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, 1"Amélioration de la résistance mécanique de Îibre13 celluloE3iquea" ,.
La présente invention se rapporte à des modi- fications de salières cellulosiques fibreuses et concerne
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plus particuliúl'0'1len'c des nappes fibreuses continues< 1 (\6- 'posées à l'aide d'eau, de matières cellulosiques dont les propriétés ont été améliorées par traitement à l'aide de certains agents susceptibles de ratifier la cellulose.
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Sous l'un de ses aspects plus I)arti(,uli(,rse la présente invention se rapporte à un procdé pour donner à des ma- -. t1.ères cellulosiques fibi-r--ust-:s p corti 10 du papier, des pro- piétés physiques et chimiques ayant un caractère n1:1!liorù, spécialement pour ce qui concerne des facteurs de rosis-
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tance mécanique comme la résistance à la. traction à sec, la rèsistance à la traction à l'état humide, la résistance à l'éclatement, la stabilité de dimensions, la compressi- bilité, la résistance au pliage) la résistance au déchi- rage à l'état humide, etc.
Plus spécialement, l'inven- tion concerne! le traitement de matières cellulosiques fi- breuses avant leur mise sous forme de nappes déposées au sein d'eau.
On à utilise dans le traitement des fibres cel- lulosiques diverses matières organiques et minérales.
Per exemple, la teinture des filaments et des fibres cel- lulosiques, l'encollage du papier et le traitement des nappes continues de papier au moyen de diverses matières polymères, cires, etc. sont dos procédés bien connus pour les matières cellulosiques fibreuses. Dans certains cas, on a traité les fibres en suspension dans un liquide et dans d'autres, on a imprégné des étoffes, fuites de matières celluloisuqes, à l'aide de la matière en question.
. Dans de nombreux cas, le traitement des fibres cellulosiques au moyen de solutions ou de suspensions dE; la matière de traitement a nécessité l'élimination de solvants ou exigé l'utilisation de matières fondues dans cette application.
Dans la technologie du traitement des fibres de papier en milieu aqueux tel qu'il est pratiqué dans la fabrication du papier, du carton et des objets en carton moulé, on a ajouté diverses substances destinées à se fi- xer sur les fibres en suspension en quantités adéquates pour obtenir le résultat désiré, mais dans la plupart des cas, les quantités qu'on peut ajouter par ce procédé se
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sent ontruos très faibles. on ii appliqua au papier par additions dunâ la pile raffincuse divers latex et <1.;,>i#ivnn r4oinAs pour dol'Uier do la souplesse du iis;i; ot do,.Ie, ,'pt'. 1i' :
ce, == , (z , i;- ;j :tµrµj.y . ¯, , jà.,, à l'usure dans les apHestions telle les nxaGières pour oints , Icis iraitntiond Qëjjàùiq , 4 '\--. \ ' tières pour empeigne ou pre;,iiûrc o>>:éli#, eogvèz"tu:eeé 4e ¯ ' , . ¯r p<pi<5r, serviettos 1 .giéiziquea,à jeter 8py'&g9a&c& isolaiitc, papier-filtre industriel, caxt. aous du 14b:k- léum) papiers d'embùllagc3 papier pour filiiur , ru?ïi9 : de papier) etc. Bien quo l'addition dans la j,. 'taL'fi- . nouse soit le procède le plue aiïapio pour inBµijohor 4as uatierc; rsinuse.3 dans du papier) étant doriné que cela n'exige auCLe installation ciz.e il emporte certaine incoiivuiiients sérieux) en particulier, on ajoute (la fortes quantités dt) matières réxinouses.
Barni 098 s6FiotMC 3..n,corwc.ni.nts îiuren.t une port, c naaa.va 'dans 'Ion suW - bl;-1xchep , du moussage, a 1,' cxaraso,.:ent des toile 0 Wétol1i= quos) duG presses, des feutres nt des f.l.t,"', 8Xi raijoï) de 1.'r..'ths.vit, de la rénine, de la lenteur do91'µcoule- ment cur la nachine et sur 1' envéta du papier. On a rem-diê à CéI'Ù"à'lLhfi (Î 3 coe difficultés en introduisant dos types nouveaux da de Z'33.Ià13z ;-ziir, il y a encoro do nqm- "'-''.. ' 'breux ces o' lu# dane la pila À6' Ààn%pa$ nat,n- É 0à Àr iWÔ U :; . " . ¯Î < )$ #%É 1;> "(±' . Î) ., I'( .$ / .
Lu saturation hors de 1.9. Machina 5-. ",¯ .
Cmnt/ éi< .l,;n;ont cert,àns inconv<niintx *àrµùµÀ) ' àiàux cntû utflnent certains inconnitats arfjt.ip& d!oux .., ., >:i .,x. - . , que 1.' ;ics .c du lutex par les fibres'U'ul<?si<e8 est lit4itlV: y>"St luur condit ton z.icuna $cµQUn% àu l'ad- lin Illitilt., inconv-nicnt 'ciit la at'a de rààiatvncù dut 3 la nccu;::,ite d'utilizer d 9 etuillils poreuses pour
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disposer (le vides suffisants à remplir de latex au cours du procédé de saturation, Un autre inconvénient est que les liaisons fibre-résino ne sont pas aussi nombreuses dans la. saturation effectuée hors la machine que dans
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1'addition a la pile. . :
w. l'utilisation de résines pour con- -= férer de la résistance à l'état humide,'de substances
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poly-1ér;s cationiques telles que des polyamides cat:µ- , .'.'f niques, de résines uréo-formaldéhyde et mélam-ine-formal- ..; dc:h"vâc, a obtenu un succès très important dans l'indus'-'.' , ¯.]" i, trie, du papier. La nature cationique'de ces matir,s . a permis de les utiliser pour l'addition à la p.7.e vec.ru. ": deGré significatif de rétention par les fibres ce.lulo.4 - , -: siques, On a trouvé que le papier fabriqué de cette ma- nière possédait une résistance à l'état humide nettement @
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plus élevée que celle qui pouvait @tre obtenue' antêrieu'- é,j relent.
Pour obtenir une résistance appréciable à 1/état:.'.''..
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liurlide, on ajoute ces résines dans une proportion doxivï- l'on 0,5 à 3% du poids sec absolu (poids de la pâte sé- chée four). @
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Toutefois, M",nc, l'utilisation ce ces agon not- tenent actifs à titre de résines pour conférer de la ré- sistance à l'état humide, a montré certains inconvénients qui en ont empêché une utilisation plus répandue.
L'un
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d'uux out le probicmo de lu récup6ratioa des déchets) éui',',1. liiiport,int quund on utilise ces matières p6lm:cese Après mise des fibres à papier sous forme de nappe ou
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f:.ui l.c continue par dépôt sur une toile métallique Mo- E3.ias il al,rivu parfois que la nappa se brise. Il dovïont aloi'"; n4.ci..;;airi ou dénirabib de .rut3.7.isvr ces nappes b.u::a rzu lieu dL. sispicctont 108 jeter en loi éliainant
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de izt suite des op<'rJ.tions effectuas en Pttleeerie. To,1- te!ois, quand ce# fibres ont 6ti trait4eu d.
Manière <:1-ùi;à.suc fiéc: 1.tc au 'jtoyun d'unu xv:s3.ne conférant do la rie sic-bancf, à 11 rt:,t humide, la- rrohl?'ue de la récupération d;, : tc<tu d<:vient c4ri;ùx parce qu'il n'cet pas possible do :.:i;1,¯ ,ent r, leu n.tlJ!)f,m fibreusoo ai!isi <bli- '1imos dans la pile and ullus contiennent cos résines pour résistant il l'pt.-jt hU!.lide. -En x:ai:on des d3.fi.rezi ces de solubilité des résines ainsi utilisé os, eus tlCUU6D du fabrication" (ou déchets), ce qui est la destination appliquée en règ10 gt;n6ru.lo à la portion de la feuille perdue pour le prococuus de fabrication no peuvent ttre re-utilisés par simple r6-ûmpütngc.
