Fourneau de cuisine. Cette invention a pour objet un fourneau de cuisine qui peut être avantageusement uti lisé pour griller, cuire au four, rôtir, frire, faire bouillir, etc., ce fourneau étant du genre dans lequel les aliments à cuire sont disposés dans une enveloppe isolée thermique- ment qui contient une chambre de cuisson et une source électrique radiante incandescente disposée dans ladite chambre et agissant de façon à émettre une quantité suffisante de chaleur radiante pour la cuisson des aliments.
Pendant la cuisson d'aliments, il est dé sirable de supprimer des odeurs et fumées qui se dégagent par exemple au cours d'opé rations de grillage, de rôtissage ou de friture des viandes, ou au cours de l'ébullition de certains autres aliments. Dans ce but, le four neau de cuisine selon la présente invention comporte, disposé à l'intérieur de l'enveloppe isolée, un dispositif fumivore servant à éli miner les fumées et odeurs et comprenant une surface placée dans une position telle qu'elle est portée à une température élevée par la source d'énergie radiante.
Comme la quantité de chaleur fournie sera de préférence relativement faible (ce qui di minue la dépense et permet l'utilisation sûre du circuit d'éclairage ordinaire des habita tions sans exiger de conducteurs spéciaux) et comme une partie de la chaleur fournie est utilisé pour éliminer les odeurs, fumées, etc., il est intéressant d'éliminer dans la mesure pratiquement la plus grande possible une source ordinaire d'odeurs, fumées, etc., qui intervient habituellement pendant la cuisson des aliments, savoir les odeurs, fumées, etc.
qui se dégagent de la graisse roussie d'une viande en cours de cuisson; cela est avanta geusement réalisé en prévoyant des moyens pour recueillir la graisse qui se sépare pen dant la cuisson dans des conditions telles qu'elle ne risque pas d'être surchauffée ou brûlée et qu'elle soit au contaire évacuée alors qu'elle est encore relativement froide, c'est-à-dire au-dessous du point d'ébullition ou de la température d'un corps fumant, en un point situé au-dessous et à l'extérieur du fourneau, et qu'elle soit ainsi conservée, les odeurs ou fumées produites étant en même temps grandement diminuées, indépendam ment de l'économie réalisée dans la quantité de chaleur nécessaire pour cuire l'aliment.
On a découvert que, en vue des meilleurs résultats, au moins dans certains modes de cuisson, par exemple dans le grillage des viandes, etc., il faut qu'une partie importante de l'énergie- rayonnante fournie soit appli quée directement à l'aliment sous une lon gueur d'onde de l'ordre, par exemple, de celle correspondant à une chaleur au rouge cerise terne, plutôt que de fournir toute l'énergie @i, l'aide d'une source incandescente ou de petite longueur d'onde;
dans ce but, on prévoit de préférence des moyens pour convertir une partie de l'énergie rayonnante de la source en une chaleur ayant approximativement la longueur d'onde qui vient d'être indiquée comme désirable, la chaleur ainsi fournie ayant un effet de pénétration beaucoup plus grand et assurant une cuisson plus rapide de l'intérieur de l'aliment que lorsque toute la chaleur est dirigée vers l'aliment sous des longueurs d'onde plus voisines de l'état in candescent.
La source électrique d'énergie radiante, constituée avantageusement par un dispositif à résistance électrique, est de préférence éta blie de façon à émettre de l'énergie de lon gueurs d'onde à la. fois courtes et longues et à émettre de l'énergie à, des taux différents, à volonté, ce dispositif pouvant comprendre un support isolant en matière réfractaire sur le quel sont montées plusieurs bobines de résis tance.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution du fourneau de cuisine faisant l'objet de l'invention, cette forme d'exécution étant de dimensions suffi santes pour cuire, par exemple, les aliments nécessaires pour quatre à six personnes tout en n'exigeant que le courant de lumière ha bituel à 110 volts et ne consommant que 1000 à 1200 watts environ par heure.
La fi* 1 est une vue de face de cette forme d'exécution; La fig. 2 est une vue en bout du four neau, le couvercle étant représenté complète ment ouvert; La fig. 3 est une coupe verticale longi tudinale; à plus grande échelle du fourneau, le- couvercle étant fermé et les pièces prêtes pour le grillage, le rôtissage, la cuisson au four, etc.; La fig. 4 est une coupe verticale faite par un plan sensiblement perpendiculaire au plan de coupe de la fig. 3;
La fig. 5 est une vue en plan partielle montrant le socle du fourneau (le couvercle étant enlevé), une grille porte-aliments étant partiellement brisée pour faire voir une lèchefrite; La fig. 6 est une vue de face partielle, montrant le couvercle partiellement ouvert pour faciliter le grillage du pain, ete., la, fri ture ou une opération analogue; La fig. 7 est une coupe verticale fragmen taire montrant une partie du socle du four neau et un des pieds qui le supportent:
La fig. 8 est une vue en élévation. d'une des plaques de chicane constituant le fumi- vore; La fig. 9 est une coupe par la ligne 9-9 de la fig. 8; La fig. 10 est une vue de dessous d'une plaque de transformation d'énergie.
Sur ces figures, 1 désigne le socle du fourneau, 2 le couvercle. Le socle comprend une paroi extérieure 3 et une paroi intérieure 4, ces deux parois étant de préférence toutes deux en tôle et maintenues espacées l'une de l'autre à l'aide de boulons et de rivets (avec interposition d'éléments d'espacement 5) qui les assemblent de façon à constituer une structure permanente. Un organe d'isolement approprié, tel qu'une feuille 6 en aluminium extrêmement poli, est intercalé entre les pa rois 3 et 4, les éléments d'espacement 5 ayant une forme telle qu'ils supportent en même temps cet organe isolant, Au lieu de la pla que mince d'aluminium ou autre métal poli constituant l'organe d'isolement,
on peut pré voir l'application d'autres organes d'isole ment; ou bien on peut utiliser un simple in- tervalle d'air entre les parois 3 et 4 pour as surer l'isolement thermique désiré.
Dans sa partie centrale, la paroi exté rieure 3 est munie d'un bossage annulaire 7 qui fait saillie vers le haut, est ouvert à son extrémité supérieure et coïncide avec un bos sage annulaire analogue 8 qui fait saillie vers le haut et fait partie de la paroi intérieure 4, le bossage 8 étant aussi ouvert à son extré mité supérieure et constituant une ouverture ou passage traversant de haut en bas l'épais seur entière du socle, ouverture dont le rôle sera indiqué plus loin.
La paroi extérieure 3 est munie d'un re bord périphérique 9 s'étendant vers le haut et présentant sur son bord supérieur un re bord extérieur 10 qui est sensiblement hori zontal et dont l'extrémité est coudée vers le bans, en 11, pour donner un aspect satisfai sant au socle.
Le socle est supporté par des pieds 12 (fig. 7) qui sont de préférence constitués cha cun par un morceau de tôle, chacun de ces pieds comportant une embase ou patte 13 des tinée à reposer sur un support approprié S tel qu'un dessus de table, par exemple. Cha que pied est en outre muni, à sa partie supé rieure, d'une portion sensiblement horizon tale 14 destinée à se placer sous le rebord 10 de la paroi 3.
