BE558322A - - Google Patents

Description

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   La présente invention est relative à la construction de bâtiments et aux éléments appelés à être utilisés dans cette construction. Un objet de l'invention consiste, d'une part, ' à établir un élément de construction d'une forme améliorée, appelé à assurer le fini extérieur d'un bâtiment et, d'autre part, à constituer des moyens permettant le remplacement d'une maçonnerie de briques, de pierres, ou d'autres matériaux 

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 de construction, par des éléments d'un poids moindre et d'une installation plus aisée que les briques ou blocs de pierre habituels. 



   ,Un autre objet de l'invention consiste à utiliser un certain nombre de ces éléments de construction en vue   d'éta-   blir un léger revêtement extérieur d'une paroi, ce revêtement' pouvant être convenablement imperméabilisé, rendu isolant et être fini de façon à offrir l'aspect d'un assemblage habituel .de briques ou de pierres. 



   Les bâtiments modernes, tant pour usage privé que pour usage publie, sont souvent exécutés en assemblant des éléments préfabriqués, sur une charpente, cette dernière pouvant être en métal, en bois ou en béton armé. Toutefois, il existe une préférence pour des matériaux de construction et des styles d'architecture traditionnels. La présente invention vise à répondre à cette tendance par l'établissement d'éléments dont la surface extérieure peut être conformée de façon à simuler un assemblage de briques ou de pierres de telle sorte que le fini extérieur d'un bâtiment puisse être conforme à n'importe quel style déterminé. 



   Selon une caractéristique de l'invention, un élément de construction est établi en une matière pouvant être coulée, moulée ou extrudée, cet élément se composant d'une première partie qui présente une surface appelée à simuler un assem- blage de briques, de pierres ou d'autres matériaux de cons- truction, et d'une scande partie, qui fait corps avec la première, tout en   se situant   dais un plan différent, et qui est constituée de manière à permettre le montage de l'élément sur un assemblage de bâtiment. 

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   Selon une autre caractéristique de l'invention, un élément de construction, établi en une matière susceptible d'être coulée, moulée ou extrudée, constitue une plaque de' forme sensiblement rectiligne, cette plaque comportant une partie inférieure dont la surface est pourvue de rainures ou est façonnée d'une autre manière susceptible de simuler un assemblage de briques, de pierres ou d'autres matériaux de construction, ainsi qu'une partie supérieure située dans un plan incliné et décalé par rapport au'plan de la partie inférieure, ladite partie supérieure étant conformée de ma- nière à comporter des moyens lui permettant d'être réunie à un élément de la charpente lu bâtiment. 



   Une autre caractéristique de l'invention, relative à un revêtement extérieur pour bâtiments, consiste à prévoir une série d'éléments de construction comme décrit ci-dessus, ces éléments étant appelés à être disposés, à recouvrement, sur des éléments de support horizontaux, eux-mêmes supportés par un assemblage de construction ou faisant partie d'un tel assemblage, de manière que lesdits éléments de construction constituent, après montage, une surface de paroi qui simule l'aspect conventionnel de briques, de pierres, ou un autre dessin voulu quelconque. 



   Selon une autre caractéristique de l'invention, un bâtiment est constitué: par une charpente comprenant des éléments verticaux et horizontaux; par un certain nombre d'éléments de construction dont chacun présente un panneau conformé de manière à simuler des briques, des blocs de pierre, ou analogues, ainsi qu'une partie décalée par rapport à ce panneau; et des moyens pour fier les éléments de cons- truction dans une position telle qu'ils soient suspendus aux 

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 éléments horizontaux de ladite charpente, de telle façon que les panneaux d'une rangée recouvrent les parties décalées de la rangée sous-jacente, de manière à constituer un assembla- ge dans lequel lesdits panneaux simulent l'aspect d'une ma- çonnerie de briques, de pierres, ou analogues. 



   On se reportera ci-après aux dessins annexés, dans lesquels: 
La Fig 1 est une vue d'élévation antérieure d'un mode de réalisation d'un élément de construction selon l'invention. 



