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"01.Tncho pour portas." il
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L'invention, ae rappuyte à .uz;.; clenohe pouir pOl'tOf' avec poignée placée de façon démontable sur une ,,1 & clq,17X- é traversant la noix de serrure et fendue dans le cens de la longueur qui pénètre dans un creux de la poj gn.1:;), 7.,,rluel
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correspond à la section transversale de la laquelle
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est séparée par la pression d'un? via el 9 6Ctu,'i;'Jrr,<:ni Vi8t"\J dans le col de la poignée, des biais 6%ayi-L p:r0vm ,;Ql' li8
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demi-tigen pour servir de surfaces d'appui à la fin d'écarte- ment .
On connaît des olenohea pour portée de ce genre, Elles de permettent cependant pas toujours un montage irrécusable dans la, noix de serrure traversée par la tige carrée, du fait que celle-ci doit au moins présenter un certain jeu pour pouvoir être introduite dans la noix de serrure. Lorsque on aerre la via d'écartement, l'écartement des deux parties de la tige n'est possible que jusqu'au moment où la tige est solidement preseée contre les parois du trou carré prévu dans le poignés démontable.
En gênerai, ce léger éoartemert no quffit pas pour réalise? une assise sûre dans la noix de sorrure.
L'objet de l'invention est, dès lors, de constituer une clenche pour portes du, type cité$ de manière que la tige de la clenche ait également une solide Maies dans la noix de serrure. Conformément à l'invention, ceci est réalisé par le fait que les demi-tiges sont fixées à l'écart l'une de l'autre dans la poignes non démontable, qu'elles y sont de préférence fixées par coulée, et qu'avant le serrage de la vis d'écartement, la tige pénètre avec jeu en' direction de la poussée d'écartement subeséquente.
Dans une clenche pour portes ainsi constituée, la tige sur laquelle on a glissé la poignée démontable, peut être écartée au point que l'écartement' de oele-oi ait encore une ampleur suffisante, même sur l'étendue de la noix de serrure. Ceci s'obtient par le fait qu'en raison du jeu prévu conformément à la présente invention, le trou dans la poignée n'empêche pas un écartement plus important. En outre, le fait que les deux demi-tiges sont maintenues dans l'autre
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poignée de clenche à l'écart l'une de l'autre, contribue à créer une assise ferme.
En faisant bailler entre elles les deux demi-tiges qui peuvent être comprimées en surmontant leur élasticité, on peut obtenir une certaine tension préalable sous laquelle la tige carrée peut se glisser sans jeu dans la noix de serrure.
On peut faire bailler de différentes manières les deux demi-tiges entre elles. Dans une forme d'exécution préférée, on dispose entre les deux demi-tiges, sur l'étendue de leur assise dans la poignée non démontable, un inter- calaire, par exemple une tôle. En utilisant un tel intercalaire, la fixation par coulée des deux demi-tiges à l'écart l'une de l'autre est très facilement possible, sans qu'il faille prendre des mesures spéciales sur les tiges. On peut cependant aussi granuler les demi-tiges, ou les rainurer, au moins sur l'étendue de leur assise dans la poignée non démontable. Si l'on procède de cette façon, on peut se passer d'un intercalaire.
En ce qui concerne l'ordre de grandeur du jeu requis, citons l'exemple suivant. Pour une section transversalo totale de la tige carrée de 8 x 8 mm, la section transversale du trou dans la poignée démontable aura utilement 8 x environ 8,5 mm, la dimension d'environ 8,5 mm étant prise dans le sens dans lequel les deux demi-tiges de la clenche s'écartent lorsqu'on serre la vis d'écartement.
Selon un autre développement avantageux de l'invention, la vis d'écartement est une vis à hexagone intérieur.
Grâce à une telle vis à hexagone intérieur, on peut exercer des efforts beauooup plus énergiques que dans le cas d'une vis fendue dans laquelle, comme on sait, le tournevis dérape
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facilement. D'autre part, une clé à manohe courbé s'adaptant dans une vis à hexagone intérieur comporte un bras de levier sensiblement plus grand qu'un tournevis.
Le dessin représente un exemple d'exécution de l'invention.
La fig. 1 montre une vue, partiellement en coupe, d'une clenche comportant deux poignées, vues perpendiculairement au bord de la porte et parallèlement à la surface de la porte ;
La fig. 2 est une vue du dessus, la porte étant indiquée en traite mixtes
La fig. 3 est une coupe selon la ligne 111-111 de la fig. 1 et
La fig. 4 est une ooupe correspondant à la fig. 3, la vis d'écartement étant cependant desserrée.
La clenche pour portes comprend essentiellement les poignées 1 et 2, ainsi que la tige de clenche, indiquée dans son ensemble par le 'repère 3. La tige de clenche traverse la noix de serrure 4 d'une serrure de porte non représentée dans le dessin. Il est évident qu'en aotionnant les clenches 1 et 2, on fait tourner les noix de serrure, du fait que la tige de clenche est maintenue dans les poignées 1 et 2, comme aussi dans la noix de serrure A, sans pouvoir y tourner.
