CH363779A - Elément de construction à plusieurs couches et procédé pour sa fabrication - Google Patents

Elément de construction à plusieurs couches et procédé pour sa fabrication

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CH363779A
CH363779A CH57560A CH57560A CH363779A CH 363779 A CH363779 A CH 363779A CH 57560 A CH57560 A CH 57560A CH 57560 A CH57560 A CH 57560A CH 363779 A CH363779 A CH 363779A
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CH
Switzerland
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core
panels
partitions
thickness
adhesive
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CH57560A
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English (en)
Inventor
Henry Gorell John
May George
Original Assignee
Dufaylite Dev Ltd
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    • EFIXED CONSTRUCTIONS
    • E04BUILDING
    • E04CSTRUCTURAL ELEMENTS; BUILDING MATERIALS
    • E04C2/00Building elements of relatively thin form for the construction of parts of buildings, e.g. sheet materials, slabs, or panels
    • E04C2/30Building elements of relatively thin form for the construction of parts of buildings, e.g. sheet materials, slabs, or panels characterised by the shape or structure
    • E04C2/34Building elements of relatively thin form for the construction of parts of buildings, e.g. sheet materials, slabs, or panels characterised by the shape or structure composed of two or more spaced sheet-like parts
    • E04C2/36Building elements of relatively thin form for the construction of parts of buildings, e.g. sheet materials, slabs, or panels characterised by the shape or structure composed of two or more spaced sheet-like parts spaced apart by transversely-placed strip material, e.g. honeycomb panels
    • E04C2/365Building elements of relatively thin form for the construction of parts of buildings, e.g. sheet materials, slabs, or panels characterised by the shape or structure composed of two or more spaced sheet-like parts spaced apart by transversely-placed strip material, e.g. honeycomb panels by honeycomb structures
    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B21MECHANICAL METAL-WORKING WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21DWORKING OR PROCESSING OF SHEET METAL OR METAL TUBES, RODS OR PROFILES WITHOUT ESSENTIALLY REMOVING MATERIAL; PUNCHING METAL
    • B21D47/00Making rigid structural elements or units, e.g. honeycomb structures
    • EFIXED CONSTRUCTIONS
    • E06DOORS, WINDOWS, SHUTTERS, OR ROLLER BLINDS IN GENERAL; LADDERS
    • E06BFIXED OR MOVABLE CLOSURES FOR OPENINGS IN BUILDINGS, VEHICLES, FENCES OR LIKE ENCLOSURES IN GENERAL, e.g. DOORS, WINDOWS, BLINDS, GATES
    • E06B3/00Window sashes, door leaves, or like elements for closing wall or like openings; Layout of fixed or moving closures, e.g. windows in wall or like openings; Features of rigidly-mounted outer frames relating to the mounting of wing frames
    • E06B3/70Door leaves
    • E06B3/7015Door leaves characterised by the filling between two external panels
    • E06B3/7017Door leaves characterised by the filling between two external panels of grating type

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  • Laminated Bodies (AREA)

Description


      Elément    de construction à plusieurs couches et procédé pour sa fabrication    Le présent brevet a pour objets un élément de  construction à plusieurs couches et un procédé pour  sa fabrication. Cet élément peut servir, par exemple,  à la confection de portes ou de panneaux     utilisés     dans des constructions     destinées    ou non à supporter  des charges, spécialement dans la construction ou la  réfection de bâtiments, dans le compartimentage des  avions, dans des applications navales et comme com  posants d'ameublements. Un but de l'invention est  de fournir un tel élément présentant une forme amé  liorée par rapport aux éléments connus.  



  Bien que ces éléments présentent le plus grand  intérêt en ce qui concerne les portes, il est évident  qu'ils présentent également un intérêt pour d'autres  assemblages.  



  Un tel élément comprend un noyau cellulaire  constitué par des     rubans    d'une matière en     feuille    qui  sont fixés ensemble par leurs faces de manière à pren  dre une configuration ondulée et à former des cellu  les à extrémités ouvertes qui sont séparées les unes  des autres par des parois constituées par ladite ma  tière en feuille. Les axes des cellules traversent  l'épaisseur du noyau et coïncident ordinairement,  mais pas nécessairement, avec la direction de cette  épaisseur.

   La section transversale des cellules peut  avoir toute forme et dans certains matériaux préférés  (en nid d'abeille), dans lesquels la     structure    est obte  nue en mettant sous forme cellulaire, par étirage, un  matériau présentant des cellules fermées, par exemple  aplaties, la section transversale est usuellement hexa  gonale. En augmentant l'étirage cependant, la sec  tion transversale peut être rectangulaire.

