bobine S4 de l'interrupteur à avance saccadée SS2 ne peut pas être excitée en suite d'un déplacement vertical, étant donné que son circuit d'alimentation passe par les contacts f9 et que ceux-ci s'ouvrent lorsque le relais R9 s'enclenche.
Ainsi, l'interrupteur SS2 ne peut avancer avant que le relais de recharche vertical R9 ne soit à nouveau déclenché.
I1 est encore prévu des moyens pour enlever automatiquement un plateau d'échantillons du mécanisme revolver d'avance B au cas où l'opérateur désirerait analyser un autre plateau par priorité. A cet effet, il convient d'arrêter le cycle de comptage du plateau qui se trouve sur le mécanisme B et de retourner celui-ci sur son rayon, puis d'actionner le mécanisme sélecteur pour qu'il avance automatiquement devant tous les rayons, sans se soucier de savoir s'ils renferment ou non un plateau, jusqu'à arriver à celui de ces rayons sur lequel se trouve le plateau prioritaire.
Dans ce but, l'appareil comprend un interrupteur sélecteur de plateaux 42 (fig. 1 et 21c), de sorte que l'opérateur peut placer le plateau prioritaire sur un rayon vide quelconque, par exemple le rayon qui correspond normalement au plateau No 20, puis amener ledit interrupteur 42 sur son plot No 20 corespondant. On supposera en outre que le plateau qui se trouve en position de comptage est le plateau
No 17 et que les plateaux No 18 et No 19 sont normalement disposés sur leurs rayons respectifs 34h, 34i. Dans ces conditions, après avoir manoeuvré le bouton sélecteur de plateaux 42, l'opérateur tourne simplement l'interrupteur sélecteur de mode 40 pour l'amener sur son plot sélection . De ce fait, un signal apparaît sur la borne de retour 86 du dispositif logique ou dispositif à programme 63 (fig.
22), ce qui a pour effet d'actionner les organes de lecture pour lire le nombre alors enregistré. En même temps, un signal est transmis à partir de la ligne L1 par le frotteur 40e de l'interrupteur sélecteur de mode en direction de la bobine d'enclenchement R7L d'un relais sélecteur de plateaux R7, qui passe alors de la position déclenchée à la position enclenchée. Du fait de l'enclenchement du relais R7 un circuit d'alimentation s'établit pour la bobine d'enclenchement
R6L du relais R6 de dernier échantillon par les contacts c7 du relais R7, maintenant enclenché, de sorte que ledit relais R6 passe lui-même à la position d'enclenchement. L'échantillon qui se trouve dans. le puits de détection est évacué et, comme le relais R6 est enclenché, un signal est transmis au mécanisme sélecteur de plateaux à la façon décrite plus haut.
Après que le plateau No 17 a été ramené sur son rayon 34g, l'appareil entreprend un cycle de recherche verticale du plateau sélectionné, c'est-à-dire du plateau No 20 dans I'exemple choisi.
Dans des conditions normales, le plateau suivant à sélectionner, après que le No 17 a été retourné sur son rayon, serait le No 18. Toutefois, avant que le plateau No 18, ou le plateau No 19, puissent être sélectionnés, il faut qu'ils aient été détectés par le galet tâteur 425 associé à l'interrupteur détecteur de plateaux MS11 1 qui envoie alors normalement un signal plateau présent à travers les contacts h7 du relais déclenché R7. Mais comme le relais R7 est maintenant enclenché, les contacts h7 sont coupés et par conséquent le signal de sortie du micro-interrupteur MS11 ne peut pas atteindre le moteur M4 pour arrêter le cycle de recherche verticale. Donc, ce moteur continue à fonctionner bien qu'il se trouve des plateaux sur les rayons 34h et 34i.
La seule manière qui permette maintenant d'arrêter le cycle de recherche verticale consiste à déclencher le relais R7.
I1 convient donc de déclencher le relais R7 après avoir tâté le dix-neuxième plateau. A cet effet, l'in terrupteur sélecteur de plateaux 42 comporte vingt plots qui corespondent respectivement aux vingt positions des plateaux. Toutefois, les plots de ces interrupteurs ne coïncident pas avec les vingt plots correspondants de l'interrupteur à avance saccadée SS2.
Au contraire, M5 et que, par conséquent, la fourche 356 demeure à sa position centrale inférieure.
Lorsque le mécanisme sélecteur de plateaux a ainsi été arrêté à sa position centrale inférieure, l'opérateur peut remplacer les plateaux en totalité ou en partie, comme il le désire. Après cette opération, l'appareil se trouve prêt pour un nouveau cycle de fonctionnement ; il suffit à l'opérateur de faire passer l'interrupteur sélecteur de plateaux 42 de la position zéro sur n'importe quel autre plot, et le cycle de recherche verticale commence alors, la fourche 356 se déplaçant progressivement de la position correspondant au plateau N 1 à celle qui correspond au plateau No 20.
Il importe peu de savoir sur quel plot l'opérateur place l'interrupteur 42, étant donné que le relais R7 ne peut être à nouveau enclenché que lorsque l'interrupteur sélecteur de mode 40 est passé de son plot fonctionnement à son plot sélec tion > ,. Si par exemple, l'interrupteur 42 a été placé sur la position plateau No 1 , le frotteur 42a arrive sur l'un des contacts court-circuités, ce qui établit le circuit d'alimentation de la bobine de déclenchement Rl3u du relais R13 et permet au moteur d'entraînement horizontal M5 de fonctionner à nouveau pour faire passer le mécanisme sélecteur de plateaux de la position centrale vers la gauche jusqu'à l'aligner avec le rayonnage 32. La recherche verticale commence alors et le fonctionnement se poursuit de façon normale.
REVENDICATIONS
I. Procédé pour l'analyse d'échantillons radioactifs, caractérisé en ce qu'on répartit ces échantillons en groupes distincts, en ce qu'on emmagasine ces groupes à des emplacements respectifs séparés les uns des autres, en ce qu'on les transfère successivement un par un au droit d'un appareil de détection du raponnement radio-actif, en ce qu'on fait avancer le groupe ainsi transféré de façon à amener un à un les échantillons qu'il renferme en face de l'entrée dudit appareil de détection pour y être introduits et analysés, et enfin en ce qu'on ramène ensuite tout le groupe à son emplacement de magasinage une fois ses échantillons analysés.
Method for analyzing radioactive samples and apparatus for carrying out this method
A method of analyzing the activity of a radioactive source is known, which consists in associating therewith a product, such as a liquid, capable of emitting light scintillations under the effect of ionizing radiation, and counting the flashes of scintillation by means of suitable detectors, such as photomultipliers. On the other hand, it often happens that a very large number of samples have to be analyzed in this way and the problem has arisen of carrying out these operations in the best conditions of speed and safety.
The invention which tends to solve this problem without however being limited to the use of a scintillation detector, relates to a method for the analysis of radioactive samples. According to the invention, this method is characterized in that these samples are distributed into distinct groups, in that these groups are stored at respective locations separated from each other, in that they are transferred successively one by one to the other. right of an apparatus for detecting radioactive radiation, in that the group thus transferred is moved forward so as to bring the samples it contains one by one in front of the entrance of said detection apparatus to be introduced therein and analyzed, and finally in that the whole group is then returned to its storage location once these samples have been analyzed.
Another subject of the invention is an apparatus for implementing the above method. This apparatus is characterized in that it comprises a fixed detection apparatus, supports suitable for each containing a certain number of samples, a storage device comprising at least one location for each of said supports, a support receiving station arranged on the detection apparatus, means for transferring any of the media to this station from its location in the storage device and then selectively returning it to that location after analysis of the samples it contains, and means to advance by successive movements the support which is at the receiving station,
so as to successively bring each of its samples to the right of the entrance of the detection device to be introduced into the latter and analyzed.
The accompanying drawing shows, by way of example, an embodiment of the apparatus according to the invention.
Fig. 1 is an elevational view of said embodiment, the cabinet of the apparatus being silhouetted in phantom.
Fig. 2 is a horizontal section along 2-2 (fig. 1).
Fig. 3 is a detail section corresponding to line 3-3 of FIG. 2, to show more particularly certain parts of a mechanism for orienting the plates.
Fig. 4 is a partial plan view from below of a sample tray, this view corresponding substantially to section 4-4 of FIG. 3. The plate shown receives a certain number of radioactive samples and allows their successive transfer to a detection station.
Fig. 5 is a detail section along 5-5 (fig.
4), the plate being shown in the upright position.
Fig. 6 is a plan view of the mechanisms for centering and advancing the plates, this view corresponding to section 6-6 of FIG. 3. There is shown, in broken lines, the position of a plate during an advance cycle.
Fig. 7 is a plan view from below, corresponding to section line 7-7 of FIG. 3, in order to show certain details of the centering and advancing mechanisms.
Fig. 8 is a partial plan view on a very large scale of the centering and advancing mechanisms, some parts however being removed for clarity of the drawing. The advance mechanism is shown in the engaged position> before it is locked with the plate, while the dashed line indicates the offset that must be made to the plate to bring this mechanism to the position.
triggered.
Fig. 9 is a view similar to that of FIG. 8, but in which the line in solid lines represents the triggered position, while the line in broken lines indicates the relative positions of the plate and of the advance mechanism at the end of an angular travel equal to a quarter of a phase d normal advance.
Fig. 10 is a partial cut along 10-10
(fig. 6), indicating the detail of the training of the
canism in advance.
Fig. 11 is a partial section following 11-11
(fig. 6) to show the details of the drive of the table centering mechanism.
Fig. 12 is a section along 12-12 (fig. 8) showing the details of the centering mechanism.
Fig. 13 is an elevational view with section
partial following 13-13 (fig. 8), in order to indicate the
details of a vial feeling mechanism.
Fig. 14 is a plan view corresponding to section line 14-14 of FIG. 1, to show
parts of a storage mechanism and
for transferring the trays according to the invention.
Fig. 15 is a partial view on a large scale
from the rear, substantially corresponding to the line
cutting 15-15 (fig. 14) and showing the details of a
mechanism for vertical and lateral movement of
trays.
Fig. 16 is a partial vertical section through
large scale according to 16-16 (fig. 14), intended for
represent the mechanics of the mechanics
vertical transfer mechanism of the trays.
Fig. 17 is a view similar to that of FIG.
16, but corresponding to cut line 17-17 of
fig. 14 and showing the details of the
lateral transfer of the trays.
Fig. 18 is a large-scale partial cut
following 18-18 (fig. 15), this view being intended for
indicate the links between the transfer mechanism
vertical of the plates and the angular centering one
of these.
Fig. 19 is a large-scale section following
19-19 (fig. 15) showing part of the device
drive of the lateral transfer mechanism of
trays.
Fig. 20 is a detail section on a large scale on 20-20 (fig. 14).
Figs. 21a to 21e are partial diagrams showing the electrical controls of the apparatus shown in FIG. 1.
Fig. 22 is a schematic representation of an electrical assembly suitable for receiving, counting and recording the response of a radiation detector.
The apparatus shown in fig. 1, is intended to store a certain number of trays of radioactive samples and to transfer them one by one to a rotary advance mechanism (revolver mechanism) which centers the successive samples of each tray relative to the load-mounting device of a detector radiation. In fig. 1, this detector has been designated by the reference A, while the revolving mechanism for advancing and centering the trays of the apparatus has been referenced B and the storage and transfer device indicated by the reference C.
As can be seen from fig. 1, the mechanisms
B and C of the apparatus 30 are enclosed with the mechanism A in a cabinet 31, which is preferably refrigerated in order to lower the temperature of the samples to an equilibrium value suitable for reducing thermal agitation which would otherwise tend to increase. the level of parasitic background noise signals. The detector and elevator mechanism
A is arranged with the apparatus in the lower part of the cabinet 31, the revolving centering and advancing mechanism B being mounted on the top of the previous one.
To store a large number of trays of radioactive samples ready to be transferred to mechanism B, the apparatus 30 comprises respectively on the right and on the left, two rows of shelves suitably spaced in the vertical direction, these rows or shelves having been referenced 32 and 34. When the transfer members of the storage device are started up, the trays 35 carrying the samples 36 are moved sideways one by one in the direction of the axis of the apparatus 30 where the tray 35 in question is supported by a platform 38 , movable vertically, which is used to lower the plate to a single selection station produced by the revolver mechanism B.
The cabinet 31 is dimensioned so as to determine in its upper part, a compartment 39 suitable for receiving and housing at least some of the electrical components of the apparatus 30, for example printed circuit boards and the like, not shown. To ensure control of the counting and sample change cycles, a number of hand switches have been mounted on the front of the cabinet 31, three of which have been schematically indicated at 40, 41 and 42 in the diagram. fig. 1. The operation of these switches 40, 41 and 42 will be described below, in combination with the control circuits (fig. 21a-21e). It suffices to note for the moment that the switch 40 corresponds to the selection of modes, the switch 41 to the number of cycles per plate and the switch 42 to the selection of the plates.
To facilitate understanding, the general arrangement and operation of the detector and lift mechanism or apparatus A will be described very briefly.
As shown in fig. 1, this mechanism or apparatus A comprises a base 44 containing two light transducers, such as photomultipliers 45, 46, arranged on either side of a vertical lift shaft 48. In this well 48 moves the platform 50 of the freight elevator and which is intended to receive a sample 36 from the revolving advance mechanism B and to lower it into the well to align it between the photomultipliers 45 and 46. The samples 36 may for example consist of a vial or other suitable container containing a scintillator liquid and the isotope or isotopes which it is desired to analyze.
Thus, when these isotopes decay, flashes of light occur in the scintillator liquid, as well known in the art; these flashes are detected by the photomultipliers which generate response signals in the form of voltage pulses corresponding to each flash detected. At the end of a counting cycle, the freight elevator is raised so as to bring the sample 36 back to the tray 35 from which it had been removed. On the upper end of the base 44 is mounted a shutter mechanism 51 intended to prevent parasitic signals from the photomultipliers 45, 46 resulting from ambient radiation.
