Procédé pour l'obtention de films positifs pour projection cinématographique en couleurs, et machine pour la mise en #uvre de ce procédé. La présente invention comprend un pro cédé pour l'obtention de films positifs pour projection cinématographique en couleurs, ainsi qu'une machine pour la mise en oeuvre de ce procédé.
On connaît déjà des films positifs com portant, pour chaque tableau, trois images monochromes de dimensions sensiblement égales au quart de la surface d'une image de film normal, de façon à pouvoir être fa cilement placées sur la pellicule, dans l'em placement d'une telle image, de sorte que les appareils de projection ordinaires peuvent utiliser de tels films sans modification de leur mécanisme d'entraînement et de lecture du son; seul l'équipage optique doit être adapté à cette fonction particulière.
On conçoit cependant que la projection d'un -tel film sur un écran nécessite un fac teur d'agrandissement en surface quatre fois plus élevé que pour un film à images nor males; de sorte qu'il est absolument indis- pensable, si l'on désire sauvegarder la netteté de la projection, que le grain des images soit très petit.
Or, si l'industrie actuelle est en mesure de fabriquer des pellicules positives dont l'é mulsion est à grain très fin, il n'en est pas de même pour les pellicules négatives pan chromatiques très sensibles qu'on doit utili ser dans les appareils de prise de vues; le fait que les images négatives monochromes obtenues dans ces conditions ont un grain relativement grossier oblige à rejeter le pro cédé de tirage des films positifs par contact direct, puisqu'alors le grain se reproduirait à sa grandeur naturelle sur le positif même si l'émulsion de ce dernier était à grain fin..
Le procédé que comprend l'invention est caractérisé en ce qu'on produit au moins sur une pellicule négative des images de dimen sions normales, plus grandes que les images du film positif à réaliser, en ce qu'on tire ensuite les images ainsi formées sur une pel- licule positive par réduction, de manière à obtenir pour les images positives un grain plus fin que celui des images négatives.
Grâce à ce procédé, procédé, le grain grossier de l'émulsion négative est réduit dans les mêmes proportions que les images, de sorte qu'à la projection, le grain des images obtenues sur l'écran se trouve exactement le même que si les vues du film positif avaient les dimen sions normales.
La machine que comprend l'invention est caractérisée par deux chariots reliés par des biellettes disposées en pantographe; l'un de ces chariots est destiné à recevoir, dans un ou plusieurs couloirs, une ou plusieurs pelli cules négatives, tandis que l'autre chariot, ne comportant qu'un seul couloir, reçoit une pellicule positive. Cette machine comprend en outre un système optique et des mécanismes de translation des chariots et des pellicules, pour assurer son fonctionnement suivant un rythme approprié.
Les dessins annexés représentent, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine que comprend l'invention.
La fig. 1 montre une partie du film posi tif à obtenir; La fig. 2 montre un groupe de trois films négatifs à partir desquels on peut obtenir le film de la fig. 1; La fig. 3 montre deux films négatifs combinés utilisés dans une forme d'exécution spéciale du procédé que comprend l'invention; La fig. 4 est une vue en plan des organes principaux de ladite forme d'exécution de la machine, la paroi extérieure étant supposée enlevée; La fig. 5 est une vue en élévation de pro fil des mêmes organes;
La fig. 6 montre ces organes en élévation de face, suivant la ligne VI-VI de la fig. 5; La fig. 7 est une vue en élévation de face à plus grande échelle, suivant la ligne VII-VII de la fig. 5; La fig. 8 est une vue, à échelle réduite, d'un obturateur tournant; La fig. 9 montre schématiquement la dis- position d'un appareil de prise de vues né gatives;
Les fig. 10 et 11 montrent en élévation. et en plan un dispositif de correction que peut comprendre la machine dans les cas où les négatifs ont été pris au moyen d'un ap pareil tel que celui de la fig. 9.
La fig. 1 montre en 15 une pellicule po sitive de format normal dit "standard" avec en 16 des perforations latérales et en 17 une bande d'enregistrement du son.
