Machine à encarter et à agrafer Il existe actuellement des machines dénommées K encarteuses-piqueuses , qui sont utilisées pour le façonnage des brochures, magazines, hebdomadaires, etc., en partant des éléments imprimés : cahiers et couvertures.
Une encarteuse-piqueuse est composée essentiel lement de 1. Une chaîne d'encartage sur laquelle les éléments composant la brochure sont disposés par des ouvrières placées le long de cette chaîne ; celle- ci est animée d'un mouvement uniforme et porte, espacés régulièrement, des taquets qui ont pour but d'entraîner les cahiers placés sur la chaîne. La distance entre deux taquets est telle qu'elle permet, en fonctionnement continu, de poser convenablement les cahiers et couvertures ; pra tiquement, cette distance est d'environ deux fois la longueur de la brochure à confectionner.
Il y a autant d'ouvrières le long de la chaîne que d'éléments différents dans la brochure.
Ce travail d'encartage peut être effectué auto matiquement par des appareils margeurs qui remplacent chacun une ouvrière.
2. Un groupe d'agrafage effectuant sur la brochure les points de piqûre au fil métallique. A la fin de la chaîne d'encartage, la brochure est cons tituée ; elle passe dans un dispositif de déplace ment discontinu qui l'amène d'abord en position d'agrafage sous le groupe des têtes piqueuses.
3. Un receveur pour la réception des exemplaires terminés. Du groupe d'agrafage, les brochures passent au dispositif d'éjection qui les envoie sur un tapis transporteur.
4. Eventuellement, une encarteuse-piqueuse peut comporter un appareil de coupe, dénommé mas sicot, qui affranchit les trois côtés de la brochure. Il est certain que les encarteuses-piqueuses équi pées de margeurs automatiques ont un rendement de beaucoup supérieur à celles desservies manuellement.
Toutefois, ce rendement est limité, non par les possibilités des margeurs qui sont très grandes, mais par la disposition même de l'encarteuse-piqueuse courante. Tout d'abord, la conception même de l'en- carteuse-piqueuse ne lui permet pas de dépasser certaines vitesses. D'autre part, le transport des élé ment imprimés se faisant tout au long de la chaîne d'encartage, lorsqu'on atteint une certaine vitesse de déplacement : l'air soulève les feuillets et provoque des incidents de marche tels que bourrage dans un des organes de la machine.
Plus le format de la brochure est grand, plus cet inconvénient est impor tant, car les feuilles ont tendance à se replier sur elles-mêmes.
La présente invention a pour objet une machine à encarter et à agrafer, caractérisée parce qu'elle comprend des moyens transporteurs pour l'encartage de feuillets fournis par des moyens distributeurs, des moyens fixateurs pour relier l'ensemble des feuillets et des moyens pour l'évacuation des feuillets termi nés et pour leur empilage à la sortie.
Suivant un mode de réalisation, les têtes piqueu ses peuvent être montées sur un bâti dont la base repose sur les bâtis principaux et coulisse sur ceux- ci permettant ainsi de relier les feuillets directement sur la chaîne sans arrêter celle-ci.
Suivant un autre mode de réalisation, les moyens d'évacuation peuvent comprendre des moyens de préhension, constitués par une chaîne-relais retirant les brochures agrafées du transporteur et les dépo sant sur un tapis de réception.
Une forme d'exécution de la machine faisant l'objet de l'invention est représentée, à titre d'exem ple, au dessin annexé. Les fig. 1A et 1B sont des vues de côté de la machine à encarter et à agrafer ; la fig. 2 est une coupe d'un appareil distributeur ; la fig. 3 est une coupe transversale du trans porteur ; la fig. 4 est une coupe montrant le détail de la commande des têtes piqueuses ;
la fig. 5 est une coupe montrant la disposition des chaînes-relais et la commande du transporteur principal ; la fig. 6 est le schéma d'une chaîne-relais ; la fig. 7 représente une vue schématique de la chaîne à encarter et à piquer en fonctionnement ; les fig. 81, 82, 83, 8,1, 85, 8,;, 87 représentent le fonctionnement d'un margeur distributeur des feuillets.
