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Messieurs.
Nous référant à la susdite demande, nous désirons attirer l'attention du lecteur du brevet sur quelques erreurs matérielles intervenues lors de la dactylographie du mémoire descriptif, et dans les dessins déposés à l'ap- pui de cette demande.
- page 8, ligne 7, le chiffre de référence "60", désignant la console, doit être corrigé en "67", la référence "60" désignant, par ailleurs, une tige. Cette référence doit, d'ailleurs, être ajoutée sur la figure 4 en regard de la console, ainsi qu'il est indiqué sur la copie de la figure
4 ci-annexée.
- page 8, lignes 24 et 25, le membre de phrase:"..., quand cette dernière est inactive,..."doit tre supprimé, car il s'agit là d'un non sens puisqu'il est dit à la ligne suivante: "...pour ne pas empêcher l'avancement de la bande,..." il est donc parfaitement évident que cette bande ne peut pas être inactive.
- page 12, ligne 7, il y a lieu de corriger le chiffre de référence "54" par "54a". En effet, le chiffre de référence "54" identifie déjà un ressort de compression- (voir page 8, ligne 16, et figure 4) -. De plus, cette correction est également à effectuer sur la figure b des dessins.
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- page 2, lignes 21 et 22, la référence "72", désignant un arbre, doit être corrigée en "73", la référence "72", désignant un levier coudé, ainsi qu'il apparaît à la lecture du dernier paragraphe de la page 9 et de la figu- re 2 où cette pièce est représentée. Cette même correction est à effectuer sur la figure 6.
-page 13, ligne 3, la référence "81" doit être corrigée en "88", puisque la référence "81" désigne un électro-ai- mant, ainsi qu'il est aisé de le constater notamment page
10, ligne 13, et sur la figure 4. Cette même correction est à effectuer sur les figures 6 et 10 des dessins.
-page 13, ligne 4, la référence "82", désignant des vis, doit se lire "89", la référence "82" désignant, par ail- leurs, une bobine -(voir notamment page 9, ligne 3 du second paragraphe, et figure 4)-. Cette même correction est à effectuer sur les figures 6 et 10 des dessins.
-page 13, ligne 6, la référence "84", désignant une extré- mité du ressort à lame, doit être corrigée en "90", puis- qu'ainsi qu'on peut le constater à la lecture de la figure
4, et page 9, lignes 4 et 9 du second paragraphe, la réfé- rence "84" désigne déjà une tige* Cette même correction est à effectuer sur les figures 6 et 10 des dessins.
-page 13, ligne 11, le numéro de référence "91", désignant une pédale, doit être corrigé en "97", cette référence "91", désignant une fente, comme mentionné .sur la figure 4 et au dernier paragraphe de la page 9, lignes 2 et 5. Cette cor- rection est également à effectuer page 21, lignes 17 et 26, et à la figure 6 des dessins.
-page 13, ligne 12, la référence "92", suivant le mot "biellette", doit être corrigée en "95", la référence "92" désignant, par ailleurs, un bras, ainsi que précisé en page
9, aux lignes 3 et 6 du dernier paragraphe de cette page, et sur la figure 4. Cette même correction est à effectuer sur la figure 6 des dessins.
-pagel3, ligne 12 également, ainsi que la ligne 15, la réfé- rence "93" devra se lire "98", car, ainsi que vous pourrez le constater, n'une part, a la lecture de la figure 2, et, d'autre part, à la ligne 3 du dernier paragraphe de la page
9, la référence "93" désigne une articulation. Cette même correction est à effectuer sur la figure 6 des dessins.
-page 13, ligne 12, la référence "94", se trouvant en fin de ligne, doit être corrigée en "99", la référence "94", désignant déjà des joncs en page 9, quatrième ligne du dernier paragraphe, ainsi que sur la figure 2. Cette même correction est à effectuer sur la figure 6 des dessins.
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-page 13,.ligne 14, la référence "96", désignant un res- sort, doit être corrigée en "103, la référence "96", - désignant, par ailleurs, un manchon, ainsi qu'on peut le constater à la lecture de la ligne 7 du dernier para- graphe de la page 9, et sur la figure 2. Cette même cor- rection est à effectuer sur la figure 6 des dessins.
-page 13, lignes 16 et 23, et page 16, ligne 11, la réfé- rence "101" devrait se.lire "100", car la référence "101" désigne déjà un bras- (voir figure 2 et page 10, notam- ment lignes 1 et 17)- Cette même correction est à effec- tuer sur la figure 6 des dessins.
-page 14, ligne 25, et page 16, ligne 13, l'enroulement "106" doit être corrigé en "l'enroulement 108", la réfé- rence "106" servant à désigner, par ailleurs, une mortai- se, notamment page 10, ligne 4, et sur la figure 2. Cette @ même correction est à effectuer sur la figure 6 des des-- sins.
-page 15, ligne 17, la référence "128", désignant une bor- ne, doit être corrigée en "132", la référence "128" désignant un arbre, ainsi quevous pourrez le constater à la même page, ligne 4, et sur la figure 6. Cette même correction est à effectuer sur la figure 6 des dessins, à la partie inférieure de la figure.
Figure 6 des dessins :
Les chiffres de référence "166" et "165" se lisant très mal, il y aurait lieu de les retracer afin d'éviter @ une confusion à l'examen de cette figure avec "186" et @ "185".
Figure 11 des dessins :
Le chiffre de référence "41" doit être supprimé, car, d'âpres le texte, il représente un arbre, alors que @ sur cette figure, il désigne une vis qui est, d'ailleurs, déjà identifiée de façon correcte "37" sur cette figure.
Le soussigné n'ignore pas qu'aucun document joint. au dossier d'un brevet d'invention ne peutêtre de nature à apporter soit à la description, soit aux dessins, des modifications de fond et déclare que le contenu de cette @ note n'apporte pas de telles modifications et n'a d'autre objet que de signaler une ou plusieurs erreurs matérielles,
Il reconnaît que le contenu de cette note ne peut avoir pour effet de rendre valable totalement ou partiel- lement le brevet si celui-ci ne l'était pas en tout ou en partie en vertu de la législation actuellement en vigueur.
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Il autorise l'Administration à joindre cette note au dossier du brevet et à en délivrer photocopie.
Ci-joint, Frs 100.- en un timbre fiscal, montant de la taxe officielle.
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Veuillez agréer, Messieurs, l'expression de nos sent:tements distingués. Mon- C.69INÇT rsc
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Dispositif pour faire avance? une bande de matière composite vers une machine à coudre
La présente invention concerne un appareil pour raira avancer une première bande de matière vers une machine à coudre,
peur l'assembler avec une seconde bande de matière avançant ello aussi vers la machine pour couper cette seconde bande à une longueur prédéterminée et pour recommencer l'opération
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rV rt: , 1# 1le étant eesHnandë d'une manière automatique &2QmiutHatique.
Dans la mesure le posent exposé ce rapporte par .2 à'R' 8.U eeia'ëures à inaoppcrer à des vêtements d'usage aouraRt il y a deux prouédéx principaux qui sont employés cou am:ent= Dans Uh de cas procédés, un type classique de fs::;t, pie? exemple pour pantalon d'homme, doit présenter une partie de nature spéciale qui lui est ajoutée, à savoir un
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élément de raidissement, ainsi qu'il est spécifié dans le bre- vet belge N 640.368.
Dans ce cas et conformément à la pré- sente invention, on fait avancer une longueur continue de matière classique de ceinture de n'importe quelle forme connue, à partir d'une source d'alimentation vers la machine à coudre et pendant que cette matière avance ainsi, on coud à la cein- ture, à des intervalles espacés, des longueurs prédéterminées de l'élément de raidissement.
Ensuite, l'ensemble formé par la combinaison de la ceinture et de l'élément est coupé par le fabricant du vêtement à un certain point dans l'intervalle ot cet ensemble est cousu au vêtement Suivant un autre pro- cédé, le fabricant du vêtement fixe la ceinture classique aux morceaux du vêtement, par exemple aux deux moitiés d'un pan- talon et tandis que ces morceaux et la ceinture qui est com- binée avec eux avancent avec eux vers les aiguilles d'une ma- chine à coudre, le fabricant ajoute la longueur spécifiée d'élément de raidissements Dans l'un et l'autre de ces deux cas, il est souhaitable de faire avancer l'élément de raidisse- ment à partir d'une longueur continue parlée sur une bobina de piquer une longueur prédéterminéd de cet élément.
avec la matière classique de ceinture et de coupar cette longueur après son incorporation par piquagel'avancement et le coupage étant exécutes cycliquement et l'amorçage de l'avancement de la matière de raidissement ainsi que son coupage étant sous la commande de l'opérateur, bien qu'on envisage aussi un fonc-
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tionnement sewimauloùiulsiqiàga Pour ce qui coneerno la pMsonte demande la iHm8"" truetion particulière de la ceinture constituant un dot rior. ceaux fournis aux aiguilles est sans importance et il en est ce
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de même pour/qui conceric, les mnrcaatci du wé'leùie31t qui peu17e;z%à, ainsi qu'en l'a indiqué plus haut, être fournis aux aiguilles
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en mt3!l1l't temps que la ceinture.
