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La présente invention concerne des systèmes de claviers, et les appareils qui les incorporent, pour la préparation de la composition de textes en imprimerie.
On connaît des systèmes de composition pour l'impression de textes dans lesquels la frappe du texte à imprimer est utilisée pour perforer ou autrement marquer une bande ou un support d'enregistrement qui est ultérieu- rement utilisé'dans une machine de composition pour l'impression de ces textes. Un tel système est décrit dans le brevet français 1.103.000 des mêmes Demandeurs, déposé le 24 .Mars 1954.
Un objet de la présents invention est d'utiliser, pour une telle frappe, une machine à écrire, préférableent du type à commande électrique, dont on conditionne le' clavier selon les besoins et, par exemple, en ajou- tant à un clavier de présentation usuelle, un ou plusieurs claviers auxi- liaires et un ou plusieurs jeux de touches auxiliaires, pour accroître l'information contenue dans le texte d'autres informations, notamment "de service", utiles à la composition.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, cette extension de la capacité du clavier à un nombre ,de caractères et de signes beaucoup plus élevé que celui des touches d'une machine à écrire ordinaire, est réali- sée sans ajouter, de préférence, de barre porte-caractères et sans augmenter les dimensions de la corbeille de caractères de la machine,
Suivant une autre caractéristique de l'invention, on associe à un tel clavier un dispositif d'enregistrement tol qu'un perforateur adapté à quer une bande ou un support d'enregistrement suivant un code déterminé,
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en correspondance des toucnes enfoncées suit aans le clavier principal soit dans un clavier de service soit aussi dans un jeu de touches latérales:
Et il est aussi prévu en conformité de l'invention, qu'un système de clavier ainsi établi, en même temps.qu'il est adapté à commander un méca- nisme d'enregistrement tel qu'un perforateur à chacune des frappes, est aussi adapté à faire apparaître sur une feuille de papier; par exemple à la manière ordinaire, les caractères ou signes correspondant à ces frappes enregistrées.
Comme toutefois le nombre de barrus pore-caractères est pris de préférence, comme dit, plus petit que le nombre du touches sur un clavier conforme à invention, on a prévu, selon une autre caractéristique encore, de faire coopérer avec ledit clavier un dispositif lui permettant dtactionner une marne barre porte-caractères soit par une touche centrale du clavier principal, soit par une touche latérale du même clavier, soit par une. touche du clavier de service, ainsi qu'un dispositif permettant de caractériser sur la feuille de papier les caractères et signes correspondant à des actionnements de touches latérales ou de touches du clavier de service.
Suivant un aspect de l'invention, il est de plus prévu d'ajouter dans le clavier, de service par exemple, trois touches intitulées respecti- vement "bas-de-casse", "grandes capitales" et "petites capitales" et de faire commander par ces touches un dispositif déterminant les positions relatives de la corbeille porte-caractères et du chariot de la machine, d'une part, un dispositif de sélection do caractérisation des caractères et signes ultérieurement frappés, d'autre part. L'enfoncement de la touche "bas-de- oasse" pourra, par exemple, assurer le maintien en une position relative définie des deux éléments chariot et corbeille alors que l'enfoncement de l'une ou l'autre des touches "grandes capitales" ot "petites capitales'' pourra assurer le maintien de ces élénents on une autre position relative déterminée.
L'enfoncement de ces touches provoquera toujours la mise en position relative correspondante du chariot et dû la corbeille mais le main- tien ci-dessus pourra n'être assuré, pour l'une dos touches au moins et par exemple la touche "bas-de-casse" qu'après confirmation par enfoncement d'une autre touche du clavier, à la manière par exemple du maintien en posi- tion "majuscules" d'une machine à écrire ordinaire.
