Mécanisme d'horlogerie. L'invention a pour objet un mécanisme d'horlogerie, comportant des goupilles de ré glage en prise avec un spixal près de son extrémité.
La marche ou vitesse de fonctionnement. d'un mécanisme d'horlogerie, tel qu'une hor loge ou une montre, est généralement com- mandée par la période des oscillations d'un balancier circulaire accouplé à un ressort ré glant. Cette période est fonction du moment d'inertie du balancier et de la rigidité du ressort réglant. La conception de la plupart des mécanismes cl'horlo,;-erie est. telle que le moment d'inertie du balancier ne peut pas être modifié et que la période des oscillations du balancier ne peut être réglée qu'en faisant varier la rigidité du ressort réglant ou spiral. Lorsque la rigidité du spiral croît, la vitesse d'oscillation du balancier croît.
Jusqu'à pré sent, on règle la rigidité du spiral en faisant varier sa longueur efficace. D'une façon gé nérale, on obtient. ce résultat grâce à -Lui levier pivoté coaxialement au balancier et portant. deux goupilles entre lesquelles passe le spiral. Les goupilles immobilisent la partie du spiral qui est entre elles et L'extrémité extérieure du spiral. Lorsque la distance entre l'extrémité extérieure du spiral et les gou pilles de réglage croît, le spiral devient. phis rigide.
Si l'on constate qu'un mécanisme d'hor logerie a pris de l'avance ou du retard pen dant une certaine durée, un jour, par exem ple, on règle sa vitesse de fonctionnement en poussant les goupilles de réglage plus loin ou plus près (le l'extrémité du spiral.
Dans le cas le plus favorable, un tel ré glage des mécanismes d'horlogerie n'est qu'un compromis. Le couple exercé par le ressort moteur décroît. lorsque ce dernier se détend et. il en résulte une réduction correspondante de la vitesse de fonctionnement du mécanisme d'horlogerie. Pour le réglage, la position des goupilles de réglage est choisie de telle ma nière que, pendant la durée où le ressort passe de l'état complètement remonté à l'état pres que détendu, le temps gagné est. compensé autant que possible par le temps perdu. On a constaté que ceci limite considérablement la durée pendant laquelle une montre ou une horloge peut fonctionner de manière satisfai sante entre deux remontages successifs.
Il n'est pas possible de remédier à ce dé faut en faisant mouvoir les goupilles de ré <B>gi -</B> sur un arc fixe chaque fois que le res- sort moteur se détend.
Même dans des hor loges ou montres de construction identique, il existe des différences très considérables dans les ares qui devraient être parcourus par les goupilles de réglage pour maintenir une vi tesse de fonctionnement pratiquement. cons tante. Parmi les causes principales de ces différences, on peut citer les variations d'épais seur et de composition des ressorts moteurs et des spiraux.
Il a été établi qu'il est possible, pendant la durée de détente du ressort moteur, de dé- placer les goupilles de réglage dans un sens ou dans l'autre, sur un trajet réglable. Ce tra jet peut être réglé individuellement pour chaque horloge ou chaque montre, tant en ce qui concerne la longueur dit trajet que la position du trajet. A une extrémité de ce trajet, les goupilles de réglage sont dans une position telle que le mécanisme d'horlogerie soit exact quand le ressort moteur est com plètement remonté. A l'autre extrémité de .ce trajet, les goupilles de réglage sont. clans une position telle que le mécanisme d'horlogerie soit exact lorsque le ressort moteur est presque totalement détendu.
Il en résulte que les difficultés mentionnées sont supprimées et que l'exactitude est accrue à un degré tel que l'on puisse fabriquer -Lui mécanisme d'horlo gerie dont la durée de fonctionnement est très supérieure à celle des mécanismes d'horlogerie connus à ce jour.