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Un autre inconvénient do 1'utilisation des
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Jlrúsines pour résistance à l'fitut humide" pour confuror au papier de la résistance à l'état huruida est la nccM-' situe d"" conditions de durcissement ctlJSI3Z sévères pour diz VI.Ù 1.Jr..or cett. ré>.;iszt,oericc d6::::iré:e. Dus tC1I1pûrD.tUl'03 nela- tivur.ient 6lcv6cs ou des périodes prolongées) a.ttoiz,n'::l1.t quattro s0uinQ d:nu certains cas) >ont nécessaires pour dH.v:lo,cxa les propri6t6s désirées.
Un '3utre 1,-icoiiv-'iiîtiit du procédé usuel d' 3.zcor-. poration d'une résine pour rÉ:5iDtrolce à l'état humide dt'J1.13 la nnppc LI do papier le fait que, bien quu la rc::,.^t;mc: c3.u a er à l'6tu,t humide soit nettement: tunQ- lior6,, lu z.é5:1 ;:t;.,iiè à la triictj.on ii ccc ot la xv:ci:tr.ncs à 1.' àciaté.nni du :3iic;x sont pf:U affectées. Pour de no"."" 1>n+niJer nppl1.c::tic,ur;, il serait dÓsir,1blo que l'aF,c:nt njoute dune la pile; .za4:.iâor; non-ùculewant la xu;xi.:ittzac à l'état humide ::ric encore la résistance à liL traction à sec et la récisbanco à;.'.écltf6nt du papier.
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Ainsi la présente invention se propose princi- palement de conférer aux matières cellulosiques fibreu- ses de meilleures propriétés.
Elle se propos, de fournir un procédé do prepa- ration de matières cellulosiques fibreuses possédant de meilleures propriétés physiques, facile à adapter aux procedés Actuels en papeterie, n'exigeant pas l'élimina- tion de solvants ou l'utilisation de metières fondues et donnent aux fibres cellulosiques traitées une grande aillé- lioration des facteurs de résistance.
Elle se propose de fournir un papier traité d'une fabrication économique ayant une plus grande résis- tance à l'état humide comme à l'état suce
Elle se propose enfin de fournir un procédé con- férant au papier des caractéristiques de résistance méca- nique-à l'état humide, à l'état sec et à l'éclatement- résistance dont le développement est presque instantané) ce procédé comportant l'addition à la pile de matières susceptibles d'aboutir à ces résultats sans poser de pro- blème de récupération desdéchets.
D'autres buts et avantages de l'invention ap- paraîtront au cours de la description détaillée qui cuit.
Il a été trouvé qu'on pouvait préparer des ma- tières cellulosiques fibreuses possédant des propriétés physiques améliorées en traitant d'abord les fibres au moyen d'une matière polymère cationique conférât par elle-même de la. résistance à l'état humide aux matières cellulosiques fibreuses puis un traitant los fibres à l'aido d'un polysaccharid:
dialdéhydique capable de ré- tifier la cellulose pour en améliorer encore, de manière inattendue, la résistance à l'état humide de la matière
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cellulosique traita ut lui do:m!-r de plus une r:.1? our r .;.ua:xco à la traction à l'oint 3==c et 1\ 1.' cl.,t4:aen ainsi que d 1 -':utrn) roxi t; dé8ir.:.b1<:'n. L.::c pnopr16t4z obtenucH riozitreii4l- 'lU:: 1'. r-l:Ü:i0I'f,.. rolY"ll'ru c.tion1quo et la 'PolY$.3.cch:\.riJ. di:ldhli.ïan :;..i:.:r.:(.mt d.) 13r.1.nièro synurgiqun.
Lu pI'cc\:1t, peut :?t..; .t' ..0il'..:wnt mi-i un oeuvre pour donn ,1' les 1,<5#ulti.ri ù":mii;1.x, in Gcoij>ur:Lt1t den ;;uaxz-ât%r >pj:ropri,3cs d'une rà:;ino# poiùnùérw crctioniquo pour rv.?â.i'tr...'"'Afl,: à l'état huziid<: ot un polys'1cch:u"ldc c:ir3l,d='h,ditu: 3. divjrc ::;t'\d';:;3 du r#oct,dI- industriel do trait.; ont do;.; fi;rs: , P'.# <,x<.ij>1< , 1,:<; Ma'-ruG à uti- 1.r ;>,::uv;:at Ctr'- intro.àuitoùi; 1.'!h! 1 j;il< ou flm:3 le coffra du la .. ef:in:,, oz..:r. 4' :,ut>.,,;;i JO,ÍJt3 ç*iu roci-i6 cI. ;.s. i'.11h' (L f'-.1;'ic ition du ...:r, zJii:: (.tlCun duc in- conv:rzw:ra.:: qui nco:np'4,.:;:1\"l1t h;.bitu .l4i:c.s:t l'<ctct4tian à la pilo ini'iit:,..,1#:=; .
En .1>:it, C\" proc'rlú s'ost montra plus f.;cil.=,.<J1:# ,;.3.,ptabl<, ù lu f.,bricilio du papior que. 1't:ncfi.ir.- ::U b'i-,u-.;tt I 1 l'r"<;';L ou d'autres pro- ct'd0::.; #a ..; 1. : , ¯.;r:a cz: hart; wu.'::.dn., dt ns Icsquolc luts .fi1;;r.'n.; ?o'u' for...c de f>;aiJ 1/, zona en aant;ifit avec l' J:,ont d: tr .r-.:.v3 ;J0!.,: :nt d..; . ; - . i.,. n r-1-fi<J<. ,;i;nt pluri cour- tes. Cvtt0 :...:..i'-. .frl'- ...n fin <1,;.: (,ij,",t.:,ÎO::;i en ;,r.:-ii.atât3 ',3¯It..:i# l.::+.r t,a.::,i:5..: "cx un t..-':ât,".".,;;'.
(p.klcl)ll1uo ü)'L'râ .Ît3".;;;.3G.: 'l'.1 ..i 1..r -uz, 1 . :01... :.t':: 1:l1U') do 11\ .u: s' :4s :', f,',t- , -.-....1',..y:ii- for :..,r'..'t<::i Ùv .1'1 feuille ou nôl",' , .r ,J' t- .y., r . i l T;.l't... ,lUi.. i i'¯' i w.. v ::>;<.rc ur les fibroG t= 1w 1==:? ..;'="i".L'-..> 'J'.. a f ....- .:.t- 1 ,1: . 1., n'1 ;.e d":o:.:c ii ::"<.1;:" i;':, Ut .;.-1;, 'or:',.! ri.: fit;t> :. CL!: <::,11u10:.;0,;> ÜCi.4"i fi ..-.: ::':". 1':' ""'>1'''"'\ r 10"" ":.... #1 ...' 1.'..;i::; j:,.t. lu typo et lu '1';"1" 'li t.. iT' < : k ¯ '..:3. .1'1',- 1[.., f1:r cai. :3vS les
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enseignements de la présente invention.
