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"'rrrtacinnsmanbr à l'humidification des tRTI1ip;.. tul 1. res aynthëtîquen pliea4e$ aotammen' pour iittolutilft
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L'invention a pour objet des perfeatioanements nou- veaux et utiles concernant l'emballage et llh41ttoatioA des' enveloppée tubulaires synthétique* plitaéee telles que lis
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boyaux de saucisse artificiels plissés,
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Les boyaux de saucisse artifioiils, en particuliers,
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*eux en cellulose régénérée sont préparés sous la forme de tubes à parois minets de très grande longueur$ Pour plus de
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.commodité dans la manipulation,'" pliaa'"CM boyaux en partant y # de/ .longue tiidi ilSiiS* àÈt| r ** # ? :i W:>: .:;.eb'-i;':zy' '-":;y. . ;.:,Fw;,ur,ra":,:
''..'metrea'oud'éoim'eta.'' de machinât à pliaaer, ainsi que les produite obtenue, sont décrits dan$ es breveta américaine Son 2.585.654 du bzz' décembre 19479 R.'g .4 , 2.622.715 et 2.723.201, tous trois du 12 février 1954.
Après avoir plissé le boyau, on l'emballe et on l'ex- '
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pédie aux usines de bourrage, où l'on place des tronçons plia-'
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ses individuels sur un bwe de bourrage et on extrude une pâte de viande ou émulsion de chair à aauoiaaea de manière à remplir le boyau en l'amenant à sa longueur entièrement déployée. Le ' .< ,' bourrage du boyau et fait habituellement en quelques sooondest 5:v ce qui fait qu'en l'eapaoe de 3 à la $$coude*# le boyau est # amané d'une longueur, à l'état plissé, d'environ 20 à 67,5 en - 'a: ; à une longueur, à l'état déployé de 12 à 48 aetrea.
Etant donnée cet allongement rapide du boyau pendant le bourrage il faut que ;t: le boyau soit spécialement solide et résisté bien au déchire" boyau soit spécialement solids résiste bitn déohirs- ment, Pour avoir le maximum de solidité de ténacité et de gaz flexibilité, il est n6aersairus le taux d'humidité du boyau plissé soit de 14 À,20%$ de préférence de 16 a 18% environ. si le boyau plissé présente un taux d'humidité inférieure à bzz6 si environ, une rupture excensive a tendance à se produire pendante le bourrage.
De même, si le boyau preaente une teneur en huxidïdw té supérieure & 20% environ, il est trop plastique et peut avoir
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tendance à os bourrer avec excès* Il est donc essentiel 'hum9,.'tzr razzier le boyau plissé jusqu'à une gamme d'humidité critique a?s*X lativement étroite pour permettre un bourrage sans rupture ces', aive.
bzz Antérieurement, on emballait Ion boyaux artificiels
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plissés dans des bottes ou conteneurs percée aux extrémités
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opposée$ pour permettre à l'air humide do circuler à travers
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le tronçon de boyau plissé afin d' assurer le taux d'humidité voulu dans le boyau,
Toutefois, ces bottes sont coûteuses à fabriquer à cause des perforations nécessaires dans les extrémités et pré- sentent une faiblesse mécanique prononcée dans les parois ter- minâtes perforées, ce qui aboutit de temps en temps à une rup- ture de ces paroisOomme l'industrie des boyaux tend à fabri- quer des tronçons plissés de plus en plus long, atteignant par exemple 48 mètres actuellement,
le problème qui consiste à humidifier le boyau jusqu'à la teneur critique devient de plus en plus difficile. Dans les tronçons longs de boyau plissé, le passage de l'air humide à travers le boyau rencontre une réais- . tance considérable ce qui fait que les extrémités du boyau tendent & être plus humides que le centres
Sur les devins, donnés surtout à titre d'exemple :
La figure 1 est une vue en élévation d'un tronçon plissé de boyau artificiel
La figure 2 est un détail en coupe du boyau plissé, suivant la ligne 2-2 de la figure 1.
La figure 3 est une vue en perspective d'une boîte du type connu, dans la technique antérieure pour l'emballage des boyaux plissés.
La figure 4 est une vue en perspective de la boîte de la technique antérieure selon la figure 3, le dessus étant ouvert pour montrer les boyaux plissés en place.
La figure 5 est une vue en perspective d'une boîte conçue pour le traitement suivant l'invention.
La figure 6 montre en coupe longitudinale l'emballage . de la figure 5.
La figure 7 est une coupe de détail suivant la ligne 7-7 de la figure 6 montrant la relation entre les boyaux plissés
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et la matière absorbant l'humidité qui est disposée dans tout l'emballage.
La figure 8 est une vue similaire 4 la figure 7 pour une variante de réalisation montrant une configuration différons te de la matière absorbant l'humidité placée dans l'emballage '
La figure 9 est une coupe similaire à celle de la figure 8, montrant encore une autre forme de réalisation de la matière absorbant l'humidité contenue dans l'emballage.
