CA2717279A1

CA2717279A1 - Footwear with improved tightening on the upper

Info

Publication number: CA2717279A1
Application number: CA2717279A
Authority: CA
Inventors: Bruno Berthet; Thierry Donnadieu
Original assignee: Salomon SAS
Current assignee: Salomon SAS
Priority date: 2009-10-21
Filing date: 2010-10-08
Publication date: 2011-04-21
Also published as: CN102038323A; FR2951358B1; RU2010143011A; EP2314177A1; FR2951358A1; EP2314177B1; US20110088283A1

Abstract

Chaussure (1) comprenant une semelle (2), une tige (3), et un premier dispositif de serrage (30) pour serrer les parties latérale (15) et médiale (16), ainsi qu'un deuxième dispositif de serrage (50) pour serrer une partie arrière (17). Le deuxième dispositif de serrage (50) comprend un lien (51), le lien (51) comprenant une première portion inextensible (52) et un moyen élastique (53), la première portion inextensible (52) s'étendant le long de la partie arrière (17), ainsi que le long d'au moins l'une des parties latérale (15) et médiale (16), le moyen élastique (53) sollicitant la première portion inextensible (52) dans un sens de réduction de la longueur du lien (51), la chaussure (1) comprenant encore un moyen d'immobilisation réversible (54) pour immobiliser la portion inextensible (52) par rapport à la tige (3).Shoe (1) comprising a sole (2), an upper (3), and a first tightening device (30) for tightening the lateral (15) and medial (16) parts, as well as a second tightening device (50 ) to tighten a rear part (17). The second clamping device (50) comprises a link (51), the link (51) comprising a first inextensible portion (52) and an elastic means (53), the first inextensible portion (52) extending along the rear part (17), as well as along at least one of the lateral (15) and medial (16) parts, the elastic means (53) urging the first inextensible portion (52) in a direction of reduction of the length of the link (51), the shoe (1) further comprising a reversible immobilization means (54) for immobilizing the inextensible portion (52) relative to the rod (3).

Description

Chaussure à serrage de tige amélioré
L'invention se rapporte à une chaussure, notamment de sport, et concerne plus particulièrement une chaussure destinée à la pratique du ski, de la marche sportive, ou de l'athlétisme.
De telles chaussures peuvent être utilisées dans des domaines tels que le ski de fond ou de télémark, la marche ou la course à plat ou en montagne, l'alpinisme ou encore le surf sur neige, la raquette à neige, le patin à roues, la planche à roues, le cyclisme, un sport de balle, ou autre.
Une chaussure peut comprendre une tige basse ou une tige haute. La chaussure peut aussi être relativement souple ou au contraire plus rigide. Cependant il est dans tous les cas souhaitable que le pied d'un utilisateur soit suffisamment maintenu. En effet, un bon maintien du pied dans la tige permet une meilleure utilisation.
Par exemple avec une chaussure souple, telle qu'utilisée pour la pratique du ski de fond, un maintien suffisant facilite la transmission d'informations sensorielles ou le déroulement du 1.5 pied. Notamment au niveau du cou-de-pied, un dispositif de serrage de la tige est destiné à
maintenir le pied d'un utilisateur.
Traditionnellement un dispositif de serrage comprend, d'une part, un lien ou lacet et, d'autre part, des liaisons du lacet à la tige. Ces liaisons sont matérialisées par des passants, associés à des parties ou quartiers latéral et médial de la tige. Le lacet suit un chemin qui le mène alternativement d'un quartier à l'autre. Ainsi il suffit de tirer sur le lacet pour rapprocher les quartiers et serrer la tige. Ensuite, le blocage du lacet maintient le serrage.
Un problème devant être résolu par un bon dispositif de serrage est le maintien intégral du pied dans la chaussure. En d'autres termes il s'agit d'éviter des mouvements intempestifs du pied dans la chaussure, notamment au niveau du talon.
En effet, lorsque le pied bouge dans la tige, au niveau du talon ou ailleurs, la transmission d'informations sensorielles ou d'impulsions de conduite est moins précise. En conséquence les performances, notamment sportives, sont altérées.
De plus des mouvements répétés du pied dans la tige se traduisent par des frottements qui créent des traumatismes.
Afin d'améliorer la tenue du pied dans la tige, les dispositifs de serrage connus ont cherché
à accroître le rendement de serrage. C'est pourquoi notamment le glissement des lacets dans les passants est réduit, ce qui facilite sa mise en tension. La conséquence est un maintien plus fort du pied au niveau du cou-de-pied et/ou du métatarse. Cela signifie que le pied est sollicité
vers la semelle avec plus de force.
Cependant il est apparu que, malgré l'amélioration du rendement de serrage, le maintien du pied est parfois imparfait. C'est surtout au talon que l'on observe le plus de mouvements parasites du pied dans la tige. Une voie d'amélioration de la tenue du pied a donc consisté à
ajouter des moyens de serrage du talon. Improved Shank Shoe The invention relates to a shoe, especially a sport shoe, and relates more particularly a shoe intended for skiing, walking sporting, or athleticism.
Such shoes can be used in areas such as skiing background or telemark, walking or running flat or mountain, mountaineering or surfing on snow, snowshoe, rollerblading, wheeling, cycling, a ball sport, or other.
A shoe may include a low or high shaft. The shoe can also be relatively flexible or on the contrary more rigid. However he is in all cases desirable that the foot of a user is sufficiently maintained. Indeed, good support foot in the stem allows better use.
For example with a soft shoe, as used for the practice of the cross-country skiing, a sufficient support facilitates the transmission of sensory information or the unfolding 1.5 feet. Especially at the level of the instep, a device for tightening the rod is intended for maintain the foot of a user.
Traditionally, a clamping device comprises, on the one hand, a link or lace and, on the other hand, links of the lace to the stem. These links are materialized by passers-by, associated with lateral or medial portions or quarters of the stem. The lace follows a path that alternately leads from one neighborhood to another. So just pull on the lace to bring closer neighborhoods and shake the rod. Then, the lace lock maintains the Tightening.
A problem to be solved by a good clamping device is the full maintenance of foot in the shoe. In other words, it's about avoiding movements untimely foot in the shoe, especially at the heel.
Indeed, when the foot moves in the stem, in the heel or elsewhere, the transmission sensory information or driving impulses is less accurate. In result performances, especially sports, are altered.
In addition, repeated movements of the foot in the stem result in friction that create trauma.
In order to improve the holding of the foot in the rod, the clamping devices known have searched to increase the clamping performance. This is why the slip laces in the passers-by is reduced, which facilitates its setting in tension. The consequence is a longer hold strong foot at the instep and / or metatarsal. It means that the foot is solicited towards the sole with more force.
However, it appeared that, despite the improvement in clamping performance, the maintaining the foot is sometimes flawed. It is especially in the heel that we observe the most movements parasites of the foot in the stem. A way to improve foot-holding so consisted of add heel clamping means.