   D'autres  sections transversales peuvent être obtenues en pla  çant convenablement des bandes d'adhésif lors de la  fabrication du matériau destiné à être étiré, ou en  faisant varier leur largeur,    Un élément fait d'un tel noyau cellulaire com  prend en outre deux panneaux se faisant face, le  noyau cellulaire étant     maintenu    par un adhésif entre  ces     panneaux,    et des cloisons agencées à la manière  d'un cadre qui     ferme    l'élément sur ses bords.

   Les  cloisons peuvent être clouées, emboîtées ou jointes  ensemble de toute autre manière, ou elles peuvent  être maintenues ensemble seulement par les pan-         neaux.     Pourvu que les panneaux utilisés soient faits d'une  matière d'une qualité soigneusement choisie et pré  sentent une épaisseur suffisante, il est possible de  fabriquer une porte pratiquement sans     difficulté.    On  a. ainsi obtenu en grand nombre des portes présentant  par exemple des     panneaux    de contre-plaqué et des  cadres formés de cloisons en bois résistant.

   Dans ces  portes, les cadres et les panneaux coopèrent pour  former un assemblage d'une résistance suffisante pour  les buts poursuivis et la fonction du noyau cellulaire,  en nid d'abeilles par exemple, est de fournir un sup  port     interne    qui maintient les panneaux à distance  uniforme l'un de l'autre, les empêchant par exemple  de se bomber vers l'extérieur ou vers     l'intérieur.     



  On a     reconnu    depuis longtemps que les propriétés  structurelles importantes, spécialement le rapport éle  vé de la résistance au poids des matériaux cellulaires,  tendent à se perdre quand ces matériaux sont utilisés  de cette manière comme pièce d'espacement, et qu'on  réalise une économie considérable de matière et une  diminution correspondante de poids si les     panneaux          utilisés    sont trop faibles par eux-mêmes pour assurer  la rigidité à la     flexion    de la porte en l'absence du  noyau cellulaire.  



  Par conséquent, on a tenté     d'utiliser    des panneaux  présentant une rigidité à la flexion sensiblement infé  rieure à celle du contre-plaqué précédemment em-      ployé. Toutefois, ces essais ont rencontré générale  ment un complet insuccès ou n'ont pas pu être       appliqués    à la production à une échelle     industrielle     sans     donner    une     forte    proportion de pièces défec  tueuses.  



  Les raisons de cet échec sont diverses. Un effet       particulièrement    désavantageux est dû au fait que le  dessin de la structure du remplissage     interne    tend à  être visible à travers les faces     externes    des panneaux.  Même quand les panneaux présentent une forte rigi  dité par suite de leur épaisseur ou parce qu'ils sont       formés    d'un matériau rigide et dur, par exemple un  feuilleté de papier     imprégné    d'une résine thermodur  cissable, le dessin de la     structure    apparaît fréquem  ment lors du polissage nécessaire pour obtenir un ex  cellent fini.

   Avec d'autres panneaux, cet effet est       difficile    à éviter même avec un léger     polissage    seule  ment. Avec les panneaux à base de carton dur connu  dans le bâtiment sous le nom de   panneau dur  , qui  est très     intéressant    de nos jours par suite de son prix  relativement bas, de son     égalité    et de la facilité d'éten  dre une     peinture    sur les surfaces obtenues lors de la  fabrication, on obtient des éléments qui ont tendance  à gauchir quand ils sont formés en couches.

   Cette  tendance présente évidemment une     incidence    écono  mique considérable dans la production des portes  comprenant des pièces d'espacement autres que des       remplissages    du type cellulaire, par exemple des plan  ches     fibreuses,    et conduit à une proportion notable  de pièces défectueuses.  



  On a donc pensé qu'une porte formée de pan  neaux durs et bénéficiant de la résistance due à un  noyau cellulaire ne pourrait être obtenue qu'en accep  tant l'inconvénient de voir apparaître le dessin de  la structure depuis les faces     externes,    et qu'en em  ployant un noyau cellulaire     formé    d'une matière en  feuille présentant une grande rigidité afin d'empêcher  le gauchissement, par exemple une feuille métallique,  du papier ou un tissu de verre imprégné d'une résine  thermodurcissable.  



  Dans toutes les applications     connues,    un tel noyau  cellulaire est emmagasiné avec ses cellules ouvertes,  avant son     utilisation,    et dans la production indus  trielle d'éléments comprenant ce noyau, l'emmagasi  nage peut être très désavantageux par le fait que  l'encombrement de l'élément est souvent égal à cent  vingt fois celui des rubans qui le constituent. En ou  tre, quand la matière en feuille présente une haute  rigidité, une forte adhésion     uniforme    entre le maté  riau     cellulaire    et les panneaux ne peut être facilement  obtenue avec les     adhésifs    particuliers qui sont volon  tiers envisagés par suite de leur bas prix de revient.  