Par exemple le développement d'une résistance à lu. traction élevée dans un papier donne est normalement provoqué en battant mécaniquement la pâte pendant une pé-
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riode prolongée de temps. Toutefois) le procédé selon 11 invention per:a.a px"atiqut ::nt de diminuur de manière significative le cycle de battage tout en développent des résistances à la traction plus grandes que col- les qu'on peut obtenir au moyen de cycles de battages plue prolongea. En même temps, une durée plus courte de battage se traduit normalement par la formation do fi- bres plus longues qui 'donneront au papier produit une plus élevée -vu d6chirage.
Un autre avantage de l'invention est la rèten-
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'don 61c:vùo du polysaccharide diald--hydique qu'on observe dans l'application de ce procède. D'autres procèdes do renforcement des matières cellulosiques fibreuses comme
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lu papier ne sont nontrus relativcilunt inefficaces par- c-j qu'on n' o J!,J,S constaté que ces fibres retenaient uno proportion ''.leve dec c.ati.r;s ajoutées.
D'.:G r,;t(-ntions limitées de matières additives ;3iOV..i!ioRi g":l1.r :1(;.1t.;.:lt uoit d'un type fragile d'aAhe- livr :;;:p 3: un.. liaison "l:ctrocinf t3que soit du l'occlusion ..le. 11 zi, (.i tif (pr# un ..:.êc...nis:.1(; de f 10- culatiun) aanc 1(.(111:.1 l' o..lC:i tif est empri.::;onn1 danr la 11",1'':' t; f:itrr;u:: mr um action de filtration. dans l'un it l'autre c:;=, 5n a trouva que ces proc''d6s de réten- tion <1' !1,!11H:H::; ne p-r:.,-1tt.,i=n plj.t,; un txai.t^..nt meca- r.za: u1t ri<:ur <1>, 1 bouillie de filr1=x tru3.te:. sans l't..iqU'.;I.' diz dt...Clrt': 1,-s .1ti'::!,,,J 1.ijolat" x ut ainci de L#.cinur l'cffut LX-rcu pr l'additif sur les fibre::;.
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v,..:.,.:c;ax dCE:i c::r.wctaxist.qrw; cl;a;ituc:wj du tr'tito- W c;3v du P,\lJL:.t' CO ':.1..: 1..' 01ct1 3 ;I..rtc: vi tm:
\,,1, leo m:whi1:l'.,;::> >'rrc.n c:, une rvcircu1..;tlon oxcc1Juivc de il un.'* tH-!'.;: tr:.,ltû0 d tIlB 1<.: rfl:ul1.tr.;Ul' conni st ineu de la za<,1;1!i<;, OOllütitUÙ!lt dcn .f"lct('lr qui contribuent a à4- ilJ.lt.,.i.5..iLiiwL liison l.W .gé.f..S.i1 5.1i d(.lo:'f:LU1t iinsi les Ma- a s13.:; u i'.*: 3,71ü' W .r.1 Un w-xrG...a,. de 1..1 pr';.3"nt1 invention vxt quo les ::1dtièl:'ù ::..jvUtÚ(:8 Delon les :n:3;rx.:acnts de la pro- iJCl1:e invuntion sont liéùu chimiquo.:.1cn1 aux fibrus ot 1 n'en sont pas d'lor;es zut qui lon 3a.iecns ne sont pas détruites par un trÜtt.:..:lent mtc.:niqu!:;: COI1U.:H.: celà so pro- duit dans la suitx orùin.<ii, de!; opérations do püpetcri.a.
De plus, :i.l fJr;t po ;sible d'obi;1=nir wie r,2tùntion 11UM- ."5itatiée aitif'-Irc-s selon 11 inv:ntioll on 1 t abovnco con- plüto de tout coagulant chimique, coi i,-iJ :."r exuaple l'al-ûtn uti.lis,: xn papeterie.
La prsc:nte invention ussurc une ':\dh6rcncc dos matières ajoutées aux fibres qui Jinticnt efficacement le cnrcct:rv des fibres pendant tout le trcit"!lont ultéri11r. On n'observe doms l'invention de sépaTRiion ;o¯izi-ue dra fibres et dus T1rtiùrcs de tr.:;.i-L:1Hnt. En f,it t)1)lication du proctsd6 si#ion l'in- v0:ntion effectua une modification chimiquu pcrrnaneante
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-des fibres cellulosiques.
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Lr;J procèdes mt':ri0ure tue m'.turtion hors machin'.': pour l'application dc divurc latex do polymères <11:C:: fibres collulosiquus, co,:l:e nn l'u fait rei..;zr;c:r ci-dossus , necossitent l'utilisation de fouilles poreusos pour permûttr'- 11 crapiisoitr f- :lent nccanique des particules dc latex. Le pré:3(;ut proc d6, en utiliuant des fibres
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cellulosiques ayant réagi avec un agent polymère du type
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1)OU,l.' .w:,.t;.; c; l'st=1 humide et avec un polysacchloeide dia.d.:ldi.ia fournit des ribr..16 auxquelles sont chimi- QUD4cnt liées les matières créant .'Fxi:141.Ori:.t:i.On QC leurs propriétés physiques.
Etnat donné que n'intervient aucun procédé do
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reùlÙiasé:gc des vides ou d' mpriSOnHe.1l0nt, il est possi- ble d/utiliser des fibres conp3t.nnt battues, ce qui donne des feuilles plus serrées et plus solides,
De plus, alors qu'il était antérieurement impos- sible de produire des feuilles saturées de latex d'une
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HpadsHOur d0:pO,ss.:.nt nott,;acnt 0,125 mm environ, 1'appli- cation du l'invention permet d'obtenir .facilc!:i1.ont la liai- son chimique des matières additives aux fibres dans des
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feuilles d'uni épaiuseur quelconque désirée, par exemple des feuilles de 2,5 mm, si on le désire.
Le papier pré- paré par le procédé selon l'invention montre une résis- tance à l'état humide, à l'état sec, une résistance à l'éclatement et d'autres caractéristiques de résistance considérablement améliorées même quand on n'utilise que des quantités relativement petites do matières auditives.
