CH207698A - Fourneau de cuisine. - Google Patents

Fourneau de cuisine.

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CH207698A
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Ames Butler
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Ames Butler
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F24HEATING; RANGES; VENTILATING
    • F24CDOMESTIC STOVES OR RANGES ; DETAILS OF DOMESTIC STOVES OR RANGES, OF GENERAL APPLICATION
    • F24C14/00Stoves or ranges having self-cleaning provisions, e.g. continuous catalytic cleaning or electrostatic cleaning
    • F24C14/02Stoves or ranges having self-cleaning provisions, e.g. continuous catalytic cleaning or electrostatic cleaning pyrolytic type

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Description


  Fourneau de cuisine.    Cette invention a pour objet un fourneau  de cuisine qui peut être avantageusement uti  lisé pour griller, cuire au four, rôtir, frire,  faire bouillir, etc., ce fourneau étant du  genre dans lequel les aliments à cuire sont  disposés dans une enveloppe isolée     thermique-          ment    qui contient une chambre de cuisson et  une source électrique radiante     incandescente     disposée dans ladite chambre et agissant de  façon à émettre une quantité suffisante de  chaleur radiante pour la cuisson des aliments.  



       Pendant    la cuisson d'aliments, il est dé  sirable de supprimer des odeurs et     fumées     qui se dégagent par exemple au cours d'opé  rations de grillage, de rôtissage ou de friture  des viandes, ou au cours de l'ébullition de  certains autres aliments. Dans ce but, le four  neau de cuisine selon la présente     invention     comporte, disposé à l'intérieur de l'enveloppe  isolée, un dispositif fumivore servant à éli  miner les fumées et odeurs et comprenant  une surface placée dans une position telle  qu'elle est portée à une température élevée  par la source d'énergie radiante.

      Comme la quantité de chaleur fournie sera  de préférence relativement faible (ce qui di  minue la dépense et permet l'utilisation sûre  du circuit d'éclairage ordinaire des habita  tions sans exiger de conducteurs spéciaux) et  comme une partie de la chaleur fournie est       utilisé    pour éliminer les odeurs, fumées, etc.,  il est intéressant d'éliminer dans la mesure  pratiquement la plus grande possible une  source ordinaire d'odeurs, fumées, etc., qui  intervient habituellement pendant la cuisson  des aliments, savoir les     odeurs,    fumées, etc.

    qui se dégagent de la graisse roussie d'une  viande en cours de cuisson; cela est avanta  geusement réalisé en prévoyant des moyens  pour recueillir la graisse qui se sépare pen  dant la cuisson dans des conditions telles  qu'elle ne risque pas d'être surchauffée ou  brûlée et qu'elle soit au     contaire    évacuée  alors qu'elle est encore     relativement    froide,  c'est-à-dire au-dessous du     point    d'ébullition  ou de la température d'un corps fumant, en  un point situé au-dessous et à l'extérieur du  fourneau, et qu'elle soit ainsi conservée, les      odeurs ou fumées produites étant en même  temps grandement diminuées, indépendam  ment de l'économie réalisée dans la quantité  de chaleur nécessaire pour cuire l'aliment.  



  On a découvert que, en vue des meilleurs  résultats, au moins dans certains modes de  cuisson, par exemple dans le grillage des  viandes, etc., il faut qu'une partie importante  de     l'énergie-    rayonnante fournie soit appli  quée directement à l'aliment sous une lon  gueur d'onde de l'ordre, par exemple, de celle  correspondant à une chaleur au rouge cerise  terne, plutôt que de fournir toute l'énergie     @i,     l'aide d'une source incandescente ou de petite  longueur d'onde;

   dans ce but, on prévoit de  préférence des moyens pour convertir une  partie de l'énergie rayonnante de la source  en une chaleur ayant approximativement la  longueur d'onde qui vient d'être     indiquée     comme désirable, la chaleur ainsi fournie  ayant un effet de pénétration beaucoup plus  grand et assurant une cuisson plus rapide de  l'intérieur de l'aliment que lorsque toute la  chaleur est dirigée vers l'aliment sous des  longueurs d'onde plus voisines de l'état in  candescent.  



  La source électrique d'énergie radiante,  constituée avantageusement par un dispositif  à résistance     électrique,    est de préférence éta  blie de façon à émettre de l'énergie de lon  gueurs d'onde à la. fois courtes et longues et  à émettre de l'énergie     à,    des taux différents, à  volonté, ce     dispositif    pouvant comprendre un  support isolant en matière réfractaire sur le  quel sont montées plusieurs     bobines    de résis  tance.  



  Le dessin annexé     représente,    à titre  d'exemple, une forme d'exécution du fourneau  de cuisine faisant l'objet de l'invention,     cette     forme d'exécution étant de dimensions suffi  santes pour cuire, par exemple, les aliments  nécessaires pour quatre à six personnes tout  en n'exigeant que le courant de lumière ha  bituel à 110 volts et ne consommant que  1000 à 1200 watts     environ    par     heure.     



  La fi* 1 est une vue de face de cette  forme d'exécution;    La     fig.    2 est une vue en bout du four  neau, le couvercle étant représenté complète  ment ouvert;  La     fig.    3 est une coupe verticale longi  tudinale; à plus grande échelle du fourneau,  le- couvercle étant fermé et les pièces prêtes  pour le grillage, le rôtissage, la cuisson au  four,     etc.;     La     fig.    4     est    une coupe verticale faite  par un plan sensiblement perpendiculaire au  plan de coupe de la     fig.    3;

    La     fig.    5 est une vue en plan partielle  montrant le socle du fourneau (le couvercle  étant enlevé), une grille porte-aliments étant  partiellement brisée pour faire voir une  lèchefrite;  La     fig.    6 est une vue de face partielle,  montrant le couvercle partiellement ouvert  pour faciliter le grillage du pain,     ete.,    la, fri  ture ou une opération analogue;  La     fig.    7 est une coupe verticale fragmen  taire montrant une partie du socle du four  neau et un     des    pieds qui le supportent:

    La     fig.    8 est une vue en élévation. d'une  des plaques de     chicane    constituant le     fumi-          vore;     La     fig.    9 est une coupe par la ligne 9-9  de la     fig.    8;  La     fig.    10 est une vue de dessous d'une  plaque de     transformation    d'énergie.  