La figure 9a est un détail en coupe similaire à la figure 7 montrant la relation entre les tronçons de boyau plis- sé et la matière absorbante sur la figure 9.
La figure 10 est une coupe similaire à la figure 8 montrant encore une autre forme de réalisation de la matière d'absorption d'humidité contenue dans l'emballage*
La figure 10a est une coupe de détail similaire aux ; figure 7 et 9a montrant la relation entre les tronçons de boyau plissé et la matière d'absorption d'humidité dans la forme de réalisation de la figure 10.
La figure 11 est une coupe similaire à la figure 6 montrant encore une autre forme de réalisation de la matière d'absorption d'humidité disposée dans tout l'emballage.
La figure 11a est une coupe de détail similaire à la figure ? montrant la relation entre les tronçons de boyau et la'matière d'absorption d'humidité dans la forme de réalisation de la figure 11.
La figure 12 est une coupe similaire à la figure 6 montrant encore une autre forme de réalisation de la matière d'absorption d'humidité disposée dans tout l'emballage,
La figure 12a est une coupe de détail similaire à la figure 7 montrant la relation entre les tronçons de boyau et la matière d'absorption d'humidité dans la forme de réali- nation de la figure 12.
La figure 13 est une vue schématique montrant un four
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chauffé PU haute fréquente contenant stem emballa- soi hermétiquement oies ocame oelui de la figure J, et la figure 14 est un vue schématique prise suivant la
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ligne 14*14 de la fleuri 1) et montrant la relation entre les plaquoit, tubes eu oscillateurs de chauffage éleotriqut à haute fréquence et 1 ambala contenu# La demanderesse à dîtemïad qu'en peut âd,3,ar des boyaux artificiels plissés jusqu'à;
la banaur 4critique pp<d4<* miné@ qui est nécessaire à un bourrage satisfaisant en emballant le boyau plissé en contact avec une matière d'absorption d'hu-
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aidité, avec ou sans chauffage supplîmeotairq8me indiqué oi..
après$ on place de préférence les tronçons en oontaot avec une
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pâte d'absorption d'humidité contenant une quantité pip4d4t<z minée d'humidité suffisante pour humidifier le boyau jusqu'à la teneur désirée Les tronçons plissés de boyau et la pite d1 ab- sorptîon d'humidité additionnée d'eau sont emballés dams une boîte non perforée, hermétiquement close# et sont stockés en temps suffisant pour permettre à la boîte hermétique d'attein- dre l'équilibre on ce qui concerne l'humidité présente# On con- serve de préférence les bottes hermétiquement oloses à la tempe rature ambiante ou au dessus,
(par exemple des températures de 20 à 65 C sont satisfaisantes) pendant un temps suffisant$par exemple de 7 à 28 jours, pour que le contenu des bottes attei- gne l'équilibre.
On a trouvé que les boyaux plissés emballée dans la boite se chargent uniformément d'humidité provenant de la matie** re absorbante) sur toute la longueur du boyau plissé et avec une faible variation d'humidité entre les plis principaux et secon- daires des tronçons plissés ou entre le$ portions intérieures et extérieures de ces tronçonne Dans bien des cas$ l'humidifi'-
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cation ou l'équilibrage du boyau est accéléré par exposition à un chauffage électrique à haute fréquence.
Sans des *osais étan- dus, on a trouvé que les boyaux sont égaux eu supérieurs à
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ceux qu'en humidifie fil utiliaut do 2a t iI.. humide et que leur teneur on eau est plus uniforme pour de loges tronçon de boe&u qui sont difficile à humidifier Du circulation d'air humides La figure 1 montre un tronçon plissé 1 de boyau de sausisse artificiel* Sur la figure l, le trotf= tst représenté - en coupe de manière à 111uI.'" les piia principaux a et 1 plis oxeondâiyot 3 du boyau pl:1..... lu, oitte t:L1U11 à# 11, 1:1...
ur du boyau est un peu txagérét pu rapport à la grandeur dtt ; plie principaux 2 et des plie oecond"etu )# Pour plisser 1.. boyau de <uoiN6$t qu'il soit en 0.11ulo.. régénérée ou en d'autres matière pour boyaux M'tifieiel<< ou -utilise de p1"I'- . ronce une machine du type décrit dans les brevets mèrioaint cités plus haut* feue plisse des boyaux artificiel , on "bon ne le boyau à plat d'une bobine à la aaohint à plisser et on le pli$$* d'une longueur de l'ordre de li t. 44 mètres à une longutu* de 20 à 6?f9 centimètres# après plissage et ooxpreooiono 'i Antérieurement, il était nécessaire d'humidifier les tronçons plissés jusqu'à un taux d'humidité prédétermine, par
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exemple 14 à 20% (de préférence 16 à 1.
environ) en emballant plusieurs tronçons plissés dans une boite et en faisant cirou- ler de l'air humide au travers jusqu'à ce que les boyaux atteim gnent la teneur désirée en humidité. On emballait les divers tronçons de boyau par couchez dans une botte 4 qui présentait des parois terminales 5 et 6 munies de perforations 7.
