CH286884A - Machine à composer. - Google Patents

Machine à composer.

Info

Publication number
CH286884A
CH286884A CH286884DA CH286884A CH 286884 A CH286884 A CH 286884A CH 286884D A CH286884D A CH 286884DA CH 286884 A CH286884 A CH 286884A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
characters
counter
machine according
character
binary
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
Higonnet Rene
Moyroud Louis
Original Assignee
Higonnet Rene
Moyroud Louis M
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Higonnet Rene, Moyroud Louis M filed Critical Higonnet Rene
Publication of CH286884A publication Critical patent/CH286884A/fr

Links

Classifications

    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B27/00Control, indicating, or safety devices or systems for composing machines of various kinds or types
    • B41B27/28Control, indicating, or safety devices for individual operations or machine elements

Landscapes

  • Accessory Devices And Overall Control Thereof (AREA)

Description


  Machine à composer.    lLa présente invention concerne une ma  chine à composer     photographique,    dans la  quelle les caractères composant une ligne sont,  enregistrés dans un enregistreur et ensuite  photographiés sur un film à partir d'un or  gane rotatif portant les différents caractères  susceptibles d'être imprimés.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une formue d'exécution de l'objet  de l'invention ainsi que des variantes.  



  La fig. 1 est un schéma d'ensemble.  La fig. 2 représente l'enregistreur.  



  Les fig. 3 et 4 représentent le chariot  porte-film.  



  Les fig. 5 à 9 représentent l'échappement  variable.  



  La fig. 10 représente le décodeur.  



  La fig. 11 est un schéma d'ensemble des  circuits électriques.  



  Les fig. 12 et 73 représentent des cir  cuits     basculeurs    à deux positions stables.  



  Les fig. 14 et l5 représentent des circuits  de comptage.  



  Les fig. 16 à 2'1 représentent en détail les  circuits correspondant à la fig. 11.  



  La fig. 18 représente phus particulière  ment le dispositif de corrections.  



  La fig. 22 est un diagramme de fonction  nement des cames.  



  Les fig. 23 á 25 représentent un comp  teur mécanique.  



  Les fig. 26 à 29 représentent une variante  du décodeur.    Les fig. 30, 31 et 32 représentent des  variantes du justificateur.  



  La fig. 33 est un diagramme d'assemblage  des fig. 16 à 21.  



  Les filg. 34 à 37 représentent une va  riante du dispositif     photographique.     



  Se référant à la fig. 1, la machine     coin-          prend    un clavier CL associé à une machine à  écrire donnant en même temps une copie  facilement lisible sur laquelle l'opérateur peut  se relire et faire des corrections, un enregis  treur ENR, deux compteurs ('P1 et CP2,  un justificateur JUS, un chariot porte-filmn  CHA, un décodeur DEC, une unité photo  graphique PLI et un     traducteur    de     largeur   <I>TL.</I>  



  Le clavier<I>CL</I> est muni de barres sélec  trices     ("H    (dites aussi de code ou de permu  tation) du genre utilisé dans les téléimpri  meurs. Lorsqu'une touche du clavier est abais  sée,     suie    ou plusieurs de ces barres sélectrices  sont, actionnées suivant un code analogue à       celui        utilisé    en télégraphie Baudot. Dans  l'exemple décrit, on utilise     un    code à sept  éléments et, par suite, sept barres sélectrices  pouvant donner 27, soit 128 combinaisons  différentes, ce qui est amplement suffisant.  



  Chaque caractère est caractérisé par     une     combinaison de ce code et les barres de per  mutation transmettent les     combinaisons    à un       enregistreur,    de préférence mécanique, qui les       enrel-istre    an     fur    et à mesure de la frappe.  



  La partie     inscript.rice    de l'enregistreur est.  entraînée     pai-    le chariot de la machine à      écrire de telle sorte que, dans le cas d'une  correction, on peut opérer comme avec une  machine à écrire normale, car le fait de rame  ner le caractère erroné en position de frappe  amène l'élément inseripteur en place ainsi  qu'un dispositif d'effacement qui peut être  actionné pour remettre l'enregistreur à zéro.  L'opérateur frappe ensuite le caractère cor  rect à la place du caractère effacé.  



  L'enlregistreur est simultanément utilisé  pour la frappe et le contrôle de l'impression  au moyen d'un dispositif de lecture indépen  dant.  



  Pour justifier les lignes, c'est-à-dire pour  augmenter la distance entre les mots de façon  à aligner la marge de droite, il est nécessaire  de mesurer la longueur de la ligne et de  compter le nombre d'espaces justifiables. A  cet effet, la largeur des différents caractères  est exprimée en fonction d'une unité de lon  gueur arbitraire et un compteur CP1 addi  tionne ces largeurs au cours de la frappe. Un  second compteur CP2 compte le nombre d'es  paces justifiables. Ces deux compteurs sont  associés au clavier pendant la frappe et pen  dant un court instant et pour la fin de la  ligne au justificateur JUS qui détermine l'in  crément de justification à ajouter à chaque  espace au     cours    de     l'impression.     



  La largeur des caractères est déterminée  par un certain nombre des éléments     dut    code  d'enregistrement, par exemple les quatre pre  miers en numération binaire. Quatre élé  ments permettent de caractériser 16 largeurs  différentes allant (le 0 à 15, ce qui est. suffi  sant en pratique.  



  Lorsque l'opérateur a terminé la frappe  d'une ligne, le lecteur de l'enregistreur est  associé à l'ensemble photographique et à un  traducteur de largeur T'L. L'ensemble photo  graphique comprend un disque ou tambour  sortant les caractères-matrices qui tourne en  permanence. U n décodeur DEO, commandé  par l'enregistreur, fait jaillir au moment pro  pice un éclair lumineux excessivement bref  qui photographie le caractère sélecté sur le  film porté par le chariot CHA. Le chariot  porte-film est ensuite avancé d'une distance    égale à la largeur du caractère sous le con  trôle cu traducteur de largeur TL.  



  La     longueur    des espaces     justifiables    est  choisie par le justificateur JUS.  



  Soit J la justification désirée (dans  l'unité de longueur choisie). lorsque la com  position est terminée, l'addition des largeurs  individuelles des caractères     (plus    la largeur  minimum des espaces justifiables) donne une  valeur inférieure de D à J, les espaces doi  vent être augmentés en distribuant D parmi  eux, sous la condition toutefois que chaque  espace ne peut être     augmenté    que par un  nombre entier d'unités (cette condition est  dictée par le mode de fonctionnement du  chariot porte-filmn qui ne peut, avancer que  par     nombre    entier d'unités pour des raisons  mécaniques). Si N est. le nombre d'espaces, le  rapport D/N ne sera pas en général un  nombre entier.

   La distribution des D unités  entre les N espaces est faite en ajoutant un  certain nombre Q d'unités à lum premier  groupe d'espaces et Q + 1 unités à un  deuxième groupe d'espaces. Le mécanisme de  justification comprend le compteur dans le  quel la longueur de la ligne non justifiée a  été enregistrée et     auquel    on ajoute un certain  nombre de fois en succession le nombre des  espaces.

   Le compteur enregistre ainsi en suc  cession les totaux suivants:    J - D (ligne non justifiée)  J-D + N (première addition)  J - D + 2N (deuxième addition)    etc, Ces additions     suiit        répétées        jusqu'à    ce  que le total     atteigne    ou     dépasse    la valeur J       assignée    à la. ligne justifiée. A ce moment,  un mécanisme est actionné pour effectuer la  répartition des unités entre les espaces.  



  La machine utilise le     système    de numé  ration binaire. Comme     bien    connu, ce système  de     numération    a     deux    chiffres seulement,  0 et 1, de telle sorte que les nombres entiers  successifs sont représentés par 0, 1, 10, 11,  100,     etc.    (correspondant respectivement à 0,  1, ?, 3,     -l,    etc. clans le     système        décimal).    Le  système binaire est préférable pour     lui    cer  tain nombre (le raisons:

   en premier lieu parce      qu'il ne nécessite que des relais ou commuta  teurs à deux positions, telles que attiré ou  au repos, out un circuit ouvert ou fermé, re  présentant seulement les conditions  oui ou  non  ou  0 ou 1 . Un autre avantage réside  dans le fait que les soustractions peuvent être  laites plus facilement que dans les autres  systèmes. Des soustractions sont nécessaires  pour les corrections et peuvent être faites en  système binaire par un procédé relativement  simple d'inversion.  



  lLe système de composition photographique  permet de placer sur le film avec une très  grande précision l'image d'un caractère animé  d'un mouvement rapide, cette précision étant  indépendante des variations de la position  des caractères les uns par rapport     aux    autres  sur le disque porte-matrices.  



  La machine utilise tan système de correc  tion automatique qui permet de remplacer  dans tune ligne enregistrée un caractère d'une  certaine largeur par un caractère d'une autre  largeur, sans agir sur la justification, et en  même temps d'effacer mécaniquement de l'en  registreur le caractère à remplacer ou à sup  primer.  



  L'enregistreur représenté sur les fig. 2 et  18 est un enregistreur à sept éléments. Il faut  en conséquence pour enregistrer une ligne  autant de rangées de sept broches qu'il peut  y avoir de caractères dans une ligne, 90 par  exemple. Clhacune de ces broches petut prendre  deux positions, une position avancée out posi  tion de repos et une position enfoncée ou de  travail. L'enregistreur petut être divisé en  trois parties, le champ de broches EB, le  groupe de marteaux EM et le chariot explo  rateur EX. Le champ de broches comprend  deux groupes de sept rangées. En le dépla  çant dans le sens vertical de la distance qui  sépare deux rangées consécuti v es de broches,  on associe un desdits groupes de sept ran  gées de broches avec les marteaux et l'autre  avec l'explorateur.

   De la sorte, l'opérateur  peut enregistrer une ligne pendant que la  ligne précédemment tapée est photographiée.  



  Le champ de broches EB comprend deux  flasques 100E et 101E reliés par des entre-    toises 112E. Ces flasques sont munis d'ouver  tures clans lesquelles les broches Bl... B7     peu-          veut        glisser.    Ces broches peuvent     prendre     deux positions, une position de repos B'1 et  une position de travail Bl. On a. représenté  sur le dessin une seule rangée de broches  pour la clarté du     dessin,    mais il y a en fait  autant de rangées de 14 broches qu'il peut  y avoir de caractères ou signes dans une  ligne. La distance séparant deux broches con  sécutives dans le sens horizontal est égale au  pas de la machine à écrire.

   Parmi les 14 bro  ches représentées sur le dessin, sept     coopèrent     avec la machine à écrire: B'l, B'2, B'3, B'4,  B'5, B'6, B'7 et sept (B1... B7) avec le cha  riot explorateur et le dispositif de photogra  phie. Grâce à cet arrangement, il est possible  de taper une ligne pendant que la précédente  est photographiée, et cela avec un minimum  d'éléments.  



  Lorsqu'une touche de la machine à écrire  est abaissée, un certain nombre de broches  sont enfoncées suivant la combinaison de  code attribuée audit caractère. Dans le cas de  la figure, les broches B'2, B'4, B'6 et B'7 sont  dans leur position dle travail, c'est-à-dire que  la     combinaison    correspondant au caractère est  2-4-6-7 qui est l'astérisque dans l'exemple  décrit (voir fig. 10). Les broches sont enfon  cées par des marteaux M1... M7 coulissant  entre deux flasques 110E et 111E. Ceux-ci       sont,    normalement sollicités vers leur position  (le repos par des     ressorts    (non représentés).

    Le flasque 110E qui porte     cet    ensemble de       marteaux    est fixé sur le chariot de la ma  chine à écrire afin qu'il suive positivement  tous les     déplacements    dudit chariot. Lorsque  le chariot de la machine à écrire se déplace,  il présente ainsi successivement les marteaux  en face de chacune des rangées verticales des  broches. Les     marteaux    sont. actionnés par des  palettes     RPl...        PP7.    Ces palettes pivotent  sous la.     commande    des     barres    de sélection     CJT,     associées au clavier de la     machine    à. écrire.

    lorsqu'une touche du     clavier    est abaissée, les  barres correspondant au code du     caractère     désiré sont actionnées et enfoncent les bro  ches. Dans     la        fig;.    2, les     palettes    de     commande         RP2, RP4, RP6 et RP7 sont représentées  dans leur position de     fonctionnement.    La  commande de ces palettes peut être soit élec  trique, soit mécanique. Dans le cas d'une com  mande électrique, les barres de sélection ac  tionnées ferment le circuit d'électro-aimants  RPE1, RPE2... RPE7 qui font pivoter les  palettes RB1... RB7..  



  Lorsque l'opérateur a fini de taper la  ligne, il déplace le champ de broches dans le  plan vertical le long de guides 113E. Ce  champ de broches peut prendre deux posi  tions, une position basse et une position haute.  Dans le cas de la fig. 2, il est dans la posi  tion haute, c'est-à-dire que les lignes de bro  ches impaires (en comptant à partir du haut  B1... B7), sur lesquelles la ligne précédente  a été enregistrée, sont associées au chariot  explorateur, et les lignes de broches paires  (B'1... B'7) sont associées aux marteaux. Sur  la fig. 2, les broches Bl, B4 et B5 des ran  gées impaires ont été enfoncées pendant la  frappe de la ligne précédente, cette combinai  son correspond au caractère 0 (voir fig. 10)  dans l'exemple de réalisation décrit. Les or  ganes destinés à déceler la combinaison enre  gistrée ou palpeurs sont représentés en P1...

    P8. Ils peuvent pivoter autour des axes 103E.  Ces axes sont portés par des bras 115E fixés  à une platine 104E. Cette platine 104E glisse  élans des équerres 105E et est poussée vers le  bras par un ressort (non représenté). Pour  la recherche de la combinaison, la plaque  104E est soulevée au moyen de la palette  pivotante 109E commandée par     l'éleetro-          aimant    PLP (fig. 18). Les organes palpeurs  sont ainsi poussés vers le haut et ceux qui  rencontrent des broches en position enfoncée       sur    leur course basculent dans le sens des  aiguilles d'une montre et ferment les contacts  qlui leur sont associés C1... C8. Ce sont ces  contacts qui commandent l'impression du ca  ractère correspondant, comme on l'expliquera  en détail plus loin.

   Le chariot explorateur EX  est muni de galets 107E roulant sur des rails  108E et d'un mécanisme d'échappement du  type des chariots de machines à écrire, com  mandé par un électro-aimant EXP. Après    avoir été ainsi  explorées , les broches sont  repoussées dans leur position de repos par  une barre verticale oscillante (non représen  tée). Les     broches    sont maintenues dans leur  position par des ressorts à friction.  



  Bien que le chariot explorateur E X et  l'ensemble des marteaux EN aient été repré  sentés l'un en face de l'autre pour simplifier  la figure, ils se déplacent absolument indépen  damment l'un de l'autre. EN est commandé  par le clavier, tandis que EX est commandé  par l'ensemble photographique.  



  Chariot et ses contrôles.  



  La fig. 3 montre une coupe partielle du  mécanisme d'entraînement du chariot     porte-          film    sensible, et la fig. 4 est une élévation de  ce chariot.  



  Le film sensible passe d'un magasin débi  teur à. un magasin récepteur (non représen  tés) et supportés par un organe immobile ou  mobile, mais de préférence non rigidement  relié     ati    chariot     (fig.    3 et. 4). L'indépendance  entre ces deux organes est assurée par une  boucle suffisamment lâche formée par le film.       A.    sa sortie du     ma-asin    débiteur, le film fait  une boucle, passe sur le débiteur     l-F,    puis       soues    le presseur 3-F. puis sous le débiteur 2-F  et revient au magasin récepteur.  



  Les déplacements du chariot sont détermi  nés par une vis irréversible à pas relativement  fin 17-F, dont la rotation est commandée par  l'échappement variable décrit plus loin. La  roue 37-F     (fig.    5 à 9) de l'échappement va  riable tourne, après chaque impression d'un  caractère, d'un angle déterminé par la lar  geur de ce caractère. Cette roue engrène avec  un pignon     débrayable    19-F (fi-.<B>3),</B> qui est  lui-même en prise avec un pignon 20-F gou  pillé sur l'arbre 29-F qui     porte    la vis     17-F.     Des roulements coniques 21-F et 22-F main  tiennent en translation l'arbre 29-F, de sorte  que sa rotation communique au chariot, grâce  à un écrou E, un mouvement de translation  dans le sens de la flèche F.  