En outre, chaque pied est muni d'une languette ou oreille 15 qui est placée au-dessous de la partie principale de la pa roi 3 et qui peut être fixée à cette dernière, par exemple, par une soudure par points ou à l'aide de rivets. Ainsi établi, ce système de pieds ne transfère qu'une très faible quan tité de chaleur du socle aux embases 13, de sorte que la surface S sur laquelle le four neau repose ne risque pas d'être endomma gée. Comme représenté en fig. 5, cette forme d'exécution du fourneau possède, en plan, sen siblement la forme d'une ellipse, et le socle est muni de quatre pieds de support disposés symétriquement.
La paroi intérieure 4 du socle est munie d'une partie cylindrique verticale 16, qui est pourvue d'un bord à bourrelet 17. Ce bord sert à supporter une lèchefrite 18. Celle-ci est pourvue d'un bord 19 qui s'étend vers le haut et est muni d'un bourrelet par l'intermé diaire duquel la lèchefrite repose sur le bord 17 et est supportée avec le minimum d'échange de chaleur entre cet organe et le socle.
La lèchefrite possède une forme conique creuse tournant sa concavité vers le haut et présente au sommet ou point le plus bas du cône une ouverture 20 de laquelle s'étend vers le bas un tuyau de descente de graisse 21 qui s'é tend vers le bas à travers les ouvertures des bossages 7 et 8 et, à travers l'épaisseur en tière du socle, de façon à transférer la graisse susceptible d'être recueillie par la paroi co nique en un point situé à l'extérieur de l'en veloppe et, de préférence, à l'intérieur d'un récipient 22 qui peut être placé dans l'espace ménagé au-dessous de la paroi extérieure 3 du socle.
De préférence.: la lèchefrite 18 est faite d'aluminium ou de quelque autre ma tière ayant une chaleur spécifique telle que, lorsqu'on grille ou rôtit de la viande dans le présent fourneau, cet organe ne risque pas de s'échauffer au point de brûler ou convertir en fumée la graisse susceptible de s'y accumu ler pendant la période de cuisson.
Le couvercle 2 comprend une partie laté rale cylindrique sensiblement verticale et une partie supérieure en forme de dôme. La par tie cylindrique est composée de deux parois, l'une intérieure 23, l'autre extérieure 24, qui peuvent être en toute matière appropriée, la paroi extérieure 24 étant, par exemple, en acier inoxydable et la, paroi intérieure 23 en aluminium poli et brillant, si on le préfère.
Ces deux parois sont maintenues espacées l'une de l'autre par des rivets ou boulons, dans l'espace séparant lesdites parois est dis posée une matière assurant l'isolement ther mique, sous forme d'une mince feuille 26 d'aluminium poli; ou bien, si on le préfère, cet espace peut être laissé vide, l'effet d'iso lement n'étant assuré que par l'air existant entre les parois.
Lorsque le couvercle .est fermé et que la lèchefrite 18 est -en place, le bord inférieur 23a de la paroi intérieure 23 du couvercle repose sur le pourtour de la lèchefrite, juste à. l'intérieur de .son bourrelet 19, assurant un joint à l'épreuve des fuites entre le socle et le couvercle. L'espace entre les parois 23 et et 24 est fermé, près de son extrémité infé rieure, par un anneau de fermeture 24a, de façon à empêcher toute circulation d'air de bas en haut entre les parois.
A leurs extré mités supérieures, les parois 23 et 24 sont as semblées d'une manière permanente par un anneau de fermeture 27 qui peut. être fixé aux parois respectives par soudure ou à l'aide de joints pressés, de rivets, etc., l'anneau 27 étant muni d'un rebord interne 28 qui sup porte une partie marginale 29 d'une paroi intérieure 30 du dôme; les pièces 28 et 29 sont fixées l'une à l'autre par soudure, à l'aide de rivets ou de toute autre manière convenable. La paroi intérieure 30 du dôme possède en section transversale une forme sensiblement parabolique, comme on le voit plus particulièrement sur la fig. 4. Le dôme comprend aussi une paroi intermédiaire 31.
(qui peut être une mince feuille d'aluminium poli en vue de l'isolement) et une paroi exté rieure 32, la paroi 31 étant munie d'un re bord extérieur sensiblement horizontal 33 dont la périphérie entre en prise avec un bourrelet 34 prévu sur le pourtour d'un re bord marginal 35 de la paroi 32. L'anneau 27 est fixé au rebord 33 à l'aide de boulons ou de rivets 36 (avec interposition d'éléments d'espacement 37) et entre ces deux organes est ménagée une fente d'échappement 38 ver ticalement étroite qui s'étend périphérique- ment autour du couvercle, sensiblement à la jonction du dôme avec les parois latérales, et qui communique librement avec l'espace ménagé entre les parois 30 et 31.
La hauteur verticale de cette fente d'échappement 38 peut être de l'ordre de 6 znm par exemple. La paroi extérieure 32 du dôme peut être fixée au rebord 33 par soudure ou à l'aide de rivets ou de tout autre manière appropriée, les parties principales des diverses parois 3l), 31 et 32 étant espacées les unes des autres de façon à assurer un isolement par l'air. Si on le désire, on peut interposer dans l'espace 40, ménagé entre les parois 31 et 32, une ma- fière isolante supplémentaire 41, par exem ple sous forme de clinquant d'aluminium poli, de "rock wool" ou d'une matière ana logue.
La paroi intérieure parabolique 30 est de préférence en aluminium poli et présente à son sommet une ouverture allongée 42 desti née à recevoir un dispositif fumivore 43 ser vant à brûler ou détruire les fumées ou odeurs qui se dégagent pendant la cuisson. Comme représenté, ce dispositif est composé d'une série de minces plaques métalliques 44 (fig. 8 et 9) qui sont disposées verticalement, espacées et parallèles, ces plaques étant de préférence en aluminium ou tout autre mé tal qui ne se décolore pas et qui ne fond pas aux températures auxquelles il est exposé, et présentant chacune un rebord 45 sur son bord supérieur.
De préférence, ce rebord est re courbé paraboliquement, de façon à suivre sensiblement le contour de la paroi 30, et les plaques sont maintenues espacées les unes des autres par un boulon 48 et des éléments d'es pacement intermédiaires, de sorte que, après montage du dispositif, les divers rebords 45 obturent les espaces séparant les plaques ad jacentes et constituent collectivement un ré flecteur parabolique, ayant un pouvoir réflé chissant élevé au sommet du dispositif "fu- mivore" en forme de grille.
Les parties infé rieures des plaques 44 font saillie vers le bas à travers l'ouverture 42, et les plaques extrêmes sont pourvues de rebords 49 à l'aide desquels la grille fumivore est fixée à de meure à la paroi intérieure 30, ces rebords formant un moyen de conduction de chaleur médiocre.
