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Machine rotative pour l'impression complète des papiers fiduciaires en général et des billets de banque en particulier.
C'est un fait connu que pour l'impression des papiers fiduciaires et plus spécialement des billets de banque, deux procédés d'impression différents, au moins, sont utilisés en superposition, dans le but principal d'augmenter la protection du produit imprima contre la. falsification.
Pour l'impression des fonds, la préférence est donnée aux procédés offset ou de typographie indirecte. Ces deux procèdes d'impression peuvent être réalisée, à volonté, avant ou après l'impression du sujet principal imprimé en taille-douce. Par la suite, les billets de banque et les
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papiers fiduciaires sont numérotés - en général sur un seul côté.
Pour l'impression des fonds de sécurité, une atten- tion particulière eut vouée au repérage parfait - essentiel du point de vue de la protection - entre les différentes couleurs adjacentes ou superposées ot entre les configura- tions des dessina.
Pour l'impression du sujet principal, on applique le procédé taills-douce, monochrome ou polychrome, parce que oe procédé offre une proteotion particulièrement effi- cace contre les falsifications.
L'impression des fonda est effectués aveo des machines offset ou des machines à typographie directe ou indirecte:en général, ces machines impriment soit un cote de la feuille en deux couleurs, soit simultanément, le recto et le verso de la feuille, en une ou plusieurs cou- leurs. Pour l'impression des papiers fiduciaires qui exigent un maximum de protection, les deux cotes de la feuille sont imprimas en taille-douce, en deux tirages successifs. En général, pour les petites et moyennes coupures qui prédomi- nent dans la circulation des billets de banque, seul un coté de la feuille est imprimé en taille-douce. On procède ensuite - comme déjà indiqué - au numérotage qui est appliqué en général sur un seul coté de la feuille.
Il existe, en outre, des machines à la bobine qui exploitent la combinaison de différents procédés d'impression dans le but d'abaisser le prix de revient pour certains billets de banque ou autres papiers fiduciaires. On renonce ainsi d'emblée à d'importants éléments artistiques et de protection. Il est impossible entre autre d'assurer un
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repérage parfait entre le filigrane à déterminé particulièrement le filigrane comportant un portrait - et * imprimée du papier fiduciaire. Et pourtant, une toile ' caractéristique est d'une importance considérable en tant qu'élément de protection.
Cette impossibilité est due au fait que la bobine ne peut être contrôlée avec une précision suffisante pour assurer l'obtention d'un parfait repérage malgré des dispositifs de contrôle électroniques complexes.
Les diamètres des cylindres des machines à la bebi- ne sont relativement petits, ce qui - selon l'expérience faite - porte préjudice à la qualité d'impression,, particu- librement en vue des exigences inhérentes à l'impression des billets de banque et des papiers fiduciaires.
Il devrait d'Ailleurs être tenu compte du fait que les machines 'imprimer à la bobine ne permettent que des formats d'impres- sion réduits, eu égard à la largeur de la bobine,
Il faut, enfin, tenir compte du fait qu'une bobine de papier forme une unité compact qui peut comporter des endroits défectueux d'une surface plus ou moins grande, Il n'est pas possible de sélectionner les parties imprimables de la bobine et seul un montrôle final des imprinés terminés laisse apparaîtra les défectuosités éventuelles.
Au con- traire, lorsqu'on imprima des billets de banque et des pa- piers fiduciaires à la feuilletun contrôle rigoureux et une sélection ont déjà lieu dans la fabrique de papier avant l'expédition. Contrairement à l'impression à la bobine, on emploie un nombre déterminé de feuilles, garantissant ainsi un contrôle précis de la consommation du papier entre le commencement et la fin de son impression, Ce contrôle, au contraire, est extrêmement difficile en travaillant à la. bobine. On connaît pourtout l'importance du papier en égard aux contre-façons dos billets de banque et papiers valaur.
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La présente invention a pour objet la création , d'une machine rotative à la feuille pour l'impression complète des papiers fiduciaires et plus spécialement des billets de banque, offrant tous les avantages de l'impression
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à la feuille sans les désavantages de 1J Impression à la bobine. On élimine, en outre, les opérations de contrôle,
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compliquées et onéreuses, ainsi que les transports norm4- lement requis entre les différentes phases d'impression.
