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L'invention est relative à des couvertures pour toits ou des revêtements pour parois; qui se composent de plaques ou panneaux de couverture s'étendant du faite jusqu'à la gouttière ou de haut en bas, le long des surfaces à re- couvrir ou à revêtir, et constituée en tôle mince ou en un autre materiau approprié, une matière synthétique par exemple.
L'invention vise à établir une couverture pour taiteou un l'évitèrent pour parois; comportant un système de fixation abrité c'est-à-dire qui ne traverse pas la couver- ture ou le revêtement et qui, d'une part,est appelé à assurer à la couverture ou au revêtement mural l'etancheite
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maximum réalisable dans la pratique et, d'autre part, à permettre un montage aisé et rapide avec un minimum de main d'oeuvre. L'invention vise en outre à assurer un oeil-leur aspect à la couverture ou au revêtement, cela grâce à la dis- position abritée des organes de fixation.
En effet, les sys- tèmes de fixation qui traversent les plaques ou panneaux de couverture risquent de donner lieu à des fuites de la cou- verture, en particulier dans le cas de toits à pente faible ou nulle.
Les couvertures pour,toits ou les revêtements pour parois, de cette espèce, sont connus sous des formes de réa- lisation très diverses. Ainsi,, on connaît des couvertures, etc 'où les bords latéraux des deux plaques de couverture voi- sines sont vissés au support de couverture par l'entremise 'd'un couvre-joint. Une autre forme de réalisation d'une cou- verture pour toits ou d'un revêtement pour parois est consti- tuée par des plaques de couverture dont les bords latéraux sont conformés en nervures..
Dans ce cas, des plaques de cou-. verture voisines sont disposées de fagon que leurs bords la- téraux formant nervures se chevauchent ou se recouvrent mutu- ellement et soient réunis l'un à l'autre positivement à l'aide d'éléments d'encliquetage prévus sur ou dans ces ner- vures.
Ces couvertures pour toits ou revêtements pour parois, connus à ce jour, présentent l'inconvénient que - en ce qui concerne la première de ces exécutions - la fixation des di- verses plaques de couverture, si elle doit être assurée par vissage au support de couverture, ne peut être opérée que depuis la sous-face du toit, ce qui constitue un travail !on-' et fastidieux et donc antiéconomique. Un autre inconvénient de ces.dernières couvertures ou revêtements connus réside dans'le fait que les surfaces de chevauchement, 'soit de pla- ques de recouvrement et de couvre-joints, soit de deux pla- ques de couverture.voisines,
sont susceptibles de s'appliquer
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directement l'une sur l'autre dans la région de chevaucne- ment. Le faible interstice qui est ainsi déterminé entre des surfaces 'de chevauchement produit un effet capillaire, de sorte que l'eau ou l'humidité peut remonter dans la fente et parvenir sous la couverture.
D'autre part, dans le mode de construction connu d'une couverture pour toits ou d'un revêtement pour parois, qui a été cité plus haut en dernier lieu, le repoussage du bec à détente élastique, qui établit la liaison entre plaques de couverture voisines et qui est prévu le long'des bourrelets de chevauchement, est malaisé; de plus, la fixation devient fastidieuse en particulier dans le cas d'un double chevau- c hement .
Selon, la présente invention, ces inconvénients sont éliminés en premier lieu par le fait que des pattes d'attache, ou organes de fixation analogues, sont fixés le long des jeux de joints entre deux plaques de couvertures voisines sur le support de couverture ou de revêtement, ces pattes retenant un couvre-joint qui chevauche le jeu de joint, y compris les bords latéraux relevés des plaques de couverture.
Selon, une autre caractéristique de la présente invention, les pattes d'attache ou organes analogues, peuvent être réparties le long du jeu de joint à des intervalles dé- terminés d'avance, notamment uniformes, les couvre-joints pouvant être munis sur leur face inférieure, au voisinage de chacune des pattes d'attache, d'au moins une languette de retenue élastique qui,partant d'en. haut, peut s'engager par- dessous des pattes d'attache, ou organes analogues, cette languette pouvant retenir le couvre-joint dans la position de recouvrement.
