<Desc/Clms Page number 1>
Les canettes et bobines doivent être expédiées de la filature aux branches d'industrie qui les travaillent, par des opérations telles que le retor dage le tissage;, le tricotage;, etco Les caisses usuelles à cet effet ont un poids mort' de 40 à 50 kg,et peuvent recevoir environ 130 à 150 Kg suivant la nature et la qualité de la marchandise.
Etant donné que.les caisses représentent une va- leur appréciable, elles sont prêtées moyennant un droit d'utilisation et doivent être réexpédiées à la filature comme emballages vides, en vue d'être utilisées à plusieurs reprises. L'emballage des canettes et bobines dans les caisses est difficile parce que cette marchandise doit être emballée très solidement afin qu' il n'y ait pas de frottement mutuel pendant le transport.En outre, le travail d'emballage est très pénible, car les emballeuses doivent se pencher profondément dans les caisses, et doivent donc faire leur travail dans une attitude anti-natu- relleo
Les essais effectués avec des boites en carton dans le but d'éviter le retour de l'emballage n'ont pas donné de résultat satisfaisant,
car les boîtes en carton, même de la meilleure qualité, peuvent seulement contenir 50 Kg par boîte, au grand maximum 70 kg, et ne donnent aucune garantie contre les dégâts au oontenu lorsqu'elles sont acheminées avec plusieurs transbordements.
L'invention suit donc une toute autre voie pour l'emballage des ca- nettes et bobines, et renonce à donner à la majeure partie de la matière d'embal- lage des propriétés de résistance à la compression et à la flexion, en tirant par- ti de la faible solidité individuelle des douilles de façon telle que la marchan- dise ne subisse pas de dégâts pendant le transport.
L'invention consiste à réunir en une botte cylindrique un grand nom- bre de canettes ou bobines munies de douilles, à serrer la botte en enroulant, en serrant et en fixant autour d'elle une courroie ou une bande de papier ou de carton ou de matière similaire à placer contre les extrémités des douilles des disques que l'on relie entre eux par des moyens de traction, et à entourer la botte d'une enveloppe résistant à la traction mais non à la compression, par exemple en papier,carten, film de matière synthétique ou textiles.
L'invention consiste encore à juxtaposer ou à superposer plusieurs bottes cylindriques et à les réunir en paquets.
On peut lier chaque botte assez solidement pour qu'elle forme une uni- té de transport qui subsiste après la séparation du paquet, et qui est utile par exemple lorsqu'on amène les canettes ou. bobines aux machines qui les travail- lent.
Les disques des paquets empêchent tout glissement axial d'une canette ou d'une bobine individuelle qui n'aurait pas été enserrée assez fermement lors- qu'on a lié la botte. Les disques assurent aussi que toutes les canettes ou bobi- nes supportent uniformément les forces appliquées dans la direction axiale des bobines ou canettes.
En effet;, ces forces sont importantes notamment lorsqu'on empile l'un sur l'autre plusieurs paquets suivant l'invention ou lorsqu' on les manipule en direction longitudinale ou transversale avec un élévateur à fourche, pour les déplacer ou les empiler. La stabilité des paquets unités réalisés sous une pression déterminée est si grande que les forces agissant de l'extérieur peuvent s'appliquer sans aucune possibilité d'endommager le contenu, et qu'en outre les différentes bobines ou canettes ne frottent pas pendant le transport.
L'utilisation de films de matière synthétique permet un emballage hermétique qui maintient constant le degré d'humidité de la marchandise et la protège de l'extérieur contre toute action de l'humidité. Les paquets en forme de fûts réalisés suivant l'invention sont faciles à transporter, car on peut les faire rouler et leur poids peut rester faible, malgré un rapport avantageux entre brut et neto Les paquets peuvent être empilés, un temps prolongé dans les usines transformatrices;, car il n'y a pas d'emballage vide à réexpédier, ou seulement quelques pièces peu encombrantes.
<Desc/Clms Page number 2>
L'invention sera expliquée avec référence au dessin annexé.
La fig. 1 montre en coupe longitudinale quatre bottes de canettes que l'on a réunies en un paquet.