La matière cellulosique à modifier peut être constituée d'une grande variété de fibres cellulosiques ou de mélanges do ces fibres. Or. peut par exemple uti- liner los suivantes, ainsi que d'autres : pâte Kraft non blanchie, pâte Kraft semi-blanchie, pâte Kraft blan- chie, pâte au sulfite non blanchie, pâte au sulfite semi-
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blan.chie, pête au sulfite blanchie, pâte seni-ohimiquc non blnch3e, pâte sc"li-chit'lique somi-blenchîe) pâte ±t111i-chbli'IUû blanchie, pâte à la soude non blmxchie, p1tc à ls soudu se ,1-blc>mchio, p"te à la soude biroichiet
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r,,1te de chiffon de coton cuit:
ca non-bl ';,11ch10, p3.tc d chiffon (10 coton (Jul t,,, et ;;t'i-blJ1lchiu, pt0 de cl^L:.â ro1 do coton cuite et i73..:cta.e, fibz'u.s do b:ya::;o Ü1.'dtcs, pûtc dü bourr, d;. ce''un cuttu a:fr:c cid.-j ou brtso de divurs ':rr7' u = ., ";31"'..xt¯,, ,1 ':t ,,,:c ':1i"PH' P1.'OVVll "nt do bois du <;o:ai rra ou ri' :,l.'b1'...; ;", feuille;: c:"Lxnlucj ohD..'1- VJ.'(! cuit et ::,.:;.ùi-cuit, sic'<.l, l'unie, juto, Cl\..t'OU. et au- tros fibres 'n fil i;..h, t;. 11..::.' qu., bu;¯'oa t ctl.:: ot de no.bx<.:u:;c::: h(.;rb'i3, p2tu du vieux .z133c.xv fuite de fibres .:?U(ÜCol1clUnf: ou ;à., .;, 1 -jim d>: .,!z',: utiljmuua on pJpJ'*- .tei%5.oe, fibres d ; ...,ï.l ¯:$zits, fibr ti de lin cuitoea ct, un z''.T..t, toute r.:-ti-r,. ribr.UD0 c11uloci1UO no rr6- tLl1t fÁ 1'.' 1'01' .,,:'U.on, ti;: : it:I:.'.' t-n 1 :uillei;
cJll\1.1osi'11.\ol3 d::por.6r;:. au <;.-in d"J,'1J ou d'l!1;off(::J faites il 11<1id-: d'une :;un1!OrGiOl1 i..,i.a:il:.il: de Ci1 3.?x' :â .1J. ,nt:i: 1'[; 1101.y:.,'::rt. cc:taori3..tac. uclon l'invon- tion i5u4 0tre ;..z:2::.a.nt c:.1r:l.ct'riste COI:U;lù cationi- queùe1zt active '1; pot':::)11:i. 1I:.:rt chizig;>,;mirit nctivo \VUc à 1:- foi;; 1::: c(;llu1o.:c zut ''.rcc lus aly:ncohr,xido c:;i.:za;hyd3.r;a.> 4 <:ili#+';; d.'u: l'invention. COB r,tièrçl3 cont vl1(H-Z:l(: l''.:' d.;# urJ.:att plus ou ru01nn ilctifu de rcn- òrcc,:I3!lt de 1'. rùli ;lt>1 1< 1 i;' t liuridu. Co Hont on (Ù- n4nai ,1?: :-..:1-i. 1'.-:' :.014,;% r,i dont; 1;,:. càiiin.11 rcnt3.c:n.l:.::;; dcj t'";ç'aai 'e ! :: .:i..'t7. l :.-; ..!l'.c- i .:1',: n j:ol1W ''r';n (1.11 IH..uVt11. t gaz utilL;. '..
A ':t. firi ,;o,1;¯ 4;.z j5a.,',il:i'.cl::ti proveït-int dû poly:Ù 0:."'n':'-Foly...ir",..... û d' .V i;;1.. u li1 C arboxyl !(l'WU '{ .J;.t :::<1.t.':t .tv...c .1. ï'7yicft7.o:?-Ay t3"in: <;t liQn !.'tail1uo c:- vic*>1<iixr;w "-rt: -.f t '1 ²ll..l h."d'.- 1:Z. s;'.t.?.,.:- ;-.fIcul.''rj<.-nt 1'1':' f:, rû di eus 3.71.
Li "1'.....' <,;:t 5i.>.rii: <1.;i.;> 1.. br. 'll:t ii¯a3 v W::-üfïj.f: Eti1 i.'.".,.
.. n 2.f;t:]. 1i:4-..;'. 1(-:; j.nl;/"c:1,ià .;. i'::.1'J-'!i dinu ce \)4-'0:Ct
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contiennent les groupes récurrents :
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dans lesquels 1:. et x sont chacun égaux ou supérieure : 2 ût R out 11 radical OI'S"2iqUC divalent du l'acide icarîaocyl,3,càut..L' i.wor;orztion d'épichlorbydrine dmis la Clh.l1nu polyamidiquo aboutit à l:l formation, do résines lS,, 11<iodurcissabl<;x cc'tioniqucs solubics dans l'eau. Los 1J..,:inus utilisables dans la formation dû ces polyamides c:ompr,:ncont 1- di0thy1ènc-trimino, la tri6thylèno-té- tr'1,.1i:rlCt, la tctr:tat.rlne-p:ntac.zin;, 1D. dipropylènc-'tri- aùiin.; et dé;J ' du 1)oly"'thyl(nc-polyr.uaincs obte- nues p'U' réaction de l'='l.'1P.lOl1Íac avec la dichlorure d'6- th;y1(.no.
Dc: 1J1uo, on peut inclure der dic.minûs alipha- tJqth.j c o; ;:,ié .'thy7. nc-diaim, 1 propyléne-diaine, 1'hext.uhylèni.-di,minc et dos di.'.lim.s hétérocycliques Co,5:e la pà.p.r<ainù, etc. Lus acides dicarboxyliques uti- 113 'blcc co,:aàrc:nrrt les acides dicr:rboxy1i(lUOS alipha- "jÀ.i'i;E3 satures cori!:ic les ?.!<ides malonique, succinique, Glu- t.xwcàuz: ou ;.d3.pisya '.t Y;:uvont 4G.àlé,..cnt comprendre luta- cide 1.,Iyoo.iuû- .1 dus mul -'ngec do dl3ux ou plusieurs do cos. --icidos dic'-rooxylifjuc!!. De plus, on p<.mt inclure 1&; acidJn <àlLcari:oxylijL1es a11pho..tiquos supérieurs ca- turer ce '.1"': 1..: .ci k.} czûlaràue et sbacà.qu:.
L? l'::1nr.; ctt ionique UI'Jc-foronld0hyclc peut (Jtre l'lUnl quelconque dus 1'/ 51n;;l pour rsjct.'.ncu à l'état huad.;; co¯:,rn::; un. technologie.
Il ont a"11,OE.l.Cii'l qu-.. 11 ;.ârà,zr,. ;ol.re catio- 3;::;ai, eholnj pour 1' ..;,ction t..:... 1 prtsent procède :oi 1; c:=:r::,z:l par 0 11u-:-.:nt.; Ci,. ou.t'.r'.r ux fibrus collu- lor;'lquun un 0':1"'1. lir Ci4çI ' un rJ:;1;;t#>;ici il 1',ltat hunido
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ainsi que de} r>Juj-in avuc les groupes x aldµjùe du il S'Ecciiiàl'id<; dî='idFiij'diqU<.. ;;h òL1ci cot-IiDodit6j les ..i+j ai#1:t5 pour conft.r t1< la r<Fi,iit;;ii;ce à l'état hUw'ld.o ',O;1.'t ditu ici <Sri;;1.,, .; :,ouy- r.'jitic à lï 6tat ini;iào" .
Liir< ;gii;, lj r'L.iuuC l..o\1r r/:xistmicn l'etut ilu,.iflfll, "2ai"-là,iiitioùaS4È5 ',lent ..IJc-Ei.Ls çîé utili d:06 our <;onffi,1r ;:n j:,. iloen> d, 1..' rsi:jt7nco à 1'4t;:t iuwiido , leur utilisatàJn co,;port.. li=.c divcru inc'nnvéniontz di> tout la,"Vi.;x lolY!id.t'(: qui) ce'''nu on l' 1'1 souH.n'J) pose de-,* proùlt:Lt':'s rlc r: cup'::r .;tlQ.ll dùs d''-chutj6 et exigu des precuutions d'nn le..' de durcic-sc<non't pour d6-' vulopper la rli;ii;t,nct= l'6tat husiidc dans li papier produit il l'aid'..' iti ces r.é;>ii:<;s.
A un :'utrc égard bien que le dvclor.pû:.tû?it de la rsistt.'ncu l'ctat humide ù<'.l1S la Y)api'r puisse ttr.. t=i±ùclu>' --.u inoy'jn de 3:..:3Ïncn s:ms utiliser ..;11 mux d'autren niatiéris, il n'a- V::1it pas .-t6 possible jusqu'ici dd produira un papier syant des car<Jctéri ntiquiz de r6sj.Htr.nce à l'utat liuaide et en ill0r.w temps d' uz,:<Jntun In à la. tr-,ction Sac, la !.'LI3'Íot-.uw'j ft l'6clct#ucnt ut 'b.utr......: caracté-ril3- àiQll:31 pilyZÉq'Àù± ,Î'i î'<aplil L? D(!'.1;:n\\'(:"<''; a trouva qu'un utilisant un POly5a<ncharid#, di#;là.lij,diqui 'vc 1;.'. résine pour r'-'-ciu- 1....1UU i\ l' .;;tc.t humide, 1;ou1.:':B 3 ropriét4o dHiruoc pouvaient Gtrc uonfur6<r- ru papier en un suul procccsuo.
