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Procédé et système de chargement et de déchargement au large de bateaux-ci ternes,
La présente invention concerne un procédé et un système pour transporter un fluide au large, et, plus spécialement, elle concerne le chargement et le déchargement au large de bateaux- citernes par pipe-lines ou conduites immergées L'idée de charger et décharger des bateaux-eiternes ancrés à une certaine distance de la côte, c'est-à-dire qui ne sont amarras ni la long d'une jetée ni le long d'un quai, n'est nullement nouvelle,
mais cependant aucun moyen satisfaisant n'a été trouva pour permettre, malgré les mouvements normaux du bateau sous 2'effet du vent et de le marée, les opérations, de char- gement et de déchargement.
On a proposé, par exemple, un pilier
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d'amarrage dressa au lieu de stationnement du bateau et auquel est
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fixée une extraite d'un pipe-line ou conduite immerge, le r accer. dément avec le bateau se faisant au moyen de conduites souples qui se prêtent eux mouvements du bateau, lion seulement un tel agence* ment est incapable de tenir compte de façon convenable de la dérive
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que peut subir le bateau-citerne, étant donn' qu'il est dlfricile de supporter de grnndes longueurs de conduites souples, nuls encore le piller da.narrape risque d"tre un danger pour la navigation, En outre,
les conduites souples doivent être utilisées et emmaga- sinées pen/tant de longea période' au cours desquelles elles sont' exposées AUX intempéries. On a proposé également un système faisant
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appel à une bouro constamment amarrée et à laquelle sont raccordées des conduites noy4es, mois, dns ce cas encore, tous les déplace- ments possibles du bateau-citerne par rapport à cette boue doivent être compensas per une conduite souple et, contrairement au premier procédé décrit ci-dessus les déplacements de la bouée par rapport au fond de l'eau doivent êtrepend. /gaiement par des conduites souples.
Les.deux procédés sont des sources d'accidents et sont
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exposés à être endommagés par la tempête. #
L'emploi de grandes longueurs de conduites souples enout., ohoutes dans les deux procès qu'on vient de citer, suffit! les
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rendre impraticables, etmnt donné que de telles conduites sont' coûteuses, risquent de s'endommager en cours de manutention, et sont attaouPesch11uement par les 1ntempr1eprolonge.. En outre, lorsqu'une conduite souple éclate en cours d.Ut1l1u,t1cn, il n'est pas toujours possible d'arrêter rapidement J.' '<OOU18'll.t,:, . du pétrole transportai et les opérations de résorption du pétrole répandu peuvent être très coûteuses.
Par ailleurs, il n'est pas facile d'utiliser de façon satisfaisante des longueurs de conduites raccordées par des joints articula pour se prêter au déplacement
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globel du bateau-citeme, en raison de la distance que les tuyaux doivent couvrir, et des variations de cette distance.
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La présente invention se propose notamment de fournira;
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- un système perfectionné pour le chargement et le d4ohnr- Cernent de bateaux-citernes à une certaine distance de la c6te! - un procédé de chargement d'un batef\u-c1teme ancr,l au large) ce procéde permettant les déplacements normnux du bateau sens nécessiter de grandes longueurs de conduites souples caout* . ahout'esx >, des moyens permettant le chargement des bateaux-citernes , eu large et qui, lorsqu'ils ne sont pas en coure d'utilisation ne ' constituent pas un danger pour la navigation) - un système simple et peu coûteux permettant de charger et de décharger un bateau réservoir Ancré au large, au moyen de plusieurs pipe-lines ou conduites distinctes;
- un système de chargement d'un bateau ancre au large, supprimant les conduites souples et l'installation complexe de manutention de ces conduites; - un système permettant de charger et de décharger des bateaux-citernes ancras au large, et ne nécessitant pas l'emploi
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d'plJI1ents exposes en permanence à l'eau de mer ou devant demeurer longtemps au large;
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- un système pour charger un bateau-citerne nnor4 au large, oui, au repos, ne risque pas de s'endommager et qui, en cours d'utilisation, assure de façon efficace le transfert de liquide vers le bateau réservoir ou en provenance de ce dernier;
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- des moyens permettant de charger et d4eliorger un bateau-citerne anerx au large, et tels vue la dérive résultant du chargement ou du déchargement, ainsi que les déplacements normaux du bateau-citerne sous l'effet du vent et de la marée, puissent ' être permis pnr une flexion normale de conduites à parois rigides! - des moyens grâce auxquels les conduites aboutissant au bateau-citerne sont raccordées à l'aide d'étals qui facilitent l'ancrage du bateau;
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- un. système de chargement et de déchargement permettant à un bateau-citerne au large d'obéir à la marée ou au vent, .pendant le chargement ou le déchargement;
- un système de chargement au large permettant à' un ba-
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teau-ci terne de se déplacer autour d'un point dans la zone d'amar- rage pendant les opérations de chargement et de dchAreErl1ent'...
Il y a lieu de remarquer que, dans la présente descrip- tion dellinvent1on; l'expression "ancr4# indique que le bateau- citerne est rattacha à des bouges, des ancres, des corps morts ou piliers d'amarrage* à une certaine distance de la cote, De cette manière, on ne fait pas de différence entre les mots ancrage et amarrage. Il faut noter également que l'expression "lieu d'amar- . '
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rnge" sert à désigner les positions que peut occuper le bateau- citerne lorsqu'il est ancré, et pendant qu'on le charge ou le d- , . charge.
Afin d'établir une distinction entre des conduites souple.. conçues pour prsentr une grande flexibilité pour de faibles lon- gueurs, ou une conduite ou pipe-line formée de courtes longueurs
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raccordées, à l'aice de joints articulés,, et un pipe-line, ou une conduite, r4ali$4 en réunissant rigidement bout à bout, par exem- ple par soudage, un certain nombre de tubes métalliques uniformes, ; les conduites de ce dernier tyne seront appelles pipe-lines ou
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conduites à parois ri?ides, étant donne qu'en raison des proprié- tés intrinsèques du métal elles sont rigides en courtes longueurs mais flexibles en grandes longueurs (par rapport à leur diamètre)..
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Enfin, si l'on emploie l'expression "fond de la mer", il faut bien comprendre que le système de l'invention peut très bien être utili- s sur n'importe quelle étendue d'eau,par exemple sur une rivière ou sur un lac.
D'autres buts, avantagea et caractéristiques de la pré- sente invention ressortiront de la description qui va suivre faite en se reportant Aux dessins annexas qui représententtitre d'exemples des formes de réalisation de l'invention,et dans lesquels; - la figure 1 est une vue schématique en élévation d'un bateau-citerne ancré au large, et charge et déchargé à l'aide du système de l'invention;
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./-In figure ? est une vue schématique* en plan de ce ntat bateau-afteme, sur laquelle est indiquée les déplacmente que peut prendre le battit . la figure 3 est à plus grande échelle, une élévation
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de o8t4o avec arrachements du r..rvo1r.tlotttUf principal utilité dans le système des figure ett 2s - la figure 4 est une vue 4n bout, . plus gronde dahtlle, avec arrachement, de l'un des réservoirs flotteurs secondaires repr4sontès aux tîgures 1 et 2; 1..- la figure 5 est une vue schématique do la tuyauterie pour le pétrole et pour l'air, du système des figures 1 et 2; #la figure 6 est une <<1 Ovation 'Ch8t1u. d'une yerlAn- te de rtlal1.nt1on du système de la t1gu"1 z.;
la figure 7 est une vue en plan aahati4uu du système de la figure 6, et montre l'amplitude permise des déplacements que le bateau'citerne peut prendre;
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- la figure 3 est, à plus grande échelle, une 414v#ttion de ebt4, avec arrachements, de l'extrémité située du a6t du large, de l'ensemble forint par les conduites de pétrole et les étais de la figure 7; la figure 9 est une vue analogue à la figure 8, mais
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elle epntre l'extrémité de l'étal situé du côté du rivage; - la figure 10 est une vue en plan schématique d'un ta- teau-citerne chargé ou d6ohl\rg par un autre système conforme à l'invention; - la figure 11 est une ovation schématique du système et du bateau-citerne de la figure 10 ;
- la figure 12 est une ovation schématique analogue à la figure 11, et montre le système à l'état de repos; - la figure 13 est une vue en élévation analogue aux
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figures 11 et 1?, mais elle montre le système au moment o il est utilisa par un bateau-citerne sur le lieu d'amarrant)
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- la figure 14 est une élévation schématique analogue a la figure 11 et contre le système en utilisation lorsqu'un petit
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bateau-citerne est t\ncrt4 sur le lieu d'amarrage;
. ' .. 1ft figure X5 est une vue en perspective, à plue grande échelle, observée d'au-dessus la conduite ou pipe-line du système
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des figurée 1 14, et elle montre comment cette conduite est. ancrée au fond de l'eau à l'aide du corps mort d'amarrage; *- et la figure 16 est une vue en perspectivei à plus gran- de échelle, observe* d'au-dessus de la palette et d'une tartis de la conduite uti11sptsJdAne le système des figures 10 à .4.