La figo 2 montre un dispositif pour la confection de bottes, en élé- vation latérale.
La fig. 3 est un plan vu dans le sens de la flèche III de la fig.2.
La fige 4 représente un paquet de structure différente suivant l'in- vention.
La fig. 5 est une coupe longitudinale d'un paquet suivant figo 4.
Les fig. 6 et 7 montrent une variante du dispositif suivant fig. 2 et 3.
Les fig. 8 et 9 montrent d'autres exemples de réalisation de paquets confectionnés suivant l'invention.
La fig. 10 montre un dispositif pour la confection des paquets sui- vant l'invention.
Dans la pratique du procédé, on se sert avantageusement d'un dispo- sitif suivant figo 2 et 3. Une table 1 est disposée de façon quelconque dans 1' espace sous un angle de 40 , à peu près à la hauteur d'une table. Sur la table est prévu un pivot fixe 2, auquel sont articulées à la manière d'une charnière deux moitiés de châssis métalliques à peu près semi-circulaires, formant les bras 3 et 4, qui ont tout d'abord à peu près la distance mutuelle indiquée par la fig.
3. A l'intérieur des moitiés de châssis, on introduit une courroie ou élément si- milaire dont les extrémités restent accessibles sur le dessus;, dans la région d' une fente 7 du châssis, même quand le châssis 3, 4 est fermé. Quand le châssis est rempli de canette 13 autant qu'on peut le faire sans grande difficulté, on pousse l'un vers l'autre les deux bras 3 et 4 dans le sens des flèches 5 et 6.
On serre la courroie ou élément similaire et on la ferme. Dans cette opération, les canettes sont comprimées élastiquement et, après avoir ouvert les bras 3 et 4, on enlève les canettes sous forme d'unité de transport cohérente, avec la courroie ou le lien d'emballage. Le travail de remplissage se fait dans une atti- tude droite et naturelle et permet un contrôle parfait de la qualité , surtout si les différentes canettes viennent se placer à la hauteur de travail sur une table enouvette à bonne visibilité qui peut être disposée devant ou sous la pla- que 1 (par exemple à l'endroit où se trouve le chiffre de référence "2").
Pour confectionner le paquet en forme de fût, on peut commencer par poser sur le sol un disque à rebord 8 (figol), poser dessus une botte de canet- tes 9, recouvrir à nouveau celle-ci d'un disque 10, etc. Ensuite viennent d'au- tres bottes de canettes 9a, 9b et 9c avec disques interposées 10a, 10b et un dis- que supérieur à rebord 11. Les disques 8 à 11 peuvent être en bois,..en tôle, en carton rigide, etc. Ce sont les seuls éléments d'emballage de quelque valeur, mais non encombrante, de sorte que l'on peut les réexpédier, en vue d'une utilisa- tion répétée. Ils se posent sur les douilles 13a des canettes 13 ou bobines.
On entoure alors extérieurement les quatre bottes de oanettes avec un film 12 dont on colle ensemble les bords longitudinaux et dont les bords transversaux.adhèrent aux bords 8a et lla des disques à rebord 8 et 11.
Suivant les figs. 4 et 5, on utilise deux anneaux de tête 30 et un anneau intermédiaire 31.Les anneaux de tête sont fermés d'une part par un disque 32 et portent un rebord annulaire 33 qui présente des fentes 34 par lesquelles passent des bandes de feuillard 35. L'anneau intermédiaire 31 possède des deux- côtés un rebord annulaire 36 et au milieu un disque 37.Les rebords 36 sont éga- lement munis d'ouvertures, de sorte que l'on peut introduire les bandes de feuil- lard 35 dans ces ouvertures. Entre les bottes de canettes successives ,38a, et 38b, 38c et 38d, on place un disque intermédiaire 39. Les éléments 30/32, 31/37,
<Desc/Clms Page number 3>
peuvent éventuellement servir plusieurs fois.