2 Par exemple, selon le document FR 2 499 834, il est connu d'enserrer le talon d'une chaussure avec un lien dont la tension est ajustée par l'utilisateur. Dans ce cas la chaussure comprend d'une part un dispositif de serrage comme évoqué avant et, d'autre part, des moyens de serrage du talon. Il est néanmoins encore apparu parfois un maintien imparfait du pied.
Il est également apparu qu'une chaussure selon l'art antérieur n'offre pas toujours un confort d'utilisation suffisant, ou bien qu'elle n'est pas facile à manipuler, notamment dans le sens de l'actionnement des dispositifs et des moyens de serrage.
Il est aussi apparu qu'il n'est pas toujours très commode de chausser ou de déchausser, c'est-à-dire d'entrer ou de sortir le pied de la chaussure.
C'est pourquoi l'un des buts de l'invention est l'amélioration de la tenue du pied dans la chaussure ou, en d'autres termes, la réduction, voire la suppression, des déplacements intempestifs du pied dans la chaussure.
Un autre but de l'invention est de rendre une chaussure plus confortable, ceci aussi bien en mode statique qu'en mode dynamique. Il est en effet intéressant d'avoir des sensations agréables aussi bien à l'arrêt que pendant des mouvements, tels que ceux générés lors de la pratique du ski de fond, de la marche, ou autre. Il est également intéressant de manipuler facilement les éléments qui activent ou désactivent le serrage de la tige.
Un autre but encore est l'amélioration du chaussage et/ou du déchaussage, dans le sens où il est souhaitable de faciliter le passage du pied pour entrer ou sortir de la tige.
Pour ce faire l'invention propose une chaussure comprenant une semelle et une tige, la chaussure s'étendant en longueur depuis une extrémité arrière jusqu'à une extrémité avant, en largeur entre une partie latérale et une partie médiale, et en hauteur depuis la semelle jusqu'à
une extrémité supérieure, la chaussure présentant une ouverture de chaussage, et comprenant un premier dispositif de serrage pour serrer les parties latérale et médiale, ainsi qu'un deuxième dispositif de serrage pour serrer une partie arrière.
La chaussure selon l'invention est caractérisée par le fait que le deuxième dispositif de serrage comprend un lien, le lien comprenant une première portion inextensible et un moyen élastique, la première portion inextensible s'étendant le long de la partie arrière, ainsi que le long d'au moins l'une des parties latérale et médiale, le moyen élastique sollicitant la première portion inextensible dans un sens de réduction de la longueur du lien, la chaussure comprenant encore un moyen d'immobilisation réversible pour immobiliser la portion inextensible par rapport à la tige.
Le deuxième dispositif de serrage est structuré pour serrer le talon du pied avant le serrage de la tige. Il s'agit en fait d'opérer un calage du talon préalablement à
l'action de serrage du premier dispositif. Le calage réduit, voire supprime, les jeux entre le talon du pied et la tige ou entre le talon du pied et le lien du deuxième dispositif de serrage. Il en résulte une limitation, voire une absence, de mouvements parasites du talon du pied dans la tige dès lors que le serrage est effectué. Un avantage qui en découle est une meilleure tenue du pied dans la tige, dans le sens où les mouvements intempestifs du pied par rapport à la tige sont fortement 2 For example, according to FR 2 499 834, it is known to grip the heel a shoe with a link whose tension is adjusted by the user. In this case the shoe comprises on the one hand a clamping device as mentioned before and on the other hand part, means Heel tightening. Nevertheless, it has sometimes appeared imperfect of the foot.
It has also been found that a shoe according to the prior art does not offer always a comfort of sufficient use, or that it is not easy to handle, especially in the sense of actuating devices and clamping means.
It has also become apparent that it is not always very convenient to wear or shoes off, that is to say, to enter or leave the foot of the shoe.
This is why one of the aims of the invention is the improvement of the behavior of the foot in the footwear or, in other words, the reduction, or even the suppression, of trips untimely foot in the shoe.
Another object of the invention is to make a shoe more comfortable, this as well static mode only in dynamic mode. It is indeed interesting to have sensations pleasant both when stopped and during movements, such as those generated during the cross-country skiing, walking, or whatever. It is also interesting to manipulate easily the elements that activate or deactivate the clamping of the rod.
Another goal is the improvement of footwear and / or heaving, in the sense that he is desirable to facilitate the passage of the foot to enter or exit the rod.
To do this, the invention proposes a shoe comprising a sole and a stem, the shoe extending in length from a rear end to a front end, in width between a lateral part and a medial part, and in height since the sole up an upper end, the shoe having a boot opening, and including a first clamping device for clamping the lateral and medial parts, and a second clamping device for clamping a rear part.
The shoe according to the invention is characterized by the fact that the second device tightening includes a link, the link comprising a first inextensible portion and a way elastic, the first inextensible portion extending along the portion back, as well as the along at least one of the lateral and medial parts, the elastic means soliciting the first inextensible portion in a sense of reducing the length of the link, the shoe comprising still a reversible immobilization means for immobilizing the portion inextensible by compared to the stem.
The second clamping device is structured to tighten the heel of the foot before tightening of the stem. It is in fact to make a calibration of the heel prior to the clamping action of the first device. Stalling reduces or even removes the games between the heel of the foot and the stem or between the heel of the foot and the link of the second clamping device. It results in a limitation, even an absence of parasitic movements of the heel of the foot in the stem when the tightening is performed. An advantage that results is a better performance of the foot in the stem, in the sense that the untimely movements of the foot relative to the stem are strongly

3 réduits, voire supprimés, en particulier au niveau du talon. Cela revient à
dire que la tenue du pied est plus précise.
La chaussure selon l'invention est, selon un avantage supplémentaire, plus confortable, que ce soit en mode statique ou dynamique. Cela résulte notamment d'une meilleure liaison du pied à la tige. De plus l'action du moyen élastique, du deuxième dispositif de serrage, améliore le confort de manipulation des éléments qui activent ou désactivent le serrage de la tige.
L'amélioration provient de la réduction des opérations de gestion de serrage, car le moyen élastique gère une partie du serrage.
Un autre avantage apporté par l'invention est une plus grande facilité de passage du pied pour entrer ou sortir de la tige. En effet, cette faculté est conférée par le moyen élastique.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à
l'aide de la description qui va suivre, en regard du dessin annexé illustrant, selon des formes de réalisation non limitatives, comment l'invention peut être réalisée, et dans lequel :
- la figure 1 est une vue en perspective avant d'une chaussure selon une première forme de réalisation de l'invention, - la figure 2 est une vue, similaire à la figure 1, qui fait apparaître des dispositifs de serrage de la tige de la chaussure, - la figure 3 est une vue schématique en perspective, dans l'esprit de la figure 2, qui met en évidence le cheminement des dispositifs de serrage, - la figure 4 est une vue de côté de la chaussure schématisée à la figure 3, - la figure 5 est une coupe selon V-V de la figure 4, - la figure 6 est une coupe partielle selon VI-VI de la figure 5, dans un cas où le moyen d'immobilisation réversible est totalement actif, - la figure 7 est similaire à la figure 6, dans un cas où le moyen d'immobilisation réversible est partiellement actif, - la figure 8 est similaire à la figure 6, dans un cas où le moyen d'immobilisation réversible est inactif, - la figure 9 est similaire à la figure 6, selon une deuxième forme de réalisation de l'invention, - la figure 10 est similaire à la figure 8, selon la deuxième forme de réalisation de l'invention, - la figure 11 est similaire à la figure 3, selon une troisième forme de réalisation de l'invention, - la figure 12 est une coupe selon XII-XII de la figure 11.
La première forme de réalisation qui va être décrite après concerne plus spécialement des chaussures pour la pratique du ski de fond, ou de télémark. Cependant l'invention s'applique à
d'autres domaines tels que ceux évoqués avant.
La première forme est décrite ci-après à l'aide des figures 1 à 8. 3 reduced or even eliminated, especially at the heel. Is equivalent to say that holding the foot is more accurate.
The shoe according to the invention is, according to an additional advantage, more comfortable, that whether in static or dynamic mode. This results in particular from a better link from foot to the stem. In addition the action of the elastic means, the second device of tightening, improves the comfort of handling the elements that activate or deactivate the clamping of the stem.
The improvement comes from the reduction of tightening management operations, because the means elastic handles part of the tightening.
Another advantage provided by the invention is a greater ease of foot passage to enter or exit the stem. Indeed, this faculty is conferred by the elastic medium.
Other features and advantages of the invention will be better understood in using the description which follows, with reference to the accompanying drawing illustrating, according to forms of realization nonlimiting, how the invention can be realized, and wherein:
FIG. 1 is a front perspective view of a shoe according to a first form embodiment of the invention, FIG. 2 is a view similar to FIG.
devices tightening the upper of the shoe, FIG. 3 is a schematic perspective view, in the spirit of Figure 2, which puts highlighting the path of the clamping devices, FIG. 4 is a side view of the shoe shown schematically in FIG. 3;
FIG. 5 is a section along VV of FIG. 4;
FIG. 6 is a partial section along VI-VI of FIG. 5, in one case where the means reversible immobilization is fully active, FIG. 7 is similar to FIG. 6, in a case where the means immobilizer reversible is partially active, FIG. 8 is similar to FIG. 6, in a case where the means immobilizer reversible is inactive, FIG. 9 is similar to FIG. 6, according to a second form of realisation of the invention, - Figure 10 is similar to Figure 8, according to the second form of realisation of the invention, FIG. 11 is similar to FIG. 3, according to a third form of realisation of the invention, - Figure 12 is a section along XII-XII of Figure 11.
The first embodiment which will be described later concerns more specially shoes for cross-country skiing, or telemark skiing. However the invention applies to other areas such as those mentioned before.
The first form is described hereinafter with reference to FIGS. 1 to 8.