  Bien que les fabricants aient beaucoup     utilisé    des  noyaux cellulaires dans la fabrication des portes, la       diminution    attendue du     prix    total, par suite des pro  priétés de résistance très favorables que présentent  ces noyaux, n'a pu être     réalisée    dans la fabrication  d'éléments donnant satisfaction. Cela     s'applique    spé  cialement au cas des portes formées de panneaux  durs, car ces panneaux devaient être suffisamment    épais et résistants pour éviter le gauchissement et  l'apparition du dessin du noyau, de     sorte    que ce der  nier était avantageux surtout comme pièce d'espace  ment plutôt que pour assurer une résistance à la  flexion.  



  L'élément de construction à plusieurs couches  faisant l'objet du présent brevet, dont le but est d'évi  ter les     difficultés    décrites plus haut et comprenant  un noyau cellulaire formé par des rubans d'une ma  tière en feuille fixés ensemble par leurs faces de ma  nière à prendre une configuration ondulée et à former  des cellules à extrémités ouvertes qui sont séparées  les unes des autres par des parois constituées par la  matière en feuille, et par des cloisons entourant le  noyau, ce     dernier    étant maintenu par un adhésif entre  des panneaux durs plans qui recouvrent les cloisons  et coopèrent avec lesdites parois pour fermer les cel  lules, est caractérisé en ce que la matière en feuille  est non cassante et susceptible d'absorber l'adhésif,

    et en ce que le noyau est maintenu dans un état de  compression tel entre les panneaux que lesdites pa  rois sont incurvées au voisinage des panneaux dans  l'épaisseur du noyau.  



  Le procédé faisant également l'objet du présent  brevet, dans lequel on fixe par adhésion un noyau  cellulaire, formé de rubans d'une matière en feuille  fixés ensemble de manière à prendre une configura  tion ondulée et à former des cellules à extrémités  ouvertes séparées les unes des autres par des parois  constituées par la matière en feuille, entre des pan  neaux qui coopèrent avec lesdites parois pour enfer  mer les cellules, le noyau comportant des cloisons  qui coopèrent avec les panneaux pour enfermer le  noyau, est caractérisé en ce qu'on utilise une matière  en feuille non cassante et susceptible d'absorber un       adhésif,    et des panneaux durs présentant la même te  neur en humidité, en ce qu'on forme un assemblage  dans lequel le noyau est disposé entre les panneaux,

    ces     derniers    chevauchant au moins partiellement les  cloisons et l'adhésif étant réparti de manière à pou  voir lier les panneaux au noyau et aux cloisons,  l'épaisseur du noyau étant supérieure d'une valeur  déterminée à la distance dont les cloisons espacent  les panneaux l'un de l'autre dans l'élément final, et  en ce qu'on fait prendre l'adhésif pendant que ledit  assemblage est soumis à une pression mécanique  d'une valeur suffisante pour comprimer le noyau de  ladite valeur     déterminée    dans la direction de son  épaisseur et donner au noyau et aux cloisons la même  épaisseur dans l'élément fini, ladite valeur détermi  née étant telle que les parois, au voisinage des pan  neaux,

   sont     incurvées    dans l'épaisseur du noyau d'une  valeur qui n'est toutefois pas suffisante pour que le  noyau fasse bomber les panneaux ou devienne peu  résistant à la compression.  



  Il est entendu que la matière en feuille constituant  le noyau cellulaire peut être non     imprégnée,    ce qui  est préféré, ou peut être imprégnée avec une quan  tité d'une résine thermodurcissable insuffisante pour  détruire ses propriétés d'absorption de l'adhésif (c'est-      à-dire insuffisante pour saturer cette matière) et in  suffisante également pour la rendre cassante.  



  La résistance d'un noyau en nid d'abeille permet  d'utiliser un panneau dur beaucoup plus léger qu'en  l'absence de noyau. Il est évident que le fabricant est  limité dans son choix par les modèles de panneaux  disponibles dans le commerce et, même quand on  utilise le modèle le plus mince, aucune des difficultés  citées plus haut ne devient apparente. Il est clair  qu'on     poura    employer des modèles beaucoup plus  minces quand ils seront disponibles commercialement,  mais en leur absence il a été impossible de déterminer  quelle est l'épaisseur minimum qui peut être em  ployée. Toutefois, même sans pouvoir préciser cette  épaisseur minimum, il est net que l'on peut réaliser  une économie considérable.  



  Des considérations analogues s'appliquent aux  cloisons et on ne rencontre aucune     difficulté    à réduire  leur poids à la moitié de la valeur usuelle, avec une  économie correspondante dans le coût de la matière  dont elles sont faites, du bois de charpente ordinai  rement.  