Juste au-dessous de la partie centrale de la paroi 30 est disposée une plaque 50 (fig. 10) qui est de préférence en métal monel ou autre alliage à base de cuivre et qui, après qu'elle a été initialement exposée aux tempé ratures régnant dans le fourneau pendant qu'il fonctionne, prend une couleur relative ment foncée et agit ainsi de façon à absorber l'énergie de petites longueurs d'onde et à émettre cette énergie sous forme d'ondes plus longues. La plaque 50 présente une ouverture centrale 51 qui coïncide sensiblement avec l'ouverture 42 de la paroi 30, la plaque 50 étant fixée à la paroi 30 à l'aide de rivets ou boulons, avec interposition d'éléments d'espa cement,
de sorte que la plaque 50 est.espacée de la surface interne de la paroi 30 d'une dis tance de l'ordre de 3 mm par exemple.- Au-dessous de l'ouverture 51 et sensible ment au foyer de la courbure parabolique de la paroi intérieure 30 est disposée une source 52 d'énergie radiante. Comme représenté, cette source comprend une âme tubulaire en porcelaine 53 munie de nervures hélicoïdales périphériques entre lesquelles sont constituées deux rainures hélicoïdales dans lesquelles sont disposées des bobines de résistance élec trique 54.
Le tube de porcelaine 53 porte à ses extrémités opposées des bras 55 à l'aide desquels il est fixé à demeure à la paroi in térieure 30. Si on le désire, on peut disposer dans le tube 53 un tube métallique fendu, par exemple en nickel, destiné à constituer une source supplémentaire d'énergie de grande longueur d'onde.
Le dispositif à résistance est établi de fa çon à émettre de l'énergie à des taux diffé rents, selon le désir de l'usager, et comprend à cet effet deux ou plus de deux bobines indé pendantes dont les extrémités terminales sont connectées (à l'aide de conducteurs non re présentés passant dans les espaces qui sépa rent les parois du couvercle) avec des bornes 56, 57, 58 montées sur un support isolant porté par la paroi extérieure 24 du couvercle, près de la partie inférieure dudit couvercle, endroit où elles ne sont pas exposée à une chaleur exagérée rayonnant du fourneau en service.
Les trois bornes 56, 57 et 58, les con nexions et les bobines 54 peuvent, par exem ple, être disposées de telle manière qu'on puisse obtenir une chaleur faible en connec tant les bornes 56 et 57 avec une source de courant électrique; une chaleur intermédiaire en connectant les bornes 57 et 58 avec ladite source; et une chaleur élevée en connectant les bornes 56 et 58, Bien entendu, on pourrait prévoir un nombre de degrés -de chauffage supérieur ou inférieur à trois, si on le désire.
te fourneau représenté est destiné â être utilisé avec le courant ordinaire à 110 volts servant à l'éclairage des habitations et de fa çon à consommer de 1000 à 1200 watts. On peut par suite utiliser le fourneau en insé rant un bouchon de prise de courant dans une douille de prise de courant ordinaire d'une installation d'éclairage sans qu'il soit néces saire de prévoir des conducteurs spéciaux et sans risque de destruction de l'isolement or dinaire utilisé pour les circuits d'éclairage.
Le couvercle est monté à charnière sur le socle, de telle façon qu'il ne soit pas pos sible de l'en séparer entièrement, à l'aide de charnières 59 et 60 (fig. 5) disposées à l'ar rière du fourneau avec l'axe de la charnière parallèle à l'axe majeur du socle elliptique.
Pour supporter le couvercle dans la position d'ouverture (fig. 2) sans fatiguer exagéré ment les charnières ou sans détériorer la ta ble ou autre support du fourneau, il est prévu un pied de support 61 (fig. 2 et 4) qui est de préférence fait de métal en feuille et est muni d'une embase 62 et d'un coude en<B>U</B> 63 qui entre en contact avec le couvercle et en constitue le support immédiat.
Le pied 61 présente une partie sensiblement horizontale 64 terminée à l'avant par un coude en<B>U</B> 65 qui s'étend vers le haut et se termine au con tact de la face de dessous du rebord 10 du socle, ce coude étant prolongé par une oreille ou patte 66 fixée au socle. Si on le désire, on peut fixer le pied porte-couvercle au socle, de, façon amovible, par exemple à l'aide d'une vis à tête moletée ou d'un élément analogue, pour faciliter l'empaquetage du fourneau en vue de son expédition ou de son emmagasi nage.
Ce type de pied de support évite un excès de transfert de chaleur par conduction du socle ou couvercle à l'embase 62 dudit pied et à la table ou support du fourneau.
Pour permettre à l'usager d'ouvrir ou fer mer commodément le couvercle, celui-ci est muni d'une poignée de manoeuvre 67 dont une partie en forme d'arbre 68 (fig. 2) tourne dans un palier normalement horizontal cons titué dans une portion latérale 69 d'un bras de support<B>70</B> fixé à l'une des extrémités du couvercle, juste au-dessous des bornes 56, 57 et 58. L'arbre 68 porte un étai 71 qui est di rigé vers le bas et, en temps normal, sensi blement vertical, comme indiqué sur la fig. 3.
Toutefois, lorsqu'on désire maintenir le cou vercle dans une position d'ouverture partielle, comme sur la fig. 6, on peut faire tourner la poignée autour de l'axe de son arbre 68, ce qui fait. pivoter vers l'intérieur l'extrémité in férieure de son étai 71 jusqu'à ce qu'elle puisse venir reposer dans une petite ouver ture ou dépression 71a (fig. 5) ménagée dans le rebord 10 du socle. Lorsque les pièces occu pent cette position, le couvercle est maintenu partiellement ouvert, de sorte que des usten siles de cuisine peuvent être insérés au- dessous de lui.
Lorsqu'il s'agit de griller, rôtir ou d'une opération analogue, il est préférable de placer au-dessus de la lèchefrite 18 une grille de support 72 munie de barreaux transversaux 73 et de pieds 74 reposant sur la surface su périeure de la lèchefrite.
Lorsqu'on désire utiliser le fourneau pour une ébullition, par exemple en vue de la pré paration d'un mets en daube, on enlève la grille 72 et la lèchefrite 18, comme représenté sur la fig. 4, et on dispose une bassine ou daubière 75 destinée à reposer sur les sup ports espacés<I>5a</I> qui s'élèvent de la surface supérieure à travers le socle 4. La bassine 75 est munie d'une paroi cylindrique 76 qui est terminée par un bourrelet 77 et. est pour vue d'un couvercle en forme de calotte com prenant une portion de paroi inférieure sen siblement verticale 78 et une portion de paroi supérieure courbe 79.
A sa partie supérieure, ce couvercle est percé de trous 80 au-dessous desquels est disposée une plaque 81 formant chicane thermique qui est espacée de la sur face intérieure de la calotte à laquelle elle est fixée par des rivets ou des organes ana logues et des éléments d'espacement interpo sés. La bassine 7 5 contient un support 82 destiné à maintenir un ou plusieurs paniers en fil métallique dans lesquels des légumes ou autres produits à cuire peuvent être pla cés, le support 82 étant pourvu de pieds, de façon que les produits n'entrent réellement pas en contact avec l'eau de la bassine au cours de leur cuisson.
Pour utiliser le fourneau pour la friture ou le grillage du pain, etc., on ouvre partiel lement le couvercle, comme représenté sur la fig. 6, et on glisse au-dessous du bord avant inférieur dudit couvercle une poêle à frire 83 ou un grille-pain ou autre récipient, de fa çon que son contenu soit exposé à la. chaleur rayonnante régnant à l'intérieur du couvercle tout en pouvant facilement être observé par la personne qui effectue l'opération.
