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La présente invention a pour objet une machine perfectionnée à laver et à essorer le linge, permettant soit de laver du linge, soit d'essorer du linge, soit de procéder simultanément au lavage d'une certaine quantité de linge et à l'essorage d'une autre quantité de linge, l'eau de lavage n'ayant aucun accès vers le bol d'essorage.
Lorsque du linge a été lavé,, il suffit de le retirer de la cuve ex- térieure de lavage, pour le déposer dans le bol essoreur central.
Conformément à l'invention, le moteur de commande tourne constamment dans le même sens et à vitesse constante. Il transmet son couple, avec toute démultiplication appropriée de vitesse, à un arbre central, qui tourne constam-
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-ment dans les mêmes conditions que le moteur. Cet arbre est directement accouplé au bol essoreur qui tourne à la même vitesse, relativement élevée, de cet arbre; ce dernier est en outre accouplé à l'agitateur, par l'intermédiaire d'un démulti- plicateur de vitesse et d'un mécanisme qui transforme le mouvement de rotation continue du dit arbre en un mouvement circulaire alternatif de l'agitateur, à vitesse relativement faible.
On voit ainsi que le dispositif de lavage fonctionne en même temps que le dispositif d'essorage, de telle sorte que l'on peut ou laver, ou essorer, ou laver et essorer en même temps, sans autre manoeuvre que d'arrêter ou de mettra la machine en route.
On va décrire ci-dessous un exemple de réalisation de l'invention, bien entendu non limitatif, des variantes de réalisation pouvant être envisagées, sans sortir pour cela du cadre de la présente invention.
Cette dernière sera d'ailleurs bien comprise en se référant à la description qui suit et aux dessins qui l'accompagnent, donnés à simple titre dexemple non limitatif, et dans lesquels : - La figure 1 représente une coupe de profil die l'ensemble de la machine à laver, dont certaines parties sont éclatées pour faciliter la compréhension.
- La figure 2 représente une vue arrière de la machine à laver, avec coupe partielle suivant Cl-C2- de la figure 3, indiquant le détail de montage de la pompe et faisant apparaître le montage des ressorts de suspension.
- La figure 3 est une vue de dessus, suivant coupe C3-C4 de la figure 1.
- La figure 4 est une coupe C5-C6 de la figure 3.
- Les figures 5 & 6 représentent une variante préférée de réalisation du mécanisme d'une machine conforme à l'invention.
La machine comporte, en résumé, comme éléments principaux : un habillage extérieur et une virole intérieure qui supporte le moteur, la pompe, la cuve et le mécanisme ; d'autres éléments accessoires complètent l'ensemble de la machine.
Ces divers éléments vont être décrits ci-dessous en détail : Habillage extérieur -
Cet habillage est constitué par une caisse extérieure 41 (fig.2 & 3) en forme générale d' U , et comportant, à l'arrière, deux rebords 42 & 42bis,
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permettant la fixation d'une tôle 43 ,perforée ou non, fermant ,totalement ou partiellement, l'arrière de la machine. La caisse 41 comporte, sur sa face avant une ouverture 44 (figure 3), de forme appropriée, permettant le passage et la fixation d'un pupitre 45 ¯(figures 1 et 3), fixe à la caisse 41 par tous moyens connus appropriés, et décrit ci-dessous de façon plus détaillée.
Une traverse arrière 46 .convenablement nervurée (figures 1 & 2) est, par exemple, soudée à la caisse 41.
Un dessus annulaire 47 (fig. 1 & 2) est rendu solidaire de la caisse 41, par tous moyens appropriés, par exemple au moyen de pattes 53 (fig.4) solidaires de la caisse 41, et des pattes 54 (fig.4) solidaires du dessus 47 , le serrage étant assuré'par des ensembles vis-écrous 55 . Le dessus 47 comporte un rebord 50 , qui recouvre la partie supérieure 49 de la-caisse 41 (fig.1 & 4)J
Entre cette partie 49 et l'arête du rebord 50, on peut fixer une bande enjoliveuse 48 de forme appropriée.
Le dessus 47 comporte enfin un épaulement interne sur lequel repose un couvercle 52 de forme correspondante.
L'ensemble ci-dessus est fixé ,par exemple par des boulons 51 (fig.2j, au socle inférieur de la machine. Ce dernier est constitué, par exemple, par une poutre en U ,sur laquelle on soude deux pièces 125 & 125bis, dont la confor- mationi particulière sera précisée un peu plus loin.