   La Fig 2 est une vue d'élévation postérieure de l'élé- ment représenté dans la Fig 1. 



   La Fig 3 est une vue en coupe verticale de cet élément, prise suivant la ligne III-III de la Fig 1. 



   La Fig 4 est une vue de dessus de l'élément représen- té dans les Figs 1 et 2. 



   La Fig 5 est une vue d'élévation d'une partie d'une paroi comportant des éléments légèrement différents des pré-   cédents,   certaines parties étant arrachées afin de montrer l'aspect intérieur. 



   La Fig 6 est une vue en coupe verticale prise suivant la ligne A-B de la Fig 5 et montrant le procédé d'assemblage des éléments de paroi. 



   La Fig,7 est une vue de détail montrant un mode de      calfeutrage des'joints entre les éléments imbriqués repré- sentés dans la Fig   6:   
La Fig 8 est une vue de détail montrant une variante de la méthode de calfeutrage. 



   La Fig 9 est une vue perspective d'un dispositif des- tiné à retenir les éléments de la paroi dans leur position d'assemblage sur la charpente. 

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   La   Fig-10   est une vue perspective d'un mode   dtexécu-   tion de variante du dispositif selon la Fig 9. 



   La Fig 11 est une vue perspective d'un élément des- tiné au calfeutrage des joints. 



   La Fig 12 est une vue perspective d'un élément de calfeutrage destiné aux angles des parois. 



   Chaque élément de construction comporte deux panneaux, à savoir, un panneau inférieur A disposé de telle façon que, lorsqu'il a été appliqué, il occupe une position verticale, et un panneau supérieur B, situé dans un plan décalé par rapport au plan du panneau inférieur A. Le panneau supérieur B peut être incliné par rapport au panneau inférieur A, comme montré dans la Fig 3,  ou   être parallèle à celui-ci, comme montré dans les Figs 6 à 8.

   Les deux panneaux sont réunis   l'un   à   l'autre   sur toute leur longueur par une partie inter- médiaire C qui présente une surface supérieure 1 située dans un plan sensiblement perpendiculaire à la surface du panneau A,ainsi qu'une surface inférieure oblique 2, de sorte que cette partie intermédiaire de l'élément de construction pos- sède une section transversale plus grande, comme représenté dans les Figs 3 et 6 à 8, afin de renforcer le point de transition entre le panneau supérieur et le panneau inférieur. 



   Afin de donner à la surface extérieure du panneau in-   férieur A   une apparence de briques, cette surface peut être constituée, en cours de fabrication, de manière à présenter des rainures horizontales 3 et des rainures verticales 4, à des intervalles qui correspondent aux dimensions de briques, ces rainures étant représentées dans les Figs 1, 5 et 6. La surface opposée ou postérieure du panneau est conformée de manière à présenter des nervures ou moulures verticales et horizontales 5, dont les emplacements coïncident avec ceux 

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 des rainures 3 et 4 et qui servent à consolider le panneau 
A en conservant à celui-ci une épaisseur uniforme aux en- droits qui, sans cela, présenteraient une épaisseur réduite en raison de la présence des nervures.

   Les bords verticaux et horizontaux du panneau A sont conformés de manière à présenter respectivement des nervures ou rebords 6 et 7. 



   En outre, les bords verticaux et le bord horizontal infé- rieur de l'élément sont en retrait aux endroits où se termine la représentation d'une brique complète, comme montré en 8 et en 14, de telle sorte que, lorsque les pan- neaux sont assemblés bout à bout, ces parties en retrait forment une rainure complète analogue à une des rainures 4. 



   Le panneau supérieur B de l'élément est conformé de manière à présenter des évidements 9 répartis à intervalles sur son bord supérieur et prévus pour recevoir des organes ou dispositifs destinés à fixer l'élément dans la position voulue à la charpente d'un bâtiment. Tans les intervalles entre les évidements 9, la partie supérieure de l'élément se termine par des pattes 10 orientées vers l'arrière et appelées à agir à la manière de crochets permettant de sus- pendre l'élément sur une pièce horizontale de la charpente d'un bâtiment. Immédiatement au-dessous de ces pattes, le bord supérieur du panneau présente une section transversale renforcée, comme représenté en 11 dans les Figs 3 et 6. 



