Machine à fondre les lignes-blocs typographiques. La présente invention a pour objet une niaehine à fondre les lignes-blocs typographi ques. On connaît de telles machines, dans les quelles des matrices et espaces-bandes sont eonrposées en ligne puis livrées à un transpor- 1 cur verticalement mobile, appelé premier élévateur , qui reçoit un mouvement de des- destiné,
à amener la ligne à une position (le elielrage entre deux mâchoires serre-ligne et devant un moule, après quoi du métal fondu est refoulé à, l'intérieur :du moule contre les I'a-es des matrices pour former une ligne-bloc typographique et, finalement, l'élévateur re cevant un mouvement d'élévation pour ame- rler la ligne à une position de transfert, préalablement à la distribution des matrices ci espaces-bandes.
Dans ces machines, les mâchoires serre- ligne sont montées pour effectuer un mouve- ment. horizontal qui les rapproche ou les éloi gne l'une de l'autre dans le chapeau d'un bâti d'étau et.
peuvent être actionnées, séparément on conjointement, par une barre verticale ment mobile qui peut être reliée, par l'inter médiaire de leviers coudés, soit à la mâchoire de gauche, en vue d'un rentrage (retrait de la 1 ête de ligne), soit aux deux mâchoires, en vue d'un centrage.
Les mouvements verticaux <B>(le</B> la barre de commande des leviers coudés sont commandés par un organe à. commande par came qui fait partie du mécanisme de .justification et qui effectue deux opérations (le nionte-et-baisse pendant chaque cycle de travail de la machine.
La première course vers le haut, de cet organe de justification est utilisée pour permettre à la barre verticale d'être élevée par iui ressort. relativement lé ger, de manière à faire mouvoir l'une ou l'au tre ,des deux mâchoires ou les deux vers l'in.- térieur, contre une ligne composée occupant la position de clichage; et la seconde course dudit organe vers le haut est utilisée pour communiquer aux mâchoires une pression de serrage ,de ligne supplémentaire, immédiate ment avant le clichage.
Ensuite, et au moment où la pression s'exerçant en bout sur la ligne est supprimée, la ligne est élevée par l'éléva teur à l'écart de la position qu'elle occupait entre les mâchoires, et celles-ci sont alors ra menées à la position d'écartement normal.
Lorsque l'organe de justification com mence à descendre après sa première course vers le haut, la pression élastique qui a servi à refermer les mâchoires contre les extrémités de la. ligne est supprimée, ce qui permet un certain ,degré d'expansion ou d'élargissement naturel de la ligne, et en outre un léger recul desdites mâchoires à l'écart de la ligne com posée.
Cet. état libre ou liche de 1a ligne et le mouvement de recul des nrfirchoires sont. indé sirables parce que, pendant la seconde course (le l'organe de justification au cours de la quelle cet organe exerce une pression supplé mentaire, le mouvement qu'il est possible de communiquer aux mâchoires est très limité et, clans la mesure où ce mouvement limité doit servir à rattraper le jeu, la pression supplé mentaire se trouve diminuée.
Un inconvénient de cette perte de pression est qu'elle risque de faire obstacle au fonctionnement du méca nisme de clichage en raison de la présence d'un dispositif de sécurité normal qui entre en action chaque fois que la pression est insuf fisante pour établir une obturation suffisa.ni- ment étanche pour le clichage. Toutefois, la perte -de pression a ordinairement comme con séquence la production de lignes-blocs impar faites, principalement en raison de la for_na- tion de bavures sur les lignes clichées.
Ainsi qu'il a été mentionné précédemment, le levier de justification effectue une seconde course de monte-et-baisse juste avant l'opéra tion de clichage. Pendant le clichage, le mé tal fondu est refoulé à l'intérieur du moule et contre les faces des matrices composées de même que contre celles des surfaces arrière des mâchoires serre-ligne qui sont voisines des extrémités de la ligne composée, la pression exercée entre les matrices et les mâchoires établissant un joint étanche destiné à empê cher l'échappement de métal fondu.
