"Procédé et installation pour fabriquer des récipients
de grande capacité".
La présente invention concerne un procédé et
<EMI ID=1.1> <EMI ID=2.1>
rois sont constituées par une série de plaques distinctes, les plaques situées immédiatement sous le couvercle étant
<EMI ID=3.1>
l'ensemble composé du couvercle et des plaques qui lui sont soudées étant soulevé et les plaques suivantes étant soudées d'abord aux plaques dudit ensemble, puis entre elles.
Dans la construction de récipients de grande
le
capacité, notamment de réservoirs verticaux pour emmagasiner les produits liquides de raffineries ou semblables, on sait souder manuellement les différentes plaques les unes aux autres* On monte d'abord le fond, puis le couvercle. Le couvercle est alors soulevé d'une largeur de
plaque au-dessus du fond à l'aide de vérins, puis les plaques courbées à l'avance sont disposées sous ce dernier sous forme d'un anneau et sont soudées au couvercle et entre elles. Dans ces constructions connues, on soude de l'intérieur et de l'extérieur. Le tout est ensuite soulevé au moyen des mêmes vérins de la largeur d'une plaque pour disposer un nouvel anneau sous le premier et le souder
à ce dernier. Bien que le soudeur travaille à proximité
du sol, le temps mis pour monter le récipient est considérable. Pour pouvoir construira un réservoir en un temps acceptable,'il faut disposer de plusieurs soudeurs expérimentés, étant donné que les aoudures doivent être
de toute première qualité.
On sait aussi souder automatiquement. Dans de telles constructions, on fabrique d'abord le fond. Ensuite le premier anneau fait de plaques préalablement courbées est monté et un appareil de soudage, dont les électrodes sont fixées à deux bras à pinces s'étendant vers le bas et tournées l'une vers l'autre à la hauteur du joint horizon-
<EMI ID=4.1>
plaques. Grâce à des moyens d'avance appropries, l'appareil de soudage se déplace sur le pourtour de l'anneau à cheval sur les tôles et produit automatiquement le joint de soudure. Les joints verticaux sont faits à la main, comme dans le premier cas expliqué ci-dessus. Ensuite, un nouvel anneau est monté sur le premier et soudé à ce dernier comme décrit. Pour chaque anneau suivant, on procède de la même manière. Enfin, on monte le couvercle.
Il est évident qu'un soudage automatique des joints horizontaux représente un progrès réel, notamment du fait que le joint est soudé sur les deux faces du récipient et par là est très bon qualitativement. Cependant, ce processus ne donne pas entière satisfaction, puisque les joints verticaux doivent être soudés à la main. En plus, le montage du réservoir est fastidieux et dangereux du fait qu'on travaille de bas en haut. Il faut donc des échafaudage compliqués, d'une part, pour monter les anneaux et souder les joints verticaux et, d'autre part, pour surveiller la bienfacture du soudage automatique. Enfin, le montage du couvercle pour couvrir la construction présente de nom-breuses difficultés,
<EMI ID=5.1>
ces inconvénients et le procédé conforme à l'invention est caractérisé en ce que les plaques à souder prennent appui sur le fond du récipient et en ce qu'un chalumeau est guidé à l'aide du fond et du joint à souder le long de ce dernier.
<EMI ID=6.1>
cédé est caractérisée en ce qu'un chalumeau réglable en position est fixé sur un guide vertical monté sur un châssis destiné à être guidé sur le fond du récipient et en ce
<EMI ID=7.1>
appui dans les joints à souder guide le chalumeau le long des joints verticaux et horizontaux.
Pour presser l'organe de palpage, en l'occurrence un galet de palpage, on peut utiliser un poids fixé à une des extrémités d'un câble qui passe sur une poulie fixe en
<EMI ID=8.1>
trémité, ledit guide pouvant être constitué par une tige. de guidage. Pour augmenter la force exercée par le poids sur le galet de palpage, on peut utiliser une poulie de renvoi montée rotative sur la tige de guidage, le câble passant, d'une part, sur la poulie fixe en position et, d'autre part, sur la poulie de renvoi fixée sur la tige de guidage et étant attaché à une partie fixe du support.