La section transversale de la tige de clenche ressort des indications des fig. et 4. Ces figures montrent que la tige de clenche se compose de deux profilés rectangu- laires pleins 5 de même forme. Ces profilés rectangulaires 5 sont fixés à demeure par coulée dans la poignée 1. Pour réaliser un écartement entre les profilas rectangulaires 5,
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en vue de la formation d'une fente 6, un intercalaire 70 est introduit entre ces profilée rectangulaires 5, lequel intercalaire s'étend à peu près jusqu'à l'extrémité du col 8 de la poignée 1.
Pour la fixation de la poignée démontable 2, on se sert d'une via 7 à hexagone intérieur qui est vissée dans un trou taraudé 80 prévu dans la poignée 2. La via ? comporte une pointe conique 9 dont la conicité présente un angle d'environ 90 , Dans l'état serré de la poignée 2, cette pointe conique s'engage dans une rainure cunéiforme 10 dont l'une des surfaces cunéiformes est agencée sur l'une des demi-tiges 5, l'autre surface cunéiforme étant agencée sur l'autre demi-tige 5. Ainsi que le montre en particulier la fig. 2, la profondeur de la rainure augmente depuis son extrémité dirigée vers l'extrémité de la tige, vers le milieu de la tige, ce que la fige 1 montre également quant à l'accroissement de la largeur de la rainure.
L'angle de la rainure cunéiforme et celui du a8ne de la vis à hexagone intérieur 7 sont les mêmes.
Dans la vue en plan de la fig. 2, la porte est indiquée en traits mixtes par le repère 11. Il ressort de la fig. 2 que l'axe 12 de la vis de poussée 7 est perpendicu- laire au bord 13 de la porte, c'est-à-dire qu'il occupe une position horizontale dans l'espace.
Le creux 17 de la poignée 2 a une section rectangu- laire, la dimension a (voir fig. 4) étant légèrement plus petite que la dimension b. A titre d'exemple, la dimension a peut être de 8 mm et la dimension b d'environ 8,5 mm, si la section transversale de la tige 3 est da 8 x 8 mm, Dans un but de olarté, les rapports ont donc été exagérés dans la
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fig. 4. En réalité, le jeu n'est pas aussi grand que dans la fig. 4.
La clenche pour portes oonforme à l'invention est assemblée de la façon suivante. La tige de clenche 3 est d'abord fixée dans la poignée de clenche 1, de préférence par coulée. Grâce à l'intercalaire 70, on réalise ainsi que les deux demi-tige$ 5 présentent entre elles un écartement 6 qui est égal à l'épaisseur de l'intercalaire 7U. Lors du montage sur la porte, la tige oarrée 3 est glissée au travers de la noix de serrure 4, jusqu'à, ce que l'épaulement de butée 14 de la poignée se pose contre la porte, respectivement contre une rosace.
La fente 6 peut être choisie de telle manière que les demi-tiges 5 baillent entre elles à un degré tel qu'il suffit d'une légère compression des demi-tiges 5 pour permettre l'introduction dans la noix de serrure. La tige ayant été introduite dans la noix de serrure, on y glisse la poignée démontable 2 jusqu'à ce que son épaulement de butée 14' vienne reposer contre la rosace de la clenche de porte. Ensuite, on serre la vis d'éoartement 7 en se servant d'une olé pour hexagone intérieur, laquelle peut facile- ment être mise en place du fait de la position particulière de la vis 7. Dès lors la pointe conique 9 provoque l'écartement des deux moitiés 5 de la tige de clenche 3 de sorte que ses surfaces 15 sont pressées contre les parois 16 du creux 17 de la poignée.
En même temps, les surfaces 15 de la tige sont pressées contre les surfaces 18 du trou de la noix de serrure, de aorte que l'on obtient ainsi une bonne fixation de la poignée sur la tige, comme aussi une bonne fixation de la tige dans la noix de serrure. Il est possible de séparer par pression les demi-tiges à un degré suffisant, par le fait
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que la dimension b (voir fig. 4), est légèrement plus grande que l'épaisseur de la tige carrée. Indépendamment de l'épaisseur de la porte, la vis de pression pénètre toujours dans la rainure cunéiforme sur l'étendue de la partie croissant vers l'extérieur, de sorte que l'on atteint également une bonne tenue contre la traction de coté.
Du fait que les clés pour vis à hexagone intérieur sont courbées à angle droit et qu'il n'est pas possible que la olé dérape sur la vis, la vis à hexagone intérieur peut être serrée très énergiquement, de sorte que la vis ne peut pas se desserrer et qu'en règle générale une séparation imparfaite des demi-tiges par pression n'interviendra pas.