Dans le but de produire des papiers fiduciaires et plus spécialement des billets de banque, complètement imprimée, la rotative suivant l'invention se caractérise d'une manière générale par une multiplicité d'éléments
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d'impression mettant en oeuvre différents procédés dfîmpree- sion, grâoo auxquels les deux oôt6ri de la feuille peuvent ptre imprimas complètement en un seul passage dans la i,aohine.1
Cette machine, oomprend essentiellement la combinaison des éléments suivants: un élément rotatif d'impression taille-douce doté d in mar-
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geur de feuilles, grâce auquel les feuilles reçois on-fe lijm- pression du sujet principal sur l'un ou les deux uîtéa, en une ou plusieurs couleurs;
un premier système transporteur qui dirige les fer Iles
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depuis l'élément rotatif taille-douce à un dlàmen rotatif offset ou à un élément rotatif de typographie di ete ou
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indirecte où elles reçoivent l'impression des .nds, sur l'un ou les deux côtés en une ou plusieurs courra; un deuxième système transporteur qui dirige ler feuilles
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depuis l'élément rotatif offset ou de typogr-- ,' .ii directe ' ou indirecte à l'élément d'impression où. 01'.'\ reçoivent l'impression ou le gaufrage de numéros, 1 ai:;:; Sures, 1 Bcea.ux ou de petits textes. .
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La machina suivant l'invention imprime tout d'abord le sujet principal du billet ou du papier fiduciaire selon le procédé taille-douce en une ou plusieurs codeurs, sur l'un ou les deux cotés da la. feuille, puis les fonds de sécurité en une ou plusieurs couleurs sur l'un ou le deux côtés de la. feuillj, selon le procédé offset ou typographique direct ou indirect et, finalement, les numéros, signatures, sceaux ou 'petits textes sur l'un ou les d3ux côtés de la.
:touille en une ou plusieurs couleurs. Grâse à cotte méthode, les buta des machines à la bobine, considérés sous l'angle artistique, technique et de rentabilité, se trouvant largement dépasses.
Un développement ultérieur de la machine, objet de l'invention,, est basé sur les faits suivants:
Le numérotage des billets de banque et autres papiers fiduciaires revêt la plus haute importance du point de vue de la sécurité. Par conséquent, les imprimeries sont obligées d'effectuer, avant l'opération du numérotage, un contrôle de la qualité qui exige beaucoup de temps et un personnel qualifié.
Sur la base de la présente invention, la machine est caractérisée par le fait que - avant le numérotage et le gaufrage des signatures, sceaux ou textes - se trouve inséré un dispositif (électronique de préférence) pour le contrôle de la qualité et la sélection des feuillesle comptage des feuilles défectueuses simplifie les contrôles finaux, jusqu'ici très complexes.
D'autres caractéristiques de l'invention seront décrites ci-après à propos de deux exemples d'exécution, en référence aux dessins annexés sur lesquels
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La figure 1 est une vue simplifiée en élevât in de la partie amont de la machine, montrant notamment un margeur en nappe, d'un cylindre de transfert, un cyl dre d'impression des éléments d'encrage, un cylindre essuyer ot un dispositif de séchage.
La figure 2 est une vue analogue à la suite de la maohine comprenant l'installation de séchage, le cyin- dre de transfert et les cylindres porte-blanchet et pone- plaques, ainsi que organes d'encrage deux couleurs.
La figure 3 est une vue de la suite de la mach@ne montrant les dispositifs de contrôle et les cylindres d'impression typographique.
La figure 4 est une vue analogue à la figure 1 d'une installation dotée d'un dispositif d'essuyage oalic:t ou papier.
Les mêmes nombres de référence sont employés sur les figures 1 et 4 pour les organes communs.
Dans la machine des figures 1 à 3 du dessin annexe, chaque feuille est amenée aux taquets de marge par un margeur en nappe automatique 1 où sa position est contrô- lée par des tâteurs et ajustée par un dispositif d'aligne- ment des feuilles.
Si la fouille n'est pas alignée impeccablement aux taquets de marge, l'alimentation des feuilles s'arrête automatiquement et les éléments essentiels du processus d'impression sont automatiquement mis hors pression. De ce fait, tout endommagement des plaques dû à une alimentation défectueuse des feuilles est exclu. Les mouvements de déclenchement automatique ont lieu en parfaite synchroni- sation selon la séquence des processus d'impression de façon telle que l'impression des feuilles, encore en cours de production, puisse être complétée.
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La feuille, alimentée par le margeur en nappe 2, est saisie par le cylindre de transfert 3 à l'instant même ou. ils marquent tous deux un temps d'arrêt. Le cylindre de transfert 3 cède la fouille au cylindre d'impression 4 au moment où le cylindre de transfert 3 atteint la vitesse pé- riphérique du cylindre d'impression 4.