Ce socle porte quatre roulettes, pour le déplacement de la machine.
Le pupitre 45 .dont il a été question ci-dessus, comporte des trous (fig.1 & 3) pour le passage de deux tiges de commande 56 & 57 , destinées à rè- gler le commutateur électrique de fonctionnement et le robinet d'arrivée de gaz au brûleur 62, respectivement. Le pupitre 45 présente une.porte centrale orien- table 58 (fig.l), grâce à des charnières 59 . Cette porte 58 est conformée ' de façon.que son extrémité 60 prenne appui sur un époulement 61 du pupitre; dans cette position, les faces F1 du pupitre et F2 de la porte sont visibles, et on s'arrange pour leur donner un aspect agréable..
La face F2 de la porte est judicieusement traitée pour que l'usager puisse observer, par réflexion, les flammes 62bis de la rampe à gaz 62 , le réglage de celle-ci se faisant par le bouton de commande 63, solidaire en rotation de la tige 57.
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De préférence, les charnières 59 présentent un couple élèvé de friction, de façon que la porte 58 puisse occuper différentes positions (en traits interrompus figure 1). L'usager peut ainsi, en fonction de sa propre position, observer les flammes du brûleur 62,- sans se déplacer.
Pour faciliter à l'usager la manoeuvre des boutons 63 (gaz) et 64 , solidaire en rotation de 1- tige 56 (commutateur), figure 3, on peut schématiser, @ sur la face F2bis de la porte 58, les différentes positions que doivent occuper les boutons 63 & 64, suivant les opérations que l'usager veut déclencher. En 66, par exemple, on représentera les positions du bouton 64, et en 65 celles du bouton 63.
Virole intérieure :
La virole intérieure est constituée par deux tôles en U ,74 et 74bis (fig.3), sur lesquelles est soudée une poutre 75 portant le mécanisme 69 (fig.l & 2), une poutre 76 portant le moteur 68 (fig.2), la pompe 67 et, si nécessaire, un condenseur 77 . Ces deux derniers éléments pourraient être disposés ailleurs que sur la poutre 76, si on le désirait.
Deux traverses 78 & 78bis (fig.2) sont , par exemple, soudées aux pièces en U 74 & 74bis. Ces traverses sont conformées de façon à former centrage et appui pour quatre ressorts de suspension, 71, 71bis, 7lter, 7lquater, (fig.3), qui coopèrent de la même façon avec les pièces 125 & 125bis, conformées comme les traverses 78 & 78bis.
On voit ainsi que la virole intérieure repose élastiquement sur le socle de la machine, grâce à quatre ressorts dont les caractéristiques sont choisies en fonction du poids des divers éléments qu'ils supportent, de la fré- quence propre de l'ensemble suspendu et de la fréquence d'excitation.
Des traverses 79, 80, 81 (fig.l) soudées aux pièces en U 74 & 74bis, coopèrent à donner à l'ensemble de la virole, une rigidité parfaite.
Grâce au mode de construction qui vient d'être décrit, on peut réaliser des tolerances relativement serrées pour les entr'axes des ressorts de suspension, en utilisant des pièces obtenues par pressage.
Pompe :
La pompe 67 est fixée sur deux pattes 83, 83bis (fig.2) solidaires de la traverse 76. Elle est de toute construction appropriée.
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Cuve :
La cuve à laver 70 (fig. 1 & 2), supportée par la virole intérieure est, par exemple, en tôle d'acier émaillée. Elle comporte un fond 84 , une ceinture 85 et un dessus 86 ; cet ensemble est soit constitué d'un seul morceau, par exemple par emboutissage et repoussage, soit constitué par des éléments séparés et soudés. Dans ce dernier cas, le nombre des éléments cons- tituant la cuve 70, peut être supérieur à celui des éléments qui viennent d'être énumérés.
La ceinture 85 est reliée au fond 84 par un ensemble de rayons 87.
Le dessus 86 présente un épaulement 89 destiné à centrer un cou- vercle 90 . Ce dessus-86 est, par exemple, soudé par points, ou à la molette en 88 ,avec la ceinture 85.
Il est avantageux de réaliser une cuve de forme générale cubique, dont les faces sont raccordées par des rayons aussi petits que possible, par exemple inférieurs à 90 mm .