  Pour     assurer    un écart constant entre les  caractères, les déplacements du chariot doi  vent se faire avec une grande précision, de      l'ordre de 0,01 mm. Afin d'obtenir cette     préei-          sion,    il est nécessaire de rattraper les jeux, ce  que l'on réalise au moyen de deux ressorts  qui sont également utilisés pour ramener  en arrière le chariot après impression d'une  ligne complète. L'un de ces ressorts est le res  sort à barillet 23-F (fig. 4) qui agit sur le  chariot par l'intermédiaire dlu filin 24-F, et       qui    tend à ramener ce chariot dans le sens  opposé au sens normal (le déplacement.

    L'autre ressort agit sur la vis 17-F gràee à  un filin 25-F et tend à faire tourner cette vis  dans le sens inverse du     sens    normal de rota  tion.  



  Chaque fois qu'un caractère a été photo  graphié, le chariot se déplace d'une distance  variable en un temps relativement court, ce  qui met en jeu des forces d'inertie impor  tant. Pour assurer la précision nécessaire, il  est indispensable d'absorber la plus grande  partie des chocs provoqués pa l'arrêt. du cha  riot. On a prévu dans ce but un dispositif  élastique, constitué par une bague 26-F pou  vant coulisser dans le bâti de la machine, et  recevant le roulement à rouleaux coniques  22-F, cette bague étant maintenue en place  par un ressort puissant 27-P, dont on peut.  régler la tension en agissant sur une pièce  28-F vissée dans le bâti.  



  Ainsi, quand l'échappement variable ter  mine son déplacement, la roue 37-F (fig. 5 à  9) s'arrête brusquement et, du fait de l'iner  tie. le chariot a tendance à continuer son  mouvement, ce qui applique un effort de  translation sur la vis 17-F et sur l'arbre 29-F.  Cet effort se manifeste sur le roulement de  butée 22-F par un choc, reporté sur ce palier  par un épaulement 30-F de l'arbre 29-F, puis  transmis àa la bague 26-F qui se déplace très  légèrement en comprimant le ressort 27-F.  



  Lorsqu'une ligne a été complètement photo  graphiée, l'électro-aimant DFD est excité.  Malgré l'action antagoniste du ressort 31-F,  cet électro-aimant attire le plongeur 32-F soli  daire du pignon 19-F, et ce dernier coulisse  sur une tige 33-F fixée sur le bâti de la ma  chine; il se dégage ainsi de la roue 37-F tout    en restant en prise avec le pignon 20-7F. Aussi  tôt que le pignon 19-F est dégagé de la roue  37-F, le ressort commandant le filin 25-F fait  tourner la vis 17-F dans le sens inverse de son  sens (le rotation normal, ce qui ramène le cha  riot en arrière afin de permettre l'impression  de la ligne suivante.  



  En marche normale, le pignon 19-F est  maintenu en prise avec la roue     37-F    par une  tige 34-F qui coulisse librement dans un noyau  fixe 35-F et qui est constamment poussée par  un ressort réglable 31-F.  



  Le disque MP est utilisé pour la mise en  position précise du chariot, comme il sera  représenté phus loin.  



  On décrira maintenant un mécanisme  d'échappement variable pour commander  l'avance du chariot porte-filin, en relation  avec les fig. 5 à 9.  



  Cet échappement variable comprend une  roue dentée 37-F engrenant. avec le pignon  19-F qui. commande la. rotation de la vis     17-F     d'avance du chariot.. Cette roue avance d'un  nombre de dents qui dépend de la largeur du  caractère qui vient. d'être reproduit, sous la  commande d'une pièce en étoile 38-F dont le  déplacement est limité par des butées 41-F en  nombre égal aux différentes avances désirées.  L'étoile 38-F est munie, en outre, d'un. secteur  denté 39-F ayant le même axe que la roue  37-F et que l'étoile 38-F, et qui peut engrener  avec un pignon 40-F.  



  Le traducteur de largeur de la machine  <I>TL</I> met. d'abord en place, à. l'endroit appro  prié, une butée     -11-F,    par exemple au moyen  d'un électro-aimant. (non représenté). Puis  l'électro-aimant principal 42-F est excité et  attire une tige de     commande        -13-F.    Cette tige  est munie de     deux    butées 44-F et     -15-F    et  passe dans une ouverture ménagée clans la  queue     1-6-F    du levier d'une griffe 47-F; ce  levier peut pivoter autour d'un axe 48-F.

   Au  début du déplacement. de la tige     -13-F,    un  ressort 49-F pousse le levier de la griffe 47-F  en le maintenant. appliqué contre la butée  44-F, et les dents de la griffe s'engagent dans  celles de la roue 37-F 'et immobilisent ainsi  cette roue.      La tige 43-f poursuit sa course, et sa bu  tée 50-F vient pousser la queue du support  51-F du pignon 40-F (fig. 6); ce support bas  cule autour de son axe 52-F et dégage le pi  gnon 40-F de la roue dentée 37-F. Le pignon.  10-F vient alors en prise avec les dents d'une  butée 53-F qui le maintient en position.  



  En même temps, l'étoile 38-F, dont le sec  teur denté 39-F était en prise avec le pignon  40-F. est libérée et se déplace dans le sens  inverse des aiguilles d'une montre sous l'ac  tion d'un ressort (non représenté), jusqu'à ce  qu'une de ses branches rencontre la butée 41-hF  (fig. 7). A ce moment, la tige 43-F a terminé  sa course et la butée 45-F maintient la griffe  47-F, qui retient elle-même la roue dentée  37-F. Le cliquet 54-F, qui est normalement  poussé dans les dents de la roue 37-F par un  ressort 55-F, et qui s'est soulevé pendant la  rotation de l'étoile, retombe dans une dent de  la roue 37-F et empêche tout rebondissement  de l'étoile.  



  Un amortisseur 56-F est normalement re  poussé par la queue 57-F de l'étoile. Lorsque  celle-ci tourne, cet amortisseur tourne autour  de l'axe 58-F sous l'action d'un ressort 59-F  et vient buter contre une pièce d'arrêt 60-h'.  



  Le mécanisme reste dans cette position  jusqu'à ce que l'électro-aimant 42-F relâche.  A ce moment, la tige 43-F revient en arrière  sous l'action du ressort 61-F (fig. 8). Au dé  but de ce retour, la partie 62-F de la butée  50-F rencontre la queue 63-F de la pièce 51-F  et cette pièce bascule; le pignon 40-F qu'elle  porte engrène à la fois avec la roue dentée  37-F et avec le secteur denté 39-F de l'étoile.  La partie 62-F glisse sous la queue 63-F et  maintient ainsi engagé le pignon 40-F.  



  En continuant son mouvement de retour,  la tige 43-F dégage la griffe 47-F dont les  dents sortent de celles de la roue 37-F (fig. 9).  A ce moment, cette roue sollicitée par le res  sort principal du chariot (non représenté)  tourne dans le sens des     aiguilles    d'une montre  et entraîne l'étoile 38-F jusqu'à ce que la  queue 57-F de cette étoile vienne buter contre  la pièce d'arrêt 56-F. En effet, la roue dentée  37-F et l'étoile 38-F se déplacent en même    temps, puisqu elles sont toutes cdeux en prise  avec le pignon 40-F. Au passage, la queue  57-F cède une partie (le son énergie cinétique  à l'amortisseur 56-F qui, sous le choc, vient  prendre la position 56'-F. Pour diminuer la  violence du choc, on prévoit. également un res  sort assez puissant clans la pièce d'arrêt 64-F.

    L'objet de ce décodeur est d'engendrer au  moment du passage du caractère sélecté sur  l'axe optique une impulsion relativement  large qui agit sur un tube électronique  fenê  tre  et laisse passer L'impulsion photoélectri  que de position correspondant au caractère     sé-          lecté.    Ce décodeur est constitué par un cylin  dre comportant sept rangées de parties iso  lantes et conductrices sur lesquelles frottent  sept balais Ba-1... Ba-7.  



  Les combinaisons de parties isolantes et de  parties conductrices le long d'une génératrice  du cylindre correspondent aux combinaisons  de code des divers caractères à reproduire.  comme le montre la fig. 10, où l'on a repré  senté schématiquement un cylindre décodeur  développé. D'autre part, les balais BA sont  reliés chacun à un contact des relais T1 à  T7 (fig. 17) qui, sous la commande de l'enre  gistreur, est ouvert ou fermé suivant le code  du caractère considéré, ainsi qu'on l'a vu pré  cédemment, ce code étant le même que celui  des combinaisons de parties isolantes et de  parties conductrices du cylindre décodeur.  



  Pour faciliter la compréhension du fonc  tionnement du décodeur, on décrira ce fonc  tionnement     SUr    un exemple particulier, en con  sidérant, à. titre indicatif, que l'on veut repro  duire la lettre t qui, dans la. disposition     re     présentée sur la     fig.    10 où les parties     condue-          trices    sont hachurées, occupe la génératrice 2 7  du cylindre.

   La figure montre que la. combi  naison     correspondant.    à cette lettre est 1235,  c'est-à-dire que lorsque la génératrice 27 du  cylindre qui se déplace dans le sens S passe  devant les balais<I>BA,</I> les balais     B1-1,        BA-2.          BA-3    et     B-4-a-    seulement frottent sur des par  ties conductrices du cylindre.  



  Si l'on suppose que les contacts     t1,    t2,13 et  t5 sont ouverts, en actionnant les relais cor  respondants, l'examen de la fi-. 10 montre      que, pendant que le cylindre se déplace devant  les balais de la position zéro à la position 27,  l'un au moins des balais BA est en contaet  avec une partie conductrice à un instant  donné. Par suite, le circuit allant de la masse  M du décodeur au point commun H (fig. 10)  est toujours fermé. Au contraire. ce circuit  est ouvert lorsque les balais passent sur la  position 27. En effet, à ce moment, la combi  naison des contacts ouverts est précisément  la même que celle des parties conductrices du  décodeur.

   Le circuit reste donc ouvert pen  dant la durée du passage des balais sur la  rangée 27, et on utilise cette coupure, comme  on le verra plus loin, pour laisser passer l'im  pulsion photoélectrique engendrée au moment  précis du     passage    de la lettre t portée par le  disque D devant la cellule photoélectrique;  cette impulsion peut ainsi faire fonctionner  le tube à éclairs et produire     l'impression    photo  graphique sur le film du caractère désiré.  



  On remarquera que pour d'autres rangées  suivantes du décodeur, on retrouve des com  binaisons ouvrant à nouveau le circuit précité;  ainsi, dans l'exemple choisi, on peut constater  que ce circuit sera encore ouvert lors du pas  sage sous les balais BA des génératrices 39,  50, 53, 58, 63, 65, 70, 75, 76, 79, 81 et 82.  Pour éviter que les caractères correspondant  à ces génératrices ne soient également photo  graphiés lorsqu'on désire la. lettre     t,    on pré  voit un dispositif ne permettant. au tube  éclairs de fonctionner qu'une fois par tour  complet du décodeur, de sorte que les impul  sions qui surviennent     après    l'impulsion cor  recte de déclenchement restent sans effet.    <I>Compteur de ligne.</I>  



  Les touches de la machine à. écrire action  nent les barres de sélection qui ferment leurs  contacts suivant le code attribué aux divers ca  ractères. On considérera. ici les quatre premiers  contacts seulement qui caractérisent la largeur  des caractères. Ces quatre premiers contacts  sont reliés aux quatre entrées du compteur  binaire. Il est clair que ce compteur doit  pouvoir fonctionner lorsque des potentiels       sont    appliqués simultanément à ces quatre    entrées su moyen des barres de sélection. Le  résultat de l'addition de ces nombres dans le  compteur est. enregistré sur des relais dits  accumulateurs ou binaires, ou des combinai  sons de relais.

   Ces relais ont deux positions  stables et     ils    passent. d'une position à l'autre  lorsque du courant leur est appliqué puis in  terrompu, et. restent en cette position. Pour  cette raison, on les appelle aussi basculeurs.  La     fig.    14 représente un exemple de réalisa  tion utilisant un mécanisme de commutateur  pas à pas, communément utilisé en téléphonie.  Ce commutateur comprend un cliquet 44 et  une roue à rochet 46. Lorsque     l'électro-aimant     48 est excité, l'armature 50 rappelle le cliquet  en arrière contre l'action d'un ressort 54 et,  lorsque le courant est interrompu, la roue à  rochet fait avancer le disque à contacts 54  d'un pas.

   Un balai 56 fait un contact perma  nent avec le disque près de son centre et un  autre balai 58 se trouve en contact avec une  partie métallique, pour les positions où le cir  cuit est fermé, et avec une partie isolante  pour celle où le circuit est ouvert. Il s'ensuit.  que le circuit est fermé toutes les deux fois  que     l'éleetro-aimant    48 est excité. Un enroule  ment auxiliaire 60 peut être prévu dans un  but qui sera exposé plus loin.  



  La.     fig.    15 représente un circuit basculeur  qui donne les mêmes résultats, mais utilise des  relais téléphoniques normaux au lieu de com  mutateurs pas à pas plus onéreux. Dans la       fig.    15, lorsque la. terre est appliquée à tra  vers la clé     S,    le courant passe à travers le  relais 62 et un enroulement du relais 64 en.  série, mais un seul enroulement, de 64 est trop  faible pour actionner le relais 64. Par suite.  le     relais    62 fonctionne seul. Lorsque la clé est  ouverte, le second enroulement de 64, qui pen  dant l'impulsion était. à la terre des deux  côtés, est. alors excité. Ces deux enroulements  de 64 et l'enroulement de 62 restent excités et  les deux armatures sont attirées.

   Lorsque la  clé est fermée, une seconde fois, les deux  extrémités de l'enroulement de 62 sont reliées  à la terre et il relâche, mais 64 reste actionné  par son demi-enroulement (ce     relais    est du  type bien connu de relais à double enroule-      ment dans lequel un seul enroulement est in  capable d'actionner le relais, mais peut. le  maintenir actionné une fois qu'il a fonc  tionné).  



  Lorsque la clé S est ouverte, 64 relâche et  le cycle peut se répéter. Les contacts 66 com  mandés par le relais 64 peuvent être utilisés  dans un circuit extérieur. Ils sont fermés une  seule fois pour deux fonctionnements de la clé  S et le circuit transmet une impulsion sur deux,  comme les balais 56-58 du pas à pas de la  fig. 11.  



  Si nous considérons maintenant un relais  binaire d'un étage donné, il est clair qu'il  doit fonctionner lorsqu'une impulsion lui est  appliquée et qu'il doit transférer cette impul  sion à l'étage supérieur s'il se trouve déjà  dans sa position actionnée ou position  1 , et  qu'il ne doit pas transférer cette impulsion  de retenue s'il se trouve dans sa position  0 .  Cependant, si un étage reçoit à la fois une  impulsion de retenue de l'étage inférieur et.  une impulsion directe, il ne doit pas fonction  ner, mais doit transmettre une retenue à  l'étage immédiatement supérieur, quelle que  soit la position sur laquelle il se trouvait ini  tialement.  



  La fig. 12 représente un compteur binaire  remplissant ces conditions. Il comprend autant  (le circuits basculeurs qu'il y a d'étages (5).  Ces circuits sont représentés en Xl., X2, X3,  X4, X5 et peuvent être (lu type représenté  dans le cadre pointillé des fig. 14 ou 15.  Chaque circuit, basculeur est muni de contacts  qui sont fermés lorsque le circuit basculeur  est en position  1  et ouverts lorsqu'il est en  position  0 . Les contacts sont représentés en  66. De tels simples contacts de fermeture sur  le circuit     basculeur    seraient suffisants si les  entrées dans les divers étages n'étaient pas     si-          mnultanées,    mais se produisaient en succession.  



  Lorsqu'un circuit basculeur reçoit tin po  tentiel de retenue de l'étage précédent et un  potentiel de fonctionnement direct de son  propre étage, il est peu pratique de faire  fonctionner ce circuit basculeur deux fois. Une  méthode plus rapide et plus pratique est  d'empêcher de fonctionner le circuit     basculeur       d'un étage dans lequel il se produit une dou  ble entrée, et de lui faire envoyer à l'étage  supérieur un potentiel de retenue. Le circuit  de la fig. 12 remplit ces conditions. Tous les  étages sont identiques, excepté le premier qui,  naturellement, ne peut pas recevoir de poten  tiel de retenue. Chaque étage est muni d'un  relais de retenue R2, R3, etc.

