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"Machine automatique à zones de travail multiples".
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Cette invention est relative à une machine caracté par une pluralité de zones de travail de nature égale ou dit rente, en vue de produire à rythme accéléré et à taux d pro tivité maximum des produits industriels Boit utilisables tel quels, soit généralement utilisables dane la réalisation d'a ges ou pièces plus complexes.
Un exemple non limitatif d'une telle production pe ladite machine à zones de travail multiples concerne la préi tion des éléments nécessaires à l'exécution de châssis métal pour ouvrants ou dormants.
De tels éléments de châssis métalliques eont tradi nellement exécutés à partir de profilés extrudés en alliage
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En atelier ces profilés sont coupée à longueur, les deux bouts sont coupés à 45 :est enauite d4coupé le eu les troua nécessaires au mécanisme de fermeture; sont également torée lee troue néces- saires à la fixation des éléments de fermeture, éléments de charnière, etc...
;,'en différentes opérations sont réalisées par stations distinctes des profilés métalliques en mettant en oeuvre des machinez individuelles.
Cette fabrication traditionnelle non seulement eet longue et coûteuse nais elle implique une coordination et la mobilisation d'une abondante main-d'oeuvre spécialisée.
Un autre inconvénient encore se trouve dans le fait de devoir immobiliser fréquemment une partie importante de l'équipe- mont industriel, les différentes opérations requérant des durées inégales pour être exécutées.
Un autre inconvénient encore de la technique tradition- nelle se trouve dans la nécessite d'immobiliser fréquemment, à proximité de chaque machine propre à une phase de travail, les quantités importantes de profilée,, ce qui implique l'immobiliea- tion de grandes surfaces d'atelier et aussi la solution de pro- blèmes de manutention, toutes choses ooopérant à l'augmentation sensible du coût de la fabrication.
L'invention a peur but d'écarter systématiquement tous ces inconvénients en mettant en oeuvre une machine automatique à zones de travail multiples capable de pratiquer, sur une longueur donnée de profilés, toutes les opérations nécessaire* à amener ce profilé en état de pouvoir être assemblé avec d'autres profilée semblablement préparés en vue de la fabrication industrielle de tout genre de chassie.
Il va de soi évidemment- que la fabrication de châssis n'est ici considérée qu'à titre d'exemple, la machine selon l'invention pouvant être adaptée à une quantité pratiquement
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infinie de réalisations pratiques à partir de pièces longiformes de tout genre et de toute nature.
La machine selon l'invention est essentiellement caractérisée en ce qu'elle consiste substantiellement en un bâti p articulier à deux étages de fixation, respectivement de commande, le premier étage étant présenté par une table allongée prenant appui sux le sol et le second étage étant constitué par une tête également allongée disposée en porte-à-faux et prenant appui sur ladite table inférieure;'des moyens pour la fixation de la pièce à mécaniser sur ledit niveau inférieur;
des moyens solidaires du niveau supérieur en vue d'assurer le sciage à dimensions des pièces à mécaniser et des moyens soli@aires du niveau inférieur pouvant assurer les différentes phases de mécanisation, tous ces moyens étant disposés en sorte de libérer ledit niveau inférieur en vue de pouvoir aisément y déposer, respectivement en enlever, les pièces à mécaniser.
A simple titre d'exemple, une exécution de la machine selon l'invention est schématisée en détail ci-après, sans aucun caractère limitatif, avec référence aux dessins annexés dams lesquels; la figure 1 représente en vue perspective schématique l'ensemble de la machine à zones de travail multiples selon l'in- vention ; la figure 2 représente à échelle agrandie la partie active de la machine selon la figure 1; la figure 3 est une vue approximativement selon la flèche F3 de la figure 2; la figure 4 est une vue latérale de la machine représent à la figure 1; la figure 5 est une'mie à éohelle agrandie de la partie indiquée en F5 à la figure 4; la figure 6 est une vue en direction de la flèche F6 de
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la figure 5 ;
la figure 7 est une coupe.selon la ligne VII-VII de la figure 6; la figure 8 est une vue en plan de la partie indiquée en F8 à la figure 1; la figure 9 est une vue latérale de la partie représentée à la figure 8; la figure 10 est une vue en plan de la partie indiquée en F10 à la figure 3; la figure 11 est une vue de face de la partie indiquée à la figure 10; la figure 12 représente schématiquement le dispositif de fixation indiqué par la flèche F12 dans la figure 3; la figure 13 représente, en vue en plan, le dispositif représenté à la figure 12; la figure 14 est unevue en direotion de la flèche F14 de la figure 13; la figure 15 est une coupe selon la ligne XV-XV de la figure 12;
la figure 16 représente, à titre d'exemple, un produit industriel mécanisé par la machine objet de l'invention.
La machine à zones de travail multiples selon l'inven- tion et décrite ci-après en se référant aux dessins annexés est conditionnée, sans aucun caractère limitatif, pour la mécanisation d'un produit industriel tel que représenté à la figure 16 et se présentant sous la forme d'un élément de châssis prêt à être inclus dans une fabrication industrielle.
De tels produits indus- triels susceptibles d'être fabriqués à grand rendement et à bas prix de revient par la mise en oeuvre d'une machine selon l'in- vention permettent de développer une économie nouvelle dans la mesure où ces produite sont eux-mêmes considérés, pour l'exploi- tant de la machine, comme produits finis susceptibles d'être
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livrés tels quels à la clientèle en vue de permettre à celle-ci de faire tous assemblages pour destinations appropriées.
Considérant la figure 16, on a affaire à un tronçon de profilé a de longueur hors tout L dont les bouts b-c peuvent être droits ou à 45 selon les applications; en l'occurrence, lesdits profilés a présentent deux boutonnières allongées d-e et, vers le centre, disposés en triangle, trois trous taraudés f-g-h.
Dans l'exemple choisi, la machine illustrée et décrite est conditionnée pour pouvoir, dans l'ordre, accomplir les opérations successives suivantes : immobiliser correctement et fermement le profilé à mécaniser a sur le banc de la machiner couper la pièce à dimensions L prédéterminées en orientant cor- rectement les faces d'about b-o au prorata de la destination de la pièce; fraiser les boutonnières oblongues d-e; forer et taraud les trous médians f-g-h et libérer la pièce de manière à pouvoir l'enlever et la remplacer instantanément par une pièce suivante.
En vue d'accomplir ce cycle opérationnel complet, en l'occurrence la machine, dont les éléments essentiels sont repré- sentés aux dessinn annexés, est conditionnée et fonctionne de la manière suivante: le bâti 1 se présente sous la forme d'une barre longitudinale susceptible d'être prolongée au prorata des zones d travail complémentaires à adjoindre éventuellement à une machine unitaire. En l'occurrence, ce banc a une longueur supérieure à la longueur L du produit industriel à mécaniser.