Le long du parcours de la feuille et sur les doux côtés, il y a des dispositifs de dépoussiérage 7 des feuilles constitués par des grilles à mailles très serrées et, coupantes, qui emportent les fibres détachées du papier et aspirent la poussière et toute particule cui causent dos fréquenta arrêts de la machine pendant la production.
Les dispositifs de dépoussiérage des feuilles, selon l'invention, éliminent un grand désavantage inhérent à tous les dispositifs connus à ce jour, qui sont obstrués par la poussière dans un temps relativement court, ce qui diminue leur efficacité et exige des substitutions et des ajustages fréquents.
Si nécessaire, la feuille saisie par lea pinces du cylindre d'impression 4 pourra être exposée à un jet de vapeur par le dispositif 8. Cela permet de travailler avec du papier extrêmement dur, sans devoir utiliser une pression excessive. En outre, la feuille pourra passer par les dis- positifs de démagnétisation 6 situés de préférence sur les deux cotés.
Dann l'unité taille-douce 16 la fouille passe ensuite, sous pression, entre le cylindre d'impression 4 et le cylindre porte-plaques 5. Los plaques, montées sur le cylindre porte-plaques 5 auront été préalablement encrées, selon le cas, on une, deux ou trois couleurs au moyen dU' dispositif d'encrage 17, puis essuyées.
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A l'encontre de la technique actuelle, l'encrege des plaques n'a pas lieu au moyen de rouleaux caoutchouc fraisée ou sectionnés, mais, selon cette invention, au moyen de rouleaux lisses 9, 10, 11 en matière élastique, qui ont une plus longue durée et permettent en outre une meilleure introduction de l'encra dans les tailles gravées des plaques. Dans chacun des encriers 13, 14, 15 le rouleau touoheur est précédé d'un rouleau de sélection 12a, 12b, 12e en matière non élastique, permettant une délimitation beaucoup plus précise et fine des zones devant être imprimées dans una couleur déterminée.
Los zones des rouleaux de sélection destinés au transfert de l'encre peuvent être soit en relief, soit délimitées par effet chimique ou magnétique.
L'expérience démontre que le procédé d'essuyage tout comme les matériaux utilisés à cet effet sont liés à la composition des encres. La machine de cette invention permet 1 utilisation de tous les systèmes d'essuyage connus, c'est-à-dire l'essuyage papier, l'essuyage calicot ou autre matériau adéquat, ainsi que l'usage du cylindre essuyeur 19, suivant les nécessités et les caractéristiques des encres.
Le système d'essuyage selon la présente invention est précédé d'un cylindre, de préférence réglable 18 qui tourna sous pression en contact avec la plaque d'impression, et qui a pour but de comprimer fortement l'encre dans lea tailles gravées des plaques. A ce sujet, il y a lieu de mentionner qu'en imprimant en polychromie, ce cylindre ne mélangera pas les différentes encres taille-douce. Après chaque révolution en contact avec la plaque d'impression
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la cylindre sera lavé dans un récipient contenant du solvant;de cotte manière il sera parfaitement propre et sec lorsqu'il entrera à nouveau en contact avec la plaque d'impression.
La cylindre d'impression 4 cède la feuille imprimée au dispositif de pinces à chaînes 25 entraîné par les commandes 20,26. Ce dispositif de pinces à chaînes transporte 1a ieuille à un dispositif de séchage d'encre qui, oeloh la présente invention, est conçu de façon que les flammes des brûleurs à gaz 21 agissent directement sur l'impression taille-douce fraîche. Les brûleurs à gaz 21 sont ! commandés par des soupapes électro-magnétiques afin de limiter leur champ d'action à la surface imprimée de la feuille.
Simultanément, et selon la présente invention, la feuille passe au-dessus d'une plaque 22 avec circulation d'eau de refroidissement. Pour obtenir une adhérence .parfaite de la feuille à la plaque 22, cette dernière est douée d'un dispositif d'aspiration incorporé.
Le long de son parcours ultérieur la feuille, constamment saisie par les pinces du dispositif 23, est exposée à l'action des vaporisateurs d'eau 24. La feuille est complètement refroidie par l'effet de la plagie 22 et des vaporisateurs d'eau 24. Elle est maintenant prête pour les processus d'impression suivants. La feuille, saisie par le dispositif de pinces à chaînes 23 sera supportée par des souffleries d'air 25 pendant son transport ultérieur à l'élément d'impression à typographie indirecte 41 où s'et- fectuera, sur les deux côtés de la feuille, l'impression des . fonds de sécurité.