   Ces relais ont  cieux enroulements en opposition et fonction  nant lorsque l'un quelconque de leurs enroule  ments est excité, et restant au repos lorsque les  deux enroulements sont excités à la fois. L'en  trée vers le premier étage se fait par un fil  67 ayant un contact (représenté par la clé  K1 ), ledit conducteur étant relié directement  à X1 et aussi à un des contacts 66. Un con  ducteur de retenue 68 va des contacts 56 de  X1 à un enroulement de R2. Le fil d'entrée  68 va des contacts 66 de Xl à un enroule  ment de R2. Le fil d'entrée 69 du second  étage va à travers X2 au deuxième enroule  ment de R2 et aussi à travers Lun redresseur  70 et un fil 71 au contact 66 (mais pas au  circuit basculeur     3'2    lui-même).

   Un     deuxième     redresseur 72 est relié     entre    les fils 68 et 71.  



  Le relais R2 a ses contacts de travail<B>73</B>  reliés par un fil     7-1    à X2 et ses contacts de  repos 75 reliés au fil d'entrée 69 de son pro  pre étage et à un fil de retenue 76 allant     clic     contact 66 de X2 à un enroulement de R3.  



  Le troisième et les     éta-es    suivants sont une  simple répétition du     deuxième    étage.  



  On remarquera que le compteur de la       fig.    15 présente l'avantage qu'une     impulsion     de retenue est transmise à travers tous le.  étages en jeu sans nécessiter le     fonetionnemen,     des relais. Par exemple, si les trois circuit  basculeurs X sont en position  1  (correspon  dant à. 111. clans le système binaire ou 7 dans  le système décimal), la fermeture de K1 en  voie une impulsion de     retenue    directement à  travers 66 de X1, le redresseur     7'?,    le fil 71.  les contacts 66 et le fil 76 du second étage  et par des connexions exactement similaires  du troisième étage directement an quatrième  étage.

   Les relais basculeurs des trois premier  étages passent, ensemble en position  0 .     1.e     relais E est, prévu pour ne pas permettre aux      circuits basculeurs de fonctionner avant que  les relais de retenue aient pris leur     position     correcte. lie résultat final dans le cas de cet  exemple est 1000, somme de 111 et 7 clans le  système binaire.  



  Considérons maintenant le deuxième étage.  Dans le cas d'une entrée simple, soit prove  nant de l'étage I à travers le contact fermé   position l  dut circuit basculeur X1, ou d'un  potentiel appliqué par la clé K2, le relais R2  fonctionne puisqu'un seul de ses enroulements  seulement est excité. Par son contact de tra  vail, il fait fonctionner le circuit basculeur  tX2. Si le circuit basculeur X2 est en position   1 , ce potentiel de fonctionnement est aussi  transféré an relais     R3    de l'étage suivant et  ainsi de suite.  



  Si ait contraire il y a deux entrées simulta  nées, une retenue du premier étage provenant  dle K1 et dit contact 66 dit circuit basculeur  Xl (en position  1 ) et, d'autre part, un  potentiel direct par la clé K2 du deuxième  étage, le relais K2 ne fonctionne pas puisque  sces deux enroulements sont excités et le po  tentiel est transmis par le contact de repos  du relais R2 au repos aiu relais R3 de l'étage  suivant.  



  La fig. 13 représente un autre exemple de  réalisation     dans    lequel les barres de sélection  actionnent les relais d'entrée Cl, C2, C3, C4,  C5. Dans cette réalisation, le relais de retenue  R2 a un seul enroulement. Les mitres relais  dle retenue en ont deux, et fonctionnent si  l'un ou l'antre ou les deux sont excités. Les  connexions ne seront pas décrites en détail,  car le fonctionnement est clair d'après le des  sin, étant donné les explications données     ci-          dessus.    Prenons par exemple le circuit     bascu-          leur    X1 en position  1  et supposons due les  relais CI et C2 sont actionnés par les barres  de permutation.

   Le circuit X1 est actionné  par lC1 et le relais R2 fonctionne, le potentiel  donné par le contact (le travail de R2 n'est  pas appliqué au relais binaire X2, mais est  transféré par le contact va-et-vient de C2 ait  relais R3 (lui fonctionne par son premier en  roulement. Par un contact de travail de R2  et le contact de repos du va-et-vient de C3    au repos, X3 est excité. Des redresseurs sont  prévus pour empêcher un fonctionnement in  désirable des relais des étages inférieurs. On  voit ainsi que les relais de retenue peuvent  être actionnés de deux façons, soit lorsque  le circuit basculeur précédent transmet un  potentiel de retenue, soit lorsque le relais de  retenue précédent est actionné et qu'une en  trée directe se produit simultanément. Le re  lais E de la fig. 13 a le même rôle que son  correspondant de la fig. 12.  



  Lorsque l'on désire faire une soustraction,  par exemple dans le cas d'une erreur, il suffit.  d'inverser la position de tous les circuits     bas-          culeurs,    d'ajouter le nombre à retrancher et  d'inverser une deuxième fois tous les circuits  basculeurs. Ceci peut être fait facilement avec  des pas à pas tels que représentés sur la  6g.11, car il suffit d'exciter un enroulement  auxiliaire 60 prévu à cet effet. En excitant  tous ces enroulements auxiliaires en même  temps, la position de tous les pas à. pas se  trouve inversée. La soustraction dans le cas  de circuits     baseuleur;s    à relais de téléphone       simples    s'opère d'une faon similaire et sera  mentionnée plus tard au cours de la descrip  tion.

           Sciaénaa        d'ensemble   <I>des circuits</I>     électriques.     Les circuits seront décrits en se reportant  au schéma     d'ensemble    de la fi-. 11. L'appa  reil représenté par le rectangle<B>1.0</B> sur le côté       gauche    en bas de la     fig.        1l.    comprend une  machine à écrire avec un clavier et les barre  de sélection actionnées par les touches ainsi  que     l'enregistreur    destiné à     enregistrer    les in  formations codées correspondant aux carac  tères.

   Le système comprend de préférence     -Lui     enregistreur dans lequel l'information codée  déjà.     enregistrée    peut être lue, décodée et  transmise au dispositif de photographie à  éclair et à     l'échappement    variable du chariot       porte-filin    pendant que la     ligile        suivante    est  tapée sur le clavier.

   Suivant une technique  usuelle, les différents caractères d'une fonte  donnée ont. des largeurs exprimées en fonc  tion     d'ulie    unité     commune.    Par exemple     clans     une     fonte-type,    la     largeur    de<I>i,</I> et<I>l</I> est de      5 unités; celle de f et j de 6; a, g et les chif  fres de 9; b, h, n et s de 10; J, P et L de 12;  M, H et W de 15. Une valeur arbitraire est  aussi assignée à l'espace     minimum    entre mots  qui peut par exemple être de 4 unités.  



  Par l'abaissement de la touche correspon  dant à un caractère, l'enregistreur est actionné  et enregistre le code correspondant. En même  temps, pour chaque frappe d'un caractère, sa  largeur est transmise au compteur de ligne 12.  Dans ce but, quatre conducteurs relient le  rectangle 10 au rectangle 12 (fig. 11). On  notera de ce qui précède que douze largeurs  différentes, allant de 4 (espace minimum) à  <B>IV</B> (15 unités) sont en général suffisante  pour toutes les fontes possibles. Pour cela, il  suffit de quatre fils 14, étant donné qu'avec  quatre fils on a 24 = 16 combinaisons diffé  rentes, bien que si un plus grand nombre de  valeurs de     largeurs    étaient désirables, un plus  grand nombre de fils pourrait être utilisé.  



       L'abaissement    de la barre d'espacement  (SP), outre qu'il ajoute 4 unités au compteur  (le ligne, ajoute 1 au compteur d'espaces ou  d'intervalles CI, de telle sorte que le comp  teur de ligne accumule le nombre d'unités de  puis le commencement de la ligne et le comp  teur d'espaces le nombre des espaces justi  fiables. Pour cela, une connexion réunit un  contact actionné par la barre     d'espacement    de  la machine à écrire au compteur CI.  



  Outre les fils 14 reliant les barres sélec  trices au compteur de ligne, se trouve un con  ducteur 20 excité par un contact dit  uni  versel  de la machine à écrire qui fonctionne  lorsqu'une touche quelconque est abaissée et  dont l'objet apparaîtra plus loin.  



  A la fin de la frappe d'une ligne, l'opéra  teur relit et s'il trouve la ligne correcte, il  actionne la clé d'envoi 22 qui fait démarrer  le mécanisme de justification et ensuite l'im  pression de façon automatique. La justifica  tion sera maintenant décrite brièvement.  



  Soit J la justification désirée exprimée  dans l'unité de longueur choisie et L le total  de toutes les largeurs des divers caractères et  de l'espace justifiable minimum tels qu'enre  gistrés dans l'enregistreur. Le déficit de la    ligne est D, tel que J - L = D. L'objet de la  justification est de distribuer entre les     espaces     justifiables le déficit D, de telle sorte que la  longueur de la ligne soit augmentée de L à  exactement J.  



  Soit N le nombre d'espaces justifiables, la  relation entre N et D s'exprime par:    D=NQ+R (7)    où Q est la partie entière du quotient de N  par D et R le reste. Si l'on ajoutait à chaque  espace la quantité Q + R/N, il serait néces  saire que le chariot puisse se déplacer d'une  fraction quelconque d'unité. De tels dispo  sitifs ont le désavantage d'être d'un réglage  délicat et que les erreurs s'ajoutent. Au con  traire,     dans    les échappements variables qui se  déplacent seulement par nombres entiers d'uni  tés, les erreurs ne s'additionnent pas. Pour  profiter des avantages de ce type d'échappe  ment variable pour le chariot porte-film, le  justificateur ajoute Q unités aux N - R pre  mières espaces et Q + 1 unités aux R der  nières.

   Le nombre d'unités ainsi ajoutées est:    (N-R) Q+R (Q +1) =NQ+R=D (2)    Le fonctionnement du justificateur sera  décrit en relation avec un exemple numérique.  Supposons que D soit égal à 41 (c'est-à-dire  que la ligne soit trop courte de 41 unités)  et que le nombre d'espaces N soit égal à 12  (ligne de 13 mots).  



  On envoie dans le compteur 12, plusieurs  fois de     suite,    le nombre N. Ceci se fait par les  cinq conducteurs 23 reliant le compteur d'es  paces<I>CI</I>     avec.    le compteur de ligne 12. Dans  l'exemple choisi, le déficit     1?    est par suite  réduit. de 41 à 29,     puis    à 17 et à 5. A la qua  trième addition, la capacité du compteur est  dépassée (de 7 unités dans l'exemple choisi).  Le nombre de fois que N a été ajouté dans  le compteur pour le faire  basculer  est. égal  à Q + 1.

   Si nous écrivons l'équation générale  (2) de nouveau et en dessous les valeurs de  l'exemple numérique, on a         (N-R)        Q        +.   <I>R (Q</I>     -!-   <I>1) -</I>     NQ        -(-        R   <I>- D</I>       (7X3)        -E-    (5 X4) =12     X3+5=41         U n commutateur  de reste  PR est relié  au compteur 12 par un jeu de cinq conduc  teurs 24l. Le compteur, comme déjà noté, indi  que à ce moment 7 (ou de faon générale  N-R). Cette valeur de N - R est transmise  par les fils 24 pour commander la mise en  place du     commutateur    PR.

      Il est également prévu un commutateur dit   de zone  SZ connecté au compteur d'espaces  CI par un conducteur 25. Ce commutateur  de zone enregistre d'abord le nombre Q qui  doit être ajouté aux N-R premières espaces.  Dans l'exemple décrit, le commutateur SZ sé  lecte un incrément de trois unités qui doit  être appliqué aux sept, premières espaces. Un  conducteur 26 relie le commutateur de reste  PR au commutateur de zone SZ par lequel  PR envoie à SZ une impulsion lorsqu'il a  épuisé N-R en avançant de N-R pas.  En d'autres termes, lorsque l'échappement du  chariot fonctionne au moment de l'impression,  le commutateur de reste PR avance d'un pas  vers sa position clé repos pour chaque espace  justifiable.

   En arrivant sur sa position de  repos, c'est-à-dire lorsque les N-R premières  espaces ont été augmentées de Q, l'impulsion  envoyée par PR fait passer le commutateur  SZ de la zone Q à Q + 1, ce par quoi les R  espaces restantes seront augmentées de Q + 1  unités. . (Dans l'exemple choisi, PR doit faire  sept pas pour arriver sur sa position de repos  et fait passer alors le     commutateur    de zone de  3 à 4 unités pour les cinq espaces restantes).    Se reportant clé nouveau au schéma de la  fig. 11, le rectangle 28 représente les traduc  teur de largeur, traducteur de signaux et répé  titeur. Ce rectangle 28 est relié à 10 par deux  jeux de fils, représentés par un jeu 30 (le  quatre conducteurs indicateurs de largeur et  un jeu 32 de trois conducteurs sélecteurs de  caractères dans la même largeur.

   Ces conduc  teurs sont excités par le mécanisme de lecture  de l'enregistreur. Les quatre fils 30 servent à  sélecter la largeur chu caractère et à assurer  un fonctionnement correct de l'échappement  variable. Les trois fils 32 sélectent le carac  tère voulu parmi ceux ayant la même largeur.    Par exemple,     b    et h ont la même largeur, clé  telle sorte que les fils 30 transmettront pour  les deux des signaux identiques.     Cependant,     les fils 32 envoient des impulsions différentes.  S'il n'y a pas plus de huit. caractères de même  largeur, les trois fils 32 seront suffisants. En  fait., dans la plupart des fontes, il y a plus  de huit caractères de certaines largeurs. On  peut en tenir compte en augmentant. le nombre  de fils 32.

   De tels conducteurs supplémentaires  ne sont pas nécessaires, car les fils 30 ne sont  pas utilisés de façon complète, et. certaines  largeurs inutilisées peuvent être attribuées à  d'autres,     comme    on le verra plus loin. Du tra  ducteur de largeur 28, un câble à. douze con  ducteurs 34 va à. l'échappement variable 36.  Ces impulsions de fils 30 et 32 sont transmises  aussi à travers un traducteur de signaux et un  répétiteur par sept fils vers l'unité photogra  phique 40, dans laquelle le caractère     sélecté     est. illuminé au moment où il passe en posi  tion photographique pour projeter une image  sur le film.    Le sélecteur de zone     SZ    est relié par     dix-          sept    fils 42 au rectangle 36.

   Dans le cas où  un signal d'espace apparaît dans les fils 30  et 32, le circuit à éclair n'est pas actionné,  niais un signal est envoyé par le traducteur  de     signaux    au sélecteur de zone     SZ    par un  fil     .13.    La largeur de l'espace est déterminée  par la position du sélecteur de zone, et un  signal est transmis à     l'échappement,    variable  par un des fils 42. La largeur minimum d'une  espace justifiable est quatre unités et, étant  donné qu'en pratique on ne peut lui donner  une largeur supérieure à 18, les fils 42  sont suffisants.

   Les espaces de 0, 1, 2 et  3 unités ne sont pas utilisées et ces valeurs  sont réservées à la justification entre     earac-          tères,    comme on le verra plus loin. Dans  l'exemple choisi, le sélecteur de zone donnera.  par l'échappement variable un incrément de  justification de 3 unités pour les sept pre  mières espaces et un     incrément.    de 4 uni  tés pour les cinq dernières. de telle sorte que  la largeur des sept premières espaces sera  7 unités et 8 unités pour les cinq dernières.      Les principes mathématiques sur lesquels  la justification est basée ont été exposés       comme    si les calculs étaient faits dans le sys  tème décimal. Les calculs réels sont, cependant  faits de préférence dans le système binaire.

    Les organes utilisés et le mode de calcul  seront décrits     maintenant    en détail. Cepen  dant, étant donné qu'un élément important  du système est un compteur spécial, les prin  cipes du fonctionnement du compteur seront  exposés en premier lieu,     après    quoi on dé  crira en détail les différents organes du sys  tème.    Comptage de la longueur de ligne.  