La boite' 6 était munie de perforations ? à ses extrémités opposées de sorte que l'on pouvait insuffler de l'air humide à travers la
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botte quand elle était remplie d'un certain nombre de tronçons de boyau plissé. Sur la figure 3, la botte est représenté* au position fermée et sur la figure 4 en position ouvert..
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Dans un mode de réalisation de l'invention, les tron-- . gona plissés de boyau artificiel sont emballés dans une botte présentant de préférence des parois non perforées et l..,t on- gons individuels sont en contact avec la matière d'absorption
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d'humidité qui est disposée dans toute la boîte et qui contient initialement suffisamment d'humidité pour communiquer aux tron- çons de boyau plissé une teneur prédéterminée en humidité pen- dant un stockage prolonge En pratique, on place les tronçons de boyau plissé dans une botte 10 qui présente des parois latérales et terminales 11 et 12 non perforées et on l'enferme dans une enveloppe imperméable 13,
par exemple une pellicule de matière plastique telle que le polyéthylène, le chlorure de poly- vinyle, du "Mylar" (téréphtalate de polyéthylène) ou du saran (chlorure de polyvinylidène), etc. La boîte fermée contenant les tronçons de boyau plissé et la matière d'absorption d'humidité et enfermée dans l'enveloppe imperméable est représentée sur la figure 5.
La figure 6, qui est une coupe suivant la ligne 6-6 de la figure 5, montre la boite 10 enfermée, dans l'enveloppe, ou pellicule imperméable 13. Des tronçons plissés 14 de boyau artificiel sont représentés en couches dans la boite 10 qui contient des cloisons 15 formées d'une paie absorbant l'humidi- té. Sur la figure 7 qui est un détail en coupe suivant la ligne 7-7 de la figure 6, on a représenté plue en détail la relation entre les tronçons de boyau plissés et les cloisons de pâte absorbant l'humidité.
Pour emballer et humidifier comme ci-dessus des tron- çons plissés de boyau,on place dans la boite une feuille de pâte absorbant l'humidité, de préférence présentant la texture d'un papier buvard et on applique à la feuille de pâte une quantité d'eau prédéterminés. On place alors en couche plusieurs tronçons de boyau plissé 14 sur la feuille humidifiée et on place une autre feuille de pâte par dessus la couche@@ On humidifie à son tour cette feuille de pâte en ajoutant une quantité d'eau prédé terminée et on dispose une autre couche de tronçons de boyau plissé,
On continue d'ajouter alternativement des couches de
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tronçons de boyau plissé et des fouilles de pâte humidifiée jusqu'à ce que la botte soit remplie. On ferme alors la boite
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et on l'emballe, seule ou avec une ou plusieurs bottée supplémen- tairont dans une enveloppe imperméable, de préférence une p.ll1. ouïe de manière plastique ou de toute aut2.''''t1'l'e appropriée, ' comme ci-dessus sur les figures 8 à 12 des dessins, on a représenté j
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plusieurs variantes de cette disposition d'emballage qui utili- se différentes configurations des couches de pâte absorbant l'humidité qui servent à transférer 1'humidité aux tronçons de boyau.
Dans les différentes dispositions d'emballage repré-
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.entées par les figures 5-12a du dessin, les boyaux plissés sont emballés en contact avec la pâte absorbant l'humidité, . comme indiqué sur les figures 1-4.
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On maintient les bottes à une température prédétermi- née pendant un temps suffisant pour permetre au contenu d'at- teindre l'équilibre, par exemple 14-20% d'humidité.
Le temps et la température nécessaires pour que le contenu des bottes atteigne l'équilibre sont interdépendants et varient en raison inverse l'un de l'autre. Ainsi, à haute température, les
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boyaux atteignant la teneur désiré en humidité dans le minimum ' '\ de temps tandis qu'aux basses températures, le temps néoeaeaire ! est maximal.
Dans la plupart des cas, les bottes dans lesquelles on stocke les boyaux plissés sont en carton imperméable, par exemple en carton paraffiné,pour éviter que les fouilles de
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matière d'absorption d'humidité et les boyaux ce perdent leur humidité en la communiquant au carton des boîtes Pour évaluer la disposition d'emballage oi-deerust on a effectué plusieurs expériences dans lesquelles on a emballé différentes grosseurs et longueur.
de boyaux pliaaéa en 0811u10- se régénérée et on les a humidifiés jusqu'à la teneur prédéter- minée et critique en humidité qui est nécessaire à un bourrage
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satisfaisante On a comparé le résultat donné par ces baoyaux et par des boyaux que l'on a humidifiât à peu prêt jusqu'à la même teneur en humidité en utilisant la technique antérieure qui consiste à faire circuler de l'air humide sur les tronçon de boyau plissés contenus dans une boîte perforée.
Les exemple. suivants illustrent lea résultats obtenus avec un grand nombre de boyaux plissés* EXEMPLE 1
On plisse un certain nombre de boyaux de cellulose régénérée du type utilisé pour la fabrication des saucisses de Francfort, on les humidifie et on les emballe suivant 1'invention Les boyaux ont un diamètre de 22,50 mm, une épaisseur de 23-28 microns et une tondeur de 16,5 mètres (longueur à l'état plissé 22,5 cm).
