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Métier renviaeur comportant un dispositif noueur automatique.
On connaît des métiers renvideurs comportant un dispo- sitif noueur automatique, dans lesquels est prévu un dispositif vérifiant la résistance du fil noué. Ce dispositif connu fonc- tionne de manière telle qu'un noeud défectueux est défait et qu'un l'il ayant un endroit défectueux diminuant fortement sa résistance, se rompt à cet endroit. Les organes de vérification montés sur le métier constatent que le fil ne se déroula pas normalement de la bobine dévideuse vers la bobine renvideuse et qu'une nouvelle opé- ration de nouage aoit s'effectuer.
Lors de la vérification de la résistance au fil nou4, il peut arriver que des restes de celui-ci soient suspendus dans le noueur et que, lors d'un nouveau nouage, ils soient nousé comme doubles-fils ou empêchent compiètement -La
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l'ovation d'un noeud normal.
En vue d'éviter ces inconvénients, un -
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;r,0l.er r?nviaeur suivant l'invention, comportant un dispositif ae nouage automatique et un dispositif vérifiant la résistance du
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fil n0\.16, comprend un organe de dégagement associe à ce dernier dispositif et dont l'entrée en fonctionnement dépend du résultat ae la vérification, et un dispositif, actionna par cet organe, qui écarte les morceaux ae fil au noueur.
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L'invention permet égaieront d'ôviter la pr)S3Qnc<3 de morceaux do fil a l'intérieur au noueur, lorsqu'un nouveau non.?;:'? doit s'effectuer. De cette fa,on, non seulement on élimine ion inconvénients décrits ci-ne3sus :nais on empêche également la formation ae :ils traînants pouvant apparaître dans les métiers enviaeurs automatiques où un groupe de nouage dessert plusieurs
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postes ù'enVlC1ago. Il se produit en outre, entre le groupa de nouage et les postes a'enviaage, un mouvement relatif, le groupe ou les postas ou 'ensemble étant mobiles.
En cas d'interruption
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au travail a un poste d'enviaage, par exemple pour remplacer une bobine envidouse pleine par une vide )u parer .i une rupture de fil, les bouts ae fit venant ae la bobine dévl,aeu3e et de la bobine envideuse sont recherchas et introduits dans le noueur ou ils sont noues l'un a l'autre. Une fois le noeud effectua, le fil nou est tendu par la bobine en rotation et retiré au noueur. Le noueur et
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le poste a'enviaage pousuivent alors leur mouvement relatif. Si toutefois, lors ae l'introduction des bouts de fil dans le noueur, un fil n'est pas engagé normalement, il ne se fore pas ae noeud et le fil ne peut pas être retiré au noueur.
Ceci est valable égale- ment dans le cas ou le noeud est défait lors de la vérification ce la résistance ou quand le fil se rompt à un endroit défectueux.
Lors au mouvement relatif qui s'établit ensuite, entre le noueur et
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le poste a'envidage, le fil se trouvant dans le noueur est certes la plupart du temps extrait de celui-ci. Il peut toutefois arriver que le bout au fil libre, la plupart- du teaps le bout du fil infé-
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rieur, mais dans certains cas égaivaent le bout du fil supérieur, se preiia dans le noueur. Lors au mouvement relatif entre les postes
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cilenviaage et le noueur, le fil est alors déroulé de la bobine et conduit vers les autres postes d'envidage. Il se produit ainsi ce qu'on appelle un fil traînant, qui est saisi par les fils en cours alenvlaage ces autres postes alenvidage ou qui, lors d'une opéra- tion ce nouage suivante, est noué avec le fil d'un autre poste d'en-' viaage et bobina avec celui-ci.
Un sait que l'on peut équiper le poste d'envidage d'un aispositif permettant un nombre réglable d'essais de nouage, après
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quoi, le poste alenvidage s'arrête et le aouveaent relatif entre 13 noueur et les postes d'envidage se rétablit éventuellement à nou-
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veau, il peut également dans ce cas se tonner uneii traînant, lorsque aes morceaux de fil restent accrochés dans le noueur.