Selon une autre caractéristique de l'invention, les languettes d'arrêt peuvent être constituées par des res- sorts-lames fixés,- par soudure par exemple, sur la face ' inférieure des couvre-joints et munis d'un bec de retenue,
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avec ceci qu'une languette d'arrêt élastique peut être prévue sur le couvre-joint, pour s'engager derrière la patte d'at- tache, ou analogue, à proximité de l'axe longitudinal du couvre-joint, chacune de ceslanguettes pouvant être située au voisinage d'une patte d'attache ou de retenue, ou analo- gue, disposée sur le support de la couverture ou du revête- ment.
Selon une variante, mais toujours conformément à l'invention, deux languettes d'arrêt élastiques fixées au couvre-joint, peuvent coopérer avec chaque patte de retenue ou organe analogue.
Selon une autre caractéristique de l'invention, les pattes d'attache, ou organes analogues, peuvent être établies de manière à chevaucher les bords latéraux relevés des plaques de couverture, la disposition étant telle que le couvre-joint peut s'engager, par ses bords longitudinaux élastiques derrière les extrémité des pattes d'attache, extrémités qui chevauchent les bords latéraux des plaques de couverture, ce couvre-joint pouvant être retenu par lesdites extrémités des pattes d'attache.
Les pattes d'atta- che et (ou) les bords latéraux relevés des plaques de couver- ture peuvent être étayes chacun par une pièce d'espacement, cette pièce d'espacement pouvant être constituée par une tôle d'appui profilée en U, l'ouverture du U s'engageant derrière les bords latéraux relevés des plaques de couverture, cette pièce d'espacement étant pourvue de pointes venant d'em- boutissage avec la traverse du U, et servant à empêcher les déplacements angulaires.
, Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait que le couvre-joint, qui chevauche les jeux de joints et les bords latéraux des plaques de couverture peut être établi sous la forme d'une barre profilée à section de pré- férence arquée et à ouverture tournée vers le bas.
Les couvertures pour toits ou les revêtements pour
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parois, où les plaques de couverture ou de revêtement sont munies d'un ou de plusieurs bourrelets, ondulations ou mou- lures; de renforcement, orientés dans le sens longitudinal) sont caractérises, selon une autre particularité de l'inven- tion, par le fait qu'ils peuvent comporter - au voisinage d'au moins un des bourrelets, ondulations ou nervures creuses de renforcement - sur le support de la couverture ou du re- vêtement des pattes d'attache, ou organes analogues, qui peuvent coopérer avec des éléments de retenue prévus sur la face ultérieure des bourrelets, ondulations ou nervures creuses, de telle façon que les plaques de couverture peuvent aussi être fixées au support de la couverture ou.
du revête- ment dans la zone couverte par ces plaques.
Selon une autre caractéristique de l'invention, les eléments de retenue prévus sur les bourrelets ou analogues, et qui coopèrent avec. les pattes d'attache, peuvent être constitués par des bossages ou renfoncements imprimés dans les bourrelets, ou analogues, au-dessous des pattes d'atta- ches, après la pose des plaques de couverture. D'autre part, les crochets élastiques peuvent être prévus sur le support de couverture ou de revêtementces crochets pouvant coopérer avec des becs prévus sur la face inférieure des bourrelets ou analogues.
L'invention est en outre caractérisée par le fait que là où. les plaques servent à former une couverture, l'extrémité des plaques de couverture qui constitue la gout- tière peut être courbée vers le bas, avec ceci que les bords latéraux peuvent être conformés de telle manière que, dans le zone de courbure les bords latéraux de ces plaques pas- sent progressivement de la position relevée à une position qui se contenu, avec. le plan des plaques de couverture.
Dans ce cas, les couvre-joints qui chevauchent les jeux de joints et les bords latéraux des plaques de couverture et qui
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sont constitués par des barres creuses sont établis de manière à passer progressivement, dans la zone de la courbure au profil creux à un plan parallèle à la plaque de couverture, de telle manière qu'ils forment, conjointement avec les extré- mités inferieures des plaques de couverture, un larmier droit ou presque droit, la disposition etant telle que le couvre- joint situé dans la zone de la courbure peut être constitué par un tronçon, indépendant du restant du couvre-joint.
L'ex- tremité supérieure de ce tronçon peut être glissée dans l'ex- trémité inférieure du couvre-joint principal et être maintenue à l'aide de bossages ou éléments analogues, dans des éléments de retenue de ce dernier.
La courbure descendante des plaques de couverture et des couvre-joints au voisinage de la gouttière peut être effectuée sans emboutissage, c'est-à-dire d'une façon par- ticulièrement économique.