   Les éléments de construction décrits ci-dessus peu- vent être formés par coulée ou moulage à partir du béton, d'asbeste, d'argile, ou d'autres matériaux moulables aux- quels on peut incorporer des matières colorantes, compte tenu de l'aspect final que doit présenter la construction dont   l'élément   en question forme une partie constitutive. 

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  Cet élément peut être établi à partir de matériaux, cimenteux, par coulée ou moulage suivis de prise, ou bien, peut être constitué avec des matériaux dont on se sert généralement pour la,fabrication de briques et tuiles, les éléments pou- vant être soumis, dans ce dernier cas, à la cuisson de la même manière que les briques. 



   Lorsqu'un certain nombre d'éléments établis de la ma- nière décrite ci-dessus sont assemblés de façon à constituer une surface deparoi complète, la partie inférieure de cha-      que panneau vertical! recouvre la partie supérieure B du panneau immédiatement sous-jacent, ce qui permet de réali- ser une paroi à surface essentiellement continue. 



   Un procédé pour l'assemblage d'éléments tels que dé- crits ci-dessus, en vue de former une surface de paroi, se- ra décrit ci-après, en se reportant aux Figs 5 à 12. 



   La paroi établie selon les Figs 5 et 6 est constituée par un assemblage d'éléments présentant la forme de plaques ou de carreaux et constitués de la manière décrite ci-dessus, chaque élément étant monté dans la position d'utilisation par le fait que sa patte 10 est engagée sur une latte ou volige 12, en bois, qui occupe une position horizontale. 



  Un certain nombre de ces lattes sont fixées aux éléments verticaux 13 d'une charpente de bâtiment, laquelle peut être établie en acier, en bois, ou en béton armé. Les élé- ments verticaux 13 sont conformés d'avance de telle façon que les lattes horizontales 12 puissent être placées cor-   rectement.   Lorsque ces éléments verticaux 13 sont en acier, ils sont munis de perforations, de nervures ou de rainures en des points appropriés de leur longueur. Lorsque les éléments verticaux sont constitués en béton ou en béton 

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 aimé, ils sont moulés de manière que leurs surfaces présen- tent des renfoncements peu profonds, afin de permettre une mise en place correcte des lattes 12. 



   L'écartement entre les lattes de bois 12 est tel que, après assemblage, les panneaux inférieurs A des éléments de construction d'une même rangée recouvrent les panneaux su- périeurs B des éléments de la rangée immédiatement sous- .Jacente, comme montré dans la Fig 6. La ressemblance avec les briques est encore accentuée par l'application d'une matière de jointoiement, comme muntré en 15 dans la Fig 5, dans les rainures 3 et 4 et dans celles constituées par les parties complémentaires en retrait 8 et 14. Les bords inférieur et latéraux des éléments sont ainsi obturés,l'en- semble présentant ainsi l'aspect d'une surface de paroi continue en briques. Ceci peut être réalisé aisément en utilisant la matière de jointoiement qui fait l'objet du brevet anglais N  775.303.

   Les dispositifs utilisés pour retenir les éléments A-B dans la position voulue sur les lattes 12, sont constitués par des attaches dont des exemples sont représentés dans les Figs 9 et 10. Chaque attache est formée d'une seule pièce de fil métallique so- lide et se compose de deux boucles 16 orientées vers le bas et reliées par une partie horizontale 17. Les bras postérieurs 18 des boucles s'étendent vers le haut, jus- qu'au-dessus de la partie horizontale de liaison 17 et sont pliés à angle droit, de manière à former des bras 19 orientés vers l'arrière et terminés par des extrémités pointues 20, dirigées vers le bas. 



   Pour appliquer les attaches, on les engage sur les panneaux supérieurs B de deux éléments voisins, de telle 

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 façon que les branches postérieures 18 des boucles soient en contact avec les surfaces antérieures de ces panneaux. 