Le métal fondu a tendance à adhérer aux faces de ser rage des mâchoires, à s'y déposer et à former à la longue de petites protubérances dures qui, si elles ne sont pas éliminées, occasion nent la production de lignes-blocs imparfaite, détériorent les parois latérales des matrices et peuvent donner lieu à d'autres défectuosi tés et inconvénients.
Dans le fonetionnem:cnt régulier ou normal de la machine (par oppo sition aux opérations de rentrage et de cen trage), la ligne composée est. complètement justifiée entre les mâchoires, préalablement réglées en position et relativement station naires, par la pression qu'exercent les espa- ces-bandes et qui tend à élargir cette ligne:
cette pression subsiste dans une certaine me sure une fois le clichage terminé, et pendant que la ligne composée est soulevée d'entre les mâchoires, celles-ci sont régulièrement sou mises à une action de raclage ou d'essuyage exercée sur elles par les deux matrices extrê- mes de la ligne, ce qui empêche la formation d'un dépôt de métal sur lesdites mâchoires. Au contraire, au cours d'opérations de rentrage et de centrage, la pression à. laquelle est. sou mise la ligne pendant le clichage s'exerce par l'entremise de la. barre de commande des mâ choires lors de la seconde course de l'organe de justification vers le haut.
Cette pression doit être considérablement réduite pour per mettre à. la. ligne d'être élevée à l'écart de la position qu'elle occupe entre les mâchoires et le synchronisme est tel que l'organe de justifi cation commence son mouvement de descente final, dans le cycle de travail de la machine, avant que la ligne ait. été soulevée d'entre les mâchoires.
Par suite, au moment où l'organe de justification descend, la pression exercée sur les mâchoires par l'intermédiaire de la barre de commande est. supprimée et. les mâ choires ont la possibilité de céder, de sorte que l'action d'essuyage ou de raclage désirée n'est pas réalisée dans les opérations de ren- trage et de centrage.
Le but principal du présent dispositif est de remédier aux difficultés ci-dessus.
La machine suivant. l'invention comporte une paire de mâchoires serre-ligne suscepti bles :d'être rapprochées l'une vers l'autre en vue d'une opération de rentrage ou de cen trage par une barre à mouvement vertical qui est actionnée à partir d'un arbre à cames, pendant un<I>cycle</I> de la machine, pour effec tuer successivement un mouvement dans un sens pour fermer les mâchoires, puis exercer une pression dans le même sens en vue du serrage de la ligne, et est caractérisée en ce qu'elle comporte un dispositif de blocage ser vant à, verrouiller la barre momentanément, de manière à empêcher son mouvement de re tour après que la pression de serrage de ligne exercée sur ladite barre a été supprimée, ce dispositif de blocage étant actionné à cet.
effet par un solénoïde monté dans un circuit élec trique qui comporte un interrupteur de com mande fonctionnant automatiquement pen dant le cycle de la machine.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une foi-me d'exécution de la ma chine objet de l'invention. Fig. 1. est une vue en perspective repré sentant. les parties avant et arrière de ladite forme d'exécution, équipée d'un dispositif de rentrage (retrait de la tête de ligne ou for- iYiation d'un blanc en fin de ligne) et de cen- tiiige (formation symétrique d'un blanc aux deux bouts de ligne).
Fig. 2 est un schéma de montage électri que des moyens de commande d'un dispositif de blocage.
Fig. 3 est une vue en plan, avec coupe horizontale partielle, d'une barre de coni- niande et du dispositif de blocage.
Fig. 4 est une vue en perspective, en re gardant de l'arrière, d'un interrupteur de commande et d'une came actionnant le dispo sitif de blocage.
Dans la forme d'exécution de la machine représentée au dessin, lorsqu'une ligne de ma trices et. d'espaces-bandes a été composée, cette ligne est livrée à un transporteur à mou- veinent vertical, appelé premier élévateur 1, dont le fonctionnement est commandé d'une tacon connue par une came la portée par un arbre à cames principal A par l'entremise de liaisons à leviers lb et 1e.