Oes boyaux ont une teneur initiale en humidité de 8-10%, niveau nécessaire à un plissage satisfaisante
On emballe les boyaux dans une botte en carton non perforée mesurant 26,5 x 22 x 11 cm, On effectue l'humidification des tronçons plissés en utilisant des feuilles de gros papier buvard mesurant 21,3 x 25 cm (poids sec 44,6 grammes)* On place l'une des feuilles de pâte absorbante au fond de la boîte en carton et on ajoute uniformément à la feuille 53,5 grammes d'eau. On pose sur la pâte humidifiée dix tronçons de boyau de cellulose plissé et on place par dessus cette couche une feuille de pâte de la même grandeur, puis on ajoute à la pâte la même quantité d'eau. On répète ce processus jusqu'à ce que la boîte soit pleine et on ajoute une couche supérieure de pâte que l'on humidifie.
La boîte, une fois pleine, contient cinq couches de tronçons plissés (dix tronçons par couche) et six feuilles de pâte humidifiée.
On ferme alors la boîte et on l'enferme hermétiquement dans une enveloppe imperméable de film de polyéthylène. On conser- ve la boîte pendant 21 jours à 20 C pour permettre à l'humidité
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d'atteindre l'équilibre. les tronçons .plissés qui sont emballés dans ce récipient ont une teneur en humidité de 17 à 18% qui varie de moine de 1% entre les plia principaux et secondaires du boyau plissé et qui est pratiquement invariable sur la longueur du boyau plissé.
Dans une usine de bourrage, on'bourre ces boyaux plia** ses en utilisant une machine commerciale qui remplit les boyaux en les amenant de la longueur à l'état plissé à la longueur à l'état entièrement déployé'de 16,5 mètres en 4 à 5 secondes.
Dans ces conditions, la rupture des boyaux est de 3% ou en des. sous. Ce taux est égal ou inférieur à la rupture de boyaux de même grandeur plissée dans les mêmes conditions et que l'on a humidifié jusqu'à la même teneur en utilisant le procédé à air humide de la technique antérieure.
EXEMPLE 2
On fait une autre série d'expériences dans lesquelles on humidifia des boyaux de saucisse de Francfort de 21,50 mm de diamètre, 23-28 microns d'épaisseur et 25,2 mètres de Ion- gueur (longueur à l'état plissé 37,5 on) et on les emballe sui vant l'invention.
On emballe les boyaux plissés dans une boîte en carton paraffiné de façon qu'ils ne perdent pas d'humidité en la communiquant à la botte,
On emballe les boyaux plissés dans la boîte en cinq couches de dix tronçons, avec six feuilles de pâte absorbante \ humidifiée comme dans l'exemple précédent,qui séparent et tou- chent les tronçons de manière à leur communiquer de l'humidité,
On ferme la boîte remplie et on l'emballe dans une enveloppe imperméable en film de polyéthylène et on les conserve à 24 C .pendant 14 jours Les boyaux traités de cette façon présentent une teneur uniforme en humidité de 16%,
pratiquement sans variai tion entre les plia principaux et secondaires des boyaux plissés, ni sur la longueur de ceux-ci. Des essaie de bourrage ne mon-
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triât pratiquement aucune rupture dace les boyaux plissés*
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On a conduit 4...xp'ri.no.. dbât lesquelles on A $!f"' balle et on a humidifié 00.. o:l.-4...u. Plusieurs millier*. de tronçons de boyau cellulosique plissés Dans 44% ao&bafMêa <attt<" j?i$ncwa, on a emballé et on a humidifia des boyaux qui variaient considérablement en ce qui. concerne leur grosseur et leur longueur et les conditions d'humidification.
Dans chaque cas, on a emballé les boyaux plissée de la façon décrite ci-dessus avec les résul- tata indiqués ci-dessus,
L'un des avantagea principaux résultant de cette dis- position d'emballage est une humidification plus uniforme des boyaux plissés sur toute leur longueur et le long de la $truc- turc à plia principaux et secondaires Des boyaux que l'on a
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humidifie jusqu'à un taux d'humidité de 17 a 16% par la tochnî- que antérieure présentent souvent une variation de teneur en
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humidité attoîpant 3 à z96 entre les plia principaux et selon* daïven et une variation considérable sur la longueur du tronçon plissé.