Les figures 1 et ? représentent schèmatiquemait un bateau -ci terri* 10 déchargeant ou chargeant du pétrole d'un magasin ou dans ce magasin, situé sur la cote et constitué par des réser-
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voirs IP et un poste de pompage H, Plusieurs conduites parallèles 16# à parois rigides d'acier, partent du poste de pompmge,114# lon- gent le fond de la mer 17 et arrivent au lieu d'amarrage où le
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bateau-citerne 10 est amarré à l'aide de chaînes d'ancres ou de cAbles 15.
Comme cela se pratique couraient pour le chargement et le déchargement à quai des bateaux-citernes, les conduites mul- tiples 16 permettent de charger ou de décharger diverses qualités
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de pétrole à la fois, et, lorsqu'il n'y a qu' une seule qualité de pétrole, elles permettent d'effectuer le chargement ou le déchargement plus rapidement.
Dans l'exemple représenté par les figures 1 et 2, on
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fait appel a quatre conduites à pétrole 16, et des moyens sont prévus dans le poste de pompage pour effectuer les raccordements voulus et, si nécessaire pour brancher des pompes (non représen- tées) sur les diverses conduites.
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Les conduites ou pipe-lines 16 sont en eeiertrès résis- tnnt à la traction et à la corrosion, convenablement recouvert ou enduit de façon connue pour résister encore mieux à la corrosion' et 4 l'abrasion. Pour faciliter l'exposé, on peut considérer que . les conduites 16 se composent d'une partie 18 située sur la cote
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et d'une partie 19 qui attend au large, Il n'est pas n'c....1roj bien entendu, qu'il existe des raccords entre ces deux partie
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mais de tels raccords peuvent cependant être avantageux pour l'en- tretien.
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LA partie 18 des conduites 16 peut être entoaiw IOQ' fond do la Mer 17 pour diminuer les risques d'enc1#lUllA.ta "11'-- niuesp mais, ootme ce risque est improbable$ on p4fQt se eamt<sM<x' de poser les conduites sur le fond de la mer, comme %4re#mt4 la figure 1.. Toutefois la partie 19 repose 111M'fteftt SInt' le It M 4 l'eau 17 de sorte qu'on peut la soulever et 1amwra 1* 3MM<)t représent4e) comme explique cl-pres.
Un bloc d*mcr*î* m zaal constitue .un point fixe solide à la 3#cU-. dez y.<a M 1 de la conduite, et Il sert à morte lo tr4mttog de la JPt'1rUtt !? " 81tu. du *8t4 du rivage et la ¯tnt¯tir <!Mmt<M but 4%t" ,"Mt par rapport au fond de 3,xaarv et pir t'8:;rt i1L " 'pwr<ta. ,. bzz ' un bateau-citerne est enor4 au poste q!'fU\Vltl"ftP tt "a à tire raccorda ""'0 les annn.rx 16 m<e e pn4- me -jtb;4 quêtent aux figures 1 et X), 14*xtr?-ntt ee 1% :JI'I!'t'Uw. 1 large est toulty4t 44a Mûyea dbm l'i''t 1J'Rt.1d. .
*t de réservoirs sr giffl-teu IL* 1G <68 11"tq, d*r la conduite, de $,*et* '< .1.'U" ce. zhlgffl <<a(&a<au pi p.-lin. .6 ot fn""1\ tt! xg t!/Mt1lJ ipa'M' 'M 1Jt.'* !!M .'voirs de et f\t..f'U, fflr 1%o ¯fofJ\1t1r., <t!Mn! duit* ib OMmt\! ,)\11 VA iM.' %%<M&aR% ((n 1! 111;1- partie du r\4-i.f"\)\)tr pr'ëL lkë% l1'$ ::VI. 13= n o dé *,Apéohèt Ite oondyttêt te à 'lft'tU-M' 4*amt 4,;m$ < ta!' !pwMt!<e 19 ..\ très lOft, A 1* fltQN ). 'qIlt rqe4 r. e44rqe.-r In- ttti3!?.
'01 pal pp flattât 3i'1i ",rt1.tfiU.4fnrfft't \'1\1i'" 1j'i:VIF" 1T-- ; pl se cps 'e.s%'e%!.eH'ef)t1: et*m (bwt(p* 1b11'&U: ",0 Vl-^ 'Lf1li- eT tubea f¯1IPwli1 l7G IN\' V'ili'i <ï'<M!'e!L% "" U;1 v '1'¯5ü1 'K1i'V tuyaux tatqntmta t3 , t.*'<. 'aMNtïMah TÏ6 ' eonduitt et tu 4 arr !e <&e <&MT 6 141ft rehu!wé 4h %l-r4m ,e*emm#
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par exemple par soudage et les tubes 32 Qui en sont' solitaires débouchent sur le dessus ou pont 34 et sur le fond 36 de ce corps* pour protéger, dans une certaine mesure, la partie de chaque tuyau
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ascendant 78 cul fait saillie au-dessus du pont 3f6 et élément ' ' p<Mer faciliter le raccordement à la main avec ce tuyau ascendant 28,r il est ;
rêvu un plat-bord 38 qui entend vers le haut sur Il$. pourtour da pont 34 et avï est =ni de dalot$ 40 Pour 1,ÇVAOU*r 1/eau ' du poat tu certain sobye de consoles 42 facilitent la fixation du datoauHEttsme 7.2 & l'aide de chaînes 44 roodordîtu à dtaa -; sole* tcbmttq"t faon regrkiomt4et) prîmes sur le bateau-etteme " ' Utz croCtte*1 de somte 46 ftsce 1'moe & l'autre 3a' extr , mit>4o- et divers** (rcsïwiwite* 16 ottuées au large etp grgoo à une oreille caMtI snp".amr! 4&, il peMM't de suspendre 1lxtrentit6 , de la pa-rtîa- 19 ci* la oomfwtto sîtué4.# au larg*,f pnr exemple à '1 ai de d"Une, mcint 'U* & z reill 51 dilme ;Olnquo de tonforaga man fïx-<Ta;- suv 1* ffbotô 3 <± ttMWrtoir 72 A 'iror de se % : d un* i'IV. %1' 4.f11' i'Yü'1'vl 4f we oreille $6 dd'le touf merila=e d:
1*- pcpMi 5;,7 *<- e silêtmd do et e hnt pur le rutue-ter lüis JI *7 r*taw par un P-W1r 9i ou? une pl qu4 d MhwHIY61V1iYV1'YW 1%, OM peut r4gler en hau* u ce- boulloe à, 04f U ïMMpv nolstmïr 29 eSMttjM 44 1>1 on tendue de mwi'ère qu* la mwb4t* <MC p3± ? ' it Poo popport4#. feule* ' -. wem? Pgr la Cëmf du: 7''roe.'7' It la t&rtê, # 1# 0i ii ,1 ip " ' pop-tw tt: p's: du: pM: 6 oumbttos 26 plu# j<Mt4e ove #elle r t,.
6 M)Mï'at!MtM!: @mure lil tirk4t4 jwfolmee. de dhoque tuvm, ao=dem-e ;re 04 "aeXa'itt. oïtwgo dft <? i*ff# de 1# oomsutitfe l<6r cow9isp<j !dJw aî wtt wedwx rr m aws 60 à mïlg d1 Ji4± f3à #r 7xtt: fitf&BtfitvV < <u tf éWrféifti/ fi paf hul second' ctatr3 â. mou- d f$juf & i'W/ffli <w i$ #Cfl4tîite 16 r ces a:
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rati!'aEi' d'Un Jb)JnC, !0(H d* tytf *i#tf*idia/ 16Fi ifefftft
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conduite 16 peut tournerautour de !)axe A par rapport à son tuyou ascendant 28, de sorte que ce dernier demeure en principe vertical pour faciliter son raccordement avec les réservoirs du navire.,par exemple à. l'aide d'un système articulé à éléments tubulaires 63 représenté à la figure 1. Pour empêcher le tuyau ascendant de t'user dans le tube 32, on comprime dans l'extrémité supérieure de ce dernier, un anneau 64 en un matériau relativement mou, pour écarter ce tuyau ascendant du tube.
De plus, pour éviter que le joint articulé 62 ne supporte des charges trop élevées entre les coudes 60 et 61, on soude un rebord 66 sur le pourtour extérieur de chaque tuyau ascendant, juste au-dessus du niveau du pont 34, pour supporter le poids de l'accouplement 63 à élémetns tubulaires .articulas correspondant sur le pont. A cet effet, on dispose l'o- raille 51 et les tubes 32 de manière que le centre de flottation . du réservoir se trouve entre cette oreille et ces tubes, mais beaucoup plus près de l'oreille que les tubes, pour que la Majeure partie du poids des conduites 16 soit supportée par l'oreille 51.