  On a trouvé avantageux, en pratique, quand on  utilise un adhésif du type     formaldéhyde-urée    et un  noyau cellulaire formé de papier et emmagasiné dans  les conditions usuelles d'humidité rencontrées en An  gleterre, que la teneur en humidité des     feuilles    soit  d'environ 10 % en poids, un traitement thermique  permettant de donner la consistance voulue à l'élé  ment qui présente alors une excellente qualité.

   La  qualité de l'élément, pour une teneur donnée en hu  midité des panneaux, varie avec le temps de traite  ment et la température choisis pour laisser prendre  l'adhésif, avec la nature de cet adhésif et avec la te  neur en humidité du noyau     cellulaire.    Pour chaque  adhésif et dans diverses conditions d'humidité, la te  neur en humidité la plus avantageuse peut être déter  minée par expérience.  



  En l'absence de précautions, les deux panneaux  utilisés tendent à présenter des teneurs en     humidité     qui sont insuffisamment proches pour donner des  résultats satisfaisants. II est difficile, par exemple,  d'obtenir une porte satisfaisante en     utilisant    des pan  neaux pris dans des parties différentes d'une pile  stockée. En pratique, on a trouvé que le procédé  donnant le meilleur résultat consiste à couper les  deux panneaux nécessaires pour     confectionner    la  porte dans une même feuille et de les utiliser immé  diatement après découpage. Si l'un des panneaux est  endommagé d'une manière quelconque, il faut élimi  ner les deux panneaux.  



  Le dessin annexé illustre, à titre d'exemple, deux  mises en     #uvre    du procédé, objet du brevet.  



  La     fig.    1 est un diagramme représentant la pre  mière mise en     aeuvre.     



  La     fig.    2 est une vue démontée d'une forme  d'exécution de l'élément obtenue par cette mise en       aeuvre.     



  La     fig.    3 est une coupe, à plus grande échelle, de  cette forme d'exécution en-cours de fabrication.    La     fig.    4 est une coupe correspondant à la     fig.     3 de cette forme d'exécution     terminée.     



  Les     fig.    5 et 6 illustrent la seconde mise en     oeu-          vre.     



  Les     fig:    7 et 8     illustrent    les     techniques    d'assem  blage     utilisées    dans cette seconde mise en     oeuvre.     Dans la mise en     #uvre    illustrée aux     fig.    1 à 4,  dans laquelle l'élément est destiné à constituer une  porte, on utilise de grandes feuilles de panneau dur  d'une épaisseur de 2,5 mm et d'une teneur en humi  dité comprise de préférence entre 8 et 10 % en poids,  qui sont tirées d'un stock et divisées par moitiés, de  sorte que chaque grande     feuille        donne    deux panneaux  <I>la, lb</I> d'une même teneur en humidité.

   Ces pan  neaux sont couverts sur leur dos d'une composition  adhésive aqueuse à base de résine     formaldéhyde-urée.     



  Des cloisons en bois 4, 5, 6 et 7, présentant une  teneur en humidité de 10 à 12 % en poids par exem  ple et comprenant des blocs de fixation pour char  nière 2     (fig.    2) et des blocs de fixation pour verrou  3, sont retirées d'un stock. Ces cloisons peuvent  constituer des pièces séparées ou un cadre préfabri  qué, à volonté.  



  Chaque jeu de cloisons est assemblé avec deux  panneaux recouverts d'adhésif, comme le montrent  les     fig.    2 et 3, entre deux-plateaux chauffés 8 et 9       (fig:    3) d'une presse, un noyau 10 étiré en nid  d'abeille étant placé entre les panneaux la et 1b. La  teneur en humidité du noyau est de préférence com  prise entre 10 et 12 % en poids.  



  Le noyau est obtenu en étirant un matériau en  nid d'abeille non étiré, fabriqué avec un carton de  copeaux pressés bon marché, d'une épaisseur de 0,38  mm, et un adhésif à base de caséine. Ce matériau  est fourni par le fabricant sous forme de couches non  étirées présentant les dimensions voulues pour donner  des couches étirées ayant les dimensions requises, une  dimension de maille de 38 mm par exemple et une  dimension de cellule de 38 mm également mesurée  dans la direction d'étirage.

   Avec des cloisons d'une  épaisseur de 30     mm,    on peut obtenir un élément fini  d'une épaisseur totale de 35 mm, l'épaisseur du noyau  en nid d'abeille étant de 31 mm, de manière que     dans     l'assemblage le panneau supérieur la soit maintenu  à 0,8 mm au-dessus de la partie de la cloison qu'il  recouvre.  