Les quatre faces planes 85 de la cuve sont renforcées par un ensem- ble de nervures 70bis (fig.l & 2), reliant les parties 87 & 88, ces nervures étant rigides par construction. Ces nervures évitent une déformation des faces planes pendant l'émaillage; de plus, 'lorsque la machine est en fonctionnement, ..elles évitent une mise en résonance des faces 85, sous l'impulsion des vibration/! provoquées par la rotation d'un bol d'essorage. Dans le cas particulier d'une cuve obtenue par emboutissage, ces nervures aident à absorber le "ventre" géné- ralement produit au cours de l'emboutissage de pièces de ce genre.
Si la cuve 70 était cylindrique, selon une variante possible de l'invention, ces nervures seraient inutiles.
Les pièces 74. 74bis et 81 (fig. 1 & 2) peuvent présenter dans la zone qui touche la cuve 70, un bord tombé 82 ,qui assure un meilleur con- tact entre la partie supérieure de la virole et la cuve.
Le couvercle 90 est en tôle d'alliage léger, bordé d'un joint de caoutchouc. Pour que ce couvercle se maintienne en place par simple repos dans la partie 89 du dessus 86, il est avantageux que le poids de ce couvercle soit faible, par exemple inférieur à 600 grammes; on évite ainsi la nécessité d'un verrouillage supplémentaire, tout au moins pour un épaulement (et un cen- trage) 89 de faible valeur.
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Un tube de sortie d'eau 90bis (fig.4) relie la cuve 70 à la pompe 67 qui refoule l'eau dans le tube 91 vers une pièce 92, de forme appropriée, solidaire de la cuve 70, entre la caisse 41 et les rayons tels que 93 (fig.3) qui relient entre elles les quatre faces de la cuve.
Cette pièce 92 est, bien entendu, disposée au-dessus du niveau de l'eau de lavage. D'autre part, un tuyau 94bis de dimensions appropriées, dont. l'extré- mité entrerait par l'orifice 94 de la pièce 92, pourrait expulser l'eau à 1'extérieur de la machine (fig.4 en traits mixtes).
Enfin, des butées 72 (fig.l) ,par exemple en caoutchouc, sont fixées au/dessus 86 de la cuve 70. Lorsque la machine ne contient pas d'eau et qu'en conséquence les quatre ressorts 71 sont moins comprimés, les butées 72 prennent appui avec une certaine force contre le dessus 47 de la caisse 41. Des butées élastiques 73 ,par exemple en caoutchouc mousse, sont en outre fixées en haut de la partie supérieure interne de la caisse 41. Grâce à cet ensemble de butées, la machine peut être retournée, couchée, ou mise dans toutes positions désirées, au cas où l'on désire procéder à toute vérification ou réparation, sans qu'il en ré- sulte d'inconvénients pour la machine.
Dans tout ce qui précède, ,les diverses pièces soudées les unes au autres peuvent être réalisées en tout matériau désiré, avec toute protection appropriée,' par exemple en tôle préalablement galvanisée.
Mécanisme :
Le mécanisme 69 (fig. 1, 2, et surtout 5 & 6) est fixé à la traverse 75.
11 est enfermé dans deux carters 1 (supérieur) et 31 (inférieur) .
Ils sont fixés entre eux par des vis 37 ; unjoint torique 36 comprimé à l'in- térieur d'une gorge de section rectangulaire assure l'étanphéité entre les carters et l'extérieur.
On voit, figure 5, qu'une colonne 26 peut tourner autour de l'arbre central de commande 30 ,par l'intermédiaire de deux roulements à billes, supé- rieur 27 , et inférieur 29 . Cet ensemble est, d'autre part, maintenu dans les carters au moyen d'un roulement à billes 29 .fixé au carter inférieur 31 par vis 34 et tôle 32 ; le dit ensemble est centré dans le carter supérieur 1 au moyen d'un coussinet 106 .
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Sur le roulement 29 se trouve une rondelle 33 , solidaire de l'ar- bre 30 par l'intermédiaire d'une entretoise 11 en matériau approprié, et d'un ensemble de vis qui, comme expliqué ci-dessous, maintient également la poulie 38.