S'il en est ainsi, lorsque le réservoir 22 flotte complètement en faisant surface, il a tendance à basculer dans le sens des aipuil-. les d'une montre (si l'on considère la figure 3) autour de l'or.il- le 51 mais il est retenu par butée des rebords 66 contre le pont 34, les tubes 28 étant par conséquent maintenus sous tension avant d'être raccordés aux systèmes de tubes articulas de chargement 63.
.Lorsque ces derniers sont raccorda, le réservoir 22 bascule légè- rement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, et le poids des tubes 63 est supporta, tout au moins en partie, par les re- borde 66.
Pour raccorder les tubes de chargement 63 aux tuyaux ascendants, on peut utiliser une potence classique 70 (figure 1) pour suspendre ces tubes 63 au-dessus du réservoir 22, de manière que lextrémité inférieure de la partie la plus basse 72 de chaque tube 63 se trouve juste au-dessus du niveau du pont du réservoir
34. On prévoit un rebord 74 (figure 3) sur la partie inférieure
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de chacune des longueurs d tubes 72 situées le plus bas, pour .,.#';. pouvoir le fixer, par exemple à l'aide de boulons à écrous rapt- ,7." des 16j sur une bride correspondante 78 prévue à l'extrémité, ,'y4j.. supérieure du tuyru ascendant P8 correspondant.
Chaque fois q #' #,' l'un des tuynux ascendants 28 n'est pas raccorda à un tube de char-
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gèrent 6le on obture son extrémité ouverte en boulonnant un 'COU* vérole (non représenté} pour cacher au pétrole de s'échapper de la conduite et à l'eau d'y entrer,
On fait flotter le réservoir 22 en y introduisant de . l'air sous pression.
Dans la forme de réalisation des figures 1 à
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5s l'air comprimé ect admis dans le réservoir Pp par une conduite 90 qui lonse l'une des conduites 16 à laquelle elle est fixée de distnnce en distnnce à l'aide de bandes 82. L'extrémité de la conduite d'air 80 située du côté du large, comprend un coude 84 articula sur un coue 85 fixé à l'extrémité inférieure d'un tuyau
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d'air ascendant 86. Le coude 85 est placé immédietement au-dessous du fond du réservoir et legêrament du côté du rivage par rapport au collier 46. Le tuyau 86 s'étend de bas en haut dans le corps ' 30 du réservoir 22 et il ost soudé au fond 36 de ce réservoir, en 38.
La distance antre le coude 84 et la bande 8? située le plus':.' loin du c3te du large, doit être telle outon obtianftè pour la conduite d'air 80 une flexibilité suffisante pour lui permettre de se prêter au pivotement normal du réservoir par rapport aux
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conduites 16 autour de la manille 60.
Le tuyau d'air ascendant 96, se termine tout près de la face inférieure du pont 3 son extrè- ; mité supérieure étant aunie d'un rebord 00 rabattu vers le, bas, -'.'.',<#, Une courte longueur de tube 92 est disposée coaxj alèsent au tuyau ' 86 et soudée par son bord | supérieur à la face inférieure du pont- 34, l'extrémité infrieur de cette lenteur de tube 9? 4tent, dans , le même plan horizontal que la lèvre inférieure du rebord 90.
.w 1 f même, un rebord 93 relevé, vers le haut, est fixé à 1jextr4zité' inférieure du tuyau 86, au-dessus du fond 36 du réservoir, 'et une courte longueur de tube 94 est soudée à la surface supérieure du fond du réservoir de manière être coaxiale au tuyau ascendant .
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86, le bord supérieur de la longueur de tube 9A tant dans le H&e plan que celui du rebord 93. Bipartis à une certaine distance au- tour du tuyau Ascendant a6, sont prét1(\utCs dans le fond du 1'#"1''' , oir, à l'intérieur du périmètre du tube 94, des trous 96 qui per- mettent à l'eau d'entrer dans le corps 30 du réservoir 22 ou d'en sortir.
Enfin, un flotteur annulaire plat 98 entoure le tuyau as- cendant 86 sur lequel il peut coulisser librement. Ce flotteur cet ,on matière plastique résistant à l'attaque de l'eau de mer et des plantes urines. Le Matériau dont est fait ce flotteur est, de
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plus, suffisamment Elastique pour constituer un joint 4tjqnche aux liquides entre le bout de tube 92 et le rebord 9fl, ou entre la bout de tube 94'et le rebord 93. par suite, lorsque le réservoir 22 repose sur le fond
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de la mer 17, ,il est pratiquement rempli par l'eau oui a pénétré" par les trous 96, en chassant l'air du réservoir par le tuyau as. cendrant 86j et la flotteur 98 est appliqué contre le bout de tube 92 et le rebord 90 pour empêcher l'eau de s'introduire dans le tuyau , ascendant 86.
Si l'on veut faire monter ce réservoir I 2;â' , surface de l'eau, on admet de l'air sous pression par la conduit*
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ao dans le tuyau ascendant 86; cet air écarte le flotteur du bout e tube 9' et du rebord 90, de sorte qu'il pénètre dans le corps 30 du réservoir 2? et en chasse l'eau par les trous 4"8011- lement Q6.
Au fur et à césure eue le niveau de l'eau dent le résfff voir 22 s'aoaisse, oe réservoir devient de plus en plus flottant et s'élève progressivement vers la surface de l'eau, le processus
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se poursuivant jusqu'à ce que le niveau de l'tau dans le réservoir s'abaisse jusqu'au bord supérieur du tube 9, et jusqu'à ce eu le flotteur 08 soit appliqué contre le bout de tube Ci, et le re- bord qat ce qui empêche le réservoir 2' de perdre une quantité importante d'air. A ce moment, le réservoir bzz est cers?!* testent flottant; et 3,axtruité des conduites ou pipe-linow 16 sita'e au large flotte avec les extrémités supérieures des tuyaux ..oend¯t8 P8 dégagées et prêtes à être raccordées su tube de cfcftrgefsent 69.
Si l'on se reporte à la figure 4 dans laquelle est re-
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présenta l'un des réservoirs-flotteurs secondaires 24 complètement flottants, on remarque que chacun des réservoirs secondaires ?A est de construction identique au réservoir principal 2?> avec cette
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seule différence qu'il ne contient aucun tuyau ascendant de pétrole, De plus, ce réservoir secondaire est réalisé, de manière classique,
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à l'aide de plaques d'acier et il tome un corps creux pcra,7,1, , pipédîque .. 100.
Comme pour le réservoir principal 220 on utilise
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un .collier de serrage 102 à la fois pour maintenir les conduites .
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16 à une certaine distance les unedes autres, et pour assurer la
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liaison entre la partie 19 des conduites et le réservoir te col-
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lier de serrage 102 se compose de mâchoires supérieure 103 et inférieure 104, fixées l'une a l'autre par deux jeux de boulons, extérieurs lo 5 et un jeu unique de boulons intérieurs 106 de manie*
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re à Maintenir les conduites 16 en place, une console tubulaire
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107 assure la jonction du fond du réservoir 108 et du collier de $arroge loa, cette console présentant un rebord marieur 109 ft 3ç au fond 108 du réservoir, par exemple au moyen de rivets 11Q/ et un rebord inférieur 112 fixé à la mtchoire supérieure 101 par les' boulons 106.
Dans 19&choire de serrage 103, un trou Central 115 concentrique à l'alésage 116 de la convole 107 constitue un passage ;ormettut à l'eau de pénétrer dans le corps 100 du réservoir et d'en sortir, et permettant un tuyau ascendant 118 pour l'air, de passer d'un raccord en T (120) de cla conduite d'air go dans le . réservoir 24, Etant donné que ce dernier est fixé fermement OU' collier de serrage 102,g il n'y a pas lieu de prévoir de joint sr" tieMl4 entre le tuyau ascendant Il$. et la conduite d'air 80.
Comme indiqué à propos du réservoir PPp le tuyau ,1, , , ,. bzz , aboutit à son extrémité supérieure, près du pont tes du réservoir .
2,, et un rebord 124 rabattu vers le bas,, est fixé cette e%tré.. al té supérieure. Le tuyau ascendant lia est entoure par un bout,,, de! tube 126, qui lui est concentrique, et qui est suspendu à la 1 surface inférieure du pont 122 du réservoir. Mais, ttu liep d'un tube Inférieur correspondant, le corps tubulaire de la console 107 se prolonge de bas en haut pour former une saillie annulaire 123 <
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Toutefois une bague ou un rebord 110 re-evé* vers le hneto est t1;
. /. au tuyau 118, au voisinage de son ,x1.Imtt,c inférieure, de façon que la face supérieure dit cette bague soit dans le méme plan que celle de la Milita 1'8, pour constituer un siège pour un flotteur annu. laire bzz qui coulisse sur le tuyau 118, L'eau est ohao#44 du ré- servoir P4 connut dent le cas du réservoir >P# avec cette seule d1rrr.nc. que l'eau provenant du corps 100 du réservoir 2L descend par la console 107 et traverse le trou 115 de la mtchoire dt fer- rage 103, Un bloc d'ancra,. 140 (rieur.. 1 et 2) ..t..1 tu sur 1< fond de l'.nu 17, soue le bateau-citerne 10, plus loin vers le large que le réservoir 22.