  L'attache est maintenue dans cette position - dans laquelle elle empêche le déplacement des éléments - en faisant pas- ser les bras 19 à travers l'évidement 9 formé dans le bord supérieur des panneaux B et en enfonçant les extrémités pointues dans la surface supérieure d'une latte 12. Selon une variante, les extrémités postérieures des bras 19 peu- vent être tournées de manière à former des oeillets 21, comme montré dans la'Fig 10, à travers lesquels on peut enfoncer des clous, afin de fixer l'attache dans la posi- tion voulue. Les attaches peuvent être constituées en tô- le et présenter des bandes horizontales au lieu et place des bras 19, bandes que l'on peut perforer, afin qu'elles puissent être clouées aux lattes. 



   Les boucles 16 de l'attache servent à recevoir les extrémités inférieures de feuilles d'un matériau d'imper- méabilisation 22, dont les extrémités supérieures sont fixées à la surface antérieure des lattes 12 (Fig 6), préalablement à l'installation des éléments A, B, feuil- les qui, par le fait d'être suspendues depuis le panneau supérieur B d'un élément jusqu'au panneau supérieur B de l'élément immédiatement sous-jacent, constituent un moyen d'imperméabilisation complète pour toute la surface de la paroi. 



   L'espace compris entre le bord inférieur de chaque panneau A et l'épaulement constitué par la partie inter- médiaire C de l'élément immédiatement sous-jacent est calfeutré de façon continue ou à intervalles par un système comportant un élément métallique 23 à profil 

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 d'angle (Figs 7 et 11), fixé à l'aide de pointes en cuivre 
24 et de blochets ou tampons 25 dans la partie intermédiai- re C. Après assemblage, on refoule du mastic dans l'espace compris entre le bord inférieur du panneau A et la partie intermédiaire C, la pression exercée par l'élément A-B su- périeur ayant pour effet de forcer le mastic 26 à remplir l'espace voisin du premier espace nommé, en épousant les contours des deux surfaces voisines.

   Toute pénétration d'humidité entre les deux éléments A-B fixés à recouvrement est ainsi empêchée d'une façon efficace. Dans les angles de la pam i, l'élément 23 est remplacé par un élément af- fectant une forme à angle droit et représenté en perspeo- tive en 27 dans la Fig 12. Le système de calfeutrage dé- crit ci-dessus laisse le renfoncement 14 inoccupé, de fa- çon que celui-ci puisse recevoir la matière de jointoie- ment, comme décrit plus haut. 



   Dans le système représenté dans la Fig 8, on a éli- miné les cornières 23 et 27, les pointes 24 et les tampons 
25, le calfeutrage étant réalisé ici par l'interposition d'une masse de mastic 26a entre le bord inférieur d'un panneau A et l'épaulement C de l'élément de construction immédiatment sous-jacent. Le calfeutrage représenté dans les Figs 7 et 8 constitue en outre une sorte de verrouil- lage mécanique entre éléments imbriqués voisins, de sorte que celui-ci n'est pas tributaire du jointoiement. 



   La construction peut être achevée avantageusement en fixant aux surfaces postérieures des lattes 12 un re- vêtement intérieur 28 (Fig 6) formé de plaques de coton de verre ou d'une autre matière formant isolant thermique ou phonique. Ce revêtement complète la paroi, qui devient 

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 ainsi effectivement une paroi creuse. De plus, on peut monter sur la face intérieure de la couche isolante n'im- porte quels éléments que l'on fixe aux colonnes 13, de manière à constituer une surface de paroi intérieure. la cavité 29 constitue en outre un espace propre à recevoir de la matière isolante supplémentaire. 



   Les éléments   A-B   peuvent être munis de perforations grâce auxquelles ils peuvent être cloués aux lattes, ce qui permet d'éliminer les attaches 10. 