Si le maintien n'est pas assuré, le retour de la touche à la position de repos assurera de préfé- rence l'émission d'un code de retour à la position antérieure sinon l'opéra- teur devra frapper immédiatement la touche de service correspondant à cette position antérieure,
L'enfoncement de l'une quolconque de ces trois touches provoque-, ra l'actionnement du dispositif de sélection de caractérisation des carac- tères ensuite frappés et cette caractérisation pourra, dans un système conforme à l'invention, provenir aussi bien d'un changement de couleur delà. frappa,par emploi d'un ruban polychrome dont le dispositif susdit assura '
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sélectivement le changement do piste colorée,
que de l'action de moyens annexes venant sélectivement coopérer avec le ruban (quo celui-ci soit d'ailleurs monochrome ou polychrome et, en ce dernier cas, participa aussi à cette caractérisation) pour modifier le dessin des caractères alors frappés, par exemple en y introduisant des lacunes ou des adjonctions qui repèrent la catégorie à laquelle ils sont affectés tout en leur laissant une entière lisibilité.
Un moyen de caractérisation autre qu'un changement de couleur est, par exemple, l'interposition d'une "grille" qui vient soit éviter l'im- pression de la totalité du dessin du caractère sur le papier soit au contrai- re en surcharger des parties
Selon une autre caractéristique de l'invention encore il est alors prévu que les effets des enfoncements d'une des trois touches précitées sur la caractérisation des signes et caractères ultérieurs soient en outre placés, pour une au moins de ces touches, sous la dépendance de la catégorie de cos signes et caractères ultérieurs.
Par exemple, en un premier temps immédiat et concomitant à la frappe de l'une dos trois touches, et en considérant une caractérisation polychrome, le ruban monte toujours au rouge puis revient à une position conditionnée, par exemple comme suit.:-
Si la touche frappée a été "bas-de-casse" ou "grandes capitales"., le ruban revient au noir s'il n'y était pas, ou y reste s'il y était,'lors= qu'on enfonce ensuite une touche autre qu'une touche latérale du clavier principal. Si c'est une de ces touches latérales qui est enfoncée, le ruban vient au bleu mais ne s'y maintient pas
Si la touche enfoncée a été "petites capitales", le ruban se met au vert et s'y maintient jusqu'à l'enfoncement de l'une ou l'autre des deux autres touches en question.
On ne peut alors utiliser les touches latérales du clavier principal tant que le ruban est au vert.
Bien entendu,cet exemple n'est donné ici qu'à titre illustratif des possibilités offertes à ce point de vue par l'invention.
On doit noter que la frappe de chacune des trois touches "bas-de- casse", "grandes capitales" et "petites capitales" provoque comme il 1:.:::: doit -le marquage d'un code correspondant sur le support d'enregistrement codé de la machine.
Suivant une autre caractéristique encore de l'invention, ét en liaison avec.l'aspect qui vient d'être précisé, il est prévu d'assurer une caractérisation systématique des signes et caractères correspondant à l'en- foncement de touches du clavier do service vis à vis des caractérisations de signes et caractères résultant-do l'enfoncement de touches du clavier principal (et aussi d'une caractérisation établie pour.les touches latérales;, dont on vient cependant de voir-qu'elle n'était appliquée que caractère par
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caractère et ne pouvait se maintenir entre doux enfoncements successifs de ces touches).
Dans l'exemple ci-dessus, on a pris le rouge comme caractéri- sation des signes et caractères dudit clavier de service, le noir ou le vert étant réservés au clavier principal, comme dit,
Pour résumer, dans un système de clavier conforme à l'invention, la signification qu'il y a lieu d'attacher, sur l'éprcuve dactylographique, à la lecture des signes et caractères, est rendue îonction de la caractéri- sation particulière, couleur par exemple avec laquelle ils apparaissent
Dans l'enregistrement codé, par contre, il est prévu un coda distinct pour chaque touche sauf certaines exceptions éventuelles, par exem- ple pour les touches 11 cadra tins et "demi-cadratine" (touches latérales spécialisées), dont chacune est doublée.