At the same time, the base 44 is itself made of a suitable protective material, such as lead, which reduces the risk of lightning appearing either in the scintillator liquid or in the photomultipliers under the effect of ambient ionizing radiation. .
To ensure the vertical movement of the load elevator in order to introduce the samples 36 into the well 48 and to bring them out, this load elevator is coupled to a reversible motor M1. In the example shown this is obtained by attaching a cable 52 at an intermediate point 54 of the freight elevator, the other end of the cable passing over an idler pulley 55 and over a pulley 56 mounted eccentrically on the shaft 58 of the hoist. motor M1. A second cable 59 is fixed to the lower end of the freight elevator, as indicated at 60, this cable 59 also passing over pulley 55 and over a second pulley 61, also eccentric on shaft 58.
The arrangement is such that, when the motor M1 is powered to rotate it clockwise, as seen in FIG. 1, the cable 59 unwinds from its pulley 61, while at the same time, the cable 52 winds up on its pulley 56, which causes the platform 50 to descend into the well 48 with the sample it supports. Of course, the movement in the opposite direction of the motor M1 unwinds the cable 52 and coils the cable 59, thus lifting the goods lift.
The motor supply circuit M1 has a limit switch LSl (fig. 1 and 21a), mounted on the frame of mechanism A in a position such that its actuator LSla is moved by a side ramp 62 mounted at the lower end of the freight elevator, when the latter is in the lowered position for which sample 36 is aligned between photomultipliers 45, 46. Actuation of the LS1 unit cuts off the motor M1 thus allowing the device to be ready for a counting cycle.
A second limiter switch LS2, inserted in another power supply circuit of motor M1, is arranged on the frame of the detector and lift mechanism A so that its actuator LS2a is pushed back by the ramp 62 when the freight elevator arrives at the top of its travel, sample 36 having then been returned to plate 35 from which it had been removed. Thus, the limit switch
LS2's role is to stop the M1 motor when the goods lift reaches its upper limit switch.
The supply circuits suitable for causing the rotation of the motor M1 in one direction and in the other will be described in more detail in connection with the control circuits shown in FIGS.
21a-21e.
Program device
We will now describe a program device indicated by the general reference 63 in FIG. 22 and suitable for use with corresponding control circuits.
If one refers to said FIG. 22, it will be appreciated that after a sample 36 has been suitably disposed between the detector photomultipliers 45, 46, a signal appears on a terminal 64 (as will be better explained hereinafter) and is led by a conductor 65 to a programmer 66. This signal indicates that a sample is ready for measurement.
In response to this signal, the programmer 66 issues a corresponding signal over leads 68 and 69 to open a door 70 and initiate the operation of a time apparatus 71. During the time for which the latter has been set, the voltage pulses emitted by the photomultipliers 45, 46 pass through an amplifier 72, pass through the gate 70, then open, to arrive at a counter 74. At the end of the scheduled time, the time device emits a signal on leads 75 and 76 to respectively close the door 70 and indicate to the programmer 66 that the countdown is finished. In response to the signal received from lead 76, programmer 66 in turn issues an actuation signal on lead 78 terminating at printing device 79.
The latter is connected to the counter 74 by a channel 80 and thus prints on a strip of paper or the like the value displayed by the counter. Once the device 79 has thus performed its reading, the programmer 66 transmits signals on the conductors 81 and 82 to reset the counter 74 and the time device 71 to zero. Simultaneously, this programmer 66 further sends a signal to a terminal 85 to indicate that it is necessary to change the sample which is in a detector.
As will be described more fully with reference to FIGS. 21a to 21e, provision is also made to stop a counting cycle for a determined sample before the end of the time set by the device at time 71 in the event that the operator wishes, for example, to insert a new sample into the mechanism elevator and detector A, or fit a new plate 35 in the revolver mechanism B. Under these conditions, a corresponding signal is received on a terminal 86 from where a conductor 88 brings it to the aforementioned conductors 75, 76, in order to close the door 70 and indicate to the programmer 66 that it is necessary to stop the counting cycle. Programmer 66 therefore responds to signals applied to terminal 86 in exactly the same way as to those which appear on conductors 75 and 76 at the end of a normal counting cycle determined by the device at time 71.
As the system schematically represented in FIG. 22 can take any of the many shapes known in the art, there is no need to figure it out or describe it in more detail. It is understood, however, that the count printed by the device 79 includes the responses to the ambient radiation capable of producing flashes in the scintillator liquid, this radiation, which comes from external sources and which can be considered as background noise, coming from s 'add to the responses which result from the radiation of the sample examined. However, a preliminary measurement of background noise can be carried out in the absence of any sample or with a sample of well known radioactivity.
Its value can then be subtracted from all subsequent measurements to obtain the indication of the radiation power of the samples.
In addition to counting the number of responses from the photomultipliers during a given time interval (predetermined time operation), it is also possible, in the known manner, to measure and record the time required to obtain a certain number of responses. (predetermined number operation).
In addition, and as is well known in the art, it would be possible to provide an average frequency meter which would allow the number of flashes per unit of time, for example per minute, to be printed. All of these systems ultimately provide an indication of the rate of radioactive emission and, therefore, of its power.
The following description is aimed at a method for dividing a large number of sample vials containing a liquid scintillator and a radioactive substance, into separate groups and totally independent of each other, to transfer these groups one by one on demand to a selection station, to advance each group to this station to successively center with the detector apparatus all the samples it contains, to measure the level of radioactive activity of each sample, and finally to return each group to its starting point.
Device B (fig. 3 and 6) is suitable for receiving the sample trays in a certain order, for centering exactly on each of them a reference point along the axis of the load-lifting mechanism of the detector, and for moving each tray considered in order to center successively all the samples it contains on the aforementioned axis. The invention also relates to a device C (fig. 14 and 15) of storage and transfer of the trays, which is characterized by the fact that it can receive a large number of groups of samples of the aforementioned type, all these groups being kept entirely independent of each other, and being able to be individually and selectively transferred on request to a gun station which presents them to the detector, to then be returned to their starting point.
Revolver mechanism for centering
and the advance of the trays
The object of this mechanism is to center a certain number of sample vials 36, arranged in individual compartments provided on a carrier plate. In the example shown, the tray comprises twenty-four compartments to which the references 89-1 to 89-24 have been assigned respectively, as clearly shown in FIGS. 4 to 6. The plate 35 is annular in shape. It comprises an outer peripheral wall 90, an inner peripheral wall 91 and a series of radial connecting partitions 92 which here determine the succession of compartments 89-1 to 89-24. These compartments of the tray are open at both ends, which makes it possible to introduce the sample vials from the top of the compartment in question and to withdraw them from the bottom.
However, the lower end of each compartment is normally closed by a drawer 94 slidably fixed to the underside of the tray using a series of clamps 95 and screws 96. To allow the passage of a sample bottle 36 each time through the lower end of the corresponding compartment, this drawer 94 is cut out with an opening 98 of dimensions a little larger than those of the compartments.
The drawer 94 is mounted on the plate 35 so as to be able to slide freely on the latter, but it is however provided to lock it in a fixed position for which that of the radial partitions 92 which separates the compartments 89-1 and 89-24 is disposed transversely in the middle of the opening 98 of the drawer, as clearly shown in FIG. 4. For this purpose, a bolt 99 is mounted in a vertical groove 100 hollowed out in the inner peripheral wall 91 of the plate 35, this bolt being articulated to said plate 35 about a horizontal axis 101 which passes through it in its middle.
The lower part of the edge of the bolt 99 furthest from the axis of the plate comprises a notch 102 and a protruding finger 104, the notch being arranged so as to cooperate with a corresponding notch 105 cut in the inner edge of the drawer 94. In the locked position, finger 104 protrudes below the underside of drawer 94. The upper end of the bolt 99 has a lug 106 which projects radially inwards to form a stop.
The bolt 99 is normally returned to the locked position relative to the spool 94 (i.e. the position for which the notches 102 and 105 are engaged with each other) by means of a blade of spring 108 disposed in the vertical groove 100, this spring tending to urge the bolt to rotate counterclockwise (in FIG. 5) around its articulation axis 101. The spring 108 thus has the role, not only of returning the drawer 94 and the plate 95 to the locked position, but also of pushing the stop lug 106 inwards with respect to the inner wall 91 of the plate, in l 'thus bringing it into the useful operating position.
Means are provided for automatically and exactly centering the rectangular opening 98 of the drawer 94 of the plate 35 with respect to the axis of the shaft 48 of the freight elevator in the mechanism A, this centering being carried out very quickly when a plate 35 was deposited at the gun station corresponding to mechanism B. To this end, and as clearly shown in Figs. 3 and 6, said mechanism B comprises a table 109 rigidly fixed to the upper face of the base 44, for example by means of a certain number of screws, one of which has been shown at 110 in FIG. 3.
The table 109 slidably supports a carriage 111 free to approach or move away from the axis of the well 48. For this purpose, the carriage 111 is secured to a pin 112 oriented upwards and which passes through an elongated window 114 cut out in the table 109 to end with a head 115 having a diameter substantially greater than the width of the window ( fig. 6). The arrangement is such that the carriage 111 is suspended from the table 109 by the head 115, the pin 112 remaining free to move back and forth in the window 114.
In fig. 3, the carriage has been shown in its advanced position (that is to say at the end of its travel to the right in this figure), it is normally returned to the rear by means of a spring 116, the two of which ends are attached to studs 118 and 119 integral with the respective undersides of table 109 and carriage 111 from which they protrude downward.
To advance the carriage 111 in the direction of the axis of the shaft 48 of the freight elevator when the mobile platform 38 and its accessories are at their lower end of travel (that is to say at the position shown in FIG. 3), there is provided a cable 120 rigidly fixed to the pin 119 of the carriage and which leaves from the latter in the direction of the front (that is to say from the right in FIG. 3) to pass over a return pulley 121 mounted on supports 122 (fig. 3 and 7). Brackets 122 are rigidly attached to table 109 and protrude downward through a notch 124 cut in carriage 111. They are therefore fixed relative to the table. The free end of the cable 120 extends towards the rear from the pulley 121 and passes over an idle pulley 125 (fig. 3 and 18) articulated on one of the supports 126 integral with the rear frame of the device (fig. 15).
The corresponding end of the cable 120 is rigidly fixed to a cross member 128 (fig. 18) which protrudes through vertical grooves 129, cut in the support 126 and which is capable of moving in the vertical plane determined by said grooves 129. A pusher 130, integral with the cross member 128 protrudes upward from the latter.
Things are arranged so that, when the mobile platform 38 descends towards the table 109 (in the position which will be described in more detail below), it bears on the frame of the apparatus 30, its lower face substantially at the bottom. level with the top of the table. But an advance nut 131 (fig. 18) of the vertical control mechanism continues to descend on its actuating screw 132, this protrusion of the nut constituting an additional stroke. During this stroke, a wing 134 oriented towards the rear and rigidly secured to the nut 131 comes into contact with the upper end of the pusher 130 so as to lower the latter to the position shown in FIG. 18.
During this descent of the pusher 130, the latter cooperates with the cross member 128 to pull the cable 120 rearwardly against the normal return action of the spring 116. This movement of the cable drives the carriage 111 forward, that is to say towards the axis of the hoist shaft.
It is planned, in conjunction with this advance of the carriage 111, to establish a three-point device for exactly centering the plate 35 on the platform 38, despite any accidental misalignment which could have occurred during the installation of the tray on it. For this purpose, the carriage 111 is rigidly secured to a centering shoe 135, preferably made of a wear-resistant material, such as for example nylon, the fixing in place of this shoe being ensured by a number of screw 136 (fig. 12), which pass through windows 138 cut from table 109.
In this way, as the carriage 111 advances towards the axis of the hoistway, the nylon shoe 135 advances with it and its curved leading edge 139 (fig. 3), comes into contact with an inner peripheral surface or bearing 140 provided on the inner wall 91 of the plate 35 (fig.
3 and 5) thus determining one of the three centering points.
To complete this three-point centering device for the plate 35 on the platform 38, the revolving advancement mechanism B shown by way of example comprises two rollers 141, 142, associated with the carriage 111 in such a way that they are brought in. intimate rolling contact with the bearing surface 140 of the plate. The rollers 141, 142 are mounted for this purpose on angled levers, respectively 144, 145 articulated against the underside of the table 109, as indicated respectively at 146, 148 (fig. 6 and 7). These levers are normally biased around their respective axes by springs 149, 150 fixed in the vicinity of the end of each of them, as indicated at 151, 152. The opposite ends of these springs are attached to studs 154-155 facing down from table 109.
Thus, the springs 149, 150 tend to urge the rollers outwards to bring them into contact with the bearing surface 140 of the plate 35.
I1 is also provided means to allow the movement of the rollers 141, 142 in the direction of the outside, only during the advance of the carriage 111. In the example shown, two retaining studs 156, 158, oriented in the downward direction, are rigidly fixed to the carriage 111, these studs being arranged so as to come into contact with the ends of the angled levers 144, 145 on which the springs act. , for the purpose of controlling the movement of said levers and, consequently, that of the rollers. When the feed nut 131 (fig. 18) performs its additional stroke, the carriage 111 is driven forward in the manner described above, so as to bring the curved face 139 of the shoe 135 in contact with the bearing surface 140 of the plate 35.
At the same time, the springs 149, 150 tend to rotate the angled levers 144, 145 about their respective axes so as to push the rollers 141, 142 against the bearing surface 140 thereby achieving the three-point centering necessary to bring about exactly the plate 35 on the desired axis. If we consider fig. 3, it may be noted that the rollers and the shoe 135 comnortent a protruding chin 159, bevelled towards the outside and arranged so as to overlap a bevelled annular surface 160 provided on the inner wall 91 of the plate 35. In this way, the three-point centering mechanism not only ensures the exact positioning of the plate 35 so that it can rotate about a predetermined axis, but it prevents turning, it tends to tilt the plate. arms in the same direction.