  Sur ces figures, 1 désigne le socle du  fourneau, 2 le couvercle. Le socle comprend  une paroi extérieure 3 et une paroi intérieure  4, ces deux parois étant de préférence toutes  deux en tôle et maintenues espacées l'une de  l'autre à     l'aide    de boulons et de rivets (avec  interposition d'éléments d'espacement 5) qui  les assemblent de façon à constituer une  structure     permanente.    Un     organe    d'isolement  approprié, tel qu'une feuille 6 en aluminium  extrêmement poli, est intercalé entre les pa  rois 3 et 4, les éléments d'espacement 5 ayant  une forme telle qu'ils supportent en même  temps cet organe isolant, Au lieu de la pla  que mince d'aluminium ou autre métal poli  constituant l'organe d'isolement,

   on peut pré  voir l'application d'autres organes d'isole  ment; ou bien on peut utiliser un simple in-           tervalle    d'air entre les parois 3 et 4 pour as  surer l'isolement thermique désiré.  



  Dans sa partie centrale, la paroi exté  rieure 3 est munie d'un bossage annulaire 7  qui fait saillie vers le haut, est ouvert à son  extrémité supérieure et coïncide avec un bos  sage annulaire analogue 8 qui fait saillie vers  le haut et fait partie de la paroi intérieure  4, le bossage 8 étant aussi ouvert à son extré  mité supérieure et constituant une ouverture  ou passage traversant de haut en bas l'épais  seur entière du socle, ouverture dont le rôle  sera indiqué plus loin.  



  La paroi extérieure 3 est munie d'un re  bord périphérique 9 s'étendant vers le haut  et présentant sur son bord supérieur un re  bord extérieur 10 qui est sensiblement hori  zontal et dont l'extrémité est coudée vers le       bans,    en 11, pour donner un     aspect    satisfai  sant au socle.  



  Le socle est supporté par des pieds 12       (fig.    7) qui     sont    de préférence constitués cha  cun par un     morceau    de tôle, chacun de ces  pieds comportant une embase ou patte 13 des  tinée à reposer sur un support approprié S  tel qu'un dessus de table, par exemple. Cha  que pied est en outre muni, à sa partie supé  rieure, d'une portion sensiblement horizon  tale 14 destinée à se placer sous le rebord 10  de la paroi 3.

   En outre, chaque pied est muni  d'une languette ou oreille 15 qui est placée  au-dessous de la partie principale de la pa  roi 3 et qui peut être fixée à cette dernière,  par exemple, par une soudure par points ou à  l'aide de rivets.     Ainsi    établi, ce système de  pieds ne transfère qu'une très faible quan  tité de chaleur du socle aux embases 13, de  sorte que la surface S sur laquelle le four  neau repose ne risque pas d'être endomma  gée. Comme représenté en     fig.    5, cette forme       d'exécution    du fourneau possède, en plan, sen  siblement la forme d'une ellipse, et le socle  est muni de quatre pieds de support disposés  symétriquement.  



  La paroi intérieure 4 du socle est munie  d'une partie cylindrique verticale 16, qui est  pourvue d'un bord à bourrelet 17. Ce bord  sert à supporter une lèchefrite 18. Celle-ci    est pourvue d'un bord 19 qui s'étend vers le  haut et est muni d'un bourrelet par l'intermé  diaire duquel la lèchefrite repose sur le bord  17 et est supportée avec le minimum d'échange  de chaleur entre cet organe et le socle.

   La  lèchefrite possède une forme conique creuse  tournant sa concavité vers le haut et     présente     au sommet ou point le plus bas du cône une       ouverture    20 de laquelle s'étend vers le bas  un tuyau de descente de graisse 21 qui s'é  tend vers le bas à travers les ouvertures des  bossages 7 et 8 et, à travers l'épaisseur en  tière du socle, de façon à transférer la graisse  susceptible d'être recueillie par la paroi co  nique en un point situé à l'extérieur de l'en  veloppe et, de préférence, à     l'intérieur    d'un  récipient 22 qui peut être placé dans l'espace  ménagé au-dessous de la paroi extérieure 3  du socle.

   De     préférence.:    la lèchefrite 18 est  faite d'aluminium ou de     quelque    autre ma  tière ayant une chaleur spécifique telle que,       lorsqu'on    grille ou rôtit de la viande dans le  présent fourneau, cet organe ne risque pas de  s'échauffer au point de brûler ou convertir en  fumée la graisse     susceptible    de s'y accumu  ler pendant la période de cuisson.  



  Le couvercle 2     comprend    une     partie    laté  rale cylindrique sensiblement verticale et une  partie supérieure en forme de dôme. La par  tie cylindrique est composée de deux parois,  l'une     intérieure    23, l'autre extérieure 24, qui  peuvent être en toute matière appropriée, la  paroi extérieure 24 étant, par exemple, en  acier     inoxydable    et     la,    paroi intérieure 23 en  aluminium poli et brillant, si on le préfère.

    Ces deux parois sont maintenues espacées  l'une de l'autre par des rivets ou boulons,  dans l'espace séparant lesdites parois est dis  posée une matière assurant l'isolement ther  mique, sous forme d'une mince feuille 26  d'aluminium poli; ou bien, si on le préfère,  cet espace peut être laissé vide, l'effet d'iso  lement n'étant assuré que par l'air existant  entre les parois.  