Ce banc est surmonté en forme de potence d'une tête g formant chemin de guidage et de soutien de certains outillages de la machine, cette tête prenant appui sur ledit bâti, en l'occurre: ce par au moins un montant 3. Par cette disposition générale, il est possible de maintenir entièrement dégagée en permanence la partie du banc 1 destinée à recevoir le support du produit indus- triel à mécaniser.
Les différents outillages avec leur moyen d'entrafnemen
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prennent appui soit sur le bâti soit sur la tte et sont condi- tionn6ea en aorte de permettre tout mouvement nécessaire aux pièces à mécaniser tant pour les amener en position de fixation avant lo travail de la machine que pour les évacuer systématique- ment.
Les dispositifs de fixation de l'élément à mécaniser, par exemple d'un profil métallique, eont, dans la machine décrite et pour l'exécution de l'élément représenté à la figure 16, dis- posés en trois endroits bien distincts, c'est-à-dire, respective- ment, en l'occurrence, un dispositif de fixation correspondant à la proximité des deux extrémités du profilé et le troisième dis- positif de fixation étant aménagé au centre dudit profilé.
Le dispositif de fixation médian et qui correspond à l'endroit prédéterminé pour le forage, respectivement le taraudage, des trous f-g-h consiste essentiellement, tel que représenté aux figures 8 et 9, en un support 1 présentant des lumières en nombre, position relative et dimensions déterminées par la nécessité, pour les outils de forage et de taraudage, de pouvoir traverser ledit support. Ce dernier est fixé sur une table 1 disposée transversalement sur le susdit bâti 1. Contre la support 1 est placé le profil a, lequel y est fermement appuyé par la sollicita- tion des extrémités libres de doigts coudés, respectivement 6-7. lesquels sont, chacun, via un pivot, respectivement 8-9, montés à charnière sur le côté de la susdite table 5.
L'autre extrémité du bout libre desdits doigts 6-7 est articulée sur un axe commun 10, lui-même relié à la tige 11 d'un vérin hydraulique 12 fixé sous ladite table 5.
La fixation, respectivement la libération, du profilé a au moyen d'un tel dispositif est extrêmement simple. En effet, lorsque ledit profilé a est placé contre ledit support 4, il suffit de mettre sous pression le vérin 12 d'une telle manière que les extrémités libres des doigts 6-7 soient fortement pressées
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contre le profilé a lequel, à son tour, est fermement pressé contre le support 4 pendant toute la durée du travail de mécanisation.
Les dispositifs de fixation du profilé a, vers chacun de ses deux bouts, c'est-à-dire vers les dispositifs de sciage, consistent, chacun, comme schématisé aux figures 12 et 13, en un bloc-support 13 fermement solidarisé à la table 14 faisant partie du dispositif de sciage mobile. Le profilé a peut être fermement appliqué contro ce bloo d'appui 13 par la bouta libres do deux doigts, respectivement 15-16 mutuellement superposée. Ces doigta sont librement articulés sur un pivct commun 17 qui est lui-même fixé sur la table 14. L'autre extraits libre de ces doigte 15-16 est montée à charnière sur un pivot commun 18. Ce dernier est solidaire d'un pont 19, lui-même fixé à la tige 20 d'un vérin 21 lequel est lui-même fixé sur la table 14.
Ledit pont 19 est réalisé d'une telle manière que, par sa partie longitudinale, il est disposé à un niveau inférieur à celui de la susdite table 14, ceci sein de ne pas contrarier le placement du profilé a. Dans ces conditions, il suffit, lorsque ledit profilé a est placé contre ledit bloc-support 13, de mettre en oeuvre le vérin 21 d'une telle manière que lesdits doigts 15-16, par leur bout libre, se déplacent vers le profilé a en calant fermement celui-ci entre lesdits doigts et ledit bloc- tablier 13.
Pour libérer le profilé a, il va de soi qu'il suffit de relâcher les deux vérins 12 et 21, d'une telle manière qu'agissant en sens inverse, ils libèrent les doigts de poussée, respective- ment de fixation correspondants.
Le dispositif de sciage des deux bouts des profilés à mécaniser est plus spécialement représenté dans les figures 5,6 et 7. On observera que, pour une exploitation d'une telle machine selon l'invention avec un rendement et une précision optima,
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quelle que soit l'orientation des troua de scie vers les deux boute du profila il aéra généralement jugé préférable de section- ner, sur une pete distance, à la fois les deux bouta.
Même s'il s'agit seulement d'une mise à longueur, dans lequel cas les -trous de soie sont perpendiculaires à l'axe longitudinal du profilé, on effectuera ce double sciage attendu qu'on est ainsi mathématique- ment certain de la longueur égal de tous les profilés mécanisée successivement attendu que leur longueur sera alors déterminée par la distance imnuable - pour le cas considér6 - entre les deux scies circulaires.
Le même avantage se retrouve d'ailleurs dans le cas très fréquent où les deux bouts du profilé doivent être coupés en biaeau, généralement avec une inclinaison de 45 par' rapport à l'axe longitudinal du profilé, notamment dans tous les cas où ceux-ci sont perforés, respectivement mécanisés, en vue de produire ultérieurement des assemblages pour châssis, encadre- mente et autres éléments de constructions métalliques analogues.
Chaque mécanisme de sciage consiste principalement en un châssie 22 présentant un profil général en U qui, d'une part, est suspendu d'une manière mobile à la tête 2 et, d'autre part, est assujetti d'une manière déplaçable sur ledit bâti 1.
Vers sa partie supérieure, ce, châssis 22 est surmonté d'une structure 23 dans laquelle sont montés deux galets de roule- . ment 24-25 systématiquement en contaot avec un chemin de roulement longitudinal 26, par exemple dans la forme d'une barre oylindrique fixée sur le flanc supérieur de la susdite tête 2. Dans ce but, lesdita galets de roulement 24-25 présentent une gorge périphé- rique.
Sur la face inférieure du flanc inférieur de ladite tête ?. est fixée une tringle longitudinale 27 servant de chemin de guidage et de roulement à deux galete de roulement, respective- ment 28-29, dont les axes sont fixés sur le châssis 22 précité, cependant que, contre ce flanc inférieur de la tête des galets
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de roulement, respectivement sont montra toua sur leur 8X( respectivement -21, prenant appui sur ledit'châanis U.