Sur cette entretoise 11 frotte un joint d'étanchéité 12 . La rondelle 33 et la tôle 32 interdisent pratiquement toute entrée de corps solide à l'intérieur du rou- lement à billes 29 . En outre, un joint 8 ,par exemple en caoutchouc ,évite toute fuite d'huile provenant du carter, vers l'extérieur.
L'arbre moteur 30 est entraîné en rotation continue, toujours de même sens, par le moteur 68, par l'intermédiaire d'une courroie 95 (figure 1) et d'une poulie 38 (figure 5). Cette dernière peut être réalisée au moyen de deux flasques en tôle 40 & 40bis, réunis par points de soudure et par un moyeu 100, qui les serre après avoir été coulé sous pression ; ce moyeu est, par exem- ple, en "Zamac" . La poulie 38 est rendue solidaire de l'arbre 30 par tous moyens connus, par exemple par un ensemble de rondelles, de vis, de frein de vis 13, 14, 15,16.
Une bague 35 , de forme appropriée, est disposée autour de l'arbre 30, à l'endroit où celui-ci diminue de diamètre, afin d'y éviter une accumulation de contraintes mécaniques, comme il s'en produit lors de variations brusques de section..
L'arbre 30 comporte un filet 101 , dont le sens est choisi judicieu- sement, en fonction du sens de rotation de l'arbre, afin de provoquer une montée rapide d'huile de graissage dans le roulement à billes supérieur 27. Pour un diamètre d'arbre de 25 à 35 mm par exemple, on ménagera un jeu radial de moins de 0,6 mm entre l'arbre et l'alèsage de la colonne 26, pour avoir un bon rendement de graissage.
Une bague 9 assure l'étanchéité vers le haut, et une coupelle 102 située au-dessus du roulement à billes 27, permet ,lors de l'arrêt de l'arbre 30, un léger emmagasinage d'huile qui sert, lors du redémarrage, à graisser immédiate-. ment le roulement à billes 27. En effet, l'huile pompée par la vis 101 à travers le roulement inférieur à billes 28 , met un certain temps pour arriver au roule- ment à billes 27 . L'excédent d'huile monté par la pompe.s'écoule par les trous 103 & 104 dans la gorge 105, graissant ainsi la lèvre de la bague d'étanchéité 2 et le coussinet 106; l'huile, emprisonnée dans ladite gorge, s'écoule par le trou 107 vers le bas du carter.
Une disposition judicieuse de celui-ci permet
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un graissage du maneton 108 et de la bielle 24, ainsi que l'arrosage de l'alésage 109, par l'intermédiaire d'un trou 110 du pignon 21. (Le niveau de l'huile est indiqué par une ligne horizontale, figure 5).
La fuite d'huile venant du coussinet 106 ,au long de la colonne 26, permet, étant donné leur proximité, un amassement d'huile 111 au-dessus du pignon 115, graissant ainsi le coussinet 112 dans lequel tourne l'axe du pignon.
On reviendra plus loin sur les divers éléments mécaniques qui viennent d'être mentionnés à propos du graissage.
Bol d'essorage :
Un bol d'essorage 96 est monté sur la partie supérieure 113 de l'arbre 30 (fig.l). Ce bol comporte deux parties tronconiques de pente appropriée, l'une de ces parties comportant des ouvertures permettant l'expulsion de lteau au-dessus du niveau de l'eau de lavage. Ces parties sont réunies l'une à l'au- par exemple par points de soudure. La partie inférieure est reliée au fond 97 du bol par soudure ou par rivets.
On voit ainsi que la rotation continue du moteur 68 entraîne la rotation continue du bol d'essorage 96, solidaire de l'arbre 30.
Cet ensemble de trois pièces est en matériau convenable, par exemple en alliage léger; il est fixé à l'arbre 30 par des moyens connus. Un ensemble de rondelles caoutchouc et métal 98 plaque le bol sur l'arbre, en évitant toute pénétration d'eau entre l'arbre et le fond 97 ; la partie inférieure 99 de celui- ci vient en appui,par exemple, sur une douille 10 (fig.5), avec interposition de joints d'étanchéité. Cette douille 10, en matériau convenable, sert au blocage du roulement à billes 27, ainsi qu'à l'étanchéité, par l'intermédiaire du joint 9 ; elle porte, en outre, un joint intérieur 7, par exemple en caoutchouc, évi- tant avant le montage du bol 96, l'entrée de produits liquides à l'intérieur du mécanisme.