Après avoir reçu la ligne, l'élévateur descend à une position si tuée entre une mâchoire de gauche 2 et une mâchoire de droite 3 en regardant la fig. 1, à l'alignement d'un moule à fente (non repré senté), préalablement au clichage de la ligne- bloc. Le premier élévateur reçoit ensuite un mouvement qui l'amène au niveau de trans fert supérieur, et la ligne composée est dépla cée à partir de ce niveau, en vue de la distri bution.
Les deux mâchoires serre-ligne 2 et 3 sont mobiles vers et à l'écart l'une de l'autre et sont destinées à être actionnées par une barre de commande 4 à mouvement vertical qui est montée de façon coulissante, à son extrémité supérieure, dans un palier d'une pièce 5 lo gée à l'intérieur d'un carter 8 fixé au côté <B>C e</B> uche en regardant la fig. <B>1,</B> dun bâti<B>à</B> étau <B>,</B> a î.
La barre de commande 4 porte à son extré mité supérieure un collier à gorge 8 à l'aide duquel ladite barre peut être reliée sélective- nient à l'un ou l'antre de deux leviers coudés 9 et 10 disposés l'un en regard de l'autre en vue d'un rentrage, ou aux .deux leviers à la fois en vue d'un centrage. Le levier coudé 9 est relié à la mâchoire de gauche 2 par une bielle horizontale 11, et le levier coudé 10 est relié à la mâchoire de droite 3 par une bielle semblable 12. Les deux leviers coudés 9 et 10 sont montés de façon pivotante sur la pièce coulée 5.
Le mouvement vers l'intérieur, ou de fermeture, qu'effectuent les mâchoires au cours d'une opération de rentrage ou de cen trage résulte du mouvement ascendant de la barre de commande 4, alors que le mouvement vers l'extérieur, ou de retour, des mâchoires résulte du mouvement de la barre de com mande vers le bas.
Le mouvement vers le haut, ou de ferme ture des mâchoires, de la barre de commande 4 lui est communiqué par un long .levier 13 s'étendant dans la direction avant-arrière et faisant partie du mécanisme de justification bien connu. Le levier 13 est articulé à son extrémité arrière et il est actionné vers le haut par un ressort puissant (non représenté) sous la commande d'une came 14 montée sur l'arbre à cames principal A. Le mouvement du levier 13 vers le bas est. également effectué par la came de commande 14. Au cours de chacun des cycles de la machine, le levier 13 reçoit deux fois un mouvement clé pivotement vers le haut et vers le bas dans l'exécution de sa fonction de justification régulière.
Lors de la première opération du levier 13, la barre de commande 4 est mise à même de s'élever, soles l'influence d'un ressort relativement lé ger (non représenté) qui, par l'intermédiaire dîme liaison à. crémaillère et cliquet., élève. la dite barre pour refermer les mâchoires contre une ligne supportée dans la position de cli- chage. Le levier 13 pivote alors vers le bas, laissant les mâchoires serre-ligne dans la po sition. de fermeture contre la ligne composée, sans qu'elles exercent cependant aucune pres sion sur cette ligne.
Lors de la seconde opéra tion du levier 13, ce levier effectue par l'in termédiaire de son propre ressort de com mande, plus puissant, et d'une autre liaison à crémaillère et cliquet, la poussée supplémen- taire de serrage de ligne qui est. nécessaire pendant l'opération de clichage de la ligne- bloc. A l'achèvement du clichage, la barre -1 est ramenée à sa position basse normale, par le mouvement ascendant de l'élévateur 1, et les mâchoires sont de ce fait ramenées à leurs positions de complète séparation.
Telles qu'elles ont jusqu'iei été décrites, les pièces et la manière dont elles fonction nent sont connues et ont été décrites en détail dans le brevet. suisse N 297429. Le dispositif décrit ci-après est nouveau et sert à effectuer le blocage de la barre de commande 4, à eer- t.ains instants prédéterminés, en vue d'assurer les résultats utiles précédemment exposés.