Chaque paire de ces touches doublées provoque le même code numérique sur l'enregistrement mais l'enfoncement de l'une, liée à la barre d'espacement, ne fait rien apparaître sur l'éprouve dactylographique alors que l'enfoncement de l'autre y provoque la frappe d'un caractère prédéterminé mais avec la caractérisation "touche latérale", par exemple le bleu dans l'exemple considéré plus haut. On peut donc à volonté faire apparaître ou non sur la copie la trace de la nature particu- lière du "blanc" de composition qui a Été frappé.
Pour faciliter le développement de l'exposé de l'invention, on va maintenant se reporter aux figures jointes, qui schématisent :-
Fig. l, un exemple de mise en oeuvre do l'invention
Fig. 2, un détail d'une commande assurée par une touche du clavier en cet exemple
Fig. 3,un détail montrant un exemple de commande d'une barre porte-caractères Fig..4., un détail de la commando de montée de l'élément dépla- çable de la machine, chariot ou corbeille, en vue d'obtenir les majuscules ou les minuscules ;
Fig. 5, un détail de la commande de montée du ruban suivant la ,couleur désirée ;
Fig. 6, un exemple partiel de la réalisation du codeur de la Fige 1;
Fig. 7, un exemple de disposition du système de clavier établi en conformité de 1'invention , Fig. 8, un exemple de distribution des liaisons électriques au départ des touches du clavier ;
Fig. 9, un exemple de réalisation du compteur numéroteur de lignes dactylographiées de la Fig, 1.
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De ces exemples ot de leur description pourront directrome nt se déduire, sans plus., toutes variantes technologiques de mise en pratique de l'invention et rentrant en son cadra-,
En se référant à la Fig. 1, on verran, représenté schématiquement, un exemple de réalisation de l'invention dans lequel le clavier de manoeuvre d'une corbeille de caractères 1 est divisé en trois parties, àsavoir un clavier de touches centrales 2, un clavier do touches latérales 3 et un cla- vier de touches de service 4. Dans ce dernier notamment, on a indiqué trois sections particulières constituées respectivement par la touche "petites capitales" 5, la touche "grandes capitales" 6 et la touche "bas-de-casso"7.
On a aussi indiqué en 314 une touche de commando de retour du chariot et d'avance du rouleau, qui agira directement sur un mécanisme de commande de ces effets, indiqué en 414.
L'ensemble constitué par le clavier constitué comme dit et la corbeille de caractères est destiné à produire une copie dactylographique de l'enregistrement qpi est simultanément produit sur une bande perforée par exemple, 10, par un perforateur 9 commande par le codeur 8. Ce codeur 8 est électriquement associé au clavier par l'intermédiaire d'un distributeur de liaisons électriques 214. L'enregistrement codê, et aussi la copie dacty- lographique, comporteront donc à la fois le texte même à imprimer et les informations de service relatives à ce texte. Ils comporteront aussi, dans l'exemple décrite les numéros de ligne de la copie dactylographique. Un compteur-numéroteur de lignes 11 est actionné par les avances du rouleau 201 et assure l'impression des numéres de ligne d'une façon qui sera décrite plus loin.
Il est aussi relié par les liaisons électriques 211 au distribu- teur de liaisons électriques 214 ot par suite agit sur le codeur 8 à partir de ce distributeur.
On peut noter ici que ce distributeur de liaisons électriques possède quatre sorties. La première 17 va à la corbeille des barres porte- caractères 1, la seconde 18, au mécanisms du mouvement vertical de la corbeille (ou du chariot), alors que la troisième 19 va vers un mécanisme de changement de piste colorée du ruban ; bien entendu., la quatrième sortie 20 est dirigée vers le codeur 8. Les caractères de cos sorties seront précisés plus loin.
Le ruban 13 utilisé par la machina à écrire (électrique de préférence comme dit) comporte dans l'exemple montré plusieurs pistes de couleurs différentes.. Le mouvement de ce ruban polychrome, pour l'amener vis à vis du caractère à frapper, est commande, par un mécanismo 14 de chan- gement de piste. Ce mécanisme est, par l'intermédiaire du distributeur 214, sous la dépendance à la fois des touclies du clavier "principal" 2, des
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touches latérales 3 et des touches du clavier de service 4, en lequel les tou- chos 5, 6 et 7 auront des effets'spéciaux sur ledit mécanisme 14.