Un tel film positif est bien connu et com prend comme le montre la fig. 1, pour cha que tableau à projeter, trois images mono chromes 18, 19 et 20, de surface sensible ment égale au quart de la surface occupée par une image de film normal en noir.
Sur le film de la fig. 1, les vues 18 et 19 sont juxtaposées et la vue 20 est placée au-dessous d'elles au milieu, mais la place de cette vue 20 pourrait aussi se trouver juste au-dessous de l'une ou l'autre des deux vues 18 et 19. Pour fixer les idées, on peut con venir que la vue 18 est relative à la couleur bleue, la vue 19 à la couleur verte et la vue 20 à la couleur rouge.
Suivant une forme d'exécution du procédé selon l'invention, le film positif 15 est ob tenu à partir d'un ou de plusieurs films néga tifs comportant des images de dimensions normales.
La fig. 2 montre à cet effet un groupe ment de trois pellicules négatives 21, 22, 23 qui ont été impressionnées simultanément ou à de courts intervalles, la pellicule 21 par les rayons bleus, la pellicule 22 par les rou ges et la pellicule 23 par les verts.
La fig. 3 montre comment on pourrait obtenir ce même groupement au moyen de deux pellicules seulement 24 et 25; il y au rait alors lieu d'employer un appareil de prise de vues qui puisse enregistrer sur une même pellicule, 24 par exemple, des images dues aux rayons verts et aux rayons bleus. L'autre pellicule, 25, impressionnée par les rayons rouges, comprendrait entre les images consécutives des intervalles de même hau teur que celles-ci.
Les fig. 4 et suivantes se rapportent à une forme d'exécution de la machine que comprend l'invention, cette machine permet tant d'obtenir un film positif tel que 15, au moyen de trois pellicules négatives 21, 22 et 23.
Cette machine comprend un bâti 26 for mant chambre noire et comportant, convena blement guidés dans des glissières horizon tales 27 et 28 (fig. 5), deux chariots dont l'un, 29, possède trois couloirs verticaux pour le passage de pellicules négatives 21, 22, 23, tandis que l'autre chariot 30 ne comporte qu'un couloir vertical pour recevoir une pelli cule positive 15.
Les deux chariots 29 et 30 sont reliés par un système articulé, du genre pantographe, c'est-à-dire que le chariot 29 comprend, arti culées sur lui en 31, deux bielles 32 qui sont reliées à deux bielles 33 plus courtes articu lées de la même façon au chariot 30; cette liaison entre les bielles 32 et 33 est assurée par un ciseau 34 dont l'axe d'articulation 35 est fixé au bâti 26.
Grâce à cette disposition, on conçoit que lorsque le chariot 29 effectue des déplace ments dans la glissière 27, le chariot 30 se déplace en sens opposé dans la glissière 28 et avec une amplitude moindre.
Le rapport de réduction des mouvements du chariot 30 est égal au rapport entre la distance des axes des trois pellicules 21, 22 et 23 et la distance des axes des trois images 1.8, 20 et 19 du film positif 15.
Au voisinage des chariots 29 et 30, le bâti comporte des fenêtres 36 et 37 pour le passage des rayons lumineux au cours des opérations de tirage.
La partie optique de la machine com prend un objectif 38 dont on voit en 39 la vis de mise nu point. De plus, au delà du chariot 29 est disposée, à une distance con venable, une source lumineuse 40 et, entre cette source et le chariot 29, est interposé un disque tournant 41 (fig. 5, 6 et 8) qui com porte trois ouvertures 42 s'étendant chacune sur un angle de 45 avec des intervalles de même amplitude. La partie mécanique de la machine com prend des organes de déplacement périodique du chariot 29, des organes d'entraînement vertical des pellicules et des organes qui met tent en rotation le disque obturateur 41.
