CH352964A - Procédé de fabrication d'une carrure de boîte de montre et carrure obtenue par ce procédé - Google Patents

Procédé de fabrication d'une carrure de boîte de montre et carrure obtenue par ce procédé

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CH352964A
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Description


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 Procédé de fabrication d'une carrure de boîte de montre et carrure obtenue par ce procédé Le dessin annexé représente un exemple de mise en    oeuvre   du procédé défini par la revendication 1 ci-après ; il représente en outre, à titre d'exemple, une forme d'exécution d'une carrure de boîte de montre-bracelet selon la revendication II. 



  La    fig.   1 est une vue en plan d'une pièce    utilisée   au départ dans ledit exemple de mise en    oeuvre   du procédé ; la    fig.   2 est une vue en coupe partielle d'un outillage destiné à effectuer une opération d'emboutissage sur la    pièce   de la    fig.   1 ; la    fig.   3 est une vue en plan de la partie de l'outillage qui est représentée à la    fig.   2 ; la    fig.   4 est une coupe de l'outillage complet au moment où il vient d'effectuer son opération ; la    fig.   5 est une vue en    perspective   d'une partie de la pièce obtenue après l'opération représentée à la    fig.   4 ;

   la    fig.   6 est une    coupe   de la    pièce   obtenue à un stade de fabrication plus avancé ; la    fig.   7 est une coupe qui illustre la dernière opération dudit exemple    de   mise en    oeuvre   du procédé selon la revendication I, et qui représente en même temps ladite forme d'exécution de la    carrure   de boîte de montre-bracelet définie par la revendication II, et la    fig.   8 est une vue en plan depuis dessous de la carrure de la    fig.   7. 



  L'exemple de mise en    #uvre   représenté aux    fig.   1 à 8 débute par le découpage de la pièce 1    (fig.   1). Cette    pièce   1 est en effet sortie d'une    feuille   de métal mince et sa    forme      correspond   à celle des surfaces extérieures de la carrure de boîte de    montre-bracelet   qu'il s'agit de fabriquer, d'une manière telle que le passage de la forme représentée à la    fig.   1 à celle des    surfaces   extérieures de ladite carrure, peut se faire à la suite d'emboutissages, pratiquement    sans   aucun étirage de matière, ainsi que l'on procède habituellement dans la fabrication des boîtes de montre en plaqué-laminé.

   Les    saillies   2 de la    pièce   1 sont destinées en particulier à fournir la matière    nécessaire   à entourer les cornes de la boîte de montre, qui sont venues de fabrication en une pièce    avec   la carrure de    cette   boîte.

   L'épaisseur de la pièce 1 est choisie en fonction du métal de cette    pièce   et aussi en prévision des opérations de    terminaison.   Ainsi, dans le cas    particulier   où la pièce 1 est en acier inoxydable,    trempable,   désigné    par   4C27, on    choisit   une    pièce   ayant une épaisseur approximative de    25/ioo   de mm, s'il est prévu de lui faire subir après coup des opérations de polissage mécanique, par exemple à l'aide des meules utilisées habituellement pour polir les boîtes de montre en acier inoxydable, et de    lo/ioo   de mm, si    cette   pièce n'est    destinée   à être soumise par la suite qu'à un polissage électrolytique. 



  La    pièce   1 est ensuite soumise à des opérations d'emboutissage en vue d'obtenir une coquille ayant la forme des    surfaces   extérieures de la    carrure   de la boîte de montre à fabriquer, cette coquille étant destinée à constituer la partie extérieure, visible, de la boîte. Pour donner à la    pièce   1 la    forme   voulue, il est indiqué, en    particulier   si cette    pièce   1 est en acier inoxydable, de lui faire subir un emboutissage préliminaire    composé   d'une ou de plusieurs opérations    successives,   en vue de former une ébauche de coquille, dont la    forme   s'approche déjà un peu de la forme définitive de la carrure de boîte à fabriquer. 