Le guai- dage du che as aie en U précité 22 par rapport au bâti pr,oité 1 ena effectué tel que représenté à la figure 4, essentiellement, de première part, par une paire de galets de roulement 4. présentan-t une gorge périphérique en contact avec une tringle cylindrique fixée sur l'un des flancs du bâti en forme de U.et, de deuxième part, par deux paires de galets de roulement, respectivement 6- dont les axes sont fixés sur la table précitée 11 formant le pro- longement horizontal du flanc inférieur du châeeia en forme de U 21 et, de troisième part, par une paire de galets de roulement 38 les galets de roulement 12.-21 ainsi que les galets de roule- ment ,8 coopèrent, chacun, avec. l'un des cotés d'uno barre à section carrée j9 fixée sur ledit bâti en forme de U.
De cette manière est obtenue une suspension efficace du châssis en força de U qui, effectivement, porte le dispositif de sciage à partir duquel le déplacement dudit ch4ssiat rcspectivement du dispositif de sciage, est obtenu à l'intervention d'une roue de manoeuvre ± reliée audit châssis et pourvue d'une roue dentée 41 qui, elle- même, coopère avec la tringle précitée 2 qui, à cet effet, pré- sente une denture sur eon bord inférieur.
Sous le flanc supérieur z du châssis j22 en forme da U est prévu un disque cylindrique 12 lequel est, à certaines placet bien déterminées pourvu de parties creuses susceptibles de coopé. rer avec une tige filetée Ai laquelle est pourvue, à son autre extrémité, d'un bouton de manoeuvre 11 coopérant avec un écrou 4, fixé sur le flanc il précité. Sous ledit disque !2 est fixée une plaque-support horizontale 4? à laquelle est suspendue une colonne verticale 48. Autour de cette colonne est disposé un manchon 9 verticalement déplaçable susceptible d'être immobilis, dans chaque position convenante par rapport à ladite colonne 48.
A chaque côté de ce manchon 4¯g. est prévu un axe, respectivement
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50-51, autour duquel les flancs, respectivement 52-53, sont montée fous, Ces fiança sont mutuellement accouples par une traverse 54 dans laquelle deux paires de chevilles filetées, respectivement
55-56, sont disposées. Les extrémités libres de ces chevilles filetées 55-56 coopèrent avec la plaque d'assise 57 d'un moteur électrique 58 en sorte que, de la manire connue, on puisse régler la tension de la courroie d'entrafnement qui coopère, d'une part, avec la poulie 60 calée sur l'axe dudit moteur et, d'autre part, avec la poulie 61 calée sur l'axe µ? sur lequel est fixée la scie circulaire proprement dite 63.
Sur le dispositif de transmission
59-60-61 est disposé un enveloppement 64 sur lequel est fixée une poignée 65 cependant qu'autour de la soie circulaire 63 est égale- ment diaposé un enveloppement de protection 66.
Sur la plaque d'appui horizontale 47 (voir aussi figure 2) eat, via une broche 67, fixé à charnière un support 68 sous lequel est fixé un vérin 69 dont la' tige 70 est reliée à une plaque 71.
Celle-ci est pourvue d'une proéminence 72 qui est montée rotative-. autour d'une cheville 73 fixée sur le susdit flanc 52. De même, sur ladite plaque 68 est prévu un deuxième vérin 74, dont la tige
75 prolongée passe librement au travers d'un orifioe prévu, à cet effet dans ladite plaque 71. Ladite tige 12 est pourvue de butées réglables, respectivement 76-77, placées, respectivement au-dessue et en dessous de la susdite plaque 71. Sur la susdite plaque 71 eat fixée une tige verticale 78 pourvue, aux endroits convenables, de butées, respectivement 79-80, pouvant ooopérer aveo des mioro- contacta, respectivement 81-82.
Afin de pouvoir déplacer le dispositif de sciage dans la direction longitudinale de la machine, il est suffisant de manoeuvrer le volant 40 dans la direction convenable en sorte que la roue dentée 41 engrène avec la crémaillère 27 en manière telle que l'ensemble du dispositif peut être déplacé soit vers la gauche, soit vers la droite de la machine, ledit dispositif étant guidé
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par rapport à la tête horizontale 2 et du bâti 1 via les galets précités 24-25, 28-29, 30-31, 34, 36, 37, 38.
En vue de placer la scie 63 dans une position angulaire déterminée, il est suffisant de dégager la tige filetée 44 du creux correspondant du disque 43 afin de faire tourner l'ensemble du dispositif de sciage, y compris ledit disque 43,par rapport au flanc 42 du châssis 22, et, ensuite, ramener ladite tige filetée 44 à nouveau dans le creux correspondant du disque 43 afin de bloquer le dispositif de sciage dans ladite position angulaire.
Lorsque le profilé a eat bloqué de la manière convenante on va influencer le vérin 69 d'une telle manière que sa tige de piston 70 se déplace hors du oorp3 du vérin. Ladite tige repousse la plaque 71 vers le bas laquelle, à son tour, via la proéminence 72 et la cheville 73 des flancs 52-53, culbute ensemble autour des axes 50-51. Par ce mouvement de basculement, la scie 63, qui est soutenue par le flanc 53 via son axe ±, se déplace vers le profil a et ceci dans un temps relativement rapide. Lorsque la scie 63 va atteindre approximativement le bord supérieur du profilé a, la plaque 71 est venue en contact avec la butée 76 qui est prévue sur la tige 78.
Par ce fait, le mouvement de la scie 63 autour de l'axe 50-51 est freiné en raison du fait que le verin 73 travaille comme amortisseur par rapport au vérin 69. On obtient ainsi que les déplacements de la scie circulaire 63 sont oonstants et cela d'une telle manière que la vitesse d'abaissement de ladite scie est proportionnée au matériau à scier. Lorsque la butée 80 qui se trouve sur la tige 78 vient en contact avec le microcontacteur 81, via une valve appropriée et non représentée, vers le vérin 69, est inversée d'une telle manière que l'ensemble du dispositif de sciage revient à nouveau vers le haut et cela tant que la butée 79 vient en contact avec le microcontacteur 82.
A ce mocsnt, le dispositif de sciage se trouve dans sa position d'attente et eera à nouveau amené en fonctionnement lorsque nécessaire.
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Pour amener éventuellement la soie 63 manuellement en contact avec la profilé a, il est suffisant de manoeuvrer la poignée 65. Le dispositif destiné à la formation des boutonnières d-e dane le profil cet fixé en bout de la table précitée 14, en sorte que ce dispositif, via la roue dentée 40, peut être déplacé conjointement avec le dispositif de sciage en direction longitu- dinale de la machine. Ce dispositif consiste principalement en une plaque-support horizontale 83 qui, via une cheville 84, est fixée à charnière par rapport au tablier 14 précité et duquel la plaque 83, d'une part, sert de support pour un moteur électrique d'entraînement 85 et, d'autre part, pour une fraiseuse circulaire 86 calée sur un axe 87 lequel est monté fou sur la plaque support 83.