Dans l'exemple illustré,l'impression des fonda se fait au moyen d'un élément à typographie indirecte 41 avao
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deux cylindres porte-blanchet 27, 28 qui permettent l'im pression simultanée recto et verso, en couleurs et dessin adjacents et/ou superposas. Cela offre des possibilités du point de vue de la sécurité, qui jusqu'ici n'ont pu être atteintes. Pour le côté de la feuille ayant déjà reçu uns impression taille-douce, on a prévu un chariot d'encrage mobile 35 avec les cylindres porte-plaques 32,33 et las dispositifs d'encrage correspondants 39, 40, tandis que pour le cote non imprimé de la feuille, on a prévu un chariot d'encrage mobile 34 avec les cylindres porte-plaqu's 29, 30, 31 et les dispositifs d'encrage correspondants 36, 37, 38.
Par conséquent, la création des billets de banque et des papiers fiduciaires, du point de vue artisti. que et de la sécurité, ne rencontre pas des limites.
Le coté des fonds à deux couleurs offre les posai , bilitée de combinaison suivantes!
Première + deuxième couleur = Couleur composée.
Au total: Deux couleurs de base + une couleur composée *= Trois couleurs
Le côté des fonds à trois couleurs offre des possibilités de combinaison encore plus grandes, et peut donc être utilise pour l'impression du sujet principal sur lo coté non imprimé de la feuilles
Première + deuxième couleur Première couleur composée
Première + troisième couleur= Deuxième couleur composée
Deuxième + troisième couleur Troisième couleur composée
Au total:Trois couleurs de base + trois couleurs composées = Six couleurs
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Chacune des couleurs de base peut être imprimée 'en Iris, oe qui représente l'avantage d'accroître les effets ( et les combinaisons en augmentant ainsi la sécurité.
Le registre parfait est assuré par le fait que les couleurs et dessins sur les différentes plaques d'impression sont composés sur un seul blanchet et transférés simultané- ment à la feuille.
Tendait l'impression selon le procédé décrit ci- dessus,la feuille est maintenue par des pinces sur le cylindre porte-blanchet 27 et puis cédée eu dispositif de pinces à chaînes 43 entraîné par les commandos 42, 46. Le dispositif de pinces à chaînes 43 amène la, feuille à travers un tunnel do raccordement 44 à un élément intermédiaire 45, pour le contrôla électronique de la qualité d'impression, précédant le numérotage 50 désigne le poste de service,
La cylindre de transfert 46 remet la fouille aux pinças du cylindre lisse 47 qui a. pour but de guida? la feuille durant le contrôle électronique afin de garantir une adhérence par- faite.
Pendant ce parcours, la qualité d'impression est examinée par les dispositifs de contrôle électroniques 48. les feuilles de qualité satisfaisante sont saisies par le dispositif de pinces à chaînes 54,entraîné par lea commandes
51, 53, 55, qui les transporte à l'élément de numérotage et d'impression des textes 56. Par oontre, les feuilles rejetées sont déposées sur une tabla séparée 49 sous l'impulsion du dispositif 48. Simultanément, cette impulsion commande un compteur qui enregistre le nombre des feuilles défectueuses déposées sur la table séparée 49. En outre, cette impulsion commande un dispositif qui évite la commutation des numéro- -teurs dans le cas où une feuille n'est Pas avancée.
De cette
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façon, seules les feuilles parfaites parviennent à l'élit du numérotage. Cette caractéristique revêt la plus grande importance dans la production des billets de banque et des papiers fiduciaire, en vue d'un conte^le 0 rigoureux. Le numérotée sera continu et dans une séance correcte grâce aux différents dispositifs de sécurité.
L'élément de numérotage et de surimpression des textes 56 est destiné à l'impression de numéros, signatures, sceaux et petits textes etc... sur un côté de la feuille.
II pourra aussi être utilisé pour le gaufrage à sec selon la nature du papier fiduciaire à produire. Il possède deux cylindres porte-numéroteurs ou porte-clichés 58, 59 qui sont identiques et, deux dispositif* d'ancrage 60, 61. Par conséquent, il est possible d'y mentor à volonté soit des numéroteurs soit des clichés de textes. Un cylindre peut être utilisé pour l'impression des textes et l'autre pour le numérotage, Si la distance entre les numéros à imprimer dans l sens axial et périphérique ne permet pas de monter ces numéroteurs sur un seul cylindre 58 ou 59, il existe la possibilité d'utiliser ces deux cylindres 58 et 59 qui dans ce cas impriment alternativement.
