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" MACHINE j;OiJH LA FABRICATION DU Pl,.Z.i ".-
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La. présente invention concerne les machines pour la fabrication du papier équipées d'une toile du type
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Fourdriuier.
Lors de l'utilisation d'une toile métallique sans fin du type Fourdrinier, il est usuel d'employer des organes en contact avec la face inférieure de la toile pour commander l'égouttement de.l'eau à partir de la pâte, à travers cette toile. Il est classique de prévoir, à l'extrémité de la toile correspondant à la caisse à pâte prévue en tête de la machine, une traverse remplaçant le premier pontueeau,
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COUlUl'111ddlt l'écoulement de Iteau à partir de la suspension, de pâte et d'eau; on peut ensuite monter sous la toile
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un certain nombre de failles tnjnces pour favoriser l'écoulement de l'eau à partir de la face inférieure de cette toile.
Dans d'autres zones, la toile peut être en contact par sa face inférieure avec un certain nombre de pontuseaux ou rouleaux constituant un support intermédiaire
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et réglant également l'écoulement de l'eau à partir de la suspension de pâte et d'eau reposant sur la toile . Les feuilles minces sont destinées principalement à coopérer avec les pontuseaux pour intercepter l'eaU qui est projetée
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par cH,mtl'ifncntion à partir de ceux-ci et qui autrement # ... 1'. 11'. t , 1-À 1" # ail', r.fj #.## .# .1,.- 1,4 t Il 0, 1...IJü ti fil 1 eu utrvent :cï:.:nt à supporter la toile et a limiter aznsi l'angle d'enveloppeaunt du milieu de formation autour des rouleaux.
Les feuilles minces peuvent également comporter des éléments additionnels prenant appui oontre la face inférieure de la toile pour assurer une nouvelle commande de l'élimination de l'eau. Dans d*autres zones, des organes d'aspiration sont prévus peur fournir une énergie contrôlé
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mais positive, favorisant le prélèvement d'eau à partir de la rote à. un stade approprié au cours de la formation de la feuille de papier.
Divers moyens ont été utilisés jusqu'ici comme agents de revêtement de surface pour régler la coopération par frottement qui se produit entre la face inférieure de la bande ou toile animée d'un mouvement rapide et les organes de formation et d'aspiration fixes ou subissant une oscillation horizontale. Il est essentiel que ces surfaces relativement fixes ne subissent autant que possible aucune friction, qu'elles aient une longue durée de service et, ce qui est le plus important, qu'elles coopèrent avec le tamis ou l'épurateur de Fourdrinier d'une manière réduisant au minimum l'endommagement qui résulte du contaot par friction.
Etant donné que la durée de service d'une toile du type Fourdrinier peut, à l'heure actuelle, être de quelques jours, et va jusqu'à, un maximum qui ne dépsse pas habituellement une semaine sur les machines de fabrication à grand rendement et à grande vitesse, il est essentiel que des organes soient prévus en tous les points du trajet de la bande pour réduire au minimum l'usure sur la toile.
Quand une toile est usée à un degré tel que son remplacement devient nécessaire, le temps d'arrêt de la machine est important dans la détermination des facteurs économiques qui interviennent au cours de la fabrication du papier.
Il est évident que tout perfectionnement capable d'augmenter la durée de service de la toile réduit au minimum le travail nécessaire pour remplacer cette toile et augmente la durée de fonctionnement relative d'une machine de type Fourdrinier en soi très coûteuse, de môme que celle des séchoirs et des autres machines qui en dépendent.
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L'invention concerne un revêtement pouvant être prévu sur l'un quelconque des divers organes relativement immobiles qui doivent coopérer avec la toile en soi fragile, ce revêtement étant étudié non seulement de manière à réduire au minimum la friction engendrée par son contact avec la surface de la toile, mais aussi de manière à constituer une surface résistant à l'usure, prolongeant la durée de service de l'organe particulier considéré.
Quand la friction résultant de la traînée de la toile sur un organe fixe est réduite, il suffit d'une moindre puissance pour en traîner cette toile et la durée de service de la toile est prolongée par suite de la suppression de la msion indésirable. La suppression d'une friction notable réduit également au minimum l'usure et les autres facteurs d'endommagement tels que les rayures qui se produisent sur une toile plus tendue etc... facteurs qui interviennent toujours dand le fonctionnement d'une machine de type Fourdrinier.
Des recherches ont montré que l'en peut obtenir une surface nettement améliorée en utilisant une matière formée par un oxyde réfractaire dur légèrement poreux et résistant à l'usure. Une surface de ce type est obtenue par projection au chalumeau d'une matière de ce type sur un organe de machine. Une technique de projection au chalumeau convenable est décrite dans le brevet américain n 2.707.691 du 3-mai 1955. En utilisant cette tech- nique dd pulvérisation ou de projection, on peut appliquer une couche de portée formée par un oxyde ré- fractaire convenable sur la surface devant venir en contact avec la face inférieure de la toile. Un revêtement de ce type est dur et présente des caractéristiques excellentes de résistance à l'usure.
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L'invention est matérialisée dans une machine pour la fabrication du papier du type Fourdrinier comportent une toile métallique, dans laquelle la face inférieure de la toile .vient en contact avec la surface supérieure d'un ou de plusieurs organes immobiles rigides, chaque surface venant en contact avec la toile étant munie d'un revêtement en oxyde métallique réfractaire obtenu par pulvérisation de l'oxyde à l'état fondu sur ladite surface.
Le revêtement eut légèrement poreux au cours de sa formation et le processus de revêtement et de pulvérisation peut être réglé de façon à développer de tels pores, qui en service sont remplis par l'eau n'écoulant à partir de la pâte pour former une surface lubrifiée, afin de réduire au minimum la friction entre la toile en mouvement et la surface immobile.
La surface poreuse peut être remplie d'une résine époxy, afin de constituer une surface imperméable qui peut recevoir un fini de surface tel qu'elle devienne très lisse et qu'elle n'engendre aucune friction. Le coefficient de friction entre la toile et cette surface est extrêments faible et des résultats excellents sont obtenus en prévoyant une surface de ce type sur les éléments relativement fixes mentionnés ci-avant, appartenant à une machine de type Fourdrinier,
Dans une machine Fourdrinier moderne du type mentionné précédemment, il peut exister plusieurs surfaces relativement fixes de ce type venant en contact avec la toile pour diverses raisons.