  Cette ébauche de    coquille   3 est alors placée sur une    matrice   4,    comme   on le voit à la    fig.   2. La matrice 4 présente un logement 5 dont la forme correspond exactement à celle des parties supérieures de la carrure de la boîte à fabriquer. Ce logement 5 pré- 

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 sente lui-même un évidement annulaire 6, destiné à donner à la    coquille   3 la forme exacte de la partie supérieure de la carrure, qui tient lieu de    lunette   et qui entoure le verre de montre. L'évidement 6 prépare en outre le cran destiné à recevoir ce verre, et il sert à former le rehaut de la boite. 



  Pour obliger la    matière   de la coquille 3 à épouser fidèlement les formes du logement 5 de la matrice 4, un bloc 7 de matière tendre et fusible à basse température est    placé   à l'intérieur de    cette   coquille 3,    afin   de servir de coussin souple entre le poinçon 8 représenté à la    fig.   4 et la coquille 3. 



  Des essais ont montré en effet que l'utilisation d'un tel bloc non seulement    simplifiait   la fabrication de l'outillage des    fig.   2 à 4 en ce sens que la forme du poinçon 8 ne doit plus correspondre exactement à    celle   de la matrice 4, mais encore produisait un emboutissage    beaucoup   plus propre de la coquille 3, en    particulier   quand la forme définitive de cette    coquille   présente des reliefs fortement    accentués   ou des    surfaces   arrondies, comme on le voit, par exemple, en 9, à la    fig.   4.

   En interposant un coussin de matière tendre entre le poinçon 8 et la coquille 3, on peut très facilement emboutir    celle-ci   dans sa forme définitive, même si elle présente des décorations très fines, constituées, par exemple, par un ensemble de toutes petites    protubérances   réparties tout autour du verre de montre    destiné   à être fixé à la carrure à fabriquer. 



  Au cours de l'opération représentée à la    fig.   4, la coquille 3 est donc appliquée contre les parois du logement 5 de la matrice 4 et la matière du bloc 7 se déforme    comme   on le voit en 7a, à la    fig.   4.    Cette   matière est alors    appliquée   contre la    surface   intérieure de la coquille 3. Si la face inférieure du poinçon 8 ne doit pas épouser fidèlement la forme du logement 5, le    contour   de    ce   poinçon doit néanmoins correspondre à celui de    ce   logement 5, de façon que le poinçon    ferme   ce logement assez tôt pour empêcher toute    fuite   vers l'extérieur de la matière du bloc 7, lorsque le poinçon 8 entre en action. 



  Une matière convenant particulièrement bien pour le bloc 7 est le plomb, tant en raison de sa    malléabilité   que de son point de fusion, qui est très bas.    Comme   il s'agit d'éliminer le coussin 7a par la suite, il est    indiqué   d'enduire de    suif   les faces intérieures de la coquille 3 destinées à entrer en contact avec le plomb, en particulier dans le cas où la coquille 3 est    faite   en acier inoxydable. 



  Après l'opération représentée à la    fig.   4, la coquille 3 a la forme représentée en perspective à la    fig.   5, où le coussin 7a a été omis pour plus de    clarté.   



  La coquille représentée dans cette    fig.   5 présente une partie centrale 10 destinée à être découpée presque entièrement par la suite, une partie annulaire 11 formant la lunette de la boite de montre, des parties latérales arrondies, 12, 13, destinées à recouvrir les faces latérales de la partie    supérieure   de la carrure, respectivement à l'extérieur et à l'intérieur des cor-    nes   servant à la fixation du    bracelet,   et des parties latérales cylindriques 14, 15, qui doivent encore subir un emboutissage en vue de recouvrir les    faces   latérales inférieures de la carrure, respectivement à l'extérieur et à l'intérieur desdites cornes.