  Lorsque le couvercle .est fermé et que la  lèchefrite 18 est -en     place,    le bord inférieur  23a de la paroi intérieure 23 du couvercle  repose sur le pourtour de la lèchefrite, juste      à. l'intérieur de .son bourrelet 19, assurant un  joint à l'épreuve des fuites entre le socle et  le couvercle. L'espace entre les parois 23 et  et 24 est fermé, près de son extrémité infé  rieure, par un anneau de fermeture 24a, de  façon à empêcher toute circulation d'air de  bas en haut entre les parois.

   A leurs extré  mités supérieures, les parois 23 et 24 sont as  semblées d'une manière permanente par un  anneau de fermeture 27 qui peut. être fixé  aux parois respectives par soudure ou à l'aide  de joints pressés, de rivets, etc., l'anneau 27  étant muni d'un rebord interne 28 qui sup  porte une partie marginale 29 d'une paroi  intérieure 30 du dôme; les pièces 28 et 29  sont fixées l'une à l'autre par soudure, à  l'aide de rivets ou de toute autre manière  convenable. La paroi intérieure 30 du dôme  possède en section transversale une forme  sensiblement parabolique, comme on le voit  plus particulièrement sur la     fig.    4. Le dôme  comprend aussi une paroi intermédiaire 31.

    (qui peut être une mince feuille d'aluminium  poli en vue de l'isolement) et une paroi exté  rieure 32, la paroi 31 étant munie d'un re  bord extérieur sensiblement horizontal 33  dont la périphérie entre en prise avec un  bourrelet 34 prévu sur le pourtour d'un re  bord marginal 35 de la paroi 32. L'anneau  27 est fixé au rebord 33 à l'aide de boulons  ou de rivets 36 (avec interposition d'éléments  d'espacement 37) et entre ces deux organes  est ménagée une fente d'échappement 38 ver  ticalement étroite qui s'étend     périphérique-          ment    autour du couvercle, sensiblement à la  jonction du dôme avec les parois latérales,  et qui communique librement avec l'espace  ménagé entre les parois 30 et 31.

   La hauteur  verticale de cette fente d'échappement 38  peut être de l'ordre de 6     znm    par exemple.  La paroi extérieure 32 du dôme peut être  fixée au rebord 33 par soudure ou à l'aide  de rivets ou de tout autre manière appropriée,  les parties principales des diverses parois 3l),  31 et 32 étant espacées les unes des autres  de façon à assurer un isolement par l'air. Si  on le désire, on peut interposer dans l'espace  40, ménagé entre les parois 31 et 32, une ma-    fière isolante supplémentaire 41, par exem  ple sous forme de clinquant d'aluminium  poli, de "rock     wool"    ou d'une matière ana  logue.  



  La paroi intérieure parabolique 30 est de  préférence en aluminium poli et présente à  son sommet une ouverture allongée 42 desti  née à recevoir un dispositif fumivore 43 ser  vant à brûler ou détruire les fumées ou  odeurs qui se dégagent pendant la cuisson.  Comme représenté, ce dispositif est composé  d'une série de minces plaques métalliques 44       (fig.    8 et 9) qui sont disposées verticalement,  espacées et parallèles, ces plaques étant de  préférence en aluminium ou tout autre mé  tal qui ne se décolore pas et qui ne fond pas  aux températures auxquelles il est exposé, et  présentant chacune un rebord 45 sur son bord  supérieur.

   De préférence, ce rebord est re  courbé paraboliquement, de façon à suivre  sensiblement le contour de la paroi 30, et les  plaques sont maintenues espacées les unes des  autres par un boulon 48 et des éléments d'es  pacement intermédiaires, de sorte que, après  montage du dispositif, les divers rebords 45  obturent les espaces séparant les plaques ad  jacentes et constituent collectivement un ré  flecteur parabolique, ayant un pouvoir réflé  chissant élevé au sommet du dispositif     "fu-          mivore"    en forme de grille.

   Les parties infé  rieures des plaques 44 font saillie vers le  bas à travers l'ouverture 42, et les plaques  extrêmes sont pourvues de     rebords    49 à l'aide  desquels la grille fumivore est fixée à de  meure à la paroi intérieure 30,     ces    rebords  formant un moyen de conduction de chaleur  médiocre.  



  Juste au-dessous de la partie centrale de  la paroi 30 est disposée une plaque 50       (fig.    10) qui est de préférence en métal     monel     ou autre alliage à base de cuivre et qui, après  qu'elle a été initialement exposée aux tempé  ratures régnant dans le fourneau pendant  qu'il fonctionne, prend une couleur relative  ment foncée et agit ainsi de façon à absorber  l'énergie de petites longueurs d'onde et à  émettre cette énergie sous forme     d'ondes    plus       longues.    La plaque 50 présente une ouverture      centrale 51 qui coïncide sensiblement avec  l'ouverture 42 de la paroi 30, la plaque 50  étant fixée à la paroi 30 à l'aide de rivets ou  boulons, avec interposition d'éléments d'espa  cement,

   de sorte que la plaque 50     est.espacée     de la surface     interne    de la paroi 30 d'une dis  tance de l'ordre de 3 mm par     exemple.-          Au-dessous    de l'ouverture 51 et sensible  ment au foyer de la courbure parabolique de  la paroi intérieure 30 est disposée une source  52 d'énergie radiante. Comme représenté,  cette source comprend une âme tubulaire en       porcelaine    53 munie de nervures hélicoïdales  périphériques entre lesquelles sont constituées  deux rainures hélicoïdales dans lesquelles  sont disposées des bobines de     résistance    élec  trique 54.