L'axe 87 est pourvu d'une poulie à gorge 88 pour courroie en V qui, via une courroie en V 89, est reliée à une poulie .20 calée sur l'axe 91 du moteur précité 85. Autour de ladite fraiseuse circulaire 86 est prévue une protection 92 cependant que, semblablement, autour du dispositif de transmission 88-89-90, est également disposée une protection 93. Le support préoité 83 est, de plus, via une cheville 94, relié à charnière avec une languette 95 qui, elle-même, est fixée sur une plaque 96. Sur cette dernière est fixée l'extrémité libre de la tige de piston 97 d'un vérin hydrauljque 98.
Le carter de ce dernier est relié à un levier 99.monté d'une manière libre sur une cheville 100 .fixée sur la table précitée 14. Le vérin 98 est disposé entre deux plaques, respectivement 101-102,servant de support à un deuxième vérin, 103. La tige de pieton 104 de ce dernier passe ,librement au travers d'une ouverture prévue à cet effet dans la .plaque 96 et, à des endroits convenables de cette tige, sont disposées des butées, respectivement 105-106.
Sur la plaque 96 est encore fixée une tige 107 également pourvue,en des endroits convenables, de butées, respectivemant 108-109, susceptibles de coopérer avec des miorocontacteurs 110-111. Lorsqu'on influence
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le vérin g8 en sorte que sa tige de piston ne dégage, on obtient que la plaque de support fi culbute autour de son centre 84 en sorte que la fraise 86 se déplace vers le profilé a. Loroque ladite fraise 86 entre approximativement en contact ave.o ledit profilé a, la plaque 6 entre en contact aveo la butée lot de la tige 10,, ce qui a pour effet, dès ce moment, de freiner le déplacement de la fraise 86 en raison du fait que 'le vérin 103 agit comme amortisseur.
Tout comme il a été expeoé précédemment pour le diepositif de sciage, on obtient également ici un d6p!acq ment constant de la fraise 86 qui est réglée d'une telle manière que sa vitesse de coupe soit maintenue en rapport avec la nature du matériau à fraiser. lorsque la butée 109 de la tige z solli. cite le microcontacteur 111, l'admission du fluide sous pression au vérin 98 est inversée en sorte que la fraise 86 culbute en arrière autour de son centre do rotation 8 et cela tant que la butée 108 du microcontacteur 109 est influencée. A ce moment, ledit dispositif de fraisage eat ramené en position d'attente.
Le dispositif pour le forage des trous f-fi-h dudit profilé a, comme représenté plus particulièrement dans la partie droite des figures 8 et 9, est constitué substantiellement par un nombre correspondant de forets, on l'occurrence les troia forets, respectivement 112-113-114, lesquels sont entraînés à partir d'une couronne commune 1 connue en soi. Cette dernière est entraînée via un axe 116 sur lequel est montée transversale- ment déplaçable une poulie ou une roue à chaîne 113, laquelle, vi une transmission 118, est reliée à une poulie ou une roue à chaîne ll, elle-même fixée sur l'axe 120 d'un moteur électrique 121. L'axe précité 116 traverse un vérin àgz dont le piston de même que la tige de piston est creux en sorte de permettre le libre passage de l'axe précité 116.
Le vérin 122 est fixé sur la table 5, l'axe 116 étant, de toute manière convenable, supporté en bout de ce vérin lequel, à son tour, repose sur la table 5.
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La tige creuse dégagée 123 du vérin 122 est, via une plaque 124, reliée au carter de ladite couronne 115. Par rapport à ladite table 5 est encore fixé un vérin 125 duquel la tige dégagée 126 passe au travers d'une ouverture prévue à cet effet dans la plaque précitée 124, ladite tige 126 comportant deux butées, respectivement 127-128. Finalement, sur la plaque 124 est encore fixée une tige 129 qui est également, en des endroits convenables, pourvue de butées, respectivement 130-131. d'une telle manière convenante qu'elle puisse coopérer avec le micro, oontaoteur, respectivement 132-133.
Le mouvement de rotation des forets 112-113-114 est produit de maniera simple, via le moteur 121, la transmission 117-119 et l'axe 116 qui commande la couronne 115. Pour produire l'avancement des foreta, on alimente le vérin 122 en sorte d'en dégager la tige 123. Lorsque, par ce moyen, la plaque 124 vient en contact avec la butée 127, le vérin 125 entre en fonctionnement, freine le mouvement d'avancement dea forets dont la vitesse sera déterminée en fonction ou en rapport du matériau à forer. Ce mouvement d'avancement desdite forets se poursuit jusqu'au moment où la butée 130 vient en contact avec le microcontacteur 122 par lequel l'admission du fluide sous pression, via le vérin 123, sera automatiquement inversée.
Les forets 114,dès ce moment, entameront leur mouvement de recul, respectivement d'effacement.
Ce dernier mouvement sera arrêté lorsque la butée 131 de la tige 129 viendra en contact avec le microcontacteur 133.
Le dispositif pour le taraudage du filet dans les sus- dits trous taraudés est représenté principalement dans la partie gauche des figures 8 et 9. Ce dispositif est réalisé par une pluralité de tarauds 134-135-136 susceptibles d'être entraînés par une couronne commune Cette dernière est, à son tour. susceptible d'être entraînée via un axe 138 sur lequel est disposée une poulie ou une roue à chafne 139 pouvant glisser
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transversalement et qui, via une transmission 140, est reliée à une poulie ou à une roue à chafne 141 qui, elle-même, est fixée sur l'axe d'un moteur électrique 142.
En rebord du dispositif de forage suadécrit et également sur la même table 5, eat fixé un vérin 143 qui, d'une manière similaire à celle du dispositif de forage, est pourvu d'un piston creux et d'une tige de piston creuse au travers desquels passe le susdit axe 138. La tige 144 de ce vérin 143 est, via une plaque 145, reliée à la susdite couronne commune 137. Par rapport à ladite table 5 est fixé un deuxième vérin 146 duquel la tige 147, dans sa position dégagée, passe au travers d'une ouverture appropriée prévue dans la plaque ladite tige 147 étant pourvue de autées, respectivement 148-149.
Enfin, sur la plaque 145 est encore prévue une tige
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150 portant des butéeej respectivement 151-, lesquelles pcuven ; coopérer avec des microcontacts appropriés, respectivement 15-121
Le fonctionnement de ce dispasitif de taraudage est approximativement similaire à celui du dispositif de forage sus- décrit. En effet, par alimentation du vérin 143, les taraude sont déplacés vers le profilé a et ceci à une vitesse relativement grande jusqu'au moment où la plaque 145 vienne en contact avec la butée 149, après quoi les tarauds sont freinés par le vérin
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I6 qui fait aussi office d'amortisseur. Les mouvements du dispoi3i tif de taraudage se poursuivent jusqu'au moment où le butée 152 de la tige 150 vient en contact avec le microcontacteur 154.