Cas facteurs .sont biea connus et ils sont d'une pratique coupante? D'une Manière analogue,
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l'élément de raidissement ou l'autre partie constituante à incorporer à la ceinture peut être d'une forme quelconque et dans la mesure concernant le présent exposé et dans un sens large, c'est une bande de matière dont une certaine longueur spécifiée doit être cousue à la ceinture. Il est bien évident que cette longueur peut varier suivant les exigences du fabri- cant. Par exemple, dans le cas de l'élément dont il est ques- tion dans le brevet précité et qui est destiné à empêcher le roulage de la ceinture, par exemple, d'un pantalon d'homme, l'élément peut être disposé sur la partie antérieure seulement du vêtement et coupé dans l'alignement de la baguette.
Dans d'autres cas, l'élément peut être continu à partir d'un coté de la baguette jusqu'à l'autre côté, en passant autour de la taille.
Conformément à la présente invention, il est souhai- table que la partie constituante ajoutée, c'est-à-dire l'élément de raidissement, soit fournie sous la forme d'un rouleau conti- nuât que des moyens soient prévus pour guider cet élément vers le pied de biche et au-dessous du pied de biche de la machine à coudre. Exactement en face du pied de biche est placé un moyen de cisaillement qui, à un point voulu dans le cycle, est actionné pour couper la bande et, en face du moyen de cisail- lement est placé un moyen d'avancement qui est capable de pré- senter l'extrémité antérieure de la bande au pied de biche et à la griffe d'avance de la machine à coudre.
Un moyen d'avan- cement classique inhérent à la machine à coudre continue à faire avancer la bande et la matière de base de la ceinture à laquelle la bande doit être cousue et à un certain moment qui dépend de la longueur de la matière à incorporer, le fonction- nement du moyen de cisaillement se produit. Puis le cycle se répète. L'amorçage de l'avancement de l'élément de raidissement et la coupe de cet élément sont sous le contrôle de l'opérateur.
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Toutefois dans une réalisation indiquée en variante, un moyen synchronisé automatiquement peut être utilisé pour réamorcer l'avancement immédiatement après la coupe.
Les moyens respectifs pour l'avancement et pour la coupe peuvent comprendre des parties constituantes électriques, hydrauliques ou pneumatiques. En outre, l'ensemble complet participant aux fonctions d'avancement et de coupe est d'un caractère compact, unitaire qui permet de l'ajouter à un type classique de machine à coudre, avec seulement une adaptation mineure et sans aucune gêne pour la'position usuelle de travail de l'opérateur.
En outre, les réalisations montrées dans ce qui va suivre à titre d'exemples sont sous la dépendance de l'opérateur qui actionne une pédale reliée à un interrupteur soit pour amorcer l'avancement et pour exécuter la coupe, soit pour exécuter la coupe suivie par l'amorçage automatique @ de l'avancement, étant donné qu'il s'est révélé que ces modes @ de fonctionnement sont les plus efficaces et les plus commodes.
D'autres caractéristiques et avantages de la pré- sente invention ressortiront de la description qui va suivre, faite en regard des dessins annexés et donnant à titre expli. catif mais nullement limitatif plusieurs formes de réalisation conformes à l'invention.
Sur ces dessins :
La figure 1 est une vue en élévation de l'extrémité de gauche d'une machine à coudre à laquelle est incorporé l'appareil suivant l'invention ;
La figure 2 est une vue combinée en élévationet en coupe transversale, à une échelle un peu plus grande, de l'ap- pareil suivant l'invention, détaché de la machine à coudre ;
La figure 3 est une vue en coupe transversale à échel- le un peu plus grande, faite suivant la ligne 3-3 de la figure
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La figure 4 est une vue en élévation postérieure, telle qu'elle se présente à un observateur regardant suivant la direction des flèches 4-4 de la figure 2 ;
La figure 5 est un diagramme qui est destiné à illus- trer le montage électrique ;
La figure 6 est une vue en perspective fragmentaire combinée d'un schéma électro-mécanique et d'un autre appareil suivant l'invention ;
La figure 7 est une vue en plan des deux moitiés d'un pantalon auxquelles est incorporé un ensemble formé par une ceinture et par un élément de raidissement et obtenu par la mi- se en oeuvre de l'invention ;
La figure 8 est une vue de détail en perspective de certaines caractéristiques de la figure 6, à une échelle un peu plus grande ;
La figure 9 est une vue en perspective qui montre des parties de la figure 8 après élimination des portions de figu- re gênantes ;
La figure 10 est une vue de détail en coupe transver- sale, qui est destinée à montrer le doigt d'avance et le cliquet de mouvement inverse de la figure 6 ;
La figure 11 est une coupe transversale qui est des- tinée à montrer la relation entre le pied de biche et le moye de guidage de la bande de la figure 6 ;
La figure 12 est une vue en élévation de face qui es destinée à illustrer'des moyens pour le montage du moyen de gu - dage de la bande, du moyen de coupe et du moyen d'avancement, pour le réglage latéral par rapport aux aiguilles ; Les figures 13 et 14 sont desreprésentations schéma- tiques d'autres dispositifs, pour l'avancement de l'élément de raidissement.
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.
A titre d'exemple, on va décrire maintenant l'inven- tion dans le cas de la combinaison, par couture, d'un élément de raidissement secondaire du genre décrit dans le brevet précité, -avec un type classique de matière de ceinture. Dans un tel cas, la matière de ceinture et l'élément de raidisse- ment sont de préférence fournis à partir de bobines séparées portant une longueur continue, respectivement, de la matière de ceinture et de l'élément de raidissement. La matière de ceinture est fournie à un niveau plus élevé et l'élément de raidissement est fourni à un niveau plus bas.
Pour ce qui concerne l'avancement de la matière de ceinture et de l'élément de raidissement conjointement au-dessous de l'aiguille ou des aiguilles (dans le cas d'une machine à aiguilles multiples), cet avancement est produit par la griffe d'avance habituelle en dents de scie au-dessous des aiguilles, le pied de biche coopérant avec la griffe d'avance d'une manière bien connue.
Sur les figures 1 à 6, on a représenté (figure 1) l'aiguille 10 et le pied de biche 11 d'une machine à coudre industrielle classique. Bien que l'on ait représenté une aiguille seulement pour des raisons de clarté, il est bien évident qu'il peut y avoir plusieurs aiguilles. De la manière habituelle, la griffe d'avance (non représentée) inhérente à la machine à coudre, est placée au-dessous du pied de biche.
Le repère 15 désigne une bande de matière en bande pour cein- ture qui peut être composée en soi de plusieurs couches sui- vant les spécifications du fabricant de vêtements ; cette ma- tière en bande pour ceinture est fournie à l'aiguille à partir d'une bobine d'alimentation (non représentée). Cette bobine est montée habituellement au-dessous de la machine à coudre.
D'une manière analogue, l'élément secondaire 17 est fourni à partir d'une bobine d'alimentation (non représentée). Pour éviter d'augmenter l'espace occupé en face de la machine, il est souhaitable que la bobine de matière 17 soit placée de ma-
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nière que son axe soit perpendiculaire à la direction d'avan- cement (flèche A, figure 8) et un tour d'un angle droit est alors effectué au moyen d'un guide fixe 19.
Une plaque 21 (figure 1) est fixée à la table 20 de la machine à coudre et son bord antérieur 22 est recourbé vers le bas pour fournir une transition douce de l'élément 17 à partir de la gorge de guidage, à décrire, vers le pied de biche et la griffe d'avance coopérant avec ce dernier.
Au voisinage du pied de biche 11 il y a un guide 31 (figure 2) qui comprend une paroi supérieure 31a, une paroi inférieure 31b et des parois latérales 31c, allant de préfé- rence en convergeant et formées d'une manière telle qu'elles limitent une gorge de sortie 33 qui débouche d'une manière tel- le par rapport à la surface supérieure de la plaque 21 qu'elle permet à l'élément 17 d'avancer sans en être empêché vers le pied de biche et la griffe d'avance. Le guide 31 est supporté sur un bras 36 qui est fixé par des vis 37 au bâti 39 que l'on décrira plus loin. Il est souhaitable que les ouvertures qui reçoivent les vis 37 soient agrandies ou munies d'une fente pour permettre de régler en position le guide 31.
De la des- cription donnée jusqu'à présent, il résulte de manière éviden- te que la bande 15 de ceinture et l'élément 17, sont fournis conjointement en position de piquage et sont piqués, l'un con- tre l'autre.
Après qu'une longueur prédéterminée de l'élément 17 a été amenée à la position de piquage, cette longueur est ci- saillée au moyen d'un couteau mobile 45 trempé, qui coopère avec une lame fixe 46 de cissaillage, convenablement trempée, qui est fixée au bâti 39. Le couteau 45 est monté à l'extré- mité d'un bras 40 (figure 4). Ce bras 40 est claveté à une extrémité d'un arbre 41 qui est supporté de manière à pouvoir tourner dans des paliers 52 qui constituent une partie du bâti
39. Un autre bras 50 est claveté à l'extrémité opposée de
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l'arbre 51.
Un ressort 54 de compression sollicite le bras 50 et par conséquent le couteau 45 vers la position de repos re- présentée, c'est-à-dire vers une position se trouvant en dehors du trajet de l'élément mobile 17. Il est souhaitable que le ressort 54 soit monté sur une tige 60 afin de l'empêcher de s'aplatir et la tige est maintenue à ses extrémités respective- ment, dans le bras 50 et dans la console 60. L'extrémité du bras 50 la plus éloignée est reliée par une biellette 57 à la tête 61 du plongeur 62 d'un électro-aimant 64 dont l'enrou- lement e'st indiqué en 65.