Tout-à-f.-'it urp!'n,':'.nt éi;t 1<; f-tit quu l'utilisation d'un polysacchari.jo dil1.1dChydiquc u5;ocié à un0 rumine pour rGnLst,mc.:: 2\ l'état hut.ndc pci'notto de produira un >Pïét pos6dnnt propr',,t--'t3 inattendues it d;J15 un PrOC<Jd.l dmc lequel no H'observe ;>uc.Jn încoi4v.@iiiintu
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uôu(31z de l'addition de matières polyméras à la pila. '/¯ Far eit-#iple 1e pinoblèmj de la récupération des déchets ne Done nas p::ac que le polysaccharide disCLdéhydiquo ' fi:e" oiiicJ,ce=-Jnv 1a réuino pour résistance à l'état 1m-- :ii 1.:> é,14 ôotc que sa pz:scrao dans les &4chets iio posa ¯ : * s.: ::ux .roblèncs de récupération.
Do plus 3.'u.-v ¯ liù^i.ün d'un polysaccharide diolduhydiquo produit un z¯ . dvc7.oapc.:ent imcédict de la rrist?-nce à 1'état îmmide et d'autres Caractéristiques désiréos sans que soient n.çc;s:uiros des cycles do durciraient longs et C01âplî--- u;; 8 .
Les polysaccharides àialdlhydiques utilisables dans lu procédé selon l'invention comprennent une s6rio de ua3.t;r:s qui sont capables de rotificr la cellulose, Ces a.atièr>s peuvent Être génvralc:ont décrites oojJNO des polysaccharides oxydés par un périodatc, dont un pr. Eér4 est l'a-raidon oxydé par un périodate, plus coi.Tmuncment connu sous le non d'amidon dialdéhydi--
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que.
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Les polysacchqridos dialdhydiquos comme l'i3j- idon dialdéhydique peuvent être prepa-rés par la procédé bien 3omu d'o:cydation des polysaccharides par l'acide, - -
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périodique. Cette préparation peut être illustrée par
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lu conversion de l'amidon en amidon dialdehydique à l'i3i- de d'acide périodique comme agent oxydant, oonforaénont - à à l'équation suivante
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dans laquelle n est 1 nombre dt, motifs récurront3 prô- scnts d'ins 1': ::.o16culc, qui puut illen de 20 à. I>1utJioura Í'1i11i(jr3.
L'1 ar,;rz<aion de 1 " 1<.;iGon d3.rald4txyd.quc: ost plus p rt.i.culi z.ar:cn; ducritc dans 10 bl'(,;V\Jt des Etats'* Unis d'Ài.1.;l'irJ.UO 11 . ;'lyf'' J' L polysaccharides d3,,^.ld.¯!,ydiquc:c utilis blon dans ca procède r,t..'Jv0nt ttro LH dbrivcs dillldÓl1;y\Uq'Uoa d'un polysaccharide qu;,lcon'1uu COL4J; 1'!J caidont! de malus de 1;1(;, de xir, dc u-mioc ou de posuc du terra, doc col- lu10;.:\,;:;, '2' ..:;'H..IJ, d]Xvl"tIlL..t t:1Si!!t..:::, '.11L1.Î.'.14fl ou J.'l;t's'3.'ClLix l'ai'i eus al;;.a.caharidca les d.liv: di.'11d,-}'diquç;G do 1' ::z:::, f>'n{r10:l.ont co:ruw80U& 14 !ion do dia.d lyydc- .:ion ou "r;".i:ion (oi11,hydiquc.n ;:;ont ha plue C(J!).!'lU13 et: 1 ,3 j:À'J11 ;.r .1i W : . Youtofois, il ",at tout.-É.-'3. 1>ôU- :-.:i'Ll.'; ti"'t;il,:1"r .,1 on le d0Sil'o de:; drivéa d'autl'C9 pol,jfJ<2'±zl>>:riôiô;j.
En r,.nr-,1, 3.3...:t tr:,.r blii d'util1uct' dcw j:ol.i' <cci;:,à.i<À,:3 .Irldh;d.quo; og;à,Xi; à 90 à 1O<h;, 1 ' ,,.. 1;- \'-,j, i T' - 4.-r<;. 1 L: u(.l!} 90 f'1 1 CO d.. c! 1','1 u groupu dl.: 1;"., 5c3 if o:-igin.:uc d'raïr4;lura, ont ut6 convertis 4.: ;..oi, if;; 'Üld .L:{11q',!; , , î ¯ r c'x..plt. par oxydation au .():. Ii 'ur. .'.:va;: .t . co.t. décrit <1#-+it;zzud.
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On utilisa les polysaccharides dialdéhydiques -
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dnns le procédé sous forme de dispersions aqueuses. La. - dirp4xsion de polysaccharide dialdehydiquo peut être prp3.ree on njout"mt le polysaccharide dialdêhydique à
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une concentration quelconque désirée, par exemple dans
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le cas do l'auidon dialdchydiquO) d'environ 0,5 à 10% c.n poj.ds à de l' ú1.U ou à un- solution àqueuse tampon-
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née à une concentration en ions hydrogène d'environ
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pH 5 1 pH '), du préféroncé environ pH 5 à pH 6, et à' LU10 tu..':i)Grntnr( comprise entre environ 30 et 10ü C do prùf6rnGv environ 70 à 90 0.
Des solutions plus al= calinua, c ' c;3t-à-àiiw ..yant un pH aupcrioeur à 8 environ: ont l'ilicoiiv."rii,;nt ulJ.r1Uú de d6e;ra.der la polysaccharide cliald.:hydicuc:..- - T?un3 un mode préfère de mise cn oeuvre de 3.'iü vLi1':i.011, l'euu à pH ajusté est chuffe à 8'7 91 G.
Elle est .ü01.'S nLtditionn-3e sous agitation de 3% do son poids d'ru.1idon diald,,hydique et do 15% do bisulfite de sodium (par report u poids de l' 'l'aidon dialdéhydique))- hitré à' JàJuvà--1t de i3isncrion. Cn a. trouve quo le %1= .
Hnifite d-t sodium facilitait l'hydratation successive dc'b (Io structure dc 11 dnidon dialdhyd3.que que cd,aoorte 1a for.uition d- dispersions d'aaidon dialdéby.. , diq\1 ot exurç-lit une action atÀbil1oanto sur les dits- , , r' ;.,i1l> fj.n.1.; ::; lwx4nt. Après ces additions, on - H2.il::;i('nt la .tit-...rotur a 37-91 C et on agite: le .a6-lange.
L': niù.Q}'l :.i Icl.h,d,icur co,. 2,;ncc 011.1" gonfler et se dis- --¯ persor ..lU bout do dix à quinze iiinutex on it-,iWxz 'on.
1àtiJià,.i1Ji do V1t;cosit,: en vingt-cinq à trente-cinq minutas.
!7ttir obtr,rJ.I' le:, C:'1' :ct6rictiqu\JD e nvcnabics une période ::"1.:.'l".':ent.'.lll'Cs de hauff de cinq à dix Minutes après . '"'] l' obi nation du ,:"17.1'.,'J.j de viscosité est néccssaire de
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sort:; que ha. :V.':.riç,1c. totale s3. ch:1ufi' 'el: nttuJjt trente à '::,UD.I.'':1.11tû cinq i.;"iiiutéi; u partir de 11 <Jdit;ion de- 1'::\- ù1Í1;on di,:1d.Jhyd.ique.