A ce moment, le vérin 143 opère d'une telle manière que les tarauds accomplissent leur mouvement de recul et ce jusqu'au moment où la butée 151 vient en contact avec le microcontacteur 153. Le dispositif de taraudage se trouve ainsi ramené en position d'attente.
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Ces différentes opérations, à l'aide de la môme machine, peuvent être assurées soit par des commandes individuelles
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successives ou simultanées des différents dispositifs d'entraîne- ment, soit d'une manière automatique à l'intervention de tout genre de programmateur jusque et y compris un programmateur électronique dont les principes sont actuellement bien connue en sci.
D'une manière générale, lorsqu'un profilé est mis en position correcte sur le bâti de la machina, il suffira soit de manoeuvrer un nombre d'organes égal au nombre d'opérations à réaliser, soit de solliciter un seul organe centralisateur mettant en mouvement tout le cycle opérationnel.
Dans la figure 1, notamment, on a représenté en 155 un tableau de commande électronique monté en bout d'une potence 156 de manière à être très accessible et bien visible. De même, l'alimentation des pièces à mécaniser pourra se faire soit manuellement une à une, soit par distributeur automatique, ce au prorata des genres de pièces à mécaniser.
Il va de soi également que les opérations successives ou simultanées de sciage, de fraisage, de forage et de taraudage n'ont été données qu'à simple titre d'exemple et ne présentent en soi absolument aucun caractère limitatif. On pourra ainsi dis- poser d'un certain nombre de mécanismes pratiquement pour tout genre de travaux de mécanisage; ces méoanismes ou dispositifs unitaires pourront être fixée de toute manière convenante sur la machine au prorata des travaux à effectuer. On pourra également allonger le bâti de la machine soit en vue de disposer de bâtis de plus grande longueur pour la mécanisation sur la base d'un programme plus complexe, soit disposer d'éléments unitaires susceptibles d'être placés bout à bout de telle sorte qu'à partir d'un certain nombre d'unités, on pourra organiser une fabrication mécanisée essentiellement variable.
L'industriel pourra ainsi, à l'aide de ces différentes unités, composer son atelier sous des combinaisons infinement variables au prorata des programmes de fabrication.
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Il est également possible d'envisager de conditionner le bâti g6néral de la machine avec sa tête en porte-à-faux en vue d'extension éventuelle même importante et de conditionner lesdits mécanismes ou dispositifs individuellement en sorte de pouvoir les adapter opportunément sur ledit bâti général.
L'invention concerne aussi bien les machines en soi sous toute forme généralement quelconque que ses parties oonsti- tutives caractéristiques et plus particulièrement les unités de travail pouvant intervenir dans des groupements appropriés au programme des travaux à exécuter.
REVENDICATIONS.
1.- Machine automatique à zones de travail multiples, caractérisée en ce qu'elle consiste substantiellement en un bâti particulier à deux étages de fixation, respectivement de commande le premier étage étant présenté par une table allongée prenant appui sur le sol et le second étage étant constitué par une tête également allongée disposée en porte-à-faur et prenant appui sur ladite table inférieure; des moyens pour la fixation de la pièce à mécaniser sur ledit niveau inférieur;
des moyens solidaires du. niveau supérieur en vue d'assurer le sciage à dimensions des pièces à mécaniser et des moyens solidaires du niveau inférieur pouvant assurer les différentes phases de mécanisation, tous ces moyens étant disposés en sorte de libérer ledit niveau inférieur en vue de pouvoir aisément y déposer,. respectivement en enlever, les pièces à mécaniser.
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"Automatic machine with multiple working areas".
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This invention relates to a machine characterized by a plurality of work zones of an equal nature or said rent, with a view to producing at an accelerated rate and at a maximum rate of profitability industrial products. ages or more complex parts.
A non-limiting example of such a production, eg said machine with multiple work zones, relates to the prei tion of the elements necessary for the execution of metal frames for openings or frames.
Such metal frame elements have traditionally been made from extruded alloy profiles.
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In the workshop these profiles are cut to length, the two ends are cut at 45: the cut is enauite with the necessary holes for the closing mechanism; the holes necessary for fixing the closing elements, hinge elements, etc. are also torée.
;, 'in different operations are carried out by separate stations of the metal profiles by implementing individual machinez.
This traditional manufacturing is not only long and expensive but it also involves coordination and the mobilization of an abundant specialized workforce.
Yet another drawback is found in the fact of having to frequently immobilize a large part of the industrial team, the different operations requiring unequal times to be carried out.
Yet another drawback of the traditional technique is found in the need to frequently immobilize, near each machine specific to a work phase, large quantities of profile, which implies the immobilization of large surfaces. workshop and also the solution of handling problems, all things cooperating with the appreciable increase in the cost of manufacture.
The aim of the invention is to systematically eliminate all these drawbacks by implementing an automatic machine with multiple working zones capable of performing, over a given length of profiles, all the operations necessary * to bring this profile into a state of being able to be used. assembled with other profiles similarly prepared for the industrial manufacture of any kind of chassie.
It goes without saying, of course, that the manufacture of frames is only considered here by way of example, the machine according to the invention being able to be adapted to a practically
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infinite number of practical creations from long pieces of all kinds and of all kinds.
The machine according to the invention is essentially characterized in that it consists substantially of a p articular frame with two fixing stages, respectively control stages, the first stage being presented by an elongated table bearing on the ground and the second stage being constituted by a head, also elongated, disposed in a cantilever manner and resting on said lower table; means for fixing the part to be mechanized on said lower level;
means integral with the upper level in order to ensure the sawing to dimensions of the parts to be mechanized and solid means of the lower level capable of ensuring the various phases of mechanization, all these means being arranged so as to free said lower level in view to be able to easily deposit, respectively remove, the parts to be mechanized.
By way of example, one embodiment of the machine according to the invention is shown diagrammatically in detail below, without any limiting nature, with reference to the accompanying drawings dams which; FIG. 1 shows in schematic perspective view the whole of the machine with multiple work zones according to the invention; FIG. 2 represents on an enlarged scale the active part of the machine according to FIG. 1; FIG. 3 is a view approximately along arrow F3 of FIG. 2; Figure 4 is a side view of the machine shown in Figure 1; Figure 5 is an enlarged half of the part indicated at F5 in Figure 4; Figure 6 is a view in the direction of arrow F6 of
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figure 5;
Figure 7 is a section on line VII-VII of Figure 6; Figure 8 is a plan view of the part indicated at F8 in Figure 1; Figure 9 is a side view of the part shown in Figure 8; Figure 10 is a plan view of the part indicated at F10 in Figure 3; Figure 11 is a front view of the part shown in Figure 10; FIG. 12 diagrammatically represents the fixing device indicated by the arrow F12 in FIG. 3; FIG. 13 shows, in plan view, the device shown in FIG. 12; FIG. 14 is a cross-sectional view of the arrow F14 of FIG. 13; Figure 15 is a section taken along the line XV-XV of Figure 12;
FIG. 16 represents, by way of example, an industrial product mechanized by the machine which is the subject of the invention.