Pour utiliser le fourneau en vue du rôtis sage, du grillage de viandes, etc., l'usager en lève d'abord la lèchefrite 18 et la grille 72 et, après avoir refermé le couvercle, met le cou rant et laisse le fourneau s'échauffer pendant une durée de 5 minutes, par exemple. Il place alors la viande à griller sur la grille 72, place celle-ci sur la lèchefrite 18 et, à la. fin du préchauffage, ouvre le couvercle et introduit l'ensemble de la lèchefrite et de la grille avec la viande reposant sur celle-ci, puis referme le couvercle.
L'énergie thermique qui émane initialement de la source incandescente 52 est sous forme de petites longueurs d'onde de l'ordre des longueurs d'onde de la lumière et une grande partie de cette énergie est réfléchie directement par la surface intérieure parabo lique de la paroi 30, de sorte qu'elle est di rigée vers le bas et à peu prés uniformément sur toute la surface de la grille 72 et de la matière reposant sur celle-ci. Toutefois, une partie de cette énergie monte à travers l'ou verture de la plaque 50 et a pour effet de porter la grille fumivore 43 à une tempéra ture élevée.
Une autre partie de l'énergie rayonnante vient frapper la. surface de cou leur foncée de la plaque 50 de conversion d'énergie et est de nouveau émise par cette plaque, mais sous forme d'ondes plus longues, par exemple correspondant à. une chaleur rouge cerise terne. On a trouvé que ces rayons calorifiques de grande longueur d'onde ont un grand effet de pénétration sur la viande ou autre matière en cours de cuis son, analogue aux effets des rayons émis par une .couche de charbon à bois incandes cent,
de sorte que l'intérieur de la viande est rapidement cuit en même temps que les sur faces sont dorëes ou rissolées par les radia tions intenses émanant de la surface brillante et réfléchissante des parois intérieures 30 et 23 faites d'une matière qui ne s'obscurcit pas lorsqu'elle est exposée à des températures élevées. La cuisson s'effectue ainsi beaucoup plus rapidement que d'ordinaire, de sorte que des côtelettes, biftecks épais ou mets ana logues peuvent être cuits en 7 ou 8 minutes, tout en préservant sensiblement tous les jus et la saveur naturelle.
Lorsqu'on introduit initialement la viande dans le fourneau chaud, la graisse commence immédiatement à tomber dans la lèchefrite 18, mais comme cette lèchefrite est intro duite à l'état froid et que, étant donné qu'elle est en aluminium, possède une cha leur spécifique élevée, la graisse ne risque pas de brûler ou de se convertir en fumée et passe rapidement à l'extérieur par le trou 20 et le tuyau 21 pour être recueillie dans le réceptable 22, de sorte qu'elle est conservée sans avoir été roussie, en même temps qu'elle est amenée à l'écart de la zone de tempéra ture élevée, et elle ne risque plus de brûler et de dégager des fumées graisseuses ou des odeurs désagréables.
La graisse qui reste dans la zone chauf fée et qui se convertit en fumée ou en une vapeur graisseuse s'élève à la partie supé rieure de la portion en forme de dôme du couvercle et monte par l'ouverture 51 dans les espaces ménagés entre les plaques à haute température 44.
On a constaté que ces plaques à haute température ont pour effet, peut être en raison d'une action catalytique, de suppri mer entièrement toutes les odeurs ou fumées (peut-être en décomposant en éléments plus simples les constituants des fumées ou sub stances donnant naissance à des odeurs), de sorte que toutes les substances gazeuses chaudes quelles qu'elles soient qui sont sus ceptibles de s'échapper finalement en passant entre les plaques 44 et par le conduit de sortie 38 sont entièrement incolores et ino- dores et n'ont pas d'effet graisseux ou au tre effet désagréable, la seule matière qui se dépose sur une surface froide maintenue près de la fente de sortie 38 étant de l'eau sensi blement limpide.
Ordinairement, dans la cuisson effectuée aux températures élevées nécessaires pour le grillage, le rôtissage, etc., divers composants de l'aliment en cours de cuisson, tels que les albumines, corps gras, amidons, etc., qui sont exsudés sous forme de jus ou de gouttelettes ou éclaboussures, tendent à se carboniser au contact du métal porté à une température élevée de l'appareil de cuisson ou des usten siles utilisés pour la cuisson et, étant donné que la matière ainsi carbonisée est sensible ment insoluble dans les solutions de net toyage ordinaires, on ne peut ordinairement l'enlever que par des moyens mécaniques (écu- rage, raclage, etc.) qui sont tous lents,
fasti dieux et nuisibles pour les pièces métalliques. Le fourneau décrit effectue son propre net toyage, par l'utilisation d'une chaleur rayon nante dont l'intensité est telle, et qui est émise et dirigée de telle manière qu'elle con sume et dissipe ou réduit à la forme d'une cendre impalpable les matières carbonisées ou autres susceptibles de s'être déposées sur les surfaces métalliques pendant la cuisson, ce qui nettoie toutes les crevasses existant dans ou entre les pièces et laisse les surfaces mé talliques brillantes, propres, parfaitement stériles et exemptes d'odeur.
Dans ce but, lorsque l'opération de cuisson est terminée, on ouvre le couvercle un temps suffisant pour enlever la viande de la grille 72 et on le re ferme alors et remet le courant, pendant une nouvelle période de dix minutes par exem ple, à la fin de laquelle, si on ouvre de nou veau le couvercle, on constate que la surface intérieure entière du fourneau, de même que la grille,
la lèchefrite et les ustensiles qui peuvent avoir été utilisés pendant l'opération de cuisson ou qui peuvent avoir été introduits en vue de leur nettoyage ont été nettoyés complètement et d'une manière parfaite et qu'il ne reste pas de dépôts de corps gras carbonisés ou d'autres matières qu'il serait nécessaire d'enlever par écurage ou d'autres opérations analogues. On constate que les sur faces métalliques intérieures sont brillantes et propres, inodores et prêtes à permettre d'autres opérations de cuisson sans qu'il soit nécessaire de les soumettre -, un nettoyage supplémentaire.
Pour l'ébullition, on place dans la bas sine 75 une petite quantité d'eau (insuffi sante pour que les matières à cuire entrent en ccntact avec elle) et on ferme le couvercle. La chaleur rayonnant des surfaces intérieures du fourneau et agissant sur la calotte chauffe rapidement l'eau que contient la bassine et la porte à la température d'ébullition. Les pa niers contenant la matière à cuire, ayant alors été placés sur la grille 8? disposée dans cette bassine, on met le couvercle 79 en place.
La. vapeur engendrée à l'intérieur de ce cou- v ercle atteint rapidement une température de surchauffage, bien que la pression régnant dans ce couvercle ne soit jamais supérieure à la pression atmosphérique, une partie de la vapeur d'eau s'échappant sous forme de fuites et passant au-dessous de la bassine où elle contribue à chauffer l'eau que contient cette bassine.
Pour empêcher les surfaces .su périeures des matières d'être brunies ou brûlées d'une manière indésirable, on a prévu la plaque 81 formant chicane thermique, cette plaque étant disposée de telle manière que les vapeurs qui montent pendant l'ébullition passent entre elle et la surface intérieure du couvercle 79 et contribuent ainsi dans une certaine mesure à. intercepter le passage di rect des rayons calorifiques.