Le dispositif de blocage (fig. 3) comprend un goujon à friction 16, en laiton, monté li brement dans un perçage de la pièce coulée 5 et disposé radialement par rapport à l'axe de la barre de commande 4; un collier en acier 17 prenant directement appui derrière le gou jon, et un levier 18 supporté (le façon pivo tante par la pièce coulée 5 et pourvu, à l'une de ses extrémités, d'une tête 18ca prenant appui contre le collier 17. Le goujon 16 est destiné à entrer en contact à friction avec la.
barre de commande lorsqu'une poussée, pro voquée par un mouvement .de pivotement du levier 18, est exercée sur lui; l'extrémité du goujon qui est en regard de la. barre a une forme telle qu'elle épouse le contour cylindri que de ladite barre.
L'autre extrémité du levier 18 est pourvue d'une vis réglable 19 qui prend appui contre l'extrémité de l'armature 20a d'un solénoïde 20 fixé à la pièce coulée 5 par une ferrure de support en porte à faux 5a. Lorsque le solé noïde 20 est excité, la poussée axiale de son armature fait pivoter le levier 18 dans le sens indiqué par la flèche de la fig. 3 pour exercer une poussée sur la barre de com mande, et lorsque le solénoïde est désexcité, cette poussée du levier est supprimée. Le fonctionnement du solénoïde 20 est commandé en synchronisme par un interrupteur 21 et une roue-came 22 portée par l'arbre à cames principal A.
L'interrupteur 21 (fig. 4) est du type normalement ouvert à lames de con- tact. flexibles et il porte -un <U>galet</U> 21a qui est fixé de Tacon isolée à. l'une des lames (le con tact. Cet interrupteur est destiné à être fermé, aux instants désirés, par deux segments de came 23 et 23a disposés sur la rouie-came 22.
Sur la fig. 2, qui représente le moritaâe électrique du circuit, on. voit que la tension du courant alternatif à. 110 volts habituel est d'abord réduite à '?4 volts par un transforma- teur T, puis que ce courant est transformé eu un courant continu à 18 volts par un redres seur au sélénium h'. Pour empêcher le cra- ehement de l"interrupteur 21 lors de ses mou vements d'ouverture et de fermeture,
un dis positif \?4 destiné à supprimer les étineelles (par exemple un redresseur au sélénium) est monté en parallèle avec le solénoïde 20.
Le fonctionnement est le suivant: La pre mière course du levier 13 vers le haut permet au faible ressort d'élever la barre de com mande 4 pour refeimer la ou les mâchoires travaillantes contre la ligne de matrices. Le synchronisme est tel. que, pendant que les mà- choires exercent sur la ligne cette pression élastique, le segment de came 23 ferme l'in terrupteur 21 et excite le solénoïde 20, qui l'ait, pivoter le levier 18 et oblige le goujon en laiton 16 à entrer en contact à friction avec la barre de commande.
Sous la poussée de blocage ainsi exercée sur la barre de com mande, les mâchoires sont, maintenues contre les extrémités de la ligne et sont ainsi empê chées d'effectuer un mouvement de recul, même après la. descente du levier de justifica tion et après que la. pression de ressort exer cée vers le haut sur la barre de commande a été supprimée.
Le segment de cane 23 est suf fisamment long pour maintenir l'interrup teur 21 fermé jusqu'à ce que le levier 13 ait commencé sa. seconde course vers le haut. -A ce moment, le segment 23 quitte le galet 21a et permet à l'interrupteur 21 de s'ouvrir, ce qui désexcite le solénoïde et supprime la pous sée de blocage exercée sur la barre de eom- mande, afin de permettre à cette barre d'être entraînée vers le haut en vue d'une action de serrage supplémentaire. Toutefois, avant que le levier 13 ait commencé sa seconde descente.
le second set;rnent 23a entre en aetion pour provoquer un nouveau blocage de la barre par le goujon 16, et la longueur de ce second seg ment est telle que la ligne est maintenue blo quée jusqu'à ce que, au cours du mouvement d'élévation qu'effectue l'élévateur 1 pour 1 ransporter la ligne à sa position de trans fert, ledit élévateur ait parcouru une distance < le 2 à. 3 cm. Ainsi, bien que la pression exer cée vers le haut sur la barre de commande ait été supprimée au moment où le levier de jus tification effectue sa descente finale, l'excita- .