The machine with multiple work zones according to the invention and described below with reference to the accompanying drawings is packaged, without any limiting character, for the mechanization of an industrial product as shown in FIG. in the form of a frame element ready to be included in industrial manufacture.
Such industrial products capable of being manufactured at high efficiency and at low cost by the use of a machine according to the invention make it possible to develop a new economy to the extent that these products are themselves. even considered, for the operator of the machine, as finished products capable of being
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delivered as is to customers in order to allow them to make all assemblies for appropriate destinations.
Considering FIG. 16, we are dealing with a section of profile a of overall length L whose ends b-c can be straight or at 45 depending on the applications; in this case, said sections a have two elongated buttonholes d-e and, towards the center, arranged in a triangle, three tapped holes f-g-h.
In the example chosen, the machine illustrated and described is conditioned to be able, in order, to perform the following successive operations: correctly and firmly immobilize the section to be mechanized a on the machine bench cut the part to predetermined dimensions L in correctly orienting the end faces bo in proportion to the destination of the part; countersink oblong buttonholes d-e; drill and tap the middle holes f-g-h and release the part so that it can be removed and replaced instantly with a next part.
In order to accomplish this complete operational cycle, in this case the machine, the essential elements of which are shown in the appended drawings, is conditioned and operates as follows: the frame 1 is in the form of a bar longitudinal line likely to be extended in proportion to the additional work zones to be added to a single machine. In this case, this bench has a length greater than the length L of the industrial product to be mechanized.
This bench is surmounted in the form of a bracket by a head g forming a guide and support path for certain tools of the machine, this head resting on said frame, in this case: this by at least one upright 3. By this In general, it is possible to keep the part of bench 1 intended to receive the support of the industrial product to be mechanized completely free at all times.
The different tools with their means of training
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are supported either on the frame or on the head and are condi- tioned in aorta to allow any movement necessary for the parts to be mechanized both to bring them into the fixing position before working the machine and to evacuate them systematically.
The devices for fixing the element to be mechanized, for example a metal profile, are, in the machine described and for the execution of the element shown in figure 16, arranged in three quite distinct places, c 'That is to say, respectively, in this case, a fixing device corresponding to the proximity of the two ends of the profile and the third fixing device being arranged in the center of said profile.
The middle fixing device and which corresponds to the predetermined location for drilling, respectively tapping, holes fgh consists essentially, as shown in Figures 8 and 9, of a support 1 having lights in number, relative position and dimensions determined by the need, for the drilling and tapping tools, to be able to pass through said support. The latter is fixed on a table 1 disposed transversely on the aforesaid frame 1. Against the support 1 is placed the profile a, which is firmly supported there by the stress of the free ends of bent fingers, respectively 6-7. which are each, via a pivot, respectively 8-9, hingedly mounted on the side of the aforesaid table 5.
The other end of the free end of said fingers 6-7 is articulated on a common axis 10, itself connected to the rod 11 of a hydraulic cylinder 12 fixed under said table 5.
The fixing, respectively the release, of the profile a by means of such a device is extremely simple. Indeed, when said section a is placed against said support 4, it suffices to pressurize the jack 12 in such a way that the free ends of the fingers 6-7 are strongly pressed.
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against the profile which, in turn, is firmly pressed against the support 4 throughout the duration of the mechanization work.
The devices for fixing the section a, towards each of its two ends, that is to say towards the sawing devices, each consist, as shown diagrammatically in Figures 12 and 13, of a support block 13 firmly attached to the table 14 forming part of the mobile sawing device. The profile can be firmly applied against this support block 13 by the free end of two fingers, respectively 15-16 mutually superimposed. These fingers are freely articulated on a common pivot 17 which is itself fixed on the table 14. The other free extracts of these fingers 15-16 is hinged on a common pivot 18. The latter is integral with a bridge 19, itself fixed to the rod 20 of a jack 21 which is itself fixed to the table 14.
Said bridge 19 is produced in such a way that, by its longitudinal part, it is arranged at a level lower than that of the aforesaid table 14, this within not to interfere with the placement of the section a. Under these conditions, it suffices, when said section a is placed against said support block 13, to implement the jack 21 in such a way that said fingers 15-16, by their free end, move towards the section a by firmly wedging it between said fingers and said apron block 13.
To release the section a, it goes without saying that it suffices to release the two jacks 12 and 21, in such a way that, acting in the opposite direction, they release the corresponding pushing fingers, respectively fixing ones.
The device for sawing the two ends of the sections to be mechanized is more particularly shown in Figures 5, 6 and 7. It will be observed that, for an operation of such a machine according to the invention with optimum efficiency and precision,
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whatever the orientation of the saw holes towards the two ends of the profila it will generally be judged preferable to cut, over a small distance, at the same time the two ends.
Even if it is only a cutting to length, in which case the silk holes are perpendicular to the longitudinal axis of the profile, this double sawing will be carried out, as we are thus mathematically certain of the equal length of all the successively mechanized profiles expected that their length will then be determined by the immutable distance - for the case considered6 - between the two circular saws.
The same advantage is found, moreover, in the very frequent case where the two ends of the profile must be cut crosswise, generally with an inclination of 45 relative to the longitudinal axis of the profile, in particular in all cases where these these are perforated, respectively mechanized, with a view to subsequently producing assemblies for frames, frames and other similar metal construction elements.
Each sawing mechanism consists mainly of a frame 22 having a general U-shaped profile which, on the one hand, is suspended in a movable manner from the head 2 and, on the other hand, is fixed in a movable manner on said frame 1.
Towards its upper part, this frame 22 is surmounted by a structure 23 in which are mounted two rollers. ment 24-25 systematically in contaot with a longitudinal raceway 26, for example in the form of an oylindrical bar fixed on the upper side of the aforesaid head 2. For this purpose, the said rolling rollers 24-25 have a groove peripheral.
On the underside of the lower flank of said head ?. is fixed a longitudinal rod 27 serving as a guide and rolling track with two rolling rollers, respectively 28-29, the axes of which are fixed on the aforementioned frame 22, while, against this lower flank of the head of the rollers
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bearing, respectively are shown toua on their 8X (respectively -21, resting on said 'chaanis U.