As can be seen from fig. 11, the arm 184 rigidly supports a tubular sleeve 189, oriented in the upward direction and in which is rotatably mounted a shaft 190 which carries the friction roller 170 at its upper end. The lower end of the shaft 190 is keyed into the output gear 175, which tends to act as a planet gear rotating around the gear 174 forming the central sun gear. The arrangement is such that when the engine
M2 is put into operation, the planetary gear 174 is driven counterclockwise (as seen in fig. 6) by train 171, 172, 173.
At this moment, the arm 184 is driven by friction with said planetary gear 174 around the axis of the latter, driving with it the sleeve 189, the shaft 190 and the roller 170, all this assembly rotating in the opposite direction. clockwise around the planetary gear. At the same time, since this gear and the satellite 175 are in direct mesh, the latter is driven in a clockwise direction with the roller 170. It will be noted in fig. 6 and 11, that the sleeve 189 passes through a groove 191 cut in the table 109 and also passes into the opening 161 of the platform 38.
Therefore, when the arm swings counterclockwise around the axis of the planetary gear 174, the friction roller 70 (which rotates clockwise) moves in the direction from the outside to come to bear on the surface 140 provided on the inner wall of the tray. This contact stops the planetary movement of gear 175 and arm 184 in a counterclockwise direction. But the friction between the upper face of the planetary gear 174 and the arm 184, as provided by the washer 182 and the spring 185, keeps the friction roller 170 in close contact with the plate 35.
As this roller 170 rotates in the direction of clockwise, the plate begins to rotate in the same direction, bringing the drawer 94 with it, until the opening 98 thereof is brought onto the axis of the respective openings 166, 168 of the platform 38 and of the table 109.
A device for positioning the trays is also provided, indicated by the general reference 192 in FIG. 8, and whose role is to stop the rotation of the plate 35 when the opening 98 of the drawer is centered with respect to the axis of the lifting shaft 48 of the mechanism A. In the embodiment shown, this mechanism comprises a positioning pin 193 (fig. 8 and 12) slidably mounted in a window 194 cut in the nylon shoe 135, this stud being intended to be driven in the direction of the front to engage in one of the forty-eight recesses 195 determined by a teeth 196 provided on the inner wall 91 of the plate.
The positioning pin 193 is normally retained in its erased rear position by means of a link 198 articulated at 199 on the table 109, this link comprising a notch 200 suitable for receiving a vertical pin 201 integral with the positioning pin 193. The stud 201 passes in an upward direction through an elongated window 202 cut in the shoe 135, thereby allowing the sliding movement of the two studs 193 and 201 in the respective windows 194, 202.
In order to release the vertical pin 201 from the notch 200, means are provided which are suitable for causing the rod 198 to swing in the clockwise direction, around its articulation 199 when the plate 35 reaches a predetermined reference position.
In the example shown, these means comprise a rod 204 articulated on the nylon shoe 135 in the vicinity of the tip of the latter and which is connected to the retaining rod 198 by means of a stud 206 integral with the latter. , this stud being oriented in the direction of the top to pass through an elongated window 208 cut in the link 204.
On said rod 204 and on the edge of its periphery, is mounted a pawl 209 articulated at 210, this pawl being returned to its stop position by means of a spring 211 attached to studs 212, 214 respectively fixed to the rod 204 and pawl 209. As can be seen from fig. 12, the stud 214 extends in a downward direction below the link 204, so that the spring 211 tends to urge said stud against the edge of this link.
Figs. 8 and 12 clearly show that the pin 2C9 is arranged such that, when the plate 35 turns clockwise, said pawl is struck by the lug 106, provided on the locking bolt 99 of the drawer . Consequently, from this moment, the rotation of the plate under the action of the friction roller 170 causes the stop pawl 209 and the rod 204 to tilt from the position in solid lines in FIG. 8 to that indicated in phantom lines at 209 ', 204' in the same figure.
This has the effect of rotating the retaining rod 198 clockwise about its axis 199 through the interaction of the stud 206 and the window 208, this rotation being carried out against the reaction of a return spring 215, the ends of which are attached to studs 216-218, respectively mounted on the table 109 and on said link 198. Due to this rotation of the links 204, 198, the vertical pin 201 is released from the notch 200 cut in the link 198, which allows the positioning pin 193 to advance to engage in a hollow 195 (fig. . 9) of the tray.
Means are provided for positively driving this positioning pin 193 into the hollow 195 which faces it on the plate in order to stop the rotation of the latter. For this purpose, the vertical pin 201 is disposed between the branches of a fork 219 integral with a rod 220 articulated at 221 on the table 109. The rod 220 is normally biased counterclockwise (as seen in fig. 8) around its axis 221 by means of a spring 222, the ends of which are respectively attached to the stud 216 and to another stud 224 integral with the rod 220.
As can be seen in fig. 12, the fork 219 of the connecting rod 220 is received in a transverse groove 226 cut in the block of nylon 135 and can slide therein under the action of the spring 222 when the stud 201 is released from the notch 200.
It follows from the above-described arrangement that, when the plate 35 is driven in the clockwise direction by the friction roller 170, the lug 106 of the locking bolt 99 abuts against the stop pawl 209 at the relative position shown in solid lines in FIG. 8.
The rotational movement continues for a few more degrees by passing the lever 204 to the position 204 ', which releases the stud 201 from the notch 200; the spring 222 then drives the fork 219 in an anti-clockwise direction around the axis 221, thus advancing the positioning pin 193 in the hollow 195 of the plate which is in front of it (as indicated by the line in solid lines shown in FIG. 9). In this position, the vertical stud 201 is free to slide on the edge 228 of the retaining rod 198.
As the link 220 rotates, a lug 229 (fig. 8, 9 and 12), oriented downwards and with which it is integral, releases the button MSla from the microswitch MS1, thus cutting off the supply circuit of the motor M2 and stopping the rotation of the friction roller 170.
there is also provided means for locking the drawer 94 of the plate 35 in the position for which its opening 98 is centered relative to the vertical axis of the hoist well 48. To this end, the lower face of the drawer 94 is integral with a locking pin 230 oriented in the direction of the bottom.
A die 231, cut out of a receiving notch 232, is rigidly mounted on an arm 234 articulated at 235 on the underside of the table 109, this die 231 passing upwards through an opening 236 (FIG. 7), cut from said table, as well as the opening 165 (fig. 14) cut from the platform 38 and aligned with the previous one. To bring the die 231 to its erased position, the arm 234 is pinned at 238 to the frame 239 of an electromagnet S1 which retains it in said position against the return action of a spring 240 , one end of which is attached to the pin 238, the other hooking onto a pin 241 integral with the table 109.
As will be described in greater detail when speaking of the operation of the control circuit, the aforementioned arrangement is such that when the button MSla of the microswitch MS1 is released to cut off the motor M2 for driving the roller 170, the electro magnet S1 is also cut thereby allowing the spring 240 to rotate the arm 234 counterclockwise (as seen in fig. 8 and 9) to switch from the erased position (fig. 8) to that for which the pin 230 of the drawer 94 is engaged in the notch 232 of the die (fig. 9), which positively stops the rotation of the drawer.
In the case of a slight defect in centering between the pin 230 of the notch 232, the ramps 242 cut in the die 231 at the entrance of the said notch, make it possible to move the drawer 94 at an angle sufficient to allow this die to engage on the stud 230. Simultaneously, the vertical edge 244 of the die 231 comes into contact with the projecting radial finger 104 provided at the lower end of the locking bolt 99 of the drawer (fig. 5 and 8), thus rotating this bolt clockwise (as seen in fig. 5) around its articulation axis 101 and against the reaction of the leaf spring 108.
This results in disengaging the notch 102 of said bolt 99 from that 105 cut in the drawer, thus freeing the plate 35, to allow its angular advance movement relative to the drawer itself. When the plate receives the first advance phase (as will be described below), the finger 104 is released from its contact with the edge 244 of the locking die 231 and, consequently, the spring 108 pushes back. again the bolt 99 in an anti-clockwise direction (as seen in fig.
5), so that the notch 102 of said bolt then overlaps the uncut part of the inner peripheral edge of the drawer 94.
The apparatus comprises a mechanism suitable for advancing the plate 35 following angular displacements corresponding to the pitch P of the teeth 196 provided inside the plate 35 (this angular advance corresponding to half the distance which separates the axes of two adjacent compartments on the platform), the whole so as to bring the axis of the compartment 89-1 on the alignment of the axis of the hoist well 48, then to again advance this plate by successive angular jerks corresponding at twice the pitch, i.e. 2P. The tray thus passes through a series of positions allowing the exit by gravity of the sample vials enclosed by the compartments 89-1 to 89-24.
When the twenty-fourth sample has been processed and has been returned to its compartment 89-24, the plate 35 is again advanced by an angle corresponding to the pitch P of the teeth 196. This forward movement of the plate 35 is provided by a mechanism designated by the general reference 248 in FIG. 9 and 10. This advancement mechanism 248 comprises for this purpose a drive pin 249 mounted on the upper face of a plate 250 itself carried in rotation by a shaft end 251 rigidly fixed on the upper face of the base 44 from which it protrudes towards the top. The cam and the stud pass through an opening 252 cut in the table 109, as well as the opening 163 (fig. 14) provided in platform 38.
The stud 249 is driven along a circular path around the axis determined by the shaft end 251, so as to penetrate successively into the forty-eight recesses 195 of the teeth of the plate 35 to angularly advance the latter at the like a Maltese cross mechanism.
For this purpose, on the hub 254 of the plate 250 is rigidly fixed a toothed wheel 255, connected to another wheel 256 wedged on the output shaft 258 of a motor.
M3, the link being provided by a chain 259. In the example shown, the toothed wheels 255, 256 are respectively dimensioned such that the stud 249 and the plate 250 perform two complete revolutions for each revolution of the motor shaft 258. As can be seen from FIGS. 7 and 10, this M3 motor is rigidly fixed under a base 260, itself attached to the underside of the table 109 by means of a certain number of spacers 261 and screws 262.
The supply circuit of the motor M3 (and which will be described in more detail with reference to figures 21a21e) comprises the microswitch MS1, as well as two other microswitches MS2, MS3 (fig. 10), respectively mounted on consoles 264, 265 secured to the aforementioned base 260. However, to understand the connection that exists between the various parts, it should be observed that in fig. 10 button
MSAa of microswitch MS2 is pushed back once during each revolution of shaft 258 of motor M3 by a cam 266 which projects radially from hub 268 of drive sprocket (chain wheel) 256. This has the result of cutting off the power supply circuit of the M3 motor after each full revolution of this wheel 256.
Therefore, when the twenty-fourth sample has been returned to compartment 89-24 and the tray 35 is ready to be removed from the table 109, provision should be made to stop the rotation of the shaft 258 of the motor M3 at the end of a simple half-turn (that is to say when the cam 266 is out of phase by 1800 with respect to the button MS2 of the microswitch MS2), this in order to ensure that the drive stud 249 executes only one complete revolution to advance the plate 35 by an angle corresponding to the pitch P of the toothing 196 provided on its inner wall 91. In this way, the advance movement of the plate stops when its radial wall 92 separating the compartments 89-1 and 89-24 is centered on the axis of the lifting shaft 48.
To this end, a gear wheel 269, wedged on the motor shaft 258, constitutes the entry of a train 269, 270, 271 and 272, the gears 270 and 271 being rigidly fixed in rotation around a shaft. 274 protruding upwards from the support base 260. In the example shown, the output gear 272 is wedged on a shaft 275 coupled with a circular switch 276 mounted under the base 260. This switch 276 plays in the control circuit (as will be described later in connection with this circuit itself), the role of memory continuously indicating the particular sample subjected to the counting operation.
The gear train 269, 270, 271, 272 is designed for as
surge a reduction of 24 to 1, so that the gear 272 makes only one complete revolution for twenty-four turns of the motor shaft 258, that is to say, obviously, for forty-eight turns of the drive stud 249. Thus a cam 278 mounted on said gear 272 actuates the button MS3a of microswitch MS3 once during each revolution of said gear 272 and, consequently, once every twenty-four revolutions of shaft 258 of motor M3 . At this time, the M3 engine is switched off.
The above explanations make it clear that by arranging the microswitches MS2 and MS3 as well as their respective actuating cams 266, 278 such that they are actuated with a phase shift of 1800 every twenty-four turns, the engine supply circuit is cut off
M3 when the compartments 89-1 and 89-24 of the plate 35 are symmetrically arranged on either side of the axis of the hoist shaft, that is to say when the plate has returned, relative to the drawer 94 , to the position he occupied before his movement began. The result is that the plate and the drawer are then in the desired position to be unlocked by the bolt 99 (fig. 5).
To allow the above advance movement, provision should be made to release the positioning pin 193 from the corresponding hollow 195 of the toothing 196 of the plate 35 when the latter is driven by the pin 249. For this purpose, and as clearly shown in FIG. 9, the plate 250 which supports this stud, comprises on the other hand on its periphery, a cam 279 arranged so as to cooperate with a part 280, oriented in the direction of the bottom and fixed to the lug 229 of the rod 220 (fig. . 9 and 12), and this once during each turn of drive stud 249.
Things are arranged so that when the cam 279 of the plate 250 moves in FIG. 9 from the position in solid lines to that in broken lines 279 ', it comes into contact with the part 280 and turns the rod 220 in the direction of clockwise (as seen in FIG. 9) around the articulation axis 221 and against the return spring 222, which has the effect of disengaging the positioning pin 193 from the hollow 195 of the plate under the effect of the fork 219 of said connecting rod 220 and the vertical stud 201 associated with the aforementioned stud 193. However, the radial height of the cam, although sufficient to entirely disengage the stud 193 from the plate 35, is not sufficient to bring the vertical stud 201 back into the notch 200 of the connecting rod 198. It will be noted on this subject in fig.
9, that the stud 201 only moves back to a point 201 'where it still slides over the edge 228 of the locking rod 198, so that the positioning device 192 remains triggered. Of course, at the same time that the cam thus acts to disengage the stud 193 from the plate 35, the driving stud 249 moves in FIG. 9 from the solid line position to the dotted line position 249 ', thus entering one of the recesses 195 to initiate the angular advance movement of the plate.