Finalement, et selon l'invention, le couvre-joint peut être lui-même élastique et retenir les plaques de couverture dans la position de couverture par 1'entremise de ses bords longitudinaux. Il peut être prévu, entre les couvre-joints et les plaques de couverture, des bandes de bourrage en caoutchouc résistant au vieillissement, en matière synthétique ou en matériaux analogues.
L'invention sera décrite ci-après d'une façon détail- lee, en se reportant aux dessins qui la représentent à titre d'exemple et dans lesquels :
La fig.l est une vue perspective et partiellement en coupe d'une couverture de toit ou d'un revêtement de paroi établis et fixés selon l'invention, cette figure montrant différentes formes de plaques de recouvrement ou de couverture.
La fig. 2 représente,à une échelle plus grande, le point de jonction, qui est.désigné par II dans la fig.l, entre deux plaques de couverture voisines.
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La fig. 8 représente le joint, désigne par III dans la fig.1, entre deux plaques de couverture voisines, les éléments de fixation étant ici différents de ceux. de l'exem- ple de realisation de la fig.2.
Les figs. 4, 5 et 6 représentent d'autres exemples d'exécution de joints entre bandes de couverture voisines..
La fig. 7 représente,à une échelle plus grande-, le détail, désigné par VII dans la fig.l, d'un système de fixation selon l'invention pour plaques de couverture
La fig. 8 représente le détail, désigné par VIII dans la fig.l, d'un système de fixation selon l'invention, estr plaques de couverture.
La fig. 9 est,une vue perpspective de deux plaques de couverture voisines, à proximité de'la. gouttière.
La fig. 10 représente également, en vue perspective, un couvre-joint qui chevauche, au voisinage de la gouttière, le jeu du joint et les bords latéraux de deux plaques de couverture voisines.
La couverture pour toits ou le revêtement pour paroi selon l'invention, ont été représentés tous deux à titre d'exemple uniquement, par une couverture de toit 1 qui, comme il ressort en particulier de la fig.1, est constituée par Lui certain nombre, qui peut varier d'un cas à l'autre, de plaques ou panneaux de couverture ou de revêtement 2 ou 2a, 2b, 2c, etc., disposés parallèlement côte à côte et s'étendant du faite jusqu'à la gouttière ou de haut en bas.
Les diverses bandes de couverture 2a, 2b, 2c, etc., sont fixées au support de couverture 6, par l'entremise de leurs bords latéraux 3 - déviés sous un angle obtus par rapport au plan de la couverture,vers le haut en a et vers l'ex- térieur en h- au moyen de couvre-joints dont chacun che- vauche les bords latéraux relevés '-- de deux plaques de couverture voisinés 2a, 2b, ou 2b 2c, etc., à l'aide de
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pattes de retenue 5 ou d'organes de fixation analogues, prévus sur le support de couverture 6. Le support de couverture peut être constitué par un lattis, des planches, du béton ou par toute autre construction de support généralement employée.
11 ressort des dessins que les plaques de couverture voisines 2a, 2b ou 2b, 2c, etc.,sont posees côte à côte de telle manière qu'il subsiste entre elles, c'est-à-dire, entre leurs bords latéraux relevés 3, un jeu de joint 7, -Les pattes de retenue 5 sont fixées, à l'aide de clous par exemple, au support de couverture 6, le long des eux de joints 7, entre plaques de couverture voisines 2a, 2b ou 2b, 2c, etc. cela à des intervalles déterminés d'avance, de préférence réguliers, ces pattes de retenue assurant la fixation positive des couvre-joints 4, et par l'intermédiaire de ceux-ci, celle des diverses plaques de couverture 2a, 2b, 2c, etc., au support de couverture 6.
Les plaques de couverture 2, qui constituent la cou- verture 1 du toit, peuvent présenter les profils les plus variés. Ainsi, on a représenté à titre d'exemple, dans la fig.1, des plaques de couverture 2 ayant trois profils différents 2a, 2b, 2c, mais qui, dans la pratique, ne se présentent pas simultanement dans une seule et même couver- ture 1.
La couverture 1 et le système de fixation 4,5, qui réunit au support de couverture 6 les plaques de recouvrement 2 qui constituent ces couvertures, peuvent être exécutés de diverses manières. Quelques exemples de réalisation de ce système de fixation 4,5 seront décrits dans la suite d'une façon plus détaillée.