La montée do la corbeille 1 pour obtenir les majuscules dactylo- graphiques est sous la dépendance du mécanisme 12 actionné à partir du clavier par l'intermédiaire du distributeur de liaisons électriques 214.
L'ensemble représente dans la Fig. 1 permet donc de produire d'une part une copie dactylographique dont ls lignes sont numérotées consécuti- vement, dtautre part un ruban perfore portant on code les informations de. cette copie. L'un et l'autre de ces documents comprennent non seulement -Le texte à imprimer mais aussi toutes les indications de service qui peuvent être fournies à partir du clavier du service 4. Sur la copie dactylographique obtenue les indications et les informations de service sont entrelacées dans le texte et distinguées de ce texte par une caractérisation colorée.
Ces résultats peuvent être par exemple obtenus au moyen des dispo- sitions qui vont maintenant être décrites.
Sauf exceptions à préciser plus loin, chaque touche 15 de clavier est associée à un contact électrique 16 qui se ferme à l'enfoncement de la touche., Fig. 2. La touche 15 est enfoncée contre l'action d'un ressort 215, conducteur et mis à la masse. Une partie du contact 16 est fixés à la barre de la touche 15, par exemple par soudure ou brasure, donc en contact élec- trique avec la masse par le ressort 215. L'autre partie du contact 16 est élastiquoment supportée par un ressort 216 et électriquement reliée à ce ressort., lequel est fixé sur et Électriquement relie à, une pièce conductri- ce 218 isolée de la masse par un intercalaire isolant 217.
A chaque enfon- cement de la touche 15, par suite, une masso électrique est appliquée, à travers un élément unidirectionnel 219, aux quatre fils de départ 17 à 2@ Ces départs sont numérotés en correspondance des sorties du distributer.-.. de liaisons électriques 214 de la Fig. l, pour en rappeler directement les destinations.
Une manière dont la commande des barres porte-caractères peut être obtenue est indiquée sur la Fig. 3. Lorsque 1''enfoncement d'une touche, Fig. 2, a appliqué la masse sur le fil 17, cette masse ferme le circuit à la batterie d'un électro-aimant 21, d'où l'attraction du plongeur 22 pendant la durée d'application de cette masse. Le plongeur 22 est lié à un levier en croissant 23 qu'il pivote donc passagèrement contre l'action du ressort de rappel 224. 0,' est le basculement temporaire de ce croissant 23 qui provoque l'actionnement de la barre porte-caractères 37 et, par exemple comme suit :- un équipage 24 est essentiellement constitué par une barre évidée selon sa longueur.
Cette barre peut pivoter vers le haut à partir d'une position sensiblement horizontale, autour d'un axe 25 à lune de ses
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extrémités. Elle repose normalemont par une pièce d'appui 26 sur la partie supérieure du croissant 23. A son autre extrômité, la barre 24 présente une portion 27 légèrement évidée. En son centre, elle porte un axe 28 qui la traverse. Une cama 29 est montée folle sur cet au-('Jour duquel elle peut faire une révolution complète. Dans sa position de ropros, la came 29 pré- sente une partie évidée en regard d'un rouleau caoutchouté 32 animé d'un mouvement permanent et uniforme de rotation autour do son axe 33.
Au repos donc la came 29 n'est pas en contact avec le rouleau 32 et elle est, d'auore part, empêchée de tourner par un ergot 30 butant contra la dent 31 d'un peigne qui comporte autant de dents qu'il existe de mécanismes semblables à celui présentement décrite soit donc autant de dents que de barres porte- caractères à actionner dans la corbeille. Lorsque le croissant 23 bascule sous la commande de l'électro-aimant, il ne supporte plus la pièce d'appui 26 et l'équipage 24 tombe jusqu'au point où la came 29 entre en contact avec le rouleau 32. Le rouleau entraîne la came, libérée de son encliquetage avec le peigne 31, et cette action est favorisée par la prévision d'un con- tour dentelé de la came en sa partie utile tout au moins, comme montré.