En cuisant ainsi la matière dans une at mosphère de vapeur d'eau surchauffée à 1a pression atmosphérique, on constate que la cuisson s'effectue très rapidement, que les diverses substances en cours de cuisson n'ab sorbent pas les aromes ou odeurs les unes des autres, alois même qu'elles seraient de na tures très diverses et telles qu'elles émettent ordinairement des odeurs distinctes pendant la cuisson, outre que le fourneau lui-même ne dégage pas d'odeurs appréciables.
les sub stances qui donnent naissance à des odeurs ayant apparemment été décomposées et dé truites dans leur passage à travers la grille fumivore 43.
Pour les fritures, on dispose le fourneau de la façon représentée sur la fig. 6 et on in troduit la matière à, cuire dans une poêle à frire 83 ou autre récipient qu'on glisse au- dessous du couvercle, de façon que le contenu de la poêle soit exposé à la chaleur radiante de l'intérieur du couvercle.
S'il se dégage des fumées pendant cette opération, ces fumées montent dans le dôme supérieur du couvercle et, lorsqu'elles entrent en contact avec la grille fumivore 43, sont décomposées en sub stances invisibles et inodores, qui passent à l'extérieur par la fente de sortie périphérique 38 sans occasionner aucun ennui au voisinage immédiat du fourneau. Toutefois, pendant l'opération de friture qui vient d'être décrite, 1 < o cuisinier peut observer l'opération, de sorte que, lorsqu'il fait frire des neufs ou mets ana logues, il peut aisément déterminer le temps de cuisson convenable.
Ainsi qu'on l'a dit plus haut, le fumivore comprend une série de plaques verticales -es pacées faites de métal en feuille mince et dis posées juste au-dessus de la source de chaleur et à l'entrée du conduit de sortie, ces plaques étant portées à une température très élevée et agissant, d'une manière catalytique ou autre, de façon à réduire en substances relativement simples et sensiblement inodores et incolores les produits organiques les plus complexes et les plus odorants qui se dégagent pendant la cuisson, ces produits passant entre lesdites plaques à haute température sur leur trajet vers le conduit de sortie.
On a obtenu de bons résultats avec une série de plaques de ce genre, mais on constate qu'on peut obtenir des résultats extrêmement avantageux d'une ma nière plus simple en disposant une seule pla que horizontale, de préférence à surface de dessous légèrement concave, juste au-dessus de l'entrée du conduit de sortie, de façon qu'elle soit frappée par les radiations de la source de chaleur et soit ainsi portée à une température élevée et qu'elle réfléchisse aussi une partie de l'énergie qu'elle reçoit, sous forme de radiations de grande longueur d'onde.
Cette plaque est de préférence en nickel ou autre métal capable de résister à la température élevée à laquelle elle est expo- sée, et sa position est telle que les gaz ou vapeurs qui s'échappent, dans leur trajet vers le conduit de sortie, entrent en contact avec elle.
A cette plaque est de préférence asso ciée une feuille très mince et flexible de clin quant, par exemple une pellicule d'aluminium de l'ordre de 0,012 mm d'épaisseur, ou d'une autre matière de faible capacité d'absorption de chaleur, disposée de façon à faire saillie au delà des bords de plaque fumivore. et à re poser librement entre les parois intérieure et extérieure de l'enveloppe dans le conduit de sortie.
Cette feuille mince se comporte jusqu'à un certain point à la façon d'un cla pet dont les bords non supportés tombent normalement, de façon à obturer sensible ment le conduit de sortie, mais s'élèvent aisé ment sous l'influence d'une pression inté rieure susceptible de s'établir dans la cham bre de cuisson, de façon à découvrir le con duit.
De plus., au lieu de constituer le couvercle ou calotte de la daubière par une seule épais seur de matière, on peut la constituer par une double paroi formant une chambre annulaire dans laquelle on peut placer de l'eau avant l'opération de cuisson.
Avec un tel couvercle, il n'est pas nécessaire d'utiliser de plaque- chicane intérieure, puisque l'eau et la vapeur qui s'en dégagent protègent les matières à cuire contre une chaleur radiante exagérée au commencement de l'opération.
A mesure que l'eau s'échauffe et se vaporise, la vapeur des cend par des trous convenables à l'intérieur de la daubière -et, en s'y condensant, forme des gouttes d'eau chaude qui tombent en pluie sur la matière en cours de cuisson et l'échauffe graduellement avant que le fond de la daubière ait atteint la température de cuisson.
Pour assurer une élimination de l'air de l'intérieur de l'enveloppe, plus rapide que celle qui résulterait uniquement des effets de température, on peut relier un ventilateur au conduit de sortie. tien entendu, un inter-. rupteur à commande thermostatique peut être utilisé dans le circuit qui fournit de l'é nergie à la bobine de chauffage, afin. d'assu rer le maintien de conditions de chauffage sensiblement constantes dans la chambre de cuisson.
En outre, pour conserver la chaleur qui s'échappe nécessairement par les parois du fourneau, on peut installer au sommet de celui-ci un ratelier de support dans lequel on peut placer des assiettes ou plats en vue de les chauffer ou de les sécher.
Cooking stove. This invention relates to a cooking stove which can be advantageously used for grilling, baking, roasting, frying, boiling, etc., this stove being of the kind in which the food to be cooked is arranged in a thermal insulated envelope. - ment which contains a cooking chamber and an incandescent radiant electric source disposed in said chamber and acting to emit a sufficient amount of radiant heat for cooking food.
When cooking food, it is desirable to eliminate odors and fumes which emerge, for example, during grilling, roasting or frying meats, or during the boiling of certain other foods. . For this purpose, the kitchen oven according to the present invention comprises, arranged inside the insulated casing, a smoke-eating device serving to eliminate fumes and odors and comprising a surface placed in a position such that it is. brought to a high temperature by the radiant energy source.
As the quantity of heat supplied will preferably be relatively small (which reduces the expense and allows the safe use of the ordinary lighting circuit of the houses without requiring special conductors) and since a part of the heat supplied is used for to eliminate odors, fumes, etc., it is advantageous to eliminate to practically the greatest possible extent an ordinary source of odors, fumes, etc., which usually occurs during the cooking of food, namely odors, fumes, etc.
which emerge from the scorched fat of meat during cooking; this is advantageously achieved by providing means for collecting the fat which separates during cooking under conditions such that there is no risk of being overheated or burnt and that it is in the case removed while it is still relatively cold, i.e. below the boiling point or the temperature of a smoking body, at a point below and outside the furnace, and that it is thus preserved , the odors or fumes produced being at the same time greatly reduced, independently of the saving made in the quantity of heat necessary to cook the food.
It has been found that for the best results, at least in certain cooking methods, for example in grilling meats, etc., a substantial part of the radiant energy supplied must be applied directly to the heat. food at a wavelength of the order, for example, of that corresponding to a dull cherry red heat, rather than supplying all the energy @i, using an incandescent source or small wave length;
for this purpose, means are preferably provided for converting a part of the radiant energy of the source into heat having approximately the wavelength which has just been indicated as desirable, the heat thus supplied having a penetrating effect much larger and ensuring faster cooking of the interior of the food than when all the heat is directed to the food at wavelengths closer to the in candescent state.