Lors de la mise en oeuvre de l'invention, un revêtement de ce type peut être appliqué sur la surface de portée des traverses remplaçant les premiers pontuseaux, des feuilles minces de la machine Fourdrinier, des dessus de caisses aspirantes, etê....
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De préférence, un support inerte tel qu'un élément en acier inoxydable, en laiton, eto.. est recouvert d'une couche d'alliage nickel-chrome appliquée par' pulvérisation sur la surface orientée vers la toile et la couche d'oxyde métallique externe formée par pulvérisation est ensuite recouverte d'alliage nickelé-chrome par pulvérisation ou projection au chalumeaux Lu surface d'oxyde métallique formée par la congélation de gouttelettes en fusion sur la surface elle-même est quelque peu poreuse et présente une grande dureté et une résistance à l'usure élevée.
Elle peut être moulée et polie afin de présenter un fini de surface très poussé, qui réduit encore au minimum la possibilité d'usure résultant du contact par frottement sur la surface inférieure de la toile on mouvement.
La description qui va suivre, faite en regard des dessins annexés, donnés à titre non limitatif.permettra de mieux comprendre l'invention.
La figure 1 est une vue schématique en élévation d'une toile de machine du type Fourdrinier montrant certains des éléments classiques associés à cette toile* La figure 2 est une vue en coupe à plue grande échelle à travers une caisse aspirante*
Les figures 3 et 4 sont des vues en coupe 4 plus grande échelle de la traverse remplaçant le premier pontuseau et des feuilles minces..
La figure 5 est une vue en coupe de détail à plus grande échelle d'une partie du dessus de la caisse aspirant': montrant une utilisation type de l'invention.
La figure 6 est une vue en coupe de détail d'une variante de réalisation de feuille mince*
Dans une machine pour la fabrication du pqier du type Fourdrinier classique, un tamis en toile métallique
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sans fin 10 est destiné à passer sur une série de rouleaux de support afin de recevoir les fibres de bois entraînées dans l'eau ou la pâte liquide,d'une façon en soi connue, partir de la caisse prévue en tête de la machine (non re- présentée) . La toile est en cuivre, en bronze, en al- liage à forte teneur en cuivre, en acier inoxydable ou plus récemment en fibres synthétiques.
Toutes ces construc- tions sont désignées ci-après par le terme générique "toile" et sont soumises plus ou moins aux mômes caractéris- tjques d'usure et aux mêmes processus de régulation de de l'usure. Une toile usuelle du commerce peut avoir par exemple de 122 à 915 cm de largeur ou plus et une boucle complète peut s'étendre sur une longueur de 6 à 36 mètres d'une extraite à l'autre. Ces toiles sont extrêmement coûteuses.
En service, la pâte liquide s'écoule à travers une vanne réglable pour parvenir sur la toile ou le tamis, l'écoulement de la pâte étant limité latéralement à la surface de la bande en mouvement par les couvertes usuelles (non représentées).
A l'extrémité correspondant à la caisse prévue en tête de la machine de type Fourdrinier, la toile est supportée par un rouleau de tâte monté fou 11. La pâte liquide parvient sur le brin supérieur dirigé en principe horizontalement de la toile, juste au delà du. point de tangence entre le rouleau 11 et la toile qui, à cet endroit constitue le brin en principe horizontal destiné à former lafeuille de papier. Lorsque la toile quitte le rouleau 11avec la pute liquide s'cécoulant à partir de la caisse de tête, la- face intérieure de la toile eut supportée par une traverse immobile 12 remplaçant le pontuseau de tête,
La traverse remplaçant le pontuseau de tête est
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représentée plus en détail sur la figure 3 et peut se présenter soue la forme d'une caisse d'égouttage 13 présentant une paroi l térale incurvée 14 épousant étroitement la forme de la périphérie du rouleau 11. Cette traverse remplaçant le pontuseau de tête présente une surface de portée supérieure plane 15 qui s'applique directement contre la face inférieure de la toile lorsque celle-ci quitte la caisse de tête, pour empêcher l'eau de s'écouler trop facilement à travers le tamis Jusqu'à ce que les fibres de la pâte liquide subissent une orientation sur ce tamis.
Le reste du dessus de la traverse remplaçant le pontuseau de tête @@@@ente une série de fentes ménagées pour permettre à l'eau qui s'est égouttée à travers la toile de s'écouler depuis la face inférieure de celle-ci jusque dans la caisse 13, en vue de son évacuation. Les fentes sont munies de lèvres 16 qui peuvent, si désiré, être incurvées et qui sont profilées pour agir à la manière de racles enlevant les gouttelettes d'eau qui adhèrent sur la face inférieure de la toile} l'action des lèvres 16 peut être étudiée de façon à retarder ou à favoriser le passage de l'eau à travers la toile, oe qui permet ainsi de régler le feutrage des fibres au fur et à mesure de la formation de la feuille de papier.
Plusieurs rouleaux ou pontuseaux 20 peuvent être prévus pour supporter la toile jusqu'au voisinage de l'extrémité arrière du brin horizontal formant la feuille de papier, pour autant que cette feuille soit formée sur la toile de la machine de type Fourdrinier.
Après son passage sur le dernier rouleau 20, la toile s'étend vers le bas pour venir passer sur le rouleau de presse humide 22. La feuille de papier quitte la toile juste au-dessus du rouleau de presse humide, afin de parvenir à la première paire de rouleaux de presse, la toile
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paaoe autour de ce rouleau de presse humide pour revenir à
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.'cx.rttrritis de tête de lu machine par paasage sur le jeu de rouleaux de ouoport et de tension 23 et 24 et sur le rouleau 25. Le rouleau de presse humide est entraîne de la rxrni.wro habituelle pour fournir le seul contact d'entraînement avec la toile.
Entre leu divers pontuseaux ou rouleaux 20 venant en contact avec la face inférieure du brin supérieur en principe horizontal de la toile, divers éléments relativement fixes peuvent être disposés, par exemple des feuilles minces 30 et des caisses aspirantes 31. Det feuilles minces sont
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représentées à plus grande échelle sur les figures 4 et 6.
Ces feuilleu servent également de racleurs agissant de la
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môme m'jticre que la traverse 12 pour régler l'élimination de l'eau subissant un éouttage à travers la face inférieure
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de la toile. Les feuilles ulnces peuvent être associées à une caiuae d'6,;outtaze 32, pour acheminer l'eau à l'écart de ltoile, mais habituellement l'eau s'égoutte à partir des feuilles pour parvenir dans une fosse. La face supérieure
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de --hotu-,, feuillu est, fendue, de sorte que l'eau i;':1ut passer librement depuis la face inférieure de la toile
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dans la eni.-.43e 32 ou la fosse.