The guai- dage of the above-mentioned U-shaped cheek 22 relative to the frame pr, oité 1 ena performed as shown in Figure 4, essentially, firstly, by a pair of rollers 4. having a groove peripheral in contact with a cylindrical rod fixed to one of the sides of the U-shaped frame and, secondly, by two pairs of rolling rollers, respectively 6- whose axes are fixed on the aforementioned table 11 forming the horizontal extension of the lower flank of the U-shaped châeeia 21 and, thirdly, by a pair of rolling rollers 38 the rolling rollers 12.-21 as well as the rolling rollers, 8 each cooperate, with. one of the sides of a square section bar j9 fixed to said U-shaped frame.
In this way, an efficient suspension of the U-shaped frame is obtained which, in effect, carries the sawing device from which the displacement of said frame, respectively of the sawing device, is obtained through the intervention of a ± connected maneuvering wheel. said frame and provided with a toothed wheel 41 which itself cooperates with the aforementioned rod 2 which, for this purpose, has teeth on its lower edge.
Under the upper flank z of the U-shaped frame j22 is provided a cylindrical disc 12 which is, in certain well-defined places provided with hollow parts capable of cooperating. rer with a threaded rod Ai which is provided, at its other end, with an operating button 11 cooperating with a nut 4, fixed on the aforementioned sidewall. Under said disc! 2 is fixed a horizontal support plate 4? from which is suspended a vertical column 48. Around this column is disposed a vertically displaceable sleeve 9 capable of being immobilized, in each suitable position relative to said column 48.
At each side of this 4¯g sleeve. is provided an axis, respectively
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50-51, around which the sides, respectively 52-53, are mounted crazy, These fiança are mutually coupled by a cross member 54 in which two pairs of threaded plugs, respectively
55-56, are arranged. The free ends of these threaded dowels 55-56 cooperate with the base plate 57 of an electric motor 58 so that, in the known manner, the tension of the co-operating drive belt can be adjusted, on the one hand, with the pulley 60 wedged on the axis of said motor and, on the other hand, with the pulley 61 wedged on the axis µ? on which is fixed the circular saw proper 63.
On the transmission device
59-60-61 is disposed a wrap 64 on which is attached a handle 65, while around the circular tang 63 is also fitted a protective wrap 66.
On the horizontal support plate 47 (see also figure 2) is, via a pin 67, hingedly fixed a support 68 under which is fixed a cylinder 69 whose rod 70 is connected to a plate 71.
This is provided with a protrusion 72 which is rotatably mounted. around an ankle 73 fixed to the aforesaid flank 52. Likewise, on said plate 68 is provided a second jack 74, the rod of which
75 extended passes freely through an orifioe provided for this purpose in said plate 71. Said rod 12 is provided with adjustable stops, respectively 76-77, placed respectively above and below said plate 71. On the aforesaid plate 71 is fixed to a vertical rod 78 provided, at the appropriate places, with stops, respectively 79-80, which can ooperate with mioro-contacta, respectively 81-82.
In order to be able to move the sawing device in the longitudinal direction of the machine, it is sufficient to operate the handwheel 40 in the suitable direction so that the toothed wheel 41 meshes with the rack 27 in such a way that the entire device can be moved either to the left or to the right of the machine, said device being guided
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relative to the horizontal head 2 and the frame 1 via the aforementioned rollers 24-25, 28-29, 30-31, 34, 36, 37, 38.
In order to place the saw 63 in a determined angular position, it is sufficient to disengage the threaded rod 44 from the corresponding hollow of the disc 43 in order to rotate the entire sawing device, including said disc 43, relative to the sidewall 42 of the frame 22, and then bring said threaded rod 44 back into the corresponding hollow of the disc 43 in order to lock the sawing device in said angular position.
When the profile has been properly locked, the cylinder 69 will be influenced in such a way that its piston rod 70 moves out of the cylinder oorp3. Said rod pushes the plate 71 downwards which, in turn, via the protrusion 72 and the pin 73 of the flanks 52-53, tumbles together around the axes 50-51. By this tilting movement, the saw 63, which is supported by the sidewall 53 via its axis ±, moves towards the profile a and this in a relatively rapid time. When the saw 63 will approximately reach the upper edge of the profile a, the plate 71 has come into contact with the stop 76 which is provided on the rod 78.
By this fact, the movement of the saw 63 around the axis 50-51 is slowed down due to the fact that the jack 73 works as a damper with respect to the jack 69. It is thus obtained that the movements of the circular saw 63 are constant. and this in such a way that the lowering speed of said saw is proportional to the material to be sawed. When the stop 80 which is on the rod 78 comes into contact with the microswitch 81, via a suitable valve and not shown, towards the cylinder 69, is reversed in such a way that the whole of the sawing device returns again. upwards and this as long as the stop 79 comes into contact with the microswitch 82.
At this point, the sawing device is in its standby position and will be brought into operation again when necessary.
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To possibly bring the silk 63 manually into contact with the profile a, it is sufficient to operate the handle 65. The device intended for forming the buttonholes in the profile this fixed at the end of the aforementioned table 14, so that this device , via the toothed wheel 40, can be moved together with the sawing device in the longitudinal direction of the machine. This device consists mainly of a horizontal support plate 83 which, via a pin 84, is fixed to hinge relative to the aforementioned apron 14 and of which the plate 83, on the one hand, serves as a support for an electric drive motor 85 and, on the other hand, for a circular milling machine 86 wedged on an axis 87 which is mounted idle on the support plate 83.
The axis 87 is provided with a grooved pulley 88 for a V-belt which, via a V-belt 89, is connected to a pulley .20 wedged on the axis 91 of the aforementioned motor 85. Around said circular milling machine 86 A guard 92 is provided, however, similarly, around the transmission device 88-89-90, there is also a guard 93. The preooperative support 83 is, moreover, via a pin 94, hingedly connected with a tongue 95 which , itself, is fixed on a plate 96. On the latter is fixed the free end of the piston rod 97 of a hydraulic cylinder 98.
The casing of the latter is connected to a lever 99. mounted in a free manner on a pin 100 .fixed on the aforementioned table 14. The actuator 98 is arranged between two plates, respectively 101-102, serving as a support for a second cylinder, 103. The pedestrian rod 104 of the latter passes freely through an opening provided for this purpose in the .plate 96 and, at suitable places on this rod, are arranged stops, 105-106 respectively.
On the plate 96 is still fixed a rod 107 also provided, in suitable places, with stops, respectively 108-109, capable of cooperating with micro-contactors 110-111. When we influence
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the cylinder g8 so that its piston rod does not release, the support plate fi is obtained to tumble around its center 84 so that the cutter 86 moves towards the profile a. When said cutter 86 comes into contact approximately with said profile a, the plate 6 comes into contact with the stopper set of the rod 10 ,, which has the effect, from this moment, of slowing down the movement of the cutter 86 in because of the fact that the cylinder 103 acts as a shock absorber.