The electric source of radiant energy, advantageously constituted by an electric resistance device, is preferably established so as to emit energy of wavelengths at the. times short and long and to emit energy at different rates, at will, this device possibly comprising an insulating support made of refractory material on which several resistance coils are mounted.
The accompanying drawing shows, by way of example, an embodiment of the cooking stove which is the subject of the invention, this embodiment being of sufficient dimensions to cook, for example, the food required for four to six people while requiring only the usual light current at 110 volts and consuming only approximately 1000 to 1200 watts per hour.
The fi * 1 is a front view of this embodiment; Fig. 2 is an end view of the oven, the cover being shown fully open; Fig. 3 is a longitudinal vertical section; on a larger scale of the stove, with the lid closed and the pieces ready for broiling, roasting, baking, etc .; Fig. 4 is a vertical section taken by a plane substantially perpendicular to the section plane of FIG. 3;
Fig. 5 is a partial plan view showing the base of the stove (the cover removed), a food rack partially broken off to show a drip pan; Fig. 6 is a partial front view, showing the cover partially open to facilitate the toasting of the bread, ete., La, fri ture or the like; Fig. 7 is a fragmentary vertical section showing part of the base of the oven and one of the feet which support it:
Fig. 8 is an elevational view. one of the baffle plates constituting the fumivore; Fig. 9 is a section taken along line 9-9 of FIG. 8; Fig. 10 is a bottom view of an energy transformation plate.
In these figures, 1 designates the base of the furnace, 2 the cover. The base comprises an outer wall 3 and an inner wall 4, these two walls being preferably both made of sheet metal and kept spaced apart from each other by means of bolts and rivets (with the interposition of elements of spacing 5) which assemble them to form a permanent structure. A suitable isolating member, such as a sheet 6 of extremely polished aluminum, is interposed between the walls 3 and 4, the spacer elements 5 having a shape such that they simultaneously support this insulating member, at the same time. place of the thin aluminum plate or other polished metal constituting the isolating member,
we can foresee the application of other isolation devices; or a simple air gap can be used between walls 3 and 4 to provide the desired thermal insulation.
In its central part, the outer wall 3 is provided with an annular boss 7 which protrudes upwards, is open at its upper end and coincides with a similar annular bos sage 8 which protrudes upwards and forms part of the inner wall 4, the boss 8 also being open at its upper end and constituting an opening or passage crossing from top to bottom the entire thickness of the base, an opening the role of which will be indicated below.
The outer wall 3 is provided with a re peripheral edge 9 extending upwards and having on its upper edge an outer re edge 10 which is substantially horizontal and the end of which is bent towards the bans, at 11, for give a satisfactory appearance to the base.
The base is supported by feet 12 (Fig. 7) which are preferably each formed by a piece of sheet metal, each of these feet comprising a base or tab 13 of the tines to rest on an appropriate support S such as a top. table, for example. Each foot is also provided, at its upper part, with a substantially horizontal portion 14 intended to be placed under the rim 10 of the wall 3.
In addition, each foot is provided with a tongue or lug 15 which is placed below the main part of the pa king 3 and which can be attached to the latter, for example, by spot welding or by the using rivets. Thus established, this system of feet transfers only a very small quantity of heat from the base to the bases 13, so that the surface S on which the oven rests does not risk being damaged. As shown in fig. 5, this embodiment of the furnace has, in plan, substantially the shape of an ellipse, and the base is provided with four support legs arranged symmetrically.
The inner wall 4 of the base is provided with a vertical cylindrical part 16, which is provided with a beaded edge 17. This edge serves to support a drip pan 18. The latter is provided with an edge 19 which extends upwards and is provided with a bead through which the drip pan rests on the edge 17 and is supported with the minimum heat exchange between this member and the base.
The drip pan has a hollow conical shape rotating its concavity upwards and has at the top or lowest point of the cone an opening 20 from which extends downwards a grease drop pipe 21 which extends downwards. through the openings of the bosses 7 and 8 and, through the thickness at the center of the base, so as to transfer the fat liable to be collected by the conical wall to a point located outside the casing and, preferably, inside a container 22 which can be placed in the space provided below the outer wall 3 of the base.
Preferably: the drip pan 18 is made of aluminum or some other material having a specific heat such that, when grilling or roasting meat in the present oven, this member is not liable to become too hot. to burn or convert into smoke the fat which may accumulate therein during the cooking period.
The cover 2 comprises a substantially vertical cylindrical lateral part and a domed upper part. The cylindrical part is composed of two walls, one inner 23, the other outer 24, which may be of any suitable material, the outer wall 24 being, for example, of stainless steel and the inner wall 23 of aluminum. polished and shiny, if preferred.
These two walls are kept spaced apart from each other by rivets or bolts, in the space separating said walls is placed a material ensuring thermal insulation, in the form of a thin sheet 26 of polished aluminum. ; or else, if preferred, this space can be left empty, the isolation effect being provided only by the air existing between the walls.
When the lid is closed and the drip pan 18 is in place, the lower edge 23a of the inner wall 23 of the lid rests on the perimeter of the drip pan, just below. the interior of its bead 19, providing a leak-proof seal between the base and the cover. The space between the walls 23 and 24 is closed, near its lower end, by a closing ring 24a, so as to prevent any circulation of air from the bottom up between the walls.
At their upper ends, the walls 23 and 24 are permanently attached by a closure ring 27 which can. be fixed to the respective walls by welding or by means of press joints, rivets, etc., the ring 27 being provided with an internal rim 28 which supports a marginal part 29 of an internal wall 30 of the dome; the parts 28 and 29 are fixed to each other by welding, using rivets or any other suitable manner. The inner wall 30 of the dome has in cross section a substantially parabolic shape, as can be seen more particularly in FIG. 4. The dome also includes an intermediate wall 31.
(which may be a thin sheet of polished aluminum for the purpose of isolation) and an outer wall 32, the wall 31 being provided with a substantially horizontal outer edge 33 whose periphery engages with a bead 34 provided on the periphery of a re marginal edge 35 of the wall 32. The ring 27 is fixed to the rim 33 using bolts or rivets 36 (with the interposition of spacers 37) and between these two members a vertically narrow exhaust slot 38 is provided which extends peripherally around the cover, substantially at the junction of the dome with the side walls, and which communicates freely with the space formed between the walls 30 and 31.
The vertical height of this exhaust slot 38 may be of the order of 6 znm for example. The outer wall 32 of the dome can be fixed to the rim 33 by welding or by means of rivets or any other suitable manner, the main parts of the various walls 31), 31 and 32 being spaced from each other so as to ensure isolation by air. If desired, one can interpose in the space 40, formed between the walls 31 and 32, an additional insulating material 41, for example in the form of polished aluminum foil, "rock wool" or a similar subject.
The parabolic inner wall 30 is preferably made of polished aluminum and has at its top an elongated opening 42 intended to receive a smoke-eating device 43 serving to burn or destroy the fumes or odors which emerge during cooking. As shown, this device is composed of a series of thin metal plates 44 (fig. 8 and 9) which are arranged vertically, spaced apart and parallel, these plates preferably being made of aluminum or any other metal which does not fade and which does not melt at the temperatures to which it is exposed, and each having a flange 45 on its upper edge.