4 Comme le montre la figure 1, une chaussure de ski de fond est prévue pour accueillir le pied de l'utilisateur.
De manière connue, la chaussure 1 comprend une semelle de marche 2 et une tige 3. La chaussure 1 s'étend en longueur depuis une extrémité arrière ou talon 4 jusqu'à une extrémité
avant ou pointe 5, et en largeur entre un côté latéral 6 et un côté médial 7.
Telle que représentée la tige 3 comprend une portion basse 10, prévue pour entourer le pied, ainsi qu'une portion haute 11, prévue pour entourer la cheville.
Cependant, il pourrait être envisagé une tige comprenant seulement la portion basse.
Selon la première forme de réalisation décrite, la chaussure 1 s'étend en hauteur depuis la semelle 2 jusqu'à une extrémité supérieure 12, c'est-à-dire jusqu'à
l'extrémité libre de la portion haute 11 ou de la tige 3.
Comme on le voit sur la figure 2, la chaussure 1 comprend une partie latérale 15, une partie médiale 16, ainsi qu'une partie arrière 17. La chaussure 1 comprend ici une enveloppe 18 qui entoure la cheville et couvre le pied de l'utilisateur en s'étendant au niveau des parties 15, 16, 17. L'enveloppe 18 délimite une ouverture 19, au niveau de l'extrémité
supérieure 12, destinée à laisser passer le pied et aussi à entourer la cheville après chaussage. On remarque que l'enveloppe 18 est continue le long de l'ouverture 19.
De manière non limitative l'enveloppe 18 est élastiquement déformable, en partie ou en totalité. Par exemple l'enveloppe 18 est constituée d'un tissu élastique. Il en résulte que le périmètre de l'ouverture est variable, et qu'il peut par exemple augmenter de manière réversible lors du passage du pied de l'utilisateur. Cela permet bien sûr de chausser ou de déchausser, mais cela permet aussi à l'enveloppe de parfaitement épouser le bas de jambe. Un avantage qui en découle est une meilleure résistance à la pénétration de corps étrangers dans la tige. Notamment on évite ainsi la pénétration intempestive de neige.
Il apparaît donc que la tige 3 est structurée pour permettre une bonne flexion de la jambe ou un bon déroulement du pied, ainsi que la transmission d'informations sensorielles ou d'impulsions de conduite. La semelle quant à elle peut être relativement rigide, par exemple pour une pratique avec des pas de patineur, ou bien plus souple, par exemple pour une pratique avec des pas alternatifs.
Bien entendu les parties 15, 16, 17 sont solidarisées à la semelle par des techniques connues telles que le collage, la couture, ou tout équivalent.
On observe en parallèle que la structure de tige décrite pour la première forme de réalisation n'est pas limitative. On pourrait par exemple prévoir que l'ouverture 19, au lieu de s'étendre strictement au niveau de l'extrémité supérieure 12, se prolonge entre les parties 15, 16 vers l'extrémité avant 5. Dans ce cas il peut éventuellement être prévu que la chaussure 1 comprenne une languette, entre les parties 15, 16.
En complément, et de manière non obligatoire, la chaussure 1 comprend un rabat 25 prévu pour couvrir de manière réversible la portion basse 10. Le rabat 25 s'étend d'une partie 15, 16 à l'autre, pour améliorer l'étanchéité de la chaussure.

Selon la première forme de réalisation, le rabat 25 est solidarisé de manière fixe à la partie médiale 16. Une fermeture réversible 26 permet de solidariser le rabat 25 aussi à la partie latérale 15. Par exemple, la fermeture réversible 26 comprend une glissière.
Cependant, toute autre structure pourrait être prévue pour réaliser la fermeture. Par exemple une suite de 4 As shown in Figure 1, a cross-country ski boot is provided for welcome the foot of the user.
In known manner, the shoe 1 comprises a sole 2 and a stem 3. The shoe 1 extends in length from a rear end or heel 4 up to one end front or point 5, and in width between a lateral side 6 and a medial side 7.
As represented by the rod 3 comprises a lower portion 10, provided for surround the foot, and a high portion 11, provided to surround the ankle.
However, he could be considered a rod comprising only the lower portion.
According to the first embodiment described, the shoe 1 extends in height since the sole 2 to an upper end 12, that is to say up to the free end of the upper portion 11 or rod 3.
As seen in Figure 2, the shoe 1 includes a side portion 15, part medial 16, as well as a rear portion 17. The shoe 1 here comprises a envelope 18 which surrounds the ankle and covers the user's foot extending to the level parts 15, 16, 17. The envelope 18 defines an opening 19, at the end upper 12, intended to pass the foot and also to surround the ankle after footwear. We note that the envelope 18 is continuous along the opening 19.
In a nonlimiting manner, the envelope 18 is elastically deformable, part or in screen. For example, the envelope 18 consists of an elastic fabric. he as a result perimeter of the opening is variable, and that it can for example increase way reversible when passing the foot of the user. This allows of course to put on or to take off, but it also allows the envelope to perfectly fit the lower leg. A
benefit that results is better resistance to body penetration foreigners in the rod. In particular, it avoids the inadvertent penetration of snow.
It therefore appears that the rod 3 is structured to allow good flexion leg or a good course of the foot, as well as the transmission of information sensory or driving impulses. The sole as for it can be relatively rigid, for example for practice with skater steps, or more flexible, for example for a practice with alternative steps.
Of course the parts 15, 16, 17 are secured to the sole by techniques known as gluing, sewing, or any equivalent.
It is observed in parallel that the stem structure described for the first time made of realization is not limiting. For example, we could provide that opening 19, instead of extend strictly at the level of the upper end 12, extends between the parties 15, 16 to the front end. In this case it may be possible to the shoe 1 comprises a tongue between the parts 15, 16.
In addition, and not mandatory, the shoe 1 includes a flap 25 planned to reversibly cover the lower portion 10. The flap 25 extends of a part 15, 16 to the other, to improve the waterproofness of the shoe.

According to the first embodiment, the flap 25 is secured in a manner fixed to the party 16. A reversible closure 26 secures the flap 25 also at the party 15. For example, the reversible closure 26 comprises a slide.
However, any other structure could be planned to achieve closure. for example a sequence of