Il peut arriver que l'humidité se distribue uniforme- ment dans le tronçon de boyau après un stockage prolongé, malt on observe des différences notables dans la teneur en humidité entre les extrémités etle milieu du tronçon après dea temps de
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stockage de 60 à 90 jour$4 Quand on humidifie à 17-18% suivant l'invention un tronçon plissé de 48 mètres (longueur à l'état plissé 1 7295 om),
on trouve que la teneur en 'humidité varie de moins de 1% sur la longueur du boyau et entre les plia prins- cipaux et secondaires ou entre l'extérieur et l'intérieur du tronçon plissé*
Une autre forme de l'invention est fondée sur le fait qu'on peut humidifier des boyaux artificiels plissés jus- qu'à une teneur prédéterminée en humidité et équilibrer leur teneur en humidité en emballant les boyaux dans une enveloppe imperméable avec suffisamment d'humidité pour donner la teneur prédéterminée dans le boyau,
et en soumettent 1 ' emballage à un
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chauffage électrique à haute fréquence avec une fréquence et une puissance suffisantes et pendant un temps suffisant pour
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amorcer et/ou effectuer un équilibrage appréciable d llhu8iAL- té à l'intérieur de l'enveloppe. 0& a déterminé que 01 lion ,ou-, met les boyaux à un chauffage 41*%rique à haute fréquence peu* dant un temps relativement court, par exemple 0#1 à 3 minutes*.
à une fréquence supérieure à 1 MHs (qui Va jusqu'à plusieurs milliers de MHs dans un appareil à hyperfréquences) les boyaux atteint rapidement une teneur en humidité qui représente d'en- viron 60 à 90% de la teneur désirée pour un boyau entièrement humidifie. Toutefois) après plusieurs heures de repos à la tem- pérature ambiante) par exemple 6 à 24 heures, on trouve que la teneur en humidité du boyau est complètement équilibrée jusqu'au niveau désiré.
Dans cette forme de réalisation de l'invention, le chauffage électrique à haute fréquence comprend aussi bien le chauffage électrique que le chauffage à hyperfréquenoe. Les deux types de chauffage agissent suivant un principe diélectrique, mais le chauffage diélectrique utilise une paire de plaques capa-
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oitives à haute fréquence tandis que le chauffage à hyperfré- quenoe utilise un tube à haute fréquence, par exemple un magné front Les fréquences que l'on peut utiliser pour le chauffage électrique à haute fréquence vont de 1 MHs à plusieurs millier de MHs.
Suivant les règlements en vigueur aux Etats-Unis
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("fédéral Communications Oommission"), les bandes de chauffage à haute fréquence sont limitées à des fréquences moyennes d'en.'-
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viron 14; 2; 41; 915; 2450; 58501 18 000 et 22 000 1II.
On peut utiliser dans le pressant procédé le chauffage diélectrique ou le chauffage à hyperfréquenoet Le chauffage est fonction de la densité de courant à haute fréquence et du temps, ' La profondeur de chauffage est fonction de la fréquence. les // fréquences supérieures produisent un chauffage en surface ou au
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voisinage de la surface.
Quand on utilise l'un ou l'autre t1P.a. /fréquences ne dépassant pas 900 MHz pénètrent profondément tan- dis que les/
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chauffage électrique à haute fréquence pour équilibrer un boyau
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plissé, on applique le tseaiteaiat un temps suffisant pouri Ob$$ air un ."1'01......, madré de la pression de vapeur 1 1 tâtée&, rieur de l'emballage infirmât on laissé' alors reposer l'emballa- et à la température ambiante pendant Plusieurs heures OU, oma pliter 1' équilibras , Sur leo figure* 13 et 14 des 4"''. on a illustré le prcoM<u< <oh4aâtiqu<!n<n't).
Un. botte 10, 00... 0.11e de la lieu- re Pl est remplie de tronçons de boyaux plissés alternant tve6 des couche# de touilles absorbant l'humidité que l'eu a huaidi- fiées dans une mesure prédéterminée comme indiqué Plus haut. On ferme la boîte 10 4t on l' tntthe hqmêtiqU42ent 4IA. Ut ea- voloppe imperméable 1', seule ou avec d'autres bottes tolouvelopm pe imperméable 1) est de préférence une pellioule appropriée dé matière plastique imperméable 4 l'eau ou à llbuaî4t$4# oome indiqué plus haute On place alori la botte h'1'8't",,,,,,., ologe dans un tour. haute fréquence 20 présentant des plaques 4idite. triquoâ de chauffage 21 reliées à une source convenable de cou- rant à haute fréquence (non représentée) On Peut aussi utiliser un tube à haute fréquence tel qu'un "'¯"1'OJ:
h Sur la figure 149 on a représenté Uns OCUPO du four chauffé électriquement par haute fréquence, troc la boite qu'il contient, te olta* éleotri- que à haute fréquence engendre dans l'appareil de chauffage est indiqué schématiquement par les pointillés 22 qui représentent
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les lignes électriques de force du champ# Les proportions exactes entre la plaque de chauffage 21 et les besoins de puissance et de fréquence de l'appareil de chauffage sont choisies suivant des principes connus
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Le ohauffage diélectrique utilise le
passage 44 OCU- rants de haute fréquence (par exemple de fréquences supérieures à 1 MHs environ) à travers la matière à chauffer. La matière à chauffer joue le rôle de milieu diélectrique dans un conden-
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acteur qui cet tond par les électrode* de - # rbrt I face$ La puissance aéeeeetire à un* 'lfT..'boa 4. 11Ç"ltn.l é donnée de la matière ou d'un constituent de là tatièrè (par exemple l'eau à équilibrer) peut tire âitemiade 414960 la '. masse, sa chaleur spécifique et le différence il température.