Le couteau 45 et la surface fixe 46 qui lui est as- sociée sont placés aussi près qu'il est possible du point où le pied de biche et la griffe d'avance de la machine à coudre sont conjointement efficaces pour faire avancer les bandes 15 et 17. Afin de présenter l'extrémité coupée de la bande 17 à ce point, une griffe d'avance 71 (figure 2) est portée au moyen d'une vis de serrage 66, sur un levier coudé 72 pour effectuer un mouvement essentiellement linéaire au moyen d'un dispositif qui sera décrit plus loin. La griffe 71 a une extrémité poin- tue destinée à s'engager dans la maille de la bande 17 et elle est de préférence trempée ou en une matière dure telle que le carbure de tungstène de manière à conserver sa propriété de pénétration.
La pression exercée par la griffe 71, tandis qu'elle est inactive, sur la bande 17, quand cette dernière est inactive, est suffisamment légère pour ne pas empêcher l'avancement de la bande, c'est-à-dire son mouvement vers l'ai- @ guille et la griffe a un angle tel que lorsqu'elle est ramenée à la position $n'active représentée elle est inefficace pour produire un tirage dans la direction opposée.
On va décrire maintenant le dispositif prévu pour actionner la griffe 71. Sur le bâti 39 est monté un autre électro-aimant 81 qui comporte sa bobine 82 et un plongueur 83, ' ce plongeur ayant une tige 84 qui est fixée à son extrémité
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la plus éloignée de la bobine 82. Un arbre 85 est supporté sur les parois latérales 39 et 39b du bâti 39 et porte un man- chon tournant 86 auquel sont fixés deux bras 87, 87. Ces bras portent sur les extrémités respectives de la tige 84.
Le levier coudé 72 auquel la griffe 71 est fixée pré- sente en 91 une fente qui est destinée à recevoir l'extrémité supérieure d'un autre bras 92, articulé en 93 sur le levier coudé 72. Ce levier coudé 72 a des joues 94, 94 qui limitent la fente 91 et il peut tourner par rapport au bras 92. Le bras 92 est fixé à son extrémité inférieure à un manchon 96 qui est supporté lui aussi pour tourner autour de l'arbre 85 (figure 4).
Le manchon 86 a aussi un bras 101 qui est muni à son extrémité libre d'une tige 102 engagée dans des mortaises ali- gnées 104,104, ménagées dans les joues respectives 94, 94.
Le bras 92 présente en 106 une mortaise qui est destinée à per- mettre le dégagement de la tige 102 lorsque les pièces se dépla- cent l'une par rapport à l'autre. Un ressort de traction 111 s'étend entre un point fixe 114 du bâti et le bras 92 de façon à solliciter la griffe 71 et les autres parties constituantes du mécanisme vers leurs positions inactives respectives, qui sent représentées en traits pleins sur la figure 2, c'est-à- dire vers la limite de droite, en observant la figure 2, de la coursé de la griffe.
Lorsque 1'électro-aimant 81 est excité, son plongeur 83 est tiré vers l'intérieur, de sorte que les bras 87, 87 et le manchon 86 pivotent dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Cette action, à son tour, fait pivoter le bras 101 dans le même sens, de sorte que la tige 102, se déplaçant dans les mortaises 104, conduit le levier coudé 72 et le bras 92 qui lui est relié dans le sens inverse du sens des aiguilles d'une montre de sorte que la griffe 71 se déplace d'une certai- ne quantité prédéterminée pour faire avancer la bande 17 jusqu'à une position dans laquelle elle est saisie entre le pied de biche et la griffe d'avance de la machine à coudre.
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En comparant les représentations de la figure 2, l'une en traits pleins et l'autre en traits interrompus, on se rend compte que le levier coudé 72 est soumis à deux contraintes une première contrainte exercée par le pivot 93 qui pivote autour de l'axe de l'arbre 85 constituant le centre de pivote- ment et une seconde contrainte qui est exercée par la tige 102 coopérant avec les mortaises 104, la tige 102 pivotant elle aussi autour de l'axe de l'arbre 85, mais suivant un rayon moindre. Le résultat net de ces deux contraintes est de dé- placer le levier coudé 72 essentiellement suivant un mouvement de translation tandis que la griffe 71 est maintenue en con- tact avec la bande 17 pendant toute la course d'avancement.
Les lignes en traits interrompus, sur la figure 2, indiquent les positions relatives des pièces à la fin de la course.
Lorsque l'électro-aimant cesse d'être excité les pièces re- prennent leurs positions initiales respectives sous l'action du ressort 111.
Après que les bandes 15 et 17 ont été cousues, cette dernière est coupée par l'actionnement du couteau 45. A cet effet l'électro-aimant 64 est excité de manière à faire pivoter le bras 40 afin de déplacer le couteau 45 en regard de l'arête de coupe 46 à ltencontre de l'action du ressort 54. Lorsque l'électro-aimant 64 cesse d'être excité, les pièces sont rame- nées à leurs positions respectives suivant la figure 4.
Pour commander l'avancement et la coupe de la bande
17, l'opérateur est muni d'une pédalo 130 (figure 5) pouvant osciller autour d'un pivot 131 et reliée par l'intermédiaire d'une biellette 133 à un bras de commutateur 135 destiné à exécuter un mouvement alternatif entre des contacts 136 et 137.
Pour transformer les actionnements successifs de la pédale 130 en oscillations de commutation entre les contacts
136 et 137, on peut se servir de tout mécanisme approprié 134.
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On peut se procurer de tels dispositifs dans le commerce. Un tel type de commutateur comprend deux jeux de contacts et un mécanisme qui, lorsqu'il est actionné, manoeuvre le bras 135 de commutateur pour fermer l'un ou l'autre des contacts 136 ou 137 alternativement, après quoi le bras 135 revient à une position neutre en attente de l'actionnement suivant. En admettant qu'il y ait eu auparavant l'avancement et la coupe d'une longueur prédéterminée de bande 17, l'opérateur abaisse la pédale 130, ce qui à pour effet de projeter le bras 135 sur le contact 137 pour exciter l'enroulement 82 de l'électro-ai- mant afin de faire fonctionner son noyau mobile 83.
Le méca- nisme 134 est construit et disposé d'une manière telle qu'une fois qu'il est déclenché il demeure dans cette position d'at- tente de l'actionnement qui suit, c'est-à-dire dans la position représentée en traits interrompus du bras 135. En autres termes, l'abaissement de la pédale 130 n'a besoin que d'être momentané, c'est-à-dire n'a besoin de durer que tout juste le temps suffisant pour fermer les contacts 135-136 ou 135-137 pour açtionner l'électro-aimant, afin de faire avancer l'extré- mité antérieure de la barfde 17 vers le pied de biche et la griffe d'avance de la machine à coudre. Après que la longueur prescrite de bande 17 a été avancée vers l'aiguille, l'opéra- teur abaisse la pédale 130 de sorte que le mécanisme 134 pro- jette le bras commutateur 135 sur le contact 136 pour exciter l'enroulement 65.
Le noyau mobile 62 se'trouve ainsi tiré vers l'intérieur pour actionner le couteau 45 de coupe. De que nouveau l'actionnement de la pédale 130 n'a besoin/d'être mo- mentané. Le cycle se répète de la même manière.
On va passer maintenant à la variante représentée sur.la figure 6 et les figures 8 à 12. Il apparaît de manière évidente qu'après qu'une certaine longueur prédéterminée de l'élément 17 a été avancée vers la position de couture, cette longueur est cisaillée au moyen du couteau trempé 45 mobile,
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. agissant en coopération avec la surface de cisaillement fixe 46 d'un élément 47, le couteau prenant appui sur un élément fixe 48. L'élément 47 .est fixé au bâti 39. Suivant la figure 6, le couteau 45 est claveté sur une extrémité d'un arbre 51 qui est supporté de manière à pouvoir tourner dans des paliers 52, 52 constituant une partie du bâti 39.
Un ressort de tor- sion 54 a ses extrémités fixées respectivement à un palier 52 et à l'arbre 51,' le sens d'enroulement du ressort étant tel que le couteau 45 est sollicité normalement vers le bas, c'est- à-dire en dehors du trajet de l'élément mobile 17. Sur l'extré- mité de l'arbre 51 la plus éloignée de la lame 45 est claveté un arbre 56 qui est relié par'une biellette 57 à la tête 61 du noyau 62 d'un électro-aimant 64 dont l'enroulement est in- diqué en 65.
Le couteau 45 et la surface fixe 46 qui lui est as- sociée sont placés aussi près qu'il est pratiquement possible du point où le pied de biche et la griffe d'avance agissent j conjointement de manière efficace pour faire avancer les bandes
15 et 17.