5 boutons-pression.
La chaussure 1 comprend encore un premier dispositif de serrage 30, prévu pour serrer la tige 3 de manière réversible. Plus précisément le dispositif de serrage 30 serre les parties latérale 15 et médiale 16. Selon la première forme de réalisation, le premier dispositif de serrage 30 serre l'enveloppe 18.
Comme on l'observe notamment sur les figures 3 et 4, le dispositif de serrage 30 comprend un lien 31. Ce lien se décompose en un premier brin 32 et un deuxième brin 33, lesquels se prolongent l'un l'autre. Le dispositif de serrage 30 comprend encore des liaisons 34 à 41 des brins 32, 33, c'est-à-dire du lien 31, à la tige. Par exemple, de manière non limitative, le dispositif 30 comprend quatre liaisons latérales 34 à 37 ainsi que quatre liaisons médiales 38 à
41. On verra par la suite que si la plupart des liaisons 34 à 41 sont immobiles par rapport à la tige 3, l'une 34 d'entre-elles est mobile. Bien entendu, le lien 31 chemine entre les liaisons pour les solliciter de manière réversible dans un sens de serrage de la tige 3. Afin de maintenir le serrage, le dispositif 30 comprend un moyen de blocage 42 non décrit ici, car bien connu de l'homme du métier. Selon la première forme de réalisation, le moyen de blocage 42 agit sur les deux brins 32, 33 du lien 31.
Pour la réalisation pratique du dispositif de serrage 30, on peut prévoir que le lien 31 soit constitué par un lacet, et que les liaisons 34 à 41 soient constituées par des crochets ou des passants, cela de manière non limitative bien entendu. On remarque que toutes les liaisons 34 à 41 sont glissantes, ce qui favorise un équilibrage des tensions de serrage.
La chaussure 1 comprend encore un deuxième dispositif de serrage 50.
Selon l'invention, le deuxième dispositif de serrage 50 comprend un lien 51, le lien 51 comprenant une première portion inextensible 52 et un moyen élastique 53, la première portion inextensible 52 s'étendant le long de la partie arrière 17, ainsi que le long d'au moins l'une des parties latérale 15 et médiale 16, le moyen élastique 53 sollicitant la première portion inextensible 52 dans un sens de réduction de la longueur du lien 51, la chaussure 1 comprenant encore un moyen d'immobilisation réversible 54 pour immobiliser la portion inextensible 52 par rapport à la tige 3. Il apparaît que le moyen élastique sollicite le lien 51 dans un sens de serrage du talon de l'utilisateur, soit directement, soit par l'intermédiaire de la tige 3. Selon la première forme de réalisation, on le verra mieux par la suite, le lien 51 enserre l'enveloppe élastique 18 au niveau des parties latérale 15, arrière 17 et médiale 16. En fait la première portion inextensible 52 s'étend le long de la partie latérale 15, de la partie arrière 17 et de la partie médiale 16. Cela limite, voire évite, un mouvement du talon du pied dans la tige. En conséquence les mouvements intempestifs du pied dans la tige sont fortement, voire 5 snaps.
The shoe 1 further comprises a first clamping device 30, intended to squeeze the rod 3 reversibly. More specifically, the clamping device 30 squeezes the parties lateral 15 and medial 16. According to the first embodiment, the first device tightening 30 tightens the envelope 18.
As can be seen in particular in FIGS. 3 and 4, the clamping device 30 includes a link 31. This link is broken down into a first strand 32 and a second strand 33, which ones extend each other. The clamping device 30 further comprises links 34 to 41 strands 32, 33, that is to say the link 31, to the rod. For example, in a non limiting, the device 30 includes four side links 34 to 37 as well as four medial connections 38 to 41. It will be seen later that while most of the routes 34 to 41 are immobile in relation to the rod 3, one 34 of them is mobile. Of course, the link 31 walks between the links to solicit them reversibly in a direction of tightening of the rod 3. In order to maintain the clamping device 30 comprises a blocking means 42 not described here, because well known to the skilled person. According to the first embodiment, the blocking means 42 acts on the two strands 32, 33 of the link 31.
For the practical realization of the clamping device 30, it can be provided that the link 31 is constituted by a lace, and that the links 34 to 41 are constituted by hooks or passersby, this in a non-limiting way of course. We notice that all the links 34 at 41 are slippery, which promotes a balancing of clamping tensions.
The shoe 1 further comprises a second clamping device 50.
According to the invention, the second clamping device 50 comprises a link 51, the link 51 comprising a first inextensible portion 52 and a resilient means 53, the first inextensible portion 52 extending along the rear portion 17, as well as along at least one of the lateral and medial parts 16, the resilient means 53 requesting the first portion inextensible 52 in a sense of reducing the length of the link 51 the shoe 1 further comprising a reversible immobilization means 54 for immobilizing the portion inextensible 52 relative to the rod 3. It appears that the elastic means solicit the link 51 in a direction of tightening the heel of the user, either directly or by through the 3. According to the first embodiment, it will be better seen by the next, the link 51 encloses the elastic envelope 18 at the side portions 15, rear 17 and medial 16. In fact the first inextensible portion 52 extends along the lateral portion 15, of the back part 17 and the medial portion 16. This limits or even avoids a movement of the heel of the foot in the rod. Consequently the untimely movements of the foot in the stem are strongly, even

6 totalement, évités. La tenue du pied est plus précise, ce qui permet une transmission d'appuis ou d'informations sensorielles plus précise.
Bien entendu le lien 51 du deuxième dispositif de serrage 50 est structuré en conséquence.
Selon la première forme de réalisation de l'invention, la portion inextensible 52 comprend un premier secteur 60, ou secteur d'immobilisation, ainsi qu'un deuxième secteur 61, ou secteur de constriction. Bien entendu chacun des secteurs 60, 61 est une subdivision de la portion inextensible 52.
On observe d'abord que le premier secteur 60 comprend ici une crémaillère 62, c'est-à-dire une pièce qui comporte une suite de dents 63 et de creux 64. La crémaillère 62 s'étend en longueur entre une première extrémité 65 et une deuxième extrémité 66, en largeur entre un premier bord 67 et un deuxième bord 68, et en épaisseur entre une face interne 69 et une face externe 70, la face interne 69 étant tournée vers la tige 3. En fait la crémaillère 62 est une bande, inextensible en longueur, mais néanmoins assez souple pour fléchir selon un axe transversal Wo. Bien entendu, un axe transversal s'étend du premier 67 au deuxième 68 bord.
Sa souplesse permet à la crémaillère 62, et donc au premier secteur 60, d'épouser la courbure de la tige 3. Le premier secteur 60, c'est-à-dire la crémaillère 62, est par exemple réalisé à
partir d'une matière plastique telle qu'un polyéthylène, un polyamide, un polyuréthane, ou tout équivalent.
De manière non limitative, les dents 63 sont orientées pour faire saillie au niveau d'un bord, par exemple le premier 67. Par corollaire les creux 64 traversent la crémaillère 62, c'est-à-dire le premier secteur 60, de la face interne 69 à la face externe 70.
On observe maintenant que le deuxième secteur 61 comprend par exemple une sangle 74 qui s'étend en longueur entre une première extrémité 75 et une deuxième extrémité, en largeur entre un premier bord 77 et un deuxième bord 78, et en épaisseur entre une face interne 78 et une face externe 80. Là encore la face interne 79 est tournée vers la tige 3.
La sangle 74 est inextensible en longueur, et flexible selon un axe transversal. Un tel axe s'étend du premier 77 au deuxième 78 bord. La souplesse de la sangle 74 lui permet d'épouser la courbure de la tige 3. Le deuxième secteur 61, c'est-à-dire la sangle 74, est par exemple réalisé
avec des fibres imprégnées de matière plastique, des fibres tressées ou non, ou encore une bande de matière synthétique.
Les premier 60 et deuxième 61 secteurs se prolongent l'un l'autre pour contourner le talon 4. En fait la deuxième extrémité 66 de la crémaillère 62 est solidarisée à la première extrémité
75 de la sangle 74, par un moyen de solidarisation tel qu'un collage, une couture ou tout équivalent. La deuxième extrémité 76 du deuxième secteur 61 est quant à elle solidarisée à la tige 3, du côté médial 7, sur l'enveloppe 18. La deuxième extrémité 76 est solidarisée par tout moyen tel qu'une couture, un collage, ou tout équivalent. L'extrémité 76 est donc retenue à la tige 3, c'est-à-dire ici à l'enveloppe 18, de manière permanente. On pourrait alternativement prévoir que l'extrémité 76 soit amovible. 6 totally, avoided. The hold of the foot is more precise, which allows a transmission of supports or more precise sensory information.
Of course the link 51 of the second clamping device 50 is structured in result.
According to the first embodiment of the invention, the inextensible portion 52 includes a first sector 60, or capital area, as well as a second sector 61, or sector of constriction. Of course each of the sectors 60, 61 is a subdivision portion inextensible 52.
It is first observed that the first sector 60 here comprises a rack 62, that is to say a piece which comprises a series of teeth 63 and hollow 64. The rack 62 extends into length between a first end 65 and a second end 66, in width between one first edge 67 and a second edge 68, and in thickness between an inner face 69 and a face external 70, the inner face 69 being turned towards the rod 3. In fact the rack 62 is a band, inextensible in length, but nevertheless flexible enough to flex along an axis transversal Wo. Of course, a transverse axis extends from the first 67 to second 68 board.
Its flexibility allows the rack 62, and therefore the first sector 60, to marry the curvature of the rod 3. The first sector 60, that is to say the rack 62, is by example done at from a plastic material such as polyethylene, polyamide, polyurethane, or any equivalent.
Without limitation, the teeth 63 are oriented to protrude level of an edge, for example the first 67. By corollary the troughs 64 cross the rack 62, that is to say the first sector 60, from the inner face 69 to the outer face 70.
It is now observed that the second sector 61 comprises for example a strap 74 which extends in length between a first end 75 and a second end, in width between a first edge 77 and a second edge 78, and in thickness between a inner face 78 and an outer face 80. Again the inner face 79 is turned towards the rod 3.
The strap 74 is inextensible in length, and flexible along a transverse axis. Such an axis extends from the first 77 at the second 78 board. The flexibility of the strap 74 allows it to marry the stem curvature 3. The second sector 61, that is to say the strap 74, is for example realized with fibers impregnated with plastic material, braided fibers or not, or a material band synthetic.
The first 60 and second 61 sectors extend each other to circumvent the heel 4. In fact the second end 66 of the rack 62 is secured to the first end 75 of the strap 74, by a securing means such as a collage, a sewing or everything equivalent. The second end 76 of the second sector 61 is itself solidarisée à la rod 3, medial side 7, on the envelope 18. The second end 76 is solidarisée by all medium such as a seam, a collage, or any equivalent. The end 76 is therefore withholding rod 3, that is to say here to the envelope 18, permanently. We could alternately provide that the end 76 is removable.