A la place des tirants purs et simples 35, on peut utiliser des élé- ments rigides.,
Le dispositif que l'on voit sur les figs. 6 et 7 Pour la fabrication d'un paquet suivant l'invention présente une plaque de base 41 munie d'un axe 42 enfoncé à demeure sur lequel peuvent pivoter deux paires de bras de compression 43a, 43b, et 44a, 44b. Les bras de compression sont maintenus à une certaine dis- tance mutuelle par des pièces d'écartement interchangeables 45, de sorte que l'on peut modifier la distance entre les bras et la plaque 41 suivant la longueur des canettes ou bobines à emballer.
Chaque paire de bras peut être serrée dans le sens des flèches 46 par un moyen non représenté, par exemple par une fermeture à genouillère. On peut aussi modifier le dispositif par rapport à l'exemple de réalisation représenté en ce sens qu'un bras formant la moitié inférieure ne peut pas tourner autour de l'axe mais est relié rigidement à la plaque 41, de sorte que le mouvement se fait exclusivement par l'autre bras, celui du hauto
Pour confectionner un paquet, on commence par mettre dans les bras une feuille de carton d'emballage 47 d'environ 1,0 à 1,3 mm d'épaisseur.Les deux bords longitudinaux 47a et 47b du carton se chevauchent, de sorte qu'ils glis- sent l'un par-dessus l'autre lorsqu'on serre les bras.
On commence maintenant par introduire une première couche 48 de canettes.Puis on place un disque inter- médiaire 49, après quoi on introduit une deuxième couche 50 de canettes.- Puis on serre les paires de bras 43a, 43b et 44a, 44b. Ensuite, on place un ruban d' acier 51 autour de l'enveloppe de carton 47. La largeur de l'enveloppe de carton 47 est calculée de telle façon qu'elle se termine à l'extrémité supérieure de la couche de canettes 500
Sur l'extrémité supérieure de l'enveloppe, on glisse un anneau de tê- te 52 en carton ou en tôle, qui est d'une seule pièce avec le disque d'extrémité 52ao L'anneau de tête 52 correspond assez exactement au diamètre du paquet cylin- drique comprimé.
Si maintenant on ouvre les bras de compression 43a, 43b et 44a, 44b, les canettes élastiques se détendent jusqu'à ce qu'elles appuient l'envelop- pe, sous tension, contre le ruban d'acier 51 et contre l'anneau de tête 52. Le paquet partiel ainsi confectionné forme donc déjà une unité relativement solide.
On pose maintenant un tel paquet partiel avec l'anneau de tête sur le sol (voir fig.8) et on le recouvre en haut par un disque intermédiaire 530 Puis on pose dessus un autre paquet partiel dont l'anneau de tête 55 est dirigé versle haut-. On maintient les deux paquets partiels ensemble au moyen de feuil- lard 54, en prévoyant de préférence deux ou trois bandes de feuillard qui se croisent dans l'axe du cylindre.
Sur la fig. 8, les anneaux de tête 55 ont une autre ferme que les anneaux de tête 52 sur la fig. 6. Ce sont des anneaux de tôle ou de carton dont l'un des bords est replié vers l'intérieur. Contre ce rebord se pose un disque 56 qui est de préférence fait de carton ondulée de même que les autres disques 49 et 53. Sur la fig. 8, on a en outre placé une bande de feuillard 51a autour des couches de canettes qui sont essentiellement maintenues ensemble par les anneaux de tête 55Les deux enveloppes cylindriques 47 sont reliées ensemble par un anneau de recouvrement 58. Une bande de papier collée peut ici suffire.
Le paquet en forme de fût suivant l'invention est rigide en tous sens. Les dis- ques d'extrémité 56 et l'enveloppe cylindrique 47 n'ont presque pas à supporter d'efforts de flexion ou de compression. Les forces longitudinales qui agissent sur le paquet sont plutôt supportées par les douilles de carton 57 et sont réparties par les disques 56, 49, 53 sur plusieurs douilles de carton.
