<Desc/Clms Page number 1>
" Brûleur "
La présente invention concerne un brûleur perfeo- tionné et en particulier un dispositif perfectionné d'allu- mage et de vaporisation pour brûleurs.
Les principaux objets de l'invention sont les suivants : - un dispositif d'allumage et de vaporisation électrique pour brûleurs consommant un combustible d'hy- drocarbure liquide; - un brûleur du type précité qui fonctionne à plein feu au bout d'aussi peu de temps que possible après l'allumage ; - un dispositif au moyen duquel la chaleur accu- mulée sert à la vaporisation initiale d'un notable volume d'hydrocarbure liquide au moment de la mise en Train;
<Desc/Clms Page number 2>
- un dispositif perfectionne faisant arriver l'air d'allumage et l'air cambrant dans un brûleur du type décrit! - un dispositif formant une nappe ou écran pro- teoteur d'air autour de la cuvette du brûleur du type décrit, ce qui augmente le rendement du brûleur et rédui- sant au minimum les pertes de chaleur; - un dispositif perfectionne d'allumée et de vaporisation pour ces brûleurs, d'un fonctionnement effi- oace et facile à démonter pour le nettoyer et le réparer lorsqu'il est nécessaire de le faire; - un dispositif de cette nature en combinaison avec un brûleur du type dit à cuvette horizontale.
D'autres caractéristiques de l'invention appa- raîtront au fur et à mesure de la description détaillée qui en est donnée ci-après avec le dessin ci-joint à l'appui sous forme plus ou. moins schématique et sur le- quel : s la fig. 1 est une coupe verticale passant par l'axe du brûleur; la fig. 2 est une élévation en bout partielle du brûleur de la fig. 1 qui comporte le dispositif de vaporisation, mais non l'élément d'allumage électrique, et la fig. 3 est une coupe suivant la ligne 3-3 de la fig. 1.
Les mômes éléments sont désignés par les mêmes références sur toutes les figures.
<Desc/Clms Page number 3>
La fig. 1 représente un brûleur du type à cuvet- te horizontale qui peut Atre monté sur ur. dispositif de chauffage quelconque approprié, fourneau ou four non re- présenté. Les dispositifs de montage du brûleur sur un appareil de chauffage peuvent être de formes très diver- ses, ne font pas partie de l'invention par elles-mêmes et par suite ne sont pas représentés en détail. Mais il doit être bien entendu que le brûleur de la fig. 1 peut être monté dans une position appropriée par rapport à un appa- reil de chauffage ou fourneau de façon à diriger la flam- me du brûleur dans l'appareil de chauffage ou fourneau, ou dans un échangeur de chaleur approprié.
Le brûleur comporte d'une manière générale à une extrémité un appareil d'all@mage désigné par A d'une manière générale sur la fig. 1, et portant un dispositif d'allumage décrit plus loin et logé dans une chambre com- muniquant avec l'intérieur d'un vaporiseur disposé sui- vant l'axe longitudinal de la cuvette, mais lui-même dans une zone relativement froide. Il doit être bien entendu que le combustible à brûler arrive par un tuyau d'admis- sion 14c du combustible liquide à l'intérieur de la cham- bre d'allumage. Celle-ci comporte une paroi inférieure 14a et un rebord ou déversoir 14b qui forme une masse de com- bustible liquide adjacente au dispositif d'allumage décrit plus loin.
Le combustible se déverse en passant sur le re- bord 14b et (.iule sur le fond 12 du dispositif de vapori- sation, dans lequel il se vaporise, puis passe par son ouverture supérieure et arrive à l'intérieur de la cuvette et y brûle.
<Desc/Clms Page number 4>
Ainsi qu'on le verra plus loir, l'allumage est provoqué par le combustible liquide qui coule par l'orifi- ce d'admission 14c. Les détails du réglage du débit du combustible liquide ne font pas partie par eux-mêmes de l'invention et par suite il est inutile de les déorire.
Mais il doit être bien entendu qu'un dispositif à la main ou automatique peut servir à faire arriver un courant de combustible liquide derrière le rebord 14b lorsqu'on dési- re faire fonctionner l'appareil de chauffage.
Ainsi qu'on le verra plus loin, un élément de chauffage ou résistance 25 reçoit du courant en permanen- ce, mais ne consomme qu'une faille quantité d'énergie.