Il ressort de ce qui précède que l'invention apporte ces avantages aussi bien aux métiers renvideurs automatiques, où un aispositif de nouage propre est associé à chaque poste d'envidage, . qu'aux métiers renvideurs où plusieurs postes d'envidage sont desservis par un dispositif de nouage commun.
Le dispositif destina à vérifier la résistance du fil noué peut être constitua par un organe de serrage, connu en soi, pouvant s'appuyer à un fil noué normalement et comportant un organe ; de dégagement associa. Dans les métiers comportant des postes
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aeenviaaee et un dispositif noueur animas d'un mouvement relatif, le dispositif de vérification peut être place, soit sur une partie fixe, soit sur une partie mobile du métier.
Il peut être prévu, en dehors au dispositif noueur, au moins un dispositif serreur et/ou coupeur actionne par l'organe de dégagement. Ce dispositif peut
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saisir le ou les no rc eaux de fil sortant du noueur ot les ,carter t7lt:CFlri,Lq11n:4:Ilt no coml-ci. il aat loutofolo j:O.i.:,s.ib.e ausr.L de pla- cer si-nplettiont un dispositif coupeur a lu nouour ot d'assurer pneuulatique,aeat l'enlèvement hors du nouoar Uoc lor- ceauat de l'il coupla en plaçant, entre le cti3:;or:it,if coupeur noueur, une tuyère en vue ce produire un touret. <P'\r .- /-. :#: # jar le fil.
Si cette tuyère est une tuyère d'c.snimLcu. c.-i -c:, ivcha
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en merae temps ses bouts de fit enlevés au noueur de 30 d^oser
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sur d'autres parties au métier et d'y p rovoquer à nouveau ces c-iran- geaerats.
L'invention sera décrite ci-anrès de façon plus d0ta11.L0e : avec référence aux figures l à 3 du dessin annexe.
La figure 1 montre un noeud dit de pêcheur après que les
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deux noeuds indiviaueLS ont t serras par le e ..10UVtMefi t du pous- soir 5 dans le sens de la flèche 5*. Les deux fils l et 2 sont serrés dans des pinces 3 et 4. Le poussoir 5 chargé par un ressort
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peut se déplacer jusqu'à ce que les deux noeuds soient serras. Il est empêché ae pousuivre son mouvement par les deux bouts de fil noués l et 2.
La figure 2 montre le même mouvement du poussoir 5 lors- que le fil 2 manque. Ici le poussoir n'est pas empêcha de poursui- vre sa course, ae sorte qu'il peut effectuer un parcours plus long que sur la figure 1.
La figure 3 montre en coupe un noueur pour former des noeuas ae pêcheur. !Jeux ca.aes 6 et 7, tournait dans le sens de la flèche 22, sont prévues pour actionner la noueur. Un levier 8
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portant sur la came 6 est roli5 à un secteur 9 muni d'une denture é!1co!aa!e. Le secteur 9 est en prise avec une roue 10 h denture hélicoïdale, reliée par l'axe creux 23 à une couronne dentée 11 qui
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,actionne les deux becs da liage 12 et 13. Sur la cane 7 porte une tige 15 engagée dans un levier coudé 14 et prenant appui sur celui- . ci par l'intercalaire d'un ressort 'IL,. Un poussoir 5 est sr! cxi : à .L' extr0J1l1 supérieure au '1(JUblc levier 14. L'autre extriii1, ' do ce dernier porto un contact 16 4r jscard dU/lU,).!. '1' trouve un autre contact 17.
Un é.lcctro-aLa1:'.nt 13 est en circuit ovîc 1 es C'Jr.C2.c':::1 16 et 17 et une scurc-j d'3 courcjit 25. rlne arnature 19, a->3ocii.'e " 1'f:.ectro-r.imwt 1fi, est ,nontOe à l'une des extr';nit s d''on<3 !..:\..'::9 ae cisaille 20, maintenue en position ouverte par un ressort 26.
Au-dessus de la ci3.11:.1n, est installée n tuyère d':\1pirlJt1.on 21.