Le mécanisme d'horlogerie selon l'invention est caractérisé par un support mobile pour lesdites goupilles et par un élément entraîné en rotation dans un sens lorsque le ressort moteur est remonté et entraîné dans le sens opposé lorsque le ressort se détend, ledit élé ment étant relié audit support et destiné à déplacer le support et. les goupilles en avant. et en arrière le long d'itn chemin réglable.
Le dessin représente, à titre d'exemples, quelques formes d'exécution de l'objet de l'in vention La fig. 1 est une élévation d'un mécanisme d'horlogerie dans lequel l'élément entraîné du régulateur automatique est un ressort héli coïdal.
La fig. 2 est une vue en plan correspon dant à la fig. 1.
La fig. 3 est une élévation inversée du mécanisme d'horlogerie représenté à la fig.1.. Les. fig. 4, 5 et 6 sont des vues en éléva tion et en plan d'un mécanisme d'horlogerie dans lequel un ressort spiral constitue l'élé ment entraîné du régulateur automatique.
Les fig. 7 et 8 sont des vues en élévation et en plan d'un mécanisme d'horlogerie dans lequel l'élément entraîné est constitué par une came spirale. La fig. 9 est une vite en élévation d'uxi régulateur automatique dans lequel l'élément entraîné est constitué par un engrenage mo bile axialement. , La fig. 7 0 est une vue en élévation d'un régulateur automatique dans lequel l'élément. entraîné est constitué par un engrenage iiio- bile axialement et portant une came conique.
La fig. 1.1 est une vue en plan d'un régu lateur automatique dans lequel l'élément en traîné est constitué par rote came spirale avec une face inclinée, et la fig. 12 est une vue en élévation du régu lateur représenté sur la fig. 11.
Le mécanisme d'horlogerie représenté par les fig. 1 à 3 est du type à arbre mobile. II comprend un barillet fixe 15 contenant le res sort moteur (non représenté) que l'on remonte au moyen d'un arbre 16. Le train d'engrenage 17 est entraîné par le ressort moteur par l'in termédiaire de la roue dentée principale 18. le rochet 19 et le cliquet 20. Il comprend un axe de balancier 22 horizontal qui porte le balancier circulaire 23 et le spiral 24.
La longueur active du spiral 24 est réglée par des goupilles 26 portées par un bras 27, pouvant pivoter coaxialement an balancier. Le bras 27 frotte sur un levier 28 pouvant aussi pivoter coaxialement au balancier, de sorte que, normalement, lorsque le levier 28 pivote. le bras 27 pivote aussi, mais la position rela tive des leviers 27 et. 28 petit être ré'-lée à volonté.
Un arbre 30 est monté entre les platines 31, 32 et supporte tune roue dentée 33 et une came 34. La came 34 est constituée par un ressort hélicoïdal rigide dont, la spire infé rieure est maintenue dans une position fixe par le bras de butée 35. L'extrémité supérieure de ce ressort s'appuie contre une rondelle 36 qui est maintenue en position sur l'arbre 30 par un écrou 37. Le levier 28 est. maintenu contre la face supérieure de la came 34 par un ressort 38. La roue dentée 33 engrène sur un pignon 40 fixé sur l'arbre 16 et elle est accouplée à la came 34 par un manchon 41, de telle manière que la came et la roue den- tée tournent ensemble.
La rotation de la. roue dentée 33 est limitée à un tour environ, dans un sens ou dans l'autre, par une goupille 42 fixée sous la roue dentée 33 et une butée 43 fixée sur la platine 32.
Le fonctionnement. du mécanisme qu'on vient de décrire est le suivant: La position relative du levier 28 et de la came 34 qui est représentée dans la fig. 1 est celle que ces organes occupent lorsque le ressort moteur est complètement remonté. Lorsque le ressort mo teur est presque totalement détendu, le levier 28 est à la position zéro , c'est-à-dire à peu près au bas de la came 34. Le levier est d'abord maintenu à sa position zéro et on fait tourner le bras 2 7 relativement au levier 28 Jusqu'à ce que les goupilles de réglage soient à la position voulue pour que le mécanisme d'horlogerie ait. une marche correcte lorsque le ressort moteur est presque totalement dé tendu.