Il peut oependant accumuler de la chaleur dans les por- tions adjacentes du brûleur, telles que la mèche 22 et son support tubulaire 21. Les dimensions relatives des éléments sont choisies de façon que lorsque le combust- ble liquida commence à coulor, il forme uae masse peu profonde derrière le rebord 14b, la chaleur accuzulée le vaporise et la résistance 25 l'allume. Ce dispositif d'allumage est décrit plus loin sous forme plus détail- lée. Mais il doit être bien entendu que le brûleur peut fonctionner à plein feu au bout d'un intervalle de temps très court et que le temps qui s'écoule entre l'instant de l'allumage et la combustion à plein feu peut.. pas dépasser 45 secondes.
Le brûleur de la fig. 1 cohorte une enveloppe extérieure qui peut être cylindrique ou d'une forse géné- rale cylindrique et est désignée par 1. @lle contient plusieurs éléments d'écartement 1$, en forma de bradée
<Desc/Clms Page number 5>
qui peuvent être soudés ou fixés de toute autre manière sur la surface intérieure de l'enveloppe 1. Des éléments d'écartement en forme de saillies lb sont disposés sur ces bandes. La paroi du brûleur proprement dite, désignée d'u- ne manière générale par 2, est disposée dans l'enveloppe 1 et à une certaine distance à l'intérieur.
Une cloison ou écran intermédiair est disposé entre cette paroi et l'enveloppe extérieure 1 et est centré dans la position qu'on désire, par exemple par les saillies d'écartement lb des bandes d'écartemet la. Les bandes la peuvent ser- vir à retenir les éléments en position d'assemblage après qu'on a fait glisser la cloison ou écran intermédiaire 8 dans la position de la fig. 1. Par exemple on peut couder les extrémités le de la bande dans la position de retenue de la fig. 1. Le manchon ou cuvette 2 comporte à son ax- trémité ouverte une bride 2a dirigée en dehors et en face d'une bride correspondante dirigée en dedans lf de l'enve- loppe extérieure. Une bague de support 3 du brûleur com- porte une bride cylindrique 3a qui fait le tour du bord extérieur du manchon 1.
Une garniture appropriée 4 peut être fixée par des dispositifs de fixation appropriée 5, qui traversent la bride 2a. Les éléments de la cuvette peuvent être maintenue dans la position d'assemblage de la fig. 1 par des dispositifs quelconques appropriée. Une ba- gue extérieure de support 6 est retenue par un bourrelet le qui empêche son @@vemet de gauche à droite, mais com- @@ les dispositifs de fiction des éléments décrit@ ci- dessus sur un appareil de chauffage approprié ne fent pas partie de l'invention,, Ils ne sont pas représentée.
<Desc/Clms Page number 6>
La paroi du manchon intérieur 2 du brûleur compor- te plusieurs orifices d'entrée d'air primaire 2b, qui sont disposée sur plusieurs rangées périphériques à diverses distances de l'extrémité de la cuvette. Il doit être bien entendu qu'il se forme dans un brûleur de ce type un mélan-
EMI6.1
ge riche par l'évaporation d'un hj .>l'ocarbure 4.quide du fait que la combustion commence déjà @ns le brûleur. Ce mélange riche brûle ensuite par l'arrivée d'air secondaire. Dans la forme de construction décrite, l'air secondaire arrive par une rangée d' orifices d'admission d'air secondaire 2c disposée au voisinage de 1'extrémité ouverte de la cuvette ainsi formée.
On peut considérer q# l'air arrive dans le brû- leur en sortant d'une ohambre périphérique initiale d'équi- libre X dans laquelle l'air peut arriver par une conduite d'admission 7 en venant d'un ventilateur commandé par un moteur ou de toute autre manière. Cette chambre d'équili- bre X se prolonge autour d'une cloison do forme général- cylindrique 16 percée d'un ou plusieurs trous 16a de seo- tion relativement faible par lesquels s'écoule l'air de
EMI6.2
l'allumage du brûleur. L'air néc:3eaire au corps du brd- leur et celui qui alimente les orifices dtadmissian d'air primaire 2b et d'air secondai) . 2c arrive autour de la cloison au écran intermédiaire 8 décrit ci-dessus dans une seconde chambre d'équilibre périphérique Y.
La seconde chambre entoure l'extérieur de paroi de la cuvette 2
EMI6.3
et =1181'1iqlle dimwaxnt avec 14o orifices d'adaiasion d'air ..oz4oau. 2g, 19-tir aliientam les or11"108s d'ad- aisoion d'air pr1..',... 2 -8e en sens lnYer88 dans l'in-
<Desc/Clms Page number 7>
EMI7.1
ter.alle entre la cloison interuiédiaire ou écran 8 .et l'extérieur de la pari de la cuvtte 2.