When this stud makes a complete revolution from the position in solid lines in fig. 9 to return to it, the plate 35 moves by an angle which corresponds to the pitch P of the toothing 196, while the positioning pin 193 comes out of a hollow
195 to return to engage in the following hollow.
As the cam 266 (fig. 10) of the hub 268 of the chain wheel 256 is offset 1800 from the button MS2a of the microswitch MS2 and since the motor shaft 258 only makes a half turn when the drive pin 249 makes a half turn. complete, this cam 266 will now activate the button
MS2a and the M3 engine will be shut down.
During the above advance cycle the sample placed in the compartment 89-1 slides on the drawer 94, then locked, and when the motor M3 is switched off (that is to say when the cam 266 acts on the button MS2a), this sample is located on the plate 50 of the detection and lifting mechanism A (fig. 1). When the motor M3 is switched off, a power supply circuit for the motor M1 associated with the mechanism A is automatically established, so that the sample is lowered to the counting position between the light transducers 45, 46. When the counting operation is finished, the signal that appears on terminal 85 (fig. 22) restarts motor M1 and lifts column 49 of the freight elevator to bring the first sample back to compartment 89-1.
As described above, when the freight elevator reaches its upper limit switch, the flange 62 acts on the actuator LS2a of the limit switch LS2 to cut the motor M1. At the same time, the circuit of the M3 feed motor closes again to drive the plate in an anti-clockwise direction (as seen in fig. 9) and thus bring the compartment 89-2 on the axis of the shaft 48 of the load lift.
When the M3 feed motor is started again, as described above, the cam 266 of the chain wheel 256 (fig. 10) make a full revolution before coming back to contact with the actuation button MS2a. Consequently, the drive pin 249 makes two complete turns by advancing the plate 35 by an angle corresponding to twice the pitch of the teeth 196, or 2P. During this operating cycle, the positioning pin 193 moves back twice so as to engage successively in two recesses 195 of the teeth.
In this way, the plate 35 is advanced to successively bring the compartments 89-2 to 89-24 to the right of the hoist well 48. Of course, when the last sample is returned to its compartment, the plate 35 advances only by an angle corresponding to the pitch P of the teeth so that the plate is returned to its initial position shown in FIG. 9.
Throughout this cycle of advance of the plate 35 the electromagnet S1 remains cut off since the rod 220 is never pushed back sufficiently to actuate the button MS1a of the microswitch MS1. Consequently, the tray drawer 94 remains locked in a fixed position for which its opening 98 coincides with the axis of the hoist shaft, thus allowing the successive samples to be lowered one after the other in the detector A by the freight elevator (fig. 1).
It is planned to remove the plate 35 from the advance mechanism B when the last sample has been returned to its respective compartment and this plate is itself in the position shown in FIG. 9. To this end, when the plate 35 has been brought back to the position for which the radial wall 92 which separates the compartments 89-1 and 89-24 is on the axis of the hoist well 48, the microswitch MS3 acts not only to cut the circuit of the advance motor M3, as described above, but also to close a supply circuit of the vertical stroke device associated with the mechanism C for storage and transfer (all in the manner that will be described later with reference to FIGS.
21a-21e). When this happens, the nut 131 (fig.
18) begins to move upwards on its screw 132 which is then rotated. This rise of the nut 131 causes that of the wing 134 which is associated with it, which gives slack to the cable 120 and allows the spring 116 (fig. 3) to bring the carriage 111 back. As this carriage moves back, the nylon shoe 135 moves away from the bearing surface 140 of the platen 35. At the same time, the retaining studs 156, 158 (fig. 7) of said carriage 111 act on the ends of the angled levers 144, 145 to pivot the latter against the reaction of the springs 149, 150 and to push inward the centering rollers 141,142 which are thus released from the plate 35.
An arm protruding 281 integral with the lever 144 abuts against the tubular sleeve 189 of the friction drive mechanism 169 (fig. 6, 7 and 11) by pushing the roller 170 and the arm 184 inwards, that is to say by erasing them relative to the plate 35.
The carriage 111 continuing its rearward movement under the action of the spring 116, the vertical pin 201 (fig. 8 and 9) comes into contact with the nylon shoe 135 in the vicinity of the window 202 cut therein, so that said stud 201 moves back on the edge 228 of the link 198. At the same time, as this stud 201 is integral with the positioning stud 193 and is therefore mechanically connected to the fork 219 of the rod 220, said stud 193 is released from the plate 35, the rod 220 rotating in the direction of the needles of a shows (as seen in fig. 8 and 9) around its axis 221 against the return action of spring 222. The continuation of the backward movement of the carriage 111 and of the shoe 135 has the effect of bringing the projecting part of the stud 201 to the right of the notch 200 cut in the connecting rod 198.
At this time, the spring 215 abruptly moves the locking link 198 counterclockwise about its axis 199, bringing the stud 201 back into the notch and thereby engaging the positioning device 192, which is brought back to the position in solid lines shown in FIG. 8. Consequently, the button MSla of the microswitch MS1 is again actuated by the lug 229 of the rod 220 by closing the supply circuit of the electromagnet S1. When this happens, the armature 239 of this electromagnet moves back by rotating the arm 234 clockwise (as seen in fig. 9) around its axis 235 to bring it to the position shown in FIG. 8.
When this arm 234 moves back, the locking die 231 disengages from the pin 230 of the drawer and from the finger 104 of the bolt 99, thus allowing the latter to move counterclockwise (as seen in FIG. 5) around its point of articulation 101 to engage the notches 102, 105 respectively cut in the bolt 99 and in the drawer 94 one into the other. The plate 35 is then free of any engagement with the various parts of the advance and centering mechanism B and it is free to mount with the platform 38 when the nut 131 (fig. 18) continues its ascent on screw 132.
To complete the establishment of the automatic sample change mechanism, there are provided in the apparatus shown means suitable for detecting the presence or absence of bottles 36 in compartments 89-1 to 89-24 and for carrying out several successive advance phases to the right of compartments not containing a bottle. For this purpose, a feeler lever 282 (fig. 8 and 13) is articulated on the table 139, as indicated at 284. This lever 282 comprises an offset part 285 forming a bottle detector and which is able to slide against the outer face 286 of the outer wall 90 of the plate 35. As can be seen from Figs. 5, 9 and 13, this outer wall 90 of the plate has cutouts 288 in the vicinity of its lower edge, each being associated with one of the compartments 89-1 to 89-24.
These cutouts pass entirely through the wall 90 and open out inside the respective compartments. The lever 282 is loaded by a spring 289, the ends of which bear on said lever 282 and on the table 109, as indicated respectively at 290 and 291.
Thus, when the plate 35 advances, the detecting part 285 of the lever 282 runs over the outer face 286 of the wall 90, as indicated in broken lines at 282 'in FIG. 9. When the plate stops, part 285 of lever 282 engages in a cutout 288 under the effect of spring 289; if the corresponding compartment contains a bottle 36, this part 285 abuts against the latter and thus occupies the position in solid lines in FIG. 9. On the contrary, if the compartment does not contain a bottle, the feeler lever is inserted further into it by rotating at a greater angle around its pivot 284. This additional angular displacement, which corresponds to an empty compartment, is detected by a microswitch MS4, the button MS4a of which cooperates with an actuating tab 292 integral with the lever 282.
In fig. 9, it is understood that the detecting part 285 of the lever 282 is centered with respect to one of the cutouts 288 when two adjacent compartments of the plate 35 are arranged symmetrically with respect to the axis of the shaft of the goods lift, that is, that is to say just before the instant when the compartment in question is located in line with the opening 98 of the drawer 94. Means are provided to ensure that the vial feeling mechanism is put out of action at all times other than when the detecting part 285 of the lever 282 is exactly aligned with the center of a cutout 288 in the tray, so that ' it is certain that the wall 90 of the latter does not give rise to the emission of an erroneous bottle present signal.
Although the operation of the vial detector circuit is described in more detail together with the control circuit of Figs. 21a to 21e, reference will be made here to FIG. 10 in which one can sense. clockwise (as seen in fig.
6) and an advance mechanism indicated by reference 248 (fig. 10) rotating this plate anti-clockwise, other devices could be used without departing from the spirit and the scope of the invention. To take a simple example, it would be perfectly possible to employ a mechanism such as 169 which rotates counterclockwise and a feed mechanism 248 which rotates counterclockwise. As a variant, and with the use of appropriate gears, the two mechanisms could be driven in the same direction. Such modifications would require only minimal modifications to the relative positions of the pawl 209 (fig. 8) and bolt 99.
Storage and transfer mechanism
To enable a large number of trays 35 carrying samples 36 to be stored, the left and right shelves 32 and 34 of FIG. 1, each comprise ten spokes, which have been designated by the references 32a-32j and 34a-34j, respectively. Of course, it will be understood during the description below, that any number n of shelves could be placed in said shelves 32, 34, the maximum number being limited only by the height of the trays 35 of vials. 36 and by the practical limits normally imposed. In addition, the mechanism C could itself include a number m of racks other than two, as shown at 32, 34 in the apparatus 30.
In fig. 1 to 15, the spokes 32a-32j and 34a-34j of the apparatus shown, are maintained at the desired spacing by vertical tie rods and by spacers 301, the tie rods passing through a lower frame 302, all the shelves of the shelves 32 , 34 and finally an upper frame 304. The spacers 301, arranged on the tie rods 300, are interposed between the successive spokes. The whole assembly is tightened by means of nuts 305 screwed onto the two ends of the tie rods 300.
In this case, two tie rods 300 are used for each rack 32, 34. To facilitate the placement and removal of the sample trays 36 from the shelves, the inner edge of each of the latter is notched, as shown at 306 in FIG. 2 and 14. In this way, the operator is even able to quickly grab the plate in question to remove it from the shelf. A guide 308, integral with the outer rear edge of the spokes, protrudes slightly above the level of each of them to exactly center the plates 35.
Means are provided for returning each plate 35 of the feed mechanism B to the stage which corresponds to it and to the radius from which it was removed, as well as for transferring a plate from its radius and from its stage to said mechanism. in advance B.
For this purpose, the mobile platform 38 is carried by a trolley 309 (fig. 18 and 19) suitable for going up and down on two parallel vertical guide bars 310-311 rigidly fixed to the frame of the apparatus by their upper and lower ends. To ensure the vertical movement of the carriage 39, the latter comprises a hollow central part 312, of rectangular shape, forming a housing, suitable for receiving the nut 131. To accommodate the vertical feed screw 132, the top and bottom of the carriage 309 are cut out of bores 314 (fig. 18). The arrangement is such that when the screw 132 is rotated, the nut 131 moves vertically on it. Therefore, when this nut rises from its position of FIG. 18, its upper face 315 abuts against the upper wall 316 of the housing 312.
The continued upward movement of the nut 131 therefore elevates the carriage 309 onto the guide bars 310, 311. Of course, when the nut 131 is lowered, the carriage 309 also descends due to the fact that it is supported by the abutting faces or walls 315, 316 respectively provided on the nut and on the carriage. In fact, and as Figs. 15 and 16, the upper face 315 of the nut 131 and the upper wall 316 of the housing 312 of the carriage 309 are biased against each other by two springs 318, 319, respectively attached by their upper ends to the carriage and by their lower ends to the wing 134 used to drive the pusher. 130 towards the bottom.
If we consider figs. 3 and 18, we note that the platform 38 is driven and rigidly supported by two frames (one of which has been shown as 320), which protrude forward from a T-piece 321 rigidly secured to the carriage 309 .
In order to achieve the vertical displacement of the nut 131, and by onséelue: lt of the carriage 3;) -. The upper end of said screw protrudes upwards through bearings 322 (fig. 16) rigidly fixed to the upper frame 304, the projecting part carrying, keyed on it, a chain wheel 324 held in axial position by a nut 325.
A vertical drive motor M4 is rigidly suspended from the frame 304 by means of a number of screws 326 and spacers 328. The output shaft 329 of this M4 motor protrudes upward through an opening 330 cut in the frame and carries a chain wheel 331 keyed in place. To transmit the rotational movement between the motor
M4 and screw 132, an endless chain 332 is provided, which winds on the two wheels 324, 331.
To stop the motor M4 when the carriage 309 rests on the frame of the apparatus and the nut 131 has completed its additional travel, the circuit of this motor comprises a microswitch MS6 (fig. 15) provided with an actuation button MS6a, this microswitch being supported, in the example shown, by a console 334 integral with the frame. When the nut 131 exceeds the limit switch of the carriage (position shown in fig. 15 and 18), the wing 134 integral with said nut actuates a roller 335 carried by an elastic lever 336 by pushing the latter against the button MS6a of the microswitch
MS6 and thus cutting the circuit of the motor M4 (circuit which will be described in more detail with reference to fig. 21a-21e).
It is also planned to ensure the shutdown of the motor M4 during the upward movement of the carriage 309, when the platform 38 is suitably aligned with respect to the shelf from which the sample tray 35 had been removed. For this purpose, a specific stop signal is used to act on the motor M4 when said platform 38 is located opposite each of the shelves of the shelving. In the example shown, the shaft 329 of the motor M4 is coupled by its upper end with an angle wheel 338, which meshes with another angle wheel 339 mounted on the input shaft 340 of a reducer. appropriate speed 341 (fig. 14 and 16). This reducer 341 contains a mechanism (not shown) which provides a reduction on its output shaft 342. A circular cam 344 (fig. 14, 15) is wedged on said shaft 342 so as to rotate with it.
The arrangement is such that when the carriage 309 rises from its lowest position (for which the movable platform 38 rests on the table 109 of the feed mechanism B, as shown in FIG. 3) up to its highest position to the right of spokes 32j, 34j, the cam 344 performs a little less than a full revolution. As can be seen from fig. 15, the circular cam 344 is cut from a number of notches 345 regularly arranged on its periphery and which correspond to successive vertical movements of the carriage 309.