Dans le système de fixation 45, représenté dans la fig.2, les pattes de retenue 5 sont établies de manière telle et sont disposées le long des jeux de joint 7, entre deux plaques de couverture voisines 2a, 2b, de façon telle
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que les plaques de couverture 2a, 2b s'appuient latéralement par leurs bords latéraux relevés 3, sur les bords latéraux 5a des pattes de retenue ou d'attache 5. Le couvre-joint 4, qui chevauche les jeux de joints 7, y compris les bords laté- raux .relevés 3 des plaques de couverture; est constitué par une barre creuse 8 ouverte vers le bas et dont les bords longitudinaux 8a sont à même d'exercer un effort élastique dans le sens des flèches x.
Sur la face inférieure de la barre profilée creuse 8. qui constitue le couvre-joint 4 sont fixées, par soudure par exemple,.deux languettes d'arrêt ou de retenue élastiques 9 , disposées en opposition les unes par rapport aux autres et symétriquement à l'axe longitudinal de la barre, au voisinage de chacune des pattes d'attache 5 fixées au support de couverture 6, ces languettes pouvant être constituées par des ressorts-lames et leurs extrémités libres munies de becs de retenue 9a, Le couvre-joint 4, c'est-à-dire la barre creuse 8, est mise en plade par le haut, les languettes d'arrêt élastiques 9 étant mises en prise positive avec les pattes d'attache 5 par le fait que l'on presse la barre creuse 8, dans le sens de la flèche y, par-dessus des becs 9a,
de telle sorte que ces languettes élastiques réunissent la barre profilée creuse 8 au support de couverture 6, en s'engageant d'en haut derrière les pattes d'attache 5. Ainsi,.les bords longitudinaux 8a de la barre creuse 8, qui tendent à se rapprocher élastiquement, pres- sent les plaques de couverture 2, soit 2a, 2b, contre le support de couverture 6 et contre les pattes d'attache 5.
Les languettes d'arrét élastiques 6 du couvre-joint 4, c'est à-dire, de la barre creuse 8, possèdent une largeur telle qu'elles se dégagent des pattes d'attache 5 lorsqu'on déplace la barre creuse dans son sens longitudinal, de sorte que la fixation entre les pattes d'attaché 5 et la barre creuse 8, et donc entre les plaques de couverture 2 et le support de
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couverture 6 est amovible, ce qui convient avantageusement aux couvertures appelées à être souvent démontées.
L'exemple de réalisation d'un système de fixation
4,5, représenté dans la fig. 3, ne diffère en substance de celui de la fig.2 que par le fait que la barre profilée creuse 8, c'est-à-dire, le couvre-joint 4, coopère avec chaque patte d'attache 5 par l'entremise d'une seule lan- guette d'arrêt élastique qui s'engage derrière la patte d'attache 5 au voisinage de l'axe longitudinal de la barre creuse. D'ailleurs, ce dispositif de fixation 4,5 se com- porte comme celui de l'exemple de réalisation selon la fig.2.
Les figs.4 à 6 des dessins annexés représentant un autre exemple de réalisation du système de fixation
4,5 pour la couverture,système où les pattes d'attache , disposées sur le support de couverture 6, s'engagent par- dessus des bords latéraux relevés 3 des diverses plaques de couverture 2 et exercent une pression de haut en bas sur ce support de couverture. Ici, les pattes d'attache 5 sont maintenues écartées du support de couverture 6 à l'aide d'une pièce d'espacement 10 (fig.4).
La barre creuse 8, qui s'engage par-dessus des bords latéraux relevés 3 des plaques de couverture 2, ainsi que du jeu de joints 7, est maintenue dans la position de recouvrement par l'entremise de ses bords latéraux 8a qui tendent élastiquement l'un vers l'autre dans le sens des flèches x, au moyen des extrémités
5b des pattes d'attache 5, extrémités qui s'engagent par- dessus des bords latéraux relevés 3 des plaques de couver- ture 2- La fixation de la barre creuse E ou du couvre-joint
4 s'effeqtue, tout comme dans l'exemple de réalisation décrit plus haut, en exerçant une pression dans le sens de la flèche y.
Le relâchement de la barre creuse 8 peut être obtenu au moyen d'un outil à repousser, que l'on insère ,,entre la--plaque de couverture et la barre creuse.