Afin de présenter l'extrémité coupée de la bande 17 à ce point, une griffe d'avance 71 (figure 6) est portée sur un arbre 72 pour exécuter un mouvement d'oscillation (flèche B), cet arbre 72 étant supporté sur des paliers (non représentés) qui se trouvent dans le bâti 39, Les dents 76 de la griffe 71 ont une forme telle et elles sont disposées d'une manière telle qu'elles portent sur le dessous de la bande 17 avec une pression telle qu'elles font avancer la bande, mais cette pression est néanmoins suffisamment légère pour ne pas empêcher un avance- ment continu de la bande, produit par le pied de biche et par la griffe d'avance de la machine à coudre. La forme des dents' de la griffe 71 est telle que le retour de la griffe à sa po- sition de repos (figure 10) est insuffisant pour produire un freinage indésirable.
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En outre, il peut être souhaitable, pour empêcher tout mouvement rétrograde de la bande 17 de prévoir un moyen d'arrêt 81 (figures 6 et 10) comprenant un ressort à lame fi- xé à l'une de ses extrémités au bâti 39 par des vis 82 et des- tiné à son extrémité la plus éloignée des vis à porter contre la bande mobile. Il est souhaitable que cette extrémité 84 du ressort à lame soit en forme de dents de scie pour augmen- ter l'action de freinage.
Dans le cas indiqué à titre d'exemple, d'un cycle de fonctionnement semi-automatique, l'opérateur est muni d'une pédale 91 qui est reliée par l'intermédiaire d'une biellette 92 à un bras 93 articulé sur le bâti 39 en 94 ou en un autre point fixe et cette pédale est sollicitée vers le haut par un ressort 96 disposé entre le bras et le bâti.
Le bras 93 est disposé pour actionner un commutateur 101, par exemple un micro-contact unipolaire unidirectionnel ayant une paire de contacts lOla et 101b, le premier contact étant relié à un côté d'une source d'énergie, par exemple à une source de courant alternatif 110 volts. Pour faciliter le tracé du montage, on a désigné ce côté de la source par le si- gne "plus" et l'on a employé pour l'autre côté de la source la désignation "terre".
Lors de la fermeture de l'interrupteur 101, un cir- cuit se ferme à partir du plus, par le conducteur 105, l'enrou- lement 106 d'un relais 107 à rochet, pour aller à la terre en 109. L'armature 110 a un prolongement 112 qui est muni d'un cliquet 113 et ce prolongement est en outre disposé pour fermer, lors de l'excitation du relais, un interrupteur 121, par exem- ple un micro-contact unipolaire, unidirectionnel, ayant deux contacts 121a et 121b. On se rend compte que lors de l'excita- tion du relais 107, il se produit deux phénomènes : en premier lieu, l'interrupteur 121 se ferme et en second lieu la roue à rochet 122, dont il va âtre question maintenant, se déplace
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d'une dent. La roue à rochet 122 est clavetée sur un arbre 128 en même temps qu'une roue à lobes 129.
Le nombre des dents de la roue à rochet 122 est égal au nombre des lobes et des creux de la roue à lobes 129. Dans le cas présent, il y a douze dents. Chaque pas de la roue à rochet 122 actionne par conséquent un bras 131a vers l'un ou l'autre des contacts 131b ou 131c qui lui sont associés. Sur le. dessin, on a repré- senté le bras 131a comme étant fermé sur le contact 131c. La fermeture de l'interrupteur 121 est par conséquent efficace, par l'intermédiaire de ses contacts 121a et 121b pour fermer un circuit qui, à partir du "plus" en 121a, passe par le con- ducteur 124, le bras 131a, maintenant fermé sur le contact 131b, le contact 131b, le conducteur 125, une borne d'entrée 126 d'un redresseur 127 en pont dont l'autre borne 128 est mise à la terre.
En conséquence, la sortie en courant continu du pont, aux bornes 141 et 142, est appliquée aux conducteurs 144 et .
145 qui sont reliés aux deux extrémités de l'enroulement 147a d'un électro-aimant 147 qui, dans une réalisation pratique, est un électro-aimant tournant, mieux manoeuvré à partir d'une sour- ce de courant continu. Le bras de sortie 147b de l'électro- aimant est relié à la griffe d'avance 71, de sorte que lorsque l'électro-aimant est excité la bande 17 est avancée vers le pied de biche 11 et l'aiguille 10 pour être cousue.
Un interrupteur 150 unipolaire, unidirectionnel, par exemple un micro-contact, est disposé pour être actionné par le bras 71 de griffe d'avance, ainsi qu'il est indiqué par la ligne 151 en traits interrompus. Cet interrupteur 150 de- meure fermé pendant le mouvement d'avancement de la griffe d'avance 71 mais il s'ouvre lors du mouvement inverse. Il y a lieu de remarquer que l'oscillation de l'extrémité en dents de scie la plus éloignée de la griffe d'avance 71 est prévue de manière à être suffisante pour porter l'extrémité coupée 155
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de la bande au-dessous du pied de biche 11, puis elle est im- médiatement ramenée au moyen d'un ressort (nonreprésenté) qui est logé dans 1'électro-aimant tournant.
Après qu'a été,cousue une certaine longueur pré-déter- minée de l'élément 17, l'opérateur inte rompt l'avancement'en activant l'interrupteur 101 une seconde fois. La fermeture de cet interrupteur excite de nouveau l'enroulement 106 du relais, faisant faire ainsi un nouveau pas à la roue à rochet 122 et à la roue à lobes 129. L'excitation précédente du relais 107 ayant déplacé le bras 131a pour l'amener contre le contact in- férieur 131b, la seconde excitation de ce relais a pour effet que le. lobe suivant élève le bras contre le contact supérieu 131c.
En conséquence, il se ferme un circuit qui, à partir du "plus" en 121a, passe par l'interrupteur fermé 121, le con- tact 121b, le conducteur 124, le bras 131a, le contact 131c, le conducteur 136, l'enroulement 65 de l'électro-aimant 64, pour aboutir à la terre. Par conséquent l'électro-aimant ti e vers l'intérieur pour actionner le couteau 45 et couper la longueur prédéterminée de la bande 17. Immédiatement après la coupe, les pièces qui sont associées mécaniquement au couteau 45 sont ramenées au moyen du ressort 54. @
Il est prévu, disposé pour être actionné par la course de retour de la partie de tête 61 du noyau 62 de l'élec- tro-aimant, un interrupteur 161 unipolaire, unidirectionnel, qui est par exemple, un micro-contact.
Le bras 161a de ce micro-contact est muni d'un dispositif 162 avec jeu afin que le mouvement vers l'intérieur de la tête 61 soit inefficace pour actionner l'interrupteur mais permette que ce dernier soit actionné lors de la course de retour. Par conséquent, après la coupe, le bras interrupteur 161a se ferme contre son contact 165b pour fermer un circuit, qui, partant du plus en 164, passe par le conducteur 165, le bras 161a et le contact
161b qui lui est associé, le conducteur 166, l'armature 168a
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d'un relais 168, le contact 168b normalement fermé, le conduc- teur 169, l'enroulement 168c du relais 168, et aboutit à la terre en 171, en ouvrant ainsi le circuit qui passe par l'ar- mature 168a et le contact 168b.
Toutefois, avant une telle ouverture, l'impulsion engendrée à l'interrupteur 161 est efficace, aussi pour exciter l'enroulement 1$la d'un relais 181, caractérisé par une ouver- ture retardée, le circuit passant par la dérivation 177, par l'enroulement 1$la pour aboutir à la terre en 178.
Le relais
181 se ferme pour fermer un circuit qui, partant du-plus en 164, passe par l'armature 181b, le contact de repos 181c, les conducteurs 185 et 186, pour alimenter le redresseur 127 à pont une seconde fois et pour activer ainsi l'électro-aimant d'avancement 147. Etant donné que l'armature 168a normalement fermée et le contact 168b ont été ouverts et que le relais 181 a une action différée, par exemple de 1/2 seconde avant sa réouverture, la griffe d'avance 71 reçoit une impulsion courte @ qui est suffisante pour faire avancer la bande 17 seulement @ sur une distance telle qu'elle déplacera l'extrémité coupée de la bande vers le pied de biche 11, en vue d'un cycle suivant.
Un tel avancement bref suivant de la bande 17, dans une réalisation pratique, est de 25 mm environ et il a l'avan- tage de conserver un certain temps pour présenter le bord an- térieur coupé aussi près que possible de l'aiguille en vue du cycle suivant. Le retard dans l'avancement de la bande après la coupe présente l'avantage que le bord antérieur de la bande qui avance ne peut pas heurter le bord postérieur de la pièce en train détre cousue.
La figure 7 illustre l'utilisation de l'invention dans le cas d'un pantalon. Dans ce type d'opération, le fa- bricant réalise une économie importante dans le prix de la fabrication en cousant une longueur continue de la matière
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de la ceinture aux deux morceaux découpés de tissu 201 et 202 qui sont finalement assemblés dans le vêtement terminé confor- mément à une pratique connue. Avant un tel assemblage, on coupe la matière de la ceinture suivant des lignes qui sont indiquées approximativement en X. Dans le cas où un élément de raidissement tel que l'élément 17 doit être aussi incorpo- ré, on le fait avancer et on le coud au moyen de l'appareil suivant la présente invention.
Etant donné que l'élément de raidissement remplit sa fonction d'empêcher un roulage dans une région qui se trouve sur le devant du pantalon, la lon- gueur de cet élément est indiquée sur la figure comme s'éten- dant d'un pli antérieur 201a jusqu'à l'autre pli 202a, bien que certains fabricants préfèrent, ainsi qu'on l'a indiqué ci-dessus, que l'élément de raidissement s'étende sur tout le pourtour de la ceinture.