On calcul@ la puissance nécessaire en fonotion de la rurwwt ß. dissipée dans la a..t1'1'8 à 4b.auttel', melon la 10-..le 1 ' #*'#/ h rt.."" F # 1.41.t.:.; . et. r . t . # !Cfia Ctatti) dans laquelle 1 . y t a fréquence (88) ""', "(4 A - airs d'éliottode (oaa) AS CI a constante diélectrique de la aatièrt à ohaufftr '' ,. ## 'li:* a valeur efficace de la tension à travers la 8t:L',. \' : --/ >:til ,,"\ .\;... ":t; ?1t .J.. Mtiere /J..'' 4 ..pd...u de la matière \-'",;;',:1( ;;{:)-'.' ,,( F e Zx . (",k 4f ii '1 e w fauteur de ,p. lI., ' 'N L ;4i:"; .' ' 1.
J';;r( f'ç Pour un besoin de puissance donné . 9 Pagt déteaminért la tension do travail nécessaire 4'.,... ..1" iirtl . ' La valeur de peinte, li.41 \% doit Nte inférieure à le rigidité' diélectrique de la Matière à ob&\1t:e" de préférence t.vee un coefficient de sécurité approprié* lieu tout mtàto donné t la # fréquence utilisée dans l'appareil de ahauttop diéleotrique est choisie de ma,4ra i remplir cette 4on41ttob. z ta tension d'électrodes doit apparaître aux bornes il d'un eirouit équivalent aampaa6 d'une eâpâtité e" 0,124cl t e'w (44 14) en parallèle avec une réeletanoe de valeur !v -TTrT# (chu). 1 M > :A t':; .
Aux fréquences supérieures à 200 lut (et ,}a6qu'à ;:Y<,j,'J1 2e 000 C's ou davantage), le chauffage à haute fréquence du a x type diélectrique cet plus couramment appelé chauffage à hpa:: , .,"<t1
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fréquence. Le chaap électrique à haute fréquence est engendré par
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un tube tel qu'un manét1'on.
On peut calculer aveo Précision -'# : fn
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les besoins de puissance, les grande ! * de tube, été, selon des-
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principes connus. ,
Bien que les figures 13 et 14 montrent l'application du chauffage diélectrique ou à hyperfréquence à des boyaux sé- parés par des cloisons de pâte humidifiée comme sur les figu- res 6 et ? il est entendu que le procédé est applicable à toutes les dispositions d'emballage représentées par les figu- res 5 à 12a. En outre, le procédé est applicable à l'humidifica- tion et à l'équilibrage de l'humidité au sein de l'emballage hermétiquement clos dans lequel l'humidité est présente sous toute forme appropriée.
L'humidité peut être ajoutée à des cloi- sons de pâte comme indiqué ou bien elle peut être présente comme humidité en excès dans une partie des tronçons de boyau plissé ou comme humidité contenue dans les parois de carton ou sous toute autre forme appropriée,
Les exemples non limitatifs suivants illustrent l'appli- cation des principes de l'invention.
EXEMPLE 3
On prend des boyaux de cellulose régénérée du type utilisé pour la fabrication des saucisses de Franefort, on les plisse, on les humidifie et on les emballe suivant l'invention* Les boyaux contiennent 8 à 10% d'humidité, ils ont un diamètre de 19,5 mm et un longueur de 24 mètres (longueur à l'état plissé 33,5 cm).
On emballe les boyaux dans une boîte non perforée en utilisant des cloisons en feuilles de pâte absorbante présen- tant la consistance d'un gros papier buvardOn ajoute unifor- mément à chaque feuille de pâte absorbante suffisamment d'eau pour donner une teneur totale en humidité d'environ le* par rapport au poids total de la pâte et des tronçons plissés.On pose dix tronçons de boyau plissé de cellulose sur la feuille de pâte humidifiée et on place une feuille de pâte de la même grandeur par dessus la couche de tronçons plissés et on ajoute à la pâte la même quantité d'humidité* On répète ce processus
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jusqu'à ce que la boîte soit pleine et on ajoute une
couche su- périeure de pâte que l'on humidifie, La. botte, une fois pleine, contient cinq couches de tronçons de boyau plisse (dix tronçons par couche) et six feuilles de pâte humidifiée, On ferme alors la boîte et on l'enferme dans une en-* veloppe imperméable formée d'une pellicule de polyéthylène. On place la boîte dans un four de chauffage à hyperfréquence que l'on fait fonctionner à une fréquence de 240 MHs et à 0,8 kW pen dant 2 minutes.
On conserve alors la bonite enfermée à la tempe** rature ambiante pendant 24 heures. On retire de la boîte des tronçons individuels de boyau plisse, immédiatement après le chauffage diélectrique et au bout de 2 1/2 heures, 9 1/2 heures' et 24 heures après suppression du chauffage diélectrique.