Preferably, this rim is re-curved parabolically, so as to substantially follow the contour of the wall 30, and the plates are kept spaced apart from each other by a bolt 48 and intermediate spacers, so that, after mounting the device, the various rims 45 close the spaces separating the adjacent plates and collectively constitute a parabolic reflector, having a high reflectivity at the top of the "smoke-eating" device in the form of a grid.
The lower parts of the plates 44 protrude downwards through the opening 42, and the end plates are provided with flanges 49 by means of which the smoke-eating grid is fixed to the inner wall 30, these flanges forming a poor heat conduction medium.
Directly below the central part of the wall 30 is arranged a plate 50 (fig. 10) which is preferably made of monel metal or other copper-based alloy and which, after it has been initially exposed to the temperatures prevailing in the furnace while it is in operation takes on a relatively dark color and thus acts to absorb the energy of small wavelengths and to emit that energy in the form of longer waves. The plate 50 has a central opening 51 which substantially coincides with the opening 42 of the wall 30, the plate 50 being fixed to the wall 30 by means of rivets or bolts, with the interposition of spacing elements,
so that the plate 50 is spaced from the internal surface of the wall 30 by a distance of the order of 3 mm, for example - Below the opening 51 and substantially at the focus of the parabolic curvature of the inner wall 30 is disposed a source 52 of radiant energy. As shown, this source comprises a tubular porcelain core 53 provided with peripheral helical ribs between which are formed two helical grooves in which are disposed electrical resistance coils 54.
The porcelain tube 53 carries at its opposite ends arms 55 by means of which it is permanently fixed to the inner wall 30. If desired, a split metal tube can be placed in the tube 53, for example in nickel, intended to constitute an additional source of energy of long wavelength.
The resistance device is set up to emit energy at different rates, according to the user's desire, and for this purpose comprises two or more independent coils whose terminal ends are connected (to using conductors not shown passing through the spaces between the walls of the cover) with terminals 56, 57, 58 mounted on an insulating support carried by the outer wall 24 of the cover, near the lower part of said cover, place where they are not exposed to excessive heat radiating from the furnace in use.
The three terminals 56, 57 and 58, the connections and the coils 54 may, for example, be arranged in such a way that low heat can be obtained by connecting the terminals 56 and 57 with a source of electric current; intermediate heat by connecting terminals 57 and 58 with said source; and high heat by connecting terminals 56 and 58. Of course, one could provide more or less than three degrees of heat, if desired.
The stove shown is intended for use with ordinary 110 volt current used for household lighting and to consume 1000 to 1200 watts. The stove can therefore be used by inserting a socket outlet plug into an ordinary socket outlet of a lighting installation without the need to provide special conductors and without risk of destroying the lamp. standard insulation used for lighting circuits.
The cover is hinged on the plinth, so that it is not possible to separate it entirely, using hinges 59 and 60 (fig. 5) placed at the back of the stove. with the axis of the hinge parallel to the major axis of the elliptical plinth.
In order to support the cover in the open position (fig. 2) without excessively tiring the hinges or without damaging the table or other support of the furnace, a support foot 61 (fig. 2 and 4) is provided which is preferably made of sheet metal and provided with a base 62 and a <B> U </B> bend 63 which contacts the cover and forms its immediate support.
The foot 61 has a substantially horizontal portion 64 terminated at the front by a <B> U </B> bend 65 which extends upwards and terminates in contact with the underside of the rim 10 of the base , this elbow being extended by an ear or tab 66 fixed to the base. If desired, the lid support leg can be attached to the plinth in a removable manner, for example by means of a knurled screw or the like, to facilitate the packaging of the furnace for use. of its expedition or storage.
This type of support leg avoids an excess of heat transfer by conduction from the base or cover to the base 62 of said leg and to the table or support of the furnace.
To allow the user to conveniently open or close the cover, it is provided with an operating handle 67, a part in the form of a shaft 68 (fig. 2) rotates in a normally horizontal bearing constituted in a lateral portion 69 of a support arm <B> 70 </B> fixed to one end of the cover, just below the terminals 56, 57 and 58. The shaft 68 carries a stay 71 which is directed downwards and, in normal times, substantially vertical, as shown in fig. 3.
However, when it is desired to keep the cover in a partially open position, as in fig. 6, the handle can be rotated around the axis of its shaft 68, which does. pivot inwards the lower end of its prop 71 until it can come to rest in a small opening or depression 71a (fig. 5) made in the rim 10 of the base. When the parts occupy this position, the lid is kept partially open, so that kitchen utensils can be inserted below it.
When it comes to grilling, roasting or a similar operation, it is preferable to place above the drip pan 18 a support grid 72 provided with transverse bars 73 and feet 74 resting on the upper surface of the pan. the drip pan.
When it is desired to use the stove for boiling, for example for the preparation of a casserole dish, the grid 72 and the drip pan 18 are removed, as shown in FIG. 4, and a basin or daub 75 is placed intended to rest on the spaced supports <I> 5a </I> which rise from the upper surface through the base 4. The basin 75 is provided with a cylindrical wall 76 which is terminated by a bead 77 and. is for view of a cap-shaped cover comprising a substantially vertical lower wall portion 78 and a curved upper wall portion 79.
At its upper part, this cover is pierced with holes 80 below which is arranged a plate 81 forming a thermal baffle which is spaced from the inner surface of the cap to which it is fixed by rivets or similar members and interposed spacers. The basin 75 contains a support 82 intended to hold one or more wire baskets in which vegetables or other products to be cooked can be placed, the support 82 being provided with feet, so that the products do not actually enter. in contact with the water in the basin during their cooking.
To use the stove for frying or toasting bread, etc., the cover is partially opened, as shown in fig. 6, and a frying pan 83 or a toaster or other container is slid below the lower front edge of said cover, so that its contents are exposed to the. radiant heat prevailing inside the cover while being easily observed by the person performing the operation.
To use the oven for wise roasting, grilling of meats, etc., the user first lifts the drip pan 18 and the grid 72 and, after having closed the lid, turns on the current and leaves the oven dry. 'heat up for a period of 5 minutes, for example. He then places the meat to be grilled on the grid 72, places the latter on the drip pan 18 and, at the. end of preheating, open the lid and insert the whole drip pan and grid with the meat resting on it, then close the lid.
The thermal energy which initially emanates from the incandescent source 52 is in the form of small wavelengths on the order of the wavelengths of light and much of this energy is reflected directly by the parabolic interior surface of wall 30, so that it is directed downwardly and more or less uniformly over the entire surface of the grid 72 and of the material resting thereon. However, part of this energy rises through the opening of the plate 50 and has the effect of bringing the smoke-eating grid 43 to a high temperature.
Another part of the radiant energy hits it. dark colored surface of the energy conversion plate 50 and is again emitted by this plate, but in the form of longer waves, for example corresponding to. a dull cherry red warmth. These long wavelength heat rays have been found to have a great penetrating effect on meat or other material being cooked, analogous to the effects of the rays emitted by a layer of hot charcoal.
so that the inside of the meat is quickly cooked at the same time as the sides are browned or browned by the intense radiations emanating from the shiny and reflective surface of the inner walls 30 and 23 made of a material which does not will not darken when exposed to high temperatures. This cooks much faster than usual, so chops, thick steaks or the like can be cooked in 7 or 8 minutes, while noticeably preserving all the juices and natural flavor.