7 Dans tous les cas il résulte de la construction ci-avant présentée que, à
l'exception de l'extrémité 76, la portion inextensible 52 du lien 51 peut glisser par rapport à la tige 3, à
l'extérieur de celle-ci. Cette portion 52 est sollicitée en tension par le moyen élastique 53, comme expliqué ci-après.
De manière non limitative, le moyen élastique comprend ici une bande élastique 84 qui s'étend en longueur depuis une première extrémité 85 jusqu'à une deuxième extrémité 86, en largeur entre un premier bord 87 et un deuxième bord 88, et en épaisseur entre une face interne 89 et une face externe 90. Là encore la face interne 89 est tournée vers la tige 3. La bande 84 est extensible, au moins dans le sens de sa longueur, de manière réversible. La bande 84 est en fait en tissu élastiquement extensible, qui comprend par exemple des fils de caoutchouc, ou de matériaux équivalents. La première extrémité 85 de la bande 84 est solidarisée à la tige 3 de manière amovible et réglable, par un moyen de solidarisation 91 qui comprend par exemple une portion de tissu 92 liée à la bande 84 et une portion de tissu 93 liée à la tige. Ces portions sont évoquées de manière simplifiée, car bien connues de l'homme du métier : l'une d'elles présente des boucles et l'autre des crochets, pour une retenue réversible. Il est donc possible de disposer la première extrémité 85 un peu plus vers l'extrémité avant 5 ou un peu plus vers l'extrémité arrière 4 par rapport à une position de référence. Cela permet d'ajuster la tension du lien 51.
Il va de soi que la deuxième extrémité 86 de la bande 84 est solidarisée à la première extrémité 65 de la crémaillère 62. Là encore la solidarisation est faite par tout moyen tel qu'une couture, un collage, ou autre. Il s'agit par exemple d'une solidarisation permanente, non démontable. On pourrait bien entendu alternativement prévoir une solidarisation temporaire, c'est-à-dire démontable avec ou sans outil.
Au final le lien 51 s'étend depuis la première extrémité 85 du moyen élastique 53, soit la bande 84, jusqu'à la deuxième extrémité 76 du deuxième secteur 61, soit la sangle 74.
On remarque au passage que les extrémités 85, 76 du lien 51 sont disposées de manière asymétrique transversalement. En effet, la première extrémité 85 de la bande 84 est située dans la moitié avant de la chaussure 1, par exemple à hauteur du métatarse et à mi-chemin entre la semelle 2 et la crête 98. Celle-ci 98 est la ligne qui marque la limite entre la partie latérale 15 et la partie médiale 16. La deuxième extrémité 76 quant à elle est située dans la moitié arrière de la chaussure 1, par exemple à hauteur de la cheville. La deuxième extrémité
76 est plus éloignée de la semelle 2 que ne l'est la première 85. C'est pourquoi le lien 51 s'étend dans un plan de serrage T incliné par rapport à un plan S lié à la semelle 2, selon une valeur d'angle a. Bien entendu le plan S est celui qui longe la semelle 2 lorsque celle-ci présente sa forme naturelle. L'angle a est compris entre 10 et 50 , des valeurs de 20 à 35 ayant donné de bons résultats. Il faut comprendre par là que le talon du pied est efficacement maintenu contre la semelle 2 par le lien 51. Bien entendu, le maintien est effectif dès lors que le moyen d'immobilisation réversible 54 agit, comme on peut le comprendre ci-après. 7 In any case, it follows from the construction presented above that, at the exception of the end 76, the inextensible portion 52 of the link 51 can slide relative at the stem 3, outside of it. This portion 52 is stressed in tension by the elastic means 53, as explained below.
Without limitation, the elastic means here comprises an elastic band 84 who extends in length from a first end 85 to a second end 86, in width between a first edge 87 and a second edge 88, and in thickness between a face internal 89 and an outer face 90. Again the inner face 89 is turned to the stem 3. The 84 is extensible, at least in the direction of its length, so reversible. The band 84 is in fact elastically extensible fabric, which comprises for example son of rubber, or equivalent materials. The first end 85 of the tape 84 is secured to the rod 3 in a removable and adjustable manner, by means of solidarity 91 which comprises for example a portion of tissue 92 bound to the band 84 and a portion 93 bound fabric at the stem. These portions are evoked in a simplified manner, because well known man's craft: one of them has loops and the other hooks, for one reversible restraint. he so is possible to have the first end 85 a little more towards the front end 5 or a little more towards the rear end 4 with respect to a position of reference. This allows to adjust the tension of the link 51.
It goes without saying that the second end 86 of the strip 84 is secured to the first end 65 of the rack 62. Again the solidarity is made by any such means than a seam, a collage, or whatever. This is for example a permanent solidarity, no removable. One could of course alternatively provide for a temporary solidarity, that is to say, removable with or without tools.
In the end the link 51 extends from the first end 85 of the elastic means 53, the 84 to the second end 76 of the second sector 61, the strap 74.
Note in passing that the ends 85, 76 of the link 51 are disposed of way asymmetrical transversely. Indeed, the first end 85 of the band 84 is located in the front half of the shoe 1, for example at the height of the metatarsus and half-way between sole 2 and ridge 98. This one 98 is the line that marks the boundary between the party lateral 15 and the medial portion 16. The second end 76 as for it is located in the half back of the shoe 1, for example at the height of the ankle. The second end 76 is farther away from the sole 2 than is the first 85. That's why the link 51 extends in a clamping plane T inclined with respect to a plane S connected to the sole 2, according to a angle value a. Of course the plane S is the one that runs along the sole 2 when this one presents its natural form. The angle a is between 10 and 50, values from 20 to 35 having given good results. It should be understood that the heel of the foot is effectively maintained against the sole 2 by the link 51. Of course, the maintenance is effective when the reversible immobilization means 54 acts, as can be understood hereinafter after.