  Le fonctionnement du co mpteur de ligne  sera décrit en détail en relation avec le cir  cuit détaillé représenté sur les fig. 16 à 21.  La machine à écrire est représentée à gauche  en bas de la fig. 18. Lorsque l'opérateur  abaisse une touche, il actionne un certain  nombre de barres de permutation et ferme les  contacts associés cdl, cd2, cd3, cd4 qui carac  térisent la largeur des caractères et les     cou-          tacts    cd5, cd6 et cd7 qui différencient les  caractères de même largeur et n'interviennent  pas dans la justification. Etant donné que les  contacts des barres de permutation peuvent  être fermés pour des durées légèrement diffé  rentes, des relais intermédiaires RI1, R12,  RI3 et RI4 sont introduits entre les barres  de permutation et le compteur.

   Ces relais sont  actionnés par les fils 14 et les contacts des  barres de permutation et se bloquent par des  circuits de maintien établis par leurs contacts  de fermeture avant rupture et un contact de  travail fermé, à ce moment, d'un relais à  retard spécial DR. De cette façon, il est pos  sible de maintenir ces     relais    actionnés pen  dant une durée     suffisante,    quelle que soit la  durée de fermeture des contacts des barres de  sélection. Les relais intermédiaires, lorsqu'ils  sont actionnés, appliquent une batterie aux  fils d'entrée du compteur à travers un relais  aiguilleur cs au zéro.

   Le compteur (fig. 19)       comprend    cinq étages avec cinq relais de re  tenue     R2    à     R6    et cinq combinaisons de relais  binaires A1- B1 à A5 B5 du type repré-    senté sur la fig. 15. Le compteur est iden  tique à celui de la fig. 15, les combinaisons de  relais A1-Bl, A2-B2 étant. les mêmes que  X1, X2, etc. de la fig. 15. Quatre étages suffi  sent pour les largeurs des caractères, mais il  est désirable de prévoir un cinquième étage  pour pouvoir avoir phus de 15 espaces justi  fiables, étant. donné que, comme précédem  ment exposé, le nombre d'espaces N est envoyé  dans le compteur par les fils 23. Toutes les  fois qu'une touche quelconque du clavier CI  est abaissée, un contact u, appelé contact uni  versel, est actionné.

   Le contact actionne un  relais RU qui se bloque également sur un  contact de repos du relais DR. Un autre re  lais E est actionné par le contact de travail  des relais RI-1 à RI-4 et RIT en parallèle. Le  but de ce     relais        E    est de retarder l'applica  tion de la batterie aux relais binaires et de  donner ainsi aux relais de retenue     R2    à R6  le temps de     fonctionner    et de préparer le  circuit.  



  Lorsque le compteur binaire dépasse sa  capacité, une impulsion est, envoyée au pas  à, pas     ACS    (pas à pas     d'accumulation)    qui  avance d'un pas. Le     commutateur        ACS    est un  pas à pas     (fig.    7.8) qui avance d'un pas chaque  fois que le compteur binaire compte 32. On  peut le considérer     comme        Lin    compteur de  base 32 ayant une capacité suffisante pour  enregistrer le nombre total. d'unités de la  ligne la plus longue.

   L'impulsion est trans  mise de la     façon    suivante: Lorsque le comp  teur binaire bascule,     Lin    circuit est établi à  travers le relais de retenue R6 de la. même       manière    que les retenues se font dans     un     étage quelconque du compteur lui-même,  comme     expliqué    en relation avec la fi---. 17.

    Lorsque le relais     R6    ferme ses contacts, il  transmet une impulsion par le     fil    80, un con  tact du commutateur<I>COS</I> qui sera décrit  plus loin et un fil 82 vers     ACS.        L'excitation     de l'enroulement suivie par la coupure lors  que R6 retombe fait avancer d'un pas les  balais de     AvS.     



  On a. remarqué que le relais<I>RU</I>     est    uti  lisé pour le cas où il     t-    a plus de huit carac  tères de     certaines        largeurs:    ainsi, dans une      fonte déterminée, il y a 20 signes ayant  9 unités de largeur et 14 de 10 unités. Étant  donné que les largeurs 0, 1, 2 et 3 ne sont  pas utilisées dans une fonte normale (le signe  le plus étroit étant l'espace minimum clé  4 unités), ces valeurs sans emploi peuvent  être utilisées pour augmenter le nombre de  caractères de certaines largeurs. Ceci est  réalisé de façon satisfaisante par le circuit  représenté sur la fig. 19.

   Le relais RU, qui  est actionné pour     tous    les caractères, n'entre  en jeu que lorsque les valeurs binaires 0, 1, 10  (deux) et 11 (trois) apparaissent sur les re  lais RIl et RI2; en d'autres termes, toute  les fois que RI3 et/ou h'I4 ne sont pas action  nés. Une connexion va de la batterie par le  contact de travail de RU, les contacts de  repos de RI4 et RI3, un va-et-vient de RI2  au point de liaison clés deux redresseurs rd3  et rd4, respectivement connectés aux fils  d'entrée du compteur ayant les valeurs de 1  et 8 (l000 en binaire). Ainsi lorsque aucun  relais RI n'est. actionné, tin signal de valeur 9  est envoyé à travers les deux redresseurs dans  le compteur. Lorsque le relais RIl est seul  actionné, la même saleur est envoyée dans le  compteur, le redresseur rd3 étant alors shunté  par le contact dle travail de RI1.

   Lorsque le  compteur RI2 est seul actionné, sa valeur  normale de deux est portée à dix par le     va-          et-vient    en position actionnée et relié an qua  trième fil d'entrée du compteur. Finalement,  il est clair que RIl et Rl2 sont tous les deux  actionnés et une valeur de 11 unités est en  voyée dans le compteur.  



  Représentation dles combineurs et  commutateurs.  Pour certains commutateurs, en particu  lier ACS et SZ, on a représenté les contacts  isolément. Pour les autres, cependant, on a  adopté une représentation     usuelle    en télépho  nie. Ces différents niveaux (ou cames) sont  désignés par des lettres majuscules A, B, C,  etc. Ainsi, le combineur de correction COS  (fig. 18) a sept niveaux désignés par les  lettres A à G. Les contacts de ces différents  niveaux sont désignés par:    À..... 1I4  C . . . . . 3  D . . . . . 0  E . . . . . 4  F..... 3  G..... 2/4  Il. . . . . 2/3    Chaque nombre correspond à une position où  le contact est fermé. Le signe / signifie que  le contact est fermé entre les deux positions,  alors que le point signifie que le contact est  ouvert entre les deux positions.

   Ainsi le ni  veau A est ouvert sur sa position de repos 0,  mais fermé pour toutes les positions allant de  1 à 4. Le niveau C est fermé en position 3  seulement, D en position 0 seulement, E en  position 4, F en position 3, G sur 2 et 4 mais  ouvert en position 3 et H sur les positions  2 et 3.         Correctzon   <I>des</I>     erreivrs.     



  Avant de décrire le compteur d'espaces  justifiables et organes associés, on expliquera  la procédure employée pour corriger les  erreurs. Si l'opérateur s'aperçoit qu'il a fait  une     erreur,    il est nécessaire d'effacer le carac  tère erroné de l'enregistreur et de soustraire  sa largeur du compteur de ligne, avant de le  remplacer par le caractère correct.  



  Pour soustraire du compteur la largeur du  caractère erroné sans avoir à retaper ce der  nier, il est nécessaire de déceler la combinai  son correspondant. à ce caractère. A cette fin,  après avoir ramené le chariot de la machine  à écrire afin que le caractère à effacer soit.  dans la fenêtre de frappe, on excite, de la  façon qui sera décrite plus loin, l'électro  aimant.     COC    qui attire     son    armature Y3 en  la faisant pivoter en sens inverse à. celui des  aiguilles d'une montre autour du pivot Y4.  Cette armature repousse vers le haut     (fig.   <B>18 ,</B>  la plaque OP contre ].'action du ressort Y2,  ce mouvement étant. guidé par les goujons Y6  coopérant avec des boutonnières de OP.

   Cette  plaque OP est munie de quatre petits leviers Y  pouvant pivoter chacun autour d'un axe  monté sur OP. Les extrémités de droite de ces  leviers se présentent. sous les rangées de bro-           ches    sur lesquelles on enregistre la ligne et  leurs extrémités de gauche coopérant avec  quatre contacts de correction Y8. Lorsque la  plaque OP arrivera à sa position supérieure,  il est clair, d'après la figure, que les leviers Y  auront rencontré les broches qui n'étaient pas  enfoncées, ce qui les obligera à ouvrir leur  contact correspondant.

   Ainsi, dans l'exemple  représenté fig. 18, on a supposé que la plaque  OP est légèrement poussée vers le haut et l'on  peut voir que tous les leviers Y, sauf le troi  sième en partant du haut, ont rencontré une  broche non enfoncée, de telle sorte que seul  le troisième contact Y8 en partant du haut.  restera fermé, ce qui veut dire que la broche  N   3 seulement a été enfoncée parmi les quatre  premières broches, et que le caractère à effa  cer a 4 unités de largeur. Le dispositif dé  crit permet donc de déceler la combinaison.  d'un caractère à effacer afin de le soustraire du  compteur. Il est ensuite nécessaire d'effacer la  combinaison du caractère mauvais de l'enregis  treur, c'est-à-dire de remettre en position de  repos toutes les broches de l'enregistreur se  trouvant sur la rangée verticale où le carac  tère à effacer a été enregistré.

   Ce résultat est  obtenu en excitant l'électro-aimant EF de la  façon qui sera décrite phus loin. Cet électro  aimant attire vers la gauche (fig. 18) et  contre l'action des ressorts la plaque Y5 pou  vant coulisser sur des goujons Y7. Cette  plaque porte des crochets tels que CF qui  rencontrent les becs BC (fig. 2) des broches  enfoncées et ramènent ainsi en position de re  pos toutes les broches de la rangée verticale  de l'enregistreur où se trouvait le caractère  effacé.  



  La correction se fait d'une manière auto  matique. Après avoir ramené le caractère à  effacer en position de frappe, l'opérateur  appuie sur la clé de correction COK. Ceci ac  tionne le commutateur de correction COS qui  détermine la suite des opérations de correc  tion. La soustraction de la largeur du carac  tère est faite en inversant le compteur binaire  (c'est-à-dire en changeant tous les 1 en 0 et  les 0 en 1), en ajoutant le nombre à sous  traire et en inversant une deuxième fois le    compteur binaire. Ceci est le procédé mathé  matique de soustraction par addition de com  pléments. Par exemple, pour soustraire 11 de  1000 en système binaire, on peut. inverser  1000, ce qui donne 0111, ajouter 1.1 pour obte  nir 1010 et inverser une deuxième fois pour  obtenir le résultat 0101.

   Ceci est effectué par  COS qui, lorsqu'on relâche COK, retombe et  se trouve connecté par son niveau A à une  source d'impulsions G comprenant une came  Ca2 (fig. 16) montée sur l'arbre à cames de  l'ensemble photographique. Le commutateur  COS se déplace ainsi de 4 pas et retombe  finalement sur la position 5 qui est aussi sa  position de départ et sur laquelle il se trouve  déconneeté de la source d'impulsions. Pendant  son déplacement, ce eommutateur effectue les  opérations suivantes: Tout d'abord, il décon  necte l'enroulement de ACS du contact de  travail de R6 par son niveau D-0 (il est. n  remarquer que le niveau D ne     donne    un con  tact fermé qu'à la position 0). A la position  2, par son niveau G, le commutateur<I>COS</I> en  voie une impulsion par le fil. 84 sur le relais  INV (relais d'inversion).

   Ce relais ferme ses  contacts et envoie une impulsion par chacun  des fils 120 sur tous les relais<B>Al</B> à.  < 15 et  B1 à B5 du compteur binaire. En se. repor  tant. à la     description        chi    compteur,     donnée          précédemment,    on verra. que ceci, au     moment     où le relais     INF    retombera,     inversera    tous les  étages binaires, c'est-à-dire qu'il fera passer  tous les étages     qui    sont. à la position 1, d <   cette position à la position 0 et vice versa.  



  A la position 3, le niveau<I>C de COS con-</I>  necte le commutateur SUS (commutateur de  soustraction) au contact de travail du relais       RS    par les fils 80 et 85. En d'autres terme.  il déconnecte     ACS    du relais de retenue R6  et connecte     SUS   <I>â</I> sa place pour des raisons  qui seront expliquées plus loin.

   Aux positions  2 et 3, COS fait fonctionner (par les fils 86  et son niveau H)     l'électro-aimant.    de     palpage          COC    qui détecte la. position des quatre pre  mières broches de l'enregistreur de la rangée  initiale sur laquelle le caractère à effacer est  enregistré et     détermine    ainsi la largeur du ca  ractère à effacer, comme expliqué ci-dessus.      En position 3t et par son niveau E, COS  envoie une impulsion par le fil 87 sur les  contacts de correction de l'enregistreur. Ces  contacts de correction qui sont restés fermés  (voir fig. 18) correspondent à une broche en  foncée de l'enregistreur. Les contacts de cor  rection Y8 sont connectés au compteur par les  fils COR1...

   COR4 sur lesquels sont montés  des aiguilleurs RY pour éviter les mélanges  de     circuits.    Dans le cas de la figure, le troi  sième contact en partant du haut reste fermé.  et l'impulsion arrivant par le fil 87 sera diri  gée sur le relais RI3, comme cela s'était     pro-          (luit    au moment de la frappe du caractère  effacé. En position 3, une impulsion est égale  ment envoyée sur le fil universel 20 par le ni  veau E3 de (COS (fil 88) ou par tout autre  moyen afin de réaliser exactement les mêmes  conditions qu'à la frappe du caractère erroné.  



  Les aiguilleurs lY9 empêchent le fonction  nement des marteaux pendant la correction.  Si une retenue entre le compteur et le  commutateur accumulateur se produit pen  dant la correction, il est nécessaire de la. sous  traire du commutateur ACS puisque cela veut  dire que cette retenue se produirait si l'on  ajoutait le caractère faux à ce moment au lieu  de le soustraire, dans le cas où il n'aurait pas  encore été enregistré. Les commutateurs pas  à pas du commerce ne se prêtant pas en géné  ral à une marche arrière, on a prévu un com  mutateur de correction<I>SUS.</I> Ce commutateur  revoit toutes les retenues provenant du comp  teur et qui apparaissent pendant les correc  tions, et recule d'un pas à chaque retenue la  borne  fin de ligne  du commutateur ACS.

    On peut voir sur la fig. 18 que ACS donne  un signal lorsque son balai b1 arrive sur la  borne f, ce qui a lieu lorsque la capacité du  compteur est atteinte ou dépassée. Mais on  peut voir que si<I>SUS</I> s'est déplacé d'un pas,  ACS aura un pas de plus à faire. En position  41, COS, par son nniveau F, envoie une  deuxième impulsion sur le relais INV qui in  verse à nouveau la position de tous les étages  du compteur binaire. La largeur du caractère  à supprimer a été ainsi soustraite du comp  teur de ligne. En position 4, par son niveau    D, le commutateur C OS actionne l'électro  aimant EF qui remet au repos toutes les     bro-          ehes    de la rangée sur laquelle le caractère à  supprimer avait été enregistré.

   A la fin de la  quatrième impulsion, le commutateur<I>COS</I> re  tombe à la position 5 (qui est également la  position de repos ou zéro) et il se déconnecte  de la source d'impulsions. Le caractère erroné  a été ainsi effacé à la fois sur l'enregistreur  et sur le compteur et l'opérateur peut alors le  remplacer par le caractère correct.  



  Compteur d'espaces ,justifiables.  Pendant que la longueur de la ligne est  enregistrée en nombres binaires dans le comp  teur de ligne, le compteur d'espaces justifia  bles (ou intervalles) CI enregistre le nombre  d'espaces (fig. 20). Ce compteur CI est aussi  un commutateur du type pas à pas et revoit  une impulsion toutes les fois que la barre d'es  pacement 53 est actionnée par l'opérateur. Il  est muni de cinq niveaux A à E qui tradui  sent le nombre d'espaces en nombre binaire  pour servir clans le calcul de justification et  a une capacité de 25 points, suffisante en  pratique.  



  Suivant la convention mentionnée ci-des  sus, les différents niveaux de<I>CI</I> établissent  leurs contacts comme suit:    1. 3. 5. 7. 9. 17. 13. 15. 17. 19. 21. 23  B 2/3. 6/7. 10/11. 14f/15. 18/19. 22/23  C     4(7.12/15.20/23     D     8j15.23/24     E     1.5/24     Z     1./24    (retour à zéro)         Calcul   <I>de la</I>     ,justification.     