Chaque fente présente une lèvre 33 s'appliquant contre la face inférieure du tamis
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ou de la toile, pour rdjler l'écoulement d'eau à travers cette toile et recueillir l'eau à partir de sa face inférieure . La surface plane 34 de la feuille s'applique souc la toile à l'extrémité arrière de cette feuille et ralentit l'écoulement d'eau à travers la toile, en supportant cellv-ci au crure de son déplacement vers le pontuseau 20, pour limiter l'angle d'enveloppement de la toile autour
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de ce pontuseau.
La feuil'.; représentée sur la figure 6 présente des livres ou éléments racleurs 33 de formes
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différentes pour séparer l'eau de la face inférieure de la toile, de telle aorte qu'une aspiration soit produite par la configuration du bord de fuite. Un certain effet d'aspiration est inhérent à l'action de la lèvre 33 représentée sur la. figure 4.
Los caisses aspirantes 31 telles que celles représentées plus en détail sur la figure 2 comprennent chacune un cuvier 35 dans lequel on peut faire le vide et qui est par suite fermé de façon étanche de toutes parts, sauf à son sommet.
La caisse aspirante présente des orifices constituée par des perforations, dès fentes ou des trous d'un autre type dans son dessus 36, afin de s'appliquer contre la face inférieure de la toile pour aspirer l'eau à travers cette toile, d'une manière participant à la formation de la feuille de pâte ou de papier* Plusieurs caisses aspirantes de ce type sont prévues sur la longueur du brin de la toile pour faciliter la commande de l'élimination de l'eau , en vue de fournir la distribution requise des fibres pour le type particulier de papier en cours de fabrication.
On voit que le poids de la toile elle-même, plus le poids de la pâte portée par cette toile, fait que la face inférieure de la toile réalise un contact par friction notable avec les surfaces relativement immobiles de la traverse remplaçant le premier pontuseau et des feuilles minces* 1:9.ne le contact de la toile avec le pontuseau 20 produit une certaine résistance par friction et l'ensemble de ces forces intervient dans la commande et le maintien de la toile et produit des conditions qui ne permettent pas d'obtenir pour la toile une longue durée de service* Il faut encore ajouter à ces conditions la contrainte exercée sur la toile par la forte traînée produite sur celle-ci quand les différentes caisses aspirantes appliquées contre sa
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face inférieure sont en service.
Dans des conditions idéales, une toile formée par un alliage de cuivre se déplaçant sur une machine de type Fourdrinier à grand rendement et à grande vitesse de typa classique, telle que celle utilisée pour la fabrication de papier journal, peut fonctionner pendant environ deux semaines sans interruption.
Quand les conditions ne sont pas idéales, et quand une déchirure ou une usure inhabituelle se développe, de sorte que la coile est détruite on un laps de temps plus courte les frais de fabrication augmentent, car non seulement la toile en soi coûteuse doit être mise au rebut, mais l'installation de fabrication du papier doit être arrêtée pendant un laps de temps pouvant aller de 4 à 8 heures ou pouvant atteindre une valeur analogue, jusqu' à ce que la machine soit équipés d'une nouvelle toile. Oeci réduit la production et s'ajoute aux frais de la main-d'oeuvre qualifiée qui doit intervenir pour manipuler la toile.
L'un des buts de l'invention est de créer une surface perfectionnée destinée aux éléments immobiles d'une machine de ce type venant en contact avec la toile an mouvement. Bile concerne une construction perfectionnée permettant de réduire l'usure de la toile et on conséquence le temps d'arrêt de la machine, de sorte qu'on obtient un meilleur rendement au cours de la fabrication du papier.
On parvient 4 ce résultat en recouvrant les surfaces de portée de ces éléments, tels que la traverse remplaçant le premier pontuseau, les lèvres des feuilles minces et les dessus de caisses aspirantes, qui viennent en contact avec la toile, à l'aide d'une matière formée par un oxyde réfraotaire dur résistant à l'usure. Des recherches ont montré que non seulement cette mesure prolonge incidemment la durée de service des éléments eux-mêmes, d'une façon
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plus ou moins indéfinie, mais que, suivant une réalisation préférentielle, il en résulte une réduction à un degré minimum du contact de friction produit entre les organes frottant l'un sur l'autre.
Outre les avantages précités, on a constaté également que le mode de revêtement indique empêche les objets granuleux de venir se loger dans une surface de contact, comme cela arrive parfois quand un utilise duc dessus de caisses aspirantes en érable de type
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cl&c.ique, de sorte qu'une autre source d'endommagement :\'h16::"Áte aux machines de type Pourdrinier actuelles est :"...-.r,rir:1Óe.
Si l'on procède suivant un mode de réalisation préféré de l'invention, les éléments tels que les éléments 15, 16, 33, 34, 36, etc... sont recouverte d'une surface de portée réduisant au minimum le contact de friction avec la face inférieure de la toile, Ces éléments sont formés de préférence par des matières inertes ou résistant à la corrosion cornue le bronze ou l'acier inoxydable, qui consti- tuent un élément de base ou de support optimum en vue d'une utilisation sur une machine de fabrication du papier.
L'élément de support est préparé en vue de la réception du revêtement de portée suivant l'invention par tout processus de nettoyage convenable, mais il semble préférable de procéder par décapage au jet en utilisant un grain abrasif tel que de l'alumine fondue, d'une grosseur de grain allant de 1,19 à 0,73 mm. perforé 36
Un dessus de caisse aspirante/formé d'acier inoxydable n 304 constitue un élément type auquel l'in- vention peut être appliquée .
On nettoie ce dessus de caisse aspirante au jet de sable à l'aide d'alumine d'une grosseur de grain de 0,73 mm, entraînéepar un courant d'air sous une pression de 2,8 kg/cm2 et projetée à une vitesse
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permettant de balayer de 63,5 à 190 cm2 par minute, afin
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lftIt'tient de support à l'état voulu pour l'application d'un revôtemunt da baue métallique 40 formé par un alliage nickel -chrome pulvérise au chalumeau comme montré eur la figure 5.
