<EMI ID=1.1>
La présente invention a pour objet une brique
réfractaire basique ainsi qu'un procédé pour la fabriquer.
Un sait que les criques réfractaires gonflent pendant l'exploitation. 11 se forme par suite dans les parois qui contiennent les briques des tensions intérieures qui
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soins sensible aux éclatements.
On connaît déjà plusieurs procédés pour revête les
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<EMI ID=5.1> <EMI ID=6.1>
revêtement de tôle métallique. Au premier groupe appartiennent les procédés dans lesquels on comprime la tôle en même temps que le corps réfractaire de la brique. Le second groupe est constitué par les procédés dans lesquels on munit d'un revêtement des briques déjà fabriquées ou on recouvre d'un métal les surfaces des briques,, Ainsi
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pendantes dans la construction des parois des fours exige un soin particulier et est également laborieuse. Quand on comprime les tôles métalliques en même temps que le corps
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une limite inférieure, car au-dessous de certaines épaisseurs de la tôle, celle-ci est facilement froissée dans la compression, ce qui entraîne des rebuts coûteux. En outre, ce procédé, de par sa nature, ne peut être appliqué avec
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La présente invention a pour but d'éliminer ces difficultés et de créer une brique basique réfractaire dont on peut fixer facilement et de façon sûre le revêtement sur la brique après compression, qu'il s'agisse de briques fixées
<EMI ID=10.1> <EMI ID=11.1>
Afin de fixer par tension le revêtement sur le corps de brique, on peut réaliser dans celui-ci des creux et enfoncer le revêtement en forme de gaine sur ces creux et obtenir par extension la formation des tensions désirées^
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res qui présentent de façon connue un corps de brique en une matière réfractaire et un revêtement de tôle métallique qui recouvre au moins en partie (par exemple sur ces faces latérales) le corps de brique, mais dans lesquelles le revêtement est tendu sur le corps de brique, conformément IL l'invention.
Il est en outre connu de laisser subsister des fentes ou intervalles de dilatation dans les parois réfractaires pour permettre d'absorber le gonflement de briques réfractaires et de diminuer ainsi le danger d'éclatement, Dans l'exploitation, les briques réfractaires se dilatent, en direction de ces fentes, sous l'effet de la température de fonctionnement, de sorte que les parois sont au moins en partie soulagées par des tensions internes créées par
<EMI ID=13.1> <EMI ID=14.1>
saire pour absorber le gonflement de la brique est assurée d'avance, c'est-à-dire que toutes les briques renferment
déjà leur rente nécessaire de dilatation, de sorte que, dans la construction des parois du four, il n'est pas nécessaire de prévoir d'avance des fentes de dilatation, qui ne peuvent être déterminées que de façon non certaine, L'invention part ce sujet de ce qu'on peut obtenir par tension la fixation du revêtement .sur le corps de la brique réfractaire, non seulement des façons mentionnées, mais également en interposant une couche façonnable ou déformable, de préférence cédant sous la pression. Une couche déformable de ce
genre peut par exemple être en une substance organique qui
se consume à la température d'exploitation d'un four industriel et procure ainsi à l'intérieur de la brique réfractaire
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dilatation du corps réfractaire, Mais la couche déformable peut également être en une substance inorganique propre à obturer de façon étanche 1$air les interstices de sépara.. tion quand on monte les briques aux emplacements appropriés d'une paroi réfractaire. On peut également combiner ensemble les couches déformables des deux façons, auquel cas elles sont superposées ou sont disposées de façon qu'une aube.
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<EMI ID=17.1> Quand la couche déformable précitée a une consti-
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tement sur le corps de brique, auquel cas au moins une face du corps de brique est recouverte, au lieu d'un revêtement tendu sur le corps de brique, par une tôle métallique qui, dans le sens de l'invention, est fixée par collage sur le
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formable. On peut également naturellement combiner ce genre de fixation et la fixation par tension, la combinaison présentant une plus grande assurance contre va" séparation
<EMI ID=20.1>
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exposées en se référant au dessin sur lequel on a représenté des exemples d'exécution de la brique réfractaire basique suivant l'invention.
<EMI ID=22.1> <EMI ID=23.1> <EMI ID=24.1>
d'une brique réfractaire suivant l'invention; <EMI ID=25.1>
que réfractaire;
- la fig. 13 est une coupe, suivant la ligne XIII-XIII de la fig., 14, d'un exemple d'exécution d'une brique réfractaire composite suivant l'invention",
- la fig. 14 est une coupe longitudinale suivant <EMI ID=26.1>
- la fig. 16 représente, titre d'exemple, encore une autre forme d'exécution de la brique réfractaire suivant l'invention; <EMI ID=27.1> <EMI ID=28.1>
réfractaire suivant l'invention peut comporter un corps de brique 20 dont la nature ne se différencie aucunement du corps des briques réfractaires usuelles connues. On
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tes par le revêtement 21, tandis que ses surfaces frontales sont découvertes, de sorte que le revêtement forme un élément en forme de manchon qui recouvre seulement en partie le corps de brique et dont la paroi revient; sur elle-même.
