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La Société dite : Fried. Krupp Gesellschaft mit beschränkter Haftung à Essen
EMI1.1
(République Fédérale d'Allemagne) - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - "Tourelle de blindé" - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : - : : - : - : - : - : - : C. I. : Demande de brevet de la République Fédérale d'Allemagne P 32 41 665.2 déposée le 11 novembre 1982.
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La présente invention concerne une tourelle de blindé comportant une arme y fixée, pouvant pivoter verticalement, par exemple un canon de blindé, un élément auxiliaire de l'arme, par exemple une hausse de pointage ou un indicateur de position de l'arme, tel qu'un"résolveur"ou l'équivalent, monté à pivotement à distance de l'arme et guidé de façon forcée par celle-ci, ainsi qu'un dispositif d'accouplement attaquant un des points d'attaque l'arme et l'élément auxiliaire de l'arme.
Il existe une tourelle de blindé de ce genre dans laquelle le dispositif d'accouplement se présente sous la forme d'un double levier articulé, c'est-à-dire de deux leviers reliés par une articulation. L'une des extrémités libres du double levier articulé est articulée, à distance du palier de l'arme dans la tourelle ou palier du bouclier, au blindage ou au bouclier de l'arme. L'autre extrémité libre du double levier articulé est fixée rigidement à l'élément auxiliaire de l'arme, dans ce cas à l'indicateur de position de l'arme, qui se présente sous la forme d'un résolveur. Si l'on fait pivoter l'arme dans le sens vertical, l'élément auxiliaire de l'arme, par l'intermédiaire du double levier articulé, tourne du même angle de pivotement dans son palier fixé à la tourelle.
La présence d'un tel double levier articulé mène toutefois, dans le cas de jeu dans les paliers de pivotement de l'arme et de l'élément auxiliaire de celle-ci, à des erreurs dans la transmission du déplacement angulaire. De telles erreurs sont également provoquées par de fortes variations de température, telles que celles qui se présentent par exemple en cas de puissant rayonnement solaire agissant sur la carcasse métallique de la tourelle. Etant donné que tant l'arme que l'élément auxiliaire de celle-ci sont montés sur la tourelle même, leur coordination se modifie par suite de la dilatation des éléments métalliques de la tourelle.
En règle générale, le double levier articulé ne s'allonge pas dans la même mesure, de telle sorte que, déjà dans la position de base de l'arme, l'élément auxiliaire de celle-ci subit une déviation d'un angle d'erreur qui correspond à la
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différence de longueur. Des comportements d'oscillation différents de la tourelle et du double levier articulé mènent, de plus, à des erreurs de transmission dynamiques. En outre, après son montage, le double levier articulé doit être réglé sur l'écartement des paliers de l'arme et de l'élément auxiliaire de celleci, ce qui représente un ajustage compliqué.
L'articulation du double levier articulé au blindage de l'arme exige un travail de fraisage et un dégagement, par découpage, du point d'articulation, afin qu'un déplacement réciproque sans entrave de l'arme et du double levier articulé soit possible. Ceci mène le plus souvent à un affaiblissement du blindage de l'arme.
Dans le cas d'un autre genre de tourelle de blindé connu, on fixe directement par bride le résolveur aux tourillons que porte le blindage de l'arme, en vue d'éviter des erreurs de transmission du déplacement angulaire. Dans ce cas, des erreurs de transmission provoquées par le dispositif d'accouplement ne se présentent pas, mais le jeu des paliers provoque encore de telles erreurs de réglage angulaire, qui deviennent surtout importantes à mesure que se prolonge la durée d'emploi. Le résolveur, surtout, est très difficilement accessible, si bien que, lors de vérifications ou lors de l'entretien, l'arme doit elle-même être démontée.
Dans le cas où une hausse de pointage est accouplée, une telle solution n'est pas acceptable, car, étant donné l'agencement géométrique de la hausse de pointage, les possibilités de construction dans la conception de la tourelle sont sensiblement limitées.