La combustion @tant à plein feu, un mélange ri- che d'hydrocarbure vaporisé et d'air primaire passe devant les orificec d'admission d'air secondaire 2c et la combus- tion a lieu à l'endroit ou au-delà de ces orifices et la flamme passe dans le trou central d'une couronne appr-
EMI7.2
pr14e y ,,4,tée d'une manière appropriée sur la couronr.e de support 3. Il p"!:\t être avantageux de faire arriver '-'1 c;uran' d'air en mouvement dans la direction des orifices d'admission d'air secondaire 2c. A cet effet, une couronne de déviation 10 comporte une bride directrice 10a sur la même ligne que des orifices d'admission d'air supplémen- taire 2d de la paroi latérale de la cuvette ou manchon intérieur 2.
L'autre extrémité de la cuvette, à gauche de la fig. 1, comporte en combinaison une plaque de bout et un évaporateur. La plaque de bout 11 supporte un dispositif
EMI7.3
évap:ratel11" ou rigole 12 représenté en coupe sur la fig. 3. L'élécent l: Jt fermé à une 2xtrémité 12a, mais com- porte en haut une ouverture entourée par une paroi inter- médiaire 12b et des parois latérales 12c disposées entre la paroi 12b et la plaque postérieure ou de fermeture 11.
EMI7.4
On remarquera que l'intervalle entre la cuvette et les barde je pirois latéreies 12ç augmente d'avant en arrière ou verf la gauche de la cuvpr-te. L'élément d'évaporateur 114111111.,..' uno chambre da;;,, 1:< ¯,:,rtie formée par un prolon- geant extérieur 14 p8%'tr"lt de la plaque arrière 11. Ce prolongement eom,rte vi!.i paroi inférieure 14a à rebord
<Desc/Clms Page number 8>
14b, qui forme un déversoir retenant le combuetible liqui- de qui arrive par une tubulure 14c d'un tuyau d'alimenta- tion quelconque approprié 14d. La paroi supérieure de la chambre 14 comporte des orifices d'admission d'air 14e inclinés en avant qui font arriver l'aJr de haut en bas et d'arrière en avant dans la direction d'un allumoir décrit plus loin.
Un ou plusieurs orifices d'admission d'air ad- ditionnels, tels que 14g peuvent faire passer de l'air travers la plaque postérieure 11 et de haut en bas et en avant dans la chambre de vaporisation par l'ouverture entou rée par les parois 12b et 12c Le prolongement 14 de la pla- que postérieure 11 comporte une portion tubulaire 15 Juver- te à l'extrémité et inclinée de bas en haut et logeant l'al- lumoir décrit plus loin.
Le dispositif évaporateur est @@- si entouré par un écran 16 percé d'un ou plusieurs orifices d'admission d'air 16a et l'extrémité postérieure ou de gau- che du manchon extérieur est fermée par la couvercle préci- té ld qui comporte une portion tubulaire 18 entourant à une certaine distance le prolongement tubulaire 15 de l'évapo- rateur ou plaque postérieure 15. Par exemple, une bague de serrage 19 est fixée sur la plaque postérieure par des bou- lons appropriés 20 et serre une bride inférieure appropriée 2e du manchon intérieur ou paroi latérale 2 de la cuvette.
La plaque postérieure 11 peut ainsi se démonter sous forme monobloc de la cuvette, une fois démontés l'allumoir et le couvercle ld de l'extrémité extérieure. L'élément monobloc démontable camporte donc la plaque postérieure il, l'allu- moir décrit plus loin et l'ensemble de la chambre de vapo- risation. Ainsi qu'on le verra plus loin., l'ensemble de
<Desc/Clms Page number 9>
l'aliamoin peut aussi se démonter séparément de l'ensem- ble de vaporisation, après avoir retiré le couvercle de l'extrémité ld et avant de débuter l'ensemble de vapori- sation du brûleur.
Les dimensions relatives des éléments sont choisies de façon à pouvoir retirer la paroi 12b de l'évaporateur par la bague 19, qui elle est maintenue en place par un bourrelet approprié 2 lorsqu'on démonte l'ensemble. Les boulons 20 peuvent être fixée en parma - nenoe sur la bague 19 et comportent des écrous appropriée 20a accessibles de l'extérieur, dès que le couvercle ld a été enlevé. Bien entend-,, le t,,rau d'alimentation en combustible @@@ peut se raccorder à une source de oombus- tible liqui..e quelconque appropriée, non représentée. De préférence, le tuyau 14d possède une certaine flexibilité permettant de démonter facilement l'évaporateur du brû- leur.