La di.rtr ion unt. =lors rapido;'1t.mt x'wrrj.tl. jusqu'à 3.,- tt.z.:;-.'r.^.tur: '.1.l0i(U'lt. ut utilisôo co }w(; il Qf-t ,':cr.it ci#'q'.r'<''j< Lo.. i.':::i.i's- pour 1'.i:;Í:;t. r,tr à l'àtnt hw:1iè.c et le a3.ya,cïmidc tli :.d:ï.,f.ï3uc peuvent 8trv 'Co.,1. :odéaont 3joutég in 1-J pila ou d:m':-. le cofi 'rc de 10 machine ou cn un ixtre point du prOCUUGU3 d<; circulation dOJ1:;S un procodé usuel <1<: fabrication de i;i;i;1.;i ou à un et1.1.do co nsLï:b7.;, d'..rl3 le tr: t:::ac=rrt d' au:x'.:. fibrue cellulo- 5iq#iéi-, co .:.'2: il u. étà dit.
L'ordre d';:.,t:.1ition du:3 dïvßrcc:: L1'ltil\rCe addi- tivoc eutr.mb ds!is li cadre .1';" l'.nvntion a éttl (:l5a1c.1nt trouve. critique. L<.. x.'.:;ine pour r6cht;mce à 114,t,,tt hu- mide doit 0tre 1¯joutéù d'uborde de pr6i'érünce sous forme do .-Po?ut:ion ou do dispersion ca.loi1-l.s. L' t\:1dition doit dv pr6st,rrncQ C-tri f; J.tk. ù une :uD1>t:n:,d. on D.\lUC1.H1C de fibres cul1ulo::ri..Çllh..3 "" un pH (l' L'à>viron 4 )0 ik 6)0 L'tanit Lloyiii QUI' lu tr;;1.<..:: ont d;: iiti,ci su oyon de If. r(:I;1no pour rsistuicc fi l'-t'it hUu1i.(it; c;#t plu>; ziiic; cc du c6'" té acide. Tout,i'o .:, li: xi,; .iix,. ch, 1'.. r':1:in . pour x' ::zât.- tsncu à l'itat humirc, uct 1".11.; 'lu' ;),Ù peut opérer éveii- -!-;u."Il1&l'lont danc d,a;; con<à-1.t,ion;; 7.la :linis.
En S 'n':'1'<'>.l, ltajuDt''::l'1ûnt du pH de 1:. r.;u:;;1}0n;:ion de ±11.>1"<::5, par oom- p3.o sortant d,--: la pile) peut Stru 1':'\d101:!.nt o..:ctu5 par ':vil.t?OI1 5;e#Jur<àe ile !'ntltI.'oo :>c i<1,#1; convenables) par 0 ef, iplc, un a.c:idc ililul; con,;, 11 e,-.c icit-. C\11furiquo diluez ou un 0,,l acide, cOU,,'; l'alun dec 7". ,(;til;ru. Bien que, COI,1lUÍ; on l'a fait rc...srqu..r, acn conii tion.3 'llccÙincl3 f30if..:nt s^.tï.sP.: s:,nto c pour l'addition du la résine pour
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résistance à l'état humide, la combinaison de la résine pour résistance à l'état hunide et du polysaccharide dialdéhydigue est utilisée plus efficacement à un pH
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àé-1ix la g'lID!il.O proscrite.
L'addition dv la résine pour résistnneo à lié- tat hunide est faite à une concentration d'environ 0,05 à 0,5% et de préférence d'environ 0,05 à. 0,1% du poids sec absolu de la pâte. Apres addition de la résine pour résistance à l'état humide, on laisse le mélange de pâte et de résine réagir pondant une période de temps suf- fisante pour assurer une réaction complète de la résine avec la cellulose. Habituellement, une période d'environ cinq à dix minutes suffit.
Quand la résine pour résistanco à l'état humide a réagi avec les fibres cellulosiques, le pH est de nou- veau réglé salon les besoins entre environ pH 4,0 ot
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pH 5e5. On ajoute alors lc polysaccharide dialdéhydiquo sous forme d'une disporoion queuse, de pr6férence une dispersion à 0,5 à 5%, en quantité d'environ 0,25% à 3% relativement au poids sec absolu de la pâte . * Le rapport de la résine pour résistance à l'état humide au poly-
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saochariue dialdéhydique peut varier dans des gxàuos un peu plus larges quand on recherche des effets particu- liers sur les propriétés physiques.
Les fibres traitées et le polysaccharide dialdéhydique sont alors abandonnés à la réaction pendant une -période de quelques secondes
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à quelques minutes on :1: Inngeant intimement. On z.,:lc alors de nouveau le pH de la pâte ayant réagi à environ pH 4,0 à pH 5,5 et on continue le traitement selon les techniques bien connues. Par exemple, dans le cas do la fabrication de papier on peut fabriquer de la ma-
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ni?:Jre usuelle des f-uillo>i à la miin ou des !uuillo!3 à la Machine.
On coMprcndr.'? plus co::plt":.nt l'invention z13ce .3-u.:; ;.x.;;npl:s juiv'nts indu;:! d'ill-u,3tra- tion mais qui n,, doivent p 's Otr<. CI)11.:': .hL' r.;s COdde iyimt une porceu 1isittiv&.
EXni>PLL On chl.1.uff,} 1 litre ,Á 1 onu ordin'.ir0 (non aJuntÓo) jusqu'à 9000 et on .jo'.'.tu ;;0 f.) d"..>i<à<.<n àLuld<;lgditjuc ot 5 E de 8205N::"2. On ;A;.,ii;w le >a,Jl,ii gc et on continue Ù chauffer pn.r injection dLr.<.ci,1# (:-..1 V.,I,,,,;'ur. (..;n obtiunt un gel qui, lorsqu'on poursuit: le cà.:utfa,:i: ot l 'a6<.tation, co'.i.'i.encu à se fluidifier.. L ch :n:'isé- ,-i3li poursuivi petl- dant cinq à di:: Oii r,,irok,àit lors la dispersion obtenue et on lu dilue jU;'lù 1 il un vcluao tot,-l de 5 li- trus au moyen d ' <- iu oràin froitlv, cù qui donne uno dispersion à ' z.midon di #ld 1.?,zù4 ;ut il b , 6il .
On àiJ.u< 1'<;..u uiii r4;;hic bionique polyJ+n1- dique typiqu..- dite "Kyr:r:h0 5:;'1" foarni<; 1;uI Hercules Powdcr OOJlp:,l.ny 3(JUC forj.- d'un; uolution cont1=nmiit 1Qµ1 d' incriàie>it= 'ct.i:fn j,:r<1u'i, ui;<> aonc.,>ilr=tìon de g d'ingrédient actif pour z0 ro1 <1 ' e . u .
Un pri>'<;é ;' 1:, pilu <i'- 1.; ptt: Kraft bboEchiu j#sq>a'à, obtenir 45Ù<;m' j,t<; ;ir#-.i< 1: v.dvul' di,.î-out p.0 poiir 1 % r.tci î"'11,"li.;Xià"# Ll. ijU'>Àtt% d<.2 l':it<.. 1;[;t- ..,1e nEcii;>;.ii,<; po.n' fourj.ir e à<r.>in o >1,rt; d-J feuilles e:jt :loi's dilu.l.v ii unj '.(.insit. nc d 1,;.75%. vu :KjocJi lOl':3 de 1' ;.:liii d -".L; 1:..l'l'Cr or,ion elu 2 du poids do p2tr séchô= <\ i'r;à=' !<.vuc .;>iffi>,; .z<>,nt <1" ,cid<J suliurifiuc çiwur .-ncr 1* bouill 1< à -,Il 4,5.