Les différentes phases opératoires pour la con fection des brochures sont effectuées par les divers organes constituant la machine 1. le transporteur principal ; 2. des appareils de distribution du papier ; 3. des organes de piquage ; 4. un ensemble de chames-relais ; 5. un tapis de réception.
Le transporteur est constitué de deux rubans métalliques perforés 1, ou autres matériaux similai res, représentés sur les fig. 1A, 1B et 3. Ces rubans métalliques sont reliés entre eux par des entretoises appelées sabres 2, ceux-ci étant placés perpendicu lairement aux rubans et équidistants les uns des autres. Les rubans 1 sont soutenus, pendant leur utilisation, par deux patins 3 et 4 fixés sur des bos sages agencés dans le bâti. En effet, l'ensemble des rubans et des sabres est supporté par deux bâtis principaux 5 et 6.
Les sabres portent, à leurs extré mités, des galets 7 et 8.
Ces galets servent pendant le retour de la chaîne et prennent appui sur des guides 9 et 10, ménagés aux parties basses _ des bâtis 5 et 6, pour soutenir ladite chaîne.
Le déplacement du transporteur est assuré par la rotation de l'arbre 11 (fig. 5).
Sur cet arbre sont clavetées deux roues 12, ces roues servant d'entraînement aux rubans métalli ques, un pignon à chaîne 13 reçoit la commande et un pignon à chaîne 14 qui transmet ensuite le mouvement au receveur.
A l'autre extrémité, un arbre 15, représenté à la fig. 1A, est monté sur deux paliers carrés 16, ces paliers étant agencés de manière à coulisser dans les bâtis 5 et 6 de la machine et permettant ainsi, par les vis 17, de tendre les rubans 1 à la tension désirée.
Les margeurs automatiques 104, 1041, 104,, représentés à la fig. 1A, sont constitués d'un tam bour rotatif 25. Ce tambour est soutenu par deux bras 18 et 19 d'un support 20, articulé sur un arbre 21 dont les extrémités reposent sur des paliers ménagés dans une plaque 22 solidaire des bâtis 5 et 6. Une vis 23, facilement manoeuvrable par un volant, est agencée sur les bras, et son extrémité repose sur un bossage 24 aménagé dans la plaque 22.
En agissant sur cette vis, on fait varier la dis tance entre les arbres 2 du transporteur et le tam bour 25. Une poignée 26 permet le blocage de la vis qui maintient le dispositif à la position désirée.
La vis sans fin 28 agissant sur le secteur denté 29, lui-même solidaire du tambour 25, est actionnée à l'aide du volant 27. Elle permet de régler la posi tion radiale du tambour et de le placer ainsi avec précision.
Les appareils de distribution reçoivent leur mou vement d'un arbre 32, par l'intermédiaire d'un cou ple de pignons coniques 33 et 34 et d'une transmis sion à chaîne constituée par des pignons 35 et 36 et de la chaîne 37. Le pignon conique 34 et le pignon à chaîne 35 sont montés fous sur une four rure de l'arbre 21. Le pignon à chaîne 36 est rendu solidaire de l'arbre 38 par un embrayage 30, actionné à l'aide d'une fourchette 39, solidaire d'une tige 40.
Le tambour en position débrayée étant désolida risé de ses organes de commande, est manoeuvrable à l'aide d'un volant 31. Ce volant 31 permet de tourner le distributeur à la main et d'ajuster la jetée de la feuille sur les sabres 2. Les organes d'agrafage 105, représentés aux fig. 1 B et 4, sont constitués par des têtes piqueuses 41 et des ensembles d'amenée de fil 42. Ces ensembles 41 et 42 sont supportés par un bâti 43 dont la base est agencée de manière à coulisser sur les bâtis principaux 5 et 6. Ils sont commandés par les cames 44 et 45 clavetées sur un arbre 46.
