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Joint tanche pour conduite nous pression.
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.l.t. Jonven1iJ.on concerne un ;01n1i e1iano.ne pour conduites de fluides, par exemple celles destinées à l'eau potable ou industrielle.
La construction de telles conduites doit satis- faire à, des conditions essentielles, à savoir, d*une part, l'étanchéité des jointe et, d'autre part, l'adaptation de la conduite aux déformations de son assise.
La présente invention a pour ôbjet un dispositif de jonction, entre les éléments d'une ligne de canalisation, dont le montage est aisé et l'étanchéité parfaite.
Selon l'invention, le dispositif de jonction oomporte des bagues constituées en un matériau élastique, du caoutchouc par exemple, et comportant des lèvres assez minces pour se déformer sous l'action de la pression du fluide véhiculé.
L'invention sera mieux comprise, à la lumière de la description de ses formes d'exécution, non limitatives, représentées sur les dessine annexés, dans lesquels : Figure @ représente une vue en coupe de l'en- semble du dispositif de jonction suivant l'invention ;
Figure 2 est une vue partielle, de profil, aveo coupe transversale, à plus grande échelle, de la bague élastique, faisant partie du dispositif de la figure 1 ;
Figure 3 est, une vue partielle, de face, de cette même bague ;
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Figure 4 ent une vue, semb.eb.e à la figure 3p d'une autre forme de réalisation de la bague élastique.;
Figure 5 *et une coupe, à grand* échelle, de la 'bague de la figure 4 !
Figure 6 est une soupe longitudinale de l'en- semble du dispositif de jonction utilisant la bague repré- sentée sur les figurée 4 et 5.
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La jonction entre deux éléments de conduite, représentée sur la figure 1, assure l'étanchéité absolue à l'égard du fluide, gaz, vapeur ou liquide, qui parcourt la conduite. Ces bagues élastiques d'étanohéité 2 sont montées aux extrémités des éléments de tuyauterie 3 et 4 à raccorder. Ceux--ci sont ensuite introduits dans le man- ohon 1, qui relie leurs deux extrémités. La bague d'étan- chéité 2 est formée de manière à pouvoir se loger dans une rainure creusée à l'intérieur du manohon. La bague 2 oom- porte elle-même une rainure sinusoïdale, qui partage sa faoe, perpendiculaire à l'axe de la conduite, en deux zones d'é- paisseur différente.
Cette rainure sinusoïdale est parti- culièrement visible sur la figure @ Sur le rayon OB de la bague, les deux zones, AC et DB, sont séparées par l'espace CD, qui représente la largeur du sillon sinusoïdal. Sur le rayon OB', les zones B'D', égale à BD, et O'A', égale à CA, sont séparées par l'espace C'D', égal à CD. On voit, sur la figure 1, que le manchon 1 est pourvu de deux rainures intérieures où peuvent se loger les deux bagues d'étan- chéité 2. Une troisième rainure est aussi prévue dans le manchon 1, pour y loger une bague élastique 5. Celle-oi est destinée à empêcher les extrémités des conduites 3 et 4 de venir au contact l'une de l'autre.
Sur les figures 4 à 6, les éléments correspondant à ceux représentés sur les figures 1 à 3 sont désignés par les mêmes repères. La bague 2 est de même conception que celle des figures 1 à 3, mais sa section est différente.
Cette bague peut être employée pour des canalisations qui servent à véhiculer des fluides dont la pression peut atteindre 3 bars. On voit sur la section 6 que la bague comporte des rainures ou lèvres en V, tracées dans un plan
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perpendiculaire à l'axe de la bague. En outre, la bague comporte une rainure circulaire 7, dont l'axe coincide avec celui de la section 6.
Le fonctionnement du dispositif suivant l'in- vention, exposé ci-dessous, sera mieux compris à la lu- mière de la description qui précède. Pour réaliser la jonotion de deux éléments de tuyau, on introduit d'abord les bagues 2 @ 5 dans les logements correspondants du manohon 1. Puis l'on force l'extrémité 3 de l'un des tuyaux à pénétrer dans le manchon 1, en surmontant la résistance due au frottemant de la bague 2 sur cette ex- trémité 3. Le tuyau est alors poussé dans le manohon, jusqu'à ce que son, extrémité vienne touoher la bague 3. On opère de même pour l'extrémité du tuyau 4. Le fluide, qui se trouve sous pression dans la conduite, vient s'intro- duire dans l'espace annulaire entre le tube et le manchon.
Ce fluide, lorsqu'il pénètre dans la rainure sinusoïdale DEC de la bague 2 (figure 1), presse les parois de la bague, d'un côté contre la surface intérieure du manchon et de l'autre côté contre la surface extérieure du tuyau.
Il se ferme ainsi toute issue. Ce dispositif est applicable pour des pressions allant jusqu'à 30 bars.
Dans le cas du dispositif de la figure 6, le fluide sous pression pénètre dans l'espace annulaire entre la bague et le manchon d'une part, entre la bague et le tuyau d'autre part. Du fait de la rainure 7, les lèvres de la bague d'étanchéité sont ainsi pressées contre les parois intérieure du manchon et extérieure du tuyau. Il en résulte que la pression du fluide ferme elle-même le passage de celui-ci vers l'extérieur. Ce dispositif est valable pour des pressions allant jusqu'à 3 bars.
Aussi bien avec le dispositif ides figures 1 à 3
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qu'avec le dispositif des figures 4 à 6, on réalise donc une jonction, du type à labyrinthe, possédant une étanchéité élevée.
Il est entendu que des changements de détail peuvent être apportés dans la forme et la construction du dispositif suivant l'invention, sans sortir du cadre de la présente invention ; celle-ci n'est pas limitée aux formes d'exécution particulières représentées et décrites plus haut.
RESUMA.
1. 'Dispositif de jonction étanche, pour conduites de fluides sous pression, caractérisé en ce qu'il comporte des bagues, en matériau élastique, pour assurer l'étanché- ité du joint, lesdites bagues étant constituées de façon à posséder des lèvres assez minces qui se déforment sous l'action de la pression du fluide véhiculé par la conduite.
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