8 Selon la première forme de réalisation décrite, comme on le comprend notamment à l'aide des figures 3 à 8, le moyen d'immobilisation 54 comprend notamment un guide 101, une patte 102 et un doigt de verrouillage 103.
Le guide 101 est prévu pour guider la portion inextensible 52, en l'occurrence le premier secteur 60. A cet effet le guide 101 comprend une paroi interne 104, en regard de la tige 3, ainsi qu'une paroi externe 105 qui lui est opposée. Les parois interne 104 et externe 105 sont réunies l'une et l'autre par un pont inférieur 106 et un pont supérieur 107.
Le pont inférieur 106 est désigné ainsi parce qu'il est plus proche de la semelle 2 que ne l'est le pont supérieur 107. Les parois 104, 105 et les ponts 106, 107 délimitent un couloir 108, dans lequel passe le premier secteur 60. De manière non limitative, le couloir 108 présente une section rectangulaire. Mais celle-ci pourrait être oblongue, ou de toute autre forme.
On verra mieux par la suite comment le secteur 60 coulisse dans le couloir 108 du guide 101.
De manière non limitative, le guide 101 est situé sur la partie latérale 15, entre la semelle 2 et l'ouverture 19.
On pourrait alternativement prévoir que le guide 101 soit situé sur la partie médiale 16.
La patte 102 s'étend depuis une extrémité de liaison 109 jusqu'à une extrémité
d'attache 110. L'extrémité de liaison 109 est solidarisée au guide 101, tandis que l'extrémité d'attache 110 est solidarisée à une portion de la tige 3 par exemple adjacente à la semelle 2. On peut alternativement prévoir l'absence de patte. Dans ce cas le guide 101 est solidarisé directement à la tige 3, c'est-à-dire ici à l'enveloppe 18, par tout moyen tel qu'un collage, une couture, ou autre.
De manière non limitative le guide 101 et la patte 102 forment une pièce monobloc, réalisée par exemple en matière plastique. La solidarisation de l'extrémité
d'attache 110, et donc du moyen d'immobilisation 54, à la tige 3 est obtenue par exemple par collage, par couture, ou tout équivalent. La patte 102 est donc liée en permanence à la tige 3, ce qui implique que le moyen d'immobilisation 54 est monté sur la chaussure 1 de façon inamovible.
On remarque que le guide 101 vient au contact de la tige 3 en prenant appui sur celle-ci par la paroi interne 104, et que des déplacements relatifs peuvent se produire entre le guide 101 et la tige 3. Bien entendu, alternativement, dans le cas où le guide 101 est solidarisé directement à
la tige, ces déplacements relatifs n'ont pas lieu.
En fait pendant son utilisation, la chaussure 1 selon la première forme peut se déformer de façon que le guide 101 glisse relativement à la tige. On verra par la suite que cela améliore le serrage de la tige 3, et la tenue du pied.
Afin d'accueillir le doigt 103, le guide 101 présente une fente interne 114, ménagée dans la paroi interne 104, ainsi qu'une fente externe 115, ménagée dans la paroi externe 105. Les deux fentes 114, 115 sont en regard l'une de l'autre, et orientées en longueur selon une direction qui va d'un pont 106, 107 à l'autre du guide 101. Le doigt 103 est logé dans le guide 101, et maintenu dans celui-ci par tout moyen approprié, en étant perpendiculaire aux parois 104, 105. Le doigt 103 est réalisé par exemple sous la forme d'un tourillon, c'est-à-dire une pièce cylindrique dont le diamètre est compris par exemple entre deux et douze millimètres. Le 8 According to the first embodiment described, as understood in particular help 3 to 8, the immobilizing means 54 comprises in particular a guide 101, a paw 102 and a locking finger 103.
The guide 101 is intended to guide the inextensible portion 52, in this case the first sector 60. For this purpose the guide 101 comprises an inner wall 104, facing of the rod 3, and an outer wall 105 opposite to it. The inner walls 104 and external 105 are joined together by a lower bridge 106 and an upper bridge 107.
The lower bridge 106 is so named because it is closer to sole 2 than it is the upper deck 107. The walls 104, 105 and the bridges 106, 107 delimit a corridor 108, in which passes the first sector 60. In a non-limiting way, the corridor 108 presents a section rectangular. But it could be oblong, or any other form.
We'll see better later how sector 60 slides in the corridor 108 of the guide 101.
In a non limitingly, the guide 101 is located on the lateral portion 15, between the soleplate 2 and the opening 19.
One could alternatively predict that the guide 101 is located on the part medial 16.
The tab 102 extends from a link end 109 to an end attachment 110. The connecting end 109 is secured to the guide 101, while the attachment end 110 is secured to a portion of the rod 3, for example adjacent to the sole 2. One can alternatively predict the absence of paw. In this case guide 101 is solidarisé directly to the rod 3, that is to say here to the envelope 18, by any means such as a collage, sewing, or other.
Without limitation, the guide 101 and the lug 102 form a part piece, made for example of plastic. The joining of the end 110, and therefore immobilizing means 54, to the rod 3 is obtained for example by collage, by sewing, or any equivalent. The tab 102 is therefore permanently linked to the rod 3, which implies that the immobilizing means 54 is mounted on the shoe 1 of immovable manner.
Note that the guide 101 comes into contact with the rod 3 by taking support on it by the internal wall 104, and that relative displacements can occur between the guide 101 and the 3. Of course, alternatively, in the case where the guide 101 is solidarisé directly to the stem, these relative displacements do not take place.
In fact during its use, the shoe 1 according to the first form can to deform way that the guide 101 slides relative to the rod. Later we shall see that it improves the tightening the rod 3, and holding the foot.
In order to receive the finger 103, the guide 101 has an internal slot 114, arranged in the inner wall 104, and an outer slot 115 formed in the wall external 105. Both slots 114, 115 are opposite one another, and oriented in length according to a direction that goes from a bridge 106, 107 to the other of the guide 101. The finger 103 is housed in the guide 101, and maintained in it by any appropriate means, being perpendicular to walls 104, 105. The finger 103 is made for example in the form of a trunnion, that is, to say a piece cylindrical whose diameter is for example between two and twelve millimeters. The

9 doigt 103 traverse les fentes 114, 115 et le couloir 108 pour coopérer avec la crémaillère 62, comme on le verra mieux après.
Pour actionner le doigt 103, il est prévu un moyen de sollicitation de ce dernier 103. En fait le moyen de sollicitation du doigt est ici, de manière non limitative, constitué par la liaison mobile 34. Bien entendu cette liaison 34 est solidarisée au doigt 103 par tout moyen, tel qu'un sertissage, un emboutissage, un rivetage, ou autre. C'est bien évidemment la mobilité du doigt 103 par rapport au guide 101 qui rend la liaison 34 mobile, selon une plage déterminée par la longueur des fentes 114, 115. Par exemple, la plage est comprise entre 10 et 25 mm.
Il est maintenant naturel d'expliquer le fonctionnement du deuxième dispositif de serrage 50. En fait, le fonctionnement de ce dispositif 50 est corrélé au fonctionnement du premier dispositif de serrage 30. Cela signifie notamment que lorsqu'il est sollicité
dans un sens de serrage, le premier dispositif de serrage 30 provoque le maintien dans un état de serrage donné
et stable du deuxième dispositif de serrage 50. En d'autres termes ce deuxième dispositif ne peut changer d'état tant que le premier dispositif 30 n'est pas desserré.
Pendant une utilisation telle que la marche, la chaussure 1 est dans une configuration selon les figures 2 à 6. Dans ce cas le premier dispositif de serrage 30 est serré, ce qui implique que le lien 31 est sous tension. En conséquence la tige 3 est serrée et, notamment, la liaison mobile 34 est sollicitée vers le pont supérieur 107, dans un sens d'éloignement de la semelle 2. En fait la mise en tension du premier dispositif de serrage 30 sollicite la liaison mobile 34, et donc le doigt 103, vers la crémaillère 62. Il s'ensuit que le doigt 103 est en appui sur la crémaillère 62, entre deux dents 63. Cela maintient constante la longueur du lien 51 du deuxième dispositif de serrage 50. En effet, la crémaillère 62 est alors immobilisée dans le couloir 108. En conséquence le pied est maintenu dans la chaussure non seulement au niveau du cou-de-pied, mais aussi au niveau du talon. C'est pourquoi par exemple les mouvements intempestifs du pied dans la chaussure sont très limités, voire totalement limités dans certains cas.
Avant ou après utilisation, le pied est introduit ou retiré de la chaussure.
Bien entendu pour ce faire le premier dispositif de serrage 30 est desserré. Cela signifie que le lien 31 est détendu, comme c'est le cas sur les figures 7 et 8. En conséquence la liaison mobile 34 et le doigt 103 ne sont plus sollicités vers la crémaillère 62. Lorsque le pied est introduit dans la chaussure ou retiré, le passage du talon à la hauteur du deuxième secteur 61 provoque un allongement provisoire du lien 51, contre l'action du moyen élastique 53. Lors de l'allongement du lien 51 une dent 63 repousse le doigt 103 vers le pont inférieur 106, c'est-à-dire aussi vers la semelle 2. L'allongement du lien 51 fait que la crémaillère 62 éloigne le doigt 103 des dents 63. On verra par la suite que la géométrie des pièces constitutives du deuxième dispositif 50 favorise ce phénomène.
Bien entendu le lien 51 présente sa longueur la plus faible lorsque le pied est en dehors de la chaussure. La mise en place du pied dans la chaussure lui donne une longueur importante car elle provoque un allongement important, lequel est obtenu lorsque le talon est à hauteur du deuxième secteur 61. La longueur du lien 51 prend ensuite une valeur nominale, comprise entre la longueur la plus faible et la longueur importante, lorsque le pied est en place dans la chaussure. Le serrage du premier dispositif de serrage 30 va alors figer la longueur nominale du lien 51 pendant l'utilisation de la chaussure 1, comme on l'a abordé avant.
On retrouve simultanément un état de verrouillage du deuxième dispositif 50. On remarque que 5 l'ajustement de la longueur du lien 51 se fait par le seul passage du pied, c'est-à-dire sans action manuelle supplémentaire. En d'autres termes le réglage du deuxième dispositif de serrage 50 est automatique.
Afin d'optimiser le fonctionnement du deuxième dispositif de serrage 50, la crémaillère 62 présente une géométrie spécifique. Si l'on prend pour référence une direction transversale Wo 9 finger 103 passes through the slots 114, 115 and the passage 108 to cooperate with the rack 62, as we will see later.
To actuate the finger 103, there is provided a means of soliciting this last 103. Actually the finger biasing means is here, without limitation, constituted by the liaison mobile 34. Of course this connection 34 is secured to the finger 103 by any medium, such as crimping, stamping, riveting, or other. This is obviously the finger mobility 103 relative to the guide 101 which makes the connection 34 mobile, according to a range determined by the slots length 114, 115. For example, the range is between 10 and 25 mm.
It is now natural to explain the operation of the second device Clamping 50. In fact, the operation of this device 50 is correlated with the operation of the first clamping device 30. This means in particular that when it is requested in a sense of tightening, the first clamping device 30 causes the maintenance in a state given tightening and stable second clamping device 50. In other words this second device does can change state as long as the first device 30 is not loose.
During a use such as walking, shoe 1 is in a configuration according to Figures 2 to 6. In this case the first clamping device 30 is tightened, which implies link 31 is powered on. As a result, the rod 3 is tight and, in particular, the mobile connection 34 is urged towards the upper deck 107, in a direction away from the sole 2. In fact the tensioning of the first clamping device 30 solicits the connection mobile 34, and therefore the finger 103, towards the rack 62. It follows that the finger 103 is in support on the rack 62, between two teeth 63. This maintains the length of link 51 second device 50. Indeed, the rack 62 is then immobilized in the corridor 108. In consequence the foot is kept in the shoe not only at the level of kick, but also at the heel. This is why for example the movements untimely foot in the shoe are very limited or even totally limited in certain cases.
Before or after use, the foot is introduced or removed from the shoe.
Of course for this doing the first clamping device 30 is loosened. It means that link 31 is relaxed, as is the case in Figures 7 and 8. As a result, mobile 34 and the finger 103 are no longer biased towards the rack 62. When the foot is introduced in the shoe or removed, the passage of the heel at the height of the second sector 61 causes a provisional extension of the link 51, against the action of the elastic means 53.
of the lengthening of the link 51 a tooth 63 pushes the finger 103 towards the bridge lower than 106, that is, also say towards the sole 2. The lengthening of the link 51 makes that the rack 62 moves the finger 103 teeth 63. It will be seen later that the geometry of the pieces constitutive second device 50 promotes this phenomenon.
Of course the link 51 has its weakest length when the foot is outside of the shoe. The placement of the foot in the shoe gives it a long length because it causes a significant elongation, which is obtained when the heel is at the height of second sector 61. The length of the link 51 then takes on a nominal value, range between the lowest and the longest length, when the foot is in place in the shoe. Tightening the first clamping device 30 will then freeze the nominal length link 51 during the use of the shoe 1, as discussed before.
We find simultaneously a locking state of the second device 50. Note than 5 the adjustment of the length of the link 51 is done by the sole passage of the foot, that is to say without additional manual action. In other words the setting of the second device clamping 50 is automatic.
In order to optimize the operation of the second clamping device 50, the rack and pinion 62 has a specific geometry. If we take as a reference a direction transversal Wo