  Le fonctionnement du justificateur sera  décrit en relation avec un exemple     numérique.     Supposons, par exemple, que la ligne     compo.     sée soit trop courte de 41. unités, ou en d'au  tres     termes    que le déficit de la ligne soit égal  à 41, et qu'il y ait 13 mots et, par suite,  12 espaces justifiables. Dans ce cas, les relais  binaires du compteur de ligne sont tous en  position  1  excepté les relais     A4-B4    (8 uni  t'es) et le pas à pas accumulateur     ACS    à     un         pas de sa position  f  (32 unités).

   Quarante  impulsions sont nécessaires pour amener tous  les relais binaires en position  1  et pour  amener ACS en position f plus une impulsion  pour envoyer un signal de retenue et ramener  tous les relais binaires à  0 , dénotant ainsi  que la capacité du compteur a été dépassée,  soit un total de 41 impulsions.  



  Le nombre d'espaces N a été enregistré  clans le compteur CI qui a avancé de 12 pas  sous le contrôle de la barre d'espacement de  la machine à écrire. II est donc sur la posi  tion 12.  



  Les niveaux A à E du compteur d'espaces  peuvent être considérés comme un convertis  seur pour transformer le nombre de pas en  nombres binaires. Ainsi, un contact fermé sur  le niveau Al représente 1; sur le niveau B, 2;  sur C , 4; sur D, 8 et sur E, 16. Ainsi, dans  l'exemple choisi on voit que sur la position 12,  les contacts des niveaux<I>C et D</I> sont fermés,  correspondant respectivement à 4 et 8,     c'est-          à-dire    à 12 dans le système décimal.  



  La succession des opérations mises en jeu  par la justification est commandée par un  combineur pas à pas FLK. Ce commutateur  FLK ales contacts de ses différents niveaux  établis comme suit    aA 1  B 4/5  (C 2  D 2  E 3  F 5  G 4  Hl 5  I 2  Jl 0/3. 5  Ki    Lorsque l'opérateur abaisse la clé d'envoi  22, l'enroulement de FLK est excité et lorsque  la clé est relâchée, FLK passe en position 1,  où par son niveau A son enroulement est con  necté par le fil 90 à une source d'impulsions  G, donnant un courant interrompu à la ca  dence de 10 par seconde par exemple. FLK  passe immédiatement en position 2 où il s'ar-    rête.

   Dans cette position, il actionne le relais  aiguilleur CS qui connecte au compteur de  ligne les cinq niveaux A à E clé CI et par son  niveau C, FLK dirige les impulsions G au  point commun 94 de ces cinq niveaux binaires  du compteur d'espaces CI. Comme expliqué  ci-dessus, ceci a pour effet d'ajouter 12 au  compteur de ligne à chaque impulsion. Le dé  ficit D est par suite successivement réduit de  41 à 29, 17 et 5. A la quatrième impulsion.  la capacité du compteur est dépassée et le re  lais de retenue R6 est actionné de la manière  qui a été décrite précédemment. Une impul  sion est alors transmise par les fils 80 et 100  au niveau D de ACS qui est à ce moment sur  la broche f, qui     représente    la position de   ligne complète  ou  fin de ligne .

   A noter  que si des corrections ont été faites qui ont  entraîné une avance de SUS, la ligne com  plète sera représentée par un contact à droite  de f d'un nombre de pas égal. L'impulsion se  propage à travers un contact du niveau D de  SUS, fil 102, niveau D de FLR vers l'enroule  ment de FLK. A la fin de l'impulsion FLK  passe en position 3 et en ouvrant les contact  de son niveau C arrête l'envoi dimpulsions  dans le compteur de ligne à travers CI. A ce  moment, le compteur de ligne a  basculé  et  enregistre la différence entre 12 et 5,     c'est-          à-dire    7.

   Pendant     due        FLK    était. en position  2, le commutateur de zone     SZ    avait son en  roulement relié au point commun 94 clés ni  veaux     A.    à E de<I>CI</I> par le fil 25 et le niveau  <I>C de</I>     FLK.    Le sélecteur     SZ    a donc avancé de  Q + 1 pas, soit dans l'exemple choisi de 4 pas,  et se trouve sur position 4.  



  En position 3<I>de FLIC,</I> deux choses se  passent. En premier lieu, CI est renvoyé à sa  position de repos, étant donné qu'il n'est plus  utile, ceci au     moyen    de son niveau de retour  Z qui est fermé pour toutes les positions de  <I>CI</I> sauf la position zéro, le contact     rz    de<I>CI.</I>  le fil 104, le niveau<I>E de</I> PIE de la manière  bien comme d'avance en sonnette. En second  lieu, l'enregistreur de reste se met en place  sous la commande du compteur de ligne. On a  expliqué comment le compteur de ligne a.     enre-          listré        N-R,    7     dans    l'exemple numérique dé-      crit. Ceci signifie que les relais binaires A1,  A2 et A3 sont dans leur position  1 .

   Ces  relais, par leurs contacts de travail, établis  sent un circuit de fonctionnement en son  nette pour PR. Ce commutateur PR est un  pas à pas dont les divers niveaux établissent  les contacts suivants:    A 2. 4. 6. 8. 10. 12. 14. 16. 18. 20. 22. 24  B 2/3.6/7.10/11.14/15.18/19.22/23  C 2/5. 710/13. 18/21  D 1. 10/17  FE 1/9  F 24  Z 1/24 (retour à zéro)    Le circuit de fonctionnement en sonnette de P  va de la batterie à travers le niveau E de  FLK (en position 3), le fil 106, un contact  normalement fermé d'un relais NJ (qui sera  décrit plus loin), le fil 108 au point commun  des niveaux A à FE de PR, les fils 24 aux re  lais basculeurs du compteur de ligne.

   On peut  voir que ce circuit est fermé jusqu'au moment  où PR atteint la position 18 (dans l'exemple  numérique choisi) où il s'arrête, c'est-à-dire  qu'il s'arrête à sept pas de sa position neutre  25. Pendant ces deux opérations, l'enroulement  de FLK a été maintenu excité à travers les  redresseurs 110 et 112. Lorsque CI et PR ont  tous les deux atteint leurs positions     respectives     comme décrit ci-dessus, la batterie est décon  nectée de FLK, qui tombe alors en position 4  où, par son niveau B, son enroulement est de  nouveau relié à la source d'impulsions G, de  telle sorte qu'il passe immédiatement en posi  tion 6, qui est aussi sa position de repos.

   En  position 4 de FLK, les relais binaires dont le  fil de batterie passe à travers le niveau J de  FLK sont retombés et, en position 4, FLK  fait fonctionner le relais JR par son niveau CT  et le fil 114, dont le rôle sera exposé plus loin.  



  En position 5 de FLK, une impulsion est  envoyée par le niveau H de FLK et le fil 116  à l'électro-aimant EM qui commande l'échap  pement du chariot de la machine à écrire, de  façon à placer celui-ci en face de la première  rangée de broches de l'enregistreur,     c'est-          à-dire    en position pour commander la frappe    de la ligne suivante. En effet, avec l'enregis  treur à deux rangées de broches     représenté     sur la fig. 2, il est nécessaire de ramener le  chariot de la machine à écrire à un point où  il est dégagé des broches de l'enregistreur pour  permettre de passer d'une rangée de broches à  la suivante en déplaçant verticalement le  champ de broches.  



  La justification est alors préparée et la  machine prête pour la composition photogra  phique de la ligne pendant qu'une nouvelle  ligne sera enregistrée.  



  Lignes non justifiées.  



  Si l'opérateur désire ne pas justifier une  ligne, il abaisse la clé NJK avant d'actionner  la clé d'envoi 22. Ceci fait fonctionner le  relais<I>NJ</I> et le bloque sur le niveau<I>B</I> de  FLR. Le relais NJ reste donc actionné pour  la durée du calcul de justification et pendant  la photographie de la ligne, comme le relais  SE. En position 2 de FLK, le relais NJ  envoie une impulsion à l'enroulement de FLK,  de telle sorte que celui-ci ne s'arrête pas sur  cette position et n'envoie qu'une impulsion à  travers CI.

   En position 3 de FLK, le relais  NJ ouvre les fils 106 et 108 et empêche ainsi  <I>PR</I> de fonctionner.<I>CI</I> seulement. fonctionne  dans cette position 3 de     FLK    (par le fil 104)  et. retourne au zéro.     FLK    passe sur les posi  tions 4 et 5, comme     précédemment    décrit.     SZ     a reçu une seule impulsion et se trouve par  suite en position  1  et sélecte le piston 4 de  l'échappement variable. Toutes les espaces jus  tifiables reçoivent la même largeur de 4 unités.         Ef        faceinent   <I>d'une ligne.</I>  



  Si l'opérateur désire effacer une ligne, il  actionne la clé     KLK    qui bloque les relais<I>NJ</I>  et     KL    avant d'actionner la clé d'envoi 22. Le  calcul de justification n'a pas lieu, comme  expliqué plus haut, et le relais de chariot     CR     est empêché de fonctionner par un contact de  travail de     KL    actionné qui coupe la batterie  du fil 134. Le va-et-vient. du relais     KL    four  nit une batterie à la partie du fil 120 qui va  au contact     iv    du circuit traducteur pour per  mettre au signal de  fin de ligne  d'agir. Un      contact de repos de CR au repos met hors ser  vice le circuit de prise de vue par le fil 136  qui court-circuite le décodeur.

   Lorsque le lec  teur de l'enregistreur rencontre le signal  fin  de ligne , une batterie est appliquée par le  traducteur de signaux à l'enroulement de FLR  par un contact de travail de KL. Le dispositif  d'avance du film est mis hors service par un  contact de repos de KL sur le fil 138. FLR  fait un tour complet et maintient le relais SE  de l'explorateur de l'enregistreur actionné  assez longtemps pour effacer complètement la  ligne.  



  Par le moyen d'un va-et-vient sur le relais  NJ, on peut sélecter un niveau différent de  FLR pour l'avance du film après une ligne  non justifiée, c'est-à-dire changer automatique  ment l'espacement entre lignes à la fin d'un  paragraphe.    Réglage de la justification.  



  Le relais de justification JR (fig. 19) a  été mentionné au cours de la description. Ce  relais possède cinq jeux de contacts 118 eu  série avec cinq clés à fonctionnement manuel  JK1. Les contacts 118 sont connectés aux en  trées des circuits     basculeurs    du compteur de  ligne par les fils 120. Si aucune des clés JK1  n'est fermée, le compteur restera vide lorsque  le relais JR est actionné. Si une quelconque  des clés est fermée, on enregistrera avant la  frappe de la ligne     une    valeur initiale lorsque  FLK envoie une impulsion en position 4. Ceci  réduit d'autant la capacité disponible du  compteur.

   Si, par exemple, la capacité totale  du système de comptage de ligne (12 et ACS )  est, par exemple, 512, et si l'on désire une  ligne de 504 unités de longueur seulement, on  enverra 8 dans le compteur binaire au com  mencement de chaque ligne, en maintenant la  clé correspondante JK1 fermée. Si la lon  gueur de la ligne doit être réduite de plus de  31 unités en dessous de la capacité du comp  teur, on modifiera la position initiale en dé  plaçant une barre d'une clé JK2 (fig. 18) qui  ferme tous les contacts, sauf un, du niveau de  retour à zéro du pas à pas ACS.    Composition photographique.

    Lorsque la ligne est prête à être photogra  phiée, un contact bs (fig. 17) est, ouvert tem  porairement et le relais RS (fig. 17) qui était  au repos, car les deux extrémités de ses enrou  lements étaient reliées à la batterie, fonctionne  et se bloque sur la résistance rb. Le relais RS  prépare le circuit de fonctionnement du relais  CR qui fonctionne lorsque la came de démar  rage Cal ferme son contact à un instant  approprié du cy ele. Le relais SE, qui com  mande le fonctionnement du chariot explora  teur EXP de l'enregistreur, fonctionne égale  ment par le même circuit que CR, mais se  bloque sur le niveau B d'un commutateur  FLR (fig. 20) dont les contacts sont montré  sur le dessin. Ce commutateur, également du  type pas à pas, commande diverses opérations  auxiliaires telles que l'avance du film.

   Le re  lais CR complète le circuit de fonctionnement  de l'échappement variable du chariot     porte-          film    qui comprend un électromoteur PE et  dix-huit solénoïdes qui déterminent le nombre  de dents échappées et, par suite, l'avance du  film. Simultanément, CR applique une batte  rie au fil 119 par un contact, normalement  fermé, d'un relais     KL    décrit à propos de  l'effacement d'une ligne. Le fil part du con  tact     w    du     circuit    traducteur de largeur com  prenant les contacts t1 à. t 7 des relais Tl à  T7     (fig.    17). Le contact     ii,    est le premier d'un  jeu de va-et-vient constituant le circuit en  éventail 121 des relais T.

   Par les fils 30 et 32,  ces relais sont. actionnés par les contacts du  lecteur ou palpeur de l'enregistreur C1 à C7  représentés de façon schématique sur la     fig.18.          Lorsque    le relais SE fonctionne, il ferme le  circuit de     l'électro-aimant        EXP    qui commande  l'échappement du chariot explorateur par les  fils 122 et la came<I>Cab.</I> Le relais SE ferme  le circuit. de l'électro-aimant.     PLP    par les fils  124 et la. came     Ca9.    L'électro-aimant     PLP     pousse vers le haut. la plaque 104E et les con  tacts de lecture qui correspondent aux broches  enfoncées pendant la frappe de la ligne sont  fermés un instant.

   Les relais correspondants T  fonctionnent et se bloquent à travers un cir  cuit de blocage comprenant la came     Calo,    un      fil 126 et les contacts du relais CR. Ces relais  T ont plusieurs objets; en premier lieu, ils  sélectent le caractère à photographier par  leurs contacts de repos 128 qui commandent.  le fonctionnement du décodeur 130 et du cir  cuit à éclairs 40 par les fils 38; en second lieu,  par leurs contacts va-et-vient 121, ils choi  sissent un piston de l'échappement variable  par les fils 34 et commandent ainsi le dépla  cement du chariot porte-film suivant la lar  geur attribuée à chaque caractère.

   Lorsque,  par exemple, les broches 1, 3 et 4 de l'enre  gistreur sont dans leurs positions enfoncées,  les relais Tl, T3 et T4 sont actionnés et le fil  séleeté est celui du piston d'arrêt 13, étant  donné que la valeur binaire de la combinaison  de broches 1-3-4 est 1 + 4 + 8, c'est-à-dire  13. En troisième lieu, enfin, les relais T tra  duisent certains signaux tels que  espace jus  tifiable   fin de ligne ,  justification entre  caractères  et  changement de fonte  par les  fils ji, f l, je et cf.  



  Lorsque les contacts de lecture trouvent  dans l'enregistreur la combinaison  3 , le re  lais T3     seul    est actionné et le potentiel dirigé  par le fil 43 au balai de SZ qui se trouve,  dans l'exemple numérique choisi, sur la posi  tion 4. Les broches de SZ sont reliées aux  pistons d'arrêt de l'échappement variable  comme suit: broche 0 et 1 au piston 4, broche  2 à piston 5, broche 3 à piston 6, broche 4 à  piston 7 et ainsi de suite. Dans le présent  exemple, SZ étant sur sa position 4 sélecte le  piston 7 et l'échappement variable échappe  sept dents et fait avancer le chariot porte-film  de 7 unités pour chaque espace. Simulta  nément<I>PR</I> avance aussi d'un pas pour cha  que espace étant aussi connecté au fil 43. Un  fil 130 relié à 43 passe par le niveau F de PR  et un contact de repos de NJ vers le fil 25.

    Lorsque PR atteint sa position 24, il envoie  par son niveau F une impulsion sur le fil 130  vers SZ qui avance d'un pas. Etant donné  que PR se trouvait à sept pas (de façon géné  rale à N-R pas) de sa position 24, les sept  premières espaces auront une valeur de 7 uni  tés. Les R ou cinq espaces suivantes auront  une valeur de 8 unités. Ceci fait un total de    7 espaces à 7 unités, soit 49 plus 5 espaces  à 8 unités, soit 40 unités et un total de 89.  Etant donné que le compteur a enregistré  4 unités pour chaque espace, la longueur de  la ligne a été augmentée de<B>89-48</B> seule  ment, soit 41 unités.     Etant    donné que ceci  était la valeur du déficit dans l'exemple  choisi, la ligne est. justifiée.  