La fig. 9 illustre un paquet similaire à celui de la fig. 8, mais qui rend superflu l'anneau de recouvrement 58. L'enveloppe 60 est prolongée au-delà du disque 61 qui est posé sur l'extrémité des douilles de canettes. Grâce à une différence appropriée dans la pression des bras 43a, 43b , on a donné aux deux
<Desc/Clms Page number 4>
paquets partiels une forme légèrement conique;, de sorte que le paquet partiel 62 peut être enfoncé d'en haut, dans le sens de la flèche 63, dans le bord dépas- sant 60 de 19 enveloppe du. paquet partiel inférieur. La conicité des deux paquets partiels est représentée avec exagération, pour plus de clarté.
Un dispositif pour la fabrication de paquets suivant l'invention est illustré schématiquement par la figo 10. Un cylindre fixe 65 présente à peu près la grandeur du paquet cylindrique à confectionner. La paroi cylindrique est un peu évasée en 65ao Dans des moulures annulaires 65b, on peut introduire des ban- des 660 On a introduit par le haut une enveloppe 67, indiquée en pointillé, dont les bords longitudinaux se chevauchent de façon analogue à ce qu'on a représenté sur la fig. 7. Au-dessus du cylindre 65 se trouve un cylindre de compression co- nique 68.
Entre celui-ci et le bord supérieur du cylindre 65, on a ménagé une ouverture à travers laquelle on a introduit l'enveloppe 67. Tout autour du cy- lindre 68 sont disposés des appuis 69 qui poussent l'enveloppe 67 dans le sens des flèches 70 contre le cylindre 68 et l'empêchent ainsi de coulisser longitudinale- ment. Un disque 71 peut être élevé et abaissé par une barre 72 qui agit par-des- sous. Dans la position représentée du disque 71, on pose sur lui une couche de Canettes. On recouvre celles-ci avec un disque ..intermédiaire 75.
On introduit les canettes de façon telle qu'elles s'appliquent à peu près contre la paroi du cylin- dre de compression.68. Puis on pose le disque 73 sur le disque 75 et on fait des- cendre les disques 71 et 73 d'une hauteur égale à la longueur d'une canette, Ensuite, on soulève à nouveau le disque 73 et on place une deuxième couche de canettes. On met alors à nouveau un disque intermédiaire 75, et ainsi de suite, Dans le mouvement de descente par paliers des couches de canettes, chaque couche de canettes est peu à peu comprimée dans le cylindre de compression 68.
Enfin, on fait descendre les disques 71 et 73 assez bas pour que tou- tes les couches de canettes se trouvent dans le cylindre 65, comme on l'a indiqué en trait mixte. Ensuite, on serre les bandes de feuillard 66 qui se trouvent dans les moulures annulaires 65b. On desserre alors les appuis 69, de sorte que le pa- quet de canettes terminé peut être retiré par le bas avec l'enveloppe 67. Bien entendu, il est aussi possible de diviser le cylindre 65 dans le sens de la lon- gueur et de l'ouvrir afin de pouvoir retirer latéralement le paquet de canettes terminé. ..
L'enveloppe 67 peut aussi être introduite dans le cylindre de com- pression 68 et traverser celui-ci en même temps que les canettes. De préférence, l'extrémité inférieure de l'enveloppe 67 est alors reliée au disque 719 de sorte que celui-ci exerce une certaine traction sur l'enveloppe. De cette façon, les canettes extérieures de chaque couche sont protégées contre le frottement. Si l'enveloppe de carton dépasse par exemple à l'extrémité inférieure d'une demi- longueur de canette, on peut alors placer un ruban d'acier autour de l'enveloppe de carton et y sser un anneau d'extrémité, de sorte que le cylindre inférieur 65 que l'on a représenté n'est plus nécessaire.
Le disque 73 peut être agencé de façon telle que son diamètre extérieur puisse diminuer lorsqu'il s'enfonce dans le cône, par exemple grâce à des barres coulissantes douées d'élasticité radiale, de sorte que le disque 73 peut pousser à travers le cône le disque d' extrémité ainsi que l'anneau de carton.
Dans tous les exemples décrits, les disques ronds aussi bien que les anneaux d'extrémité ou de tête contribuent également, bien entendu, au main- tien de la forme cylindrique, car ils ne peuvent pas se bomber eux-mêmes, en rai- son de la compression longitudinale du paquet,
Dans les dispositifs de confection des bottes, les paires de bras peuvent être munies de moulures annulaires pour les rubans d'acier, et on peut y introduire les rubans d'acier avant la mise en place de l'enveloppe de carton.