  Quand la presse a été chargée avec les pièces  assemblées, l'adhésif est fixé par un chauffage à une  température de 85 à 1200 C pendant 2,5 à 5 minutes,  à une pression au moins suffisante pour comprimer  le noyau en nid     d'abeille    et amener les panneaux en  contact avec les cloisons. Les vapeurs produites pen  dant le traitement sont ventilées par des trous 12  assurant une communication entre les cellules et for  més par encochement des couches en nid     d'abeille     non étirées au cours de leur fabrication. Les assem  blages sont ainsi transformés en portes de haute résis  tance et de haute     qualité,    dont les panneaux sont  exempts de gauchissement et sur lesquels le dessin  de la structure cellulaire n'apparaît pas sur les faces      exposées.

   Intérieurement, l'adhésif à l'état de prise  forme une couche continue sur chaque panneau et  imprègne les     parties    adjacentes des parois des cellules  du noyau en nid d'abeille, assurant ainsi une liaison  d'une résistance considérable. Les parois des cellules  sont légèrement incurvées vers l'extérieur en 13     (fig.     4) par rapport aux plans initiaux, au niveau de leurs  bords et près de ceux-ci, par suite de la pression ap  pliquée.  



  Finalement, les bords de la porte sont équarris et  terminés par l'application d'une mince couche de bois  14     (fig.    4). Cette couche est avantageusement     fixée     à l'aide d'un adhésif thermodurcissable et par chauf  fage à haute fréquence. Afin d'empêcher des marques  au     niveau    des joints dues à l'adhésif extrudé, cet  adhésif est de préférence appliqué de manière qu'il  ne s'étende pas sur les bords de la couche de bois.  



  Dans la seconde mise en     oeuvre    du procédé, on       utilise    le pré-assemblage représenté à la     fig.    5 qui  comprend une couche non étirée d'un matériau 15  à structure en nid d'abeille en carton de copeaux  d'une épaisseur de 0,38 mm. Des cloisons 17 et 19  en bois sont     fixées    par adhésif au premier et au der  nier ruban constituant la couche, ces pièces étant per  cées de trous 21 pour permettre la ventilation pen  dant la fabrication de l'élément et, dans ce but, des  encoches sont taillées sur le côté inférieur des rubans  entre les positions 23 où ces rubans sont     adhésive-          ment        fixés    ensemble.

   Quand le matériau est étiré, on  obtient un noyau formé de cellules hexagonales.  



  Le pré-assemblage représenté à la     fig.    6 com  prend un panneau dur 25, recouvert sur ses deux  côtés d'un adhésif susceptible d'être traité à chaud,  et cloué avec des broches métalliques 27 à des cloi  sons 29 et 31. Ces cloisons, semblables aux cloisons  17 et 19, sont formées de bois tendre, par exemple  du pin, et présentent une faible largeur, par exemple  25 mm, et une épaisseur égale à celle du noyau.  Elles ont été maintenues     rectilignes    et à la distance  voulue l'une de l'autre par un calibre pneumatique  pendant la mise en place du panneau 25 et des bro  ches 27.  



  Après retrait hors du calibre de pré-assemblage  de la     fig.    6, le panneau 25 est renversé sur une feuille  de placage de bois dur 33     (fig.    7). Le pré-assemblage  de la     fig.    5 est     utilisé    alors et les cloisons 17 et 19  sont saisies et écartées l'une de l'autre jusqu'à ce  qu'elles puissent être placées dans les positions repré  sentées à la     fig.    7. Quand elles sont dans ces posi  tions, elles sont tirées par le noyau dans la direction  des flèches A, de     sorte    que les cloisons 17 et 19 sont  maintenues contre les extrémités des cloisons 29 et  31 par butées dans les zones 35.  



  Il est évident que le noyau en nid d'abeille étiré  entre les pièces rigides, telles que les cloisons 17 et  19 fixées à ses extrémités, présente une largeur plus  faible dans sa partie moyenne que dans ses parties  extrêmes. Cela est dû au fait que l'étirage     entraîne     nécessairement une contraction sur toute la longueur  du noyau et, aux parties extrêmes, cette contraction    est empêchée par les cloisons rigides. C'est pour cette  raison que la couche 15 présente une plus grande  longueur que les cloisons 17 et 19. Après ou pen  dant l'étirage, les parties marginales et les angles du  noyau sont poussés manuellement entre les cloisons  29 et 31.  



  Pour plus de clarté, le noyau n'est pas représenté  à la     fig.    7.  



  Le stade suivant consiste à insérer un bloc de  fixation de verrou 37 et deux blocs de fixation de  charnière 41. Ces trois blocs présentent sensiblement  la même épaisseur que les cloisons 17, 19, 29 et 31.  Le noyau, qui est déplacé de côté localement pour  permettre     l'inseïtion    de ces blocs, presse ces derniers  comme indiqué par les flèches adjacentes, d'une ma  nière suffisamment ferme pour empêcher le déplace  ment pendant les stades suivants de la fabrication.  Dans le produit final, les blocs sont fixés aux pan  neaux par un adhésif. Une mise en place suffisam  ment précise des blocs est obtenue en utilisant, com  me guide, des marques 43 peintes sur une table 45  sur laquelle l'assemblage est formé.  