Il est bien évident que d'une manière générale, la ceinture est fixée au tissu enveloppe, c'est-à-dire aux mor- ceaux 201 et 202 le long d'une ligne adjacente au bord su- périeur de ces derniers et que la ceinture est déplacée vers sa position intérieure par pliage. La figure 7 montre la ceinture et le tissu enveloppe à l'état non plié.,
Il apparaît de manière évidente que le abondions assurées par les électro-aimants 64 et 81 peuvent être rem- plies au moyen de cylindres pneumatiques ou hydrauliques.
Dans ce cas, les noyaux mobiles 62 et 83 d'électro-aimant - seront des biellettes reliées aux tiges de piston de leurs cylindres respectifs. L'admission et l'échappement de l'air ou du fluide hydraulique seront commandés par des soupapes appropriées, par exemple par des soupapes manoeuvrées par électro-aimant dont les enroulements peuvent être considérés comme étant les enroulements 65 et 82, respectivement.
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Ceux qui sont versés dans cette technique compren- dront que la matière 15 de la ceinture est fournie à. l'aiguil- le ou aux aiguilles par l'intermédiaire d'un guide distinct, que ces guides sont réglables en champ d'action pour recevoir des types différents d'ensembles de ceinture et que ces gui- des sont montés pour un réglage latéral afin que l'aiguille ou les aiguilles puissent coudre le long de lignes choisies dans le sens longitudinal de la ceinture. Ces variables né- cessitent à leur tour un emplacement rapidement réglable du guide dans un sens latéral. Il est souhaitable à cet effet que le bâti 39 (figure 12) soit porté sur la machine à coudre d'une manière permettant un tel réglage. Une manière préfé- rée est de prévoir une enveloppe qui, pour les buts actuelle- ment visés, peut être considérée comme étant le bâti 39.
Cette enveloppe est supportée à la gauche sur une vis de réglage 211 à tête moletée en prise avec le filetage d'un bossage 212 pré- vu sur une paroi latérale de l'enveloppe. La vis est mainte- nue contre tout mouvement axial dans une oreille 215 d'une barre 216, cette dernière étant fixée à la plaque de base de la machine à coudre. La paroi latérale opposée de l'enveloppe a un bossage 221 qui peut glisser sur une tige 222 fixée à une autre oreille 223 prévue sur la barre 216. Par conséquent, l'enveloppe (bâti 39) peut être réglée latéralement sur l'in- tervalle désiré par rotation de la vis 211. Pour fixer la po- sition réglée, il est prévu un élément 228, muni d'une mortai- se, qui est fixé à l'enveloppe et dans lequel est engagée une vis 229, vissée dans l'oreille 215.
En conséquence, une fois que le réglage est fait, la vis 229 peut servir à maintenir ce réglage contre tout déplacement intempestif.
En outre, il est souhaitable que le couteau et les pièces mécaniques ou électro-mécaniques qui lui sont associées, ainsi que la griffe d'avance et les pièces qui lui sont asso- ciées soient montés à l'intérieur de l'enveloppe 39 dans la- quelle ils sont protégés contre l'encrassement. D'une manière
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analogue, les parties-constituantes purement électriques ainsi que le montage qui leur est associé peuvent être, eux aussi, enfermés dans l'enveloppe.
Les figures 13 et 14 illustrent deux dispositifs qui constituent des variantes pour faire avancer l'élément de raidissement et qui, en fait, se substituent à l'électro-aimant 147 et à la griffe d'avance, 71. Sur la figure 13, il y a un moteur électrique 301 tournant d'une manière continue qui est disposé pour commander le coté entrée d'un embrayage électro- magnétique 302, le coté sortie de cet embrayage étant relié à une roue 305 qui comporte une surface de friction portant con- tre l'élément raidisseur 17. A la roue 305 est superposée une roue folle 306 portée par un arbre 307 disposé pour fléchir ou pour pivoter autour d'un certain point fixe 308 et sollici- té dans la direction de l'élément 17 par un ressort 311.
En autres termes, les roues 305 et 306 pincent l'élément 17 d'une manière telle que lorsque l'embrayage est excité, l'élément 17 avance vers le pied de biche et la griffe d'avance de la ma- chine à coudre.' L'enroulement 313 de l'embrayage cet relié t un circuit d'une manière analogue à celle dont est relié l'en- roulement 147a de l'électro-aimant 147. En conséquence, quand l'opérateur ferme l'interrupteur 101 pour amorcer l'avance- ment de l'élément 17, l'embrayage est embrayé et un mouvement est communiqué à l'élément 17 sur une courte distance prédé- terminée qui suffit pour permettre que cet élément soit saisi par le pied de biche et la griffe d'avance de la machine à coudre et poursuive ainsi son avancement.
La figure 14 illustre un dispositif dans lequel un moteur 321 commande une roue 322 ayant une périphérie dont une partie prédéterminée est munie de dents de scie 323 Cet- te roue fait saillie à travers une mortaise 325 qui est pré- vue dans la paroi inférieure du guide 31. Dans cette varian-
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tue. le moteur 121 pat rali4 ran Pirni14+ A -..- 1- -
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vre de la pédale 91 par l'opérateur a pour résultat une révo- lution de la roue 322 pour faire avancer l'élément 17 vers le pied de biche et la griffe d'avance de la machine à coudre.
Le diamètre et l'étendue angulaire des dents'de scie 323 sont tels qu'ils fournissent le degré d'avancement souhaité. Si on le désire, on peut interposer un embrayage à une révolu- tion, par exemple, un embrayage à friction, entre le moteur 321 et la roue 322, et des moyens sont prévus pour libérer et arrêter le côté sortie de l'embrayage conformément à la manoeu- vre de la pédale 91.
Il va de soi que la présente invention n'a été dé- crite ci-dessus qu'à titre explicatif mais nullement limita- tif et que l'on pourra y apporter toutes variantes sans sor- tir de son cadre.
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Gentlemen.
Referring to the aforesaid application, we wish to draw the attention of the patent reader to some material errors which occurred during the typing of the specification, and in the drawings filed in support of this application.
- page 8, line 7, the reference number "60", designating the console, must be corrected to "67", the reference "60" designating, moreover, a rod. This reference must, moreover, be added to figure 4 opposite the console, as indicated in the copy of figure
4 attached.
- page 8, lines 24 and 25, the phrase: "..., when the latter is inactive, ..." must be deleted, because this is nonsense since it is said to the following line: "... so as not to prevent the advancement of the tape, ..." it is therefore perfectly obvious that this tape cannot be inactive.
- page 12, line 7, the reference number "54" should be corrected by "54a". Indeed, the reference number "54" already identifies a compression spring - (see page 8, line 16, and figure 4) -. Moreover, this correction is also to be made in figure b of the drawings.
<Desc / Clms Page number 2>
- page 2, lines 21 and 22, the reference "72", designating a shaft, must be corrected to "73", the reference "72", designating an angled lever, as it appears from reading the last paragraph of on page 9 and figure 2 where this part is shown. This same correction is to be made in figure 6.
-page 13, line 3, the reference "81" must be corrected to "88", since the reference "81" designates an electromagnet, as it is easy to see in particular on page
10, line 13, and in Figure 4. This same correction is to be made in Figures 6 and 10 of the drawings.
-page 13, line 4, the reference "82", designating screws, should read "89", the reference "82" designating, by the way, a coil - (see in particular page 9, line 3 of the second paragraph , and figure 4) -. This same correction is to be made in FIGS. 6 and 10 of the drawings.
-page 13, line 6, the reference "84", designating one end of the leaf spring, must be corrected to "90", since this can be seen on reading the figure.
4, and page 9, lines 4 and 9 of the second paragraph, the reference "84" already designates a rod * This same correction is to be made in Figures 6 and 10 of the drawings.
-page 13, line 11, the reference number "91", designating a pedal, should be corrected to "97", this reference "91", designating a slot, as mentioned. in figure 4 and in the last paragraph of the page 9, lines 2 and 5. This correction is also to be made on page 21, lines 17 and 26, and in figure 6 of the drawings.
-page 13, line 12, the reference "92", following the word "rod", must be corrected to "95", the reference "92" designating, moreover, an arm, as specified on page
9, in lines 3 and 6 of the last paragraph of this page, and in FIG. 4. This same correction is to be made in FIG. 6 of the drawings.
-pagel3, line 12 also, as well as line 15, the reference "93" should read "98", because, as you will be able to see, on the one hand, on reading figure 2, and , on the other hand, on line 3 of the last paragraph of the page
9, the reference "93" designates a joint. This same correction is to be made in FIG. 6 of the drawings.
-page 13, line 12, the reference "94", located at the end of the line, must be corrected to "99", the reference "94", already designating rushes on page 9, fourth line of the last paragraph, as well as in FIG. 2. This same correction is to be made in FIG. 6 of the drawings.
<Desc / Clms Page number 3>
-page 13, line 14, the reference "96", designating a spring, must be corrected to "103, the reference" 96 ", - designating, moreover, a sleeve, as can be seen from reading line 7 of the last paragraph on page 9, and in figure 2. This same correction is to be made in figure 6 of the drawings.