On remonte ensuite le ressort moteur et on visse ou dévisse l'écrou 37 jusqu'à ce que l'extrémité supérieure de la came 34 contre laquelle s'appuie le levier 20 soit dans une position telle que les goupilles d'arrêt 26 soient réglées pour que le mécanisme d'horlo gerie ait une marche correcte lorsque le res sort moteur est remonté. De cette manière, la longueur de l'arc parcouru par les goupilles d'arrêt entre les positions de remontage com plet et de détente presque totale et. la position de cet. arc sont toutes les deux exactement déterminées.
A mesure que le ressort moteur remonté se détend et entraîne le mécanisme d'horlogerie, la came est entraînée par le pignon 40 et la roue dentée 33 et le levier 28 se déplace vers le bas le long de la face supérieure du ressort hélicoïdal constituant cette came; lorsque la came a ainsi fait un tour, la rotation de la roue dentée 33 et de la came 34 est arrêtée par la goupille 42 et la butée 43. A mesure que le levier 28 se déplace vers le bas, le bras 27 pivote aussi et éloigne les goupilles de ré glage de l'extrémité du spiral 24 en raidissant. ainsi ce ressort. Lorsqu'on remonte le ressort moteur, cette opération s'effectue en sens opposé.
Dans les fi-. 4 à 12, comme dans les fig. l à. 3, le levier qui fait pivoter le bras portant les goupilles de réglage est représenté dans la position qu'il occupe quand le ressort moteur est complètement remonté; en outre, l'arc par couru par les goupilles de réglage est réglé d'une faon semblable à celle qui a été décrite en relation avec les fi-. 1 à 3.
Le mécanisme d'horlogerie représenté dans les fi-. 4 à 6 est, comme le précédent, du type à arbre mobile. Il comporte un barillet fixe 47, renfermant un ressort moteur (non repré senté), qui entraîne le train d'engrenage 48 par l'intermédiaire de la roue dentée princi pale 49. L'échappement comprend un axe ver tical 50, un balancier circulaire 51. et un spi ral 52. Les goupilles de réglage 53 sont por tées par un bras 54 qui est lié au levier 55 de telle manière que le bras pivote normalement avec le levier, mais que leur position relative puisse être réglée à volonté. La came 57 est constituée ici par un ressort. spiral en fil ri gide. L'extrémité intérieure de la came 57 est fixée à. un manchon 58 qui est fixé sur la roue dentée principale 49.
L'extrémité exté rieure de la came 57 est. accrochée dans l'une des encoches d'une série d'encoches (non re présentées) d'une bague 61. Cette bague 61. est fixée à la roue dentée principale 49, de sorte que ladite bague 61 et le manchon 58 tournent ensemble. Le levier 55 porte un élé ment 62 maintenu constamment au contact de la came 57 par un ressort s'appuyant sur une goupille 64.
La position zéro du levier 55 est. celle qu'il prend lorsque l'élément. 62 est à peu près à l'extrémité intérieure du ressort spiral 57. Après le réglage initial des goupilles avec le levier dans cette position, on remonte le res sort moteur, de préférence jusqu'à ce que le levier occupe la, position représentée à la. fig. 5. L'extrémité extérieure de la came 57 est accrochée dans celle des encoches de la bague 61 qui, par l'intermédiaire du levier 55 et du bras 54, place les goupilles de réglage 53 dans la position pour laquelle le mécanisme d'horlogerie a une marche exacte lorsque le ressort moteur est. ainsi remonté.
La came 57 tourne avec la roue dentée principale 49 et comporte au moins autant de spires que cette roue dentée accomplit de tours pendant la durée de détente complète du res sort moteur. En conséquence, lorsque la came 57 tourne, les goupilles de réglage 53 sont déplacées par le bras 54 et le levier 55 sur l'arc nécessaire pour maintenir une marche exacte. Lorsqu'on remonte le ressort moteur, le sens de rotation de la came 57 s'inverse de telle manière que le levier 55 revienne à la position de la fig. 5.