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tentent sur le corps de brique, on peut ménager des creux dans le.corps et appuyer au-dessus de ces creux le revêtement de t8le métallique en forme de manchon, ce qui tend
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cution de ce genre. Dans cet exemple, deux rainures 23 et 24 sont formées dans la direction des génératrices dans le
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21 constituant une pièce unique sur le corps 20, puis on replie ses deux bras l'un vers l'autre de façon que leurs bords viennent s'appliquer l'un sur l'autre, par exemple
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4, sur le corps 20 entouré par le revêtement 21, puis dans
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de cette'pression, le revêtement 21 subit une déformation permanente dans laquelle il est tiré et donc nécessaire-* ment tendu sur le corps 20. Pour assurer avec un effet supérieur la position réciproque du corps 20 et du revêtement
21, on soude les deux bords du revêtement 21, ainsi qu'on
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le corps de brique présente donc au moins une rainure située dans la direction des génératrices et dans laquelle sont en-
<EMI ID=37.1>
<EMI ID=38.1>
<EMI ID=39.1>
ses peut en effet ne pas exister,
<EMI ID=40.1>
ne distingue du précédent en ce que les bords du revêtement
21 sont agrafés. A cet effet, on fait glisser, de la façon
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et vers l'extérieur d'un revêtement 21 plié sur le corps
20, une pièce 29 en forme d'étrier, qui enserre les bras. On exerce ensuite une pression en direction de la flèche
<EMI ID=42.1> de la pièce 29 pour leur donner la forme représentée sur la fig. 61.la profondeur de la rainure 23 est choisie telle que, lorsque la force de pression en direction de la flèche
27 cesse, les couches superposées du revêtement 21 et de la pièce 29 ne dépassent pas des faces revêtues de la bri-
<EMI ID=43.1>
La fixation des bords du revêtement 21 peut éga-
<EMI ID=44.1>
<EMI ID=45.1>
fet en partie du fait que, lorsqu'on utilise une substance poreuse déformable entre le métal et la matière céramique,
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différentes surfaces superposées de substances de natures différentes sont revêtues d'un adhésif. On peut en effet admettre que la propriété' poreuse de la couche déformable permet dt emmagasiner l'adhésif et par suite do munir suffi-
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qui ne peut pas être assuré dans un contact direct entre le métal et la matière céramique. Comme substance poreuse déformable, on peut utiliser par exemple du papier et comme
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on a disposé entre les deux bords du revêtement 21, comme
<EMI ID=49.1>
Mais, pour fixer par tension le revêtement 21
sur le corps 20, on peut aussi intercaler uniquement, et , au moins par places, une couche déformable entre le corps 20 et le revêtement 21,, Un tel exemple d'exécution est représenté sur la fig, 8, où tant le revêtement que la couche .déformable est constitué par deux éléments 21a et 21b d'une <EMI ID=50.1>
<EMI ID=51.1>
<EMI ID=52.1>
Serrée dans la direction des floches 25 et 26 et comprimée dans la direction des flèches 27 et 28, une fixation sûre du revêtement 21a, 21b sur le corps 20 a lieu par tension,,
<EMI ID=53.1>
une combinaison dès genres de fixation suivant les fig. 4 et 8� Dans cet exemple d'exécution, on laisse subsister entre
<EMI ID=54.1>
< de cet exemple d'exécution consiste donc en ce que le rêve* '
<EMI ID=55.1>
La fig. 10 représente, a titre d'exemple, une
forme d'exécution des briques réfractaires suivant l'inven1
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une'substance poreuse et le revêtement 21a ou 21b est collé sur le corps 20 au moyen de cette couche déformable^ La disposition des éléments de revêtement et des éléments de la couche déformable est identique celle de l'exemple
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Mais, comme indiqué, on a également reconnu le fait essentiel que le revêtement peut également être fixé uniquement en le collant sur le corps 20. Un exemple d'exécution de ce genre est représenté sur la fig. 11, qui se distingue du mode d'exécution suivant la fig, 8, outre par l'utilisation du collage, également en ce que les éléments
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inorganique déformable, tandis qu'en direction du foyer on utilise des briques réfractaires pour lesquelles la couche déformable est en une matière organique. Dans ce cas, la couche organique de la rangée intérieure de briques peut en effet brûler jusque la couche inorganique de la rangée extérieure et peut donc procurer les intervalles de dilatation et les briques réfractaires entourées, suivant l'inven-
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Un avantage des couches déformables organiques et inorganiques est en outre que des pressions de gonflage
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taire de brique et que par suite des irrégularités éventuelles de la surface sont en quelque sorte égalisées, de sorte que des pointes locales de tension (des pressions superficielles trop élevées) ne peuvent pas se produire.