-page 13, lines 16 and 23, and page 16, line 11, the reference "101" should read "100", because the reference "101" already designates an arm- (see figure 2 and page 10, in particular lines 1 and 17) - This same correction is to be made in FIG. 6 of the drawings.
-page 14, line 25, and page 16, line 13, the winding "106" must be corrected to "the winding 108", the reference "106" being used to designate, moreover, a mortise, in particular page 10, line 4, and in FIG. 2. This same correction is to be made in FIG. 6 of the drawings.
-page 15, line 17, the reference "128", designating a terminal, must be corrected to "132", the reference "128" designating a tree, as you will see on the same page, line 4, and in figure 6. This same correction is to be made in figure 6 of the drawings, in the lower part of the figure.
Figure 6 of the drawings:
As the reference numbers "166" and "165" read very poorly, they should be traced in order to avoid confusion when examining this figure with "186" and @ "185".
Figure 11 of the drawings:
The reference number "41" should be deleted, because, according to the text, it represents a tree, while @ in this figure, it designates a screw which is, moreover, already correctly identified "37" in this figure.
The undersigned is aware that no document attached. in the file of an invention patent cannot be of such a nature as to make either the description or the drawings, substantive modifications and declares that the content of this note does not bring such modifications and does not have any effect. other than to report one or more material errors,
He acknowledges that the content of this note cannot have the effect of making the patent valid in whole or in part if it was not fully or in part by virtue of the legislation currently in force.
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He authorizes the Administration to attach this note to the patent file and to issue a photocopy of it.
Enclosed, Frs 100.- in a fiscal stamp, amount of the official tax.
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Please accept, Gentlemen, the expression of our distinguished sentiments. My- C.69INÇT rsc
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Device to advance? a strip of composite material to a sewing machine
The present invention relates to an apparatus for advancing a first web of material to a sewing machine,
to assemble it with a second strip of material also advancing towards the machine to cut this second strip to a predetermined length and to start the operation again
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rV rt:, 1 # 1le being eesHnandë in an automatic & 2QmiutHatic way.
To the extent the pose exposed this report by .2 to 'R' 8.U eeia'ëures to inaoppcrer in clothes of use aouraRt there are two main prouédéx which are used cou am: ent = In Uh of cases processes, a classic type of fs ::; t, pie? example for men's trousers, must have a part of a special nature added to it, namely a
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stiffening element, as specified in Belgian patent N 640.368.
In this case and in accordance with the present invention, a continuous length of conventional belt material of any known shape is advanced from a power source to the sewing machine and while such material is in this way, predetermined lengths of the stiffening member are sewn to the belt at spaced intervals.
Then, the set formed by the combination of the waistband and the element is cut by the garment manufacturer at some point in the interval and this set is sewn to the garment According to another method, the garment manufacturer attaches the classical belt to the pieces of the garment, for example to the two halves of a pantaloon and while these pieces and the belt which is combined with them advance with them towards the needles of a sewing machine, manufacturer adds specified length of stiffening element In either of these two cases, it is desirable to advance the stiffening element from a continuous length spoken on a stitch coil a predetermined length of this element.
with the conventional belt material and cut this length after its incorporation by stitching the advancement and cutting being carried out cyclically and the initiation of the advancement of the stiffening material as well as its cutting being under the control of the operator, although we are also considering a
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sewingimauloùiulsiqiàga For what coneerno the pMsonte requires the iHm8 "" particular truetion of the belt constituting a dowry rior. shells supplied to the needles is irrelevant and so it is
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the same for / qui conceric, the mnrcaatci of the wé'leùie31t which can17e; z% to, as indicated above, be supplied to the needles
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in mt3! l1l't time for the belt.
Are such factors known and are they of a cutting practice? In a similar way,
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the stiffening element or other component part to be incorporated into the belt may be of any shape and as far as the present disclosure is concerned in a broad sense it is a strip of material of which a certain specified length should be sewn to the waistband. It is obvious that this length can vary according to the requirements of the manufacturer. For example, in the case of the element referred to in the aforementioned patent and which is intended to prevent the belt from rolling, for example, of a men's trouser, the element can be arranged on the front part only and cut in line with the baguette.
In other cases, the element can be continuous from one side of the rod to the other side, passing around the waist.
In accordance with the present invention, it is desirable that the added component part, i.e. the stiffening member, be provided in the form of a roll while means are provided to guide this. element towards the presser foot and below the presser foot of the sewing machine. Exactly opposite the presser foot is placed a shearing means which, at a desired point in the cycle, is actuated to cut the web and, opposite the shearing means is placed an advancing means which is capable of Present the front end of the tape to the presser foot and to the feed dog of the sewing machine.
A conventional means of advancement inherent in the sewing machine continues to advance the web and the base material of the belt to which the web is to be sewn and at some point which depends on the length of the material to be incorporated. , the operation of the shearing means occurs. Then the cycle repeats. The initiation of the advancement of the stiffening element and the cutting of this element are under the control of the operator.
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However, in an alternative embodiment, automatically synchronized means can be used to restart the feed immediately after cutting.
The respective means for advancing and for cutting may comprise electrical, hydraulic or pneumatic component parts. In addition, the complete assembly participating in the feed and cut functions is of a compact, unitary character which allows it to be added to a conventional type of sewing machine, with only a minor adaptation and without any hindrance to the sewing machine. usual working position of the operator.
In addition, the embodiments shown in what follows by way of examples are under the control of the operator who actuates a pedal connected to a switch either to initiate the advance and to perform the cut, or to perform the followed cut. by the automatic starting @ of the feed, since it has been found that these modes of operation @ are the most efficient and convenient.
Other characteristics and advantages of the present invention will emerge from the description which follows, given with reference to the accompanying drawings and giving by way of explanation. cative but in no way limiting several embodiments in accordance with the invention.
On these drawings:
Figure 1 is an elevational view of the left end of a sewing machine incorporating the apparatus according to the invention;
Figure 2 is a combined elevational and cross-sectional view, on a somewhat larger scale, of the apparatus according to the invention, detached from the sewing machine;
Figure 3 is a somewhat enlarged cross-sectional view taken along line 3-3 of Figure
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¯
Figure 4 is a rear elevational view as seen by an observer looking in the direction of arrows 4-4 of Figure 2;
Figure 5 is a diagram which is intended to illustrate the electrical assembly;
Fig. 6 is a combined fragmentary perspective view of an electro-mechanical diagram and other apparatus according to the invention;
FIG. 7 is a plan view of the two halves of a pair of trousers incorporating an assembly formed by a belt and by a stiffening element and obtained by the implementation of the invention;
Figure 8 is a perspective detail view of certain features of Figure 6, on a somewhat larger scale;
Fig. 9 is a perspective view showing parts of Fig. 8 after removal of the troublesome fig portions;
Figure 10 is a cross-sectional detail view, which is intended to show the feed finger and reverse motion pawl of Figure 6;
Figure 11 is a cross section which is intended to show the relationship between the presser foot and the web guide hub of Figure 6;
Figure 12 is a front elevational view which is intended to illustrate means for mounting the web guiding means, cutting means and advancing means, for lateral adjustment with respect to the needles. ; Figures 13 and 14 are schematic representations of other devices for advancing the stiffening element.
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.
By way of example, the invention will now be described in the case of the combination, by sewing, of a secondary stiffening element of the kind described in the aforementioned patent, with a conventional type of belt material. In such a case, the belt material and the stiffening member are preferably supplied from separate coils carrying a continuous length, respectively, of the belt material and the stiffening member. The belt material is provided at a higher level and the stiffening member is provided at a lower level.
With respect to the advancement of the belt material and the stiffening element jointly below the needle or needles (in the case of a multi-needle machine), this advancement is produced by the claw usual sawtooth advance below the needles, the crowbar cooperating with the advance claw in a well known manner.
In Figures 1 to 6, there is shown (Figure 1) the needle 10 and the presser foot 11 of a conventional industrial sewing machine. Although a needle has been shown only for the sake of clarity, it is quite obvious that there may be several needles. In the usual way, the feed dog (not shown) inherent in the sewing machine is placed below the presser foot.
Reference numeral 15 denotes a web of waistband material which may be composed per se of several layers according to the specifications of the clothing manufacturer; this belt tape material is supplied to the needle from a supply spool (not shown). This spool is usually mounted below the sewing machine.
Likewise, the secondary element 17 is supplied from a supply spool (not shown). To avoid increasing the space occupied in front of the machine, it is desirable that the reel of material 17 be placed in the same position.
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ensure that its axis is perpendicular to the direction of advance (arrow A, figure 8) and a turn at a right angle is then carried out by means of a fixed guide 19.
A plate 21 (figure 1) is attached to the table 20 of the sewing machine and its leading edge 22 is curved downward to provide a smooth transition of the element 17 from the guide groove, to be described, to the crowbar and the feed claw cooperating with the latter.
In the vicinity of the presser foot 11 there is a guide 31 (Figure 2) which comprises an upper wall 31a, a lower wall 31b and side walls 31c, preferably converging and formed in such a manner that they limit an outlet groove 33 which opens out in such a way with respect to the upper surface of the plate 21 that it allows the element 17 to advance without being prevented from doing so towards the presser foot and the claw in advance. The guide 31 is supported on an arm 36 which is fixed by screws 37 to the frame 39 which will be described later. It is desirable that the openings which receive the screws 37 be enlarged or provided with a slot to allow the guide 31 to be adjusted in position.