  A ce stade, le noyau est exposé sur sa surface  supérieure. Sur la majeure partie de cette surface,  les cellules forment un dessin régulier indiqué en 47.  Dans les zones d'angle 49 et dans les zones 51 autour  des blocs, les cellules sont distordues de diverses  manières ou sont dans la condition non étirée; mais  cela ne présente aucun inconvénient. Pour permettre  la distorsion du noyau dans les angles du panneau,  la couche originale 15 présente des fentes 57     (fig.    5).  La profondeur et la position des fentes sont telles,  qu'en négligeant les rubans du noyau qui sont fixés  aux cloisons 17 et 19, deux parois de cellules d'une  double épaisseur sont coupées par chaque fente.  



  Pour compléter la porte, l'assemblage représenté  aux     fig.    7 et 8 est couvert d'un second panneau dur  recouvert sur deux côtés d'un adhésif susceptible  d'être traité, ce panneau présentant une teneur en  humidité égale à celle du panneau 25. Pour faciliter  la manutention, ce second panneau est maintenu en  place par des broches placées à proximité des deux  angles sur un long côté de la porte, et finalement le  panneau et les broches sont recouvertes d'une feuille  de placage en bois dur.  



  L'assemblage est chargé dans une presse chauf  fée et après que l'adhésif a été traité sous une pres  sion suffisante, par exemple 1,75 à 2,1     kg/cm2,    pour  réduire l'épaisseur des cloisons et du noyau, la porte  est retirée et refroidie dans un courant d'air.  



  La porte est alors terminée par équarrissage et  placage sur ses bords.  



  Les dimensions des matériaux données dans la  description qui précède peuvent être évidemment mo  difiées, l'épaisseur du noyau en nid d'abeille et des  cloisons pouvant être augmentée pour des portes plus  épaisses ou diminuée pour des éléments plus minces.  L'épaisseur d'un panneau dur est habituellement com  prise entre 1,6 et 4,8 mm et plus communément de  3,2 mm ou de 2,5 mm. L'épaisseur de la porte peut      être avantageusement comprise entre 32 et 45 mm,  une épaisseur de 35 mm constituant un compromis  avantageux pour une production en grande série.  



  La capacité que présente la matière en feuille  d'absorber l'adhésif permet facilement d'obtenir  l'adhésion recherchée, même avec des adhésifs bon  marché. Il est très probable que la     flexion    des parois  des cellules du noyau, qui se produit quand le noyau  est comprimé,     facilite    l'adhésion. En outre, les noyaux  cellulaires obtenus sous forme ramassée sont faciles  à étirer quand ils sont dans un état propre à absor  ber l'adhésif et ils peuvent en conséquence être em  magasinés économiquement et être étirés au cours  du procédé d'assemblage lui-même.  



  L'épaisseur du noyau à     utiliser    dans chaque appli  cation est facile à déterminer par une simple expé  rience. Elle doit être suffisante pour que le noyau  puisse subir une compression visible accompagnée  d'une courbure des parois au voisinage des panneaux  à la suite d'une pression mécanique, mais elle ne doit  pas être assez forte pour que le noyau fasse bomber  les panneaux quand la pression est relâchée, ou pour  que le noyau s'effondre et .perde toute résistance à  la compression en présentant, par exemple, des par  ties plates adjacentes aux panneaux. Dans le cas  d'une porte ou d'un autre élément d'épaisseur égale,  l'épaisseur du noyau est avantageusement, dans la  règle, de 0,5 à 2,5 % supérieure à l'épaisseur des  cloisons recouvertes par les panneaux dans l'élément  fini.  



  Les panneaux et les cloisons présentent une résis  tance insuffisante pour donner à l'élément fini une  rigidité à la     flexion    en l'absence du noyau cellulaire.  Les cloisons peuvent être étroites et employées de  manière telle qu'elles subissent, ainsi que le noyau,  une réduction permanente d'épaisseur pendant la  compression. Par exemple, une porte peut être obte  nue en utilisant des cloisons en bois tendre, d'une  épaisseur sensiblement égale à celle du noyau et assez  étroites pour ne représenter que les 4 à 5 % du volu  me de matière entre les panneaux. Quand la pression  mécanique est     appliquée,    le noyau laisse d'abord les  cloisons absorber la majeure partie de la force totale.  Les cloisons sont comprimées avec le noyau.