Thus the notch to which the reference 345 in FIG. 15 corresponds to the counting position of the carriage 309 (that is to say that shown in FIG. 1 and 3, for which the platform 38 rests on the angular advance mechanism B), while the notches designated by the references 345a-345j correspond respectively to the height positions of the carriage 309 for which the platform 38 is at the level of the spokes 32a, 34a - 32j, 34j.
Thus, when the carriage rises from the counting position, the platform 38 passes successively at the level and in line with the respective spokes 32a, 34a - 32j, 34j. When it reaches the level corresponding to the spokes 32a, 34a, a roller 346 carried and by an elastic lever 348 engages in the notch 345a, thus releasing the actuation button MS7a of a microswitch MS7 mounted on the reducer 341. As will be described in more detail with reference to the circuits of FIGS. 21a-21e, the release of the button MSUa acts to cut the supply circuit of the motor M4 only when the plate 35 being returned belongs either to the department 32a or to the department 34a.
On the contrary, if this radius belongs, for example, to radius 32b, the circuit of the motor M4 is not cut before the roller 346 of the actuating lever of the microswitch falls back into the notch 345b of the circular cam 344 . To send to the control circuit a signal representing at each instant the height position of the platform 38, a rotary switch 349 is provided (fig. 14) which will hereafter be called the plateau level switch. This switch is rigidly mounted on the gearbox 341 and it is arranged such that the wipers associated with it (see fig. 21e) pass successively over the terminals x and a-j which correspond respectively to the eleven possible height positions of the platform 38.
It is also planned to positively brake the screw 132 when the engine M4 is switched off. For this purpose, and as clearly shown in FIG. 16, the upper end of said screw 132 passes through a brake drum 350 in which it is keyed, the upper face of this drum being at a certain distance below the upper frame 304. On this upper face of the drum 350 is disposed a layer 351 of a suitable friction material. A shoe 352 is interposed between the upper frame 304 and said layer 351, this shoe being biased by springs 354 in contact with the drum 350. To put the brake out of action, an electromagnet S2 mounted on the frame 304 and whose frame 355 is directly coupled with the shoe 352 is provided.
The arrangement is such that when the motor M4 is switched off, the electromagnet 52 is also switched off, so that the springs 354 push the shoe against the drum. On the contrary, when the motor M4 is energized to raise the nut 131, the electromagnet S2 is at the same time energized (as will be described below) to move the shoe 352 against it. the reaction of the springs 354 thereby eliminating the braking force applied to the drum 350 and allowing the latter to rotate freely.
The apparatus further comprises means for shifting or sliding the trays 35 from the platform 38 towards one of the neighboring shelves (operation of unloading a tray) or from such a ray on the platform ( loading a tray). For this purpose, the transfer mechanism comprises a part 356 in the form of a horseshoe or fork (fig. 2) arranged so as to move vertically with the carriage 309 and also in the lateral direction on a rail 358 determined by the upper face of the T-piece 321 (fig. 8) carried by this trolley, as already indicated. The fork 356 is thus supported by the part 321, which is rigidly secured to the mobile carriage 309, by means of a certain number of grooved rollers (fig. 3 and 18), four of which have been shown at 359 in FIG.
2. When the platform 38 is arranged opposite a determined radius during an unloading operation, the fork 356 substantially occupies the position shown in FIG. 2, that is to say that it partially surrounds the plate 35 carried by the platform. Consequently, the lateral displacement of this fork 356 on the rail 358 slides the plate 35 onto the adjacent spoke.
Once this lateral movement is complete, it suffices to restart the motor M4 to move the carriage 309 vertically to the next floor. During this movement, the fork also moves vertically around the. shelves 32, 34 with which it is aligned, until it partially surrounds the plate 35 of the next floor.
This fork is then ready to move laterally in the opposite direction to slide the plate on the platform 38 (which of course has moved vertically with the fork, since it is also supported by the carriage 309). In this way, a tray loading operation is completed.
To ensure the aforementioned lateral displacement, the rear edge of the fork 356 has a heel 360 (fig. 18) which protrudes downwards and in which a vertical groove 361 is cut. An endless chain 362, particularly visible in fig.
15 winds on idler wheels 364, 365 and 366, all of which are rotatably carried by the T-piece 321. To tighten this chain 362, a roller 368 is provided which is rotatably carried by an arm 369 articulated at 370 on the part 321. The chain 362 has a special link 371 (fig. 18) which carries two rollers 372, 374 protruding respectively towards the rear and towards the front. The roller 372 is retained in the vertical groove 361 cut in the heel 360, while the roller 374 is housed on its side in a groove 361 'provided in a heel 360' cut to a length less than the heel 360.
The arrangement is such that when chain 362 (fig. 15) is driven, the link 371 runs on the upper strand of the latter and, by cooperation of the rollers 372, 374 and the grooves 361, 361 'provided in the heels 360, 360', ensures the driving of the fork 356 in the transverse direction on the rail 358 produced by the part 321.
To control the fork 356, the chain 362 meshes with the teeth of a wheel 375 (fig. 15 and 19) itself keyed on a shaft end 376 rotatably mounted in a sleeve 378 integral with the part 321. The other end of this shaft end 376 is supported in a housing 379 and itself carries an angle wheel 380 inside the latter. A wedged shaft 381 vertically passes through a sleeve 382 in which it can slide freely, this sleeve itself being rotatably mounted in the housing 379 and carrying, keyed on it, an angle wheel 384 whose teeth mesh with those of the wheel 380. The upper end of the shaft 381 engages a square opening 385 hollowed out in a shaft end 386 and it is locked there in position by a set screw 388 (fig. 17).
In the example shown, the shaft end 386 is extended in the upward direction and is rotatably mounted in the upper frame 304, this shaft carrying a chain wheel 389 keyed on its upper end. A chain 390 is wound on the wheel 389 as well as on another toothed wheel 391 wedged on the output shaft 392 of a drive motor M5. Thus, when the motor M5 is energized, the rotational movement is transmitted from the shaft 392 to the chain 390, to the wheel 389 and to the square shaft 381, then from this to the angle wheels 380 , 384 and at the end of the shaft 376, to arrive at the wheel 375 which meshes with the endless chain 362. Consequently, the operation of the motor M5 ensures the lateral displacement of the fork 356, the direction of this movement depending on the direction of rotation of the shaft 392 of this motor.
Of course, when the part 321 rises and falls under the effect of the motor M4, the angular sleeve 382 and the housing 379 (fig. 19) slide freely on the square shaft 381 while remaining angularly integral with the latter in all positions.
If we consider fig. 2, it is understood that the fork 356 in the form of a horseshoe is dimensioned so as to be of width slightly greater than the outside diameter of a plate 35. Therefore, if we assume that this fork 356 (as seen in fig. 3) will begin to shift laterally to bring the plate 35 on one of the shelves of the right shelving 34, we understand that it will move slightly to the right before its left branch 394 abuts against the outer face of the plate . Therefore, as the chainring moves sideways, the right fork leg 395 is slightly ahead of the right edge of the chainring.
If we now return to FIG. 15 (and assuming, of course, that the part 321 has been raised to bring the platform 38 to the right of one of the spokes of the rack 34), it is understood that the particular link 371 of the chain 362 will move laterally towards the return wheel 365 (wheel which is on the left in this figure since it is a view from the rear). When this link 371 (fig. 18) reaches the vertical axis of said wheel, its lateral displacement is accompanied by a downward movement on the periphery of the latter. This downward movement is possible since the rollers 372, 374 can move vertically in the grooves 361, 361 '(fig. 18).
When link 371 arrives at point H1 (i.e. at the end of the maximum permissible lateral stroke), the left branch (in fig. 2) 394 of the fork 356 pushes back the plate 35 in contact with the protruding guide 308 provided on the periphery of the spoke on which said plate has been loaded. At this time, the right arm 395 of the fork is sufficiently clear of the right edge of the rack 34 to allow vertical displacement of the latter. However, the left branch 394 is then in a position such that its vertical displacement would interfere with the spokes. Consequently, the horizontal displacement motor M5 is left to run until link 371 reaches point H2 (fig. 15) where said engine is off.
When moving link 371 from point H1 to point H2, fork 356 moves sideways in the opposite direction by a small amount that approximately corresponds to the radius of wheel 355, which results in the fork 356 being centered with respect to -rayonna- pes 34 leaving sufficient play in its two branches 394, 395 to allow them to move vertically without hindrance to the level of the next shelf.
Means are provided to cut off the horizontal displacement motor M5 when the fork is symmetrically arranged with respect to the rack 34. For this purpose, the supply circuit of this motor M5 is interrupted when the link 371 is located to the right of the point H2. In the example shown (and as will be described later), the motor circuit includes a microswitch MS8 (fig. 14) suitable for being actuated when link 371 arrives at point H2. Referring to fig. 17, it can be seen that on the output shaft 392 of the motor M5 is keyed a second chain wheel 396 coupled with a wheel 398 by means of an endless chain 399. In the example shown, the wheel 398 is wedged on a shaft end 400, rotatably mounted in the upper frame 304 of the device 30.
A pinion 401, also keyed on the shaft 400, meshes with a wheel 402 rotatably mounted on an axis 404, rigidly fixed on a bracket 405. This console 405 is itself fixed to the upper frame 304 of the mechanism C by a certain number of spacers 406 and screws 408. A circular cam 409, the periphery of which is cut out by a notch 410 (fig. 21e), is keyed with the gear 402, so as to rotate with it around the axis 404. The arrangement is such that when the horizontal drive motor M5 moves the link 371 from the position in the center of the device to the point H1 (fig.
15), the cam 409 is driven in rotation by the wheel 396, the chain 399, the wheel 398 and the gears 401, 402, the notch 410 of said cam then approaching the actuating button MS8a of a micro- MS8 switch rigidly mounted on the 405 console. When the link 371 arrives at the right of the point H2, a follower roller 403 engages in the notch 410, thus releasing the button MS8a of the microswitch MS8 and cutting the supply circuit of the motor M5.
The horizontal displacement motor MS must stop when the platform is centered on the platform 38 during a loading cycle. For this purpose, on the axis 404 is also mounted a second circular cam 411 cut out of a peripheral notch 412 (fig. 21st). A clutch disc 414 is keyed to the fixed axle 404 immediately above the lower cam 409 and below the upper cam 411. A layer of friction material 415 is interposed between the cam 411 and the disc 414. To normally urge the cam 411 in contact with the layer 415 thus preventing rotation of said cam, a spring 416 is installed between the upper face of this cam 411 and a nut 418. As can be clearly seen from Figs.
14 and 17, the two cams 409 and 411 are connected to each other by means of a stud 419 integral with the lower cam 409 and which passes through an elongated opening 420 cut in the cam 411.
It follows from the above-described arrangement that, when the horizontal displacement motor M5 is energized during a load cycle of a plate, the lower cam 409 immediately begins to rotate at the same time as the chain 362 (fig. 15) itself begins to move. However, the upper cam 411 lags slightly relative to the cam 409 because it only starts when the stud 419 has passed through the aforementioned window 420. Due to this small delay, the axis of the fork 356 moves slightly beyond that of the platform 38 before a follower roller 423 (fig.
21e) does not engage in the notch 412 of the peripheral edge of the upper cam 411 to thus release the actuating button MS9a of a microswitch MS9 (fig. 14 and 21e). This slight additional travel of the fork 356 ensures that the chainring is centered on the movable platform 38 and is provided to take account of the difference between the diameter of the chainring and the width of the fork.
Although the above description has been given with reference to an unloading cycle and 11th loading of a tray 35 with respect to the shelves of the right-hand shelving 34, it is understood that the operation is substantially the same with respect to loading and the unloading of the trays 35 from the shelving 32 on the left.
For this purpose, the chain and gear connection between the motor M5 and the cams 409, 411 is chosen such that the cam 409 executes a full revolution when the particular link 371 moves between the point H2 (fig. 15) which corresponds to the idler wheel 365, and the point H2 'associated with the opposite idler wheel 364. Consequently, the notch 410 of the cam 409 is also used to actuate the microswitch MS8 to cut the supply circuit of the motor M5 when the link 371 is at the right of the point H2 ', and this in the same way as that described above concerning point H2.
In addition, of course, the microswitch MS9 and the cam 411 cut off the motor M5 when the fork 356 moves from the left rack 32 to the platform 38, exactly in the same way as that explained above concerning the displacement of this same fork from the right-hand rack 34.
To facilitate understanding of the control circuits of the vertical and lateral displacement devices according to the invention, reference will be made to FIGS.
14 and 15, in which it can be noted that there are two additional microswitches MS10, MS11 mounted on brackets 421 rigidly fixed to the opposite ends of the part 321 of the carriage 309, these microswitches MS10 and MS11 being respectively associated with shelving 32, 34. In the embodiment shown the microswitches MS10 and MS11 have the role of emitting a control signal for the supply circuit associated with the vertical drive motor M4, thus ensuring that the latter is not cut. in the event that no tray 35 is placed on the next shelf.
To this end, the spokes of the shelves 32, 34 have on their rear edge cutouts 422, 424 suitable for receiving feeler rollers 425, 426, respectively associated with microswitches MS10, MS11. Therefore, when the apparatus is operated to search for trays 35 in, for example, the left shelving, the roller 425 rises through the spokes through the cutouts 422 provided in each of them. If a plate 35 is on the radius considered, this roller 425 comes into contact with the wall thereof, thus pushing the button MS10a (fig. 21d) of microswitch MS10 to warn the logic circuit of the presence of a plate.
On the contrary, if the spoke does not support any plate 35, the roller 425 freely passes through the cutout 422 and the button MS10a of the microswitch MS10 is not actuated. I1 results from this arrangement that the motor M4 is not cut off during a chainring search cycle as long as such a chainring 35 is not on the radius towards which the fork 356 arrives.