Uns chstne d'attache 1, relit et bloc d'ancrage 140 à une oreille 144 de la pince de serrait 46 (figure 3), L8 position du bloc 140 et la longueur de la chaîne 142 sont déterminées pour que cette chaîne ne reatreine pas les déplace- ments du réservoir 22 et des extrémités des conduites 16 titube* au large# tant eue celles-ci n'ont pas atteint leur amplitude li mite de flexion, dans un sens ou dans l'autre, comme indiqué à la figure ?. Le bloc d'ancrage 140 et la chaîne 12 ont i*?aler.8nt
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pour et^et d'epcher que le réservoir ?2 ne soit poussé vers la
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cote par le Ateau.c1trne au-delà d'une distance de aXeuritA d<< ter- minée par la flexibilité des conduites oui.pipe-lines 16. De la sorte, la bloc ut et la chaîne l,p garantissent qu'aucune partit des conduites 16 ne tloh18s' en dépassant la limite élastique.
Le bloc d'ancrage 1t.0 constitue un moyen oOMode 1 l'aide duquel une bouée de repérage 1,6 peut être ancrée par un câble 1 cette baua servant à. repérer le point d'amarrage du bateau-citerne, et à indiquer approximativement la position de l'extraite la plus
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, au large de la conduite immergée,
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Le mode de chargement et de déchargement d'un bateau"
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citerne sera décrit ci-après en se reportant aux fleuret 1 et 2 et, plus spécialement, à la figure 5, Lorsque le bateau-citerne 10
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arrive 1 Ion lieu d'amarrage avant que l'on nt procède aux opéra-
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tiona de chargement ou de déchargement, les conduites 16 et le$
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réservoirs ?? et Pi reposent sur le fond de la mer.
On ancre alors/' le bateau-citerne par des câbles 15# ou à l'aidé de bouges 4#ozar' rage (non représentées) de manière qu'il soit aonvatblarent ?lac< #par rapport à la bouée de repérage U6 Apres que le bateau.oiteme a été attaché à son poste diamarrag4 ,les opérateurs loges àexcx *.' la cabine de pompage 1r4 admettent de l'air sous pression dans la ¯ ' conduite 80, par exemple en ouvrant la vanne 1<!0 (figure 5) qui'. relie le conduite d'air 80 de la embine 14 à un réservoir doa4il 152 nui, lui -mtiit# est raccordé à un compresseur d'air 144 entraîné* par un moteur li6, Un manomètre 157 branché sur la conduite d'air- .
0, en afval de In vanne 150e permet de mesurer la pression dans .''"# cette conduite. L'eau est chasse du réservoir flotteur principal 22 et des réservoirs flotteurs secondaires 24. gaz des vitesses qui varient en fonction de la profondeur et du volume de ces r4ser b
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voirs, mais, lorsqu'un quelconque des réservoirs est plein d'air,
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ses flotteurs (98 ou 112) empêchent l'air de continuer s'chap-' per du r4servoïr) tandis que l'approvisionnement en air des autrea réservoirs se poursuit.
Lorsque tous les réservoirs se trouvent . remplis d'aire les conduites 16 prennent la position représentée 'a 'la finira 1 et, <*tant donna qu'il- ne s'échappe plus qu'une quan- titè d'air relativement faible au-delà des flotteurs 90 ou 132# o'',. peut fermer la vanne 150 et arrêter le compresseur 1<!4, D'autre'' '##,''-# part, si de l'air s'échappe de la conduite 80 ou de ses accesaol" ruse à un débit assez Important, on peut laisser la vanne 150 ou ;
verte, et on peut mettre le compresseur 154 en marche à l'aide d'un interrupteur approprié 15$ qui commande le moteur lié du ootiprotstürp On effectue alors le racoordentant des conduites- de pétrole 16 du'. ' 06te du rivage, à l'aide de vannes appropriées d'un poste dis tri*'" buteur, 160, etp on tend les chaînes 44 pour relier lé r4oorvôi.P 22 au bateau-citerne 10, corme représenta à la 1'1&ure 1 ' .-
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Une ,fois le réservoir 22 attaché, on hisse les tubes d'Accouplement 63 par dessus le bordage, et on les raccorda avec ' les tuyaux ascendants 28 après avoir retiré les plaques d'obtura- tion.
Une fois que les tubes 63 ont été raccordés au tube collec. teur du bateau, on peut commencer le chargement en pétrole du navire, ou son déchargement, Quand ce transfert est termina on débranche les tubes 63 des tuyaux ascendants 28,et on boulonne les plaques d'obturation sur les rebords 78 de ces tuyaux ascendants,
Si la vanne 150 est ouverte, on la ferme et on ouvre une vanne
162 pour vider la conduite d'air 80 dans l'atmosphère, afin de par- mettre à l'eau de pénétrer dans les réservoirs 22 et 24, et de laisser les réservoirs et les conduites 16 s'enfoncer dans l'eau.
Au cours du chargement ou du déchargement d'un bateau... citerne par le système décrit, les déplacements normaux que subit ce bateau à son poste d'amarrage, sous l'effet dos vents ou des marges., sont permis grâce à la flexion élastique des conduites d d'acier 16. On a constata qu'une conduite d'un diamètre de 15 à 25 cm et mesurant au moins 120 m du bloc d'ancrage 20 au réservoir
22, se prête à un déplacement longitudinal du bateau-citerne de 45 m dans les deux sens, et à un soulèvement par rapport au tand de la mer de 20 m, fléchie au delà de sa limite élastique.
Les figures 6 à 9 représentent un sutre système de char- gement de bateau-citerne conforme à l'invention. De nombreux élé- ments sont identiques à ceux du système décrit plus haut, et, lorsqu'il en est ainsi, ils portent le mené numéro de référence affecte de l'indice a.
Ainsi, comme plus baut, le pétrole est transporta entre un bateau 10a et une installation de stockage comprenant des réser- voirs 12a et un poste de pompage. 14a, au moyen des conduites 16a, comme représenté aux figures 6 et 7.
Les conduites 16a sont amarrées ! comme précédemment, à des blocs 20a, mais la manière dont leurs extrémités situées au large sont soulevées, est différente. Toute- fois, dans ce cas encore, on Utilise des réservoirs 22a pour ouïe ver l'extrémité des conduites 16a situées au large et pour présen-
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ter les tuyaux élévateur$ 28a (figure 8) de façon qu'on puisse les raccorder au bateau 10a, l'occultent de l'eau dans,ou hors .du ..
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flotteur ?''2!!, est commandé par de l'air comprimé et une' soupape à # flotteur,
comme décrit â propas des figures 1 à 6.
Une des différences principales entre cette variante de réalisation du système et la première forme de réalisation décrite
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réside dans la manière dont le navire 1Q,, est anora à son poste d'amarrage pendant les opérations de chargement et de déchargement. ! Afin de contrôler plus positivement les déplacements latéraux.'du .. bateau fixé à son poste d'amarrage, .on le .tire par des câbles avant
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?0O et arrière POl, contre une structure ou ensemble défais z faisant effet de pare-chocs à l'avant, et un ensemble 204 analogue.' à l'arrière. Pour simplifier la description, on supposera que les deux ensembles d'tais sont pratiquement identiques, et on ne dé- crira quel'ensemble avant 202.
Toutefois, lorsqu'on se reporte des
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eléments propres à l'ensemble pare-choosarrièree on leur donne le même numéro de référence que ceux de 194leinent avant correspondante . affecta de l'indice lift. Une autre différence entre le oysthme re- présent° aux figures 1 à 5 et celui des' figures 6 à 9,' réside dans le fait que, dans ce dernier système les conduites 16 sont spares en deux paires, à raison d'une paire pour chaque ènsemble,:Dloutres différences apparaîtront au1"' cours de la description ci-après.
'L'ensemble pare-chocs avant 202 fié compose essentielle- ment d'un bloc d'ancrage ?05 et de deux étais tubulaires pRrÎ111è"'l '' . les z()6 espacés dans le sens, latéral par des traverses ?0'1, Le bloc d'ancrage ?05 est en btori et il est fixé solidement dans le
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fond de In mer au moyen de piliers 208 pour constituer une base .., sûre pour supporter un corps cylindrique creux en acier Oq ,mnin- . tenu en place 3 l'aide de prisonniers P10 (figure 9 té corps ?09 contient deux roulements "t2nohas 211 disposas l'un au dessus de l'autre, et qui maintiennent un pivot vertical 212 qui peut tourner - autour de son axe.
Ainsi, en articulant les extrémités des étais 206 situas du côté du rivage, de manière qu'ils puissent tourner
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prr rapport à une oreille.verticale 213 â .a partie supérieure du
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,pivot 212, les étais peuvent o8c11!t autour de l'axe horizontal de l'axe 214 qui les réunit au pivot 1?, ainsi qu'autour de l'axe
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vertical de ce dernier. On remarquera que l'extrémité inférieure
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du corps tubulaire creux '09 est obturée par un couvercle P15 fixa* z l'aide de via ?16, et que le pivot Si? se trouve empêcha de se déplacer verticalement dans ce corps 209$ par un crou ?17 visa* sur son extrait/ inférieure.