From the description given heretofore it is evident that the waistband 15 and the element 17 are provided together in the stitching position and are stitched against each other. .
After a predetermined length of the element 17 has been brought to the stitching position, this length is scribed by means of a hardened movable knife 45, which cooperates with a fixed, suitably tempered shearing blade 46 which is fixed to the frame 39. The knife 45 is mounted at the end of an arm 40 (Figure 4). This arm 40 is keyed at one end of a shaft 41 which is supported so as to be able to rotate in bearings 52 which constitute a part of the frame.
39. Another arm 50 is keyed to the opposite end of the
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tree 51.
A compression spring 54 biases the arm 50 and therefore the knife 45 towards the rest position shown, that is to say towards a position lying outside the path of the movable member 17. It is desirable. that the spring 54 is mounted on a rod 60 to prevent it from flattening and the rod is held at its ends, respectively, in the arm 50 and in the bracket 60. The far end of the arm 50 is connected by a rod 57 to the head 61 of the plunger 62 of an electromagnet 64, the winding of which is indicated at 65.
The knife 45 and its associated fixed surface 46 are placed as close as possible to the point where the presser foot and the sewing machine feed dog are jointly effective in advancing the webs. and 17. In order to present the cut end of the strip 17 at this point, a feed claw 71 (figure 2) is carried by means of a set screw 66, on an angled lever 72 to effect essentially a movement. linear by means of a device which will be described later. The claw 71 has a pointed end intended to engage the mesh of the strip 17 and is preferably tempered or of a hard material such as tungsten carbide so as to retain its penetrating property.
The pressure exerted by the claw 71, while it is inactive, on the strip 17, when the latter is inactive, is light enough not to prevent the advancement of the strip, that is to say its movement towards the needle and claw is at such an angle that when returned to the non-active position shown it is ineffective in producing a pull in the opposite direction.
We will now describe the device provided for actuating the claw 71. On the frame 39 is mounted another electromagnet 81 which comprises its coil 82 and a plunger 83, 'this plunger having a rod 84 which is fixed at its end.
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furthest from the spool 82. A shaft 85 is supported on the side walls 39 and 39b of the frame 39 and carries a rotating sleeve 86 to which two arms 87, 87 are attached. These arms bear on the respective ends of the rod 84.
The bent lever 72 to which the claw 71 is fixed has a slot at 91 which is intended to receive the upper end of another arm 92, articulated at 93 on the bent lever 72. This bent lever 72 has cheeks 94. , 94 which limit the slot 91 and it can rotate relative to the arm 92. The arm 92 is fixed at its lower end to a sleeve 96 which is also supported to rotate around the shaft 85 (FIG. 4).
The sleeve 86 also has an arm 101 which is provided at its free end with a rod 102 engaged in aligned mortises 104, 104, formed in the respective cheeks 94, 94.
The arm 92 has at 106 a mortise which is intended to allow the release of the rod 102 when the parts move with respect to one another. A tension spring 111 extends between a fixed point 114 of the frame and the arm 92 so as to urge the claw 71 and the other constituent parts of the mechanism towards their respective inactive positions, which is represented in solid lines in FIG. 2, that is to say towards the right limit, observing figure 2, of the course of the claw.
When the electromagnet 81 is energized, its plunger 83 is pulled inward, so that the arms 87, 87 and the sleeve 86 rotate counterclockwise. This action, in turn, rotates the arm 101 in the same direction, so that the rod 102, moving in the mortises 104, drives the elbow lever 72 and the arm 92 which is connected to it in the opposite direction of the direction. clockwise so that the claw 71 moves a certain predetermined amount to advance the web 17 to a position in which it is gripped between the presser foot and the feed claw. the sewing machine.
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By comparing the representations in FIG. 2, one in solid lines and the other in broken lines, we see that the bent lever 72 is subjected to two stresses, a first stress exerted by the pivot 93 which pivots around the 'axis of the shaft 85 constituting the center of pivoting and a second constraint which is exerted by the rod 102 cooperating with the mortises 104, the rod 102 also pivoting around the axis of the shaft 85, but following less radius. The net result of these two constraints is to move the elbow lever 72 essentially in a translational motion while the claw 71 is maintained in contact with the web 17 throughout the forward stroke.
The dashed lines in Figure 2 indicate the relative positions of the parts at the end of the stroke.
When the electromagnet ceases to be excited, the parts return to their respective initial positions under the action of spring 111.
After the bands 15 and 17 have been sewn, the latter is cut by the actuation of the knife 45. For this purpose the electromagnet 64 is energized so as to cause the arm 40 to pivot in order to move the knife 45 opposite. of the cutting edge 46 against the action of the spring 54. When the electromagnet 64 ceases to be energized, the parts are returned to their respective positions according to FIG. 4.
To control the advancement and cutting of the web
17, the operator is provided with a pedal boat 130 (FIG. 5) which can oscillate around a pivot 131 and connected by means of a link 133 to a switch arm 135 intended to perform a reciprocating movement between contacts 136 and 137.
To transform the successive actuations of the pedal 130 into switching oscillations between the contacts
136 and 137, any suitable mechanism 134 can be used.
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Such devices are commercially available. One such type of switch includes two sets of contacts and a mechanism which, when actuated, operates the switch arm 135 to close either of the contacts 136 or 137 alternately, after which the arm 135 reverts to. a neutral position awaiting the next actuation. Assuming that there has previously been the advancement and cutting of a predetermined length of web 17, the operator lowers the pedal 130, which has the effect of projecting the arm 135 onto the contact 137 to energize the. winding 82 of the electromagnet in order to operate its mobile core 83.
The mechanism 134 is constructed and arranged in such a way that once it is triggered it remains in this position awaiting the subsequent actuation, that is to say in the position. shown in broken lines of the arm 135. In other words, the lowering of the pedal 130 only needs to be momentary, that is to say only needs to last just long enough to close. contacts 135-136 or 135-137 to actuate the electromagnet, in order to advance the anterior end of barf 17 towards the presser foot and the feed dog of the sewing machine. After the prescribed length of tape 17 has been advanced toward the needle, the operator lowers the pedal 130 so that the mechanism 134 projects the switch arm 135 onto the contact 136 to energize the winding 65.
The movable core 62 is thus pulled inward to actuate the cutting knife 45. Again, the actuation of the pedal 130 does not need to be momentary. The cycle repeats in the same way.
We will now move on to the variant shown in Figure 6 and Figures 8 to 12. It is evident that after a certain predetermined length of the element 17 has been advanced to the sewing position, this length is sheared by means of the mobile hardened knife 45,
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. acting in cooperation with the fixed shear surface 46 of an element 47, the knife resting on a fixed element 48. The element 47 is fixed to the frame 39. According to FIG. 6, the knife 45 is keyed on one end a shaft 51 which is supported so as to be able to rotate in bearings 52, 52 constituting a part of the frame 39.
A torsion spring 54 has its ends fixed respectively to a bearing 52 and to the shaft 51, the direction of winding of the spring being such that the knife 45 is urged normally downwards, ie. say outside the path of the movable element 17. On the end of the shaft 51 furthest from the blade 45 is keyed a shaft 56 which is connected by a link 57 to the head 61 of the core 62 of an electromagnet 64, the winding of which is indicated at 65.
The knife 45 and the fixed surface 46 associated with it are placed as close as practicable to the point where the presser foot and the feed dog act together effectively to advance the webs.
15 and 17.
In order to present the cut end of the strip 17 at this point, a feed claw 71 (Figure 6) is carried on a shaft 72 to perform an oscillating movement (arrow B), this shaft 72 being supported on bearings (not shown) which are in the frame 39, The teeth 76 of the claw 71 have such a shape and they are arranged in such a way that they bear on the underside of the strip 17 with a pressure such that they advance the web, but this pressure is nevertheless light enough not to prevent a continuous advance of the web, produced by the presser foot and by the feed dog of the sewing machine. The shape of the teeth of the claw 71 is such that the return of the claw to its resting position (Figure 10) is insufficient to produce undesirable braking.
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In addition, it may be desirable, in order to prevent any retrograde movement of the strip 17 to provide a stop means 81 (Figures 6 and 10) comprising a leaf spring fixed at one end to the frame 39 by screws 82 and intended at its end furthest from the screws to bear against the movable band. It is desirable that this end 84 of the leaf spring be sawtooth shaped to increase the braking action.
In the case indicated by way of example, of a semi-automatic operating cycle, the operator is provided with a pedal 91 which is connected by means of a rod 92 to an arm 93 articulated on the frame. 39 at 94 or at another fixed point and this pedal is biased upwards by a spring 96 disposed between the arm and the frame.
The arm 93 is arranged to actuate a switch 101, for example a unidirectional unipolar micro-contact having a pair of contacts 110a and 101b, the first contact being connected to one side of a power source, for example to a source of energy. 110 volts alternating current. To facilitate the layout of the assembly, this side of the source has been designated by the sign "plus" and the other side of the source has been used the designation "earth".