   Dans  l'élément final, le noyau présente une épaisseur ré  duite, comme dans le cas d'un noyau d'une épaisseur  supérieure à celle des cloisons, et les panneaux sont  amenés en contact avec les cloisons par la pression.  



  On a trouvé que les portes obtenues de la manière  indiquée plus haut utilisent les propriétés des noyaux  cellulaires d'une manière telle qu'un noyau ayant les  dimensions cellulaires utilisées jusqu'ici dans la fabri  cation des portes donnerait un produit présentant une  résistance inutilement élevée. Le panneau en nid  d'abeille est très satisfaisant en dépit de la grande  dimension des cellules.  



  Pour être d'un usage avantageux dans l'industrie  du bâtiment, un élément doit être capable de résister  aux conditions     d'emmagasinage    défavorables rencon  trées fréquemment. En dépit de la     sensibilité    du pan-    veau dur à l'humidité, spécialement quand il est fixé  à un support discontinu mais rigide, on a trouvé que  les éléments décrits sont parfaitement susceptibles  d'être emmagasinés, même pendant des périodes pro  longées, dans des emplacements     humides.    Dans le  cas contraire, un élément ne peut donner satisfaction.  



  Il est évident que le succès de tels éléments dé  pend du maintien d'une     liaison    sûre entre les pan  neaux et le noyau. Les éléments seraient     inutilisables     si la liaison avait tendance à se rompre, mais on a  trouvé que même les éléments comprenant les pan  neaux les plus     minces    actuellement disponibles résis  tent au traitement le plus     rude    rencontré générale  ment. Des portes ainsi constituées ont été installées,  à titre d'expérience, dans des bâtiments où elles sont  communément ouvertes ou fermées avec le pied, et  aucun affaiblissement n'a été observé.

   On attribue  ce fait en partie à l'élasticité naturelle du noyau cel  lulaire formé à partir d'une matière en feuille présen  tant une capacité d'absorption. Les matières impré  gnées de résine, que l'on supposait précédemment  essentielles quand une haute résistance était exigée,  se briseraient dans de telles conditions.

Claims (1)