La présente invention vise à procurer une tourelle de blindé du genre indiqué dans le préambule de ce mémoire dans le cas de laquelle une transmission directe, sans erreur, de la position angulaire de l'arme à un élément auxiliaire de l'arme, monté en un point quelconque à l'extérieur du palier de celle-ci, soit assurée et reste assurée même en cas de jeu dans le palier de l'arme et/ou de l'élément auxiliaire de celle-ci, de même qu'en cas de variations de température.
Ce but est atteint, suivant l'invention, dans le cas
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d'une tourelle de blindé du genre indiqué dans le préambule de ce mémoire, par le fait que le dispositif d'accouplement comporte un parallélogramme articulé, formé de deux bielles longitudinales et de deux éléments transversaux, et un palier de glissement se composant de deux éléments de palier mobiles l'un par rapport à l'autre, par le fait qu'au moins les bielles longitudinales sont de réalisation identique, par le fait que le palier de glissement est maintenu, avec l'un des deux éléments de palier, dans un palier de pivotement monté fixe dans la tourelle, à axe de pivotement transversal au sens de déplacement de l'autre élément de palier, par l'intermédiaire de l'un au moins des tourillons du palier de pivotement, et est fixé rigidement,
par l'autre des éléments de palier, à un élément transversal, et par le fait que le tourillon du palier de pivotement relié à l'un des éléments de palier, d'une part, et l'autre élément transversal, éloigné du palier de glissement, d'autre part, constituent les points d'attaque du dispositif d'accouplement auxquels l'arme et l'élément auxiliaire de l'arme sont fixés rigidement.
Le dispositif d'accouplement conçu selon la présente invention a pour avantage que des mouvements de translation de l'arme, dans le sens horizontal ou dans le sens vertical, que le jeu des paliers rendrait possibles ne mènent qu'à une déformation du parallélogramme articulé et/ou à un déplacement de l'axe de glissement dans le manchon de guidage du palier de glissement, mais ne provoquent aucun mouvement de rotation du manchon de guidage dans le palier de pivotement. Seul un mouvement de pivotement vertical du canon de l'arme et du blindage de l'arme fixé à celui-ci mène à un pivotement du manchon de guidage et, par conséquent, à un pivotement angulaire correct de l'élément auxiliaire de l'arme.
Même les variations de température n'entraînent pas d'erreurs de transmission. Les bielles longitudinales du parallélogramme articulé, qui passent à l'intérieur de la tourelle, ne sont, de loin, pas exposées aux variations de température élevées qui agissent sur la carcasse métallique de la tourelle. Etant
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donné la forme de réalisation identique des bielles longitudinales, d'éventuelles variations de température ne mèneront qu'à d'égales modifications de longueur de ces deux bielles. Du fait de leur forme de réalisation identique encore, les deux bielles longitudinales ont un comportement d'oscillation identique.
Les oscillations identiques des deux bielles longitudinales ne déterminent toutefois encore qu'une oscillation de l'axe de glissement dans le manchon de guidage et elles restent sans influence sur l'élément auxiliaire de l'arme, de telle sorte que des erreurs de transmission dynamiques sont exclues. Le parallélogramme articulé peut être réglé à l'extérieur de la tourelle, ce qui évite toutes opérations de réglage, qui prendraient beaucoup de temps, à l'intérieur de la tourelle même.
Une particularité avantageuse de réalisation de la présente invention est énoncée dans la revendication 2. Etant donné cette particularité, un seul palier de pivotement, monté dans la tourelle, est nécessaire pour l'élément auxiliaire de l'arme et pour le palier de glissement.
Une autre particularité avantageuse de réalisation de l'invention est énoncée dans la revendication 3. Grâce à la fixation de l'élément transversal éloigné du palier de glissement à la face postérieure du blindage de l'arme, le dispositif d'accouplement peut, conformément aux conditions de montage géométriques possibles, être prévu à l'endroit le plus favorable. Un usinage du blindage de l'arme, qui mènerait en tout cas à un affaiblissement de celui-ci, est totalement superflu.