On ti' .lt . '.lM't: 1'" .., j>"ti -'u ,"t'J'dl dr.: 0 .25$ un
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poids de solides de "Kymene 557" et on laisse la pâte ut le Kymene 557 réagir dans des conditions d'agitation pendant une période de cinq minutes. On règle le pH à 4,5 par addition d'acide sulfurique.
On ajoute @lers une certain'': quantité de dis- persion d'cunidon diald6hydique, dans la proportion do
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0,5% relativement il. la pttc séchéc à l'air, 8.. la. quan.- tité de p îte pr,}-trait0o nécessaire pour !,on,er 2,5 g do pato ±úchúG à l'air , in uti7.:i:n.t une pote de con- ::'tNtuace de 0,375%' un laisse alors l'uMidon dialdéh,y- diquc réagir avec la pâte préalablement trait6o, on agi- - t":'11.t pc;nd^nt quinze secondes après quoi on verse la pâte trr>.ité.1J à l'.''".iidon di,ld,.liydiquc dinx un dispositif pour nottrl: la pâte en fort1\) de. fouilles à une consis- tance dû 0)02i G.I.UU; la caisse d'a.r-ve de la pâte.
Los r8u1tats compares avec un témoin dans le- quel on n'a P';'s !'J.jout de diald;:hydc-ami<1on aux 0,25% do 1 Kymcnc 557 sont montre ft.rzs lu Tableau 1 ci-o.pr08 :
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TABLEAU 1
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;:ux t âüC .3.Üi1 0, .,..w.....,¯..¯.¯ ; g ou r ?:.,i ;: 1 ,J 3 .'==J-i ;w:id on Poids de c. , , ,:;s !l;'.o-':..nr : ut,..'4:1¯.ti à 1 ' < t t:& huaide rj,.L'.Z,('iÉ::4yf't?C311t? (60x90cn. microns iyC3.¯.'.Gsy.'1.C.'I:û é c l ;;t . ' ,'t4= o in ¯..,.¯r ¯ ..¯¯.¯..¯...¯¯.¯...........¯ ¯....... ¯.¯.......¯....¯ ,¯ -1 f G - = 41,6 142,5 1,586 20,4 c,0 G ' L5 - 41,3 147,5 1.61 25,7 1 6 ' z Ù , 2 0,5 z 142,6 2>'l3 4018 3GG,:
¯¯¯.¯...¯....¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯!
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' Cas résultats montrent qu'alors que la résis-
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tance a. 1\ tcl9..tc,'I'lI,mt -oest u;::cntce do 16,2% au moyen !:lfUl1l:i 1.'fsu'1o ol;ami,iul pour rcisiwce à l'état hu- ..d.dl'; :3.;'1.11(.) 1s r{"intt1J:'c.) \ 11 úCl-:..t.....lll!:mt obtenue en uti- lisait la combinaison de r6sinû et de polysaccharide C:j.üld,:;hrd;.qu0 selon l'invention, peut ;:1u(p.;mter do 100%.
EXEMPLE 2
On applique le procédé de l'exemple 1 en utili- sant divers taux d'addition do résine pour résistance
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à 1';;-at hunid..:. La résine pour résistuiicc à l'àtat hu- Ac1e ut.J..s4v cst la .Jôr.10 que dnns l'exemple 1. Les va- leurs obtcnue.5 pour la long:ul;ur de rupture à sec, la longueur de rupture humide et la résistance à l'état hunide sont indiqués dans le tableau II ci-après
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TABLEAU II
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t .,' \-. "-1:" ..+... ',,, Î V'A .(itC." ii, .. <1:, <"'f' c, 1 'U"',' i Au"r.. ! 1,) ..\........",. "1--.
14 "."".. Yi.!'Cvdl.y¯LA :.1.-' i rk'. " 'r ,,i# 'ï1F ..l'' i .ây. vY C,. 4 ai: 1 1 1 t ' .t31;, ., , wA 'Lli é : ^ ;.lt 1 \ ut2' '.1 lda-- . d ; 11.. 'i i'^ W^,1.)- .f:.:,7di-:u<.. 'é'w":,.....r ,C:3w : l'l..l')1;'lr à i' C..V,V 1.ia- !.11-!jt:r0 1#rr<. .:ú ,lu UG'"' 'vL:.'k:'t.e :ß''.'v du , ..4.u' . ¯. e,s . ii' 1's 1r w.:,â... "'C jmidc, 1"1 i > j iiù#>4.ï<à. "'1""'!1.J..'t..,t. \.1w."'''''''11+ .t' ;.r"' ,......'.' w'rw. ...,yw.w-r.........iw.......'....r' .. ..... ,. .... i C ....-....r ' r......-...,.... ..--..r.---4.....v....- à -- j 4:'C -- 1". :;,'7 ;; :r ; i , i >1., j i+ 1 ;> 3 1 T 1., ? ì -2 1<:: '. i .à. , 4 1.. '. '"0'" cC ;--'- ,'c.r, 19,9 é "... V 9. 'A 4c 1';'""" 1&-i 5 \-...... : ;""1, 1 c..,1 ¯....,-¯.¯------- ...-.. w - 1 ----....:1....-""..---.....,----...... --..
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EXEMPLE 3
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Ori opùre coL,:;: dxm Il 1 , en utilisant conme racine pour nrl r 1 st r;nc ; à 1 ' ét i. hunide du Kyaone 882, r6- siiiu atioujquû ur=eîorr..ld;:hy cze fourrie par 1:). Hercules Polder Co::ny. L..' T3'Vle=U III ci-après donn-3 les résul- tats obtenus.
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T...13ru.U III
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jazz '""*##**###'"'-'###-###.,,. !.....##############.###.#########!.
T.'.ux d'." dit ion io;,=.z-,n ..;x=>. .1#-#;-,;=,>><i.id- .at. z4 ::ß zix4 à lonjucur rupture ) long. Ic--.rur- / * 1"'"iâ.. >JE.- d'1.;wr,,: is rui-turo état hu- rur-ture y.,- . , :.':.^: ,ai= t , . 4- :z . '' E",i lt'.1.W' m¯ . ,".+,, . a sec ,; , , ., v,,, , ,,, - i;lQiL tY' :À Eé 1 t ' .. m I >. + r. fi t< , ....-,i '. 4 . - l 5C - j 5,7 .¯..¯ 0,25 G,25 5 ?" 3 jazz 3 16 , ? , =1 C,2? " ', à - 6i4 372 1-,.", - CC G,50 -2C 24 684 426 -,7 'O
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fJC...,.P#, 4 Q..oo'" On .jfcctuc un; ,ri4nc; pour montrer l'effet sur le. cu,us..ur d4 ruptux l'uto-t humide du pa- pier par . E,,":"J...1.l)ll;)' 1: couiil3., vue 'P 1 C, du diverses r'in'-s c.,tiCI1.Í.q <1:0 r-our r ::i:,tuâce à liquide et (ou) de polysa.ccharidc di7.dr hydiçuc.
Cn fait une bouillie de. j,,^.tu à la consisteuice de ""15; (Il for',:nt un.) disparcion *x.aus;, do valeur ca.n::.;'i0;'lO dl t5 uttn/3c nor-.,:c.l0, de 450 ml lw pâto blan- cilio Kraft dt sapin du Nord. 1--n règle cette bouillie à pH 4-,5 i 0,5 au moyen de S041.