Les becs g 3 lirïjje .lu et 13 sont actionnés par la rotation ! de la oa:l1.e 6 daH3 le sunc, de Ln :ï'C;.e 22, à l'intervention vu i
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levier 8, du secteur centé 9, ac la roui a denture hélicoïdale 10 ,*# et ae la couronne dentée il, d'3 sorte que le noeud dit de pécheur> peut être for"l-'' de la manière connue. En :n"ne temps oue la rotation de la came 6, il se produit une rotation de la came 7. La lise 15
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port,m contre 7 ' nou.,csir dans sens lutz portant contre la ca.:JP. 7 evoice 1 poussoir 5 dans le sen3 de la floche 5*, p'U l'1ni.er,,:'(H:I r du ressort 24 et du. double levier 1/., pendruW ou nprhz ta i'or":,t1..,):1. du noeud.
S'il. se for:ne dans le f noueur un noeud :J.or'13.1, le :')i)u,,:::0ir 5 est 8.rrt(: par Les file 1 et ?., noues en3.i.ble et : -iF3 reste eu jiouvement d6 la tige 15 est absor- bé par 1e ressort 24. Si par contre, le nouage est défectueux ou si j'un ces ceux l'ils manque, ..le poussoir 5 ne rencontre aucune r4s1s- tance et peut atteindre la position dessinée en traits mixtes,
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ae sorte que les aeux contacts 16 et 17 se ferment. L' électro-aimant .La est alors alimenté par la source de courant 25, attire l'arma-
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ture 19, et 1a ianô de cisaille 20 coopère avec la deuxième la-ne 27 pour couper le fil.
La tuyère d'aspiration 21 aspire alors le bout
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de l'il coupé et empêche la |formation d'un fil traînant pendant le mouvement relatif qui reprend entre le poste d'envidage et le noueur
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Il peut être avantageux de prévoir, dans la tuyère Qrnspiraliuti 21, une soupape ou un organe similaire restant fera4 jusqu'à l'actionnèrent de la lame de cisaille 20.
On voit donc que le poussoir 5 qui vérifie la résistance du noeud constitue un dispositif de vérification présentant un organe de dégagement, sous la forme des contacts 16 et 17, qui provoque 1' enlèvement desbouts de fil hors du noueur. pour l'invention, il n'est toutefois pas indispensable que le dispositif de vérification soit constitué par un poussoir placé en aehor3 au noueur, mais on peut employer d'autres dispo- sitifs ce vérification exerçant, par exemple, à l'extérieur du
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noueur, une traction appropriée sur les bouts de fil sortes'-- de celui ci ae sorte que, par e7.e,npl, le dispositif serreur précité peut servir en mème teaps de dispositif ae vérification.
On a décrit ci-dessus un dispositif selon l'invention dans lequel il est prévu simplement un organe coupeur pour couper un fil traînant venant de la bobine dévideuse. Dans le cas ou, par exemple,
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.Lors au travail ae matières déterminées, des fils traînants se
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présentent ce ia bobine envideusc ou noueur, on peut également place?. au-ae3sus Q'j celui-ci un dispositif actionna par l'organe de dzga- gement pour en enlever les fils.
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En outre, le dispositif de décarement peut actionner un appareil compteur connu en soi, qui oeiviet uri nonbr8 ry11h.1e d'essais ce nouage ou de rat-s par poste aypnvidace et i,orc4 à nouveau la poursuite du iMUve.t relatif longue le nombre rés-" est dépassé.
L'invention n'est pas non plus limitée à l'emploi sur des , dispositifs noueurs quoique ce soit encore là pour le moment le mode de liage de deux bouts de fil le plue largement utilisé. Si tou- tefois, dans l'un ou l'autre cas, on devait employer un autre genre de liage, par exemple un collage ou un soudage, l'invention peut encore s'appliquer avec avantage dans ce cas.
REVENDICATIONS.
1.- Métier renvideur comportant un dispositif automatique et un dispositif vérifiant la résistance du fil noué, caractérisa par un dispositif de dégagement, associa au dispositif de vérifica- tion, dont le fonctionnement dépend eu résultat de la vérification
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et un dispositif actionna par l'organe de dégage-usnt et enlevant les bouts ce fil hors du noueur.