Pour augmenter la force avec laquelle le galet <EMI ID=9.1>
tirer ledit châssis contre la paroi du récipient. Par ailleurs, on peut prévoir des galets de guidage sur le châssis, galets qui roulent le long de la paroi du récipient et qui déterminent la distance entre les aimants et tadite paroi. Pour que les galets de guidage ainsi que les aimante puissent s'adapter à la courbure de la paroi du récipient,
<EMI ID=10.1>
<EMI ID=11.1>
lesdits galets de guidage.
Le support oscillant destin' 1 recevoir la tige de guidage porte, de préférence, des galets qui prennent appui sur les deux côtés de ladite tige dont les bords roulent dans les gorges desdits galets, le support étant monté oscillant sur le châssis autour d'un goujon.
<EMI ID=12.1>
d'exemples non limitatifs, des formes de réalisation de l'installation pour la mise en otavre du procédé conforme
à l'invention.
La fig. 1 est une vue d'ensemble schématique
de l'installation;
la fig. 2 représente, également schématique- t ment, un dispositif de guidage du chalumeau oxhydrique, vu de côté;
la fig. 3 montre le dispositif de la fig. 2, vu d'en haut} <EMI ID=13.1>
de soudage disposé à l'intérieur du récipient et monté sur un bras placé au centre de ce dernier;
la fige 5 montre l'agencement d'un mécanisa" comprenant des éléments d'adhésion;
les fige 6 à 8 illustrent, schématiquement, la manière dont un récipient de grande capacité est fabriqué
<EMI ID=14.1>
la fige 9 est une vue d'une mira forme de réalisation de l'installation, vue d'en haut;
la fige 10 est une vue de côté de l'installation représentée à la fig. 9;
la fig. 11 est une vue en perspective d'une partie de l'installation de la fig. 9 comprenant un chalumeau oxhydrique et un galet de palpage monté sur une tige de guidage; et
la fig. 12 est une vue de côté de la partie de l'installation représentée à la fige 11 avec un poids agissant sur le galet de palpage.
L'installation de soudage représentée à la fige 1 comprend un appareil de soudage 1 de construction connue. L'appareil 1 est monté sur un châssis ou chariot 2 qui porte un moteur 3 d'entraînement des roues 4. L'installation est reliée à un bras 5 monté pivotant au centre du récipient et dont la longueur est réglable. Le chariot 2 porte, en outre, tous les outils et organes <EMI ID=15.1> <EMI ID=16.1>
<EMI ID=17.1>
du chariot et sert de guide au coulis seau 7 du chalumeau 8, Les moyens de fixation dudit chalumeau 8 ainsi que ses détails de construction sont sans importance, étant donne que de tels moyens de fixation sont connus. L'installation comprend également des moyens (non représentés) pour amener le chalumeau 8 dans le joint à souder 16 entre les deux anneaux de tôles 13, ainsi que des dispositifs de commu-
<EMI ID=18.1>
le moteur d'entraînement 3, L'installation de soudage repose complètement sur le fond 14 du récipient.
Le chalumeau 8 est commandé automatiquement le long des joints grâce au dispositif représenté aux fig.
<EMI ID=19.1>
est monté le chalumeau 8 disposé de manière qu'il puisse pivoter autour d'un axe. Par ailleurs, un bras 9, portant à son extrémité un galet de guidage 10, est monté pivotant sur le chalumeau 8 ou sur son axe de pivotement. Le tout
est fixé par une articulation double 11 sur le coulisseau
7. Le bras 9 est pressé par un ressort 12 ou des contre- poids dans le joint à souder.
Dans une forme de réalisation plus simple,
<EMI ID=20.1>
culation simple, l'organe de palpage 10 déplaçant toute l'installation sur les roues 4 pour guider le chalumeau 8 dans les joints verticaux 17.