Un avantage de cette forme d'exécution des briques suivant l'invention est, en outre, qu'en choisissant
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tique, par exemple en ébonite, parce que dans ce cas égale**
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la surface du corps de brique sont nivelées, au moins en
<EMI ID=64.1> <EMI ID=65.1>
couche déformable qui sont tournées vers un foyer sont en une matière organique, par exemple en papier, tandis que
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té froid sont en une matière inorganique, par exemple en' amiante.
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troduction de la description, l'invention rend facilement possible de rassembler en un oloc unique, au moyen d'un re-
<EMI ID=68.1> oraux constituant un ressort et une gorge, ainsi que cela
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procure lino plus grande sécurité relativement a la position fixe réciproque des constituants de la brique réfractaire
<EMI ID=70.1>
tient en outre l'avantage que la paroi 34 peut présenter sur une face frontale ae la brique, par exemple la face 35 dans l'exemple représenté d'exécution, une pièce terminale
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qui se trouve dans sa position d'utilisation sur la fig. 15 et dans sa position de transport ou d'emmagasinemont sur
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La :rise, 16 montre enfin un exemple d'exécution dans lequel le revêtement s'étend également sur les faces
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talité de la surface de la brique,, Dans l'exemple représenté d'exécution, le revêtement est ici aussi constitué par deux parties 21a et 21b disposées symétriquement et découpées de
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qui constitue la portion prépondérante du corps de brique contre les endommagements dus a. l'humidité et \ l'acide carboni-
<EMI ID=76.1>
ple en utilisant comme couche déformable du papier goudron*né ou du papier traité par la paraffine ou la cire, ou encore un revêtement en matière plastique, tandis que le bitume sert d'adhésif.
câpres des résultats d'expériences, l'épaisseur
de la tôle utilisée pour fabriquer le revêtement de la bri-
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teuse de la tôle, permet de diminuer sensiblement les prix
de revient. Aussi bien pour une matière organique que pour
une matière inorganique, l'épaisseur de la couche déformable est de préférence comprise entre 0,03 et 2,5 mm.
On indiquera ci-après après quelques exemples d'exécution pour la réalisation pratique des briques réfraotaires suivant l'invention:
Exemple 1. -
Pour fabriquer une brique cuite de chromite-ma-
gnésie ayant les dimensions 250 x 125 x 65.mm dans la forme
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du revêtement s'appliquent au-dessus de l'une 23 ces rainures... Un serre ensuite, dans la direction des flèches 25 et 26,
la brique pourvue du revêtement, puis on soumet celui-ci,
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<EMI ID=81.1>
fixe par une soudure 22 les positions réciproques des bords <EMI ID=82.1>
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le haut on rait glisser un étrier 29 également en tôle métallique, puis fait glisser le revêtement 21 sur un corps de
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nant au-dessus de la rainure 23. On serre ensuite la brique dans la direction des flèches 25 et 26 et la soumet, dans
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<EMI ID=86.1>
trent dans la rainure 23 du corps 20, et que le revêtement lui-même est tendu sur le corps de brique., Les couches de
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du creux de la rainure 23, de sorte qu'elles n'empêchent pas la superposition de briques IL plat,,
Le revêtement 21 peut naturellement être également en deux parties, ainsi que le montre la'figure 13., On peut également faire glisser la pièce 29 en forme d'étrier sur les bords plies vers le haut du revêtement lorsque celui-ci a déjà été tiré par-dessus le corps de brique,,
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Pour fabriquer sous la forme représentée sur
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sur le corps de brique 20 se distinguent de l'exemple pré-' <EMI ID=90.1>
la compression reste pratiquement inchangée après disparition de la pression.