Means are also provided for centering the poorly oriented trays on their respective radii in order to bring them into contact with the vertical guides 308 thereof and to ensure that they do not interfere with the vertical movement of the platform. For this purpose, a flexible belt 428 (fig. 20) is attached near the end of a bracket 429 mounted on the lower side edge of platform 38. As can be seen from fig. 15, this belt 428 is wound on two idler pulleys 430-431 carried by the frame of the apparatus below the lower radius 34a in the rack 34. The pulleys 430, 431 are respectively arranged below the inner side edge and the outer side edge of spoke 34a.
The belt 428 goes up from the pulley 431 and passes over drux other pulleys 432, 434 supported by consoles of the upper frame 304 of the apparatus (fig. 14).
It descends from the upper inner pulley 434 to arrive at a console 435 (fig. 20) rigidly fixed to the carriage 309 by its rear end and comprising at its front end a folded part 436 fixed to the front of the mobile platform 38. The belt 428 thus constitutes a substantially continuous guide which surrounds all of the spokes of the shelving 34 except that with which the platform 38 is aligned. This arrangement is particularly visible in FIG. 20 where it can be seen that the parts 435, 436 of the console, the platform 38 and the carriage 39 define a free passage of generally rectangular shape which allows the lateral displacement of the plate 35 when the fork 356 itself moves laterally .
Thus, in the event that an operator does not take enough care in arranging a sample tray on any shelf, the belt 428 would prevent this tray 35 from protruding laterally towards the axis of the apparatus where it would otherwise risk falling. interfere with the vertical movement of the platform 38.
To ensure that the belt 428 is not pushed back towards the outside by a poorly centered plate, each of the spokes of the vertical shelving 34 has a centering fork 438 (fig. 2) attached to its underside and protruding inwardly beyond the edge of the spoke to surround said belt 428. There is also a belt 428 'attached to the bottom of the platform 38 and wound on pulleys 430', 431 ', 432' and 434 ', its free end attaching to a bracket 435' mounted on the opposite side. of carriage 309. This belt 428 'thus substantially surrounds the left-hand shelving 32.
Program logic circuit for transfer
trays and sample change
The mode selector switch 40 and its output terminal will be described in detail, with reference to fi, in order to establish a supply circuit for the engagement coil RlL of a relay R1, or load relay. unloading, and which controls the motor M1 of the hoist.
In order to fully understand the following description, it should be noted that the control circuits shown in FIG. 21a-21e, comprise fifteen relays designated by the respective references Rl-R15. With the exception of relay R1, all others are identical.
They are of the type commonly known as magnetic latching relays and include a trip coil designated by the reference L as well as a trip coil to which the reference U has been assigned. All these coils, with the exception of the aforementioned coil R1L, are excited by connecting their terminals to those L1, L2 (fig. 21a) from a suitable source of alternating current (not shown). On the contrary, the locking coil R1L of the relay R1 is connected to a direct current source schematically represented at El (fig. 21a) the direct current circuit which crosses this coil R1T closes when a signal appears on terminal 85 in the manner described above.
To simplify the description below, all the relays have been shown as controlling eight sets of contacts to which have been assigned the references a to h associated with a number corresponding to the number of the relay. The contacts associated with relay R1 are thus referenced al-hl, those of relay R2, a2-h2, etc. These relays are of the type which requires only an instantaneous pulse to switch them from one state to another, for example from the switched on state to the triggered state a. With the assumptions made above, all the relays are initially in the tripped state, with the exception of the rotation relay R4 which is in the engaged state.
Thus, when a sample change signal appears at terminal 85 of the program device or logic device 63 and passes through the mode selector switch 40, it provides a momentary excitation pulse to the d coil. 'R1L engagement of the loading-unloading relay R1 (fig. 21a) which changes from the triggered state to the triggered state. As a result, a supply circuit is closed for the motor M1 of the hoist by the contacts gl, now closed, and the on contacts of the limit switch LS2.
Simultaneously, the circuit of the engagement coil R2L is closed by the on contacts of said switch LS2 and by the wiper 40b of the mode selector switch 40, so that the relay R2 or off relay passes to the engaged position. It will be understood that the motor M1 of the hoist is a conventional reversible motor which can turn in one direction or the other depending on those of its terminals to which the current is supplied.
Thus, when this motor M1 is supplied by its unloading terminal, the lift platform 50 begins to rise and, when it reaches its upper limit switch, the ramp 62 abuts against the actuator Ls2a of the limit switch LS2 by opening its on contacts and closing its stop contacts. This has the result of stopping the motor M1 and simultaneously closing a circuit for controlling the angular advance movement of the sample plate 35.
For this purpose, closing the stop contacts of limit switch LS2 establishes the supply circuit of motor M3 (fig. 21b) as follows: contact e2 of relay engaged R2, contact f6 of relay tripped R6, contact h5 of relay tripped
R5, contact h3 of the triggered relay R3, contact g4 of the triggered relay R4 and motor M3.
The M3 motor then rotates one full revolution to make the drive pin 249 complete two revolutions, which rotates the platen 35 until specimen # 2 is aligned with respect to the load lift well 48. During this forward movement, sample No. 1 slides laterally in its compartment 89-1 on the platform of the goods lift and on the drawer 94. When the shaft 258 of the motor M3 starts up, the cam 266 of the wheel 256 moves away from the button MS2a of the switch MS2, thus closing the on contacts of the latter. Then when the shaft 258 of the motor M3 has moved 180O, this cam 266 actuates the button MS5a of the microswitch MS5, which is normally open.
This switch therefore closes, which has the effect of temporarily switching on the microswitch MS4 which corresponds to the detection of the bottles. If there is a bottle in compartment 89-2, the contacts of this microswitch
MS4 remain closed by closing at the same time a supply circuit for the R31 engagement coil of the R3 rotation relay through the contacts, now closed, of the two micro-switches
MS4 and MS5, contact a4 of activated relay R4, contacts i6 of activated relay R6, to end in the aforementioned coil R3L, which has the effect of switching relay R3 to the activated state.
As a result, contacts h3 open and contacts g3 close by cutting off the previous power supply circuit, but allowing motor M3 to continue to be supplied by the on> contacts of microswitch MS2. When the shaft 258 of the advance motor M3 has completed its complete revolution, the cam 266 acts again on the actuator MS2a of the microswitch MS2 by opening the operating contacts of the latter and consequently by stopping the motor.
M3. At the same time, this has the effect of closing a supply circuit for the trip coil Rîu of the load-unload relay R1 by the now closed contacts e3 of the rotation relay R3.
Due to the transition to the triggered state of the loading-unloading relay R1, a circuit is established which ends at the loading terminal of the motor M1 by the contacts hl of this relay R1, now triggered, and the contacts on, normally. closed of the LS1 limit switch (fig. 21a).
The elevator platform 50 begins lowering the sample No. 2 to the counting position between the light transducers 45, 46 (Fig. 1). At the same time, closing the hl contacts closes a power supply circuit for the R2U and R311 engagement coils of the two relays.
R2 and R3 by the respective contacts a2 and a3, so that these two relays pass to the triggered state by returning the circuits to their initial conditions.
When the sample No. 2 is correctly placed between the light transducers 45, 46, the ramp 62 of the freight elevator comes into contact with the actuator Ls1a of the limiter switch LSl by causing the latter to pass from the position running in the off position, and switching off the engine
M1.
At the same time, a capacitor C1, which had been charged by the on contacts of the limiter switch LS1 from a direct current source schematically represented at E2 in fig. 21a, is now discharged by the stop contacts of this same switch and by an asymmetric conduction device, here shown in the form of a diode 439 thereby producing an instantaneous pulse on the input terminal 64 of the logic device or program device 63, this in order to indicate that the sample loading cycle is now complete.
After the end of the counting cycle on sample No. 2, the above-described sample change cycle is repeated to bring said sample No. 2 back to tray No. 1, to advance the latter and to load sample No. 3. All of this happens repeatedly until sample No. 23 has been unloaded and sample No. 24 is ready to be loaded.
During the time during which plate No 1 has been advanced, the circular switch 276, which is directly connected to the shaft 258 of the motor M3 (fig.
10 and 21b), saw its wipers 276a, 276b advance by successive jerks on the pads 1-23 which correspond to samples Nos 1-23. When the plate advances to the position corresponding to the loading of sample No. 24, the wiper 276a passes over the pad 24, which closes a power supply circuit for the RSL trigger coil of the R5 relay or sample relay No 24 (fig. 21b, 21c), this circuit being established by pad 24 of switch 276, pad No. 1 of a jerky advance switch SS1 and pad No. 1 of switch 41 (cycle switch by plate), to result in the aforementioned R5L coil. Relay R5 thus passes to the engaged position.
When the plate 35 arrives at position No. 24, the feed motor M3 is cut off in the above-described manner and the relay R1 is again tripped. At the same time, a circuit is established through contacts c3 of relay R3 and a5 of relay R5 to trigger the latter. It should be noted that this relay R5 has the role of indicating that the plate is at position No 24 in the event that there is no sample in compartment 89-24.
Since (assuming the above assumptions) there is in fact a # 24 sample on the pan, this sample will be loaded into detector mechanism A in the susdworite fashion. However, during the loading cycle, when the NO 24 sample is brought to the counting chamber, it is planned to actuate relay R6 (fig. 21c) or last sample relay.
For this purpose a supply circuit of the coil R6L of this relay R6 is established by the wiper 276b of the rotary switch 276 (which will hereinafter be called the consumer of sample numbers), by its pin No. 24, by the wiper SSla and pad No. 1 of switch SS1, through wiper 41b and pad No. 1 of cycle switch by plate 41, to arrive at coil RL6. The preceding description makes it clear that if the only relay R4 is activated during the counting of samples No 1 to No 23, when the sample No 24 is reached, that is to say at the last, the switching on affects two relays,
namely the rotation relay R4 and the last sample relay R6.
When the sample count cycle No. 24 is completed, the vial 36 is discharged in the usual manner. However, the circuit is then established by the contacts e6 and no longer by the contacts f6. Therefore, the feed circuit of the advance motor
M3 passes through the on contacts of microswitch MS3 and through contacts g4 of rotation relay R4. When the plate 35 rotates by an angle corresponding to the pitch P of its internal toothing (which corresponds to one turn of the drive pin 249 and half a turn of the motor shaft 258), the cam 278 of the wheel gear 272 (fig. 10 and 21b) actuate the button MS3a of the microswitch
MS3 and brings it to the off position, thus closing a supply circuit of the plate transfer mechanism C.
Before describing the operation of the logic circuits with a view to removing plate No. 1 and replacing it with plate No. 2, it should be noted that various possibilities of operation are provided for with respect to any plate. For example, if the operator wishes to perform the counting of all the samples of tray No. 1 more than once, this can be easily obtained by simply actuating the cycle switch by tray 41 to bring it to the pad corresponding to the number desired repetitions of counting operations.
For example, if the operator wishes to count each sample three times, he brings the button of this switch 41 (fig. 1 and 21c) in position 3, thus arranging the wipers 41a, 41b on their respective pads No. 3.
The above-described arrangement is such that when the apparatus is set to count each sample of the pan only once, the pins No. 24 of the jerky feed switch SS1 and of the switch 41 (cycles per pan) close the pins. supply circuits for RSL interlocking coils and
R6L of relays R5 and R6. On the contrary, when the operator brings the switch 41 to position 3, these circuits cannot be closed. Therefore, the M3 feed motor continues to rotate one more complete revolution, returning the platen to the position corresponding to sample No. 1.
Under these conditions, when the cam 278 of the wheel 272 (fig. 10 and 21b) actuates the button Mu30, this momentarily closes the stop contacts of the microswitch MS3 by establishing a supply circuit for the coil S3 of the jerky advance switch SS1 via the contacts f6 of the triggered relay R6. When the cam 278 moves away from the button Mu3, this circuit is cut. As shown schematically in fig. 21c, the switch at SS1 is of the conventional ratchet type in which, when energized, the armature 440 of the control electromagnet is drawn against a return spring 441, this which has the effect of engaging this reinforcement against the next tooth of the ratchet wheel 442.
When the coil S3 is cut (that is, when the cam 278 has left the button Mu3,), the spring 441 returns the armature 440 to the disengaged position by advancing the wheel 442 by one tooth and by passing the rubbers SSla, SSlb on the pads No. 2 which correspond to them. In the usual way in this type of switch, there is provided a retaining pawl 444 loaded by a spring and which prevents the recoil of the wheel 442 when the coil S3 is energized.
This jerky movement of the switch SS1 continues (at the rate of one advance per cycle) until the wipers SS1 ,, SSlh arrive on the pads corresponding to those selected by the operator on the cycle by plate switch. >, or the plots
No 3 in the above example. When the sliders Sus1 ", SS1 ,, and those 41a, 41b are thus in coincidence. the supply circuit of the relays R5, R6 is established in the manner previously described.
Therefore, when sample No. 24 has been counted for the third time, relay R6 is energized preventing energization of coil S3 and thereby stopping any further advance of switch SS1. The plate 35 will therefore move after the plate transfer cycle.
In the event that there is no sample No. 24 on pan 35, i.e. if in fact the last sample has a number other than 24, the circuits operate as follows: After the last sample has been changed back to tray 35, it begins to advance and the vial feeler mechanism searches for the next sample.
However, as there is no longer a bottle on the tray, the microswitch MS4, normally open, remains in the open position, thus ensuring that the rotation relay R3 itself remains triggered. Therefore, the advance motor M3 continues to rotate until the wipers 276 ,, 276 ,, of the sample number switch 276 reach their respective No. 24 pads.
When this occurs, that is to say when the plate 35 moves from the sample position No 3 to the sample position No 24, the relay R5 is triggered in the above-described manner, which cuts the direct supply circuit of the device. motor M3, which continues to operate via the on contacts> of microswitch MS2. When the cam 266 of the wheel 256 actuates the button MS2a of this microswitch MS2 (fig. 21b), the aforementioned contacts open, while the stop contacts close.