Cet. alliage nickel-chrome eu t formé d'environ 80%
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de nickel et 20% de enrorne et il peut être appliqué sur le dessus de la caisse aspirante par une technique classique de pulvérisation de métal en fusion, par exemple par
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métallisaation. Une couche de nickel-chrome d'une épaisseur de 0,075 mm environ semble donner des résultats optima cornue couche intermédiaire pour la réception de la couche de portée 41 suivant l'invention. Toutefois , une gamme
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d! épaisseurs allant de 0,05 à 0,15 mm semble utilisable cornue couche intermédiaire pour le type d'oxydes réfractaires décrit ici, et on peut même utiliser même des revêtements
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3'.)us-jaccnts uy.'int un'3 épaisseur atteignant 0,33 mm.
La couche de portée utilisée de préférence est obtenue par projection ou pulvérisation au chalumeau sur le
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1.'evtt:m"nt aouu-jacont ou revêtement de base en n.crel-chrome, OO:.:è indtqu dans le brevet américain non 2.707.6,tl déjà cité.
On constate que n'importe lequel des oxydes réfractaires Mentionnât: ici donne plue ou moins satisfaction, mais
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,zr.Au' .rs:n.t il se::.bl,. que l'oxyde de chrome donne des résultats optima. On peut utiliser du silicate de zircone et d'alumine et, dans certains cas, du silicate de zircone qui a un coefficient de friction particulièrement
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faible j'our l'a- plicttion envisagea.
Les gouttelettes en fusion d'oxyde de chrome ou dl utrep oxydes w#talli;;ues réfractaires pulvérisées sur la surface à recouvrir se solidifient in situ quand elles parviennent sur cette surface et s'aplatissent au cours de leur solidification ,.our former un revêtement poreux de type
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stratifié. Ces gouttelettes forment une couche d'une épaisseur de 1 mm environ, qui coopèrent de façon à se trouver généralement dans un glan parallèle à la surface de l'objet à munir du revête ment, le système formant apparemment un revêternent dur, résistant à l'usure, qui présente un degré de flexibilité inattendu. Cette couohe superficielle peut avoir une épaisseur de 0,25 à 1,80 mm environ.
Une surface de ce type, formée d'oxyde de chrome, présente environ 2% en volume de pores ouverts et reliée les uns* aux autres et une porosité totale de 4% en volume, et elle ast extrêmement dure. Bien qu'on ait utilisé de l'oxyde de chrome pour produira le revêtement préférentiel, à cause de sa dureté et de sa faculté de subir une finition pour prendre un poli ou état de surface très fin, des revêtements en silicate d'alumine et de zircone ou des revêtements en silicate de zircone par exemple peuvent être appliquée aisément et présentent des caractéristiques de porosité différentes.
Le silicate d'alumine et de zircone, par exemple, présente une porosité totale de 8 à 12 environ, et une porosité de 4% en volume sous forme de * ores ouverts,reliée les uns aux autres.
Après dépôt du revêtement préférentiel , la surface en oxyde de chrome est finie afin de présenter un poli compris entre 7 et 30 rms et on cherche, au coure de cette spération, à rester à l'extrémité inférieure do cette camme. On parvient à ce résultat en rectifiant la couche d'oxyde de chrome pulvérisée à l'aide d'une meule diamant ou en polissant d'une autre manière sa surface d'une façon connues, par exemple par rodage de la surface finale avec un diamant ou du carbure de bore en graina fins.
Un fini conpris dans cette gamme est préférable, car il fournit la surface optimum de support de La toile compatible avec la
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porosité de l'oxyde de chrome pulvérisé, pour retenir les gouttelettes d'eau sur cette surface afin de former une couche liquide sur laquelle la toile se déplace. La couche d'eau ainsi retenue lubrifie la toile lorsque celle-ci se déplace sur la surface isuaobile, pour réduire la friction au minimum.
Dîne le cas du revêtement d'un dessus de caisse aspirante, les perforations à travers lesquelles l'eau provenant de la toile passent lors de son écoulement vers la casse aspirante doivent être rectifiées et polies pour menacer un épaulement arrondi entourant l'orifice d'entrée aboutissant à chaque perforation, comme cela estmieux visible sur la figure 5. Par suite de la tension superficielle du liquide en fusion déposé sur la surface par pulvérisation comme décrit ci-avant, un certain arrondi est produit de façon inhérunte lors de la solidification du revêtement.
Néanmoins, il est préférable de polir encore ces surfaces sur les angles pour éliminer toutes les sources possibles d'usure et d'endommagement de la toile. Etant donné qu'une aspiration à un degré plus ou moins poussé est engendrée dans lea différentes caisses 35, la toile flexible et la feuille de papier partiellement formée qui se trouve à sa surface s'Infléchissent vers le bas dans l'embouchure de chacune des perforations. Si les angles n'étaient pas arrondis et polis de façon appropriée, il en résulterait une usure indésirable de la toile, du fait de la flexion à anlo vif chaque fois produite lorsque cette toile passe au-dessus des parois avant et arrière de chaque perforation.
L'usure que la flexion tend à produire sur la toile peut être réduite au minimum en prévoyant un arrondi approprié sur les bords supérieurs des perforations. L'arrondi progressif correspondant à un fini de surface poussé, produit
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sur le bord avant de chacune des lèvres de la traverse remplaçant le premier pontuseau et des feuilles minces, eat moins critique par suite de l'absence d'aspiration, maie il est également important.
En réalisant un contact à faible friction entre les surfaces immobiles et la face inférieure de la toile en mou- veillent, on réduit la puissance nécessaire à l'entraînement de la toile sens fin. Ceci réduit à son tour la contrainte exer- cée sur la toile quand celle-ci est mise sous tension par le mouleau de presse humide 22, qui assure l'entraînement, Si la. tension le la tuile est réglée de façon à être juste suffi- te pour maintenir cette toile à l'état plat sane déforma- tion, d'unu manière évitant tout allongement indésirable, la tendance à la dégradation de la toile du fait de son simple entraînement: est réduite au minimum.
Le revêtement utilisé suivant l'invention est légè- rement flexible et ceci est importent pour le fonctionnement d'une machine de type Fourdrinier, étant donné qu'occasionnel- lement les toiles vibrent et développent en service une condi- tion de battement. Les caractéristiques de résistance à l'usu- re combinées à la flexibilité notable obtenue, permettent aux revêtements suivant l'invention de continuer d'agir dans des conditions de travail qui ont été considérées comme inadmissi- bles pour des substances plus fragiles.