When the meat is initially introduced into the hot stove, the fat immediately begins to fall into the drip pan 18, but since this drip pan is introduced in a cold state and, since it is made of aluminum, has a cha Their specificity is high, the fat is not likely to burn or convert to smoke and quickly passes out through the hole 20 and the pipe 21 to be collected in the receptacle 22, so that it is retained without having been scorched, at the same time as it is taken away from the high temperature zone, and there is no risk of burning and giving off greasy fumes or unpleasant odors.
The fat which remains in the fairy heated zone and which converts to smoke or a greasy vapor rises to the upper part of the domed portion of the cover and rises through the opening 51 into the spaces between the high temperature plates 44.
It has been found that these high temperature plates have the effect, perhaps due to a catalytic action, of entirely suppressing all odors or fumes (perhaps by breaking down into simpler elements the constituents of the fumes or substances giving formation of odors), so that any hot gaseous substances which may eventually escape through the plates 44 and through the outlet duct 38 are completely colorless and odorless and are not 'have no greasy or unpleasant effect, the only material which settles on a cold surface maintained near the outlet slit 38 being sensibly clear water.
Ordinarily, in cooking carried out at the high temperatures necessary for broiling, roasting, etc., various components of the food being cooked, such as albumins, fats, starches, etc., which are exuded in the form of juices or droplets or splashes tend to carbonize on contact with metal brought to a high temperature of the cooking appliance or utensils used for cooking and, since the material thus charred is substantially insoluble in solutions cleaning, it can usually only be removed by mechanical means (scraping, scraping, etc.) which are all slow,
fasti gods and harmful to metal parts. The stove described performs its own cleaning, by the use of a radiant heat of such intensity, and which is emitted and directed in such a way that it con sumes and dissipates or reduces to the form of a impalpable ash carbonized or other matter which may have settled on metal surfaces during cooking, which cleans any crevices in or between parts and leaves metal surfaces shiny, clean, perfectly sterile and odorless .
For this purpose, when the cooking operation is finished, the cover is opened for a sufficient time to remove the meat from the grill 72 and it is then closed again and the power is turned on again, for a further period of ten minutes for example, at the end of which, if we open the lid again, we see that the entire interior surface of the furnace, as well as the grate,
the drip pan and the utensils which may have been used during the cooking process or which may have been introduced for cleaning have been completely and perfectly cleaned and that no deposits of charred fatty substances remain or other matter which it would be necessary to remove by scaling or other similar operations. It can be seen that the interior metal surfaces are shiny and clean, odorless and ready to allow other cooking operations without it being necessary to submit them - additional cleaning.
For boiling, a small quantity of water (insufficient for the material to be cooked to enter into contact with it) is placed in the low sine 75 and the lid is closed. The heat radiating from the interior surfaces of the stove and acting on the cap rapidly heats the water in the basin and brings it to boiling temperature. The baskets containing the material to be cooked, having then been placed on grid 8? placed in this basin, the cover 79 is put in place.
The vapor generated inside this cover rapidly reaches a superheating temperature, although the pressure prevailing in this cover is never greater than atmospheric pressure, some of the water vapor escaping under it. form of leaks and passing below the basin where it helps to heat the water contained in this basin.
To prevent the upper surfaces of the materials from being undesirably burnished or burnt, the thermal baffle plate 81 has been provided, this plate being so arranged that the vapors which rise during boiling pass between it. and the inner surface of the cover 79 and thus contribute to some extent to. intercept the direct passage of heat rays.
By thus baking the material in an atmosphere of superheated water vapor at atmospheric pressure, it is found that the baking takes place very quickly, that the various substances during baking do not absorb the aromas or odors in each case. others, even though they are of very different natures and such that they usually emit distinct odors during cooking, besides the fact that the stove itself does not give off appreciable odors.
the substances which give rise to odors having apparently been decomposed and destroyed in their passage through the smoke-eating grid 43.
For fried foods, the stove is arranged as shown in FIG. 6 and the material to be cooked is introduced into a frying pan 83 or other container which slides below the lid, so that the contents of the pan are exposed to the radiant heat from the inside of the lid.
If fumes are released during this operation, these fumes rise in the upper dome of the cover and, when they come into contact with the smoke-eating grate 43, are broken down into invisible and odorless substances, which pass outside through the peripheral outlet slot 38 without causing any annoyance in the immediate vicinity of the furnace. However, during the frying operation which has just been described, the cook can observe the operation, so that when frying new foods or the like, he can easily determine the suitable cooking time. .
As mentioned above, the fumivore consists of a series of vertical-placed plates made of thin sheet metal and placed just above the heat source and at the entrance to the outlet duct, these plates being brought to a very high temperature and acting, in a catalytic or other manner, so as to reduce into relatively simple and substantially odorless and colorless substances the most complex and odorous organic products which are released during cooking, these products passing between said plates at high temperature on their way to the outlet duct.
Good results have been obtained with a series of plates of this kind, but it has been found that extremely advantageous results can be obtained in a simpler manner by arranging a single horizontal plate, preferably with a slightly concave undersurface. , just above the inlet of the outlet duct, so that it is struck by radiation from the heat source and is thus brought to a high temperature and that it also reflects part of the energy which 'it receives in the form of long wavelength radiation.
This plate is preferably made of nickel or other metal capable of withstanding the high temperature to which it is exposed, and its position is such that the gases or vapors which escape, in their path towards the outlet duct, enter. in contact with her.
To this plate is preferably associated a very thin and flexible foil, for example an aluminum foil of the order of 0.012 mm thick, or other material of low heat absorption capacity. , arranged so that it protrudes beyond the edges of the smoke-eating plate. and to rest freely between the inner and outer walls of the casing in the outlet duct.
This thin sheet behaves to a certain extent like a shutter, the unsupported edges of which fall normally, so as to substantially block the outlet duct, but easily rise under the influence of an internal pressure likely to be established in the cooking chamber, so as to uncover the duct.
In addition., Instead of constituting the cover or cap of the daubière by a single thickness of material, it can be constituted by a double wall forming an annular chamber in which water can be placed before the cooking operation. .
With such a cover, it is not necessary to use an interior baffle plate, since the water and steam released from it protect the materials to be cooked against excessive radiant heat at the start of the operation.
As the water heats up and vaporizes, the ash vapor through suitable holes inside the daubiere - and, on condensing there, forms hot drops of water which fall as rain on the water. material during cooking and gradually warms it up before the bottom of the daubière has reached cooking temperature.
To ensure removal of air from inside the casing, which is faster than that which would result solely from temperature effects, a fan can be connected to the outlet duct. of course, an inter-. Thermostatically controlled breaker can be used in the circuit that supplies energy to the heating coil, so. to ensure the maintenance of substantially constant heating conditions in the cooking chamber.
In addition, in order to conserve the heat which necessarily escapes through the walls of the furnace, a support rack can be installed at the top of the latter in which plates or dishes can be placed with a view to heating or drying them.