Une autre particularité encore de réalisation de la présente invention est énoncée dans la revendication 4. Dans ce cas, l'élément transversal éloigné du palier de glissement n'existe pas, mais il faut accepter l'inconvénient qui découle de ce que le parallélogramme articulé ne peut plus être réglé à l'extérieur de la tourelle.
Une autre particularité avantageuse de l'invention est énoncée dans la revendication 5. Etant donné la prévision de la traverse montée entre les bielles longitudinales, sur
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lesquelles cette traverse prend appui et auxquelles elle est articulée, des oscillations de faible ordre de grandeur dans le parallélogramme articulé peuvent être compensées.
La tourelle de blindé qui fait l'objet de la présente invention sera décrite ci-après de façon plus amplement détaillée, à l'aide d'un exemple de réalisation qui est illustré par les dessins schématiques annexés à ce mémoire.
Dans ces dessins, la figure 1 est une vue arrachée qui représente, en coupe longitudinale, une tourelle de blindé ; la figure 2 est une vue en perspective qui représente l'arme, le dispositif d'accouplement et l'élément auxiliaire de l'arme de la tourelle de blindé que l'on peut voir en partie sur la figure 1, et la figure 3 est une vue en perspective qui représente un élément transversal du dispositif d'accouplement que l'on peut voir sur la figure 2 qui répond à un autre exemple de réalisation.
La tourelle de blindé, que l'on a représentée schématiquement sur la figure 1 des dessins ci-annexés par la partie antérieure, désignée par 10, de son bord périphérique, porte une arme 11, pouvant pivoter verticalement, qui est, dans le cas de cet exemple de réalisation, un canon de blindé. Une découpure 12, prévue à cet effet dans la tourelle, est couverte par un blindage 13 ou bouclier. Le blindage 13 de l'arme entoure le canon proprement dit 14 de l'arme et est fixé rigidement à celui-ci. Le blindage 13 de l'arme porte de chaque côté un tourillon 16 qui suit une direction transversale par rapport à celle de l'axe longitudinal 15 du canon 14, les deux tourillons étant contenus dans des coussinets 17 d'un palier de pivotement 18 solidaire de la tourelle.
En un endroit convenable de la tourelle est monté un élément auxiliaire de l'arme, qui est prévu de façon qu'il puisse également pivoter dans le sens vertical. Cet élément auxiliaire de l'arme est ici un indicateur de position de l'arme 19, qui se présente sous la forme d'un résolveur, cet indicateur de position
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étant guidé de façon forcée par l'arme 11 et indiquant sous forme de grandeur électrique la position que l'arme 11 a prise par pivotement. L'indicateur de position de l'arme 19 est accouplé à l'arme 11 par l'intermédiaire d'un dispositif d'accouplement 20 de telle façon qu'un angle de pivotement 0 (de l'arme 11 dans le sens vertical détermine un pivotement de l'indicateur de position de l'arme 19 d'un angle vertical égal 0 (.
Le dispositif d'accouplement 20 est formé d'un parallélogramme articulé 21 et d'un palier à glissement 22. Le parallélogramme articulé 21 se compose de deux bielles longitudinales 23 et 24 et de deux éléments transversaux 25 et 26 qui sont reliés entre eux par des articulations 27 présentant avantageusement trois degrés de liberté. Les deux bielles longitudinales 23 et 24, au moins, sont réalisées de façon identique, c'est-à-dire qu'elles sont faites de la même matière et présentent la même épaisseur et la même longueur. Le palier de glissement 22 comporte un manchon de guidage 28 et un axe de glissement 29 pouvant coulisser dans le manchon de guidage. L'axe de glissement 29 est fixé rigidement à l'un des éléments transversaux du parallélogramme articulé 21, l'élément transversal 25, auquel il est par conséquent solidaire.