Les organes de mise en mouvement du chariot 29 comprennent un arbre moteur 43 entraîné par tout moteur convenable et sur lequel est calé un plateau 44 d'un mécanisme bien connu sous le nom de "Croix de Malte", c'est-à-dire comprenant un goujon 45 qui coopère à chaque tour avec une sorte de pi gnon d'engrenage 46 en forme de croix de Malte, de sorte qu'à la fin de chaque tour du plateau 44, la croix 46 effectue un quart de tour et ceci très rapidement, puis reste fixe pendant que le plateau 44 effectue le tour suivant.
La croix de Malte 46 entraîne un arbre 47 sur lequel est calé un plateau manivelle 48 sur le maneton 49 duquel est articulée une bielle 50 attachée, d'autre part, en 51, au chariot 29.
L'excentrement du maneton 49 est calculé pour qu'un quart de tour du plateau mani velle 48 produise un déplacement du chariot 29 égal à la distance séparant les deux axes de deux pellicules consécutives 21, 22 ou 23. D'après la position qui est représentée aux figures, l'axe de la pellicule centrale 22 se trouve sur l'axe optique général du système formé par la source 40, la fenêtre 36, l'objec tif 38 et la fenêtre 37. On conçoit que chaque tour du disque 44 produise -ainsi un déplacement élémentaire du chariot 29, ces déplacements étant séparés par des intervalles de temps pendant lesquels les pièces restent rigoureusement fixes.
Les organes qui assurent les mouvements des trois pellicules négatives 21, 22 et 23 sont commandés également par l'arbre mo teur 43 qui actionne à cet effet, par l'inter médiaire de pignons d'angle 52, un arbre 53 sur lequel sont calées quatre cames en coeur 54 logées chacune dans une cage rectangu laire 55 qui forme une griffe 56 susceptible de se mettre en prise dans les perforations qui encadrent les images des pellicules 21, 22 et 23.
Chacune des quatre griffes 56 est com plétée d'une contre-griffe 57 portée par le chariot 29 et dont le rôle est de maintenir la pellicule immobilisée pendant tout le temps où la griffe 56 n'est pas dans les per forations de ladite pellicule.
Un tel mode d'entraînement au moyen de griffes accompagnées de contre-griffes est d'ailleurs bien connu et, dans la machine re présentée, les contre-griffes 57 ont leurs aeil- lets d'extrémités passés sur une broche 58 parallèle aux glissières 27, de sorte que les contre-griffes 57 peuvent coulisser sur cette broche lorsque se déplace le chariot 29.
La broche 58 est portée par- des leviers 59 articulés sur des axes 60 du bâti. Ces leviers comportent des coulisseaux 61 enga gés dans des rainures excentrées qui sont for mées dans des disques 62 fixés sur l'arbre 53 des cames en coeur.
Il n'est pas utile d'insister sur le fonc tionnement des griffes et des contre-griffes qui viennent d'être décrites, car ce sont là des dispositions courantes dans la technique de constructions des appareils soit de prise de vues, soit de projection de films cinéma tographiques.
De même, des dispositions connues sont prévues pour qu'a certains moments, les grif fes 56 soient écartées du plan des pellicules 21, 22 et 23-de manière que leurs battements s'effectuent dans le vide et que les pellicules restent fixes.
A cet effet, le pied de chaque cage 55 est articulé à une broche commune 63 portée, par l'intermédiaire de biellettes 64, par deux le viers 65 articulés autour d'axes 66 du bâti.
Ces leviers comportent chacun un coulis- seau 67 engagé dans une rainure 68 d'un dis que 69 fixé sur un arbre 70 qui reçoit son mouvement, comme le montre la fig. 4, de l'arbre 53 par l'intermédiaire d'un engrenage réducteur 71.
La même disposition de griffes, contre- griffes et leviers d'effacement est reproduite pour le chariot 30, et à cet effet l'arbre 53 actionne, par l'intermédiaire de pignons d'an gle 72 et 78 et d'un arbre 92, un arbre 74 parallèle à l'arbre 53 et qui porte les cames en coeur de deux griffes 75 et le plateau à rainures excentrées 76 d'une contre-griffe 77.