De chaque côté de ces cames, des biel les 47, 48, 49 et 50 transmettent les mouvements alternatifs des cames à des barres 51 et 52 qui, elles-mêmes, assurent la formation et l'enfoncement des agrafes. La commande de l'amenée des fils est réalisée par un porte-cliquet 53, dont l'oscillation est produite par la relativité des positions du bâti coulissant 43 par rapport à un point fixe 54 relié au porte-cliquet par la bielle 55.
Clavetées sur l'ar bre 46, représenté à la fig. 4, deux cames 56 et 57, de tracé identique, commandent le déplacement du bâti coulissant 43, de chaque côté de la machine, et ceci par l'intermédiaire de leviers 58 articulés en 59, des bielles 60 et des leviers 61 articulés en 62 et des bielles 63 reliées au bâti coulissant 43 à l'arti culation 64.
La forme, le calage et le réglage des cames 44, 45, 56, 57 permettent de poser les agrafes pendant le déplacement des brochures placées sur les sabres 2 ; il est donc nécessaire que le déplacement du bâti supportant les têtes piqueuses soit réglé avec le déplacement du transporteur amenant les feuillets à relier.
Les chaînes-relais, constituant les moyens de préhension, ont pour but d'ôter les brochures agra fées du transporteur principal et de les étager sur un tapis de réception représenté sur les fig. 1B, 5 et 6. Ce dispositif se compose de deux chaînes 65, montées sur des pignons 66 et 67, ceux-ci étant clavetés sur des arbres 68 et 69. Ces arbres sont soutenus par des piliers reposant dans des supports 70 et 71 qui, eux-mêmes, sont soutenus par les bâtis principaux 5 et 6. L'arbre 68 reçoit son mou vement de l'arbre 11 par l'intermédiaire de pignons 14 et 72, reliés par la chaîne 73 ; le pignon à chaîne 72 est solidaire du pignon droit 74, qui engrène avec le pignon 75, celui-ci étant solidaire du pignon à chaîne 76 relié à l'arbre 68 par la chaîne 77 et le pignon 78.
Les chaînes 65 comportent des chariots 79, ceux-ci étant répartis au même écartement que les sabres 2 sur les rubans 1, de façon à toujours se présenter face à face. Ces chariots 79 portent des tiges 80 aux extrémités desquelles s'articulent des pinces 81. Ces pinces se trouvent en alignement avec les ouvertures 82 et 83 pratiquées dans les sabres 2, de façon à faciliter le pincement des feuilles. Les pinces sont constituées de deux leviers 84 et 85 ayant, à chacune de leurs extrémités, un galet 86. Ces leviers sont reliés entre eux par un ressort de traction 87, qui fait que les pinces sont maintenues en position fermée. Deux bagues d'arrêt 88 main tiennent le jeu latéral de ces deux leviers libres sur la tige 80.
Les galets 86, aménagés en bout des leviers 84 et 85, circulant le long de rampes fixes 89 et 90 de profil approprié. Ces rampes font que les pinces conservent leur position verticale pendant leur descente sur le sabre 2, et s'inclinent dans les positions 91 et 92 pour amener progressivement les brochures sur le tapis de réception. La rampe inté rieure 89 est interrompue entre le moment de la prise en pince et le lâcher des brochures sur le tapis, de manière à laisser toute liberté de mouvement de la pince, celle-ci tenant la brochure.
Le tapis de réception représenté à la fig. 1 est constitué de sangles 98 tendues entre les arbres 96 et 97. Ces arbres sont garnis de poulies 99 et 100, de manière à guider les sangles, celles-ci étant rete nues par un support 125 en tôle, par exemple. L'ar bre 97 entraînant le tapis de réception reçoit son mouvement du pignon 72, sur lequel il est claveté, celui-ci étant actionné grâce à un renvoi par le moteur principal.