On fit à l'aide d'une partie de cotte bouillio une feuille à 1: ù'lin servanv d4 tw0i11 de 18 kg/280 M..
0n note lu longueur de rupture h 1'Óto.t humîdu en mètres =l;z::; Ll1.lt':;ion pell'"le¯"1.t cinq Minutes àenx de l' CilU or.- .,.iA'.:5.' 4' .
On incorpore lc cdditifs suivjjits dans d'au- trriz portions de cette bouillie cn les tlÍ1.nG0DJ:lt selon loet; pOUI'cont....",s in'1iquC., (poids d'additif solidc: cela- G5.vé.>ic=1t au poids de pi1te LQIt:.G u four). l. imicion diJ.dt.hyd.cue de mais, 0,3 x (j60,'O' B. Rosine ur,c;-forraald:hydT:, v,1 ,'0 0. Amidon dialduhydique do mais + 0,1% résine 'J.re- formaldéhyde D. R:pino polj'3Uidc-";pichlorhydrine 0,1 et 0,2 7. 0,::>% arùi,lon d.c:ldhyd3qu.r doe mais + 0, résine P01Y:lidc-ÓpichlorhJdrin F. 0,6% <1,,.'orI diald.shydique de m"is + 0,2';/p r6sino polJx1ic-épichlorhydrino On wor : jrr.r l'a1iùvn dialdéhyalque de aais on l t éJ.jOUtr.1!lt dans la proportiun d,) 59 en poids à dc l'eau ce±1 5 du à 90 C .
On ajoute alors 15 en poids de bi-
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sulfite do Rodiun ( ruiativcuont au poîdu à Ilaxiidon et on t"!;itù le !;161.111;;c pendant trente à quartc csni <-iiimts±. 0n Iainti- t 1-1 température à 90ÓC p=nd:xit lo Cii refroidit alors la dinvoraion d'a- 4.:i.don diuld'hydiquo aVlJ.rl t u:Jage;.
L, rt.dn{; c itioiiiquo utilis6o est leu KY'Kn.{; 917 fourni par li. Hercules Powdor Compare.
L. l'::.;iTL poly:.u::1ide...Ópichlorhydrinc oat le Ky- acilu 557 fourni ï-.,r la. Hurculus Powdcr Corapenys Ln F>r,j.irc <'f:1" f.uills & le nin en a$out;nb dca portioTm d 1:; 'Louillic de pXt les additifs indi- qu-lc 'i-dc.'uH. L dtjux r': 111<::'1 Gont tijout4,Qs avant 1' .,:, iùi n diJlà.tij,,dique. 1.;3 fIJu1UvB la i;#iin sont 'lsrm u"céif.v=<; i; l'f-tuvc et humidifiées par Ion proo6du<s usuels, ur. '.':t-r 1=,= pour chacune (IL, cia fouillas loti la:;.;aii;rz d ruptun à l'état hunidu en aêtro ot la pour- coent;;¯- <1"iu," !1.' tien rùb.tivo 'Lnt à un.6 feuille té- iioin. L; Il dor.e 109 résultats obtenus.
TABLEAU IV
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Essai Ad.'itif ! Poids 4'LonZu*ur de Augiaonta- additif rupture , tionda la î-olidc eoe longueur due pdf;,p.*te mêtreu rupturo/ aècht témoin,m.
TuLûin 450 A-1 .idor.. lU '1:1 Ly li'1uu t.llu 0,3 470 20 A-2 Il " 0,6 610 160 B résine '1,u';'c-fcr .rÜd:. Ü:de 0,1 u'? 90 C Do ii p 1 ) 6'/0 220 D-l x,,â..,t! i;oly:i..i(i(--'ichlordrine 0,1 40 2';0 D-2 !t 0,2 790 Du2 "II 0,10,3 7 l ïk/ 9do 1-F oei--,OeG1 la2o 1370 0,2,0,6 120 1370
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pour comparer los augmentations de longueur de rupture à l'état humide prévues d'aprés 1'additif avec les valeurs obtenues quand l'agent cationique pour
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à l'ôta t huuide est utilise avec la polysac- cimridu diI11M:hydi(iUe on a établi lu Tabloau V ci-aprc d,' .,,jiI-,ôs le 1.0,ible,iu IV.
TABLEAU V
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Au>j ,iJnt;,tiona duos à Au(,-montation totale aleugmon- 1 Au,; .(mt:tion8 longueur en longueur (le totale 1 % 1. 1 l'additif, lenteur longueur rup- tation
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<tb> Essai <SEP> de <SEP> rupture <SEP> en <SEP> métros <SEP> turc <SEP> mètres <SEP> additif <SEP> total
<tb>
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<tb> A-1 <SEP> +
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<tb> B-1 <SEP> 20 <SEP> + <SEP> 90 <SEP> 110
<tb>
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<tb> 220 <SEP> 100
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<tb> A-1+@
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<tb>
<tb> D-1 <SEP> 20 <SEP> + <SEP> 290 <SEP> 310 <SEP> -
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> E <SEP> 920 <SEP> 197
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> A-2 <SEP> + <SEP> +
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> D-2 <SEP> 160 <SEP> + <SEP> 340 <SEP> 500
<tb>
<tb>
<tb>
<tb> F <SEP> 1370 <SEP> 174
<tb>
Les résultats des Tableaux IV et V montrent que
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les feuille & la nain contonant à la fois la résine ca-
tioniquc pour r0;:;dot:mco à l'état humide et le p ?-3"sc::a-. -, chcridû d3.li :hy.io a:;;urnt une o.u#TJOntD.tion do la lon- t,u-;ur do ruptuaoL à l'état huaide d'nu moine 10l% en plus <'-u tot;;1 4cz :eu;;.ant:ti.anr do lonùucurs de rupture qu'on 1OUV"d.t attendri' d' 1 'i'rúr; 1<:1;: au3nentntions que l'on. trou- viit duus a :au:: úr.J.J.itifn pour les fouilles faites à la nain 1H.' u::;,.:rtu* 1Ué lu rr-inu ou que 1' ;midon die.1déh:rdicue L4;, r'sult ta dca Tableaux IV et V montrent les c.uW r>:nbat,iciw des longueurs do rupture à l'étut hu:1ido. qu'un obtient quand on utilico ons-i.:..:olv l' !.uni<1on dio.ldl1Y-- - .'
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diquu et la résina cutionîquu eOnfOr,-A6mGnt à l'inVOn- tion.
Les ::lU5,.C!lt,t.ionc sont t:r,; supurloures à celles qu'on pouvait prévoir d' :J.pra luis r-sistancos à l'état iiu;:ii;1<, douais pr l'additif..L'importées de cos aus- t;iéntJtionr 1.n,iqu\.. 'Un cffut synurfiquo, I':n H0:.itë 11 ilWvIl tion fournit un prooédé de pro- duc-ciMi d Ktatiùrcs fibreuses c(,llul()siquiJl3 ayant doo pro- priotôc du r uir;tr1.l1C;; oonsidôrabicciont 111il1I)uroa 90m- prunant un pr-:!.livr lieu le tr:d tom<:nt dos fibres oellu- loeiquus au :.:oycri. d'uno des pour résistance à l'ô- tat humide dÙcri. ton et en second liu lu tr[li t01(:nt ece fibres, cellulosiques au noyon d'un polysacoharido dial- dshydiq-ue pour awlioror encore la réai3tcnCQ tics fibrca à l' 0>tat hui?idù et lu r6nist-ince à la t'6.ctJ1on à socy la résistance à l'ccl3.tnont ,iutrue pro;>r14tés pbyxiquos