   Le     tube    de     porcelaine    53 porte à  ses extrémités opposées des bras 55 à l'aide  desquels il est fixé à demeure à la paroi in  térieure 30. Si on le désire, on peut disposer  dans le tube 53 un tube métallique fendu, par  exemple en     nickel,        destiné    à constituer une       source    supplémentaire d'énergie de grande  longueur d'onde.  



  Le dispositif à résistance est établi de fa  çon à émettre de l'énergie à des taux diffé  rents, selon le désir de l'usager, et comprend  à cet effet deux ou plus de deux bobines indé  pendantes     dont    les extrémités     terminales    sont  connectées (à l'aide de conducteurs non re  présentés passant dans les     espaces    qui sépa  rent les parois du couvercle) avec des bornes  56, 57, 58 montées sur un support isolant  porté par la paroi extérieure 24 du couvercle,  près de la partie     inférieure    dudit couvercle,  endroit où elles ne sont pas exposée à une  chaleur exagérée rayonnant du fourneau en  service.

   Les trois bornes 56, 57 et 58, les con  nexions et les bobines 54 peuvent, par exem  ple, être disposées de telle manière qu'on  puisse obtenir une chaleur faible en connec  tant les bornes 56 et 57 avec une source de  courant électrique; une chaleur intermédiaire  en connectant les bornes 57 et 58 avec ladite  source; et une chaleur     élevée    en     connectant    les  bornes 56 et 58, Bien entendu, on pourrait  prévoir un     nombre    de degrés     -de    chauffage  supérieur ou     inférieur    à trois, si on le désire.

           te    fourneau     représenté    est     destiné    â être  utilisé avec le courant ordinaire à 110 volts  servant à l'éclairage des habitations et de fa  çon à consommer de 1000 à 1200 watts. On  peut par suite utiliser le fourneau en insé  rant un bouchon de prise de courant dans une  douille de prise de courant ordinaire     d'une     installation d'éclairage sans qu'il soit néces  saire de prévoir des conducteurs spéciaux et  sans risque de destruction de l'isolement or  dinaire utilisé pour les circuits d'éclairage.  



  Le couvercle est monté à charnière sur  le socle, de telle façon qu'il ne soit pas pos  sible de l'en séparer entièrement, à l'aide de  charnières 59 et 60     (fig.    5)     disposées    à l'ar  rière du fourneau avec l'axe de la charnière  parallèle à l'axe majeur du socle elliptique.

    Pour supporter le couvercle dans la position  d'ouverture     (fig.    2) sans fatiguer exagéré  ment les charnières ou sans détériorer la ta  ble ou autre support du fourneau, il est prévu  un pied de support 61     (fig.    2 et 4) qui est  de préférence fait de métal en     feuille    et est  muni     d'une    embase 62 et d'un coude en<B>U</B> 63  qui entre en contact avec le couvercle et en  constitue le support immédiat.

   Le pied 61  présente une partie sensiblement horizontale  64 terminée à l'avant par un coude en<B>U</B> 65  qui     s'étend    vers le haut et se     termine    au con  tact de la face de dessous du rebord 10 du  socle,     ce    coude étant prolongé par une oreille  ou patte 66     fixée    au socle. Si on le désire,  on peut fixer le pied     porte-couvercle    au socle,  de, façon amovible, par exemple à l'aide d'une  vis à tête moletée ou d'un élément analogue,  pour     faciliter    l'empaquetage du fourneau en  vue de son expédition ou de son emmagasi  nage.

   Ce type de pied de support évite un  excès de transfert de chaleur par     conduction     du socle ou couvercle à l'embase 62 dudit  pied et à la table ou support du fourneau.  



  Pour     permettre    à l'usager d'ouvrir ou fer  mer commodément le couvercle, celui-ci est  muni d'une poignée de     manoeuvre    67 dont  une partie en forme d'arbre 68     (fig.    2) tourne  dans un palier normalement horizontal cons  titué dans une portion latérale 69 d'un bras  de support<B>70</B>     fixé    à     l'une    des extrémités du      couvercle, juste au-dessous des bornes 56, 57  et 58. L'arbre 68 porte un étai 71 qui est di  rigé vers le bas et, en temps normal, sensi  blement vertical, comme indiqué sur la     fig.    3.

    Toutefois, lorsqu'on désire maintenir le cou  vercle dans une position d'ouverture partielle,  comme sur la     fig.    6, on peut faire tourner la  poignée autour de l'axe de son arbre 68, ce  qui fait. pivoter vers l'intérieur l'extrémité in  férieure de son étai 71 jusqu'à ce qu'elle  puisse venir reposer dans une petite ouver  ture ou dépression 71a     (fig.    5) ménagée dans  le rebord 10 du socle. Lorsque les pièces occu  pent cette position, le couvercle est maintenu  partiellement ouvert, de sorte que des usten  siles de cuisine peuvent être insérés     au-          dessous    de lui.  



  Lorsqu'il s'agit de griller, rôtir ou d'une  opération analogue, il est préférable de placer  au-dessus de la lèchefrite 18 une grille de  support 72 munie de barreaux transversaux  73 et de pieds 74 reposant sur la surface su  périeure de la lèchefrite.  



  Lorsqu'on désire utiliser le fourneau pour  une ébullition, par exemple en vue de la pré  paration d'un mets en daube, on     enlève    la  grille 72 et la lèchefrite 18, comme représenté  sur la     fig.    4, et on dispose une bassine ou       daubière    75 destinée à reposer sur les sup  ports espacés<I>5a</I> qui s'élèvent de la surface  supérieure à travers le socle 4. La bassine  75 est munie d'une paroi cylindrique 76 qui  est terminée par un bourrelet 77 et. est pour  vue d'un couvercle en forme de calotte com  prenant une portion de paroi inférieure sen  siblement verticale 78 et une portion de paroi  supérieure courbe 79.