10 de la crémaillère, orientée d'un bord 67, 68 à l'autre, on observe que chaque dent 63 est dissymétrique dans un plan parallèle aux faces 69, 70 et par rapport à un axe, orienté selon la direction Wo et passant par le sommet 120 d'une dent 63. A proximité du sommet 120, la face de la dent 63 tournée vers la première extrémité 65 forme avec la direction transversale Wo un angle (3 compris entre 0 et 20 . Toujours à proximité du sommet 120, la face de la dent 63 tournée vers la deuxième extrémité 66 forme avec la direction transversale Wo un angle -y compris entre 20 et 70 . Cette géométrie des dents 63 permet à la crémaillère 62 de repousser le doigt 103 quand le premier dispositif 30 est desserré et que le lien 51 du deuxième dispositif 50 est sollicité dans un sens d'allongement.
De manière complémentaire, sans que cela soit obligatoire, le pas de la crémaillère 62 est régulier. Ce pas est compris entre 2 et 12 mm, des valeurs de 5 à 8 mm ayant donné
satisfaction.
On observe aussi que le mouvement du doigt 103, et de la liaison mobile 34, se fait selon une direction qui passe par le talon 4 et le cou-de-pied, c'est-à-dire la séparation entre les portions basse 10 et haute 11 de la tige 3 au niveau du premier dispositif 30.
Cela revient à
dire que le pont supérieur 107, du guide 101, est plus vers l'avant 5 de la chaussure que ne l'est le pont inférieur 106. Cela facilite l'immobilisation de la crémaillère 62 dans le guide 101 par le doigt 103, lorsque le premier dispositif 30 est serré.
Dans la structure ci-avant décrite, le maintien de la longueur du lien 51 est obtenu par une liaison positive, c'est-à-dire par obstacle. En effet, le doigt 103 sert de butée à une dent 63 de la crémaillère 62. On va voir ci-après qu'il peut en être autrement, par exemple à l'aide de la deuxième forme de réalisation, présentée selon les figures 9 et 10.
Dans un but de simplification, les éléments communs avec la première forme sont désignés par les mêmes références. Ainsi on retrouve le guide 101, la patte 102 et le doigt de verrouillage 103 d'un moyen d'immobilisation réversible 54.
Ce qui est spécifique à la deuxième forme de réalisation, c'est que le premier secteur 130 de la portion inextensible 52 est constitué d'une bande souple, inextensible en longueur, mais flexible en largeur et en longueur. Cela signifie que lorsque le secteur 130 est sollicité dans un sens d'allongement, la distance entre ses extrémités 135, 136 reste constante.
Cela signifie aussi que lorsque le lien 31 est tendu, et que le doigt 103 est sollicité vers le pont supérieur 10 of the rack, oriented from one edge 67, 68 to the other, it is observed that each tooth 63 is asymmetrical in a plane parallel to the faces 69, 70 and with respect to an axis, oriented according to the direction Wo and passing through the top 120 of a tooth 63. Close to the summit 120, the face of the tooth 63 turned towards the first end 65 forms with the direction transversal Wo a angle (3 between 0 and 20. Always near the top 120, the face of tooth 63 turned towards the second end 66 shape with the cross direction Wo an angle -y between 20 and 70. This geometry of the teeth 63 allows the rack 62 to push back the finger 103 when the first device 30 is loosened and the link 51 of the second device 50 is biased in a direction of elongation.
In a complementary way, without this being obligatory, the step of rack 62 is regular. This pitch is between 2 and 12 mm, values of 5 to 8 mm having given satisfaction.
It is also observed that the movement of the finger 103, and of the mobile link 34, is does according to a direction that passes through the heel 4 and the instep, that is to say the separation between portions 10 and 11 high of the rod 3 at the first device 30.
Is equivalent to say that the upper deck 107, of the guide 101, is more forward 5 of the shoe than is the lower bridge 106. This facilitates the immobilization of the rack 62 in the guide 101 by the finger 103, when the first device 30 is tightened.
In the structure described above, maintaining the length of the link 51 is obtained by a positive connection, that is to say by obstacle. Indeed, the finger 103 serves as stop at a tooth 63 of the rack 62. We will see below that it may be otherwise, by example using the second embodiment, presented according to Figures 9 and 10.
For the sake of simplification, the common elements with the first form are designated by the same references. Thus we find the guide 101, the paw 102 and the finger of locking 103 of a reversible immobilization means 54.
What is specific to the second embodiment is that the first sector 130 of the inextensible portion 52 consists of a flexible band, inextensible in length but flexible in width and length. This means that when sector 130 is solicited in a direction of elongation, the distance between its ends 135, 136 remains constant.
That means as when the link 31 is stretched, and the finger 103 is urged towards the upper deck