Le manchon de guidage 28 du palier à glissement 22 est contenu dans un palier de pivotement 30 qui est monté fixe sur la tourelle. L'axe 31 du palier de pivotement 30 suit une direction perpendiculaire à celle du coulissement de l'axe de glissement 29. Du manchon de guidage 28 partent transversalement deux tourillons 32 et 33 qui, avec des coussinets 34, forment le palier de pivotement 30. Le tourillon 33 se prolonge au-delà des coussinets 34 et il porte, à l'extrémité opposée à celle par laquelle il rejoint le manchon de guidage 28, l'indicateur de position de l'arme 19, qui y est fixé rigidement et en est donc solidaire, de telle sorte qu'il effectue le même mouvement de pivotement que le manchon de guidage 28.
L'autre élément transversal, c'est-à-dire l'élément transversal 26, qui est éloigné du palier de glissement, est fixé rigidement à la face postérieure 35 du blindage 13 de l'arme. L'élément transversal 26 du
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parallélogramme articulé 21, qui est éloigné du palier de glissement, et le tourillon 34 du palier de pivotement 30 forment par conséquent les points d'attaque du dispositif d'accouplement 20 sur l'arme 11, d'une part, et sur l'indicateur de position de l'arme 19, d'autre part.
L'élément transversal 26 du parallélogramme articulé 21, qui est éloigné du palier de glissement 22, peut être fixé au blindage 13 de l'arme 11 en un point quelconque de la face postérieure de celui-ci, de telle sorte qu'il peut être tenu compte sans difficulté des conditions géométriques de montage de l'indicateur de position de l'arme 19 et du dispositif d'accouplement 20.
Afin que des oscillations de faible ordre de grandeur soient évitées dans le cas où les bielles longitudinales 23 et 24 sont de longueur relativement grande, le parallélogramme articulé 21 est muni d'une traverse 36 qui prend appui au milieu des bielles longitudinales 23 et 24 et est articulé à celles-ci.
Si l'on fait pivoter l'arme 11 de l'angle cx/, (voir figure 1) dans le sens vertical, c'est-à-dire dans le plan du dessin selon la figure 1, le mouvement de pivotement de l'arme est transmis au manchon de guidage 28 du palier de glissement 22, par l'intermédiaire du parallélogramme articulé 21, qui se déforme de façon correspondante. Le manchon de guidage 28 se déplace du même angle dans son palier de pivotement 30 (voir figure 1). Etant donné l'accouplement rigide, par le tourillon 33, de l'indicateur de position de l'arme 19 au manchon de guidage 28, un mouvement de pivotement vertical identique, de l'angle c,, est imprimé à l'indicateur de position de l'arme 19.
A la sortie électrique de l'indicateur de position de l'arme 19 ou résolveur, il peut être relevé une grandeur électrique correspondante.
Les mouvements verticaux et horizontaux de l'arme 11 dans son palier de pivotement 18 (jeu du palier) déterminent une déformation du parallélogramme articulé 21 et un coulissement de l'axe de glissement 29 dans le manchon de guidage 28, mais ne donnent toutefois lieu à aucune rotation du manchon de guidage 28 dans son palier de pivotement 30. Les modifications de longueur
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que les deux bielles longitudinales 23 et 24 du parallélogramme articulé 21 peuvent subir sous des effets de la température sont d'égale grandeur, étant donné que ces bielles se présentent sous la même forme de réalisation, et elles ne déterminent également qu'un coulissement de l'axe de glissement 29 dans le manchon de guidage 28, à l'exclusion de tout mouvement de rotation de ce manchon de guidage.
L'application de la présente invention n'est pas limitée à l'exemple de réalisation qui a été décrit ci-dessus.
Ainsi, au lieu de l'indicateur de position de l'arme 19, comme élément auxiliaire, il peut également être utilisé une hausse de pointage, guidée de façon forcée par l'arme 11. L'agencement et le mode de fonctionnement ne sont pas modifiés.