When the switch 101 is closed, a circuit closes from the plus, through the conductor 105, the winding 106 of a ratchet relay 107, to go to earth at 109. L ' armature 110 has an extension 112 which is provided with a pawl 113 and this extension is further arranged to close, when the relay is energized, a switch 121, for example a unipolar, unidirectional microswitch having two contacts 121a and 121b. We realize that when the relay 107 is energized, two phenomena occur: firstly, the switch 121 closes and secondly the ratchet wheel 122, which will now be discussed, closes. move
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of a tooth. Ratchet wheel 122 is keyed to shaft 128 along with lobe wheel 129.
The number of teeth of the ratchet wheel 122 is equal to the number of lobes and depressions of the lobe wheel 129. In the present case, there are twelve teeth. Each step of the ratchet wheel 122 therefore actuates an arm 131a towards one or the other of the contacts 131b or 131c associated with it. On the. The drawing shows the arm 131a as being closed on the contact 131c. Closing of switch 121 is therefore effective, via its contacts 121a and 121b, to close a circuit which, from the "plus" at 121a, passes through conductor 124, arm 131a, now. closed on contact 131b, contact 131b, conductor 125, an input terminal 126 of a bridge rectifier 127, the other terminal 128 of which is grounded.
Accordingly, the DC output of the bridge, at terminals 141 and 142, is applied to conductors 144 and.
145 which are connected to both ends of the winding 147a of an electromagnet 147 which, in a practical embodiment, is a rotating electromagnet, best operated from a direct current source. The output arm 147b of the electromagnet is connected to the feed claw 71, so that when the electromagnet is energized the strip 17 is advanced towards the presser foot 11 and the needle 10 to be sewn.
A unipolar, unidirectional switch 150, for example a microswitch, is arranged to be actuated by the feed claw arm 71, as indicated by line 151 in broken lines. This switch 150 remains closed during the forward movement of the feed claw 71 but it opens during the reverse movement. It should be noted that the oscillation of the sawtooth end furthest from the feed claw 71 is provided so as to be sufficient to carry the cut end 155
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of the strip below the presser foot 11, then it is immediately returned by means of a spring (not shown) which is housed in the rotating electromagnet.
After a certain pre-determined length of element 17 has been sewn, the operator stops the feed by activating switch 101 a second time. Closing this switch again energizes the winding 106 of the relay, thus making the ratchet wheel 122 and the lobe wheel 129 a new step. The previous energization of the relay 107 having moved the arm 131a for the bring against the lower contact 131b, the second energization of this relay causes the. Next lobe raises the arm against the upper contact 131c.
As a result, a circuit is closed which, from the "plus" at 121a, passes through closed switch 121, contact 121b, conductor 124, arm 131a, contact 131c, conductor 136, 1. winding 65 of the electromagnet 64, to end in the earth. Therefore the electromagnet ti e inward to actuate the knife 45 and cut the predetermined length of the strip 17. Immediately after cutting, the parts which are mechanically associated with the knife 45 are returned by means of the spring 54. @
There is provided, arranged to be actuated by the return stroke of the head portion 61 of the core 62 of the electromagnet, a unipolar, unidirectional switch 161, which is for example a microswitch.
The arm 161a of this microswitch is provided with a device 162 with play so that the inward movement of the head 61 is ineffective for actuating the switch but allows the latter to be actuated during the return stroke. Therefore, after cutting, the switch arm 161a closes against its contact 165b to close a circuit, which, starting at plus 164, passes through the conductor 165, the arm 161a and the contact.
161b which is associated with it, the conductor 166, the reinforcement 168a
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of a relay 168, the contact 168b normally closed, the conductor 169, the winding 168c of the relay 168, and ends in the earth at 171, thus opening the circuit which passes through the frame 168a and the contact 168b.
However, before such an opening, the pulse generated at the switch 161 is effective, also to energize the winding 1 $ la of a relay 181, characterized by a delayed opening, the circuit passing through the branch 177, by winding 1 $ la to end at earth at 178.
Relay
181 closes to close a circuit which, starting from the plus at 164, passes through the armature 181b, the rest contact 181c, the conductors 185 and 186, to supply the bridge rectifier 127 a second time and thus activate the 'advancement electromagnet 147. Since the armature 168a normally closed and the contact 168b have been opened and the relay 181 has a delayed action, for example 1/2 second before its reopening, the claw of feed 71 receives a short pulse @ which is sufficient to advance web 17 only @ such a distance as will move the cut end of the web to presser foot 11, in preparation for a next cycle.
Such a next brief advance of the web 17, in a practical embodiment, is about 25 mm and it has the advantage of allowing some time to present the leading edge cut as close as possible to the needle. view of the next cycle. The delay in advancing the web after cutting has the advantage that the leading edge of the advancing web cannot collide with the trailing edge of the piece being sewn.
FIG. 7 illustrates the use of the invention in the case of trousers. In this type of operation, the manufacturer realizes a significant saving in the cost of manufacture by sewing a continuous length of the material.
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from the waistband to the two cut pieces of fabric 201 and 202 which are finally assembled into the finished garment in accordance with known practice. Prior to such an assembly, the belt material is cut along lines which are indicated approximately at X. In the event that a stiffening element such as element 17 is to be incorporated as well, it is advanced and made up. sews using the apparatus according to the present invention.
Since the stiffening element performs its function of preventing rolling in a region which is on the front of the trousers, the length of this element is shown in the figure as extending from one fold. anterior 201a to the other ply 202a, although some manufacturers prefer, as noted above, that the stiffening member extend all the way around the waistband.
It is quite evident that in general the belt is attached to the enveloping fabric, i.e. to pieces 201 and 202 along a line adjacent to the top edge thereof and that the belt is moved to its inner position by folding. Figure 7 shows the waistband and the envelope fabric in an unfolded state.,
It is evident that the abundance provided by electromagnets 64 and 81 can be filled by means of pneumatic or hydraulic cylinders.
In this case, the mobile electromagnet cores 62 and 83 - will be rods connected to the piston rods of their respective cylinders. The intake and exhaust of air or hydraulic fluid will be controlled by appropriate valves, for example by solenoid operated valves whose windings can be considered to be windings 65 and 82, respectively.
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Those skilled in this art will understand that the material of the belt is provided. needle or needles through a separate guide, that these guides are adjustable in range to accommodate different types of belt assemblies and that these guides are mounted for lateral adjustment so that the needle or needles can sew along selected lines in the longitudinal direction of the belt. These variables in turn require a quickly adjustable location of the guide in a lateral direction. It is desirable for this purpose that the frame 39 (Fig. 12) be carried on the sewing machine in a manner allowing such adjustment. A preferred way is to provide an envelope which, for the present purposes, can be considered to be the frame 39.
This casing is supported on the left on a knurled head adjusting screw 211 engaged with the thread of a boss 212 provided on a side wall of the casing. The screw is held against axial movement in a lug 215 of a bar 216, the bar 216 being attached to the base plate of the sewing machine. The opposite side wall of the casing has a boss 221 which can slide over a rod 222 attached to another lug 223 provided on the bar 216. Therefore, the casing (frame 39) can be adjusted laterally to the insert. desired time by rotating the screw 211. To fix the adjusted position, an element 228 is provided, provided with a mortise, which is fixed to the casing and in which is engaged a screw 229, screwed in. the ear 215.
Accordingly, once the adjustment is made, screw 229 can serve to maintain this adjustment against inadvertent displacement.
In addition, it is desirable that the knife and the mechanical or electro-mechanical parts associated with it, as well as the feed claw and the parts associated with it, are mounted inside the casing 39 in the case. where they are protected against contamination. In a way
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Similarly, the purely electrical component parts and the assembly associated with them can also be enclosed in the casing.
Figures 13 and 14 illustrate two devices which constitute variants for advancing the stiffening element and which, in fact, replace the electromagnet 147 and the feed claw, 71. In Figure 13, there is a continuously rotating electric motor 301 which is arranged to control the input side of an electromagnetic clutch 302, the output side of this clutch being connected to a wheel 305 which has a friction surface bearing con - being the stiffening element 17. On the wheel 305 is superimposed an idler wheel 306 carried by a shaft 307 arranged to flex or to pivot around a certain fixed point 308 and urged in the direction of the element 17 by a spring 311.
In other words, the wheels 305 and 306 pinch the element 17 in such a way that when the clutch is energized, the element 17 advances towards the presser foot and the feed dog of the sewing machine. . ' Clutch winding 313 is connected in a circuit analogous to that to which electromagnet 147a coil 147a is connected. Accordingly, when the operator closes switch 101 for start the advance of element 17, the clutch is engaged and movement is imparted to element 17 over a short predetermined distance sufficient to allow this element to be gripped by the presser foot and the feed claw of the sewing machine and thus continues to advance.
FIG. 14 illustrates a device in which a motor 321 drives a wheel 322 having a periphery of which a predetermined part is provided with saw teeth 323 This wheel protrudes through a mortise 325 which is provided in the bottom wall of the wheel. guide 31. In this variation
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Operation of the pedal 91 by the operator results in a revolution of the wheel 322 to advance element 17 toward the presser foot and feed dog of the sewing machine.
The diameter and angular extent of saw teeth 323 are such as to provide the desired degree of advancement. If desired, a revolving clutch, eg, a friction clutch, can be interposed between motor 321 and wheel 322, and means are provided for releasing and stopping the output side of the clutch in accordance. when operating the pedal 91.
It goes without saying that the present invention has been described above for explanatory purposes only, but in no way limiting, and that all variations can be made without going beyond its scope.