<EMI ID=21.1>
dage 1 qui est relié à un bras 5 disposé au centre du récipient qui est fait de plaques distinctes 13.
La fig. 5 montre un appareil de soudage la disposé dans une partie d'un récipient et qui comprend des éléments d'adhésion 24 montés sur des bras latéraux pour les maintenir à une distance déterminée de la paroi dudit récipient. De préférence, les éléments d'adhésion 24 sont
<EMI ID=22.1>
Dans ce qui suit et en regard des fig, 6 à 8,
on va expliquer les diverses étapes de la construction d'un réservoir vertical. On prépare d'abord une fondation.
19 en béton ou en pierre sur un terrain nivelé 20. Sur
cette fondation 19, on soude le fond 14 du récipient fait
de plaques en mettant en oeuvré des procédés connus, par exemple en effectuant le soudage à l'aide de poudre ou à <EMI ID=23.1>
Après cette opération, les plaques distinctes 13 courbées préalablement sont dressées et fixées légèrement entre elles. Ensuite, on fait le joint de soudure horizontal 16
<EMI ID=24.1>
stallation décrite ci-dessus. Avec la'même installation, éventuellement avec une installation supplémentaire, on soude les joints verticaux 17 entre les plaques. L'ensemble <EMI ID=25.1>
cité désirée du réservoir, on procède comme expliqué ci-
<EMI ID=26.1>
<EMI ID=27.1>
<EMI ID=28.1>
Dans la forme de réalisation représentée aux fige 9 et 10, l'installation comprend un châssis constitué par un certain nombre de tubes rectangulaires et pourvu <EMI ID=29.1>
supérieur est visible sur la fig. 9 du fait que le tube
<EMI ID=30.1>
tubes 102 à 106, dont les cinq tubes inférieurs sont car
<EMI ID=31.1>
<EMI ID=32.1>
10 en 102a. Le parallélépipède fait de quatorze tubes porte
<EMI ID=33.1>
stitué par ledit parallélépipède puisse se déplacer sur le
<EMI ID=34.1>
struire, Les deux roues arrière 109 et 110 sont fixes en direction, étant donné que les deux extrémités des axes de ces roues tournent dans des paliers 112 qui sont fixés rigidement aux deux tubes inférieure 102 et 103, respectivement 105 et 106, tandis que la troisième roue 108 est montée pivotante, son axe 113 pivotant dans une fourche 114 qui,
<EMI ID=35.1>
116 fixé entre les deux tubes superposés 101, Pour accroître
<EMI ID=36.1>
prévoit d'autres tubes 117 et 118 qui ont pour mission de maintenir les tubes 101 et 107 exactement perpendiculaires sur les tubes 102 à 106.
Le châssis décrit et fait desdits tubes présente enfin, dans sa partie antérieure, un cadre constitué par des tubes 119, 120, 121 ot 122 sur lequel est monté un moteur 123 d'entraînement des roues 108, 109 et 110. L'arbre
<EMI ID=37.1>
<EMI ID=38.1>
roue 109. La .partie arrière du châssis présente également un cadre fait de tubes 127, 128, 129, 130 et 131 qui entoure la roue arrière 108
Les tubes 102 et 119, en regardant dans le sens d'avance de l'installation, portent, sur le côté gauche du châssis, deux fléaux 132 et 133 montés pivotants sur leur partie médiane et dont les axes 134 et
135 pivotent dans des paliers 136 et 137 fixés au tube supérieur 102, respectivement au tube inférieur 119. Les
<EMI ID=39.1>
140 et 141 dont les axes 142 sont montés pivotants dans des parties en forme de fourches des deux fléaux 133 et 134. Chaque fléau porte, dans sa partie médiane, un aimant
143 fixé par des vis 144. D'autres vis 145 permettent, en coopération avec les vis 144, de régler la distance
<EMI ID=40.1>
Ainsi qu'il ressort de cette figure, la distance entre les aimants 143 et la paroi 146 est également fonction
de la courbure du récipient. C'est la raison pour laquelle il est nécessaire de pouvoir régler cette distance.