On analyse ces tronçons pour déterminer leur taux d'humidité, par la technique de Karl Fischer, afin de trouver le pourcentage d'humidité en divers endroits du tronçon. Au bout de 2 1/2 heures de stockage, les tronçons plissés contient ' sent en moyenne 12,38% d'humidité dans: 'les plia intérieurs et'
15,33% d'humidité dans les plis extérieurs, Au bout de 9 1/2 heures de stockage, les plis intérieurs contiennent en moyenne 16,49% d'humidité et les plis extérieurs 17,69%.
Au bout de 24 heures de stockage, les plis intérieurs contiennent en moyenne' ,
18,47% d'humidité et les plis extérieurs 18,78%.
On bourre ces boyaux plissés en utilisant une émul- sien synthétique de chair qui présente la même consistance que ; les émulsions utilisées dans les usines de bourrage pour la fabrication des saucisses du commerce.
Le bourrage @ remplit les boyaux en les amenant de la longueur à l'état plissé à la longueur à l'état entièrement déployé de 24 mètres en 8 à 8 ' secondes. On bourre cinquante des tronçons sans aucune rupture,
Ce taux de rupture est inférieur à celui qu'on observe pour des boyaux de la même grosseur et de même degré de plissage que l'on a humidifées jusqu'à la mime teneur en humidité par le pro- j cédé à air humide de la technique antérieurs ou par d'autres procédés.
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ËXEMBLE i k r.. v c r 2 ..
On emballe comme dans 1 ' exemple ,Plus tu 0 bettes de boyaux plissés de cellulose régénérée dp mou "et on les soumet à un chauffage diélectrique pendant de temps de Oti à >minutes à une fréquence d'environ 87 usà avec' ur puînotabe d'entrée de7kW.
Les échantillons soumis au ahat'ra diélectrique pen- dant 3 à 5 minutes environ donnent une tension excessive de va- peur d' eau et on décide de chauffer les 'boyaux un temps plus court.
Doms les différents essaie que l'en effectue en chauffant
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di41eotriquement des boyaux dans dois récipients hermétiquement *Ion avec des touilles de pâte absorbant l'humidité, on trouve que les boyaux acquièrent une teneur initiale en humidité plus élevée lorsqu'on les chauffe un temps plue long avec une moindre puissance d'entrée* Toutefois, on observe que des boyaux chauf-
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±do pendant 2 minutes s'équilibrent au niveau 'désiré' d'humidité, par exemple 17 à 18%,
au bout de 9 à 24 heures eaviron. Dans chaque cas) on trouve que les boyaux à humidité équilibrée de cette manière présentent un taux d'humidité très uniforme avec variation inférieure à 1% d'un bout à l'autre et entre les une/portions extérieure,' et intérieure des plis des tronçons plissés. Quand on bourre ces boyaux plissés et humidifiés avec une chair à saucisses commerciale, le taux de rupture est égal ou inférieur à celui de boyaux de même grosseur et de même plis-
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sage que l' on a humidifiés à la même teneur par les techniques antérieures.
EXEMPLE
On emballe plusieurs tronçons de boyaux plissés de cellulose régénrée dans une pellicule de matière plastique en même temps qu'une feuille humidifiée de pâte absorbante. On sou-
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met alors les boyaux à un chauffage diélectrique à environ 27 )Ma avec une puissance d'entrée de 7 kW pendant t;i,i3 minute.
Au bout de 24 heures de stockage à la température ambiante, on trouve que les boyaux se sont équilibrés à une teneur pratique-
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entre les plis intérieurs et extérieur ou la long d'un tronçon
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EXEMPLE
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SMM.. .. j tr)" ...1\",; If' 1 'r w.1 .,./'tip" J.}4...'.""k,,,, . J+.....", -""'''/t1f On trait 1'1u.eu . tQ'Jl lf,;r'' 1"' 4, boyaux , de cellulose régénérée de la façon 4f4,:S.t;' aux exeaple 4 et "V" 9 ci-dessus. On place les tronçons de "boyau plissé dans les', :}:.1 boîtes avec feuilles de pite humidifiée par botte et M en- -m veloppe les boîtes dans une pellicule de polyéthylene.
On ' ":;1: " ""\ 'f;'t chauffe les boîtes pendant 0,' t 1.0 minute dans an appt t:L1 de t' chauffage diélectrique à une fréquence d'environ 87 MS* *'c :'S'¯ une puiseence d'entrée de 7 kW. On fait des expérienees dans ;- #>#$; /, 1; lesquelles on plaoe les boîtes de façon telle que les c10:1- :
1'f1' sons de pâte humidifie soient parallèles au champ électrique dt I:' l'appareil de chauffage et de façon telle que les cloisons de bzz pâte coupent le champ électrique. lies résultats dressai in41- ? quent qu'il est avantageux de placer les boîtes de manière que y1 les feuilles de pâte humidifiées coupent le champ leot 1qu,/ fait, si le champ est parallèle aux o10ison&. le procède est ....tl. applicable mais est tout à fait inefficace. # # "';#;#- 1i'YloU'PT.'\;! 17 On place dans une boîte 10 tronçons de boyau t3bxeu 4,;" plissé présentant une largeur à plat et à sec de 11.7 cm et '}.1.