  A la fin de la ligne,     les    contacts de lecture  trouvent sur l'enregistreur la combinaison  3-5 que l'opérateur a enregistrée en action  nant la clé 22. Les relais T3 et T5 sont ac  tionnés et dirigent la batterie au point com  mun de la. résistance     rb    et. du relais     RS.    Les  relais     RS    et. CR ont. alors les deux extrémités  de leurs enroulements à la. batterie et relâ  chent. Le relais SE au contraire reste actionné  pendant, un certain temps par le niveau     13     de     FLR,    car il faut déplacer encore le chariot  explorateur de quelques pas pour remettre en  place les dernières broches de l'enregistreur.

    Lorsque CR relâche, il applique une batterie  par un de ses contacts de repos au débrayage       DEB    qui relie normalement l'échappement  variable     EV    au chariot porte-film. Le chariot  est ainsi libéré de l'échappement. variable et  retourne à sa position de repos sous l'action  de ses ressorts de rappel. Lorsqu'il atteint sa  position de départ, le chariot actionne les con  tacts     RT.    Ceci déconnecte la batterie du dé  brayage, et le chariot porte-film est réengagé  à l'échappement variable.

   D'autre part, la bat  terie qui était appliquée à l'enroulement du  pas à pas     FLR    est coupée par le fonctionne  ment des contacts     RT,    si bien que     FLR    avance  d'un pas, que son enroulement. se trouve relié  par son niveau A à la source d'impulsions G  et qu'il commence à tourner. En se fermant,  le contact de travail de     RT   <I>a</I> relié le moteur  de l'échappement variable     EV    à la batterie à  travers la came<I>Cab</I> et a excité le     piston    1 de  l'échappement variable.

   Le chariot porte-film  qui, sous l'effet de son inertie, a dépassé sa  position exacte de départ, se met en marche  pas par pas jusqu'à ce que le circuit se trouve  coupé par la came     sUP    qui a une position iso  lée correspondant à la position exacte de dé  part. Le pas à pas     FLR,    qui maintient le      relais<I>SD</I> actionné, envoie aussi des impul  sions au dispositif d'avance du film FF qui  actionne le débiteur entraînant le film. Le  nombre d'impulsions envoyées peut être  changé au moyen d'un commutateur à plu  sieurs positions FFK dont chaque position  sélecte un niveau de FLR, chacun de ces ni  veaux envoyant un nombre différent d'im  pulsions.    Circuit à éclair.

      Le circuit à éclair (fig. 16) fonctionne  comme suit    L'unité photographique comprend un dis  que D sur la périphérie duquel se trouvent  les caractères CY, par exemple transparents  sur fond opaque, un objectif 0 projetant une  image de ces caractères sur le film sensible P  et un tube à éclair L. Le disque tourne conti  nuellement et les caractères sont photogra  phiés en envoyant une impulsion électrique  dans le tube à décharge qui s'illumine pour une  durée excessivement brève de quelques millio  nièmes de seconde. En dépit de la grande vi  tesse linéaire des caractères, on obtient des  images parfaitement nettes. Pour assurer une  mise en place des caractères sur le film, l'ins  tant auquel se produit l'éclair doit être déter  miné avec une extrême précision, également  de l'ordre du millionième de seconde. Ceci est.

    obtenu au moyen d'une impulsion photoélec  trique engendrée par une fente P associée à  chaque caractère. Etant donné qu'il est pos  sible de disposer une fente correspondant à  un caractère donné avec une précision abso  lue, par exemple en les photographiant simul  tanément, la précision ne dépend pas de la  position des caractères sur le disque, lisais  seulement de la position relative du caractère  et de la fente qui lui est associée. L'impul  sion photoélectrique est obtenue au moyen  d'un lecteur de film P, du type couramment  utilisé dans le cinéma parlant, qui projette  une fente lumineuse très fine sur le trajet  des fentes F et sur la cellule photoélectrique  PH.

   Les impulsions photoélectriques qui se  produisent à raison de une pour chaque carac  tère sont inopérantes tant que le décodeur    (fig. 10) ne leur a pas ouvert un passage  pour actionner la lampe à éclair L.  



  Le décodeur l42 engendre au moment où  le caractère passe en position de     prise    de vue  une impulsion relativement large qui agit, sur  une lampe-fenêtre et laisse passer l'impulsion  photoélectrique correspondante. Les impul  sions provenant de la cellule photoélectrique  <I>PH</I> sont amplifiées par une lampe pentode  144 et apparaissent avec une polarité positive  dans le circuit d'anode. Elles sont alors appli  quées à la grille de commande de la     lampe-          fenêtre    145, également constituée par une     pen-          tode    avec un potentiel de polarisation conve  nable fourni par une batterie 146.

   Cette lampe  145 est normalement bloquée, car sa     grille-          écran    est reliée à la masse par une résistance  147. D'autre part, le circuit du décodeur com  prend une inductance 148 et une batterie 14l9.  Aussi longtemps que le circuit du décodeur  est fermé, il circule dans cette inductance un  courant de quelques     milliampères    limité par  la résistance 150. Lorsque les broches du dé  codeur trouvent dans le décodeur la même  combinaison que celle de l'enregistreur, le cir  cuit est ouvert comme exposé en relation avec  la     fig.    11, et un courant, indult de rupture  apparaît aux bornes de la self.

   L'amplitude  et la forme de cette impulsion dépendent du  circuit résonnant constitué par l'inductance  148 et le     condensateur    151. Cette tension in  duite, de polarité positive, est appliquée à la  grille-écran de la lampe-fenêtre 145 et la rend  conductrice et     amplifieatriee    pendant la durée  du passage du caractère devant l'objectif. A  l'instant précis où le caractère est. en position  de prise de vue, l'impulsion photoélectrique  se produit, passe à travers la lampe. 145 et est.  transmise à la lampe 152 qui inverse sa pola  rité et limite son amplitude.

   L'impulsion ré  sultante de polarité positive est envoyée à la  lampe 153, de préférence du type     commercial          Sylvania        OA5,        fabriquée        pn        Sylvania        Corp.     à Salem,     E.-L.        d'Am.,    et un condensateur     15-1     se décharge, à travers cette lampe 153 ainsi  amorcée, dans la bobine d'induction 155 du  type utilisé dans le circuit. d'allumage des  automobiles.

   Cette décharge engendre     tune    im-      pulsion de plusieurs milliers de volts qui  amorce la lampe à décharge L, et le condensa  teur 143 se décharge provoquant un éclair  lumineux.  



  Pour empêcher la lampe à décharge de  fonctionner plus d'une fois par tour, les con  densateurs 143 et 154 sont déconnectés de la  source de potentiel au début du cycle actif  du décodeur par une came Ca3. Ces conden  sateurs se chargent à travers des résistances  appropriées dans la partie du cycle suivant  attribuée au déplacement du chariot     porte-          film.     



  <I>Contrôle des</I>     temps.     



  La photographie d'un caractère comprend  deux cycles, un cycle photographique pen  dant lequel le caractère est photographié et  un cycle d'avance pendant lequel le chariot  porte-film se déplace. Les cames commandant  ces opérations sont représentées sur la fig. 16  et sont entraînées par le même arbre que le  disque porte-matrices. Chacun ouvre et ferme  un contact clans l'ordre et pendant les temps  relatifs représentés sur le diagramme de la  fig. 22. Le disque porte les caractères ma  trices sur la moitié de sa périphérie. Les deux  cycles successifs se produisent pendant un  seul tour du disque.

   Il y a 10 cames, la came  Cal commande le retour du chariot     porte-          film    à sa     position    précise de départ, la came  Cal est un générateur d'impulsions (source G)  utilisé dans la justification, la came Cal  court-circuite le décodeur pendant le cycle des  avances et empêche la.

   production d'éclairs (le  prise de vue, la came C'(a4 charge le conden  sateur 143 de la lampe à décharge et évite  q w'il se produise plus d'un éclair par tour,  la came Ca5 commande le fonctionnement des  pistons de sélection d'avance de l'échappe  ment variable, la eame Cab commande le  fonctionnement de l'électromoteur de l'échap  pement variable EV, la came Cal est la came  de démarrage qui lance l'impression en fer  mant le circuit de fonctionnement des relais  <I>CR</I> et<I>SE à</I> l'instant convenable, la came  Ca9 commande les contacts PLP de l'explo  rateur (palpeurs) et la came Ca10 ferme le  circuit de blocage 126 des relais T1 à, T7, de    façon à libérer les contacts de l'enregistreur  aussitôt que les relais T sont bloqués pour le  reste du cycle.  



  Changement de fonte.  



  Plusieurs fontes de matrices peuvent être  placées sur un disque, par exemple une sur  la première moitié de la périphérie du disque  et une autre sur l'autre moitié. Comme exposé  ci-dessus, la photographie se produit pendant  la première demi-révolution et l'avance     du     chariot pendant l'autre moitié. Le passage  d'une fonte à l'autre nécessite dans le fonc  tionnement de certaines cames un décalage  d'un demi-tour. Ceci peut être fait, par exem  ple, par le relais ACF. Chaque came de Ca3  à Ca10 a deux jeux de contacts décalés d'un  demi-tour et reliés à la lame centrale des     va-          et-vient    du relais ACF. Lorsque ce relais  fonctionne, il transfère le circuit d'un contact  de la came à l'autre.

   Il en résulte que le cycle  de prise de     vue        prend    la place du cycle des  avances et vice versa.  



  Le relais ACF est commandé de l'enregis  treur. Lorsque les contacts palpeurs trouvent  la combinaison 3-6 (correspondant au signal  de changement de fonte) dans l'enregistreur.  un potentiel est appliqué par les relais     T3-T6     actionnés aux relais     ACF    et     BCF        (fig.    16  et 17).

   Les relais     ACF    et     BCF    et les résis  tances     rc    et.<I>rd</I> constituent un circuit     bascu-          leur.    En même temps, le potentiel de com  mande est appliqué au     piston     zéro  pour  éviter le     fonctionnment    de l'échappement. va  riable pendant le changement de fonte. Lors  que l'impulsion de changement de fonte est.  terminée, le circuit.     basculeur    passe sur sa  deuxième position et y reste jusqu'à ce que  l'explorateur retrouve la. combinaison 3-6  dans l'enregistreur, sur- quoi la. machine re  passe à la première fonte.  



  <I>Compteur</I>     mécanique.     



  Les     fig.    23, 24 et 25 représentent un  exemple de réalisation d'un compteur binaire  mécanique pouvant remplacer les compteurs  électromécaniques précédemment décrits. Ce  compteur comprend essentiellement des     trains          épieyeloïdaux    à double entrée reliés     entre    eux      par des organes de     transfert    transmettant un  déplacement élémentaire pour deux déplace  ments élémentaires reçus. Le compteur repré  senté à titre d'exemple comprend cinq trains  dont quatre à double entrée. Les indices des  organes du train comptant  t  sont suivis de  A; les organes du train comptant  2  sont  suivis de B; les organes du train comptant   4  sont suivis de C, etc.

   Chaque train est  composé des planétaires 13M et 2M et des sa  tellites 3tM. Les entrées se font par les bras  porte-satellites 10MZ et la transmission des  retenues par les planétaires 8B. Le planétaire  2dM est solidaire d'un manchon 7M sur lequel  est montée la roue de transfert 6B qui reçoit  les retenues de l'étage inférieur, celui des  unités     dans    le cas de la figure. Le     planétaire     1M est solidaire de la roue dentée 8M et  transmet les retenues à l'étage supérieur. Les  entrées se font par les roues à rochet 5A...  5E calées sur les axes 4Ad... 4E qui sont soli  daires des axes 10M sur lesquels sont montés  tous les satellites tels que 3M. Le fonctionne  ment est le suivant: trois cas sont à consi  dérer.

   Retenue simple: une retenue prove  nant de l'étage inférieur est transmise par  les organes de transfert 9A, T et 6B et pro  voque une rotation élémentaire w du plané  taire 23M; lé pignon de transfert 9B avance  d'un pas co. Entrée simple: elle s'effectue en  faisant tourner la roue à rochet 5B de l'angle  
EMI0022.0004  
   et le pignon de     transfert    9B dans  ce cas tourne également d'un angle cw dans  le même sens que dans le cas précédent. En  trée et retenue simultanées: dans ce cas, le  pignon de transfert 9B tourne de deux pas,  soit de l'angle 2     co    dans le même sens que  dans l'exemple précédent.

   Chaque train     épi-          cycloïdal    provoquant une inversion du sens  de rotation, le sens dans lequel on fait tour  ner les roues à rochet 5A, 5B... est alterné d'un  train au suivant. Les couples d'engrenages  8A-9A et les pignons de transfert T-6B  sont choisis de telle Tacon que les déplace  ments angulaires élémentaires     successifs    des  planétaires 1M soient transmis une fois sur  deux seulement en valeur absolue et en     signe       au planétaire des retenues de l'étage supé  rieur, tun système à croix de Malte ou dérivé  étant de préférence utilisé pour éviter la  transmission d'un étage à l'autre des jeux et  bloquer chaque train en position de repos       Dans    l'exemple de la figure,

   les roues à rochet  5A1... 5E comportent 20 dents et sont action  nées par un cliquet et un électro-aimant re  présentés schématiquement sur la fig. 25. Un  déplacement angulaire  U  ou 2 cw correspond  donc à 1/2o de tour ou 18 degrés. On a vu  que de déplacement élémentaire des plané  taires est de plus ou moins 2U7, c'est-à-dire de  36 degrés, alternativement dans un sens et  dans l'autre, de manière que les déplacements  élémentaires provenant d'une retenue ou  d'une entrée s'additionnent. Chaque élément  de transfert se compose de deux pignons den  tés 8A et 9A et d'un couple de transfert       T-6B.    Le rapport des engrenages 8--9 est tel  que chaque rotation élémentaire     w    du plané  taire 811 correspond à une rotation de 90 de  grés du pignon T.

   Ce pignon ne comporte       aue    deux dents     27111    et 2871 dans un même  niveau T6 et sa forme est telle que, conjuguée  avec le profil de la roue     611.,    cette dernière se  trouve verrouillée par le profil en creux 2071  jusqu'au moment où une- dent     273I    trouve  un creux 1931 et entraîne cette roue     6A    jus  qu'à ce que la dent se     dégage    du creux, le  verrouillage de la roue étant assuré     iminé-          diatement.    La roue     6--1    comporte dix creux  tels que<B>19111</B> et le pignon T ayant deux dents  diamétralement opposées et tournant de un  quart de tour à chaque pas,

   la roue 6.4 sera en  traînée une fois sur deux et tournera de       1/1o    de tour, soit de 36 degrés, pour chaque  demi-tour du     pignon   <I>T.</I> Chaque     pignon   <I>T</I>  peut donc occuper l'une ou l'autre de deux  positions, la position I si, au prochain dé  placement de 90 degrés, il doit     entraîner    la  roue 6A et la position 0 si. au prochain dé  placement élémentaire, il ne doit pas l'entraî  ner, ce pignon étant relié par engrenages au  planétaire 211, il s'ensuit due ce planétaire  occupera. également une position 0 ou     une     position I, la. position 0 correspondant à la.  position  non retenue  et la position<B>1</B> à la      position  retenue .

   Ces positions sont égale  ment représentées par les doigts 113M de roues  8B calées sur les planétaires 13M qui ferment  les contacts 30A4, 30B... lorsque l'élément est  en position de retenue et les ouvrent lorsqu'il  est sur la position 0.    lLes soustractions peuvent se faire avec ce  compteur     suivant    le même principe qui a été  décrit antérieurement, en inversant la posi  tion de tous les pignons de transfert T, en  ajoutant le nombre à     retrancher    et en inver  sant une deuxième fois la position de tous les  éléments T. Ces inversions reviennent à  mettre en position 0 tous les éléments T qui  se trouvent en position I et en position I tons  ceux qui sont en position 0.

   Dans l'exemple  décrit, cette inversion est obtenue en action  nant l'électro-aimant  d'inversion  qui, par  l'intermédiaire de la tige 16M qu'il tire vers  la droite et des leviers 17DM articulés en 18M  sur le bâti, provoque le déplacement vers le  haut des axes 12A-12C et vers le bas des  axes 12B et 12D, qui sont les axes portant  les     pignons    de     transfert    T, libres en rotation,  mais maintenus en translation. Ces pignons,  en plus du niveau normal Tb, ont un niveau  inférieur Te comportant deux dents 23M et  29M diamétralement opposées, comme 273M et  28M du niveau Tb, mais décalées de 90 de  grés par rapport à celles de Tb.