On peut aussi renoncer aux dispositifs représentés. La forme cylindrique des bottes et des paquets est en effet obtenue obligatoirement lorsqu'on serre une bande ou un lien.
<Desc / Clms Page number 1>
The cans and spools must be sent from the spinning mill to the branches of industry which work them, by operations such as twisting, weaving ;, knitting ;, etco. The usual cases for this purpose have a dead weight of 40 to 50 kg, and can receive around 130 to 150 kg depending on the nature and quality of the goods.
Since the crates represent an appreciable value, they are loaned against a user fee and must be returned to the spinning mill as empty packaging, in order to be used several times. The packing of cans and spools in crates is difficult because this merchandise must be packed very securely so that there is no mutual friction during transport.Also, the packing work is very tedious, because packers have to lean deeply into the boxes, and therefore have to do their job in an anti-natural attitude.
The tests carried out with cardboard boxes in order to avoid the return of the packaging did not give satisfactory results,
because even the best quality cardboard boxes can only hold 50 kg per box, maximum 70 kg, and do not give any guarantee against damage to the contents when transported with several transhipments.
The invention therefore follows a completely different path for the packaging of cans and reels, and dispenses with giving the major part of the packaging material properties of resistance to compression and bending, by pulling This is due to the low individual strength of the sockets so that the goods are not damaged during transport.
The invention consists in bringing together in a cylindrical bundle a large number of cans or coils provided with sleeves, in tightening the bundle by winding, tightening and fixing around it a belt or a strip of paper or cardboard or of similar material to be placed against the ends of the bushes of the discs which are connected to each other by traction means, and to surround the boot with an envelope resistant to traction but not to compression, for example paper, cardboard , synthetic material or textile film.
The invention also consists in juxtaposing or superimposing several cylindrical bundles and bringing them together in bundles.
Each bundle can be tied securely enough so that it forms a transport unit which remains after separation of the bundle, and which is useful, for example, when bringing in cans or. coils to the machines that work them.
The pack discs prevent axial sliding of an individual bobbin or spool that would not have been gripped firmly enough when the boot was tied. The discs also ensure that all of the bobbins or spools evenly withstand the forces applied in the axial direction of the spools or bobbins.
In fact, these forces are important in particular when several packages according to the invention are stacked one on top of the other or when they are manipulated in the longitudinal or transverse direction with a fork lift, in order to move or stack them. The stability of the unit packages produced under a certain pressure is so great that forces acting from the outside can be applied without any possibility of damaging the contents, and in addition the different coils or cans do not rub during transport. .
The use of films of synthetic material allows an airtight packaging which maintains constant the degree of humidity of the goods and protects them from the outside against any action of humidity. The packages in the form of drums produced according to the invention are easy to transport, because they can be rolled and their weight can remain low, despite an advantageous ratio between gross and net. The packages can be stacked, for a long time in the processing plants ;, because there is no empty packaging to reship, or only a few space-saving parts.
<Desc / Clms Page number 2>
The invention will be explained with reference to the accompanying drawing.
Fig. 1 shows in longitudinal section four bundles of cans which have been combined into a bundle.
Figo 2 shows a device for making boots, in lateral elevation.
Fig. 3 is a plane seen in the direction of arrow III in fig.2.
Fig. 4 represents a package of different structure according to the invention.
Fig. 5 is a longitudinal section of a package according to figo 4.
Figs. 6 and 7 show a variant of the device according to FIG. 2 and 3.
Figs. 8 and 9 show other embodiments of packages made according to the invention.
Fig. 10 shows a device for making packages according to the invention.
In the practice of the method, a device according to Figs. 2 and 3 is advantageously used. A table 1 is arranged in any way in the space at an angle of 40, approximately at the height of a table. . On the table is provided a fixed pivot 2, to which are hinged in the manner of a hinge two roughly semicircular metal frame halves, forming the arms 3 and 4, which first have approximately the distance mutual fund indicated by fig.