Les extrémités des Hais ?3b situées du c6t<? du large sont Articulées sur un pare-chocs Pla à l'aide d'un aye horizontal ??0 qui traverse des oreilles ??9 à l'arriére du Pitre-choc$. Toutefois la surface de l'extrémité de ehaoue dtaî 206, du obt4 du large , Rune forme telle que le pare"chocs 918
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ne peut se déplacer par rapport à elle que d'un angle faible (figure 8).
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Un collier de serrage 46 (figure 8) est utt11' pour maintenir 8sRembla, à un certain 4emrtement, les 4tAis tubulaires P06 eles extrrm1 t.<s situées du c8tê du lrrge des deux conduites f 16,a# et$ au moyen d'une oreille 48.q et d'une Manille 50,gp pour y relieras étais P06 et les conduites 16A à une oreille 5! sur 1* fond du réservoir PPg. Une oreille l.4A est suspendue au collier tw6 et permet d'attacher une chnîne dnrtcrr,.:e 1 à ce collier,
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pour Maintenir, dans des limites de scurit, les déplacements de
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1'."tr1 t de l'enset'1ble POP située du ebtê du larget, la chaîne' l'.J1 °tant attachée à un bloc d'ancrage .,0 (figure 6). ehi*cun, , des deux tuyaux ascendants 28 de l'ensamble POP est réuni par une articulation 6'A, montre entre des coudes 60A et 6lì à l'lxtrlrn1.
#t*5 de la conduite correspondante x6g, les tuyaux ascendants S8 , traversant le flotteur P2, et se terminant par un rebord ou une
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bride de raccordement* comme dans le cas de la première forme de réalisation,
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Le tuyau ascendant pour l'air 86jL pnt1" dans le corps du flotteur ?? en partent d'un Joint articula par lequel il est
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raccordé à l'extrémité du côté du large de la canalisation d'air
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80< comme dans la première tome de réalisation du système, m11 un raccord ?23, en T,est lns0ré dans la conduite Surtout prêt de
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collier 8? le plus extérieur, du a8t, du rivage, tln' ââuite,adai, de dérivation ??4 attend du raccord 223 à la pince 46 oh elle. "# e ¯.
divise et continua jusque l'extrémité du cote du large de chaque -" ±tal tubulaire ?06, pour être reliée au moyen d'un raecord ?26 n siège 2?3 de clapet à bille vissé dans la paroi de I$ètai P06t On ' rema rouera (figura 8) que le siège de clapet 228 est orienta vers le'-bas à partir de la partie supérieure de la paroi de 1#4tei et., comprend des doigts 230 pour guider une bille flottante 232 verti- calement par rapport au siège 228. La bille 232 est en une Matière.
41astioue durable, ou recouverte d'une telle matière, et elle est d'une densité notaolement plus faible que l'eau de mer.
Un oinpet bille identique est loge ê l'extrémité du catd du rivage%'.% chfque étai tubulaire z (figure' 9) et,y dana, ,
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ce cas encore, la bille se déplace par rapport à un siège tubu-
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lai-re ?36 pourvu de doigts ?38 pour guider la bille 240 verticale-' niant. Toutefois) la bille du c5te du rivage est Montre du coté le plus bas de le paroi re l'étai# at, son siège 2'<6 est orienté1 vers le haut de sorte que, lorscue la bille Pat se soulevé de son- . siège, elle m'nrgo un passage entre l'intérieur- de l'étal P06 et la mer. Un tamis de filtrage ?42 est logé dans l'alésage ?4A du j3ige de clapet ,"16, pour empêcher l'entrée de corps solides dans" l'tai creux ?06. "'#"'%"'' Iquiper.ent à terre, pour cette seconde forme de resli"" sption du système peut être en principe Identique à celui1 repr- '/' >*" sent ? à la figure 5.
Ainsi, lorsque de l'air comprimé ost envoya'.. pr lm conduite 80 à chaoue paire de canalisation de ptrol'Ï8/ il pénètre dans les réservoirs-flotteurs 22n et epalenont dans le #- clapet à bille du e8t6 du large de chaque 4taî tubulaire ?p6 @des ensembles' 20? et ?0/t, Par suite, l'eau est chasse des réservoirs'.. 221 et des ensembles ?0? et 704., les fuites'd'air des réservoirs \.
' " p2 4tent e-iptelaées par leur flotteur décrit pradt et rie- v présenté à la figure 3 tandis que les fuites d'air des /'tais sont empêchées par les clapets à bille du obté du rivage; Qui ,se* ferment
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lorsqu'il n'y a plus d'eau dans ces étais, lorsque les réservai?*
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et le* /tais sont remplis d'aire ils prennent la position indiquée à la figure 6, et on peut alors tirer le bateau contre les pare
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chocs 218 et 200J3.
Corne précéderont, le bateau-citerne est dj vers' son poste d'amarrage grace aux bouges de repérage 146,ma1't . dans ce cas,' il est tir fermement contre les pare-chocs '18 et Pl8b, grtae aux cibles d1 amarra ce 200 et 201 qui sont croire et attachas roepeot1veont aux blocs d'ancrage 205,k et 205p ,c 11a1. avec ces blocs étant assurée par d'autres bouges de repérage 254,
Bien que le second système décrit ne laisse pas au bateau citerne 10a la mme possibilité de déplacement que le premier système, étant donné que des cibles d'amarrage 200 et 201 le fixent plus positivement son poste d'amarrage, le flexion et le pivoter
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ment des ensembles d'états 202 et!) (oo:,;1e indiqua en p01nt:
, à la figure 7), ainsi que le mou normal des cibles et leur allongement, permettent au bateau-oiterne un déplacement longitudinal
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d'environ 21 à 7 m, dans les deux sens. Lorsque le batee-o1t..: et les étais se déplacent, les conduites de pétrole 16jl accompsw nent librement ce déplacement en fléchissant dans le sens longitu- dinal, comme représenta en pointillé à la figure 7, si l'on effet tue le chargement et le déchargement d'un bateau-citerne plus fer- mement amarré, on peut supprimer le déplacement horizontal des étais par rapport aux blocs d'ancrage 205 et 205b, en fixant les.' pivots 212 dans le béton des blocs. Dans un tel cas,
une fois que les câbles 200 et 201 ont tiré le bateau-citerne tout contre le$ ensembles d'états 202 et 204, le déplacement principal longitudinal est accompagna du fléchissement des étais tubulaires 206 sur leur longueur.
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Ainsi, dans les deusyst&mes, les déplacements normaux du bateau-citerne à son poste d'amarrage, sont permis par les condui- tes à paroi rigide, sans qu'il soit nécessaire d'utiliser des Ion* peurs de tuyaux souples obligatoirement exposés aux intempéries ou à l'eau de mer pendant longtemps. D'autre part, aucun des deux
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,,4"otèmes ne nécessite l'emploi de raccords de conduites situées
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en permanence à la surface de l'eau ou sur des piliers fixés au fond de l'eau, et, par suite, aucun de ces deux systèmes, ne constitue un danger pour la navigation, et n'est, en cas de mauvais temps;
, exposé à être endommagé, les conduites "et les réservoirs reposant au fond de la mer.
Dans chacune des deux forces de réalisation décrites ci- dessus, on peut assurer le raccordement entre les tuyaux ascendants et le bateau-citerne au moyen d'un appareil de manutention à charge liquide 250 (figures 6 et 7) tel que décrit dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique N 2.980.150 en date du 18 avril 1951 et qui. peut être monté sur une péniche 252.
Pans la mesure où le temps le permet, cette péniche peut demeurer en position eonvennble pour per- mettre à l'appareil de transfert de rester raccord * aux conduites 16 et 16a, et, lorsqu'il y a une menace de mauvais temps, on peut débrancher l'appareil des tuyaux ascendants, ce qui permet d'immer- ger les tuyauteries comme décrit plus haut, et Egalement de remor- quer en lieu sûr la péniche 252 avec l'appareil de manutention, - Toutefois, si, en raison des caractéristiques d'une installation particulière Quelconque, il n'est pas avantageux d'utiliser une telle péniche, on peut faire appel à d'autres moyens d'effectuer le raccordement des tuyaux ascendants avec le bateau-citerne, comme,
pnr exemple aux tubes décrits ci-dessus manutentionnas au moyen des dispositifs de levage du bateau.
On remarquera que les divers systèmes de chargement au large décrits à propos des figures 1 à 9, fontappel à Une conduite ou un pipe-line immergé s'étendant en travers du lieu d'amarrage, et que, par suite, les déplacements du bateau-citerra vers le .' large peuvent être limités par la conduite elle-même, alors que d'autres déplacements du bateau-citerne peuvent être permis par la flexion de la conduite et être limitas par d'autres moyens, '..