   A sa partie supérieure,  ce couvercle est percé de trous 80 au-dessous  desquels est disposée une plaque 81 formant  chicane thermique qui est espacée de la sur  face intérieure de la calotte à laquelle elle  est fixée par des rivets ou des organes ana  logues et des éléments     d'espacement    interpo  sés. La bassine 7 5 contient un support 82  destiné à maintenir un ou plusieurs paniers  en fil métallique dans lesquels des légumes  ou autres produits à cuire peuvent être pla  cés, le support 82 étant pourvu de pieds, de    façon que les produits n'entrent réellement  pas en contact avec l'eau de la bassine au  cours de leur cuisson.  



  Pour utiliser le fourneau pour la friture  ou le grillage du pain, etc., on ouvre partiel  lement le couvercle, comme représenté sur la       fig.    6, et on glisse au-dessous du bord avant  inférieur dudit couvercle une poêle à frire 83  ou un grille-pain ou autre récipient, de fa  çon que son contenu soit exposé à la. chaleur  rayonnante régnant à l'intérieur du couvercle  tout en pouvant facilement être observé par  la personne qui effectue l'opération.  



  Pour utiliser le fourneau en vue du rôtis  sage, du grillage de viandes, etc., l'usager en  lève d'abord la     lèchefrite    18 et la grille 72 et,  après avoir refermé le couvercle, met le cou  rant et laisse le fourneau s'échauffer pendant  une durée de 5 minutes, par exemple. Il place  alors la viande à griller sur la grille 72, place  celle-ci sur la lèchefrite 18 et, à la. fin du  préchauffage, ouvre le couvercle et introduit  l'ensemble de la lèchefrite et de la grille avec  la viande reposant sur celle-ci, puis referme  le couvercle.

   L'énergie thermique qui émane  initialement de la source incandescente 52 est  sous forme de petites longueurs d'onde de  l'ordre des longueurs d'onde de la lumière et  une grande partie de cette énergie est réfléchie  directement par la surface intérieure parabo  lique de la paroi 30, de sorte qu'elle est di  rigée vers le bas et à peu prés uniformément  sur toute la surface de la grille 72 et de la  matière reposant sur celle-ci. Toutefois, une  partie de cette énergie monte à travers l'ou  verture de la plaque 50 et a pour effet de  porter la grille fumivore 43 à une tempéra  ture élevée.

   Une autre partie de l'énergie  rayonnante vient frapper la. surface de cou  leur foncée de la plaque 50 de conversion  d'énergie et est de nouveau émise par cette  plaque, mais sous forme d'ondes plus longues,  par exemple correspondant à. une chaleur  rouge cerise terne. On a trouvé que ces  rayons calorifiques de grande longueur  d'onde ont un grand effet de pénétration sur  la viande ou autre matière en cours de cuis  son, analogue aux effets des     rayons    émis      par une .couche de charbon à bois incandes  cent,

   de     sorte    que l'intérieur de la viande est  rapidement cuit en même temps que les sur  faces sont     dorëes    ou rissolées par les radia  tions intenses émanant de la surface brillante  et réfléchissante des parois intérieures 30 et  23 faites d'une     matière    qui ne s'obscurcit pas  lorsqu'elle est exposée à des températures  élevées. La cuisson s'effectue ainsi beaucoup  plus rapidement que d'ordinaire, de     sorte     que des côtelettes, biftecks épais ou mets ana  logues peuvent être cuits en 7 ou 8 minutes,  tout en préservant sensiblement tous les jus  et la saveur naturelle.  



       Lorsqu'on    introduit initialement la viande  dans le fourneau chaud, la graisse commence  immédiatement à tomber dans la lèchefrite  18, mais comme cette lèchefrite est intro  duite à l'état froid et que, étant donné  qu'elle est en aluminium, possède une cha  leur spécifique élevée, la graisse ne risque  pas de brûler ou de se convertir en fumée  et passe rapidement à l'extérieur par le trou  20 et le tuyau 21 pour être recueillie dans  le     réceptable    22, de sorte qu'elle est conservée  sans avoir été roussie, en même temps qu'elle  est amenée à l'écart de la zone de tempéra  ture élevée, et elle ne risque plus de brûler  et de dégager des fumées graisseuses ou des  odeurs désagréables.  



  La graisse qui reste dans la zone chauf  fée et qui se convertit en fumée ou en une  vapeur graisseuse s'élève à la partie supé  rieure de la portion en forme de dôme du  couvercle et monte par     l'ouverture    51 dans les       espaces    ménagés entre les plaques à haute  température 44.

   On a constaté que ces plaques  à haute température ont pour effet, peut être  en raison d'une action catalytique, de suppri  mer entièrement toutes les odeurs ou fumées  (peut-être en décomposant en éléments plus  simples les constituants des fumées ou sub  stances donnant naissance à des odeurs), de  sorte que toutes les substances gazeuses  chaudes quelles qu'elles soient qui sont sus  ceptibles de s'échapper finalement en passant  entre les plaques 44 et par le conduit de  sortie 38 sont entièrement incolores et ino-    dores et n'ont pas d'effet graisseux ou au  tre effet désagréable, la seule matière qui se  dépose sur une surface froide     maintenue    près  de la fente de sortie 38 étant de l'eau sensi  blement limpide.  