3. Inside the frame halves, a belt or similar element is inserted, the ends of which remain accessible from the top ;, in the region of a slot 7 of the frame, even when the frame 3, 4 is closed. . When the frame is filled with bobbin 13 as much as can be done without great difficulty, the two arms 3 and 4 are pushed towards each other in the direction of arrows 5 and 6.
The strap or similar element is tightened and closed. In this operation, the cans are elastically compressed and, after opening the arms 3 and 4, the cans are removed as a coherent transport unit, together with the belt or the packaging tie. The filling work is done in an upright and natural attitude and allows perfect quality control, especially if the different cans are placed at working height on a table with good visibility which can be placed in front of or under. plate 1 (eg where the reference number "2" is).
To make the package in the shape of a barrel, one can start by placing a rimmed disc 8 (figol) on the ground, placing a bundle of duckling 9 on it, covering it again with a disc 10, etc. Then come other bundles of cans 9a, 9b and 9c with interposed discs 10a, 10b and an upper disc with rim 11. Discs 8 to 11 can be made of wood, .. sheet metal, rigid cardboard, etc. These are the only items of packaging of any value, but not bulky, so that they can be reshipped for repeated use. They are placed on the sockets 13a of the cans 13 or spools.
The four bundles of oanettes are then surrounded on the outside with a film 12, the longitudinal edges of which are glued together and the transverse edges of which adhere to the edges 8a and 11a of the flanged discs 8 and 11.
According to figs. 4 and 5, two head rings 30 and an intermediate ring 31 are used. The head rings are closed on the one hand by a disc 32 and carry an annular flange 33 which has slots 34 through which the strips of strip 35 pass. The intermediate ring 31 has an annular flange 36 on both sides and a disk 37 in the middle. The flanges 36 are also provided with openings, so that the strips of strip 35 can be inserted into the middle. these openings. Between the successive bundles of cans, 38a, and 38b, 38c and 38d, an intermediate disc 39 is placed. The elements 30/32, 31/37,
<Desc / Clms Page number 3>
can possibly be used several times.
Instead of outright tie rods 35, rigid elements can be used.
The device which can be seen in figs. 6 and 7 For the manufacture of a package according to the invention presents a base plate 41 provided with a permanently pressed pin 42 on which can pivot two pairs of compression arms 43a, 43b, and 44a, 44b. The compression arms are kept at a certain distance from each other by interchangeable spacers 45, so that the distance between the arms and the plate 41 can be varied depending on the length of the cans or reels to be wrapped.
Each pair of arms can be tightened in the direction of arrows 46 by means not shown, for example by a toggle closure. The device can also be modified with respect to the exemplary embodiment shown in that an arm forming the lower half cannot rotate about the axis but is rigidly connected to the plate 41, so that the movement is done exclusively by the other arm, that of the hauto
To make a bundle, one starts by putting in the arms a sheet of packing cardboard 47 about 1.0 to 1.3 mm thick. The two longitudinal edges 47a and 47b of the cardboard overlap, so that 'they slide over each other when you squeeze your arms.
We now begin by introducing a first layer 48 of cans. Then an intermediate disc 49 is placed, after which a second layer 50 of cans is introduced. Then the pairs of arms 43a, 43b and 44a, 44b are tightened. Next, a steel tape 51 is placed around the carton wrap 47. The width of the carton wrap 47 is calculated such that it ends at the top end of the can layer 500.
On the upper end of the casing, a cardboard or sheet metal head ring 52 is slipped, which is in one piece with the end disc 52ao. The head ring 52 corresponds fairly exactly to the diameter of the compressed cylindrical package.
If now we open the compression arms 43a, 43b and 44a, 44b, the elastic cans relax until they press the casing, under tension, against the steel tape 51 and against the ring. head 52. The partial package thus produced therefore already forms a relatively solid unit.
We now place such a partial package with the head ring on the ground (see fig. 8) and we cover it at the top by an intermediate disc 530 Then we put on it another partial package with the head ring 55 directed to the top-. The two partial packages are held together by means of strip 54, preferably providing two or three strips of strip which cross on the axis of the cylinder.