Just as it has been previously experienced for the sawing diepositif, we also obtain here a constant d6p! Acq ment of the cutter 86 which is adjusted in such a way that its cutting speed is maintained in relation to the nature of the material to be used. mill. when the stop 109 of the rod z solicited. quotes the microswitch 111, the admission of pressurized fluid to the cylinder 98 is reversed so that the cutter 86 tumbles backwards around its center of rotation 8 and this as long as the stop 108 of the microswitch 109 is influenced. At this time, said milling device is returned to the standby position.
The device for drilling the holes f-fi-h of said section a, as shown more particularly in the right part of Figures 8 and 9, consists substantially of a corresponding number of drills, in this case the three drills, respectively 112 -113-114, which are driven from a common ring 1 known per se. The latter is driven via an axis 116 on which is mounted transversely movable a pulley or a chain wheel 113, which, via a transmission 118, is connected to a pulley or a chain wheel 11, itself fixed on the 'axis 120 of an electric motor 121. The aforementioned axis 116 passes through an agz cylinder whose piston as well as the piston rod is hollow so as to allow the free passage of the aforementioned axis 116.
The jack 122 is fixed on the table 5, the axis 116 being, in any suitable manner, supported at the end of this jack which, in turn, rests on the table 5.
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The released hollow rod 123 of the jack 122 is, via a plate 124, connected to the casing of said ring 115. Relative to said table 5 is also fixed a jack 125 of which the released rod 126 passes through an opening provided for this. effect in the aforementioned plate 124, said rod 126 comprising two stops, respectively 127-128. Finally, on the plate 124 is still fixed a rod 129 which is also, in suitable places, provided with stops, respectively 130-131. in such a suitable way that it can cooperate with the microphone, oontaoteur, respectively 132-133.
The rotational movement of the drills 112-113-114 is produced in a simple manner, via the motor 121, the transmission 117-119 and the axis 116 which controls the crown 115. To produce the advancement of the drills, the cylinder is fed. 122 so as to disengage the rod 123 from it. When, by this means, the plate 124 comes into contact with the stop 127, the jack 125 comes into operation, slows down the forward movement of the drills, the speed of which will be determined according to or in relation to the material to be drilled. This forward movement of said drills continues until the moment when the stop 130 comes into contact with the microswitch 122 by which the admission of the pressurized fluid, via the jack 123, will be automatically reversed.
The drills 114, from this moment, will begin their movement of retreat, respectively of erasure.
This last movement will be stopped when the stop 131 of the rod 129 comes into contact with the microswitch 133.
The device for tapping the thread in the aforesaid threaded holes is shown mainly in the left part of Figures 8 and 9. This device is produced by a plurality of taps 134-135-136 capable of being driven by a common ring gear. The latter is, in turn. capable of being driven via an axle 138 on which is arranged a pulley or a chain wheel 139 capable of sliding
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transversely and which, via a transmission 140, is connected to a pulley or to a chain wheel 141 which, itself, is fixed to the axis of an electric motor 142.
On the edge of the above-described drilling device and also on the same table 5, is fixed a cylinder 143 which, in a similar manner to that of the drilling device, is provided with a hollow piston and a hollow piston rod at the bottom. through which passes the aforesaid axis 138. The rod 144 of this cylinder 143 is, via a plate 145, connected to the aforesaid common crown 137. Relative to said table 5 is fixed a second cylinder 146 of which the rod 147, in its position released, passes through a suitable opening provided in the plate said rod 147 being provided with autées, respectively 148-149.
Finally, on the plate 145 is still provided a rod
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150 bearing abutments, respectively 151-, which pcuven; cooperate with appropriate microswitches, respectively 15-121
The operation of this tapping device is approximately similar to that of the above-described drilling device. Indeed, by supplying the jack 143, the taps are moved towards the section a and this at a relatively high speed until the plate 145 comes into contact with the stop 149, after which the taps are braked by the jack.
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I6 which also acts as a shock absorber. The movements of the tapping device continue until the moment when the stop 152 of the rod 150 comes into contact with the microswitch 154.
At this moment, the jack 143 operates in such a way that the taps perform their backward movement until the moment when the stop 151 comes into contact with the microswitch 153. The tapping device is thus returned to the position of 'waiting.
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These different operations, using the same machine, can be performed either by individual controls.
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successive or simultaneous different drive devices, or automatically with the intervention of any type of programmer up to and including an electronic programmer whose principles are currently well known in science.
In general, when a section is placed in the correct position on the frame of the machine, it will suffice either to operate a number of members equal to the number of operations to be carried out, or to request a single centralizing member putting in movement throughout the operational cycle.
In Figure 1, in particular, there is shown at 155 an electronic control panel mounted at the end of a bracket 156 so as to be very accessible and clearly visible. Likewise, the feeding of the parts to be mechanized can be done either manually one by one, or by automatic distributor, in proportion to the types of parts to be mechanized.
It also goes without saying that the successive or simultaneous sawing, milling, drilling and tapping operations have been given only by way of example and in themselves have absolutely no limiting character. A certain number of mechanisms will thus be available for practically any type of mechanization work; these mechanisms or unitary devices can be fixed in any suitable manner on the machine in proportion to the work to be carried out. It is also possible to lengthen the frame of the machine either in order to have frames of greater length for mechanization on the basis of a more complex program, or to have unitary elements capable of being placed end to end in such a way. that from a certain number of units, it is possible to organize an essentially variable mechanized manufacture.
The manufacturer will thus be able, using these different units, to compose his workshop in infinitely variable combinations in proportion to the production programs.
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It is also possible to envisage conditioning the general frame of the machine with its cantilever head with a view to possible extension, even important, and to condition said mechanisms or devices individually so as to be able to suitably adapt them to said frame. general.
The invention relates both to the machines per se in any generally unspecified form as well as to its characteristic oonstutive parts and more particularly to the work units which may intervene in groups appropriate to the program of the work to be executed.
CLAIMS.
1.- Automatic machine with multiple work areas, characterized in that it consists substantially of a particular frame with two fixing stages, respectively control the first stage being presented by an elongated table resting on the ground and the second stage being constituted by an equally elongated head arranged door-to-door and resting on said lower table; means for fixing the part to be mechanized on said lower level;
solidarity means of. upper level in order to ensure the sawing to dimensions of the parts to be mechanized and means integral with the lower level capable of ensuring the different mechanization phases, all these means being arranged so as to free said lower level in order to be able to easily deposit therein, . respectively remove the parts to be mechanized.