La présente invention envisage toutefois d'autres systèmes de char. gement au large, dans lesquels la conduite immergée s'étend lingi- tudinalerent à partir du lieu d'amarrage, et supporte les forces ' d'amarrage dans une mesure plus grande ou plus faible que dans les
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cas péo4demment décrits, A titre d'exemple de ces tomes de r4ali.
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Mtïon, on ri représentai aux figures 10 à .6 une autre forme de
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réalisation*
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tes figures 10 et 11 représentent un bateau-citerne 31o à son poète d'amarrage 111 (indiqué en traits mixtes à 1< figure 10) tel oulil apparaîtrait pendant le chargement ou le doh8r. du pétrole, par exemple, ou moyen d'une conduite unique 11P (le rivage n'est pas reprisent*}. A une certaine distance, du este du rivage, de l'extrémité côté proue 13 du lieu d'$aon' !e '7.t Il conduite z est fixée fermement eu fond de la mer bzz au moyen d'un bloc d'Encrée 316 en béton, et de corps morts ou de bloo.' ,1.
.d'ancrage auxiliaires ilfl. On cible dtuarrage z19 Axattceh en permanence par .on extrémité du oit*5 du rivago, au bloc d' ancrait 3.6, et il se dirige vers le lieu d'amarrage 311 pour être relié à un treuil OO du bateau-citerne. Le ogble ?19 apporte, eu Moyen de deux câbles de suspension T?? et 3?, 1 partie de la conduite ' "! i 0 î,4 112 comprise entre le bateau-citerne ils et le bloc c4 .l'nor, ,:.f2:1q En plus des chables de suspension 3?? et 3 une drosse 1?/. et gn cb1e de suspension 3?bu Rident à supporter 16 poids de la conduite . Toutefois, cette drosse 3?4 peut glisser le long de le 06 duite il?, et le câble de support 3?6 est relié tndpendammat un autre treuil 328.
Le. conduite ou pipe-line bzz à son extrait' du o8t4 du large$ se termine pr une pièce 330 en forme de palette cul, a la figure 11, a cta soulevée du fond de la mer 3U par un obrle 112 de ehaoue a6t du bateau z pour 8'aplfer fermement montre f
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. le tond de la coque du bateau, Deux conduites de dérivation, reprit!
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.senties en pointill à la figure 1Q, font partie de la structure de palette 130, et chacune d'elles s'étend latéralement à partir de l'extrémité du côt4 du large de la conduite 1?, pour se raccord der A un bras de chargement 336 à joint articula, Qui ,.-'tend de bas en haut le long du c6t correspondent du bateau-octerne et qui est raccordé à une extrémité dé conduite 138, k bord du bateau, Lo palette 110 et les conduites de dérivation 334, ainsi eue la mpniei ,
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dont on les soulève pour les mettre en place, seront .d:r11..'e -;,;, , façon dpte111e en se rapportant à l t1r.ur. 16..' ' . , , #. *',\ Comme on le montre clairement sur la. figure 10, le bateau citerne 110 est encré à son poste d'amarrage 111 aumoyen de l'Uni-, que câble de proue 31o et de deux <:
A'b1es de poupe 340. le câble '## ? ' de proue 19 <*tant attacha au bloc d'ancrage 316, oomm. ,.l1quC , plus haut, et les ciblée de poupe tao 4t&nt attachés à des bougea d'amarrage 342 distinctes disposées de part et d'autre de l'extra mité 343 côté poupe du poste d'amarrage 311, Dans des* condition. normales, on dispose d'un mou plus que suffisant dans les câbles d'amarrage pour permettre les déplacements du bateau -ci terne nous
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l'effet de la m,%rée et, pfr suite, ce dernier peut faire des em- bardées entre des limites indiquées en traita mixtes à la figure 10.
Le poste d'amarrage 311 est agence pour faire face au vent ou
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au coorant marin dominants, de manière à maintenir a une valeur minimum l'effort de traction sur les cables de poupe 40, et A maintenir le câble 3l9et la conduite 31P tendus. Il y n lieu de remarquer que les expressions "du côté, du rivage* et "du côté du large* utilisées ici ont un sens général, et peuvent ne pas être
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utilisées avec leur sens précis ?i le vnt ou le courant do:inrnt a une direction presque parallèle au rivage.
Les figures 12 et 13 représentent respectivement le
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système au repos, et en etet d'utilisation quand les mesures inl ' ttales de préparation ont t prises. Dpns les deux cas, .les seules parties de l'appareillage qui ne sont pas immergées sont les bougea de repérage. Celles-ci comprennent une boue de proue 344, six bougea de palette 346 fdont trois seulement sont visibles sur le
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figures1) et deux bouges de poupe 942'.ut délimitent le lieu d'amnr- rage 311 du bpteau-otterne et fournissent des moyens permettant de soulever les cibles 319 et 33? et de le raccorder.au bateau 310.
Les bougea de repérage n'ont pas été représentées sur les fleures, 10 et 11, pour plus de clarté. La bouée de proue 344 est relire par un câble 348 au câble de proue 319, de sorte qu'on peut poule-'
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ver on etrJm1t libre du fond de la mer 314 et l'attacher .un
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câble de proue 350 du navire au moyen d'un raccord à Manille 3? fix4 de façon permanente au câble de proue 3.a. De afoe, un autre câble de proue 164 prt de la bouée de proue 344 pour aboutir à l'extrémité libre du câble de suspension ??6 de immigre à pouvoir hisser ce câble en surface et à le raccorder, par lamas111. 36 ril5pos(<e à son etrm1tt, à un autre câble de proue à du bateau- citerne.
Si l'on se reporte ftu!'1,tUres 10 et 11, on remarque que le câble de proue 3';0 est relie au treuil de proue 'aa0, alors que le câble de proue 353 est relie au second treuil de proue 328, zona l'exemple conqOer4, on utilisa six bouges de palette 3,4 parce que chaque cible de palette 33? est fix4 en trois points au bateau 310, chaque extrmit de chacun de ces câbles z étant raccordée
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par une manille 360 à un câble de boue 362 de faible longueur,
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..grâce auquel elle est rattachée à la (bou'<e d'angle 346 correspondant
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te, tandis que le milieu de chaque cflble 33P est reli par une manille 364 un cble de bouée 66 rattachee à la boue centrale 346 correspond m te.
De la sorte, sur chaque côté du bateau-citerne on peut relier un câble 360 de l'avant du bateau à 1Jn111e "v nt
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160; et un ogble 70 de l'arrière du bateau à une manille de poue '460,de sorte nue l'ensemble 330 peut être soulevé par des treuils latrux I?P et 174 (roprésent4o à la figure 10 seulement.
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Pour l'amarrage du bateau-citerne, on dirige ce dernier
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entre les bouges de poupe 142, en direction de le boue de proue 44, de manière Au)il pusse entre les grôunem lAtprRuX de bougea de rep4l'age 3/6 0n d4ruule du bateau les coulée de proue Imo et 148 de façon rtue, en hissant les ciblée 3/8 et 314 de la bout** de proue, on puisse le$ rattacher aur manilles 15P et 106, comme rie- prsont. Pn même temps, on déroule du bateau les ciblée 140 4 pou- pe et on les fixe aux bougea 3,P de poupe, pour onplcher le bêtevu-citerne de se déplacer d'une manière n,rAc'bl. pendant qu'on établit les liaisons avec les palettes.
PU1D, on rl.tt-ch. les cibles avant et arrière 368 et 370, de chnque e8t4 du bftrrsu aux manilles correspondantes 60, tandis qu'on rattache neutre c&ble du bateau (non représenté) à la manille 36t, ce dernier cibla
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étant tire Après rattachement, tandis qu'on déroule simultanément
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les autres câbles. Comme expliqua ci-après, chaque 0ll'01e ,11' est re- li aux Milles du côté, correspondant de la palette de telle manibre qu'il puisse .coulisser par rapport à celle-ci.
Toutefois, lorsque la manille centrale 364 a été soulevé jusqu'au niveau du pont,on la fait passer sur une bitte de pont 376 de manière qu'elle puisse supporter partiellement le poids de l'ensemble de la palette 330, bien que, à ce stade, la palette 330 repose encore au fond. de
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1'eAU étant donne nue les cibles lRt4rmux 368 et 370 ont été dérou- les tandis qu'on soulevait la manille '6.
Une foie la manille open- trale 164 fixée à la bitte 376, on peut tirer sur les câblée laté rayx 368 et 370 de chaque côté du bateau pour soulever l'Jn8eble 10 jusqu'à ce qu'il soit appliqua contre la coque du bteu.!nt1n après que la palette 330 a été soulevée, on hâle lea câbles de proue 350 et 358 pour assurer le Maintien de la conduite 313, comme
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expliqué précédemment à propos de la figure 11.