In fig. 8, the head rings 55 have a different firmness than the head rings 52 in FIG. 6. These are rings of sheet metal or cardboard with one edge folded inward. Against this rim rests a disc 56 which is preferably made of corrugated cardboard as well as the other discs 49 and 53. In FIG. 8, a strip of foil 51a has further been placed around the layers of cans which are essentially held together by the head rings 55 The two cylindrical casings 47 are joined together by a cover ring 58. A glued paper strip may suffice here. .
The barrel-shaped package according to the invention is rigid in all directions. The end discs 56 and the cylindrical shell 47 hardly have to withstand any bending or compressive stresses. Rather, the longitudinal forces acting on the package are supported by the cardboard sleeves 57 and are distributed by the discs 56, 49, 53 over several cardboard sleeves.
Fig. 9 illustrates a package similar to that of FIG. 8, but which makes the cover ring 58 superfluous. The casing 60 is extended beyond the disc 61 which is placed on the end of the bobbin sleeves. Due to an appropriate difference in the pressure of the arms 43a, 43b, the two were given
<Desc / Clms Page number 4>
part packages a slightly conical shape ;, so that the part package 62 can be pushed from above, in the direction of arrow 63, into the protruding edge 60 of the casing of the. lower partial package. The taper of the two partial packages is shown with exaggeration, for clarity.
A device for the manufacture of packages according to the invention is schematically illustrated by FIG. 10. A fixed cylinder 65 has approximately the size of the cylindrical package to be made. The cylindrical wall is a little flared at 65ao In annular moldings 65b, strips 660 can be introduced. A casing 67, indicated in dotted lines, whose longitudinal edges overlap in a similar way to that of the top, has been introduced from above. there is shown in FIG. 7. Above cylinder 65 is a conical compression cylinder 68.
Between the latter and the upper edge of the cylinder 65, an opening has been made through which the casing 67 has been introduced. All around the cylinder 68 are placed supports 69 which push the casing 67 in the direction of. arrows 70 against cylinder 68 and thus prevent it from sliding longitudinally. A disc 71 can be raised and lowered by a bar 72 which acts from below. In the position shown of the disc 71, a layer of cans is placed on it. These are covered with an intermediate 75 disc.
The cans are introduced so that they rest approximately against the wall of the compression roller. 68. Then the disc 73 is placed on the disc 75 and the discs 71 and 73 are lowered by a height equal to the length of a can. Then, the disc 73 is lifted again and a second layer of cans. An intermediate disc 75 is then placed again, and so on. In the stepwise downward movement of the layers of cans, each layer of cans is gradually compressed in the compression cylinder 68.
Finally, the discs 71 and 73 are lowered low enough so that all the layers of cans are in the cylinder 65, as indicated in phantom. Then, the strips of strip 66 which are located in the annular moldings 65b are tightened. The supports 69 are then loosened, so that the finished bobbin pack can be removed from below together with the casing 67. Of course, it is also possible to divide the cylinder 65 lengthwise and open it so that the finished bobbin pack can be removed from the side. ..
The casing 67 can also be introduced into the compression cylinder 68 and pass through this at the same time as the cans. Preferably, the lower end of the casing 67 is then connected to the disc 719 so that the latter exerts a certain traction on the casing. In this way, the outer cans of each layer are protected against chafing. If the cardboard casing protrudes, for example, at the lower end of a half-length of the can, then a steel tape can be placed around the cardboard casing and an end ring ssed therein, that the lower cylinder 65 which has been shown is no longer necessary.
The disc 73 can be arranged in such a way that its outer diameter can decrease when it is inserted into the cone, for example by means of sliding bars endowed with radial elasticity, so that the disc 73 can push through the cone. the end disc and the cardboard ring.
In all the examples described, the round disks as well as the end or head rings also contribute, of course, to the maintenance of the cylindrical shape, since they cannot bulge themselves, because the longitudinal compression of the package,
In the devices for making boots, the pairs of arms can be provided with annular moldings for the steel tapes, and the steel tapes can be introduced therein before the installation of the cardboard casing.
It is also possible to dispense with the devices shown. The cylindrical shape of the boots and packages is in fact necessarily obtained when a band or a link is tightened.