    L'invention offre les avantages suivants : élé-   ments décrits peuvent être assemblés par une personne non spécialisée, en les suspendant sur une charpente préfa- briquée ; ces éléments étant notablement plus légers que des briques, un bâtiment entier peut être édifié à moins de frais qu'en utilisant des briques; la paroi construite est stable et d'un caractère permanent et offre tous les avantages qui ne pouvaient être obtenus à ce jour que par des systèmes plus considérables et plus complexes; fina- lement, les éléments peuvent être moulés de façon à don- ner à la surface des panneaux inférieurs un aspect voulu quelconque, de telle sorte que l'extérieur du bâtiment fini puisse présenter n'importe quel aspect désiré.

   Par exemple, les éléments, auxquels on a incorporé une matiè- re colorante appropriée, peuvent être moulés de telle fa- çon que les surfaces de leurs panneaux inférieurs imitent une maçonnerie de pierres, soit dressées, soit rustiquées.

Claims (1)

1. REVENDICATIONS.

   1) Elément de construction établi en une matière pouvant être coulée, moulée ou extrudée, cet élément se composant d'une partie qui présente une surface appelée à simuler une maçonnerie de briques, une maçonnerie de pierres, ou d'autres matériaux de construction, et d'une seconde partie qui fait corps avec la première, tout en se situant dans un plan différent, et qui est constituée de manière à permettre le montage de l'élément sur un assemblage de bâtiment.

   2) Elément de construction établi en une matière susceptible d'être coulée, moulée ou extrudée, cet élé- ment constituant une plaque de forme sensiblement reoti- ligne, cette plaque comportant une partie inférieure dont la surface est pourvue de rainures ou est façonnée d'une autre manière susceptible de simuler une maçonnerie de briques, une maçonnerie de pierres, ou d'autres maté- riaux de construction, ainsi qu'une partie supérieure si- tuée dans un plan incliné et décalé par rapport au plan de la partie inférieure, ladite partie supérieure étant conformée de manière à comporter des moyens lui permettant d'être réunie à une pièce de la charpente du bâtiment.

   3) Elément de construction selon la revendication 1 ou 2, dans lequel les panneaux supérieur et inférieur sont réunis l'un à l'autre par une partie intermédiaire de plus grande section transversale. <Desc/Clms Page number 13>

   4) Elément de construction selon la rev. 1 ou 2, dans lequel la surface extérieure de la partie ou du pan- neau inférieur est munie de rainures, de façon à offrir l'aspect d'une maçonnerie de briques, la surface posté- rieure de ladite partie inférieure de l'élément étant pourvue de nervures situées au droit desdites rainures, afin de renforcer le panneau en réalisant une épaisseur uniforme sur toute sa superficie.

   5) Elément de -construction selon la rev. 1 ou 2, dans lequel le bord supérieur de cet élément est confor- mé de manière à présenter des saillies orientées vers l'arrière, en vue de constituer des moyens permettant de solidariser cet élément d'une pièce horizontale d'une charpente de bâtiment.

   6) Elément de construction selon une quelconque des rev. précédentes, dans lequel les bords inférieur et verticaux de la partie ou panneau inférieur sont renfor- cés par le fait qu'ils présentent des moulures ou rebords orientés vers l'extérieur.

   7) Revêtement extérieur pour bâtiments, constitué par une série d'éléments de construction comme spécifié dans une quelconque des rev. précédentes, ces éléments étant appelés à être montés, à recouvrement, sur des piè- ces horizontales supportées par un assemblage de bâtiment, ou en faisant partie, de manière à constituer, après mon- tage, une surface de paroi qui simule l'aspect convention- nel d'une maçonnerie de briques, d'une maçonnerie de pier- @ res, ou qui présente un autre dessin voulu quelconque.