D'autre part, ladite distance varie lorsque
la couche de protection des galets de guidage s'use ou lorsqu'on utilise des pneus gonflés avec de l'air comme galets de guidage. La distance entre les aimants et le récipient dépend également de la pression de 1,'air dans les pneus. Comme aimants, on peut utiliser soit des électro-aimants, soit des aimants permanents.
Le châssis peut se déplacer le long de la paroi ,du récipient aussi bien en avant qu'en arrière. La roue montée sur la fourche oscillante 114 permet d'amener le châssis exactement dans le chemin circulaire le long'de la paroi du récipient. Dans la fig. 9, on a représenté
le châssis comme se déplaçant à l'intérieur du récipient, mais on comprend que grâce aux deux aimants montés sur des fléaux distincts, il pourrait se déplacer le long de la paroi externe du récipient, si pour une raison quelconque le récipient ne pouvait ou ne devait pas être soude de l'intérieur.
La construction du châssis n'est pas décrite ici plus en détail, étant donné qu'elle n'intéresse pas directement l'invention et que l'homme du métier peut résoudre ce problème constructif de cas en cas, soit en soudant ou boulonnant lesdits tubes ensemble, soit en utilisant des roues à pneu$ gonflés pour les roues 108,
109 et 110 et les galets 138, 139, 140 et 141, soit en prévoyant pour ces roues et galets des paliers à billes ou des paliers lisses.
La roue 108 montée sur la fourche 114 peut, si on le désire, être reliée à un volant ou à un levier de commande qui peut être fixé à l'axe 115 de la fourche
114 par exemple, pour rendre le châssis dirigeable lors.. que ce dernier doit être déplacé autrement que contre la paroi du récipient.
Au centre du châssis, par exemple sur les tubes supérieur et inférieur 107, à proximité de la roue 109
ou en un emplacement approprié dudit châssis, on peut fixer un support tel que celui représenté en 147 à la fig. 11, Ce support 147 porte, à sa partie supérieure, une plaque d'appui 148 montée pivotante autour d'un goujon horizontal 149, Ce goujon 149 peut être retenu axialement pour qu'il ne puisse pas tomber. En variante, le <EMI ID=41.1>
tant dans la plaque d'appui 148 et fixé axialement pour l'empêcher de tomber: Quatre galets 150, 151 sont montés rotatifs sur la plaque de support 148. Entre les galets
150 et 151 est disposée une tige de guidage 152 qui peut se déplacer longitudinalement entre ces derniers, son extrémité en forme de fourche portant un galet de palpage
153 dont l'axe 154 est monté rotatif entre les deux bras
<EMI ID=42.1>
152. Ladite tige porte, en outre, un bras de support 157 sur lequel est monté un chalumeau oxhydrique sous forme d'un pistolet de soudage 158. Ce pistolet de soudage 158 est fixé sur une plaque 159 qui est montée de manière qu'elle puisse être déplacée sur le bras de support 157. Afin que la plaque 159 puisse être déplacée dans deux directions perpendiculaires l'une à l'autre sur le bras de support 157, on a prévu deux broches filetées d'avance
160 et 161 sous forme de manivelles. Les broches d'avance
160, 161 sont du type utilisé dans les tours pour déplacer les outils de tournage, de sorte qu'on a renoncé à décrire et représenter en détail la plaque 159 mobile sur le bras d'appui 157 grâce aux doux dites broches d'avance 160 et
161.
Le déplacement combiné de la plaque 159 permet de régler très exactement l'espace entre le joint A souder
162 sur la paroi 146 du récipient et le pistolet de soudage 158. La distance entre le galet de palpage 153 qui est mené dans le joint et le pistolet de soudage peut être également réglée.