tion ininterrompue du soléndide 20 maintient le goujon 18 en contact à friction avec la barre de commande, les mâchoires serTe-ligne étant ainsi maintenues contre la ligne avec une pression suffisante pour permettre aux deux matrices extrêmes de ladite ligne de ra cler ou autrement détacher tout dépôt de mé tal à caractère qui aurait pu adhérer aux faces de serrage des mâchoires. Ensuite, l'in terrupteur 21 s'ouvre, ce qui supprime la poussée de blocage du goujon 16 pour permet tre à la barre de commande d'être ramenée à sa position normale par le premier élévateur.
Letterpress block-line melting machine. The present invention relates to a niaehine for melting letterpress block lines. Such machines are known, in which the matrices and space bands are arranged in a line and then delivered to a vertically mobile conveyor, called the first elevator, which receives a des- destined movement,
to bring the line to a position (the elielrage between two line clamp jaws and in front of a mold, after which molten metal is forced back inside: of the mold against the dies to form a line- letterpress block and, finally, the elevator receiving a lifting movement to bring the line to a transfer position, prior to the distribution of the matrices into space bands.
In these machines, the line clamp jaws are mounted to effect movement. horizontal which brings them closer or away from each other in the cap of a vice frame and.
can be actuated, separately or jointly, by a vertically movable bar which can be connected, by the intermediary of angled levers, either to the left jaw, with a view to retraction (withdrawal of the 1st line head) , or to both jaws, with a view to centering.
The vertical movements <B> (the </B> control bar of the angled levers are controlled by a cam-operated member which is part of the justifying mechanism and which performs two operations (the nionte-and-lower during each working cycle of the machine.
The first upward stroke of this justification member is used to allow the vertical bar to be lifted by the spring. relatively light, so as to move one or the other, of the two jaws or both inwards, against a compound line occupying the platemaking position; and the second upward stroke of said member is used to impart additional line clamping pressure to the jaws immediately before platemaking.
Then, and as the pressure exerted at the end of the line is removed, the line is lifted by the elevator away from the position it occupied between the jaws, and these are then removed. carried to the normal spread position.
When the rationale begins to descend after its first upward stroke, the elastic pressure which served to close the jaws against the ends of the. line is removed, which allows a certain degree of natural expansion or broadening of the line, and further a slight retreat of said jaws away from the compound line.
This. free or lich state of the line and the receding movement of the branches are. undesirable because, during the second stroke (the justification organ during which this organ exerts additional pressure, the movement which can be imparted to the jaws is very limited and, in so far as this limited movement must be used to catch up the play, the additional pressure is reduced.
A drawback of this pressure loss is that it risks hindering the operation of the platemaking mechanism due to the presence of a normal safety device which comes into action whenever the pressure is insufficient to establish a seal. sufficiently waterproof for platemaking. However, the loss of pressure ordinarily results in the production of imperfect block lines, mainly due to the formation of burrs on the plate lines.
As previously mentioned, the justification lever performs a second up-and-down stroke just before the platemaking operation. During platemaking, the molten metal is forced back inside the mold and against the faces of the compound dies as well as against those of the rear surfaces of the clamping jaws which are close to the ends of the compound line, the pressure exerted between the dies and the jaws forming a tight seal intended to prevent the escape of molten metal.
The molten metal tends to adhere to the clamping faces of the jaws, settle there and over time form small, hard protrusions which, if not removed, cause imperfect blockline production and deteriorate. sidewalls of the dies and may give rise to other defects and disadvantages.
In the operation: regular or normal cnt of the machine (as opposed to retracting and centering operations), the compound line is. completely justified between the jaws, previously adjusted in position and relatively stationary, by the pressure exerted by the spacers and which tends to widen this line:
this pressure remains to a certain extent once the platemaking is finished, and while the compound line is lifted between the jaws, the latter are regularly subjected to a scraping or wiping action exerted on them by the two end dies of the line, which prevents the formation of a metal deposit on said jaws. On the contrary, during retraction and centering operations, the pressure at. which one is. sou setting the line during platemaking is exercised through the. jaw control bar during the second upward stroke of the justification member.