  Ordinairement, dans la cuisson effectuée  aux températures élevées nécessaires pour le  grillage, le rôtissage, etc., divers composants  de l'aliment en cours de cuisson, tels que les  albumines, corps gras, amidons, etc., qui sont  exsudés sous forme de jus ou de gouttelettes  ou éclaboussures, tendent à se carboniser au  contact du métal porté à une température  élevée de l'appareil de cuisson ou des usten  siles utilisés pour la cuisson et, étant donné  que la matière ainsi     carbonisée    est sensible  ment insoluble dans les solutions de net  toyage     ordinaires,    on ne peut ordinairement  l'enlever que par des moyens mécaniques     (écu-          rage,    raclage, etc.) qui sont tous lents,

   fasti  dieux et nuisibles pour les pièces métalliques.  Le     fourneau    décrit effectue son propre net  toyage, par l'utilisation d'une chaleur rayon  nante dont l'intensité est telle, et qui est  émise et     dirigée    de telle manière qu'elle con  sume et dissipe ou réduit à la forme d'une  cendre impalpable les matières     carbonisées    ou  autres susceptibles de s'être déposées sur les  surfaces métalliques pendant la cuisson, ce  qui nettoie toutes les crevasses existant dans  ou entre les pièces et laisse les surfaces mé  talliques brillantes, propres, parfaitement  stériles et exemptes d'odeur.

   Dans     ce    but,  lorsque l'opération de cuisson est terminée,  on ouvre le couvercle un temps suffisant pour  enlever la viande de la grille 72 et on le re  ferme alors et remet le courant, pendant une  nouvelle période de dix     minutes    par exem  ple, à la fin de     laquelle,    si on ouvre de nou  veau le couvercle, on     constate    que la surface   intérieure entière du fourneau, de même que  la grille,

   la lèchefrite et les ustensiles qui  peuvent avoir été utilisés pendant l'opération  de cuisson ou qui peuvent avoir été introduits  en vue de leur nettoyage ont été     nettoyés     complètement et d'une manière parfaite et  qu'il ne reste pas de dépôts de corps gras  carbonisés ou d'autres matières qu'il serait      nécessaire d'enlever par     écurage    ou d'autres  opérations analogues. On constate que les sur  faces métalliques intérieures sont brillantes  et propres, inodores et prêtes à permettre  d'autres opérations de cuisson sans qu'il soit  nécessaire de les     soumettre        -,    un nettoyage  supplémentaire.  



  Pour l'ébullition, on place dans la bas  sine 75 une petite quantité d'eau (insuffi  sante pour que les matières à cuire entrent en       ccntact    avec elle) et on ferme le couvercle.  La chaleur rayonnant des     surfaces    intérieures  du fourneau et agissant sur la calotte chauffe  rapidement l'eau que contient la     bassine    et la  porte à la température d'ébullition. Les pa  niers contenant la matière à cuire, ayant  alors été placés sur la grille 8? disposée dans  cette     bassine,    on met le couvercle 79 en place.

    La. vapeur engendrée à l'intérieur de     ce        cou-          v        ercle    atteint rapidement une     température    de       surchauffage,    bien que la pression régnant  dans ce couvercle ne soit jamais supérieure à  la pression     atmosphérique,    une partie de la  vapeur d'eau s'échappant sous forme de  fuites et passant au-dessous de la bassine où  elle contribue à chauffer l'eau que contient  cette bassine.

   Pour     empêcher    les surfaces .su  périeures des     matières    d'être brunies ou  brûlées d'une manière indésirable, on a prévu  la plaque 81 formant chicane thermique,     cette     plaque étant disposée de telle manière que  les     vapeurs        qui    montent pendant l'ébullition  passent entre elle et la surface intérieure du  couvercle 79 et contribuent ainsi dans une  certaine mesure à. intercepter le passage di  rect des rayons calorifiques.  



  En cuisant ainsi la matière dans une at  mosphère de vapeur d'eau     surchauffée    à 1a  pression     atmosphérique,    on constate que la  cuisson s'effectue très     rapidement,    que les  diverses     substances    en cours de cuisson n'ab  sorbent pas les     aromes    ou odeurs les unes des  autres,     alois    même qu'elles seraient de na  tures très diverses et telles qu'elles     émettent     ordinairement     des    odeurs distinctes pendant  la cuisson, outre que le     fourneau        lui-même     ne dégage pas d'odeurs appréciables.

   les sub  stances qui donnent naissance à des odeurs    ayant apparemment été décomposées et dé  truites dans leur passage à travers la grille  fumivore 43.  



  Pour les fritures, on dispose le fourneau  de la façon     représentée    sur la     fig.    6 et on in  troduit la matière à, cuire dans une poêle à  frire 83 ou autre récipient qu'on     glisse        au-          dessous    du couvercle, de façon que le contenu  de la poêle soit exposé à la chaleur radiante  de l'intérieur du couvercle.

   S'il se dégage des  fumées pendant     cette    opération, ces fumées       montent    dans le dôme supérieur du couvercle  et, lorsqu'elles entrent en contact avec la  grille fumivore 43, sont décomposées en sub  stances invisibles et inodores, qui passent à  l'extérieur par la     fente    de sortie périphérique  38 sans occasionner aucun ennui au voisinage  immédiat du fourneau. Toutefois, pendant  l'opération de friture qui vient d'être décrite,       1 < o    cuisinier peut observer l'opération, de sorte  que, lorsqu'il fait frire des     neufs    ou mets ana  logues, il peut aisément déterminer le temps  de cuisson convenable.  



  Ainsi qu'on l'a dit plus haut, le fumivore  comprend une série de plaques verticales -es  pacées faites de métal en feuille mince et dis  posées juste     au-dessus    de la source de chaleur  et à l'entrée du conduit de sortie, ces plaques  étant portées à une température très élevée et  agissant, d'une     manière    catalytique ou autre,  de façon à réduire en substances relativement  simples et sensiblement inodores et incolores  les     produits    organiques les plus complexes et  les plus odorants qui se dégagent pendant la  cuisson,     ces    produits passant entre lesdites  plaques à haute     température    sur leur trajet  vers le conduit de sortie.