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Comme montré dans la fig. 6, la pièce d'espacement 1-, peut selon une variante, présenter une section en U, la disposition etant telle que, 'les branches 10a de cette pièce d'espacement,qui font saillie vers le haut, senga- gent par en-dessous derrière les bords latéraux relevés 3 des plaques de couverture, tandis que les pattes d'attache 5 sengagent par-dessus derrière ces bords latéraux relevés 3.
Pour empêcher tout déplacement angulaire,on prévoit sur la traverse 10b de la pièce d'espacement 10 des saillies 11 repoussées par emboutissage à partir de cette pièce, pointes qui s'enfoncent dans le support 6 de la couverture et qui assurent un ancrage supplémentaire à la pièce d'espacement 10
Il est évident que la couverture (le revêtement) 1 selon l'invention, décrite ci-dessus, peut être aisément et rapidement montée et démontée par l'extérieur, sans que l'on doive employer des clous ou vis qui traversent la couverture et qui peuvent donner lieu à des fuites.
On. ne risque pas de voir l'eau ou l'humidité remonter entre, d'une part, les bords latéraux relevés 3 des plaques de couverture 2 et, d'autre part, la barre creuse 8 qui chevauche ces bords, y compris le jeu de joints 7, étant donné que seuls les bords longitudinaux 8a de la barre creuse 8 s'appliquent sur les plaques de couverture 2, de sorte qu'il ne peut pas y avoir d'effet capillaire entre les bords latéraux des plaques de couverture, d'une part, et la barre creuse 8, d'autre part. Pour compléter le joint étanche, on peut disposer, au voisinage des bords longitu- dinaux 8a de la barre creuse 8, entre cette dernière et les plaques de couverture 2, des bandes de bourrage constituées en caoutchouc résistant au vieillissement, en matière synthé, tique, ou en un matériau analogue.
Dans le cas de couvertures l, dont les plaques de recouvrement 2 sont pourvues de bourrelets, d' ondulations
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ou de moulures de renforcement,' orientés dans le sens longitu- dinal des plaques, comme indiqué dans la fig.l et dans les figs. 7 et 8 des dessins annexés, pour les deux plaques de couverture 2b, 2c, les diverses plaques de couverture 2 peuvent être fixées au support de couverture 6 du toit non seulement par leurs bords relevés 3, mais aussi en un point quelconque de- la surface qu'elles recouvrent, cela sans que l'on fasse appel à des clous, vis, ou eléments analogues, ,qui traversent la couverture.
A cette fin, on fixe sur le support de couverture 6, le long d'au moins un des bourre- lets, ondulations ou moulures de renforcement 12, des pattes d'attache 13, 14 (qui. coopèrent avec des éléments de retenue , 15, 16 prévus sur la face inférieure des bourrelets, ondula- tions ou moulures creuses de renforcement 12 et qui assurent la fixation des plaques de recouvrement au support de cou- verture 6 du toit.
Des vis de fixation 12, 15 ou 14, 16, qui servent à assujettir les plaques de recouvrement 2, faisant partie de la couverture 1, en des points du support de couverture 6 recouverts par ces plaques, sont représentées dans les figs.
7 et 8 des dessins annexes.
Dans l'exemple de réalisation d'un dispositif de fixation selon l'invention, représenté dans la fige 7, on prévoit, le long des espaces creux 12a, enclavés 'par les bourrelets, ondulations ou moulures de renforcement 12, des pattes d'attache 33 en forme de Z que l'on fixe, à l'aide de clous par exemple, au support 6 de la couverture, avec ceci que l'aile libre 13a de la patte d'attache 13 en Z présente des becs 13b faisant saillie vers les côtés.
Ici, les bourre- lets, ondulations ou nervures creuses 12 de renforcement sont munis de bossages ou proéminences 15 orientés vers l'inté- rieur, disposés de telle manière que, après la pose des
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plaques de couverture 2, ils se trouvent engagés derrière les saillies 13b des pattes d'attache 13 et retiennent ainsi les plaques de recouvrement 2 sur le support de couverture 6, Les pattes d'attache 13 sont ici égalementréparties à intervalles déterminés d'avance, de préférence réguliers, les bossages ou proéminences 15 étant prévus dans les bour- relets 12 au voisinage de chacune des pattes d'attache.