Cette propriété est également utilisée pour compenser le léger gauchissement et la légère torsion qui peuvent résulter logiquement de l'emploi d'éléments allongés tels que les feuilles minces, les traver- ces remplaçant les pontuseaux de tête et les dessus de caisses aspirantes sur des machines de type Fourdrinier existantes, et bien entendu son intérêt est important pendant le trans- port.
Il peut arriver, dans certains cas, qu'une partie de la surface revêtue suivant l'invention soit usée de façon
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i.rrcaaul.i2-:rs en service, La structure superficielle stratifiée décrite peut être rectifiée une ou plusieurs fois, selon
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l'épaiaueur du revotèrent final en oxyde métallique réfractai- re dépose sur l'élément de support.
Dans d'autres cas, le re- vêtement peut être par impact sous l'effet d'un corps dur capable de provoquer une fissure ou de détacher une zone localisée du revêtement. On peut remédier aisément à la formas tion d'unu faille de ce type en enlevant simplement la partie endommagée du revêtement dans la zone conoidérée et en appli- quant. une nouvelle couche par pulvérisation sur cette surface, pour recouvrir cette zone.
Quand ladite zone loca- lisée a été. munie d'un revêtement formé par une couche d'oxyde !
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métallique réfractaire ayant une epaisceur légèrement supéri- eure à l'épaisseur du revêtement précédent porté par l'élément, on peut rectifier la zone rechargée et amener cette surface à l'état délire pour qu'elle rejoigne le reste de la surface de l'élément. Quand le revêtement de finition a été usé, de sorte qu'il ne peut plus être rectifié de nouveau pour permet- tre une nouvelle utilisation, la surface de travail peut être
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reconstituée sur 1* élément de support.
Etant do -ré que le pro- ceciUa c: rvete'jnt peut être répété un nombre de foie îndj- fini, il eat évident que l'élément de support relativement cou- ! teux, muni d'un revêtement et fini comme indiqué précédemment, ,,,elit Ctr'3 rech.rct. .t soumis à une nouvelle finition d'une ..,z:.Wrc :sWztivew:z.t peu coûteuse, de sorte qu'il peut durer aussi lon,'.t(ps que 1. uachino en combinaison avec laquelle il est utilisé.
La au.-face revêtue peut, dans certaine cas, être encore traite par application d'une résine. Les revêtements
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forcée t'oxytiey réfractaireu poreux appliqués par projection eu sur une surface à partir d'une baguette solide peuventêtre @ à l'aide de résine phénolique, époxy
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ou de oiliconea. Lus peuvent être diluées et api,i-
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quees au pinceau ou à la brosue sur la surface formée pur pro- jection, puis stabilisées ..le manière connue.
La pénétration de la résine pur effet capillaire remplit lea pores ouverts
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COI:1: uuiquant entre eux et, en appliquant la résine en plusieurs foin, on peut atteindre dans des revêtements d'alumine des pénétrations aux- une profondeur de 0,75 mm environ Une couche de résine peut recouvrir la totalité de la surface de l'élé- ment revêtu, mais il eut préférable d'enlever la résine par
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polissage, de telle sorte que la couche d'oxyde métallique réfrztetaire soit exposée, la résine remplaçant simplement les pores.
De nombreuses modifications peuvent être apportées
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aux mode a de réalisation ducrits, dans le domaine des équi- valences techniques, sans s'écarter de 1' invention. Ainai, il n'est pa toujours essentiel d'utiliser la couche 3ous-
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j Lcente 40; Etais étant donné qU3 cette couche assure un meil- leur accrochage de la couche d'oxyde métallique réfractaire sur l'éludent de support tout en coopérant simultanément avec la couche externe peur forcer une couche composite plus imper- méable, une couche formée de nickel-chrome est utilisée de préférence.
Quand il eut nécessaire d'obtenir un
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revêtement complètement inpûraable cornrae indiqué précédem- ment, on \ eux impré ner complètement la couche sous-jacente et la couche d'oxyde métallique avec une réeine époxy, qui remplit les pores et qui s'intègre au revêtement appliqué
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sur .'f:.F::is:a dsr support. La rüaine époxy réalise l'étanchéi- sation de la couche d'oxyde métallique en pénétrant par éoou- lesent dan les pores ouverts cOtluun1quant entre eux et en subissant une stabilisation ot un durcitH30rJlt:nt sur plllC1th La. surface exposée peut être finie ou rectifiée afin de présen-
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ter le poli dJairé pour réduire l'usure est la friction eer- ce uur la 't ' L'..
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"MACHINE j; OiJH THE MANUFACTURE OF Pl, .Z.i" .-
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The present invention relates to papermaking machines equipped with a fabric of the type.
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Fourdriuier.
When using an endless wire mesh of the Fourdrinier type, it is customary to employ members in contact with the underside of the wire to control the dripping of water from the paste, to through this canvas. It is conventional to provide, at the end of the fabric corresponding to the dough box provided at the head of the machine, a crosspiece replacing the first pontueeau,
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COUlUl'111dlt the flow of Iteau from the suspension, paste and water; we can then climb under the canvas
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a number of faults tnjnces to promote the flow of water from the underside of this canvas.
In other areas, the canvas may be in contact via its lower face with a certain number of pontuseaux or rollers constituting an intermediate support.
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and also regulating the flow of water from the slurry and water resting on the wire. The thin sheets are mainly intended to cooperate with the pontuseaux to intercept the water which is projected
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by cH, mtl'ifncntion from these and which otherwise # ... 1 '. 11 '. t, 1-To 1 "# ail ', r.fj #. ##. # .1, .- 1,4 t Il 0, 1 ... IJü ti fil 1 eu utrvent: cï:.: nt to bear the canvas and limit the angle of wrapping of the forming medium around the rollers.
The thin sheets may also have additional elements bearing against the underside of the fabric to provide further control of water removal. In other areas suction organs are provided to provide controlled energy
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but positive, favoring the withdrawal of water from the rote to. an appropriate stage during the formation of the sheet of paper.
Various means have heretofore been used as surface coating agents for controlling the frictional cooperation which occurs between the underside of the rapidly moving web or web and the fixed or undergoing forming and suction members. horizontal oscillation. It is essential that these relatively fixed surfaces are free of friction as much as possible, have a long service life and, most importantly, that they cooperate with the Fourdrinier sieve or scrubber to a great extent. in a manner that minimizes damage resulting from friction contaot.
Since the service life of a fabric of the Fourdrinier type can, at the present time, be a few days, and goes up to, a maximum which does not usually exceed a week on heavy-duty manufacturing machines and at high speed, it is essential that members be provided at all points in the path of the web to minimize wear on the web.