On allume le brûleur au moyen d'un dispositif qui comporte un manchon 21 de forme générale cylindrique, au fond duquel est disposée une mèche quelconque appropriée, désignée d'une manière générale par 22. Les détails du dispositif d'allumage ne font pas partie eux-mêmes de l'in- vbention. Il est cependant avantageux qu'il existe un dis- positif quelconque d'allumage du combustible liquide arri- vant dans le brûleur, par l'électricité ou à la main.
A titre d'exemple d'un dispositif d'allumage avantageux dans la pratique, il comporte deux éléments eondueteurs de l'électrieité, espacés 23 et 24 connectés à une source quelconque appropriée de courant électrique.
Ces conducteurs transmettent l'énergie électrique à un
<Desc/Clms Page number 10>
élément de chauffage à résistance quelconque appropria qui peut avoir la forme d'une spirale 25. Les p5les 23 et 24 peuvunt être supportes par des éléments isolants quel- conques appropriés, tels que 26 et 27. La mèche 22, qui peut avoir par exemple la forme d'une bande en aoier ino- xydable enroulée en spirale, forme un espace de décharge enre les spires de la spirale. On peut faire arriver de l'air à l'intérieur de l'enveloppe ou tube 21 par exemple par un ou plusieurs orifices d'admission d'air 21a. Un écran périphérique 28 fixé sur le tube 21 se mante sans attache autour du bord de l'extrémité de la portion tubu- laire 18 du couvercle do l'extrémité ld.
L'air peut ainsi passer dans l'intervalle ainsi formé ou priver de toute autre manière en passant par l'écran 28.
Il est avantageux que l'ensemble de l'évapora- teur puisse se démonter sous forme monobloc et séparément du brûleur sans démonter le brûleur de l'appareil de chauffage sur lequel il est monté, ou sans démonter le dispositif à niveau constant d'alimentation en combustible et duquel l'élément d'allumage peut également se démonter séparément.
Le mode d'emploi et de fonctionnement du dieposi- tif de l'invention est le suivant :
Le brûleur représenté est d'un type connu dans le- quel un combustible liquide est vaporisé et brûlé. Ainsi qu'il a déjà été dit, l'invention s'applique à un brtileur, dans lequel se forme d'abord, en combinant une quantité d'air primaire ou limitée avec un hydrocarbure vaporisé, un mélange riche qui se transforme ensuite en un mélange
<Desc/Clms Page number 11>
combustible final et moins concentra par l'addition d'air dit secondaire.
Suivant la fig. 1, sur laquelle on voit que l'air arrive d'abord dans la chambre d'équilibre périphérique X, lt. portion du volume d'air nécessaire à la 'aise en train de la combustion psse par un ou plusieurs des trous 16a de la couronne ou cloison 16. Une partie de cet air passe par l'ouverture 21a ou trou équivalent dans la chambre de combustion préliminaire ou initiale autour de la spirale
EMI11.1
ou fil d'allunage normale ;nt chauffe 25. Un volume d'air plus grand passe dans lu chambre autour de l'extérieur de la mèche 22, par exemple par les orifices d'admission 14..
Un supplément d'air peut arriver aussi par les orifices d'admission 14g de la paroi 11 et passer de haut en bas dans le vaporiseur 12. n supplément d'air arrive aussi par la seconde chambre périphérique d'équilibre Y directe- lent dans les orifices d'admission d'air secondaire 2c ainsi qu'entre la paroi 2 du brûleur et la cloison 8 dans les orifices d'admission d'air primaire 2b.
Si l'on suppose qu'il y ait lieu de chauffer le dispositif de réglage du brûleur, un ventilateur approprié commandé par un moteur (si on désire obtenir un tarage forcé) est mis en marche par la fermeture d'un interrup- teur approprié du moteur et refoule de l'air dans la cham- bre d'équilibre X, puis dans les divers canaux et orifices précités, dans la chambre d'allumage et à l'intérieur du brûleur proprement dit.