Il ressort en outre de la fig.? que les proéniinences ou bos- sages 15; qui maintiennent les plaques de couverture 2, dans la partie recouverte par la superficie de ces dernières, en liaison positive avec- le support de couverture 6, par l'in- termédiaire des pattes d'attache 13, peuvent aussi être ,repoussés après que les plaques de recouvrement 2 de la couverture 1 ont déjà été posées sur le support de couver- ture 6. Dans cette construction, les bossages ou renfonce- ments 15 peuvent être repoussés dans les bourrelets 12, ou éléments analogues, au moyen d'une pince indiquée en traits mixtes cens la fig. 7.
Grâce aux bossages ou proéminences 15' les bourrelets de renforcement des plaques de recouvrent se trouvant fixés de façon positive, essentiellement inamo- vible, au support de couverture, aussi longtemps que l'on ne retire pas le couvre-joint 4 en vue du démontage.
Le système de fixation 14, 16 selon la fig. 8 se compose d'une part, de,crochets élastiques 14 disposés à intervalles déterminés d'avance, au voisinage desbourrelets de renforcement 12 et, d'autre part, de crochets de retenue 16 prévus sur la face inférieure des bourrelets 12, au voisinage de chacun des crochets élastiques 14. Ici, les crochets élastiques 14 sont disposés de telle manière que, après la pose des plaques de recouvrement 2 sur le support de couverture 6, ils se trouvent engagés derrière les crochets de retenue 16, de sorte que les bourrelets de renforcement 12,ou éléments analogues, des plaques de
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recouvrement 2 sont réunis au support de couverture 6.
En dégageant les crochets on peut séparer à volonté le joint 4
En considérant la fig. 9, on voit que les plaques de recouvrement qui forment la couverture 1 et qui présentant le profil 2 selon la fig.l, sont courbées vers le bas à leur extrémité 2' qui forme la gouttière. Afin que les di- verses plaques de recouvrement 5 de la couverture 1 forment un larmier 2" droit ou essentiellement droit, les bords latéraux 3 des diverses plaques de recouvrement 2 sont con- formés de telle manière que, dans la zone de courbure 2' correspondant à la gouttière, ces bords latéraux passent progressivement de la position relevée à une position qui se confond avec le plan des plaques de recouvrement.
Dans ce cas, la barre profilée creuse 8, qui chevauche le jeu de join
7 et les bords latéraux 3 des plaques de recouvrement et qui complète la couverture, passe progressivement, dans la zone de la courbure 2' du larmier, du profil creux 8 à un plan parallèle à celui de la plaque de couverture. Cette conformation, établie selon l'invention, de la couverture 1 du tbit dans la région du larmier 2' assure un écoulement favorable des eaux, une étanchéité maximum du toit et un aspect favorable du point de vue architectural. La fig.10 des dessins annexés représente la barre creuse 8' disposée au voisinage de la courbure du larmier et dont le bord infé- rieur 8" est replié en-dessous du bord d'égouttement 2" des plaques de couverture 2 après la pose de la barre 8' sur ces dernières, comme indiqué dans les dessins.
La barre creuse
8' est constituée par un tronçon indépendant de l'autre partie de la barre creuse 8, ce tronçon étant glissé dans l'extrémité inférieure de la barre creuse 8 et étant reuni positivement à celle-ci à l'aide de bossages 18.
Les diverses plaques de couverture 2, ainsi que les couvre-joints 4, constitués par les barres profilées creuses t
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8, de la couverture 1, sont garamels contre tout glissement vers le bas, grâce au fait que les bords latéraux relevés soit, les bords longitudinaux, présentent de légers ren- foncements ou repoussages derrière les diverses pattes d'at- tache 5 ou organes de fixation analogues.
Les plaques de couverture 2 et les couvre-joints 4 de la couverture 1 peuvent être établis en diverses matières par exemple, en tôle, en matière synthétique, ou analogues, de préférence en un matériau de couverture sous faible épaisseur. d'autre part, les dispositifs de fixation 5, 13 14. qui réunissent la couverture 1 (ou le revêtement) au support de couverture 6, peuvent être employés conjointement avec tous les supports de couverture courants, que ceux-ci soient établis en bois, en acier ou en béton,
Les profils des plaques de couverture représentés dahs la fig.1 des dessins annexés ne constituent que quel- ques exemples de réalisation des formes possibles.