When a fabric is worn to such an extent that its replacement becomes necessary, machine downtime is important in determining the economics involved in papermaking.
It is obvious that any improvement capable of increasing the service life of the fabric reduces to a minimum the work required to replace this fabric and increases the relative operating life of a machine of the Fourdrinier type which is itself very expensive, as well as that dryers and other dependent machines.
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The invention relates to a coating which may be provided on any of the various relatively immobile members which must cooperate with the fragile fabric per se, this coating being designed not only so as to minimize the friction generated by its contact with the surface. of the fabric, but also so as to constitute a wear-resistant surface, prolonging the service life of the particular organ considered.
When the friction resulting from the drag of the fabric on a stationary member is reduced, less power is sufficient to drag the fabric therefrom and the service life of the fabric is prolonged by eliminating the unwanted mass. The elimination of significant friction also minimizes wear and other damage factors such as scratches that occur on a more tensioned fabric etc ... factors which always intervene in the operation of a type machine. Fourdrinier.
Research has shown that a significantly improved surface can be achieved by using a hard, slightly porous, wear resistant refractory oxide material. A surface of this type is obtained by torch projection of a material of this type on a machine member. A suitable torch blasting technique is described in US Pat. No. 2,707,691 of May 3, 1955. Using this spraying or spraying technique, a spotting layer formed by a suitable refractory oxide can be applied. on the surface to come into contact with the underside of the fabric. A coating of this type is hard and exhibits excellent wear resistance characteristics.
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The invention is embodied in a Fourdrinier type papermaking machine comprising a wire mesh, in which the underside of the wire comes into contact with the upper surface of one or more rigid stationary members, each surface coming into contact with the upper surface of one or more rigid stationary members. in contact with the fabric being provided with a coating of refractory metal oxide obtained by spraying the oxide in the molten state on said surface.
The coating was slightly porous during its formation and the coating and spraying process can be controlled so as to develop such pores, which in use are filled with water flowing from the paste to form a surface. lubricated, to minimize friction between the moving canvas and the stationary surface.
The porous surface can be filled with an epoxy resin, in order to constitute an impermeable surface which can receive a surface finish such that it becomes very smooth and does not cause any friction. The coefficient of friction between the fabric and this surface is extremely low and excellent results are obtained by providing a surface of this type on the relatively fixed elements mentioned above, belonging to a Fourdrinier type machine,
In a modern Fourdrinier machine of the type mentioned above, there may be several relatively fixed surfaces of this type which come into contact with the fabric for various reasons.
During the implementation of the invention, a coating of this type can be applied to the bearing surface of the sleepers replacing the first pontuseaux, thin sheets of the Fourdrinier machine, the tops of suction boxes, etê ....
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Preferably, an inert support such as a member of stainless steel, brass, etc. is coated with a layer of nickel-chromium alloy spray applied to the web facing surface and the oxide layer. outer metal formed by spraying is then coated with nickel-chromium alloy by spraying or torch spraying The metal oxide surface formed by freezing molten droplets on the surface itself is somewhat porous and exhibits great hardness and high wear resistance.
It can be molded and polished to present a very high surface finish, which further minimizes the possibility of wear resulting from frictional contact on the underside of the web on movement.
The description which follows, given with reference to the appended drawings, given without limitation, will make it possible to better understand the invention.
Figure 1 is a schematic elevational view of a Fourdrinier type machine canvas showing some of the conventional elements associated with this canvas * Figure 2 is an enlarged sectional view through a suction box *
Figures 3 and 4 are sectional views 4 on a larger scale of the cross replacing the first bridge and thin sheets.
Figure 5 is an enlarged detail sectional view of a portion of the top of the suction box: showing a typical use of the invention.
Figure 6 is a detail sectional view of an alternative embodiment of thin sheet *
In a machine for the manufacture of the pqier of the classic Fourdrinier type, a sieve of wire mesh
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endless 10 is intended to pass over a series of support rollers in order to receive the wood fibers entrained in water or liquid pulp, in a manner known per se, from the box provided at the head of the machine ( not shown). The fabric is made of copper, bronze, an alloy with a high copper content, stainless steel or more recently synthetic fibers.
All of these constructions are hereinafter referred to generically as "canvas" and are subject to more or less the same wear characteristics and the same wear control processes. A customary commercial canvas can be, for example, 122 to 915 cm in width or more and a complete loop can extend over a length of 6 to 36 meters from one extract to another. These canvases are extremely expensive.
In service, the liquid paste flows through an adjustable valve to reach the wire or the screen, the flow of the paste being limited laterally to the surface of the moving strip by the usual covers (not shown).
At the end corresponding to the box provided at the head of the Fourdrinier-type machine, the fabric is supported by a head roll mounted on a loose 11. The liquid paste reaches the upper strand, which is in principle directed horizontally from the fabric, just beyond of. point of tangency between the roll 11 and the fabric which, at this location, constitutes the generally horizontal strand intended to form the sheet of paper. When the canvas leaves the roll 11 with the liquid slut flowing from the head box, the inner face of the canvas would have been supported by a stationary cross member 12 replacing the head bridge,
The crosspiece replacing the head pontuseau is
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shown in more detail in Figure 3 and may be in the form of a drip box 13 having a curved lateral wall 14 closely following the shape of the periphery of the roller 11. This crosspiece replacing the head bridge has a flat upper bearing surface 15 which rests directly against the underside of the web as it leaves the headbox, to prevent water from flowing too easily through the screen Until the fibers of the liquid paste undergo orientation on this sieve.
The remainder of the top of the crossmember replacing the head bridge includes a series of slits formed to allow water which has dripped through the screen to flow from the underside of the screen to the screen. in box 13, with a view to its evacuation. The slits are provided with lips 16 which may, if desired, be curved and which are profiled to act as scrapers removing water droplets which adhere to the underside of the fabric. The action of the lips 16 may be designed so as to delay or promote the passage of water through the fabric, which thus allows the felting of the fibers to be adjusted as the sheet of paper is formed.
Several rollers or bridges 20 can be provided to support the fabric up to the vicinity of the rear end of the horizontal strand forming the sheet of paper, provided that this sheet is formed on the fabric of the Fourdrinier type machine.