This pressure must be considerably reduced to allow. the. line to be elevated away from the position it occupies between the jaws and the synchronism is such that the justifi cation member begins its final downward movement, in the work cycle of the machine, before the line have. been raised from between the jaws.
As a result, when the rationale member descends, the pressure exerted on the jaws through the control bar is. deleted and. the jaws have the ability to yield, so that the desired wiping or scraping action is not achieved in the retraction and centering operations.
The main aim of the present device is to remedy the above difficulties.
The next machine. the invention comprises a pair of line clamping jaws capable of: being brought together for the purpose of a retraction or centering operation by a bar with vertical movement which is actuated from a camshaft, during a <I> cycle </I> of the machine, to successively effect a movement in one direction to close the jaws, then to exert pressure in the same direction in order to tighten the line, and is characterized in that it comprises a locking device used to lock the bar momentarily, so as to prevent its return movement after the line clamping pressure exerted on said bar has been removed, this locking device being operated at this.
effect by a solenoid mounted in an electric circuit which includes a control switch which operates automatically during the cycle of the machine.
The appended drawing represents, by way of example, a faith-me execution of my china object of the invention. Fig. 1. is a representative perspective view. the front and rear parts of said embodiment, equipped with a retraction device (withdrawal of the head of the line or formation of a blank at the end of the line) and centiiige (symmetrical formation of a white at both ends of the line).
Fig. 2 is an electrical circuit diagram of the control means of a locking device.
Fig. 3 is a plan view, in partial horizontal section, of a control bar and the locking device.
Fig. 4 is a perspective view, looking from the rear, of a control switch and a cam actuating the locking device.
In the embodiment of the machine shown in the drawing, when a line of masters and. of space bands has been made up, this line is delivered to a vertical movement conveyor, called the first elevator 1, the operation of which is controlled from a known parr by a cam carried by a main camshaft A by by means of lever links 1b and 1e.
After receiving the line, the elevator descends to a position if killed between a left jaw 2 and a right jaw 3 looking at fig. 1, the alignment of a slot mold (not shown), prior to the platemaking of the block line. The first elevator then receives a movement which brings it to the upper transfer level, and the compound line is moved from that level for distribution.
The two line clamp jaws 2 and 3 are movable towards and away from each other and are intended to be actuated by a vertical movement control bar 4 which is slidably mounted at its upper end , in a one-piece bearing 5 housed inside a housing 8 fixed to the <B> C e </B> shank side looking at FIG. <B> 1, </B> of a frame <B> to </B> vice <B>, </B> to î.
The control bar 4 carries at its upper end a grooved collar 8 by means of which said bar can be selectively connected to one or the other of two angled levers 9 and 10 arranged opposite each other. on the other with a view to retracting, or to the two levers at the same time for centering. The angled lever 9 is connected to the left jaw 2 by a horizontal connecting rod 11, and the angled lever 10 is connected to the right jaw 3 by a similar connecting rod 12. The two angled levers 9 and 10 are pivotally mounted on the casting 5.
The inward movement, or closing, that the jaws perform during a retraction or centering operation results from the upward movement of the control bar 4, while the outward movement, or back jaws results from the downward movement of the control bar.
The upward movement, or jaw closing, of the control bar 4 is communicated to it by a long lever 13 extending in the front-to-rear direction and forming part of the well-known justification mechanism. The lever 13 is articulated at its rear end and is actuated upwards by a powerful spring (not shown) under the control of a cam 14 mounted on the main camshaft A. The movement of the lever 13 downwards East. also effected by control cam 14. During each of the machine cycles, lever 13 receives a key up and down pivot movement twice in performing its regular justification function.
During the first operation of the lever 13, the control bar 4 is able to rise, soles the influence of a relatively light spring (not shown) which, through the intermediary of a link to. rack and ratchet., pupil. said bar for closing the jaws against a line supported in the clipping position. Lever 13 then pivots down, leaving the line clamp jaws in position. closing against the compound line, without however exerting any pressure on this line.