Les fig. 7 et 8 représentent tin mécanisme d'horlogerie dans lequel le réglage automati que est assuré par une came fixe et un levier réglable. Ce mécanisme d'horlogerie est du type à arbre mobile et comprend une roue 94 et tm rochet 70 solidaires d'un arbre 69 et un cliquet 71 pivoté sur une roue 93. L'échappe ment comprend l'axe de balancier 73, le ba lancier circulaire 74 et le spiral 75. Les gou pilles de réglage 77 sont portées par un bras 78 qui est lié de faon réglable à un levier 79, de telle manière que le bras 78 soit entraîné normalement en même temps que ce levier. Une came spirale 81 est fixée sur une roue dentée 80 pour tourner avec cette dernière.
Un ergot 82 d'un levier pivotant 83 est main tenu au contact de la came 81 par un ressort 84. Les leviers 79 et 83 sont munis d'une fente radiale 86, 87 et sont accouplés par une gou pille 88. La goupille 88 est filetée, de sorte qu'on puisse la maintenir dans la position choisie le long de la fente 87 du levier 83 par des écrous 89, 90. Lorsque le ressort moteur est presque totalement détendu, l'ergot 82 est situé dans le crochet 92 de la came 81. Le levier 79 est dans la position de réglage ini tial des goupilles de réglage 77 lorsque les leviers 79 et 83 sont dans le prolongement l'un de l'autre.
Après le réglage initial des goupilles d'arrêt avec les leviers 79 et 83 dans cette position, on remonte le ressort moteur. On desserre ensuite les écrous 89, 90 et on fait tourner le levier 79 indépendamment du levier 83 jusqu'à ce que les goupilles de ré glage 77 occupent la position qui assure l'exactitude lorsque le ressort moteur est ainsi remonté. On resserre alors les écrous 89. 90 et, à mesure que le ressort moteur se détend, la came 81 tourne du fait de la rotation de la roue dentée principale 93 et des roues dentées 94 et 80. Pendant que le levier 83 tourne sous l'action de la came 81, les goupilles d'arrêt 77 parcourent l'arc choisi.
La fig. 9 représente un régulateur auto matique incorporé à un mécanisme d'horlo gerie à barillet mobile. Ce mécanisme comporte un barillet de ressort principal 97, muni d'une denture principale 98 et fine roue dentée de remontoir 99. L'échappement comprend Lui axe de balancier 101, un spiral 10\_' et un balan cier circulaire 105. Les goupilles de régla-e 103 sont portées par un bras 10.1, lié de faon réglable à un levier 106, de telle sorte que le bras pivote normalement avec ce levier.
Ce levier 106 est muni d'un doigt. 107 monté à frottement dans un manchon, de sorte que l'on puisse régler la saillie du doigt. à l'exté rieur du manchon. Une roue dentée<B>1.08</B> est calée sur un arbre fileté 109 et engrène sur la roue dentée de remontoir 99. Une roue dentée 110, qui engrène sur la roue dentée principale 98, est fixée sur un manchon<B>111</B> monté sur l'arbre 11\?. Le manchon 111 est fileté intérieurement. pour recevoir l'arbre filetée 109. L'extrémité du doigt.<B>107</B> est pressée contre la face supérieure de la roue dentée 110 par un ressort 1.1-1.
A mesure que le ressort moteur se détend, la roue dentée principale 98 entraîne la roue dentée 110, et la roue dentée de remontoir 99 maintient la roue dentée 108 stationnaire. Par l'effet de l'arbre fileté 109 et du manchon 111, la roue dentée 110 se déplace vers le haut lorsque le ressort principal se détend, en déplaçant ainsi les goupilles de réglage 103 sur un arc. Lorsque l'on remonte le res sort moteur, la roue dentée de remontoir 99 fait tourner la roue dentée 108, et la roue dentée principale 98 empêche la roue dentée 110 de tourner, ce qui fait. redescendre cette dernière roue dentée jusqu'à la position de la fig. 9.