After passing over the last roll 20, the fabric extends downward to pass over the wet press roll 22. The sheet of paper leaves the fabric just above the wet press roll, in order to reach the bottom. first pair of press rollers, the canvas
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paaoe around that wet press roll to get back to
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.'cx.rttrritis head of the machine by paasing on the set of ouoport and tension rollers 23 and 24 and on the roller 25. The wet press roll is driven from the usual rxrni.wro to provide the only contact of the machine. training with the canvas.
Between their various bridges or rollers 20 coming into contact with the underside of the generally horizontal upper strand of the fabric, various relatively fixed elements can be arranged, for example thin sheets 30 and suction boxes 31. Thin sheets are
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shown on a larger scale in Figures 4 and 6.
These sheets also serve as scrapers acting from the
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same as the cross member 12 to regulate the elimination of water undergoing drainage through the underside
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some cobweb. The ulnate leaves may be associated with a 6, outtaze 32, to carry the water away from the star, but usually water drains from the leaves into a pit. The upper side
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of --hotu- ,, leafy is, split, so that the water i; ': 1 must pass freely from the underside of the web
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in the eni .-. 43rd 32 or the pit.
Each slot has a lip 33 which is applied against the underside of the screen
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or canvas, to direct the flow of water through this canvas and collect water from its underside. The flat surface 34 of the sheet is applied to the fabric at the rear end of this sheet and slows the flow of water through the fabric, supporting the latter as it moves towards the bridge 20, to limit the wrapping angle of the canvas around
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of this pontuseau.
The film '.; shown in Figure 6 shows books or scraper elements 33 of shapes
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different to separate the water from the underside of the web, such that a suction is produced by the configuration of the trailing edge. A certain suction effect is inherent in the action of the lip 33 shown in. figure 4.
Los suction boxes 31 such as those shown in more detail in FIG. 2 each include a vat 35 in which a vacuum can be created and which is therefore sealed on all sides, except at its top.
The suction box has orifices constituted by perforations, slits or holes of another type in its top 36, in order to apply against the underside of the fabric to suck water through this fabric, from a manner participating in the formation of the sheet of pulp or paper * Several suction boxes of this type are provided along the length of the strand of the fabric to facilitate the control of the removal of water, in order to provide the distribution fiber requirements for the particular type of paper being made.
It can be seen that the weight of the canvas itself, plus the weight of the paste carried by this canvas, causes the underside of the canvas to make notable friction contact with the relatively immobile surfaces of the crosspiece replacing the first bridge and thin sheets * 1: 9. only the contact of the canvas with the bridge 20 produces some frictional resistance and all of these forces are involved in the control and maintenance of the canvas and produce conditions which do not allow '' obtain a long service life for the canvas * To these conditions must also be added the stress exerted on the canvas by the strong drag produced on it when the various suction boxes applied against its
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underside are in use.
Under ideal conditions, a wire formed by a copper alloy moving on a conventional type high-efficiency, high-speed Fourdrinier-type machine, such as that used for making newsprint, can run for about two weeks without interruption.
When the conditions are not ideal, and when an unusual tear or wear develops, so that the coil is destroyed or a shorter period of time the manufacturing costs increase, because not only the expensive canvas itself has to be put scrap, but the papermaking plant should be shut down for a period of time ranging from 4 to 8 hours or up to a similar value, until the machine is fitted with a new fabric. This reduces production and adds to the cost of the skilled labor that must intervene to handle the canvas.
One of the aims of the invention is to create an improved surface intended for the stationary elements of a machine of this type coming into contact with the canvas in motion. Bile relates to an improved construction to reduce fabric wear and machine downtime resulting in better efficiency in papermaking.
This is achieved by covering the bearing surfaces of these elements, such as the crosspiece replacing the first bridge, the lips of the thin sheets and the tops of suction boxes, which come into contact with the canvas, with the aid of a material formed by a hard wear resistant refractory oxide. Research has shown that not only does this measure incidentally extend the life of the elements themselves, in a way
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more or less indefinite, but that, according to a preferred embodiment, the result is a reduction to a minimum degree of the frictional contact produced between the members rubbing against one another.
In addition to the aforementioned advantages, it has also been found that the coating mode indicates prevents gritty objects from getting lodged in a contact surface, as sometimes happens when a top of type maple suction boxes is used.
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cl & cique, so that another source of damage: \ 'h16 :: "Áte to current Pourdrinier machines is:" ...-. r, rir: 1Óe.
If one proceeds according to a preferred embodiment of the invention, the elements such as the elements 15, 16, 33, 34, 36, etc ... are covered with a bearing surface minimizing the contact of friction with the underside of the fabric, These elements are preferably formed by inert or corrosion-resistant materials like bronze or stainless steel, which constitute an optimum basic or support element with a view to use on a papermaking machine.
The support member is prepared for receiving the spotted coating according to the invention by any suitable cleaning process, but it seems preferable to proceed by blasting using an abrasive grain such as molten alumina. grain size from 1.19 to 0.73 mm. perforated 36
A suction / formed top of No. 304 stainless steel is a typical feature to which the invention may be applied.
This suction box top is cleaned with a sandblast using alumina with a grain size of 0.73 mm, entrained by a current of air under a pressure of 2.8 kg / cm2 and projected at a speed
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allowing to sweep from 63.5 to 190 cm2 per minute, in order to
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The support stand in the desired state for the application of a metal coating 40 formed by a nickel-chrome alloy sprayed with a torch as shown in FIG. 5.
This. approximately 80% nickel-chromium alloy formed
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of nickel and 20% of casing and it can be applied to the top of the suction box by a conventional technique of molten metal spraying, for example by
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metallization. A layer of nickel-chromium with a thickness of approximately 0.075 mm seems to give optimum results as an intermediate layer for the reception of the bearing layer 41 according to the invention. However, a range
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d! Thicknesses ranging from 0.05 to 0.15 mm appear to be usable as an intermediate layer for the type of refractory oxides described here, and even coatings can be used
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3 '.) Us-jaccnts uy.'int un'3 thickness up to 0.33 mm.
The bearing layer preferably used is obtained by spraying or spraying with a torch on the
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1.'evtt: m "nt aouu-jacont or base coating in n.crel-chrome, OO:.: È indtqu in US patent no. 2,707.6, tl already cited.
It can be seen that any of the refractory oxides Mention: here gives more or less satisfaction, but
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, zr.Au '.rs: n.t it is ::. bl ,. that chromium oxide gives optimum results. Zirconia alumina silicate and, in some cases, zirconia silicate which has a particularly high coefficient of friction can be used.
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weak, I considered the application.