Dans le même ordre d'idées que précé demment, les ,deux griffes 75 se terminent par deux queues 78 et 79 reliées séparément par une bielle 80 à deux leviers 81 et 82 arti culés autour d'un axe 83 du bâti.
Les levier 81 et 82 comportent deux cou- lisseaux 84 qui- s'engagent dans des rainures convenablement excentrées que comporte un plateau 85 calé sur l'arbre 70 décrit ci-dessus.
Les organes qui actionnent le disque ob turateur 41 consistent simplement en un pi gnon 86 (fig. 6) calé sur l'arbre 43 et en prise avec un second pignon 87 qui lui-même engrène avec une roue dentée 88 solidaire du disque 41. Ces engrenages sont calculés pour que le disque 41 tourne quatre fois moins vite que l'arbre 43; il tourne donc à la même vitesse moyenne que l'arbre 47 de la croix de Malte, mais son mouvement est continu alors que celui de l'arbre 47 est sac cadé.
Le fonctionnement de la machine qui vient d'être décrite est le suivant: En partant de la position montrée sur les figures, la pose d'une image de la pellicule 22 vient de s'effectuer et le mouvement des organes rotatifs se poursuivant dans le sens des flèches de la fig. 6, on voit que la croix de Malte 46, en tournant d'un quart de tour dans le sens des aiguilles d'une montre,. va repousser le chariot 29 de manière à amener l'axe de la pellicule 21 sur l'axe optique du système.
Par le jeu du pantographe 32, 33 et 34, l'emplacement 18 du film positif 15 se trouve lui :aussi placé sur cet axe optique et, immé diatement après ce déplacement, la croix de Malte 46 et les deux chariots 29 et 30 se trouvent donc immobilisés, mais par le jeu des cames en coeur calées sur l'arbre 74 tour nant continuellement, les griffes 75 font des cendre le film positif.
Pendant ce temps, les cames en coeur 54 font bien monter et descendre les griffes 56, mais l'axe de pivotement 63 de ces griffes a été repoussé en avant par la forme même de la rainure 68, de sorte que ces griffes battent dans le vide.
Après cette descente du film positif, les griffes 75 sont écartées par le jeu des leviers 81 et 82, et battent également dans le vide. ,lais pendant ce temps, le disque obturateur 41 a suffisamment tourné pour qu'une des ouvertures 42 se présente sur l'axe optique, de sorte que la pose photographique de l'i mage de la pellicule 21 a lieu. Ceci consti tue le premier temps de fonctionnement.
Au tour suivant de l'arbre moteur 43, la croix de Malte 46 fait ramener sur l'axe op- lique la pellicule 22, les griffes 56 et 75 sont toujours hors d'action et le disque obtura teur 41 ne présente qu'une partie pleine et ne permet aucune pose photographique. Ceci constitue le deuxième temps.
Au tour suivant de l'arbre 43, le chariot 29 est tiré au maximum vers la gauche de la fig. 6, de sorte que c'est la pellicule 23 qui se trouve sur l'axe optique en même temps que l'emplacement 19 du film posi tif 15.
Les griffes 56 et 75 sont toujours hors d'action mais le disque 41 amène bientôt une ouverture 42 sur l'axe optique, ce qui permet la pose de l'image de la pellicule 23.
Au temps suivant, le fonctionnement (quatrième temps) ramène le milieu du cha riot 29 et, par conséquent, celui du chariot 30 sur l'axe optique (fig. 4). Les griffes 56 et 75 sont mises simultanément en action et les quatre pellicules 21, 22, 23 et 15 descen dent de la hauteur correspondante à une image. Les griffes 56 et 75 s'écartent alors et la pose de l'image 22 sur l'emplacement 20 du film 15 a lieu.