   En comparant les    fig.   1 et 5, on comprend sans autre comment les oreilles 2 de la    pièce   1 sont embouties de façon à former les    faces   supérieures 16 et latérales 17 des    cornes   de la boîte. Quant aux parties saillantes 18 de la    coquille   3, elles sont destinées à recouvrir, d'une part, les faces inférieures desdites    cornes,   et, d'autre    part,   les parties des    faces   latérales inférieures de la carrure, qui sont situées au-dessous de ces cornes. 



  On remarquera que les faces internes de    ces   parties 18 de la coquille 3 ne sont pas en    contact   avec le    coussin   7a. Au moment de l'emboutissage représenté à la    fig.   4, les    parties   18 s'engagent dans des espaces libres correspondants, situés entre l'une des parois latérales de chacun des passages 20 et les    ailes   19 du poinçon 8, qui sont destinées à envoyer la matière du bloc 7 aux extrémités des passages 20 de la matrice 4 en vue de donner leur forme aux cornes de la boite. 



  Si l'on veut éviter que la matière de la    pièce   1 ne soit étirée pendant l'emboutissage, il est évident que la forme de la    pièce   de départ représentée à la    fig.   1 doit être déterminée de façon très    précise,   afin que la coquille 3 obtenue à    partir   de cette    pièce   recouvre exactement toute la    surface   extérieure visible de la    carrure   de boite de montre à fabriquer. 



  Le nombre des opérations d'emboutissage nécessaires pour amener la pièce de la    fig.   1 dans la    forme   représentée à la    fig.   5 dépend naturellement de la forme de la    coquille   3, aussi bien que des propriétés de la matière de la pièce 1 et de son épaisseur. Ainsi, avec une pièce 1 faite en un métal assez malléable et relativement mince, il pourrait être possible d'arriver à lui donner la forme de la    fig.   5 par la seule opération d'emboutissage représentée à la    fig.   4,    c'est-      à-dire   sans emboutissage préliminaire, et    cela   sans risque de déchirer la matière de la pièce 1.

   Dans un tel cas, la    pièce   1 serait placée directement sur la matrice 4 et le bloc 7 de matière malléable pardessus. Pour que la pièce 1 soit alors placée convenablement par    rapport   au    logement   5 de la matrice, il faudrait naturellement prévoir dans celle-ci,    au-      dessus   du logement 5, un logement dont la forme correspondrait à celle de la pièce 1, de façon que cette pièce 1 ne puisse    occuper,   par rapport au logement 5 de la matrice 4, qu'une seule position très précise. 



  Il va sans dire que si la ou les opérations d'emboutissage décrites ci-dessus sont applicables sans risque de déchirure à une pièce 1 en acier inoxydable, elles sont aussi applicables à une feuille faite en un autre métal, par exemple en laiton, en or ou en plaqué laminé. 



  Après l'opération représentée à la    fig.   4, la    pièce   obtenue est soumise à une nouvelle opération d'em- 

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    boutissage   destinée à donner aux parties 14 et 15 de la coquille 3 la forme de la face latérale    inférieure   21 de la carrure    (fig.   6). Dans ce but, la pièce obtenue à la    fig.   4 est placée dans une nouvelle matrice (non représentée) semblable à la    matrice   4, mais dont le logement ne reçoit que la partie supérieure déjà terminée de la    coquille   3.

   Le poinçon utilisé dans ce nouvel outillage présente une    face   inférieure évidée, à parois tronconiques, destinées à refouler vers l'intérieur les parties latérales cylindriques 14 et 15 de la coquille 3. Ce même outillage peut aussi être utilisé en vue de    replier   les    parties   saillantes 18 de la coquille 3 sur les    faces   inférieures des cornes de la boîte. 