Un déflecteur 101 dévie les brochures des pou lies 100 et amène ensuite la brochure en transit 102 sur les brochures déjà posées 103.
Le fonctionnement de la machine décrite ci- dessus est représenté schématiquement sur la fig. 7, et s'effectue comme suit On place sur les margeurs les feuillets à encarter, en ayant soin de les placer dans l'ordre -dans lequel on veut fabriquer la brochure. A cet effet, on place le feuillet central sur le premier margeur 104, tan dis que la couverture sera placée sur le margeur 104a, en l'occurrence le dernier, les margeurs inter médiaires 104, comportent les feuillets intermédiaires et il y en a autant qu'il y a de feuillets dans la brochure.
Les margeurs d'un type connu distribuent les feuillets sur les sabres 2 et, à titre d'exemple, le fonctionnement de ces margeurs est représenté sur les fig. 81, 8, , 83, 81, 85, 8,; et 87 sur lesquelles sont représentées les différentes étapes pour la dis tribution du feuillet.
Les feuillets 110 sont placés en pile, de telle façon que leur dos, c'est-à-dire la pliure, soit en con tact avec un support<B>111.</B>
Le margeur comporte trois rouleaux 112, 1121, <U>111,.</U> Ces rouleaux sont garnis de ventouses 113 fonctionnant par aspiration d'air et tournent suivant la flèche 114. Dans la position de la fig. 81, les ven touses 113 du rouleau 112 aspirent le premier feuil let qui se trouve collé contre ledit rouleau et entraîné suivant la flèche 114. Le tambour du margeur tour nant dans le sens de la flèche 115, entraîne les trois rouleaux principaux et les rouleaux intermédiaires 116 qui garnissent les intervalles existant entre les trois rouleaux principaux.
Le feuillet se trouve entraîné dans la position représentée sur la fig. & en s'enroulant autour du rouleau 112.
Le tambour continuant sa course, le feuillet est alors placé dans la position indiquée fig. 83 et, à ce moment-là, une pince 117 retient le dos du cahier au moment où l'organe preneur 113 le lâche et juste à ce moment-là, le deuxième rouleau 112 se trouve dans la position où le précédent rouleau- 112 se trouvait (fig. 1), c'est-à-dire qu'il est prêt à saisir le dos d'un nouveau feuillet pour effectuer le même cycle précédemment décrit.
Le cahier maintenu par la pince 117, se déve loppe ensuite sur le diamètre du tambour distribu teur représenté fig. 8,1 et est maintenu contre les rouleaux intermédiaires 116 par un organe flexible. L'organe flexible peut être constitué par des balais <B>118,</B> par exemple, ceux-ci ayant pour but de main tenir d'une manière souple les feuillets le long des rouleaux. Chaque feuillet sera maintenu jusqu'à ce qu'un crochet 119 qui, jusqu'à présent, a été esca moté du diamètre du tambour pendant les opérations précédentes, vient le prendre et le pousser en vue de le faire glisser jusqu'à la base du margeur.
A partir du moment où le crochet 119 entre en contact avec le feuillet, la pince 117 s'ouvre et lâche le feuillet. Celui-ci glisse entre les balais 118 et les cylindres 112-116, comme on le remarque sur la fig. 85.
Dans les différentes manaeuvres effectuées depuis le début de l'opération par le feuillet autour du rou leau, il se trouve que le feuillet étant saisi par ledit dos, c'est le côté à ouvrir qui est maintenant en avant. Un distributeur 120 guide le feuillet entre des cylindres 121 et 122 représentés sur les fig. 86. Ces rouleaux sont également garnis de ventouses 113 identiques à celles des rouleaux principaux du mar geur et au moment où les deux lèvres du feuillet se présentent, celles-ci sont aspirées et ouvrent le cahier, afin de séparer les deux pages et de faire tomber le feuillet à cheval sur le sabre 2 se présentant.