During the second operation of lever 13, this lever performs, via its own, more powerful control spring, and another rack-and-pinion linkage, the additional line clamping thrust which East. required during the block line platemaking operation. On completion of the plate-making, the bar -1 is returned to its normal lower position, by the upward movement of the elevator 1, and the jaws are thereby returned to their positions of complete separation.
As heretofore described, the parts and the manner in which they function are known and have been described in detail in the patent. Swiss N 297429. The device described below is new and serves to effect the locking of the control bar 4, at certain predetermined times, with a view to ensuring the useful results previously described.
The locking device (FIG. 3) comprises a friction pin 16, made of brass, mounted freely in a bore of the casting 5 and disposed radially with respect to the axis of the control bar 4; a steel collar 17 bearing directly behind the pin, and a lever 18 supported (the pivoting way by the casting 5 and provided, at one of its ends, with a head 18ca bearing against the collar 17 The stud 16 is intended to come into frictional contact with the.
control bar when a thrust, pro voiced by a pivoting movement of the lever 18, is exerted on it; the end of the stud which is opposite the. bar has a shape such that it matches the cylindrical contour of said bar.
The other end of lever 18 is provided with an adjustable screw 19 which bears against the end of the frame 20a of a solenoid 20 fixed to the casting 5 by a cantilevered support bracket 5a. When the solé noïde 20 is excited, the axial thrust of its frame causes the lever 18 to pivot in the direction indicated by the arrow in FIG. 3 to exert a thrust on the control bar, and when the solenoid is de-energized, this thrust of the lever is suppressed. The operation of the solenoid 20 is controlled in synchronism by a switch 21 and a cam wheel 22 carried by the main camshaft A.
Switch 21 (fig. 4) is of the normally open type with contact blades. flexible and it carries a <U> roller </U> 21a which is attached from the insulated Tacon to. one of the blades (the contact. This switch is intended to be closed, at the desired times, by two cam segments 23 and 23a arranged on the wheel-cam 22.
In fig. 2, which represents the electrical moritaâe of the circuit, on. sees that the voltage of the alternating current at. Usual 110 volts is first reduced to '4 volts by a transformer T, then this current is converted to a direct current at 18 volts by a selenium rectifier h'. To prevent the switch 21 from cracking during its opening and closing movements,
a positive dis \? 4 intended to suppress the sparks (for example a selenium rectifier) is mounted in parallel with the solenoid 20.
The operation is as follows: The first upward stroke of lever 13 allows the weak spring to raise control bar 4 to reseal the working jaw (s) against the die line. The synchronism is such. that, while the jaws exert this elastic pressure on the line, the cam segment 23 closes the switch 21 and energizes the solenoid 20, which has it, pivot the lever 18 and force the brass stud 16 to make friction contact with the control bar.
Under the locking thrust thus exerted on the control bar, the jaws are held against the ends of the line and are thus prevented from making a backward movement, even after the. descent of the justification lever and after that the. upward spring pressure on the control bar has been removed.
The cane segment 23 is long enough to keep the switch 21 closed until the lever 13 has started its. second upward stroke. -At this moment, the segment 23 leaves the roller 21a and allows the switch 21 to open, which de-energizes the solenoid and removes the locking thrust exerted on the control bar, in order to allow this bar to be driven upward for further clamping action. However, before lever 13 has started its second descent.
the second set; rnent 23a comes into action to cause a new blocking of the bar by the pin 16, and the length of this second segment is such that the line is kept blocked until, during the movement of The elevation performed by the elevator 1 to 1 ransport the line to its transfer position, said elevator has traveled a distance <2 to. 3 cm. Thus, although the upward pressure exerted on the control bar has been removed as the juice lever makes its final descent, the excitation.
The uninterrupted operation of the solenoid 20 maintains the stud 18 in frictional contact with the control bar, the serTe-line jaws thus being held against the line with sufficient pressure to allow the two end dies of said line to snap or otherwise loosen everything. deposit of metal of a character which could have adhered to the clamping faces of the jaws. Then, the switch 21 opens, which eliminates the locking thrust of the pin 16 to allow the control bar to be returned to its normal position by the first elevator.