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brique 20, avec interposition de couches non encollées de papier d'une épaisseur de 0,5 mm, des tôles de fer en forme d'U d'une épaisseur de 1 mm et, au moyen d'une pression de
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adhère de façon suffisamment sure au corps de brique sans collage. '
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une tôle de fer d'une épaisseur de 0,6 mm pour constituer
<EMI ID=96.1> <EMI ID=97.1>
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en U aussi bien aux couches organiques qu'aux couches inorganiques déformables et les dispose sur le corps de façon que des Intervalles subsistent entre loura bras, On fait
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Afin de fabriquer une brique cuite de magnésie ayant la forme suivant la fige 10, et dont les dimensions
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de 0,5 mm.. On enduit sur ses deux faces la feuille de papier d'une lessive sulfitique servant d'adhésif. Pour le reste, on procède de la façon décrite dans l'exemple précédent.
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Il s'agit de fabriquer dans les dimensions
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magnésie chromée., A cet effet, on utilise une tôle de fer d'une épaisseur de 1,2 mm, comme couche organique déformable
<EMI ID=104.1>
sif de la dextrine. On munit sur leurs deux faces d'une couche adhésive (dextrine) ayant la consistance du miel Ion <EMI ID=105.1>
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miques nécessaires différentes sur les différentes faces. Comme couche inorganique on peut utiliser de l'amiante de même épaisseur. La pression est la même que dans l'exemple précédent.
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Il s'agit de fabriquer, sous la forme suivant la fig, 16, une brique de dolomie cuite ou fixée chimiquement <EMI ID=108.1>
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comme adhésif du bitume et comme revêtement de la tôle de
<EMI ID=110.1> <EMI ID=111.1>
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que est ainsi munie d'un revêtement non seulement sur ses surfaces latérales, mais aussi sur ses deux surfaces troutales. Des essais ont montré que les briques de dolomie
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longue,durée sans absorber de l'humidité; le revêtement pro-
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que contre des actions mécaniques et la couche interne de bitume et de papier goudronné est alors également protégée naturellement contre des endommagements éventuels, qui pourrai.
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Dans ce qui précède, on a mentionné le papier comme matière organique et l'amiante comme matière inorganique. On comprend facilement que, pour fabriquer la brique réfractaire suivant l'invention, on peut utiliser toutes les substances organiques ou inorganiques qui conviennent à. la
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ces organiques de cette nature sont, par exemple, outre le papier encollé et le papier non encolle, le papier goudron-
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riz, les feuilles de placage et les plaques de bois en feuilles de placage, par exemple la matière pour les boîtes des!-' lumettes, et aussi les enveloppes aes graines des rieurs ae soleil, les fibres végétales des céréales, les qualités de gruau, etc,..,; En font également partie les fibres naturel-
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tre, la paille tressée, les fibres de raphia, les textiles, les tissus en matière plastique, les fibres végétales, en
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miante tissée ou comprimée avec une matière plastique et les mélanges de fibres de verre, les mélanges de fibres ou de laine de scories, les plaques de perlite, les déchets de mica,
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tendant ou en les répandant,
Ainsi que cela a déjà été indiqué, on connaît déjà des briques dans lesquelles on fixe par soudage sur le corps de brique des revêtements en tôle métallique appliqués ultérieurement^ Les briques suivant l'invention se distinguent bien de ces briques connues parce que, dans l'invention, le revêtement enserre a. l'état tendu la brique, et est disposé sur la brique avec éventuellement interposition d'une couche déformable, ce qu'on peut facilement reconnaître sur les races frontales. On peut également constater par un simple examen que le revêtement est tendu sur le corps de brique, car alors les borde ou d'autres éléments du revêtement réunis dans des rainures ou des creux du corps'de brique sont comprimés, ainsi que cela apparaît clairement au spécialiste.
Une brique portant un revêtement dans lequel celui-ci s'étend sur les faces frontales de la brique n'était pas connue jusqu'alors. Toutes les formes d'exécution se distinguent des briques comportant un re- vêtement posé et fixé ultérieurement, en ce que le revêtement présente toujours une certaine raculté de déformation élasti-
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corps de brique. Ainsi qu'on le sait, il faut, quand on revêt par pression des briques avec une tôle métallique, utiliser' une pression d'environ 1000 kg/cm2. Avec des pressions de cet
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tement les traces d'une pression. A cela s'ajoutent des irrégularités plus ou moins grandes des deux faces les plus larges, ainsi qu'en règle générale des froissements plus ou moins <EMI ID=128.1>
de sorte qu'une brique suivant l'invention a des arêtes beaucoup plue nettes.
REVENDICATIONS.
1.- Un produit industriel nouveau constitue par une brique réfraotaire basique comprenant un corps de brique en une matière réfractaire et un revêtement en tôle métallique entourant oe corps au moins partiellement caractérise en ce que ledit revêtement est tendu sur ledit corps de brique.
2.- Brique selon 1, caractérisée en ce que le revêtement
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