   Le fonctionne  ment de cet électro-aimant aura donc finale  ment pour effet d'amener les niveaux<I>Tc</I> des  pignons en position d'engagement avec les  roues 6A et, du fait du décalage des dents  de ces pignons, les étages qui étaient crn posi  tion 0 se comporteront comme s'ils étaient en  position I et inversement tant que l'électro  aimant d'inversion restera actionné. Le re  tour en position     normale    est     assuré    par les  ressorts 13M.    Pour la mise en place au départ du     comrp-          teur,    afin de changer la justification, il est  nécessaire de changer la position de certains  étages du compteur sans réagir sur les étages  suivants. La fig. 25 représente comment ce  résultat peut être obtenu.

   Le compteur repré  senté comporte cinq étages comportant, clés    roues à rochet 5A... 5E, par lesquelles se  font les entrées, et qui sont actionnées, les  électros 24A... 24E pour les entrées allant  de 1 à 16 unités. Les doigts 11-1... l1-16  contrôlent les positions des  va-et-vient   30-1, 30-2... 30-16. Une série d'inter  rupteurs 25A... 25E permet de choisir  les étages qui seront actionnés.

   La mise en  place est obtenue en actionnant l'électro  aimant de  mise en place , ce qui provoque  le déplacement vers la gauche de la tige     16111,     la descente des axes     12A--12C    et la montée  des axes     12B-12E.    De cette faon, les pi  gnons de transfert T se déplacent par rapport  aux roues 6A tout en maintenant, celles-ci ver  rouillées et les niveaux<I>Ta</I> dépourvus de dents  remplacent les niveaux<I>Tb</I> pour se mettre en.  contact avec les roues 6A et. les retenues ne  seront plus transmises. Les pignons dentés  9:1-9E ont une largeur suffisante pour res  ter constamment en     prise    avec les roues SA...  SE.

   Les interrupteurs 25A ...25E peuvent occu  per l'une ou l'autre de deux positions, la posi  tion haute correspondant sur la figure à la  position 0. On a supposé sur     l;.    figure que  tous ces interrupteurs sont sur la position 0,  c'est-à-dire que l'on désire mettre le compteur  à 0. Sur la     fig.    25, le compteur marque 25,  les étages 1, 8 et 16 étant en position I, comme  l'indique la position des contacts 30A, 30D et  30E.

   La mise en place du compteur s'effectue  en actionnant l'électro-aimant de mise en place,  en     abaissant    la<I>clé K</I> qui applique une batte  rie aux électro-aimants 24A, 24D et 24E, en  relevant la. clé K, ce qui provoque l'avance  d'un pas de ces électro-aimants qui remettent  leurs étages à 0, et enfin en relâchant     l'élec-          tro-aimant    de mise en place.  



  Le compteur mécanique qui vient. d'être  décrit. étant muni des mêmes contacts que le  compteur électrique précédemment. décrit peut  remplacer celui-ci sans modification au circuit,  et la description du fonctionnement du circuit  d'ensemble ne sera pas reprise.  



  Il est. clair que ce compteur peut également  être utilisé pour d'autres buts dans des appli  cations différentes.      Décodeur lumineux.  



  Les fig. 26, 27, 28 et 29 représentent une  variante du dispositif photographique. Selon  cette variante, la fente assurant la photogra  phie du caractère à l'instant précis auquel il  passe en position de prise de vue par le moyen  d'une cellule photoélectrique est combinée  avec le décodeur. A cet effet, il est prévu  pour chaque caractère non pas une seule fente  coopérant avec un décodeur, mais un système  de plusieurs raies opaques arrangées selon un  code. Un dispositif optique projette, au lieu  d'une seule fente lumineuse, une combinaison  de fentes lumineuses inverse de celle des raies  opaques correspondant au code du caractère à  photographier. Lorsque les combinaisons sont  identiques, il ne passe plus     aucune    lumière et  la cellule photo-életrique donne une impulsion  déclenchant le tube à décharge.

   La fig. 26  représente la disposition des fentes et des ca  ractères correspondants sur une portion du  disque (ou tambour). Le fond est transparent  et à chaque caractère est     associée    une série de  raies opaques M. Les caractères sont de préfé  rence transparents sur un fond noir (voir  fig. 29). Les raies opaques M sont disposées  en sept rangées Tl à T7 d'une faon similaire  à celle représentée sur la fig. 10 pour les par  ties isolantes et conductrices du décodeur.  Coopérant avec ces raies opaques se trouve  une fente lumineuse SL qui, au cours de la  rotation du disque (vers la droite dans le cas  de la figure), balaie les raies opaques. Cette  fente lumineuse peut être obturée partielle  ment par sept obturateurs Sl... S7. L'arrange  ment mécanique correspondant est représenté  sur la fig. 27.

   L est une lampe à filament fili  forme, C1 un condensateur cylindrique fai  sant une image du filament sur une fenêtre  ou fente FY de forme allongée. Cette fente,  normalement éclairée, peut être obturée en  partie par des volets S1, S2, S3, S4, S5, S6,  S7 commandés par des électro-aimants MS1...  MS7 contre l'action du ressort de rappel Sp.  Un objectif C2 fait une image de la fente FY  sur le disque D au niveau des raies opaques  AI. PC est une cellule photoélectrique et FL  le tube à décharge lumineuse. Supposons, par    exemple, que les volets S2, S4 et S7 soient  tirés par les électro-aimants correspondants.

    On peut voir (fig. 26) que, lorsque le disque  tourne, la première position pour laquelle il  y a     obturation    complète de lumière est le  caractère  x  qui possède la combinaison  opposée, et empêche la lumière de passer aux  niveaux Tl, T3, T5, T6. Le système optique  projetant de la lumière sur ces mêmes ni  veaux, il y a obturation complète. D'autres  obturations pourront se produire pour des  caractères suivant le  x , mais, comme exposé  précédemment, elles resteront sans effet, car  le circuit de la lampe à éclairs ne peut     dor-          ner    qu'une décharge par passage de l'alpha  bet. La fig. 28 représente la disposition d'en  semble des organes.

   En plus des organes déjà  mentionnés et qui sont désignés par les mêmes  indices, on voit sur cette figure l'objectif de  prise de vue C3 faisant une image du carac  tère sur le film sensible SF porté par le cha  riot PC dont l'avance est commandée par le  mécanisme à avance variable EW sous le con  trôle du traducteur de largeur TL et d'une  came Cal. L'enregistreur ENR commande les  obturateurs MS1-3IS7 à. travers la came Cal.  La machine à écrire témoin et ses barres le  sélection sont. représentées en<I>CL</I> et     CJI    et le  circuit d'alimentation du tube à décharge en       PII.    En outre, comme représenté     fig.    29, le  disque porte deux alphabets de fontes diffé  rentes F1 et F2 occupant chacun une moitié  de la périphérie du disque.

   Le passage de  l'un à l'autre se fait au moyen de l'électro  aimant     FSF    qui obture l'un ou l'autre de  deux demi-cercles transparents     FlT    ou     F2T     coopérant avec la fente lumineuse     SL.    11. est  clair que lorsque le demi-cercle     F2Z'    est ob  turé, la cellule photoélectrique recevra de la  lumière pour toute la durée du     passage    des       caractères    F2 correspondant     ait    demi-cercle       FlT    et, par conséquent, il ne pourra. se pro  duire aucun éclair de prise de vue pour aucun  des caractères correspondants.

       11.u    contraire,  les caractères Pl correspondant au     demi-          cercle        F2T    pourront être projetés. La com  mande du passage d'une fonte à l'autre se  fait sous la commande d'un signal spécial de      l'enregistreur qui agit sur l'électro-aimant dle  changement de fonte FS.  



  Les raies opaques peuvent être portées sur  un disque on tambour indépendant du     porte-          matrices,    mais rigidement relié à lui.  



  Première variante de justifieation.  Les fi,g. 30 et 31 représentent une pre  mière variante du dispositif de justification.  



  Dans cette réalisation, le compteur com  mande le fonctionnement de relais RC1-RC5  par les fils CO reliés aux divers étages.  Lorsque l'opérateur abaisse la clé FLC.'  (fig. 30), le commutateur pas à pas passe en  position 1. Dans cette position, les relais  RCl-RC5 qui reçoivent une batterie par les  étages dt compteur qui sont dans la position   0  se bloquent sur FLK et libèrent le comp  teur. La position des relais représente en  numération binaire le déficit de la ligne (sup  posé pour simplifier la figure ne pas dépas  ser 31, mais que l'on peut porter à toute va  leur désirée en augmentant le nombre  d'étages), et ils servent à commander la mise  en place d'un pas à pas DS à 32 positions,  dont chaque niveau comprend deux couronnes  de broches, comme il est bien connu.

   Le pre  mier relais RC1 sélecte un des balais de la  couronne de mise en place, les autres relais  sélectent une des 16 broches dans chaque  demui-couronne. Suivant la position des relais  RC1-RC5, une des broches du pas à pas DS  reçoit une terre dont la position correspond  précisément à la valeur du déficit. Le pas  à pas DS se met en marche en sonnette par la  batterie donnée par FLK à son enroulement,  à travers la résistance rs, son contact de repos  et le relais à relâchement lent RA. Lorsque  le balai Bal ou Bat rencontre la broche reliée  à la terre par les relais, le pas à pas s'arrête,  car son enroulement se trouve alors relié à la  terre des deux côtés. On supposera, à titre  d'exemple, que le déficit de la ligne est de  19 unités. Le balai Bat s'arrêtera donc sur  la broche 19.

   Pendant la marche du pas  pas Dg, FLK a été maintenu actionné par le  contact de travail dut relais à relâchement  lent RS à travers lequel passe le courant de    fonctionnement de DS. Lorsque DS s'arrête,  FLK retombe et passe en position 2. Simul  tanément FLK en position 1 a appliqué une  batterie aux balais Bbl, Bb2, Bb3 et Bb4 du  pas à pas compteur d'intervalles CI. Celui-ci  se trouve sur la position correspondant au  nombre d'intervalles que l'on supposera être  de 8. On petut voir que cette batterie est trans  mise aux broches 7, 15 et 23 de la rangée cor  respondant au balai Bai de DS. Aucune autre  broche ne revoit de potentiel. On peut vérifier  que suivant la position de<I>Cl,</I> une batterie est  appliquée aux broches N-1, 2N-1, 3N-1, etc.  dles niveaux correspondant aux balais Bai,  Ba4 ou Bas, N étant le nombre d'intervalles.

    Lorsque sous le contrôle des relais RCl-RC5  les balais de DS se sont déplacés de la posi  tion zéro à la position 19, le balai Bai a passé  sur les broches 7 et 15 qui étaient reliées à  la batterie, et la. transmise au pas à pas     SZ     qui a ainsi avancé de deux pas et se trouve  ainsi     sélecté    le piston de l'avance variable 6,  soit deux unités de     phis    que l'espace normal  de 4 unités. En position 2 de     FLK,    les relais       RCl-RCô    retombent. Dès le     fonctionnement     de ces relais, le compteur a été libéré pour la  frappe-de la ligne suivante.

   La     justification     se fait d'une manière analogue à celle expo  sée précédemment. Une batterie est. pour cha  que intervalle appliquée an fil     ,jus    par les  relais traducteurs     T1-T7    (voir fi-. 4 à 9) et  un piston de l'échappement variable     sélecté          par    le commutateur     SZ    (fils     pist)   <I>;</I> en même  temps, le pas à pas     DS    avance d'un pas à  chaque fois.

   A la fin de la quatrième impul  sion d'intervalle,     DS    passe sur la position 23  dans laquelle son balai trouve une batterie  appliquée par<I>CI</I> et     SZ    est attiré.     SZ    reste  ainsi attiré jusqu'à ce que     DS    soit retombé en  position 24, à la fin de la sixième impulsion.  A ce moment,     SZ    passe en position 3 où il  sélecte le piston 7, soit l'intervalle normal plus  3 unités. Les cinq premières impulsions se  trouvent être ainsi de 2 unités et les trois  dernières de 3, donnant un total de 19.  



  Le signal de fin de ligne arrivant par le  fil f1 fait passer     FLK    en position 3. Dans  cette position,     FLK    est relié à la source d'im-      pulsions C et complète sa rotation. Pendant  ce retour au zéro, il remplit les fonctions dé  volues au commutateur FLR dans la descrip  tion des fig. 4 à 9, telles que l'avance du  film, le maintien du relais SE, et renvoie en  outre les commutateurs     DS    et<I>CI à</I>     leur    posi  tion de repos par     leurs    circuits bien connus  de retour en sonnette.    Deuxième variante de justification.  



  La fig. 32 représente une seconde variante  du dispositif de justification. Dans cet exem  ple, le pas à pas ES est mis en place par les  relais RC1-RC5 commandés par les fils CO  venant du compteur comme dans le cas de  l'exemple précédent. Lorsque l'opérateur ac  tionne la clé FLC, le combineur FLK passe  en position 1 où il fournit la batterie de blo  cage des relais RC1 RC5, libérant le comp  teur pour la frappe de la ligne suivante. Sup  posons que, dans ce cas encore, le déficit de  la ligne soit de 19 unités. Le pas à pas ES  s'arrête en position 19. K chacune de ses po  sitions, ce commutateur introduit deux résis  tances dans un circuit allant de la batterie à  la terre et     constituant    un potentiomètre par  lequel un potentiel est appliqué au fil K.

   Ce  potentiel est choisi proportionnel au nombre  d'unités dans le déficit de la ligne (plus  une), par exemple de 1 volt par unité. Dans  l'exemple choisi, le point K serait donc porté  à. un potentiel de 19 + 1, soit 20 volts.  



  Par ailleurs, le compte-intervalles CI se  trouve sur la position correspondant au nom  bre d'intervalles dans la ligne, par exemple 8.  Par l'intermédiaire de résistances reliées à ses  divers plots, ce commutateur envoie dans un  jeu de résistances Rf un courant tel que, dans  chaque résistance Rf, la chute de potentiel  soit précisément égale à N volts, N étant le  nombre d'intervalles. Dans l'exemple choisi,  cette chute de potentiel sera de 8 volts dans  chacune des résistances Rf.  



  Dès que ES a atteint sa position, 19 dans  l'exemple numérique choisi, FLK qui était  maintenu actionné par le contact de travail  du relais à relâchement lent RA retombe et  passe en position 2 où il. envoie une batterie    sur le circuit de marche en sonnette du pas à  pas SZ à travers le contact de travail du  relais polarisé Rp1. En effet, ce relais, bran  ché entre le point K à 20 volts et le balai Bc  de Rp2 à la terre, fonctionne. SZ se met en  marche et le potentiel du balai Bc passe suc  cessivement à 8, 16 et 24 volts. A ce, moment,  le relais Rp1 relâche, car le courant change  de sens et le relais Rp2 fonctionne.

   Le pas à  pas SZ s'arrête sur sa troisième position re  liée au piston 6 donnant une avance de l'es  pace normale plus 2 unités. n LK, qui était  maintenu par le contact de Rp1 au travail,  retombe et passe en position 3 où il reste pen  dant l'impression de la ligne. Le signal d'es  pace justifiable arrive par le fil jus et est  appliqué au commutateur ES qui avance  chaque fois d'un pas. En même temps, un pis  ton de l'échappement variable fonctionne,  celui-ci étant sélecté par le commutateur SZ,  comme expliqué précédemment. Le pas à pas  ES passe ainsi à la position 20,     puis    21, 22  et 23 et le potentiel du point.

   K croît     rte    1 volt  à. chaque pas, il atteint 24 volts an moment  où ES passe en position 23 à. la fin de la  quatrième impulsion;     à,    ce moment, le relais       Rp2    retombe, car il se trouve de     chaque    côté  au même potentiel (24 volts), et il ferme son  contact de repos. La cinquième impulsion  actionne     donc    à la fois     SZ    et     FLK    à travers       Rp2    au repos et     SZ    passe en position 4 où  il sélecte une avance supplémentaire de 3 uni  tés pour les intervalles suivants.     FLK    passe  en position 4 où il reste.

   Les impulsions sui  vantes donneront donc des intervalles ayant  une unité de plus, soit au total 5 fois     \?    et  3 fois 3, soit au total 7.9 unités. Lorsque le  signal de fin de ligne arrive sur     FLK    par le  fil<B><I>f l,</I></B>     FLK    passe en position 5 où il est. pris  par la source d'impulsions C et termine sa  rotation pendant. laquelle il remplit les fonc  tions auxiliaires de l'avance du film,     etc.,    et  ramène le compteur ('1 au zéro.  