  1. REVENDICATION I Elément de construction à plusieurs couches, com prenant un noyau cellulaire formé par des rubans d'une matière en feuille fixés ensemble par leurs faces de manière à prendre une configuration ondulée et à former des cellules à extrémités ouvertes qui sont séparées les unes des autres par des parois constituées par la matière en feuille, et des cloisons entourant le noyau, ce dernier étant maintenu par un adhésif entre des panneaux durs plans qui recouvrent les cloisons et coopèrent avec lesdites parois pour fermer les cellules, caractérisé en ce que la matière en feuille est non cassante et susceptible d'absorber l'adhésif,
    et en ce que le noyau est maintenu dans un état de compression tel entre les panneaux que lesdites pa rois sont incurvées au voisinage des panneaux dans l'épaisseur du noyau. SOUS-REVENDICATIONS 1. Elément selon la revendication I, caractérisé en ce que la matière en feuille est un carton pressé. 2. Elément selon la revendication I, caractérisé en ce que les panneaux et les cloisons présentent une résistance insuffisante pour impartir une rigidité de flexion à l'élément en l'absence du noyau. 3. Elément selon la revendication 1, caractérisé en ce que les panneaux présentent une épaisseur de 2,5 mm.
    4. Elément selon la revendication 1, caractérisé en ce que la courbure des parois est telle que l'épais seur du noyau est inférieure de 0,5 à 2,5 % à la valeur qu'elle aurait en l'absence de courbure. 5. Elément selon la revendication I, caractérisé en ce que le noyau cellulaire présente une dimension de maille supérieure à 25 mm. 6. Elément selon la sous-revendication 5, carac térisé en ce que le noyau cellulaire présente une di mension de maille d'au moins 38 mm. 7. Elément selon la revendication I, caractérisé en ce que les panneaux sont couverts sur toute leur face interne de l'adhésif au moyen duquel ils sont fixés au noyau et aux cloisons.
    8. Elément selon la revendication I, caractérisé en ce que le noyau cellulaire présente des trous assu rant la communication entre les cellules. 9. Elément selon la revendication I, caractérisé en ce que les cloisons sont maintenues ensemble uni quement par les panneaux et le noyau. 10. Elément selon la sous-revendication 9, carac térisé en ce que les panneaux sont rectangulaires et le noyau est fixé à deux cloisons opposées qui présen tent des parties extrêmes se projetant au-delà du noyau, deux autres cloisons étant insérées entre les dites parties extrêmes.
    11. Elément selon la revendication I, constituant une porte, caractérisé en ce qu'il comprend intérieu rement des blocs pour la fixation d'un verrou et d'une charnière, maintenus sur les panneaux par l'adhésif. REVENDICATION II Procédé de fabrication de l'élément selon la re vendication I, dans lequel on fixe par adhésion un noyau cellulaire, formé de rubans d'une matière en feuille fixés ensemble de manière à prendre une con figuration ondulée et à former des cellules à extrémi tés ouvertes séparées les unes des autres par des pa rois constituées par la matière en feuille, entre des panneaux qui coopèrent avec lesdites parois pour enfermer les cellules, le noyau comportant des cloi sons qui coopèrent avec les panneaux pour enfermer le noyau,
    caractérisé en ce qu'on utilise une matière en feuille non cassante et susceptible d'absorber un adhésif, et des panneaux durs présentant la même teneur en humidité, en ce qu'on forme un assemblage dans lequel le noyau est disposé entre les panneaux, ces derniers chevauchant au moins partiellement les cloisons et l'adhésif étant réparti de manière à pou voir lier les panneaux au noyau et aux cloisons, l'épaisseur du noyau étant supérieure d'une valeur déterminée à la distance dont les cloisons espacent les panneaux l'un de l'autre dans l'élément final,
    et en ce qu'on fait prendre l'adhésif- pendant que ledit assemblage est soumis à une pression mécanique d'une valeur suffisante pour comprimer le noyau de ladite valeur déterminée dans la direction de son épaisseur et donner au noyau et aux cloisons la même épaisseur dans l'élément fini, ladite valeur déterminée étant telle que les parois, au voisinage des panneaux, sont incurvées dans l'épaisseur du noyau d'une valeur qui n'est toutefois pas suffisante pour que le noyau fasse bomber les panneaux ou devienne peu résistant à la compression. SOUS-REVENDICATIONS 12. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on utilise une matière en feuille non impré gnée. 13.
    Procédé selon la sous-revendication 12, carac térisé en ce que la matière en feuille est un carton pressé. 14. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on utilise des panneaux et des cloisons d'une résistance insuffisante pour donner à l'élément une rigidité à la flexion en l'absence du noyau cellulaire. 15. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on utilise des panneaux d'une épaisseur de 2,5 mm. 16. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on utilise des panneaux présentant une te neur en humidité comprise entre 8 et 12 % en poids. 17. Procédé selon la sous-revendication 16, ca ractérisé en ce que la teneur en humidité est comprise entre 9 et 11 % en poids. 18.
    Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce que les panneaux sont obtenus par découpage dans une seule feuille. 19. Procédé selon la revendication II, pour obte nir une porte, caractérisé en ce que ladite valeur dé terminée A est comprise entre 0,5 et 2,5 % de l'épais seur des cloisons recouvertes par les panneaux. 20. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on ménage des ouvertures dans les parois cellulaires du noyau et dans au moins une cloison, de manière que l'intérieur du noyau cellulaire soit maintenu à la pression atmosphérique pendant la prise de l'adhésif. 21. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on utilise un noyau cellulaire d'une dimen sion de maille supérieure à 25 mm. 22.
    Procédé selon la sous-revendication 21, ca ractérisé en ce que ladite épaisseur est d'au moins 3 8 mm. 23. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce que le noyau cellulaire est formé avec un adhé sif à base de caséine. 24. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on étale l'adhésif sur toutes les faces internes des panneaux. 25. Procédé selon la revendication II, caractérisé en ce qu'on utilise un noyau dont l'épaisseur est supé rieure, avant que l'assemblage soit soumis à la pres sion mécanique, à la distance dont les cloisons seules espaceraient les panneaux l'un de l'autre dans l'assem blage, et en ce qu'on amène les panneaux en contact avec les cloisons par pression. 26.
    Procédé selon la revendication II, pour une production continue, caractérisé en ce qu'on utilise un matériau cellulaire étirable pris d'un stock à l'état non étiré et étiré pour former le noyau, le panneau dur étant pris simultanément du stock sous forme de feuilles qui sont coupées et utilisées de manière que les feuilles utilisées dans la fabrication de chaque élément soient obtenues à partir d'une seule grande feuille. 27.
    Procédé selon la revendication 11, pour la fabrication en série d'éléments rectangulaires de mê me longueur et de largeurs différentes caractérisé en ce qu'on utilise un matériau cellulaire étirable et on l'étire pour former un noyau continu dont la largeur correspond à ladite longueur ou à un sous-multiple de celle-ci, et on coupe le noyau continu pour former des noyaux de dimensions correspondant aux largeurs des éléments. 28. Procédé selon la sous-revendication 27, carac térisé en ce qu'on stabilise le noyau continu dans son état étiré par un traitement à chaud avant de le couper.
CH57560A 1959-01-19 1960-01-19 Elément de construction à plusieurs couches et procédé pour sa fabrication CH363779A (fr)

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