Motor M3 is therefore switched off at the same time as switching coil R6L of relay R6 of
The last sample is excited by the contacts f3 of the activated relay R3 and the contacts e5 of the activated relay R5, which has the effect of activating said relay R6. It follows that the advance motor M3 is again supplied by the contacts e6 of this relay R6 and the on contacts of the microswitch MS3. When the cam 278 of the wheel 272 returns to act on the button M530 of the microswitch MS3 to bring it to the off position, the advance motor M3 is cut and a signal appears intended for the plate transfer mechanism, in the manner described above.
Means are also provided allowing the operator to repeat the counting operation for any chosen sample from each plate considered. Thus, assuming that this operator has set the switch 41 (cycles per platen) to its No. 1 position so that all samples are only analyzed once, if he wishes to subject him to two counting operations. sample No.6, for example, it suffices to turn on the mode selector switch 40 (fig. 1 and 21a) on the repeat pad when said sample No. 6 is being loaded or has just been loaded.
This has the effect of returning the sample change signal that appears on terminal 85 of programmer 63 directly to terminal 64 or sample ready terminal. Thus, although no sample change then takes place, this sample ready signal appears and the counting operation begins again for the sample No. 6 in question. As soon as this second counting cycle has started, the operator can then return the switch 40 to its operating pad (in fact this can be carried out at any time during the second cycle). Once the second cycle is complete, the device moves to sample position # 7, as described previously.
It will be understood that this possibility of repetition offered by the apparatus according to the invention is particularly advantageous when the operator works on samples with a very short period, of an order of magnitude ranging from a few minutes to a few hours. In such a case, it is extremely desirable that the counting be carried out several times per repetition, whereas it is undesirable for the other samples of the tray 35.
By providing for the possibility of repeating the cycle, the above can be carried out and the result of successive operations recorded. As a variant, if the operator wishes to analyze each of the samples of the plate 35 several times in a row, it suffices for him to turn the button 41 (cycles per plate) to bring it to the ° infinite> position. The interlocking coils R5L and R6L can then no longer be energized and therefore the platen transfer mechanism cannot be actuated.
It may happen that an operator deems it necessary to analyze a sample by priority, while it is not placed in the plate which is currently located on the advance mechanism B. In such a case, the operator simply brings the mode selector switch 40 to its stop pad. This results in a signal being applied to the feedback terminal 86 of logic circuit or program device 63 (Fig. 22). Under these conditions, the programmer 66 acts on the printing device 79 so that it immediately reads the count recorded in the counter 74 without worrying about the period determined by the apparatus at time 71. As soon as the count has been read, a signal appears at output terminal 85 and the sample which is then in detector A is discharged.
When this sample has been completely reassembled, the operator simply removes it from the pan and replaces it with the priority sample. It then brings the selector switch 40 to its operating pad, thus closing a circuit via the stop contacts of said switch, the contacts h2 of the tripped relay R2 and the tripping coil Ri of the loading-unloading relay R1. This closes a power supply circuit which, starting from the AC terminal L1 (fig. 21a) passes through the hl contacts and the run contacts of the limit switch LS1 to arrive at the loading terminal of the motor M1 of the hoist, this motor being thus started.
The capacitor C1 is discharged again in the manner described above to give rise to a signal indicating that the change of sample is complete.
On the other hand, the apparatus comprises means for ensuring the removal of the plate No. 1 from the advance mechanism B when all the samples it contains have been analyzed. To this end, when sample No. 24 has returned to its compartment 89-24 of said plate No. 1, and that the latter has advanced at an angle corresponding to the pitch P of its toothing 196, the cam 278 of the wheel 272 ( fig. 10 and 21b) actuates the button MS3a of the microswitch MS3 in the manner described above to bring the latter to the off position, which has the effect of establishing a supply circuit for the plate transfer mechanism.
This circuit passes through contacts e6 of relay R6 of the last sample, then engaged, by the stop contacts of the microswitch.
MS3, by contacts h8 and h12 of the respective relays
R8 (vertical feedback relay) and R12 (horizontal feedback relay), then triggered, to finally arrive at the mounted terminal of the vertical drive motor M4.
At the same time as this mounted terminal of the motor M4 is thus energized, the coil S2 of the brake is energized by the contacts R20a of a relay
R20, the latter itself being supplied by the signal which acts on the motor M4. This has the effect of releasing the brake drum 350 (fig. 16 and 21d) thus allowing the rotation of the screw 132. Consequently the nut 131 begins to rise, following its additional stroke, in the direction of the lower face 316 of the carriage 309 (fig. 18). At the same time, the spring 116 (fig. 3) pushes the carriage 111 backwards, thus engaging the centering mechanism 192 (as shown in solid lines in fig.
8) and by bringing the microswitch MS1 (fig. 8, 9 and 21b from the locked position to the unlocked one. This closes the power supply circuit of the electromagnet S1 (fig. 7), so that the frame 239 thereof moves back by also moving back the locking die 231 and releasing the slide 94 relative to the advance mechanism B.
Simultaneously, a circuit closes to supply the triggering coil R4U of the rotation relay R4 by the contacts c4 of the latter which thus passes to the triggered position. Another circuit is established by contacts g6 of the activated relay R6, the interrupt contacts 445 (fig. 21c) and the normal contacts 446 of the jerky advance switch SS1, this circuit leading to the coil S3 to excite the latter and ensure that the wipers
SS'la, SSlb sweep all their plots, up to No. 10 included.
When these wipers arrive on the No. 10 pads, the normal contacts 446 are brought to their open position by a cam (not shown) thus cutting the coil S3 and bringing the switch SS1 to its No. 11 pads, on which he then stops.
* As the vertical displacement motor M4 (fig. 16 and 21d) is still supplied, the nut 131 continues to rise until it abuts against the carriage 309 and begins to drive the platform 38 with the plate No 1. At the same time as the engine
M4 was started, the current also arrived at the wiper 349a of the rotary switch 349 (shown in fig. 14 and 21e) and which will hereafter be called the switch of plate stages. The role of this switch is to permanently indicate the level at which the platform is when it is raised with the platform 38.
Like this 349 slider, is directly connected to the vertical drive motor
M4, it passes progressively from its X pad (which corresponds to the counting position) to its successive pads a-j which correspond respectively to radii 32a-34a - 32e, 34j. Just before plate No 1 is correctly aligned with the radius from which it was taken (in this case radius 32a) a circuit is closed by wiper 349a and its stud a (which represents the stage of plate No 1) to end at the slider SS2, a second jerky advance switch SS2 (fig. 21st). This switch SS2 is of the conventional type with a ratchet wheel 448 with a coil S4 arranged so as to act on the teeth of this wheel.
For this purpose, the armature 449 which corresponds to the coil S4 is loaded by a spring 450 so that each time this coil is cut, said spring returns the armature 449 to its rest position by advancing the wheel 448 of a tooth. Retrograde movement of the wheel is here prevented by a spring loaded retaining pawl 451. In the example shown the switch S'S2 comprises four rows of pads successively scanned by four wipers SS2a, SS2b, SS2c and SS2d, while twenty pads 1 to 20 are provided for each of the rows, these twenty pads corresponding respectively with twenty shelves suitable for supporting the trays No 1 to No 20.
Based on the assumptions set out above, the SS2 switch wipers will all be on their No. 1 pad since p mature 449 to advance wheel 448 by the angle corresponding to a tooth. It follows that the wipers SS2a to SS2d all pass over their No. 2 pad which corresponds to the radius 325 on which the plate No. 2 is located.
The plate search cycle thus continuing by causing the part 321 of the carriage 309 to rise, the feeler roller 425 of the microswitch MS10 (fig. 14 and 21d) crosses the cutout 422 of the spoke 32b a little before the platform 38 reaches the level of this spoke. As we have assumed that there are trays on all the shelves, this roller 425 comes into contact with the plate N 2 and actuates the button MS10a of the switch MS'10 which goes from its passage position to that of the trays present by closing. thus a supply circuit of the coil R9L of the vertical search relay R9 by the contacts h7 of the plate selection relay R7 thus bringing this relay
R9 to the engaged position.
Closing relay R9 opens contacts d9 inserted in the supply circuit of motor M4. However, the latter is still supplied by the on contacts of the microswitch MS7 and consequently, it continues to rotate until the follower roller 346 associated with the cam 344 falls into the notch 345b of the latter which corresponds to the plate. No 2. At this moment, this microswitch MS7 goes to the off position i) and the vertical drive motor M4 is switched off. Simultaneously the brake coil S2 is also cut, causing the positive stopping of the screw 132.
It is now planned to carry out a horizontal loading cycle with a view to laterally moving platform No. 2 to bring it from the shelf 321> onto the platform 38. For this purpose, a supply circuit is established for the horizontal drive motor M5 by the stop contacts of the microswitch MS7, the contacts e8 of the activated relay R8, the contacts c11 of the activated Roll relay, the contacts e9 of the relay triggered R9, contacts d12 of relay triggered R12, on contacts of microswitch MS9,
contacts f13 of the triggered relay R13 to arrive at the clockwise run terminal of said MS motor. This then turns and the fork 35o moves sideways to bring the plate No 2 towards the center where it comes to rest on the platform 38. At the same time as the fork 356 thus drives the plate No. 2 towards the platform, the follower roller 423 associated with the microswitch MS9 runs on the periphery of the circular cam 411.
When the plate No 2 is properly centered on the platform 38, this roller 423 engages in the notch 412 cut in the cam 411, thus passing the microswitch MS9 from the on position to the off position and by closing a circuit. 'food
horizontal loading relay coil R12L
R12 by the stop contacts of the micro-switch
MS9.
The vertical transfer mechanism C is now ready to lower the platform onto the feed revolver mechanism B. For this purpose, a supply circuit is established for the vertical movement motor M4 via contacts g8 of the activated relay.
R8, the contacts e12 of the activated relay R12, the h10 contacts of the triggered relay R10 and the on contacts of the microswitch MS6 to arrive at the lower terminal of said motor M4. At the same time as this one is energized, the relay R21 is also energized to close its contacts R21a thus closing the supply circuit of the coil S2 which releases the brake and allows the screw 132 to turn to ensure the lowering the platform 38.
The platform 38 and the platform No. 2 that it supports then continue to descend until the carriage 309 and said platform rest on the frame of the apparatus 30. At this time, platform 38 stops at a position substantially level with respect to the upper face of table 109. But the vertical drive motor M4 continues to operate and the nut 131 performs its additional stroke (fig. 15 and 18). During this, the wing 134 of said nut abuts against the pusher 130 to drive the cross member 128 downwards and pull the cable 120 backwards around the pulley 121 (fig. 3), which has the effect of moving the carriage 111 forward.
When the nut 131 reaches the end of its additional stroke, the button MS6 of the microswitch MS6 is actuated by the wing 134, which changes it from the on position to the off position while simultaneously cutting the circuits of power supply for motor M4 and brake coil S2. The motor therefore stops and the screw 132 is positively braked.
At this moment a circuit is established for the closing coil RIOL of the lowering relay R10 by the stop contacts of the microswitch MS6, so that this relay R10 passes to the engaged position.
To start a sample advance cycle concerning plate No 2, it is planned to emit a specific signal to return the relays to the triggered state.
R5, R6 and R8 to R12. To this end, a circuit is established via contacts g10 (fig. 21d) of the relay activated
R10, contacts f14 of relay R14 (shelving relay I) then triggered (fig. 21e), contacts f15 of relay Roi 5 (rack relay II) also triggered, and the trigger coil R5u of relay R5 (sample relay No 24, fig. 21c). This coil is energized and returns relay R5 to the triggered state.
Due to the triggering of relay R5, a circuit is established to supply the triggering coil R6U of the relay R6 of the last sample by the contacts b5 of the relay R5. Likewise, tripping of relay R6, via contacts d6 of this one, closes a circuit which triggers relays R8 to R12 (fig. 21d). This circuit passes through the R8 contacts of the R8U coil of the R8 relay which trips. Its triggering sends a signal through contacts d8 and a9 to the coil R9ü of relay R9 which in turn triggers. Therefore, the trigger coil R10u of relay R10 is supplied by contacts d9 of relay R9 and a10 of relay R10 which also trips.
Its triggering causes the relay R12 to be triggered by the contacts d10 of the relay R10 itself and the trigger coil R12 of the said relay R12. Relay Ri 1 is activated at the same time as relay R9. To this end, when the relay R8 switches to the tripped position, this closes a circuit for the tripping coil Ri read of this relay R11 by the contacts d8 of the relay R8 and the all contacts of the relay Ri 1. This particular triggering circuit for the relay Ri 1 is provided in the example shown to simply ensure that only this relay Ri 1 is triggered when moving from the left shelving 32 to the right shelving 34 (fig. 1).
Therefore when the device is ready to move to rack 34, it should be ensured that the R8-R10 and R12 engagement coils remain energized.
I1 now agree that the motor M2 friction drive (fig. 11 and 21b) is supplied to properly orient the plate No 2 relative to the angular advance table 109. To this end, at the same time as the relay R6 was triggered, a supply circuit for this motor was established.
M2 by contacts f6, contacts h5, contacts h3, contacts h4 and the input terminal of said motor which rotates imparting rapid movement to plate No 2 in the clockwise direction (as seen in fig. 6) to bring the opening 98 of the drawer 94 into alignment with the openings 166 168 of the platform 38 and the table 109.
When plate No 2 thus rotates clockwise, the protruding lug 106 of the bolt 99 abuts against the stop pawl 209 allowing the triggering of the positioning device 192 and releasing the button MSla of the MSI microswitch (fig. 9 and 21b). This causes microswitch MS1 to switch from the unlocked position to the locked position, thus closing a circuit suitable for supplying the R4L engagement coil of the rotation relay R4.
When this discount R4 changes from the triggered state to the engaged state, its h4 contacts open, while its g4 contacts close, which cuts off the M2 positioning motor and closes the motor supply circuit. sample advance M3. Switching microswitch MS1 to the locked position cuts off the solenoid S1 thus allowing the spring 240 to bring the die 231 into contact with the locking pin 230 which protrudes downwards from the drawer 94 of the tray. No 2.