  La pièce obtenue après ces opérations d'emboutissage est représentée à la    fig.   6. Par rapport à    celle   qui est obtenue à la    fig.   4, la    pièce   de la    fig.   6 comprend une coquille extérieure dont la forme est celle de la boîte à fabriquer. Il est clair que, au moment où les    parties   14 et 15 de la coquille 3 sont refoulées vers l'intérieur, la matière du coussin 7a cède, tout en servant de support à la coquille 3. Comme pour l'emboutissage de la partie supérieure de la coquille 3, le coussin 7a assure aussi un emboutissage satisfaisant de la partie inférieure de cette coquille. 



  Comme le cran destiné à retenir le verre de montre ne peut pas être fabriqué par emboutissage, il faut encore en    traiter   la face 22    (fig.   6) par exemple à l'aide d'une roulette 23 représentée en traits mixtes à la    fig.   6. Au cours de cette opération, la matière du coussin 7a, qui se trouve encore à l'intérieur de la coquille, cède pratiquement sans résistance. Quant à la partie 24 de la coquille, qui recouvre la face supérieure du rehaut de la boîte, elle est très légèrement étirée au cours de cette dernière opération. Cet étirage est si faible qu'il ne risque pas de provoquer une déchirure de la coquille 3, dont la partie    centrale   10 peut être alors découpée. 



  Après ce découpage, il s'agit    d'éliminer   le coussin 7a, qui a été utilisé uniquement    dans   le but de permettre l'emboutissage de la coquille 3. Dans ce but, on fait fondre la matière du coussin 7a en pla- çant la pièce obtenue dans un four chauffé à une température supérieure au point de fusion du métal du coussin, mais inférieure au point critique du métal de la coquille 3. 



  Des essais ont montré que si l'on avait pris soin d'enduire de suif les parois internes de ladite coquille, comme indiqué ci-dessus, la matière du coussin    7a   se détache alors complètement et coule hors de la coquille en un temps relativement court. 



  Pour fabriquer une boîte de montre à partir de la    pièce   creuse à parois minces ainsi obtenue, on injecte une matière synthétique à l'intérieur de cette pièce creuse, comme on le voit à la fi-. 7, où la coquille 3 -est placée sur un noyau 25 présentant des canaux d'injection 26. Afin d'éviter tout    tournage   subséquent des faces    internes   de la carrure, la forme extérieure du noyau 25 est agencée de façon à mou-    ler   le    corps   27 de la boîte dans sa forme définitive.

   Comme on le voit dans l'exemple représenté à la    fig.   7, le noyau 25 présente: un épaulement 28 destiné à former le rehaut 29 de la boîte ; une portée 30 destinée à mouler la    paroi   cylindrique interne de la boîte, qui reçoit un cercle    d'encageage   du mouvement de la montre ou ce mouvement lui-même; une partie annulaire 31 destinée à former, dans le corps 27 de la boîte, un logement pour    fixer   le fond de la boîte à la    carrure,   la paroi cylindrique de ce logement pouvant ensuite être taillée de façon à assurer la fixation à cran du fond ou être taraudée en vue de recevoir un rebord fileté du fond ; et enfin une partie annulaire 32 destinée à former, dans le corps 27, un emplacement annulaire pour une garniture d'étanchéité. 



  Après l'opération d'injection représentée à la fi,-. 7, il n'est plus nécessaire de prévoir des opérations d'usinage ni sur les faces extérieures, ni sur les    faces   intérieures de la    carrure   de la boîte. Il faut tout au plus encore tailler une gorge dans la paroi cylindrique de la carrure pour    permettre   l'engagement des vis ou plaques de fixation du mouvement, et usiner la paroi latérale du logement de cette carrure destiné à recevoir le fond. La carrure obtenue n'a plus qu'à être soumise à un polissage mécanique ou électrolytique, de ses    parties   extérieures visibles. 



  La carrure obtenue de cette façon a tout à fait l'apparence d'une boîte en acier inoxydable. Pratiquement, elle en a également les qualités, tant au point de vue résistance qu'aspect, puisque toutes les parties de    cette   boîte exposées à des frottements sont constituées par des    surfaces   en métal, voire en acier, dont la résistance à l'usure est suffisante, même si la coquille n'a qu'une épaisseur de    1/io   de mm. 