La forme de construction et le procédé de l' in- vention ont principalement pour but de faire fonctionner
<Desc/Clms Page number 12>
le brûleur à plein feu dans un délai aussi court que pos. sible. Par exemple, on a constaté dans la pratique qu'il fonctionne à plein feu au bout de 45 secondes au plus après l'allumage. Ce fonctionnement et cette commande rapides sont obtenus à peu près de la manière suivante.
Un débit d'énergie électrique relativement faible passant dans la résistance 25 ou son équivalent dégage de la chaleur. Cette résistance peut rester en circuit en per- manence si on le désire. La ohaleur s'accumule dans la mè- che 22 et dans l'extrémité inférieure du support de la mèche ou canal tubulaire 21. Une certaine quantité de cha- leur s'accumule aussi dans les portions adjacentes du brd- leur, par exemple dans ses portions latérales et inférieu- res relativement épaisses 14 et 14a de l'élément d'allumage du dispositif.
On suppose que lorsqu'il est nécessaire de chauf- fer un hydrocarbure liquide provenant d'une source appro- priée commence à couler par l'orifice d'admission 14c, Ce combustible liquide est reten@ ar le déversoir 14b et il se forae rapidement une masse relativement peu profonde du combustible liquide, dont l'épaisseur peut être par exem- ple de 1,5 mm dans un dispositif du type de la fig. 1 dont le diamètre de la cuvette est de 178 ma. La chaleur accumulée dans la mèche et son support et dans les por- tions adjacentes du brûleur oert à vaporiser la m@sse d'hydrocarbure liquide qui se forme ainsi.
Il est impor- tant de choisir les dimeneions relative@ des éléments, de façon à dissiper la chaleur dans la assure la plue avantageuse. Si la @@sse est trop profonde, elle n'épuise
<Desc/Clms Page number 13>
rapidement par un jet de flamme et si elle n'est pas assez profonde l'hydrocarbure liquide se vaporise trop lentement.
On a constaté qu'il convient de choisir les dimensions relatives des éléments de façon qu'au moment où l'hydrocar- bure liquide commence à couler, il se vaporise presque im- médiatement un volume de gaz plus grand que ce lui qui brûle autour de la mèche ou dans le vaporiseur. Si le rapport entre la quantité de chaleur accumulée et le volume initial de l'hydrocarbure liquide retenu dans la masse est conve- nablement choisi, l'excès d'hydrocarbure vaporisé passe dans totalité du volume intérieur du vaporiseur 12 et sort par son orifice supérieur dans l'intérieur de la cu- vette qui l'entoure. On constate en effet qu'au bout de 45 secondes au plus, la cuvette proprement dite est remplie d'hydrocarbure vaporisé et que cet hydrocarbure se mélange avec l'air primaire arrivant dans les orifices d'admission 2b.
Ce mélange primaire continue à passer en se mélangeant avec l'air qui arrive par les orifices d'admission d'air secondaire 2c. En d'autres termes, on peut faire fonction- ner le brûleur à plein feu en sensiblement moins d'une mi- nute après l'allumage.
Il ne faut pas oublier que dans le brûleur et le proc4dé de l'invention, l'allumage n'est pas comman@@ -,or la fermeture d'un circuit électrique de façon à chauffer un élément d'allumage. Au oontraire, cet dément peut être chauffé en permanence, et 1'allumage est commandé suivant l'invention par l'instant où l'hydrocarbure liquide arrive dans une zone d'allumages, où il se vaporise par la chaleur accumulée et s'enflamme effectivement par un fil chauffe
<Desc/Clms Page number 14>
cu son équivalent.
On fait en sorte que l'inflammation se propage dans la totalité (la volume du brûleur aussitôt après l'al- lumage initial. L'air qui arrive par les orifices 14e forme u@ élange combustible à l'extérieur de la mèche 22.
Des orifices d'admission d'air supplémentaire 14g font arriver de l'air de haut en bas dans la partie supérieure du vapo@iseur 12 et finalement le volume d'hydrocarbure liquide vaporisé par cette combustion qui s'étale rapide- ment sort rapidement du vaporiseur, passe dans tout le volume térieur de la cuvette et en recevant l'air primai- re par les orifices d'admission 2b et l'air secondaire par les orifices d'admission 2c, il brûle à plein feu ainsi qu'on le désire. La flamme passe ensuite par l'ouverture de passage 9 de la flamme et dans la chambre de combustion non représentée.
Si on considère plus spéciale cent la circulation de @air pendant la marche normale du brûleur, on voit qu'il arrive d'abord par l'orifice d'admission 7. Un dispositif quelconque approprié peut servir @ maintenir la différence de pression qu'on désire, par exemple on peut choisir un ventilateur au moteur ou élément analogue.