At this time, this plate No. 2 and the positioning mechanism 192 are in the position in solid lines of FIG. 9 that is to say that the radial wall 92 which separates the compartments 89-1 and 89-24 is centered on the vertical axis of the hoist cage or shaft 48. The table is now ready to be advanced counterclockwise (as seen in fig. 9), and as the cam 266 of the wheel 256 (fig. 10 and 21b) is in contact with the button
MS5a of microswitch MS5, microswitch MS4 or vial feeler is momentarily in operation to detect the presence or absence of a sample vial in compartment 89-1. The angular advance of plate No 2 is carried out in the same way as described above for plate No 1.
When this plate No 2 advances towards position No 1 (that is to say that corresponding to compartment 89-1), microswitch MS3 goes from the on position to the off position, thus cutting off the power supply circuit. the coil S3 associated with the ratchet wheel 442 of the jerky advance switch SS1. The cutting of this coil S3 causes the return of the armature 440 under the effect of the spring 441, which causes the wheel 442 to advance by one tooth by bringing the frotors sala, SSiio SSlb on their respective pads No. 1.
The foregoing description makes it clear that the samples from tray No 2 will be successively lowered into the detection apparatus A and analyzed by counting in the same manner as that described above for tray No 1. The second tray will be brought back in the same way as the first to the radius which corresponds to it and the tray selector mechanism will then move successively in front of the first ten trays 32a32j of the left shelving 32 to thus bring all the trays one after the other. of these ten spokes on the advance revolver mechanism B (fig. 1 and 6).
In the event that one or more of these first ten plates is not on their respective shelves, this state of affairs will be detected by the feeler roller 425 associated with the microswitch MS10, thus ensuring that the vertical search relay R9 (fig. 21d) is not brought to the engaged position for the corresponding spokes. Therefore, the vertical drive motor M4 would continue to rotate in the up direction until the presence of a new chainring was detected.
Means are also provided for passing the tray selection mechanism from the left shelving 32 to the right shelving 34 when the search cycle has been completed in the first, that is to say after the tray N " 10 has been reduced to its radius 32j. When this feedback is made, the platter transfer mechanism re-initiates the vertical search cycle described above, thereby sending a start signal to the uprights terminal of the vertical drive motor M4. This signal arrives simultaneously at the wiper 349a of the stage switch 349, the wiper which is then on the pad j corresponding to the stage of the plate
No 10.
This has the effect of closing a supply circuit for the R14L interlocking coils,
R15L of the respective relays R14, RIS, by contacts h9 of the triggered relay R9, the contacts a1 1 of the triggered relay King 1 the wiper SS2b of the jerky advance switch SS2 (wiper which is then on pin No 10), to simultaneously lead to the coils
R14L and R15L above, so that the two relays
R14 and R15 go to the engaged position. At the same time another circuit is established for the triggering coil Rl read of the horizontal discharge relay R11, which brings the latter to the triggered state.
Finally, a third circuit closes on the engagement coil R12L of the horizontal loading relay R12 by the contacts e8, the stop contacts of the microswitch MS8, and the contacts c14 of the engaged relay R14, so that the relay
R12 changes to the engaged state. As a result, the contacts h12 open, which cuts off the vertical drive motor M4. It follows that this motor stops a moment after having initiated the upward search movement from radius 32j which corresponds to the position of plate No. 10. At this moment, relays R8, R12 and R15 are activated, while relays R9, R10, R11 and R13 are activated.
It is understood that at this moment of the tray selection cycle, the fork 356 which ensures the lateral displacement of the trays is located at the top of the left-hand shelving 32, after having completed a search cycle for all the other trays of this shelving. . It is then planned to lower this fork 356 around all the shelves of the shelving 32 to its lowest position, then to shift it laterally until it aligns with the right shelving 34. To this end, a circuit is closed to supply the lower terminal of the vertical drive motor M4 via the contacts g8, the contacts e12, the contacts h10 and the on contacts of the microswitch MS6.
At the same time another circuit closes for the relay
R21, which closes its contacts R2la by establishing a circuit for the coil S2, which releases the brake and allows the descent movement of the carriage 309.
When the platform 38 reaches its low position (fig. 1 and 18), nut 131 switches microswitch MS6 from the on position to the off position by switching off the motor M4 and disabling relay R21 to reapply the brake. Simultaneously, a circuit is established through the stop contacts of microswitch MS6 to the engagement coil R10L of the descent relay R10, which thus passes to the engaged position.
To laterally shift the fork 356 from the left rack 32 to the right rack 34 through the central position (advance position), a circuit is established to supply the clockwise terminal of the motor. horizontal drive M5 (fig. 21e), by the elO contacts of relay R10, now engaged, contacts e14 of relay R14, the on contacts of microswitch MS9 and contacts f13 of tripped relay R13 to end at the clockwise terminal of the motor. Thus, the horizontal drive motor M5 is energized and the fork 356 starts laterally from the left rack 32 towards the platform 38.
When the M5 motor thus brings the fork laterally to the central position, the microswitch
MS9 (fig. 21e) goes from the on position to the off position, which has the effect of temporarily shutting down said M5 motor. But at the same time, a circuit is established for the closing coil
R13L of the shelving relay R13 by the stop contacts of microswitch MS9, contacts g14 of the activated relay R14 and by the slider Sus20 of the jerky advance switch SS2 (and by its pin No.10), so that the relay R13 changes to the engaged position.
As a result, the current can flow through contacts ai 3 of this relay R13, now engaged, and contacts a14 of the engaged relay R14 to reach the tripping coil Rl4u of the latter which thus passes from the engaged position to the position triggered. As a result, the current can now pass through contacts g10 of switched on relay R10, contacts f14 of relay R14 and contacts e15 of switched on relay R15 to reach the triggering coil Ri2u of relay R12 which thus goes to the triggered position .
At this moment of the operating cycle, the relays R8,
R10, R13 and R15 are all energized, while relays R9, Roll, R12 and R14 are tripped. Fork 356 is now in its lowest center position.
To ensure the continued lateral movement of the fork 356 towards the right-hand shelving 34, a circuit is established leading to the clockwise terminal of the horizontal drive motor M5 via the stop contacts of the microswitch MS6, contacts e8 of the relay engaged
R8, the contacts dll of the triggered Roll relay, the on contacts of the microswitch MS8, the b12 contacts of the triggered relay R12 and the gel contacts 3 of the triggered relay R1 3. Thus, the motor M5 is powered again and the fork 356 continues to move from left to right towards the right-hand rack 34 from its central position.
When it thus reaches its extreme right position, for which it is aligned with the spokes of the right-hand shelving 34, the microswitch MS8 passes from the on position to the off position, thus cutting off the power supply circuit of the engine. horizontal drive M5 which stops. As a result, a circuit is closed by the stop contacts of the microswitch MS8 and the contacts el4 of the relay R14 to reach the engagement coil R11L of the horizontal unloading relay R11, which passes from the triggered position to the engaged position.
The apparatus is now ready to begin a vertical search cycle in the right rack 34, the selector fork 356 gradually rising around the spokes which correspond to the shelves No 11 through No 20. To initiate this cycle, a supply circuit is established for the vertical drive motor M4 via the g8 contacts of the relay.
R8, contacts gll of relay R11, contacts d9 of relay R9, contacts h12 of relay R12 and the mounted terminal of the vertical drive motor
M4 which is thus energized. Simultaneously, relay R20 is energized to close its contacts
R20a, normally open, and thus to establish the supply circuit of the coil S2, which releases the brake allowing the rotation of the screw 132.
Another circuit is established by the contacts g8, the contacts ell, the contacts e 15 and the tripping coil R10, of the relay R10, which thus passes from the engaged position to the tripped position. At the same time, relay R15 is triggered by closing a supply circuit for its triggering coil R15u through contacts g15 of the activated relay
R15, the contacts. microswitch on
MS7 and the Ri SU tripping coil.
The program circuit is now ready to start a vertical search cycle in the right-hand shelving 34. This cycle will be identical to that described above for the left shelving 32. During this cycle, the fork 356 will rise progressively in line with the various spokes 34a-34j by successively choosing the plates which are there and transferring them to the advance revolver mechanism B. After the cycle of counting the samples contained by each of these trays has been completed, the considered tray will be returned to the shelf from which it had been removed.
After the No. 20 plate has been transferred to the revolver mechanism B, then brought back from it, it is necessary to provide for a new change of right-hand shelving 32. The corresponding operation is substantially identical to that described above, except that the shelving relay R13 is initially in the engaged state, and not triggered. Therefore, when the fork 356 has been lowered to its lower position and the vertical drive motor M4 has been turned off, said fork begins to move sideways towards the center of the apparatus.
When it reaches the central position, relay R13 changes from the engaged state to the tripped state and the horizontal drive motor M5 continues to drive the fork laterally to a position in which it is aligned with the left racking. 32, after which the operating cycle is terminated.
It should be noted here that, during a vertical search cycle, the jerky advance switch SS2 (which acts as a memory of the position of the plate to which the plate being counted corresponds) progressively passes from its pads 1 to its studs 10 during the selection of trays No 1 to N "10. Each time a plate has been brought back on its shelf, this switch advances by one stud in the manner already described. After the return of the plate No 10 to its radius 32j, the switch SS2 switches to the stud No 1 1 which corresponds to the position of the plate
No 11.
But at this moment the relay R11 is triggered preventing the closure of the supply circuit by the contact c11 and thus opposing any subsequent advance of the switch SS2. As long as this relay R11 remains triggered, the switch SS2 can no longer advance. When the fork 356 is aligned with the right shelf R4, the relay R11 again goes to the engaged state and therefore the forward operation of the switch SS2 can be carried out normally.
During the vertical search cycles in the left or right racks 32, 34, the vertical search relay R9 switches to the engaged state whenever a shelf has been selected and moved sideways from the shelf which is to it. corresponds. Therefore, the coil S4 of the jerky advance switch SS2 cannot be energized as a result of a vertical movement, since its power circuit passes through the contacts f9 and these open when the relay R9 engages.
Thus, the switch SS2 cannot advance before the vertical recharging relay R9 is triggered again.
Means are also provided for automatically removing a sample tray from the feed revolving mechanism B in the event that the operator wishes to analyze another tray by priority. For this purpose, it is advisable to stop the counting cycle of the plate which is on the mechanism B and to turn this one over on its shelf, then to activate the selector mechanism so that it advances automatically in front of all the shelves, without worrying about whether or not they contain a tray, until you reach the one of these shelves on which the priority tray is located.
For this purpose, the apparatus comprises a plate selector switch 42 (fig. 1 and 21c), so that the operator can place the priority plate on any empty shelf, for example the shelf which normally corresponds to plate No. 20, then bring said switch 42 to its corresponding pad No. 20. It will also be assumed that the plate which is in the counting position is the plate
No 17 and that the trays No 18 and No 19 are normally arranged on their respective shelves 34h, 34i. Under these conditions, after having operated the plate selector button 42, the operator simply turns the mode selector switch 40 to bring it to its selection pad. Therefore, a signal appears on the return terminal 86 of the logic device or program device 63 (fig.
22), which has the effect of activating the reading devices to read the number then recorded. At the same time, a signal is transmitted from the line L1 by the slider 40e of the mode selector switch in the direction of the engagement coil R7L of a plate selector relay R7, which then changes from the tripped position to the engaged position. When relay R7 is activated, a supply circuit is established for the closing coil.
R6L of relay R6 of the last sample via contacts c7 of relay R7, now on, so that said relay R6 itself goes to the on position. The sample that is in. the detection well is evacuated and, as the relay R6 is activated, a signal is transmitted to the plate selector mechanism in the manner described above.
After plate No. 17 has been brought back to its shelf 34g, the apparatus begins a vertical search cycle for the selected shelf, that is to say for the No. 20 shelf in the example chosen.
Under normal conditions, the next target to select, after No 17 has been returned to its shelf, would be No 18. However, before plate No 18, or plate No 19, can be selected, they must have been detected by feeler roller 425 associated with the plate detector switch MS11 1 which then normally sends a plate present signal. through contacts h7 of triggered relay R7. But as relay R7 is now on, contacts h7 are cut and consequently the output signal from microswitch MS11 cannot reach motor M4 to stop the vertical search cycle. So this engine continues to run although there are chainrings on spokes 34h and 34i.
The only way now to stop the vertical search cycle is to trigger relay R7.
I1 should therefore trigger the relay R7 after having tested the tenth plate. For this purpose, the plate selector switch 42 comprises twenty pads which respectively correspond to the twenty positions of the plates. However, the pads of these switches do not coincide with the corresponding twenty pads of the jerky advance switch SS2.
On the contrary, M5 and that, therefore, the fork 356 remains in its lower central position.
When the tray selector mechanism has thus been stopped at its lower center position, the operator can replace the trays in whole or in part as desired. After this operation, the device is ready for a new operating cycle; the operator only needs to switch the plate selector switch 42 from the zero position to any other stud, and the vertical search cycle then begins, the fork 356 gradually moving from the position corresponding to the plate N 1 to the one corresponding to board No 20.
It does not matter which pad the operator places switch 42 on, given that relay R7 can only be engaged again when the mode selector switch 40 has gone from its operating pad to its selection pad> ,. If, for example, the switch 42 has been placed on the plate position No 1, the wiper 42a arrives on one of the short-circuited contacts, which establishes the supply circuit of the trigger coil Rl3u of the relay R13 and allows the M5 horizontal drive motor to operate again to shift the tray selector mechanism from the center position to the left until it aligns with rack 32. Vertical search then begins and operation continues as normal.
CLAIMS
I. Process for the analysis of radioactive samples, characterized in that these samples are divided into distinct groups, in that these groups are stored in respective locations separated from each other, in that they are successively transferred one by one to the right of a radioactive raponnement detection device, in that the group thus transferred is moved forward so as to bring the samples it contains one by one in front of the entrance of said detection device to be introduced and analyzed, and finally in that the whole group is then brought back to its storage location once its samples have been analyzed.