  La seule    différence   visible de l'extérieur entre la carrure fabriquée de    cette   façon et une carrure massive peut être observée du côté du fond, où apparaissent très faiblement les joints 33    (fig.   8) situés aux endroits où les parties saillantes 18 de la coquille se juxtaposent aux parties 15 de celle-ci. 



  Si la coquille 3 était faite en laiton, elle pourrait être terminée par chromage, nickelage ou placage. Une coquille faite en aluminium pourrait être terminée par oxydation anodique d'au moins une partie de sa    surface   extérieure. 



  Au lieu de former le corps de la boîte en injectant de la matière synthétique dans la    coquille   3, on pourrait aussi le faire en    injectant   dans    cette      coquille   une autre matière, telle, par exemple, que la fonte utilisée    couramment   pour fabriquer les boîtes de montre bon marché. 



  Par rapport aux boîtes massives, la boîte décrite a un prix de revient nettement inférieur, d'une part, parce que l'emboutissage de la coquille peut se faire plus facilement que les étampages habituels effectués sur des pièces massives et, d'autre part, parce que l'injection d'un corps dans une coquille est une opération plus simple que les tournages qu'il faut effectuer habituellement à l'intérieur des pièces massives. 

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Claims (1)

  1. REVENDICATIONS I. Procédé de fabrication d'une carrure de boite de montre, caractérisé en ce qu'on fait tout d'abord une coquille mince constituant les faces extérieures de ladite carrure, en partant d'une pièce mince de forme telle que le passage de cette forme à celle de la coquille puisse se faire par emboutissage, pratiquement sans étirage, en plaçant un bloc de matière tendre et fusible à basse température du côté interne de ladite pièce, en pressant le tout dans une matrice ayant, en creux, la forme de ladite coquille, et en faisant fondre ladite matière fusible, et en ce qu'on injecte ensuite de la matière à l'intérieur de ladite coquille afin de former le corps de ladite carrure. II.
    Carrure de boîte de montre, obtenue par le procédé selon la revendication I, caractérisée en ce qu'elle est composée d'un corps en matière injectée, destiné à recevoir le mouvement d'une montre, et d'une coquille mince en métal dur recouvrant toutes les faces extérieures dudit corps de carrure. SOUS-REVENDICATIONS 1. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on enduit la surface interne de ladite pièce mince d'un produit évitant le collage, avant d'y placer ledit bloc de matière tendre. 2. Procédé selon la sous-revendication 1, caractérisé en ce qu'on enduit ladite surface à l'aide de suif. 3. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on utilise un bloc de plomb. 4.
    Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on injecte ladite matière en plaçant, à l'intérieur de ladite coquille, un noyau ayant la forme des faces internes de la carrure. 5. Procédé selon la revendication 1, destiné â fabriquer une carrure-lunette, caractérisé en ce qu'on fait ladite coquille de manière que le rehaut et le cran de glace de ladite carrure-lunette soient recouverts par cette coquille. 6. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on fait ladite coquille en acier inoxydable. 7. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on injecte une matière synthétique dans ladite coquille. 8.
    Carrure selon la revendication II, comprenant des cornes pour la fixation d'un bracelet, caractérisée en ce que l'intérieur des cornes est constitué par ladite matière injectée, et en ce que les faces extérieures visibles de ces cornes sont constituées par ladite coquille.
CH352964D 1958-03-11 1958-03-11 Procédé de fabrication d'une carrure de boîte de montre et carrure obtenue par ce procédé CH352964A (fr)

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Cited By (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
JPS506272U (fr) * 1973-05-14 1975-01-22
JPS5582981A (en) * 1978-12-19 1980-06-23 Seiko Instr & Electronics Ltd Case for portable watch
JPS55133379U (fr) * 1979-03-16 1980-09-20

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