L'air est conteau (fig.1) dans la chambre X à 1-'extrémité extérieure ou de ga@che de l'enveloppe exté- rieure 1, dans l'espace fermé par le couvercle postérieur désigna d'une manière générale par 11 et à l'extérieur du manchem cylindrique 19. @@is une certaine quantité de cet air passe par les orifices d'admission 16a à l'intérieur du manchon 16 et le reste de l'air de l'espace périphérique
<Desc/Clms Page number 15>
ou chambre d'équilibre X s'échappe de gauche à droite, en
EMI15.1
considérant la position des éléments de la fig. 1, et passe à l'extérieur de la cloison ou manchon. internédiaire 8.
L'air arrive ainsi dans une chambre périphérique entou- rant l'extrémité de droite de l'enveloppe intérieure 2, en considérant la position des éléments de la fig. 1. Cette chambre de l'extrémité est désignée par Y (fig.l) et com- munique directement avec l'orifice d'admission d'air secon-
EMI15.2
daire 2c.
L'air primaire arri%e dans les orifices d'admis- sion 2b de la paroi du manchon 2 en provenant du courant d'air qui passe en dedans entre le manchon bu cloison 8 et la paroi intérieure 2 et dirige de droite à gauche (fig.l). L'air primaire et l'air secondaire arrivent donc dans le brûleur proprement dit par le courant d'air qui panse d'abord en dehors à l'extérieur de la cloison 8 puis en dedans entre la cloison 8 et la paroi 2.
Il existe donc un courant d'air forcent écran au-
EMI15.3
tour de l'extérieur de la cloison <; et un autre courant d'air formant écran entre l'intér @@ de la cloison 8 et
EMI15.4
la paroi 2. La paroi extérieure i enveloppe 1 est ainsi ealorifugée, la quantité de châles ^2 dissipant du braleur est limitée et l'extérieur de l 'e",' - :"1,' du brûleur est protégé contre un chauffage exces@ig, destruction du pig- Tent, etc. Mais un avantage de beaucoup plus important que toua les autres consiste dans le fait que le manchon ou
EMI15.5
cloiaon 8 sert à retenir la chaj :.r réutilisée en empêchant la perte de chaleur du ardleur et 'sr'ncttant au brûleur de fonctionner d'une manière plus e: icace et économique.
Suivant une cxs?ctrist q dt, brûleur, le volu.rne
<Desc/Clms Page number 16>
du vaporiseur doit être relativement faible, et comme le vaporiseur est plus petit, le brûleur doit fonctionner à une température plus élevée. La forme de construction dé- orite ci-dessus permet au brdlaur de fonctionner d'une manière effioaoe aveo un vaporiseur de volume relative- ment faible, sans difficulté et sans risque de surohauffe extérieure. Si la cloison 8 n'existait pas, le rendement diminuerait notablement et en réalité un brûleur des di- mensions indiquées donnerait lieu à de notables difficul- tés dans la vaporisation du combustible qui doit y arriver normalement.
Il y a lieu de remarquer que les éléments de va- porisation et d'allumage peuvent Atre chacun démontés rapi- dement et sous forme monobloc du brûleur. On remarquera aussi que l'élément d'allumage électrique qui communique avec la chambre de l'élément de vaporisation so trouve en réalité en dehors du brûleur. On peut donc démonter l'élé- ment d'allumage, le couvercle de l'extrémité et le vapori- seur ou l'élément d'allumage seuls pour les examiner et les remplacer sans toucher au reste de la cuvette du brûleur.
De plus, l'enveloppe extérieure 1 et ld est impor- tante, car elle forme une chambre de/pression autour de la cuvette proprement dite, et par suite la pression est plus forte au-dessus du prolongement 15 de l'extrémité supérieu- re du vaporiseur qu'à l'intérieur du vaporiseur. Il en ré- sulte que les vapeurs et odeurs nocives, y compris la for- maldéhyde contenues dans tout brûleur qui consomme un com- bustible d'hydrocarbure liquide, ne peuvent paa s'échapper dans l'atmosphère entre le tube d'allumage 21 et le prolon- gement 15.
<Desc/Clms Page number 17>
Bien entende, l'invention ne doit pas être consi- dérée comme limitée à la forme de réalisation représentée et décrite, qui n'a été choisie qu'à titre d'exemple.