The molten droplets of chromium oxide or dl utrep oxides w # talli ;; ues refractories sprayed on the surface to be covered solidify in situ when they reach this surface and flatten during their solidification,. To form a porous coating type
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laminate. These droplets form a layer with a thickness of about 1 mm, which cooperate so as to be generally in a glan parallel to the surface of the object to be provided with the coating, the system apparently forming a hard coating, resistant to leaching. wear, which exhibits an unexpected degree of flexibility. This surface layer may have a thickness of about 0.25 to 1.80 mm.
Such a surface, formed of chromium oxide, has about 2% by volume of pores open and joined to each other and a total porosity of 4% by volume, and is extremely hard. Although chromium oxide has been used to produce the preferred coating, because of its hardness and its ability to undergo a finish to achieve a very fine polish or surface finish, alumina silicate coatings and Zirconia or zirconia silicate coatings, for example, can be easily applied and exhibit different porosity characteristics.
Alumina zirconia silicate, for example, has a total porosity of about 8 to 12, and a porosity of 4% by volume as open ores joined to each other.
After depositing the preferential coating, the chromium oxide surface is finished in order to present a polish of between 7 and 30 rms and it is sought, during this speration, to remain at the lower end of this camme. This is achieved by grinding the pulverized chromium oxide layer with a diamond grinding wheel or otherwise polishing its surface in a known manner, for example by lapping the final surface with a fine grain diamond or boron carbide.
A finish within this range is preferred, as it provides the optimum canvas support surface compatible with the
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porosity of the pulverized chromium oxide, to retain water droplets on this surface to form a liquid layer on which the fabric moves. The layer of water thus retained lubricates the canvas as it moves on the isuaobile surface, to reduce friction to a minimum.
In the case of the coating of a suction box top, the perforations through which the water coming from the canvas passes during its flow to the suction box must be rectified and polished to threaten a rounded shoulder surrounding the orifice of entry leading to each perforation, as best seen in Figure 5. As a result of the surface tension of the molten liquid sprayed onto the surface as described above, some rounding is inherently produced during solidification of the coating.
Nevertheless, it is preferable to further polish these surfaces on the corners to eliminate all possible sources of wear and damage to the fabric. Since suction to a greater or lesser degree is generated in the various cases 35, the flexible web and the partially formed sheet of paper which is on its surface bend downwardly into the mouth of each of the cases. perforations. If the angles were not rounded and polished appropriately, unwanted canvas wear would result, due to the sharp bending each time produced when this canvas passes over the front and back walls of each perforation. .
The wear that bending tends to produce on the fabric can be minimized by providing appropriate rounding at the top edges of the perforations. The progressive rounding corresponding to a high surface finish, produces
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on the leading edge of each of the lips of the crosspiece replacing the first pontuseau and thin sheets, is less critical due to the absence of suction, but it is also important.
By making low friction contact between the stationary surfaces and the underside of the wetted fabric, the power required to drive the fine-sense fabric is reduced. This in turn reduces the stress exerted on the fabric when it is tensioned by the wet press mold 22, which provides the drive, Si la. the tension of the tile is adjusted so as to be just sufficient to maintain this fabric in a flat state without deformation, in a manner which avoids any undesirable elongation, the tendency for degradation of the fabric due to its simple. training: is reduced to a minimum.
The coating used according to the invention is slightly flexible and this is important for the operation of a Fourdrinier type machine, since occasionally the webs vibrate and develop in service a flapping condition. The wear resistance characteristics combined with the significant flexibility obtained, allow the coatings according to the invention to continue to act under working conditions which have been considered unacceptable for more fragile substances.
This property is also used to compensate for the slight warping and the slight twisting which can logically result from the use of elongated elements such as thin sheets, cross beams replacing head bridges and suction box tops on machines. of the existing Fourdrinier type, and of course its interest is important during transport.
It may happen, in certain cases, that part of the surface coated according to the invention is worn in such a way.
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i.rrcaaul.i2-: rs in service, The described stratified surface structure can be rectified one or more times, depending on
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the final thickness of the refractory metal oxide deposited on the support element.
In other cases, the coating may be impacted by a hard body capable of causing a crack or detaching a localized area of the coating. The formation of such a fault can be easily remedied by simply removing the damaged portion of the coating in the conoidal area and applying. spray a new coat on this surface to cover this area.
When said localized area has been. provided with a coating formed by an oxide layer!
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refractory metal having a thickness slightly greater than the thickness of the previous coating carried by the element, the recharged area can be rectified and this surface brought to the delirium state so that it joins the rest of the surface of the element. element. When the topcoat has been worn away, so that it cannot be re-grounded for further use, the work surface can be
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reconstituted on 1 * support element.
Since the product can be repeated for a finite number of times, it is evident that the relatively short support member! teux, provided with a coating and finished as indicated above, ,,, elit Ctr'3 rech.rct. .t subjected to a new finish of a .., z: .Wrc: sWztivew: zt inexpensive, so that it can last also lon, '. t (ps as 1. uachino in combination with which it is used .
The coated surface may in some cases be further treated by application of a resin. Coatings
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forced porous refractory oxytiey sprayed on a surface from a solid rod can be @ using phenolic resin, epoxy
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or oiliconea. Lus can be diluted and api, i-
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brush or brosue the surface formed by projection, then stabilized in the known manner.
Penetration of pure resin hair effect fills open pores
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COI: 1: By applying between them and, by applying the resin in several hays, it is possible to achieve in alumina coatings penetrations to a depth of about 0.75 mm. One layer of resin can cover the entire surface of the coated element, but it was preferable to remove the resin by
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polishing, so that the refractory metal oxide layer is exposed, the resin simply replacing the pores.
Many modifications can be made
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to the embodiments described, in the field of technical equivalence, without departing from the invention. Therefore, it is not always essential to use the 3 sub-layer.
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j Lcente 40; This was because this layer ensures better adhesion of the refractory metal oxide layer to the support elude while simultaneously cooperating with the outer layer to force a more impermeable composite layer, a layer formed of nickel. chromium is preferably used.
When it was necessary to obtain a
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completely impregnable coating as indicated above, the underlying layer and the metal oxide layer are completely impregnated with an epoxy resin, which fills the pores and integrates with the applied coating
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on .'f: .F :: is: a dsr support. The epoxy tape seals the metal oxide layer by water penetrating the open pores adjacent to each other and undergoing stabilization and curing over the surface. The exposed surface can be finished or ground. in order to present
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ter the dJaired polish to reduce wear is the friction eer- ce on the 't' L '.