Il est bien évident que les ventouses 113, installées sur les rouleaux 121 et 122, ne maintiennent le papier que pendant un temps limité nécessaire à l'ouverture du cahier. A partir du moment où le feuillet est ouvert, les ventouses 113 lâchent leur pres sion et le cahier tombe de lui-même sur le sabre 2 se déplaçant suivant la flèche 123.
Pendant ce temps, les feuillets aspirés par les deux autres rouleaux ont effectué déjà plusieurs éta pes comme l'indique la fig. 8<B>7</B> et, dès l'instant où le premier feuillet est lâché sur le sabre 2, le deuxième feuillet suivant apparaît pour être saisi par les rou leaux 121 et 122 qui l'écartent en vue de le faire tomber sur le sabre 2 suivant.
Les feuillets étant distribués par les margeurs, chaque sabre 2 reçoit un feuillet en passant sous lesdits margeurs 104, 1041, etc., jusqu'au dernier qui complétera la brochure en position 106, en pla çant la couverture ; la brochure est donc prête à passer sous les organes d'agrafage 105. Le transpor teur 1 étant animé d'un mouvement continu et sui vant la flèche 107, il est donc nécessaire de procéder à l'enfoncement et au rivetage des agrafes, pendant les déplacements du transporteur. A cet effet, les organes d'agrafage étant montés sur un banc, sont prévus coulissants de façon à se déplacer suivant la flèche 1051, en même temps que la brochure, et provoquer son agrafage pendant son déplacement.
Donc, dès l'instant où la brochure se trouve sous les organes d'agrafage 105, ceux-ci étant avancés à l'avant de la chaîne, ils se déplacent en reculant en même temps que la brochure agrafée, et dès l'opéra tion terminée, les organes d'agrafage 105 reviennent en avant en vue de procéder à l'agrafage de la bro chure suivante.
Les brochures étant agrafées, continuent leur parcours sur les sabres 2, et sont saisies par des pinces 81. Ces pinces, montées sur une chaîne 65, sont réglées à l'écartement des sabres et se présen tent de manière à chevaucher ceux-ci lorsqu'ils se présentent. La pince articulée 81 se présente ouverte et saisit la brochure par le dos. Dès l'escamotage du sabre 2, la pince se referme grâce au dispositif décrit dans les paragraphes précédents et amène la bro chure suivant la flèche 108, jusqu'au tapis de réception.
Les brochures abordant le tapis de réception, lui-même étant animé d'un mouvement suivant la flèche 109, prennent une position inclinée, et dès l'instant où la brochure est au-dessus du tapis, la pince s'ouvre et lâche ladite brochure qui est ache minée vers la sortie de la chaîne.
Ce genre de machine dont les sabres se dépla cent tranversalement permet d'aborder des vitesses de transport assez élevées, sans pour cela nuire à la bonne disposition des feuillets. En effet, les feuil lets étant placés à cheval sur les sabres, le déplace ment desdits feuillets ne s'effectue pas parallèlement au dos de la brochure, mais déplace celle-ci dans un sens perpendiculaire à leur dos pour les faire passer sous les distributeurs et les têtes piqueuses. Ce genre de transport annule également les dépla cements alternatifs des brochures auxquels elles sont soumises dans la machine normale.
Dans une variante, une portion de rampe 93 représentée fig. 1 B peut, par un dispositif mécani que ou électromécanique ou tout autre moyen simi laire, être amenée sur le passage du galet 86 du bras de levier 84 et, de ce fait, ouvrir la pince qui laisse tomber sa brochure sur un plan incliné 94, dans la boîte 95 destinée à la recevoir.
Cette portion de rampe n'est mise en fonction que lorsqu'une brochure incomplète ou imparfaite est signalée par un appareil de contrôle, celui-ci actionnant un dispositif qui déclenche la descente de la rampe.
Eventuellement, on peut aménager sur une chaîne un organe de coupe du genre massicot , celui-ci affranchissant les trois bords de l'ouvrage, de façon à donner des bords francs et réguliers.