L ''if"*' une longueur à l'état non plissé de 9 mètres. ef4wux couches zizi de cinq tronçons chacune. On place une couche de pâte absor- ",,,;,:'j '#-=' bante humidifiée au sommet et au tond. de la tbûtte ainsi qu len7,:' tre les couches de tronçons fibreux plissés. On ajoute a la eze pâte suffisamment d'humidité pour donner une teneur d'env1roD 0) 20% dans le boyau plissé après équilibrage. On enveloppe alors fil la boîte dans une pellicule de polyéthylène et on la soumet 4f au chauffage diélectrique à 27 J#l et 7 kW pendant 1 à 2 minu-';" # tes.
Après 24 heures de stockage. on trouve que les boyaux ont j' une teneur uniforme en humidité.\de 19|5 à 20, 5# et présentant k0 j.
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une variation inférieure à 1% d'une extrémité à l'autre ou en- tre les plis intérieurs et extérieurs des tronçons plissés.
EXEMPLE 8
Quand on introduit les tronçons plissés de 48 mètres (longueur à l'état plissé :: 72,5 cm) dans un botte, qu'on les enferme hermétiquement en recouvrant la boîte d'une pellicule de matière plastique et qu'on les chauffe diélectriquement,il se produit un équilibrage notable de la teneur en humidité. Les tronçons étant emballés hermétiquement de la façon décrite ci- dessus, on les soumet au chauffage diélectrique à une fréquence d'environ 27 MHz pendant 0,5 à 1,0 minute puis on les laisse reposer à la température ambiance pendant 24 heures. Au bout de ce temps, l'humidité est entièrement équilibrée au sein du boyau de sorte qu'il 'existe une variation de moins de 1% dans /centre du/ la teneur en hum@aité entre les extrémités et le/ tronçon.
Il n'y a pratiquement aucune variation non plus entre les plis extérieure et intérieurs du tronçon plissé. Quand on bourre cos boyaux, le taux de rupture est égal où inférieur à celai qu'on obtient avec des boyaux humidifié* par les techniques anté- rieures.
On fait un grand nombre d'essais pour déterminer la résistance à la traction longitudinale et transversal* de boyaux humilifiés par ce procédé. Bien que les'essais ne soient: pas concluants, il semble bien que les boyaux humidifiée sui- vant l'invention soient légèrement plus solides et présentent un allon ement à la rupture légèrement inférieur à celui des boyaux humidifiés par les techniques antérieures à air humide.
Le procédé est principalement utile pour les boyaux de cellulose régénérés à paroi mince mais on peut l'utiliser pour des boyaux de saucisse à paroi plus épaisse, ainsi que pour humidifier des boyaux fibreux ou des boyaux de type non cellulosique, par exemple d'alginate, d'amylose, de caséine,
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de collagène, etc.
Comme on l'a dit plus haut, le procédé est applicable à l'humidification et à l'équilibrage du taux d'hu- midité dans les enveloppes tubulaires artificielles plissées, par chauffage diélectrique ou à hyperfréquence, avec suffi- samment d'eau pour donner la teneur en humidité désirée et prédéterminée dans les boyaux plissés.
L'eau peut être présen- te dans le boyau lui-mime ou dans la botte où on l'emballe dans des cloisons absorbant l'humidité, dans des éponges ou d'autres matières absorbant ou emprisonnant l'humidité, qui ont une forme telle qu'il soit possible d'appliquer un chauffage électrique à haute fréquence pour vaporiser au moins une partie de l'eau (par exemple pour accroître notablement la tansion @e vapeur) et pour équilibrer la teneur en humidité des boyaux.
tien que l'on puisse équilibrer complètement les boyaux par une exposi- tion prolongée au chauffage diélectrique ou à hyperfréquence avec une faible puissance d'entrée, il est perférable de chauf- fer les boyaux et l'humidité un temps relativement court pour amorcer l'équilibrage et de stocke..' alors le boyau pensât plusieurs heures pour laisser l'équilibrage se parfaire* Dans la ni se en oeuvre de l'invention,
on peut faire varier considérablement la puissance d'entrée et la frequence de l'appareil de chauffage en fonction de la charge d'humilité et de l'ttat de l'humiaité (c'est-à-dire selon qu'elle est présenta sous forme d'eau libre ou combinée). Cn peut utili arr cette né- thode en vue d'une humidification complète ou en vue d'un équi- librage d'humidité dans des tronçons plissas ou de toute combi- naison d'humidification et d'équilibrage.
L'humiditication et l'équilibrage peuvent être complets mais on les amorce de préfé- rence par chauffage électrique à haute fréquence et on termine après un court stockage à la température ambiante. Il est. doc évident pour le spécialiste que dans le cadre de l'invention, on peut modifier la description ci-dessus.