       Variante   <I>du dispositif</I>     photographique.     Les     fig.    34 à 37 représentent une variante  du dispositif photographique due à     14I.    Sa  muel H. Caldwell. Selon cette variante, le film      photographique, au lieu d'être porté par un  chariot mobile qui se déplace après la photo  graphie de chaque caractère, est immnobiie  pendant l'impression de la ligne, et l'image est  déplacée au moyen d'un système optique  placé entre le disque porte-matrices et le film  sensible, sans que ses dimensions soient chan  gées et sans que la netteté soit altérée d'une  extrémité à l'autre de la ligne.  



  Se reportant à la fig. 34, le disque     porte-          caractère    est représenté en D et tourne en  permanence dans le sens de la flèche. La  lampe à éclair L illumine le caractère sélecté  au moment de son passage devant une lentille  1-P de distance focale f l. Cette lentille est.  placée à une distance du disque, égale à sa.       distance    focale et agit à la façon d'un colli  mateur donnant une image du caractère à  l'infini. Sur l'axe optique de cette lentille 1-P  se trouve une deuxième lentille 2-P de dis  tance focale f 2 associée à un prisme 3-P et  montée dans un support mobile 4-P qui peut  se déplacer le long de l'axe optique de la  lentille 1-P dans le tube 5-P. Cette deuxième  lentille forme une image du caractère à son  foyer.

   Le film sensible FP est. placé au foyer  de cette lentille 2-P, pour cela, la distance op  tique entre le film FP et la lentille 2-P, en  tenant compte de la réflexion dans le prisme  3-P, est égale à la distance focale de la len  tille 2-P. On peut voir que, dans toutes les  positions que peut prendre l'ensemble lentille  2-P prisme 3-P, entre la position extrême de  droite représentée en traits pleins et la posi  tion de départ représentée en traits pointillés,  il se fera toujours une image nette sur le  film, image dont. la dimension reste constante  et ne dépend que des distances focales des  deux lentilles. En effet, appelons D1 la dis  tance, supposée     extrêmement    grande, à la  quelle la lentille 1-P fait une image du carac  tère porté par le disque.

   Cette image est, pour  la lentille 1-P, une image réelle inversée située  sur la droite de la figure, et le grossissement  est égal à     Dl/f    l.. Cette image est pour la len  tille 2-P un objet virtuel situé à une distance  D2, également très grande, dont elle donne  une image réelle de même sens à son foyer    avec un grossissement égal à     f2/D2.    Lorsque le  caractère porté par le disque est exactement  au foyer de la lentille 1-P, les distances D1 et  D2 deviennent infinies et peuvent par consé  quent être considérées comme égales, la dis  tance entre les lentilles devenant négligeable  par comparaison et, par suite, le grossissement  résultant, qui est le produit des deux grossisse  ments des deux lentilles,

   est égal à  
EMI0027.0007     
    c'est-à-dire     constant    pour toutes les positions  de la lentille 2-P lorsqu'elle coulisse     dans    le  tube 5-P. Du fait de la présence du     prisme,     l'image se trouve retournée par rapport au  montage précédemment. décrit, mais on peut  donner aux caractères la position désirée en  disposant de façon appropriée les caractères  matrices sur le disque D.  



  On peut changer le grossissement, et par  suite la grosseur des caractères, en changeant  la distance focale de la lentille 1-P ou de la  lentille 2-P. Pour obtenir des caractères plus  grands, par exemple, il suffira     d'augmenter     la distance focale f 2 de la lentille 2-P ou de  diminuer celle de la lentille 1-P. En     pratique,     il paraît plus simple de changer la. lentille 1-P.  La nouvelle lentille sera placée de telle façon  que les caractères du disque se trouvent dans  son plan focal. L'image continuera. dans ces  conditions à se faire sur le film     FP    et. conser  vera une dimension     constante,    quelle que soit  la position donnée à la lentille mobile 2-P et  au prisme 3-P     associé    dans le tube 5-P.

    



  La.     fig.    35 est une     -ç1ie    de profil du dispo  sitif schématiquement représenté sur la.     fig.    34.  Le film     sensible        FP    provient d'une bobine dé  bitrice 6-P et arrive sur le débiteur-récepteur       S-P    qui est actionné à chaque fin de ligne  pour espacer les lignes entre elles, puis le film  est emmagasiné sur la bobine réceptrice 9-P.  Cet ensemble, ainsi que le système     lentille-          prisme    mobile, est monté sur un bâti 10-P et  le tout est protégé de la lumière extérieure  par un dispositif approprié non représenté.  



  Les     fig.    36 et 37 montrent comment le sys  tème qui vient d'être décrit peut se monter à      la place du chariot porte-filnm représenté sur  la fig. 4. La vis 17-F, qui est contrôlée par  l'échappement variable (fig.3et 4), est utilisée  de la même façon qu'il a été décrit en relation  avec les fig. 3 et 4, pour déplacer un écrou FE.  lLe prisme 3-P est monté dans un support 11-P  muni de galets 12-P portant sur des rails 13-P.  La fig. 36 est une coupe médiane verticale du  chariot porte-prisme.  



  Le système optique qui vient d'être décrit  présente l'avantage de rendre possible l'em  ploi d'une surface sensible immobile. Les  pièces mobiles se réduisent à une lentille et à  un prisme de poids comparativement extrême  ment réduit, qui peuvent être déplacés facile  ment, plus rapidement, et sur de plus grandes  distances qu'un chariot portant un magasin  de film forcément d'un poids bien plus élevé.  Il devient également possible de prévoir avec  ce dispositif des magasins pouvant contenir de  grandes quantités de film et de munir ceux-ci  clé dispositifs accessoires, tels que couteaux,  pour couper le film exposé, poinçons, carters  d'obturateur, etc.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine à composer photographique, dans laquelle les caractères composant une ligne sont enregistrés dans un enregistreur et en suite photographiés sur un film à partir d'un organe rotatif portant les différents caractères susceptibles d'être imprimés, caractérisée en ce que les caractères sont photographiés au moment de leur passage devant un objectif par une décharge lumineuse d'un tube à dé charge provoquée au moment dudit passage.
    ceci au moyen d'une impulsion photo-électri que engendrée par le passage dans un faisceau lumineux, d'ume marque, lesquelles marques correspondent auxdits caractères et tournent en synchronisme avec l'organe rotatif, des moyens coopérant avec l'enregistreur assurant que seule la marque du caractère enregistré dans l'enregistreur puisse provoquer la dé charge lumineuse. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce que les caractères sont enregis- très sous forme clé code binaire, les marques étant constituées par des fentes de l'organe rotatif qui sont perméables à la lumière et disposées selon ledit. code, ces fentes coopé rant avec autant d'obturateurs commandés par l'enregistreur et une cellule photoélectrique, de telle façon que la lumière tombant sur la cellule soit complètement obturée lorsque la combinaison des fentes correspond à celle des obturateurs actionnés. 2.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication I , caractérisée en ce que l'organe rotatif est constitué par un film im pressionné, de manière à former, en une seule exposition, des images desdits caractères et des marques correspondantes. 3 . Machine selon la revendication, dans la quelle les caractères sont enregistrés en code binaire, caractérisée en ce que le code binaire de l'enregistreur est traduit par un décodeur tournant (142) entraîné en synchronisme avec l'organe rotatif D qui reproduit en parties conductrices et non conductrices les combi- lnaisons des divers caractères et actionne un eircuit de commande (40) pendant le passage du caractère sélecté en position de prise de vue et permet à.
    l'impulsion photoélectrique de déclencher l'éelair de prise de vue. 4. Machine selon la revendication, dans la quelle les caractères sont enregistrés en code biliaire, caractérisée en ce qu'un certain nom bre d'éléments du code binaire sont. -utilisés pour caractériser la largeur des caractères en code binaire.
    :5. Machine selon la. revendication et, la sous-revendication 4, caractérisée en ce que les éléments de code d'enreg-istrement caracté risant la largeur des caractères actionnent un compteur binaire totalisant la longueur de la ligne, des moyens assurant la justification étant prévus, qui ajoutent à la. longueur de la ligne le nombre d'ilitervalles justifiables transformés en numération binaire un nombre de fois P suffisant, pour remplir ou dépasser la capacité du compteur et augmentent la lar geur des intervalles justifiables d'un nombre d'unités égal à.
    P-1 unités pour un nombre d'intervalles égal au chiffre indiqué dans le compteur après que sa capacité a été atteinte ou dépassée, et P unités aux intervalles res tants. 6. Machine selon la revendication et les sous-revendications 4 et 5, caractérisée en ce que le compteur comprend autant d'éléments enregistreurs binaires (X) à deux positions stables qu'il y a d'étages binaires pour carac tériser la largeur des caractères, chaque élé ment enregistreur étant commandé par un relais de commande et de retenue (R) à deux enroulements en opposition, auquel sont appli qués respectivement le potentiel de commande de l'étage correspondant et le potentiel de retenue provenant de l'étage précédent, de telle sorte que, en cas d'entrée et de retenue simultanées,
    ledit relais de commande reste au repos sans actionner l'élément enregistreur, mais transmet un potentiel de retenue à l'étage suivant par un contact de repos. 7. Machine selon la revendication et les sous-revendications 4 et 5, caractérisée en ce que le compteur comprend pour chaque étage des relais de commande (C) et de retenue (R) qui empêchent le potentiel de commande d'un étage de faire fonctionner l'élément enre gistreur binaire correspondant lorsqu'un po tentiel de retenue est transmis simultanément par l'étage inférieur et transmettent un po tentiel de retenue à l'étage suivant, quelle que soit la position de l'élément enregistreur du- dit étage. 8.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 4 et 5, dans laquelle le compteur comprend autant d'éléments enre gistreurs binaires (8A, SB...) à deux positions stables qu'il y a d'étages de numération bi naire pour caractériser la largeur des carac tères, caractérisée en ce que les éléments enre gistreurs sont commandés par des différen tiels dont une entrée (6B) est actionnée par une impulsion de retenue provenant de l'étage précédent (A) et l'autre entrée (SB) par l'impulsion de commande de l'étage auquel appartient l'élément, le mouvement résultant étant transmis à L'étage suivant (C) par un dispositif de transfert irréversible (9B) trans mettant une impulsion sur deux. 9.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 4, 5 et 8, caractérisée en ce que le dispositif de transfert comprend deux éléments décalés d'un pas l'un par rap port à l'autre, que l'on peut engrener par coulissement sans dégagement entre les deux étages, ce par quoi les positions de retenue sont inversées et le compteur fonctionne dans un cas en addition et dans l'autre en sous traction. 10.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 4, 5 et 8, caractérisée en ce que le dispositif de transfert, est muni d'une position dans laquelle il ne transmet pas les retenues tout en empêchant. la trans mission des déplacements vers l'étage infé rieur, ce qui permet de ramener à la position zéro les étages qui sont en position opérée sans réaction des uns sur les autres par le dispositif de transfert.
    <B>11.</B> Machine selon la revendication, carac térisée en ce que l'enregistreur comprend deux éléments indépendants, un pour l'enre gistrement (EM) et l'autre pour la lecture <I>(EX),</I> dont l'un est associé au clavier et au chariot d'une machine à.
    écrire pendant la frappe, et enregistre une ligne en enfonçant des broches coulissantes (B) disposées dans un plan, et l'autre, associé au dispositif photo graphique, décèle les broches enfoncées qui caractérisent la ligne précédente, le champ de broches d'enregistrement (EB) comportant deux séries de broches dont l'une coopère avec l'élément d'enregistrement associé au chariot de la machine à écrire pendant que l'autre coopère avec le dispositif (L) photo graphique.
    12. Machine selon la revendication et la sous-revendication 11, caractérisée en ce que l'élément pour l'enregistrement (E111) porte des organes de correction (Y), par le moyen desquels les broches correspondant à un ca ractère donné peuvent être d'abord décelées pour soustraire du compteur la largeur d'un caractère à effacer et ensuite ramenées dans leur position de repos, ce qui a pour effet d'effacer le caractère à la fois da compteur et de l'enregistreur. 13.
    Machine selon la revendication, com- prenant un chariot portant un film sensible se déplaçant proportionnellement à la largeur des caractères par le moyen d'un échappe ment variable, caractérisée en ce que l'échappement variable comporte une roue dentée (37F) engrenée au repos avec un sec teur denté rotatif (39F) muni de bras (38P) par l'intermédiaire d'un pignon mobile (40T), ladite roue étant en premier lieu libérée du pignon et en conséquence du secteur denté et bloquée en position par une griffe (47T) pendant que le secteur denté se déplace en sens inverse du sens de rotation de ladite roue jusqu'à ce qu'un de ses bras rencontre une pièce d'arrêt (41T) dont la position cor respond au nombre de dents à échapper,
    et en second lieu débloquée par le retour au repos de la griffe (47P) en même temps qu'elle est réengrenée avec le secteur denté (39P) par le pignon (40P) ramené en posi tion en même temps que la griffe a été déga gée, ce par quoi la roue dentée et le secteur denté sont ramenés en arrière jusqu'à ce que le bras<B>du</B> secteur denté rencontre sa butée (le repos fixe (64P). 14. Maehine selon la revendication et la sous-revendication 13, caractérisée en ce que le pignon (40P) reliant la roue dentée avec le secteur denté est commandé par une pièce (50P) faisant verrou lorsqu'il est en position d'engagement, ceci pour absorber la réaction due au choc. 15.
    Machine selon la revendication et les sous -revendications 13 et 14, caractérisée en ce qu'un des bras du secteur denté (39P) est muni d'um cliquet (54P) qui, au moment où le bras du secteur denté rencontre une butée, est repoussé et tombe dans une dent de la roue (37P) et évite le rebondissement en arrière du secteur denté (39F) sous l'in fluence du choc. 16. Machine selon la revendication, e ont- prenant un chariot porte-film (1F) entraîné par un échappement variable, caractérisée en ce que l'échappement variable entraîne le cha riot porte-film par l'intermédiaire d'une vis sans fin d'entraînement (17P) dont le pas est.
    sensiblement voisin de l'angle d'irréversibilité, de telle sorte que les réactions dues à l'arrêt du chariot sur l'échappement variable sont réduites et transformées en une poussée selon l'axe de la vis d'entraînement. 17. lIachine selon la revendication, carac térisée en ce qlI'un premier objectif eoilima- teur (1P) placé devant. la fenêtre de prise de vue devant laquelle défilent.
    les carac tères fait, une image du caractère à l'infini, et en ce qu'un second objectif (4P) se dépla çant le long de l'axe optique du collimateur (1P) fait dans son plan focal une image qu'un organe optique (3P) renvoie sur le film fixe (PP) disposé parallèlement à i'axe optique du collimateur (11").
CH286884D 1949-03-17 1950-03-17 Machine à composer. CH286884A (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR286884X 1949-03-17

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH286884A true CH286884A (fr) 1952-11-15

Family

ID=8887332

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH286884D CH286884A (fr) 1949-03-17 1950-03-17 Machine à composer.

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH286884A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
CA1111547A (fr) Installation de transmission de facsimile a reduction de redondance
FR2493229A1 (fr) Procede et dispositif de commande d&#39;une imprimante
US1548168A (en) Printing telegraphy
CH286884A (fr) Machine à composer.
CH506391A (fr) Machine de photocomposition
US4079195A (en) Method and apparatus for the synchronization of a deciphering device functioning as a receiver with an enciphering device functioning as transmitter
BE494586A (fr)
US1745019A (en) Apparatus for making jacquard cards for textile machinery
US2355437A (en) Register translator or like device
CH621088A5 (fr)
FR2459591A1 (fr) Procede et dispositif de telecopie a sauts de blancs
BE529835A (fr)
CH283926A (fr) Machine de bureau à fonctionnement cyclique, pourvue d&#39;un mécanisme d&#39;impression.
US505062A (en) ongley
US1865371A (en) Advertising device, publicity telegraph, and the like
BE434985A (fr)
BE370854A (fr)
US443788A (en) onoley
BE527227A (fr)
BE514468A (fr)
CH321144A (fr) Machine typographique à composer photographiquement
CH332843A (fr) Machine à composer photographique
BE711147A (fr)
US1530567A (en) Printing telegraphy
US881854A (en) Change-maker.