Il est évident que tant que les griffes 56 et 75 sont hors d'action, les contre-griffes 57 et 77 sont engagées dans les perforations des diverses pellicules et maintiennent celles-ci dans une fixité absolue. Le mode de fonctionnement simple qui vient d'être décrit est applicable au cas où les vues des trois pellicules, 21, 22, 23 ont été prises dans les mêmes conditions. Ces trois vues peuvent avoir été prises au moyen d'un appareil de prise de vues tel que celui repré senté schématiquement en fig. 9.
Dans cet appareil, on voit que la pellicule 22 est im pressionnée au travers d'une glace sans,tain 90 inclinée à 45 et de même la pellicule 23 est impressionnée par des rayons qui, ayant été réfléchis sur la glace 90, traversent une autre glace 91 inclinée à 45 . Enfin, la pel licule 21 est impressionnée par des rayons qui, bien qu'ayant subi deux réflexions suc cessives, ne traversent aucune glace.
On sait que des rayons lumineux traver sant une glace à faces parallèles ne sont pas déviés de leur direction mais voient celle-ci se déporter parallèlement à elle-même, ainsi qu'on peut d'ailleurs s'en rendre compte en examinant attentivement la fig. 9.
Mais, comme le faisceau considéré est di vergent, les divers rayons de _ ce faisceau ne frappent pas cette glace avec la même inci dence; il s'ensuit que l'image obtenue au tra vers d'une glace se trouve quelque peu di latée.
Cette déformation est rigoureusement im perceptible à l'oeil, mais elle suffit pour em pêcher qu'on puisse superposer les images des pellicules 22 ou 23 avec les images de l'autre pellicule.
Pour permettre d'obtenir un film positif dont les trois images de chaque tableau sont exactement superposables, la machine qui vient d'être décrite comprend encore un com pensateur représenté aux fig. 10 et 11. A cet effet, sur l'arbre 47 de la croix de Malte 46 est calé un plateau 92 comportant une rainure 93 dans laquelle est engagé le cou- lisseau 94 d'une bielle 95 dont l'autre extré- mité est articulée en 96 .à un support 97, sus ceptible de pivoter autour d'un axe verti cal 98.
Le support 96 porte une glace à faces parallèles et de dimensions appropriées; ainsi, au moment du tirage de chaque image de la pellicule 21, la glace 99 se trouvera placée à 45 sur le trajet du faisceau lumineux, de sorte que les différences que présente l'image de la pellicule 21, par rapport à celles des autres pellicules, se trouvent compensées.
Pendant tout le reste du temps, par le jeu de la rainure 93, la glace 99 est écartée du faisceau des rayons lumineux qui traver sent l'objectif 38.
Cependant, cette interposition périodique de la glace 99 nécessite une rectification de la mise au point de l'objectif et, sur la fig. 11, on voit également qu'un deuxième plateau 100, semblable au plateau 92, agit de la même manière sur une bielle 101 qui, par l'intermédiaire d'une manivelle 102, fait tourner de la quantité exactement voulue la vis 39, ce qui rectifie la mise au point.
Bien entendu, le dispositif des fig. 10 et 11 n'est applicable que dans le cas où les pellicules négatives ont été impressionnées dans un appareil conforme à la fig. 9, mais en procédant d'une façon analogue à celle qui a conduit à la réalisation du dispositif des fig. 10 et 11, on peut sans aucune diffi culté adapter la machine au tirage des posi tifs au moyen des négatifs provenant de n'importe quel type d'appareil de prise de vues.
On conçoit d'ailleurs que si les vues ont été prises sur deux négatifs seulement, comme ceux de la fig. 3, il suffira de donner aux diverses rainures que comportent les plateaux de la machine, le profil voulu en modifiant au besoin le rapport de certains engrenages; on adaptera ainsi sans difficultés la machine au tirage des deux pellicules 24 et 25.
Et même si les images ne se trouvaient que sur une seule pellicule négative, on pour rait encore, en supprimant deux des trois couloirs du chariot 29, faire fonctionner la machine pour obtenir un positif du genre du film 15.