   On a obtenu de  bons résultats avec une série de plaques de ce  genre, mais on constate qu'on peut obtenir des  résultats extrêmement     avantageux    d'une ma  nière plus simple en disposant une seule pla  que horizontale, de préférence à surface de  dessous légèrement concave, juste au-dessus  de l'entrée du conduit de sortie, de façon  qu'elle soit frappée par les radiations de  la source de chaleur et soit ainsi     portée    à une       température    élevée et qu'elle réfléchisse aussi  une partie de l'énergie qu'elle reçoit, sous      forme de     radiations    de grande     longueur     d'onde.

       Cette    plaque est de préférence en  nickel ou autre métal capable de résister à  la     température    élevée à laquelle elle est     expo-          sée,    et sa position est telle que les gaz ou  vapeurs qui s'échappent, dans leur trajet vers  le conduit de sortie, entrent en contact avec  elle.

   A cette plaque est de préférence asso  ciée une feuille très     mince    et     flexible    de clin  quant, par exemple une pellicule d'aluminium  de l'ordre de 0,012 mm d'épaisseur, ou d'une  autre matière de faible capacité d'absorption  de chaleur, disposée de façon à faire saillie  au delà des bords de plaque fumivore. et à re  poser librement entre les parois intérieure  et extérieure de l'enveloppe dans le conduit  de sortie.

       Cette        feuille    mince se comporte  jusqu'à un     certain    point à la façon d'un cla  pet dont les bords non supportés tombent  normalement, de façon à obturer sensible  ment le conduit de sortie, mais s'élèvent aisé  ment sous l'influence d'une pression inté  rieure susceptible de s'établir dans la cham  bre de cuisson, de façon à découvrir le con  duit.  



  De plus., au lieu de     constituer    le couvercle  ou     calotte    de la     daubière    par     une    seule épais  seur de matière, on peut la constituer par une  double paroi formant une chambre annulaire  dans laquelle on peut placer de l'eau avant  l'opération de cuisson.

   Avec un     tel    couvercle,  il n'est pas     nécessaire    d'utiliser de     plaque-          chicane        intérieure,        puisque    l'eau et la vapeur  qui s'en dégagent protègent les matières à  cuire     contre    une chaleur radiante exagérée au       commencement    de l'opération.

   A mesure que  l'eau s'échauffe et se vaporise, la vapeur des  cend par des trous convenables à     l'intérieur     de la daubière -et, en s'y condensant, forme  des     gouttes    d'eau chaude qui tombent en  pluie sur la matière en cours de     cuisson    et  l'échauffe graduellement avant que le fond  de la daubière ait     atteint    la température de  cuisson.  



  Pour assurer une     élimination    de l'air de  l'intérieur de l'enveloppe, plus rapide que  celle     qui    résulterait uniquement des effets  de température, on peut relier un ventilateur         au    conduit de sortie. tien entendu, un     inter-.     rupteur à commande     thermostatique    peut  être     utilisé    dans le circuit qui fournit de l'é  nergie à la     bobine    de chauffage,     afin.    d'assu  rer le     maintien    de     conditions    de chauffage  sensiblement constantes dans la chambre de  cuisson.