Ensuite, la feuille est saisie par les pinces du dispositif de pinces à chaînes 63 avec des cylindres de transfert 62, 64 qui déposent la feuille sur l'une des deux tables de sortie 67, 68 disposa L'uns derrière l'autre par l'intermédiaire des cames de commande 65 et 66. Une cellule photoélectrique enregistre et compte les fouilles avant qu'elles soient déposées, Si aucune feuille n'est avancée, 10 comptage est interrompu, oe qui veut dire que le passage de la pince seule ne suffit pas pour enclencher
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la cellule photoélectrique. Le nombre d -fouillas à déposer sur chacune dos tables de sortie peut être établi par un compteur électronique.
Dès que la première table 67 aura reçu la nombre de feuilles désiré, la sortie des feuilles se fera automatiquement sur la second.6 table de sortie 68.
Il sera ensuite possible de retirerltéralement de la maohine la première table de sortie f". Grâce à colite dis- position, il est possible de contrôle? constamment les feuilles pendant la marche de la maciine. En outre, le comp- teur électronique susmentionné se amstitus à l'opération de comptage habituel des fouilles qui, jusqu'à prJsert, se faisait séparément.
En ce qui concerne la perfection du registre, il faut particulièrement souligner que la fouilla est conti- nuellement tenue par des pinces. Les tensions qui sont iné- vitables sur des bandes de papier de longueur considérable sont exclues.
Le contrôle du registre est également assaré par le fait que les différents éléments d'impression sont commandés par des moteurs individuels, synchronies entre eux par un contrôle électronique des révolutions des meteurs ou connectés entre eux par des arbres rigides avec accou- plements mécaniques ou électro-magnétiques réglables.
En outre, la commande du dispositif des pinces à chaînes pour le transport de la feuille entre les diverses unités d'impression est effectuée par des moteurs indivi- duels à vitesse variable. Ces moteurs sont également syn- chrchisés et réglables par rapport à la vitesse d'impression des différents éléments. Ce système de commande permet aussi
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la. préparation individu.le des différents éléments d'im- pression (making-ready, alimentation en encre etc...) et leur lavage séparé âpre! l'impression.
Le fait que Le systèmes transporteurs entre les différentes unités soie-1 constitués par des dispositifs de pinces à chaînes est utile dans le cadre de la présente invention mais non indi pensable. Il est possible de pré- voir, devant chaque uit d'impression, une nouvelle table de marge avec taquets de repérage frontaux et latéral sur la base de systèmes conus.
La combinaison d' éléments d'impression connus, pour l'impression taille-douce, typographique indirecte et typo- graphique directe peut être également réalisée dans la cas où les différents éléments d'impression possèdent des cy- lindres de diamètres différents et, en conséquence, des vi- tesses de papier différentes..
En prévoyant des tables de marge avec taquets de repérage frontaux et latéraux avant chaque élément d'im- pression, seul le rythme du travail est décisif, mais non la vitesse périphérique, à condition toutefois que les différents éléments d'impression aient des commandes accou- plées et exactement la même production horaire des :feuilles.
A l'heure actuelle, on connaît l'utilisation de marges renouvelées devant les unités dépression* individuelles ou similaires avec des diamètres de cylindres identiques, c'est-à-dire dans les machines hélio à la 'feuille. Néanmoins, selon cette invention et grâce au système,de marge renou- velée, il devient également possible de combiner des cy- lindres d'impression de formats divers de différents éléments, de façon à former une machine à imprimer complète.
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Les vitesses périphériques sont identiques afin de permettre que les feuilles soient transportées par les dispositifs de pinces à chaînes, en parfait repérage, directement d'un élément d'impression à l'autre. Les dispo- sitifs de pinces à chaînes, assurant un parfait repérage, sont connus; cependant, à ce jour, ils étaient employés uniquement pour relier des éléments d'impression identiques, par exemple deux éléments d'impression offset 0 deux couleurs combinés pour former une machine offset quatre couleurs;
Selon cette invention, les dispositifs de pinces à chaînes, déjà connus, relient maintenant des éléments totalement différents, par exemple un élément d'impression taille-douce polychrome avec un élément à typographie indirecte à. cinq couleurs, pour l'impression simultanée recte et versc.
On obtient ainsi un guidage obligé de la. feuille à travers toute la machine complète, objet do la. présenta invention.
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