Agitateur : L'extrémité inférieure de l'arbre 30 comporte un pignon 114 (fig. 5 & 6) qui entraîne un train réducteur 22 , dont le pignon 115 engrène avec le pignon 21, ce système formant réducteur de vitesse. Le pignon 21 tourne sur un axe fixe 20 bloqué sur le carter par rondelle, écrou et goupille 17, 18 & 25; une rondelle 39 en matériau convenable évite la friction du pignon 21 contre le f
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carter 1, qui peut être en alliage léger. Le pignon 21 entraîne dans sa rota- tion le maneton 108 d'une bielle 24 dont l'autre maneton 118 coopère avec un secteur denté 23, pivotant autour d'un axe 116 , tournant dans deux alésages, comme connu.
On voit donc .figure 6, que la rotation continue du pignon 21 en- traîne finalement un mouvement oscillant du secteur 23 autour de son axe 116 .
Comme les dents de se secteur coopèrent avec un pignon 117 solidaire de la co- lonne 26, on voit que celle-ci est également animée d'un mouvement circulaire alternatif quand le moteur 68 tourne, ce mouvement étant possible du fait de la présence des deux enroulements à billes 27 & 28 .
L'extrémité supérieure de cette colonne porte l'agitateur 120 (fig.l) qui lui est fixé par des vis 121 . L'agitateur 120 porte un bol 122, qui évite tout contact entre le bol 96 de l'essoreuse et l'eau de lavage on évite ainsi toute formation de mousse due à la friction des eaux chargées de produits de lessive contre le bol d'essorage.
On voit donc qu'en fin de compte, la rotation continue dû moteur 68 provoque un mouvement circulaire alternatif de l'agitateur 120 dans la cuve 70 tandis que le bol essoreur 96 tourne constamment dans le même sens.
Sous une pièce 119 solidaire de la partie supérieure de la colonne 26, vient se fixer une bague d'étanchéité 4, de principe connu, qui vient frot- ter en':123 sur une pièce 5, d'un matériau et de forme connus; l'étanchéité entre celle-ci et le carter 1 est réalisas par l'intermédiaire de joints, par exemple en caoutchouc, 6 . On sait que de telles bagues ne sont que d'une étanchéité relative : aussi a-t-on prévu un déflecteur 3, récupérant la fuite et la conduisant vers l'extérieur de la machine, conformément au circuit indi- qué par les flèches F4.
Rampe à. gaz et commutateur électrique de mise en marche du moteur :'
On voit, figure 1, deux traverses 124 & 126 permettant de monter des supports 127 & 128 (figure 2), sur lesquels sont montés, respectivement, un robinet à gaz 130 et un commutateur 129 . Ces deux éléments s8nt régla- bles.
Le.réglage vertical de la rampe à gaz se fait par l'intermédiaire d'une patte 132, soudée en 133 à la partie inférieure de la rampe 134 .
Cette patte porte une lumière verticale,et deux vis, 135 , bloquent la rampe dans le sens vertical lorsque le .calage est exécuté. LI extrémité 136 de
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la partie-inférieure de la rampe 134 pénètre à l'intérieur d'une douille 137 solidaire du robinet à gaz 130, et assure l'étanchéité entre le robinet et la partie inférieure de la rampe à gaz.
Ce système de fixation n'est rigide que dans un plan, celui où la résistance à la flexion de la patte 132 est maximum, cette patte étant consti- tuée, par exemple, par une :,31e de 25 mm environ de large et de 2 mm d'épais- seur. Dans le cas de la figure 2, ce plan est perpendiculaire à celui de cette figure. Une tige 136bis , de longueur fixe, est rendue solidaire en 137bis (figure 1) du socle de la machine, et permet de disposer horizontalement l'en- semble de la rampe à gaz, par le règlage d'écrous et de contre-écrous 138 qui enserrent une extrémité écrasée 141 de la rampe à gaz.
Cette dernière est constituée par un tube inférieur 134 (figure 2) portant la patte 132 et soudé à la bride 140, figure 1, et par un tube supé- rieur 62 comportant la partie horizontale perforée servant de brûleur; ce tube 62 est soudé à la bride 140 et son extrémité est écrasée en 141 ,comme mentionné ci-dessus. Les deux parties de la bride 140 sont réunies par des vis 139.