   @ 8) Système de bâtiment comportant une charpente comprenant des pièces verticales et horizontales ; <Desc/Clms Page number 14> uncertain nombre d'éléments de construction comme spécifié dans une quelconque des revendications 1 à 6, chacun de ces éléments présentant un panneau conformé de manière à simuler des briques, des blocs de pierre, ou analogues, ainsi qu'une partie décalée par rapport à ce panneau ;

   et des moyens pour fixer les éléments de construction dans une position telle qu'ils soient suspendus aux pièces horizontales de ladite charpente, de telle façon que les panneaux d'une rangée recouvrent les parties décalées de la rangée sous-jacente, de manière à constituer un assem- blage dans lequel lesdits panneaux simulent l'aspect de maçonnerie de briques, de maçonnerie de pierres, ou ana- logues.

   9) Système de bâtiment selon la rev. 7 ou 8, dans lequel lesdits éléments sont conformés de manière à s'en- gager sur les pièces horizontales de la charpente et sontre- tenus dans la position voulue sur cette charpente à l'aide de dispositifs mécaniques qui prennent appui sur les sur- faces des éléments de construction et qui s'engagent dans les pièces horizontales de la charpente.

   10) Système de bâtiment selon la rev. 7,8 ou 9, où un matériau d'imperméabilisation sous la tonne de feuil- les est disposé à l'arrière de chaque rangée d'éléments, de façon à s'interposer entre les surfaces à recouvrement de rangées adjacentes.

   11) Système de bâtiment selon la rev. 7 ou 9, où un matériau d'imperméabilisation sous forme de feuilles est disposé à l'arrière de l'élément de charpente horizontal.

   12) Système de bâtiment selon la rev. 7 ou 8, où un joint étanche est constitué entre le bord inférieur de <Desc/Clms Page number 15> chaque élément de construction et l'épaulement formé entre le panneau inférieur d'un élément, d'une part, et un pan- neau décalé faisant partie de l'élément de construction immédiatement sous-jacent, d'autre part.

   13) Système de bâtiment selon les rev. 9 et 10,com- prenant une attache métallique appelée à s'engager par- dessus des bords supérieurs respectifs de deux éléments de construction voisins et à s'appuyer sur les surfaces antérieures de ces éléments, de manière à les maintenir en place sur une pièce horizontale, ladite attache com- portant également des moyens destinés à engager le bord inférieur du matériau d'imperméabilisation, ainsi que des moyens appelés à s'attacher à ladite pièce horizontale.

   14) Système de bâtiment selon la rev. 8, où les panneaux sont formés de manière à présenter des rainures et des parties marginales en retrait, le tout délimitant des champs ayant les dimensions de briques, de pierres, ou analogues, ces rainures et ces parties marginales en re- trait étant remplies d'une matière de jointoiement après assemblage d'un certain nombre d'éléments de construction sur la charpente.

   15) Système de bâtiment selon la revendication 8,où la charpente comporte des pièces verticales en acier, en bois ou en béton armé, ces.pièces étant pourvues d'évide- ments ou étant conformées d'une autre manière leur per- mettant de recevoir des lattes horizontales en bois, auxquelles les éléments de construction sont attachés.

   16) Système de bâtiment selon la rev. 12, où le bord inférieur de chaque élément de construction est oon- formé de manière à présenter une partie en retrait au- <Desc/Clms Page number 16> dessous de laquelle une pièce métallique à profil d'angle est fixée à l'épaulement de l'élément de construction im- médiatement sous-jacent, du mastic étant injecté entre la pièce métallique et la partie en retrait, de manière à constituer un joint scellé éten che.

   17) Système de bâtiment selon la rev. 13, où l'as- semblage de la paroi est complété par'l'adjonction d'un revêtement intérieur constitué par des places d'un maté- riau calorifuge, fixées aux surfaces intérieures des piè- ces de charpente horizontales.

   18) Système de bâtiment selon une quelconque des rev. 7 à 17, comprenait une cavité à l'abri de l'humidité, située à l'arrière des éléments de construction imbriquées et destinée à recevoir un matériau formant isolant thermi- que et/ou phonique.

   19) Elément de construction établi et ordonné comme décrit ici, en se reportant aux Figs 1 à 8 des dessins annexés.

   20) Système de bâtiment comme décrit ici, en se re- portant aux Figs 5 à 12 des dessins annexés.