La position zéro dti levier formé par le doigt 107 et le manchon 106 est celle que ces éléments occupent lorsque la roue dentée<B>11.0</B> est dans la position indiquée en traits discon tinus à la fig. 9. Le réglage initial des gou pilles de réglage se fait avec le levier dans cette position. On remonte ensuite le ressort moteur et on règle la longueur du doigt 107 de façon à amener les goupilles de réglage à la position pour laquelle le mécanisme d'hor logerie a une marche exacte lorsque le ressort moteur est ainsi remonté.
La fig. 10 représente un type d'échappe ment ordinaire horizontal. Il comprend un axe de balancier 120, un balancier circulaire 121 et un spiral 122. Un pignon 124, calé sur un arbre fileté 125, engrène sur une roue dentée de remontoir<B>126.</B> Une roue dentée 127 est montée sur l'arbre fileté 125 et porte, fixée sur sa face supérieure, une came coni que 129. La came 129 est filetée intérieure ment pour recevoir l'arbre fileté 125.
Les goupilles de réglage 130 sont portées par le bras 131 qui est lié de façon réglable à un levier<B>1.32</B> de telle manière que le bras <B>131</B> se déplace normalement avec le levier 132. Dans un pivot. 134 est vissé un levier 135 dont l'extrémité s'appuie contre une plaque 136 fixée sur le levier 132. La plaque 136 est maintenue contre l'extrémité du levier 135 et ce levier est maintenu an contact de la came 129 par un ressort (non représenté).
Pendant que le ressort moteur se détend, le pignon 124 est. maintenu stationnaire par la roue dentée de remontoir 126 et la roue dentée 127 tourne sous l'action de la roue dentée principale<B>137,</B> de sorte que, par l'action de l'arbre filetée 125 et. de la came 129, la roue dentée<B>127</B> est déplacée axialement vers le haut, en déplaçant ainsi le levier 135 et les goupilles de réglage 130 sur l'arc choisi. Le levier 1.32 est clans la position de réglage ini tial des goupilles de réglage quand le levier 135 et. la plaque 136 .sont parallèles. Quand le ressort. moteur est remonté, le second ré glage des goupilles d'arrêt se fait en réglant la longueur du levier 135.
L'échappement représenté aux fig. 11 et 12 est également du type horizontal. Il com prend un axe (le balancier 140, un balancier circulaire 141 et un spiral 142. Une roue den tée 144 accouplée à la roue dentée du ressort moteur (non représenté) est fixée sur l'arbre 145. Une came 146 peut coulisser axialement sur l'arbre 145 et elle est accouplée de façon réglable à la roue dentée 144 par une vis de réglage 147. La came 146 est en forme de spirale. La. face de la came est verticale à l'extrémité intérieure de cette spirale, mais elle est inclinée intérieurement suivant une progression constante vers l'extrémité exté rieure de la spirale.
Les goupilles de réglage 148 sont portées par un bras 149 qui est lié de façon réglable à un levier 150, de telle manière que le bras pivote normalement avec le levier. L'extrémité dia levier 150 est pres sée contre la face de la came 146 par un res sort 151.
Lorsque le ressort moteur se détend, la, came 146 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce que l'extrémité du levier 150 porte contre l'extrémité intérieure de la spirale; à cet instant, le levier est dans sa position de zéro et le ressort moteur est. presque totalement détendu. Après que le ré glage initial des goupilles a été effectué dans cette position de zéro, on remonte le ressort. moteur et on règle la hauteur de la. came 1-16 en tournant la vis d'arrêt 147 jusqu'à ce que les goupilles occupent la position désirée lors que le ressort moteur est. remonté.