   En outre, pour conserver la chaleur  qui s'échappe     nécessairement    par les parois  du fourneau, on peut installer au     sommet    de       celui-ci    un     ratelier    de support dans lequel on  peut placer des assiettes ou plats en vue de  les chauffer ou de les sécher.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Fourneau de cuisine du genre dans lequel les aliments à cuire sont disposés dans une enveloppe isolée thermiquement qui contient une chambre de cuisson et une source électri que d'énergie radiante incandescente disposée dans ladite chambre et agissant de façon à émettre une quantité suffisante de chaleur radiante pour la cuisson des aliments, ce four neau étant caractérisé par le fait qu'il com porte, disposé à l'intérieur de l'enveloppe,
    un dispositif "fumivore" servant à éliminer les fumées et odeurs et comprenant une surface placée dans une position telle qu'elle est por tée à une température élevée par la source d'énergie radiante. SOUS-REVENDICATIONS 1 Fourneau de cuisine selon la revendica- tion, caractérisé par le fait que l'enve loppe possède un conduit de sortie se ter minant par une fente verticalement étroite, ce conduit partant de la chambre de cuisson et par le fait que le fumivore est placé près de l'entrée de ce conduit.
    2 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et la sous-revendication 1, caractérisé par le fait que le fumivore comprend un élément métallique mince de faible capa cité d'absorption de chaleur. 3 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et la sous-revendication 1, caracté risé par le fait que le fumivore comprend une surface métallique qui possède un pouvoir réfléchissant élevé et qui est faite d'un métal qui ne se décolore pas et qui ne fond pas aux températures auxquelles il est exposé.
    4 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les @ous-revendications 1 et 3, ca ractérisé par le fait que le fumivore est composé d'une série de surfaces métalli ques espacées mais étroitement adjacentes qui sont chauffées à une température éle vée, ces surfaces étant disposées de telle sorte que la fumée et les produits odo rants de la cuisson passent entre elles.
    5 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 1, 3 et 4, caractérisé par le fait que les surfaces mé talliques sont disposées adjacentes à la source d'énergie radiante, des moyens étant disposés pour supporter ces plaqua en re lation de conduction de chaleur médiocre avec la surface intérieure de l'enveloppe, celle-ci présentant une ouverture pour le passage des gaz qui s'échappent des es paces séparant les plaques.
    6 Fourneau de cuisine selon la revendica- tion et les sous-revendications 1 et 3 à 5, caractérisé par le fait que la surface inté rieure de la chambre recevant les aliments est brillante et éminemment réfléchis sante et faite d'une matière qui ne s'obs curcit pas lorsqu'elle est exposée à des températures élevées.
    7 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 1 et 3 à 6, caractérisé par le fait que la source d'é nergie radiante est placée à proximité d'une plaque, une partie de l'énergie ve nant frapper la surface de cette plaque et étant de nouveau émise par cette plaque, mais sous forme de grande longueur d'onde et de grand pouvoir de pénétra tion, analogue à celle émise par une cou che de charbon de bois incandescent:
    . 8 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 1 et 3 à 7, caractérisé en ce que la construction et la disposition de la source d'énergie radiante sont telles que cette source émet une cha leur dont l'intensité convient pour la cuis son des aliments lorsqu'elle est excitée par le courant ordinaire d'éclairage des habi tations sous une tension de 110 volts.
    9 Fourneau de cuisine selon la revendica tion, caractérisé par le fait que la cham bre de cuisson renferme une source de chaleur capable d'émettre une chaleur assez intense pour consumer les dépôts or ganiques susceptibles de se former sur la surface intérieure du fourneau, de façon à permettre à celui-ci d'être nettoyé uni quement par l'effet de la chaleur ra diante. 10 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 1 et 3 à 5, caractérisé en ce que la paroi intérieure de la chambre de cuisson possède une courbure parabolique, la source d'énergie radiante étant située au foyer de cette courbure.
    11 Fourneau de cuisine selon la revendica tion, caractérisé par le fait qu'un réci pient amovible à aliments est susceptible d'être disposé à l'intérieur de la chambre de cuisson, un dispositif supportant ce ré cipient de telle manière que le transfert de chaleur par conduction dudit récipient aux autres parties du fourneau est réduit au minimum.
    12 Fourneau de cuisine selon la revendica tion, caractérisé par le fait qu'il com prend une lèchefrite amovible susceptible d'être disposée à la partie inférieure de la chambre de cuisson, cette lèchefrite étant faite d'un métal dont la chaleur spécifi que est telle qu'il empêche la combustion de la graisse qui tombe goutte à goutte dans la lèchefrite pendant le temps néces saire pour la cuisson, des moyens étant prévus pour supporter la lèchefrite, de fa çon à réduire au minimum la conduction de chaleur entre cet organe et d'autres parties du fourneau.
    13 Fourneau (je cuisine selon la revendica tion et la sous-revendication 12, caracté- risé par 1e fait que la lèchefrite est con vexe vers le bas et qu'un tuyau d'évacua tion de graisses part de sa partie infé rieure et passe à l'extérieur à travers une ouverture du socle. 14 Fourneau de cuisine selon la revendica tion, caractérisé par le fait que l'enve loppe comprend un socle et un couvercle en forme de dôme limitant la chambre de cuisson, un dispositif supportant le socle et l'isolant thermiquement de telle ma nière que le fourneau peut être placé sur une surface pendant qu'on l'utilise, sans risque d'abîmer cette surface.
    15 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et la sous-revendication 14, caracté risé par des moyens assurant un joint à l'épreuve des fuites entre le socle et .le couvercle. 16 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 14 et 15, caractérisé par le fait que le couvercle est composé de deux parois espacées. 17 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 14 à 16, ca ractérisé par le fait qu'une feuille métal lique mince réfléchissant la chaleur est disposée dans l'espace compris entre les parois intérieure et extérieure.
    18 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 14 à 17, caractérisé par le fait que l'espace com pris entre les parois intérieure et exté rieure est fermé en haut et en bas par un anneau empêchant toute circulation d'air de bas en haut entre les parois. 19 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 14 à 18, caractérisé par le fait que le couvercle est monté à charnière sur le socle et qu'il est prévu un support sur lequel ce couver cle peut reposer dans sa position de com plète ouverture.
    20 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 14 à 19, ca- ractérisé par un dispositif permettant de maintenir le couvercle dans une position d'ouverture partielle pour permettre l'in troduction d'un ustensile de cuisine au- dessous du couvercle, ce qui permet d'ef fectuer la cuisson à la vue de l'opérateur.
    21 Fourneau de cuisine selon la revendica tion, caractérisé par le fait que la cham bre de cuisson est susceptible de recevoir une daubière amovible présentant une bassine et un couvercle dont la partie supérieure est en relation de transfert de chaleur avec la source d'énergie radiante incandescente et dont la partie inférieure est directement adjacente ,à la bassine.
    22 Fourneau de cuisine selon la revendica- tion et la sous-revendication 21, caracté risé par le fait qu'une chicane est dispo sée dans la partie supérieure du couvercle de la daubière pour protéger l'aliment que contient la bassine contre un rayonnement trop intense de la source de chaleur.
    28 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 21 et 22, caractérisé par le fait que la chicane est disposée au-dessous d'une ouverture du couvercle de la daubière, laquelle ouver ture est située directement au-dessous de la source d'énergie radiante, de telle sorte que les vapeurs qui se dégagent de. la bas sine sont chauffées dans leur passage entre la chicane et le couvercle avant de s'échapper par l'ouverture du couvercle.
    24 Fourneau de cuisine selon la revendica tion et les sous-revendications 14 à 16, ca ractérisé par le fait que la paroi inté rieure de l'enveloppe présente à sa partie supérieure une ouverture constituant l'en trée d'un conduit de sortie aboutissant à l'extérieur de la paroi extérieure, et que la source d'énergie radiante incandescente est située directement au-dessous de cette entrée et que le fumivore est disposé dans le conduit. de sortie et près de ladite en trée.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE1052085B (de) * 1954-01-18 1959-03-05 Kurt Roensch Elektrisch beheiztes Back- und Bratgeraet

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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DE1052085B (de) * 1954-01-18 1959-03-05 Kurt Roensch Elektrisch beheiztes Back- und Bratgeraet

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