11 107, alors la largeur du secteur 130, mesurée entre ses bords 137 et 138, se réduit localement au niveau du doigt 103. En fait ce dernier comprime le premier secteur dans le guide 101.
Pour rendre cette opération possible, le secteur 130 comprend un ou plusieurs matériaux tels que des fibres synthétiques, tissées ou non, une ou plusieurs couches de matière plastique ou de cuir, ou tout équivalent. Bien entendu, la déformation locale du premier secteur 130 est réversible. Le secteur retrouve sa forme naturelle quand l'action du doigt 103 cesse. On observe que dans sa partie active, la largeur du premier secteur 130 est constante. Selon la deuxième forme de réalisation, le maintien de la longueur du lien 51 est obtenu par une liaison par frottement. En effet, l'action du doigt 103 augmente la surface de contact et les efforts de frottement entre le premier secteur 130 et le guide 101, dans le couloir 108.
La troisième forme de réalisation est présentée maintenant à l'aide des figures 11 et 12. Là
encore les éléments communs avec la première forme sont désignés par les mêmes références.
En fait les figures 11 et 12 montrent une architecture particulière, non limitative, de la tige de la chaussure 1 selon la première forme, la deuxième forme, ou tout autre variante des dispositifs de serrage 30, 50. Pour des raisons de clarté graphique, ces derniers n'ont pas été
représentés. Il faut cependant considérer que leurs implantations respectives se conjuguent avec la structure de la tige 3.
On observe donc que celle-ci 3 comprend deux volets intérieurs, l'un latéral 145 et l'autre médial 146. Les volets 145, 146 s'étendent sous le premier dispositif de serrage 30, et se chevauchent partiellement l'un l'autre. Les volets glissent l'un par rapport à
l'autre notamment lors du serrage de la tige 3 par le dispositif 30. Cela augmente l'intensité
du serrage et, par corollaire, le maintien du pied est accru.
Dans tous les cas l'invention est réalisée à partir de matériaux et selon des techniques de mise en oeuvre connus de l'homme du métier.
Bien entendu l'invention n'est pas limitée aux formes de réalisation ci-avant décrites, et comprend tous les équivalents techniques pouvant entrer dans la portée des revendications qui vont suivre.
En particulier de nombreuses variantes de structures peuvent être prévues pour les dispositifs de serrage. Par exemple, la structure d'une crémaillère peut varier, notamment pour la forme ou la disposition des dents. 11 107, then the width of the sector 130, measured between its edges 137 and 138, is reduced locally at finger level 103. In fact it compresses the first sector in the guide 101.
To make this operation possible, sector 130 includes one or more materials such synthetic fibers, woven or not, one or more layers of plastic or of leather, or any equivalent. Of course, the local deformation of the first Area 130 is reversible. The sector returns to its natural form when the action of the finger 103 stops. We observes that in its active part, the width of the first sector 130 is constant. According to second embodiment, maintaining the length of the link 51 is obtained by a connection by friction. Indeed, the action of the finger 103 increases the contact area and the efforts of friction between the first sector 130 and the guide 101, in the corridor 108.
The third embodiment is now presented using the Figures 11 and 12. There still the elements common with the first form are designated by the same references.
In fact Figures 11 and 12 show a particular architecture, not limiting, of the stem of the shoe 1 according to the first form, the second form, or any other variant of clamping devices 30, 50. For reasons of graphic clarity, these last have not been represented. However, their respective locations must be considered combine with the structure of the stem 3.
It can thus be seen that this latter 3 comprises two inner flaps, one lateral 145 and the other 146. The flaps 145, 146 extend under the first device of tightening 30, and partially overlap each other. The shutters slide one with respect to the other particular when clamping the rod 3 by the device 30. This increases the intensity tightening and, corollary, the maintenance of the foot is increased.
In all cases the invention is made from materials and according to techniques of implementation known to those skilled in the art.
Of course, the invention is not limited to the embodiments above described, and includes all technical equivalents that may fall within the scope of claims that will follow.
In particular, many variants of structures can be provided for the clamping devices. For example, the structure of a rack can vary, especially for the shape or arrangement of the teeth.

Claims

1- Shoe (1) comprising a sole (2) and a shaft (3), the shoe (1) extending in length from a rear end (4) to a front end (5), in width between a lateral part (15) and a medial part (16), and in height since the sole (2) up to an upper end (12), the shoe having an opening of footwear (19), and comprising a first clamping device (30) for clamping the parts lateral (15) and medial (16) and a second clamping device (50) for clamping a rear part (17) characterized in that the second clamping device (50) comprises a link (51), the link (51) comprising a first inextensible portion (52) and a means elastic band (53), the first inextensible portion (52) extending along the back portion (17), as well as along at least one of the lateral (15) and medial (16) parts, the elastic means (53) seeking the first inextensible portion (52) in a direction of reducing the length of the link (51), the shoe (1) further comprising a reversible immobilization means (54) for immobilize the inextensible portion (52) relative to the rod (3).

2- Shoe (1) according to claim 1, characterized in that when asked in a tightening direction, the first clamping device (30) causes the keeping in a given and stable tightening state of the second clamping device (50).

3- Shoe (1) according to one of claims 1 and 2, characterized by the does that tightening of the first clamping device (30) freezes the nominal length of the link (51).

4- Shoe (1) according to one of claims 1 to 3, characterized by the does she comprises an envelope (18) extending at the portions (15, 16, 17), and by the fact that the link (51) encloses the envelope (18) at the side portions (15), back (17) and medial (16).

5- Shoe (1) according to one of claims 1 to 4, characterized by the does that link (51) extends from a first end (85, 135) to a second end (76), the ends (85, 135, 76) being asymmetrically disposed transversely.

6- Shoe (1) according to one of claims 1 to 5, characterized by the does that link (51) extends in a clamping plane (T) inclined relative to a plane (S) bound at the sole (2).

7- Shoe (1) according to one of claims 1 to 6, characterized by the does that first clamping device (30) comprises a link (31) and links (34 to 41) of the link (31) to the rod (3).

8- Shoe (1) according to one of claims 1 to 7, characterized by the does that inextensible portion (52) of the link (51) includes a first sector (60, 130), or sector and a second sector (61), or sector of constriction, by the fact that the elastic means (53) comprises an elastic band (84), and by the fact that the way reversible immobilization device (54) comprises a guide (101) and a finger locking (103).

9- Shoe (1) according to claim 8, characterized in that end (85) of the elastic band (84) is secured to the rod (3) removably and adjustable.

10- Shoe (1) according to claim 8 or 9, characterized in that the guide (101) is located on the lateral part (15) between the sole (2) and the opening of footwear (19), the guide (101) being provided to guide the first sector (60, 130).

11- Shoe (1) according to claim 10, characterized in that the guide (101) comprises an inner wall (104) and an outer wall (105) which is opposite, the inner (104) and outer (105) walls being joined together by a lower bridge (106) and an upper bridge (107), the walls (104, 105) and the bridges (106, 107) delimiting a corridor (108) in which the first sector (60, 130) passes, the guide (101) presenting a slot internal (114) formed in the inner wall (104) and an outer slot (115), arranged in the outer wall (105), a finger (103) being housed in the guide (101) in being perpendicular to the walls (104, 105), and passing through the slots (114, 115) and the corridor (108).

12- Shoe (1) according to claim 11, characterized in that link (34) first clamping device (30) is secured to the finger (103).

13- Shoe (1) according to claim 11 or 12, characterized by the fact that the movement of the finger (103) is in a direction that passes through the heel (4) and the neck foot.

14. Shoe (1) according to one of claims 10 to 13, characterized by the does that first sector (60) includes a rack (62).

15- Shoe (1) according to claim 14, characterized in that if we take for reference a transverse direction (Wo) of the rack, oriented a edge (67, 68) to the other, each tooth (63) is asymmetrical in a plane parallel to the faces (69, 70) of the rack and with respect to an axis, oriented according to the direction (Wo) and going through the summit (120) of a tooth (63).

16- Shoe (1) according to one of claims 10 to 13, characterized by the does that first sector (130) of the inextensible portion (52) consists of a flexible band, inextensible in length, the width of the first sector in its active part being constant.

17- Shoe (1) according to one of claims 1 to 16, characterized by the does that stem (3) has two components, one lateral (145) and the other medial (146), the overlapping shutters partially one another.

18- Shoe (1) according to one of claims 1 to 17, characterized by the does she comprises a lower portion (10) and an upper portion (11).