Il est également possible de ne pas prévoir l'élément transversal 26 du parallélogramme articulé 21 qui est éloigné du palier de glissement et d'attribuer le rôle de cet élément transversal au blindage 13 de l'arme. Dans ce cas, les bielles longitudinales 23 et 24 devraient, séparées l'une de l'autre de la distance définie qui correspond à la longueur de l'élément transversal 25, être articulées à la face postérieure 35 du blindage 13 de l'arme 11.
De plus, il est possible de prévoir le dispositif d'accouplement 20 inversé de telle façons que les points d'attaque de ce dispositif sur l'arme 11 et sur l'indicateur de position de l'arme 19 soient interchangés, l'élément transversal 26 étant alors fixé à l'indicateur de position de l'arme 19 et le tourillon 33 étant relié à l'arme 11, et ce, par l'un des tourillons 16 du blindage.
De même, le manchon de guidage 28 et l'axe de glissement 29, en ce qui concerne leur agencement par rapport à l'élément transversal 25 et au palier de pivotement 30, peuvent être interchangés. Dans un tel cas, le manchon de guidage 28 est fixé rigidement à l'élément transversal 25, tandis que l'axe de glissement 29 est monté de façon à pouvoir pivoter dans le palier de pivotement 30 par l'intermédiaire des tourillons de pivotement
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32 et 33. Cet agencement assure bien une liaison plus favorable de l'élément transversal 25 et du palier de glissement 22, mais il en résulte que de plus importantes masses sont déplacées, ce qui peut entraîner le risque de vibrations.
La figure 3 des dessins ci-annexés illustre une forme de réalisation particulièrement avantageuse dans le cas de laquelle les éléments transversaux 25 et 26 sont des éléments en croix faisant ressort 37. Ces éléments en croix faisant ressort 37 se prêtent à compenser un décalage, dû aux tolérances, du point d'attaque du dispositif d'accouplement 20 sur l'arme 11 ou sur l'axe du palier de pivotement 22 monté fixe sur la tourelle du blindé, ce qui permet d'éviter un éventuel réajustage après le montage du dispositif d'accouplement 20 dans la tourelle du blindé.
Dans ce cas, le dispositif d'accouplement 20 est monté de telle façon que le plan sous-tendu par les bielles longitudinales 23 et 24, et un plan croisant le sens de déplacement du palier de glissement 22 soient au moins approximativement parallèles l'un à l'autre, ainsi qu'à un plan croisant le plan de l'axe longitudinal 15 du canon.
Les liaisons articulées du parallélogramme articulé 21, entre les bielles longitudinales 23 et 24 et les éléments transversaux 25 et 26 sont prévues, dans le cas où ces éléments en croix faisant ressort 37 sont utilisés comme éléments transversaux 25 et 26, sous la forme d'articulations 27 avec un degré de liberté tel que celui que donne un palier de pivotement 30. Chacun des éléments en croix faisant ressort 37 est formé de deux éléments de montage prismatiques 38 et 39 qui, lorsque leurs diagonales de surface 40 et 41, qui sont dessinées en traits pointillés sur la figure 3 des dessins ci-annexés, sont en alignement, se rejoignent par leurs arêtes longitudinales respectives 42 et 43. Les deux éléments de montage 38 et 39 sont fixés l'un à l'autre par des bandes de ressort 44 et 45,46, qui sont disposés en croix.
Les extrémités des bielles longitudinales 23 et 24 sont articulées à l'un des blocs de montage, le bloc de montage 38, sur des axes de pivotement respectifs 47 et 48, qui
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sont transversaux à l'arête longitudinale précitée 42, tandis qu'à l'autre bloc de montage, le bloc de montage 39, sont fixés rigidement, dans le cas de l'élément transversal 26, l'arme 11 et, dans le cas de l'élément transversal 25, l'axe de glissement 29 du palier de glissement 22.