Un poids 163 (fig. 12) presse le galet de palpage 153 dans le joint 162. Une goupille 164 est fixée sur la plaque de support 148 et reçoit l'oeillet d'un câble 165 qui passe, d'une part, sur une poulie 166 montée rotative sur la tige de guidage 152 et, d'autre part, sur une poulie 167 montée rotative sur le support 147, L'autre extrémité du câble 165 est attacha au poids 163 qui agit par le câble 165 sur le galet 166 fixé 1 la tige de guidage 152 et tend à déplacer cette tige dans le sens de la flèche A pour presser le galet de palpage 153 dans le joint 162.
Si, par hasard, le joint 162 n'est pas exactement horizontal, le galet de palpage 153 peut faire osciller la tige de guidage 152 et la plaque de support
148 autour du goujon 149, de sorte que le chalumeau 158 se trouve toujours à la bonne hauteur. On peut enfin prévoir, si cela se révèle nécessaire, un support 147 réglable en hauteur.
Le poids 163 est constitué, de préférence, par plusieurs corps distincts, afin que la force agissant sur le galet de palpage 153 puisse être réglée. Au lieu d'utiliser un poids, on peut prévoir un ressort dont une des extrémités est fixée au câble 165 et l'autre au support 147.
L'installation décrite fonctionne comme suit:
le châssis avec le chalumeau est amené à proximité immédiate de la paroi interne du récipient de grande capacité pour que les galets de guidage 138 à 141 reposent contre la paroi du récipient et que les deux aimants
143 retiennent le châssis contre la paroi. Le galet de palpage 153 est amené dans le joint formé entre les pla-
<EMI ID=43.1> <EMI ID=44.1>
Le châssis entraîné par le moteur 23 se déplace le long de la paroi 146 du récipient et le joint est soudé. On peut prévoir des dispositifs de commande qui règlent la vitesse d'avance du châssis d'après la vitesse de soudage.
Il est clair qu'avec l'installation décrite,
on peut non seulement souder des joints horizontaux et verticaux, mais que le chalumeau peut effectuer toute courbe voulue qui est déterminée par une avance simultanée horizontale et verticale. Le dispositif de guidage du chalumeau 158 eert avant tout à suivre les petites irrégularités des joints 16 et 17. La suite des opérations donnée ci-dessus semble la plus judicieuse et la plus rationnelle mais ne doit pas être considérée comme limitative, étant donné qu'en utilisant un rail de guidage de longueur appropriée pour le support du chalumeau, on peut effectuer des soudures à toute hauteur désirée. En utilisant des moyens appropriés, le processus de travail peut se dérouler entièrement automatiquement.
Si le soudage effectué sur une des faces du récipient est jugé ; insuffisant-, on peut répéter l'opération sur l'autre face, soit à la main, soit automatiquement, pour renforcer le cordon de soudure. Si on soude à l'arc sous protection d'un gaz, notamment du 0[deg.]2' on peut encore obtenir de meilleurs résultats, c'est-à-dire des joints d'excellente qualité effectués sur un seul côté.
<EMI ID=45.1>
1. Procédé de fabrication de récipients de
grande capacité à partir d'un matériau soudable et dont
les parois sont constituées par une série de plaques
distinctes, les plaques situées immédiatement soue le
couvercle étant d'abord soudées à celui-ci, puis soudées
entre elles, l'ensemble composé du couvercle et des
plaques qui lui sont soudées étant soulevé et les plaques
suivantes étant soudées d'abord aux plaques dudit ensemble, puis entre elles, caractérisé en ce que les plaques à souder prennent appui sur le fond du récipient
et en ce qu'un chalumeau est guidé à l'aide du fond et
du joint à souder le long de ce dernier.
2. Installation pour la mise en oeuvre du pro-