On peut alors ef- fectuer le raccordement avec la conduite 312 en soulevant le bras du chargement 336, de chaque cité du bateau-citerne, et en le fixant
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au raccord 338 correspondant bord du bateau, comme indiqua plus haut,
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La drosse 32Ai?lisse le long de la conduite 31P et vient d'elle même au repos lorsque le câble 368 est hâlé. Toutefois, si , le bateau-citerne est petit, la drosse 324 a tendance à glisser le, long de la conduite 312 jusqu'à une position assez voisine de l'en- semble 330 et éloignée du câble de suspension 323.
ce qui risque- . rait de laisser une grnnde longueur de conduite -non soutenue. Pour supprimer ce risque, un collier de bute 375 est fixé à l'extérieur
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de la conduite 31a en U41 point appropria entre la palette z7 et le câble de suspension 38'3, ce" qui empêche la drosse 324 de glisser, trop loin en arrière. Cette situation est représentée à la figure, 14 lui représente un petit bateau-citerne 310 son poste d'amar- rage 343, et montre en pointillés la position que pourrait prendre '
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la drosse en IPeosence de la bute 375.
Bien entendu, le petit bu- tenu-citez,ne 310 est beaucoup plus Etroit que le grand bateau 'la,
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et 1ft palette 3O attend transversalement bien tu delà de choom des obtés de ce petit battu; mais cela ne l'nt pot# de fpqm nota.. bl In mise en pl*co de la p*lette 330# ni l'amarrage du bateau, Que le bateau citerne # desservir soit grand ou petit$ les brut orticulds de chtirre-Aent 336 Ront 4t<,11(. de leur position norel (fleur*$ lp# 1) et 16) et on les soulève de manière que l'exuf- mité libre de chacun (S'eux pulsa* être raccorda au battra* co-."'\8 exnlin,u4 Plus haut. La comparaison des bras de chargeât* t reprf- sont4s Pux tipures 11 et 14$ nontre ola1r4I!P.ent qu'ils peuvent etadanter à divers.. dimensions de bateaux.
On a décrit en se rapportant aux figure% 10 t 11., 1. principe et le fonctionnement du système dit l'invention. en d'ortn c1.8prl.. en ne reportât t la fi tare 15 les d'taiit de Iw 'zAxw dont le conduite 11? et le câble 319 ton4* Nxl... bloc d'.......
316> et, en se reportant à la figure 16 on décrira les dltatl8 de l'ensemble de palette 110* La fljnjre 150 la partie de lu consulte 317 entrer le bloc d'Mcre?e "U6 et l'ensemble 330 a un <!i HAn'<t bmmemç plxe grand que la parti* de cette conduite <"<!i et tiouv *a ebtf # rjvoqgeo tant donne que la l"rcm1ltre parti* e ï>r ed an m+tûamm flottante 373 disposée autour du tuyau Wt e\8C de Ue 44 pour augmenter la rtCat '.1\C' globale et la flot.ta"1! tf 4 In arts. duit* 31>6 on peut comble? l'espèce compris eU. le tn 1-W" l'enveloppe 111 à l'aide d'un tMtriwa cellu1dn de h1 C8u1.- t4 ou, comme r'opresont4 à la figure 15, on p t le Id.....s..... l'obture!' à son extremit4 avsnt o"r une plèct tNM8t.- ... um- dêe à la fois au tuyau 3" et à 3tonv lQ;
>f* yr C mute m I e ,''19 sur l'txtlr1..ur de l'."GoPP' an <vo)tat i tt # 2* )s< Ift9, pour constituer une bute* ripidt pour n oouter de 8Cft....- ' eeux pièce* et collier 180 ta% blom4 pir tes beams "*si - il \ t'I8nt... la partit intérieure 4...... de me 44= !)9W<ttoj, trou 3M dent lUl fIt '<t<<' m 0 de 1* emgno *mu Il*-et traverse 11.Ment un anntttt 384S ft'ttal lie 1*m Pm c Ons un arceau 186 aw4' , 1# race up4rtm lu dw M 5 da mucm-
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go 516.
A l'anneau 385 est également fixé1 un étrier 3es dont un. axe 389 traverse un oeil ,\ 0 du câble dfuarrage de proue 3loo " ' il est par conséquent évident que$ lorsque le bRteau4 citerne 110 est reli4 à la conduite 112 comme il vient dbbtre ex* pliqu4, & toute tendance de ce bateau à .'4oftrt.r du bloc 4.ftncr. te ,\16,"opro.ent les forces de tension dans la conduite. 31% et , cens le câble de proue 119..Bnb1 tufllllement obest la conduite '1'," plutôt que In esble de proue 919g qut supporte la majeure partie des fortes étant donné que le rôle tommtiol de ce câble est de apporter le poids de la conduite 312, L'ensable de palette 330 repr4genté b la figure 16 est' rIaIt" en ment des Illr.1ent. tubulaires d'acier dont chacun est, rméo tMKe pour que l'erni n'r pinbtre pas, et pour aufmenter atati 14t flottubïîit de 1" ensemble.
Cet ensemble comprend ...en- U..l1Mdt un. <Mn)tctMre trnnsverscle vent 19P et une structure 1mQttn'evHl4t m.r. 94 ywaiee pnr un croisillon 196. Stant donne* qu* ce. de= structures sont pratiquement Identiques,, on n'a re- frtwmtf m entier rue la structure transversale, avtnt, t.on d <Mlï'w 0 deux traverses en utilisent les mêmes numéros de têt4ron.0 pour les 11Jinm. correspcndmts.
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LJJ.,lop,.. ou 1:"10' 371 de le conduite 3l? est fixez obt4ou tara-verre 7 et 904. m a1en de deux "liment' 'ou rsecordi # " e:1t l# tromerfff 9 2o fltu<!l Alestent par l'enveloppe tixê,$, à Ott rmcoett P" exiaple par endure, Les 11Atent. 998 et 30 sont mou- 10r ao f'=esv et Ht trod ftx4a 1,.. lloutre par leur point . le pb1. k.... ou 1:111- il sont confomlf en un He tn. ID1., qui ' f ' 51 #oar v*r&è !e lowfîtusîîfMïle, # la forme d'un trover- pr pot Mort aMM.jMye' orna amotituxo P8" tr01..cl-'lJtnt. tubu- leres #.#t pmrgllbl*o et tio"o$o tran'..1'..lfttnt, . Avoir - I.rAmGt. &'11.' 02, va I1hM' .,.ri'1'. 404 et un 41mont in4.
Pte= hS't:i. 40e encans te ces lisent* prinelpmx se compose 40 C O# Jf.A'"1f (u4* maitté Mfôor4 ut me moitié tribord) situées dans Lap miner #.s# 'VI'1 MJ, indicées par y<9yt tu plm hori2pnt l, d: !!!<! <M'ce'as& pw les douille ex <neoo< ftm*r*v$M% 'i*µ
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éléments 398 et 400, dans lesquelles ces moitiés d#dlê4intr sont fixées. De la. sorte, chacune des traverse est en forme de V de manière à pouvoir mieux venir au contact ou mieux épouser la forma de la coque du bateau.
Chaque élément de traverse principale 402, 404 et 406
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est fixée à lodlement correspondant au moyen des pièces 398 et 400 et par l'enveloppe 373 fixée à ces pièces, au moyen des tiges de
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renforcement b,d8, ,43Q et 4l? qui relient respectivement les élément* 40? et 404, 402 et 406 et 404 et 406, et, enfin, par deux nlaques triangulaires d'xtrrmit6 de tribord 414, 415 et deux plaques triangulaires d'extrémité de bâbord 416, 417.
La plaque terminale intérieure de chaque paire 414, 416 est soudée à ses sommets aux extraites extérieures des traverses
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principales et, de la sorte, elle réunit ri '1deMent ces lenta les uns aux autres, D'autre part, le plaque terminale extérieure de chaoue paire 415, 417 est disposée parallèlement à la plaque intérieure correspondante mais elle en est Maintenue écartée par trois tiges mettes 418 sur lesquelles sont visses des Perçus 42(le-
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Comme signal!* plus haut, lp structure de palette 1%0,âst soulev'e du tond de la mer 314 pour venir au contact de la coque. du bateau citerne au moyen des cibles 332 qui coulissent chacun des coins de cette structure.
A cette fin, une poulie 422, disposés entre les deux plaques terminales triangulaires de chaque pair (414, 415 et 416, 417) de chacune des traverses 392 et 304,peut tourner les deux tiges 418 situées dans le prolongement de l'élé- ment 402 pour la traverse 392, et les deux tires 418 situées dans
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le prolongement de 1$41e-mont 401. de la traverse 394. 1nI1,com. reprsent à In figure li, chacun des cibles 332 passe nous les deux poulies 44?* du obt4 de l'ensempl. 330 qui lui correspond, '1 et permet de soulever l'ensemble corme expliqué plus haut,
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La figure 16 représente aussi plus clft1r.,;utnt 1#11'1 coin- duites de dérivation 334 et les bras de chargeaient 336.
Ces con- duites de.dérivation 334 s'étendent latéralement de la partie de
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la conduite 31p située entre les pièces 3cS et 4?0 t elles trp-
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versent l'enveloppe 373 et se raccordent à la conduite à pétrole
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377. Dans la forme de réalisation représentée, il n'est'pr'd. conduites de derivption 334 que pour la traverse avant 39? t et il n'en est pas prévu dans la traverse arrière 394.
Chacune de ces conduites de dérivation s'étend à l'exté- rieur dans la paire correspondante de plaques terminale$ (414-415' ou 416-417) à laquelle elle est soudée, et elle se termine par un
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joint articula 4?6 qui peimet de l'ensemble de chaque bras de ' ' chargement 336 de pivoter en un seul ensemble autour de l'axe de la' conduite de dérivation correspondante..
Chacun des bras de chargement 336 comprend .essentielle-
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ment un tuyeu inférieur 4?8, relativement long.. un êl*n en t inter- médiaire 450, plus court, et un lment supérieur 452 d'une lon- gueur à peu prés égale à la différence des longueurs des lents inférieur et intermédiaire. On soude un coude 454 à l'extrémité
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inférieure de Itèlment inférieur 4M et on le relie, par une articulption, à un autre coude 456, 1u1-M6me raccordé par arttoule- tion à la conduite de dérivation 334 au moyen du joint articula 426.
De même, à l'extrémité supérieure de l'élément 428, est soud,
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le coude 458 raccordé par articulation à un coutre 460 Qu , st ' #'-'. lui-même articulé sur un coude 46? soudé à l'extrémité Inférieurs de
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1,'l.ent intermédiaire 450. Un coude 464 est soudé à l'extrémité supérieure de leldment intermédiaire 410 et il est articula sur ' le coude 46*5 Mud l'extrémité inférieure de 11414ment supérieur 452. Enfin, une pièce terminale ou raccord 466 coiffe l'extrémité
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libe de chaque bras de chargement 336, de sorte que, 10r80u'11" n'est pas utilisa, le bras est protégé contre l'entrée de l'eau' et que, lorsou'il fonctionne, on peut le raccorder au dispositif correspondant situé sur le pont.
Lorsque l'un ou l'autre des bras de chargement 336 est au repos, il est replié sur lui-même et retenu dans une console 468, en forme de crochet, soudée à la plaque terminale extérieure
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415 ou 417, du côté correspondant de lx structure 194. à l'dtat replia, le raccord terminal 466 de- chaque bras de chargement 336
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. cet accroché sur la tige 41,8 qui est en alimentent avec 1# traver- se 404'# et Il se tient du cote correspondant de la traverse avant ?92.
Corame signala plu hpuolorsque les bras de chargement 1'%6 sont en court dutilisation (figures 11 et 14)j, ils attendent vers le haut jusqu'au pont du bateau -ci terne, les tuyaux inférieur et Intermédiaire 9 et A'!0 permettant d'effectuer un r'plage .belon les dinon.nions diverse des bateauxaitsrnaa, rusri bien en longueur ou en hauteur) tandis que le tuyau supérieur ±4? pénètre bord au-deasua du pont, pour permettre de raccorder oom.odment le bras de chargent .aux pièces terminales des conduites du bateau .citerne,
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Il va de soi que le présente invention nba ate décrite ci-dessus qu'à titre d'exemple explicatif,
et qu'on peut apporter aux formes de réalisation décrites et représentées des modifica- tions diverses.Evidentes pour les spécialistes et sens, par con- tient, sortir du cadre de l'invention.
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p E fi u M E.
A procédé1 pour relier, par des conduites de transfert de liquide, la côte à un bateau-citerne ou Autre ancré au large, plus spécialement, pouf charger et décharger des bateaux-citernes par conduites immergées, caractérisé par les points suivant ,.
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s(parement ou en toutes coreoinaisons;
1,- te proc<<d<< consiste à soulever une extrkité d'une conduite immergée, à parois rigides, pour 3s:r,ener près du bareau, tout en laissant cette consulte fléchir élesti-uement, à fixer cette extrm3t au bateau de manière qu'elle participe a ses mouvements au mouillage, la conduite continuant à fléchir lastiuement pour établir le raccordement de la dite extrémité avec le bateau.
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2.- On limite Ibampliti2de des déplacements du bfteau au mouillage pour empêcher la conduite de fléchir au-delà de la
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limite 4lastlc.ue du Matériau dont elle est faite,
3.- On dépose sur le fond de 1$eau une confit* à parois rigides qui attend à partir du lieu d'amarrage du bateau!! on fixe
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pu fond de l'eau l'extrémité de cette conduite .n(a7,dt' lieu : d'.fnarrnr et oh raccorde la dits extrait* à un poste de stockage du licuide à transférer situ 4 sur la a8ta;
on soulevé l'extrémité de la conduite, qui est 1A plus rapprochée du lieu d'amarrage* \\ jusqu'au niveau c'e Ilenup au moyen d'éléments flottants r4 l*blesj
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on raccorde cette dernière extrait** de la conduite aux conduite
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bord du bateau-citerne. ce raccordement ittant effectua de aire que cette extrmit de la conduite participe aux déplacement nor* mnux du batenu-ci terne, ' <1.'. On fixe l'extrémité de la conduite à la coque du
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gâteau citerne.
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4." On "usure la tonte en! surface de I#extr Amitt& de la conduite voisine du bateau, , an le rendant flottante, et on donne à cette conduite une loneueùr sufflomnte pour qu'elle participe aux mouvements du bateau-cîtcme sans dépasser la limite élastique de la mrt3re qui In constitue.
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6.- On laisse libre de toute contrainte la conduite
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parois rigides, entre le lieu de ntouilinge du bateau et un bloc
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d'ancrage situe entre ce lieu de mouillage et un poste de stockage
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sur la cote.
7.- On fixe l'extrémité de la conduite qui est du ette,' du large , un réservoir flotteur j on la soulave au niveau de l'eau en reràpll8?flnt d'nir ce réservoir, et un l'attache au fond de l'eau pour empêcher la conduite cie d4pocser se limite t4lnotictue, 8,- On fl;;e 1'extrm.tE de la conduite qui est u obte. cu large, à une structure en forme de palette; on relie les engins de levage du ba4te?.u k cette structure pour soulever la conduite, et on fixe cette structure solidemant è la coque du bateau.
9,- On installe sur un cbtf du lieu de mouillage du
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bateau, et dnns l'enu, un ensemble d'états amortisseur? de choc ,
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on nrticule l'extrémité de cet etai la plu| eloienee du lieu de :^,oax2le, sur un bloc fixe au fond de l'eau, de Manière ue l'au-' tre fftrrait de l'Atri puisse se déplacer librement entre une position immergée, dans laquelle elle repose au fond de l'esu et '' tint* .nr.n1 .l f1 , m, rttsanen. dans laquelle elle est remgnt a
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à la surface de l'eau pour servir de pare-chocs au bateau-citerne.
10. On rend flottante l'extrémité de l'étai de façon qu'elle se soulève et occupe la position dans laquelle elle sert d'amortisseur; on amarre le bateau-citerne du même côté du lieu de mouillage que l'étai amortisseur, pour appliquer ce bateau-citer- -ne contre cet étai,
11.- on installe, saur un côté du lieu de mouillage, et dans l'eau, deux étaisamortisseurs;
on articule l'extrémité de chaque étai du côté du rivage sur un bloc fixé au fond' de l'eau; on rattache un réservoir-flotteur à chaque étai,au voisinage de son autre extrémité; on fixe une conduite à parois rigides à l'un de ces étais;
on fait monter en surface l'extrémité de chaque étai en envoyant de l'air sous pression dans le réservoir-flotteur; on marre le bateau -ci terne au moyen d'au moins un câble d'amar- rage qui l'applique fermement contre les deux étuis;
on raccorde avec le bateau-citerne l'extrémité de la conduite qui est du côté du large, les déplacements verticaux normaux du bateau à son poste d'amarrage étant accompagnés de pivotements des étais autour d'un axe horizontal, à leur extrémité située du côté du rivage, tandis que les déplacements longitudinaux du bateau sont acceptée* de pivotements de ces étaisautour d'un axe vertical,
12.
La distance entre la palette et le point d'ancrage de la conduite au fond de l'eau est déterminée pour nue la palette et l'extrémité de la conduite à laquelle elle est rattachée puis- sent être soulevées jusqu'à la coque du bateau et puissent se déplacer avec ce bateau, sans dépasser la limité élastique d'élas- ticité de la matière de la conduite,
13.- Un bras de chargerent à éléments tubulaires articu- le$ est interposa entre la palette et le batenu et on fixe une extrémité de ce bras sur le bateau-citerne,
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B.
Syptéme de conduites pour relier la cote a un bateau pncrp eu large et, plus spécialement, installation de chargement et de déchargement de bateaux-citernes pour- conduites t=er&40 ee '#'" système comprenant les èléminto-.nonc4o,,.d'a'ns le prop4dê dêfini,;*,U. paragraphe (A) ci-dessus, #!# . ;Yi"'- #.#.##'.#'