La contour de la came a été établi tol que l'équipage 24 soit progressivement soulevé. Ceci permet notamment au croissant 23 de reprendre sa position de repos. La montée de l'équipage 24 provoque alors un basculement d'un levier 34 autour de son axe fixe 35 et, par la traction de la barre 36, actionne la barre porte-caractères 37 qui pivote autour do son axe 38, d'où la frappe du caractère désiré par cette barre (en position indiquée en pointillé sur le schéma). La retombée ultérieure de la dito barra la ramène en sa position de repos. Le retour au repos général do ce mécanisme est évident on soi.
Une manière dont peut Être offectuée la montée de la corbeille, ou du chariot, pour obtenir les majuscules ou les minuscules, est schémati- sée sur la Fig. 4, qui en montre les circuits électriques de commande. La montée du chariot est actionnée par an éloctro-aimant 39 dont l'une des bornes est connectéc à la batterie 40 ot l'autre 48 est reliée à un montage de contacteurs 44 et 47 disposé comme suit : -
Il comporte trois bornes d'attaque 41, 42 et 43. La borne 41 est reliée à tous les fils 18 des touche::; du clavier de service 4 autres que los touches 5, 6 et 7 de ce clavier. La borne 42 est reliée au fil 18 de la touche 7 (bas-de-casse).
La borne 43 est reliée au fil 18 de la touche 5 (petites capitales) et au fil 18 de la touche 6 (grandes capitales) de ce clavier de sérvice.
Les bornes 41 et 43 attaquent un contacteur 44 qui comporte un électro-aimant 45. La borne 43 attaque directement cet électro-aimant dont la sortie se fait vers la borne 48 de l'électro-aimant 39. Le circuit de la borne 41 passe par un contact 49 qui est normalement fermé en sa position de
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repos, et do co contact 49,, à la dito borne 48. La palette du contact 49.est mécaniquement solidaire de celle d'un autre contact 50. La palette de ce contact 50 est à la masse. L'autre polo du contact 50 est électriquement relié
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à la palette du contact 51 qui appartient au contactour 47 Ce: contacteur 47 comporte un électro-aimant 46 ayaut 42 pour l'une do ses bornes et 48 pour l'autre.
L'autre pôle du contact 51 est -1(-;curio.uunont relié à la borne 43.
Le fonctionnement d ce dispositif est le suivant : - Au repos, grâce aux ressorts de rappel 249 et 251, les contacts 49 et 51 sont maintenus fermés; Le contact 50 est au contraire ouverte
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Si une impulsion provient dlune touche quelconque du clavier de service autre que les touches 5; 6 et 7, l'attaque se fait par la borne 41.
Le contact 49 Étant fermé, l'électro-aimant 39 est excité et la montée du chariot (ou de la corbeille) s'effectue. Le signal do service correspondant à la touche enfoncée est frappé en majuscule, ce qui est le résultat recher- ché. Dès que cesse l'impulsion, l'électro-aimant 39 cesse d'être alimenté et l'élément commandé, chariot ou corbeille, revient on position "minuscules", cc qui est bien aussi l'effet désira alors.
Si une impulsion d'actionnoment provient de la touche 7 (bas-de- casse)/ elle arrive par la borne 42 et alimente directement 1'électro-aimant
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39 pour que le signe choisi pour signifier "bas-du-casse" soit frappé 0;"1 majuscule. Simultanément le contact 51 est ouvert, ce qui élimine tout effet parasite dans la commande. Dès que l'impulsion a cessée l'électro-aimant 39
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n'est plus alimenté et l'élément susdit revient dans la position "minuscules"., comme dû.
Si une impulsion provient de l'une ou l'autre des touches 5
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"petites capitales!! et 6 "grandes capitales", elle arrive par la borne 4.3. L'électro-aimant 39 est encore oxcité pour que le signe choisi pour signi- fier "petites capitales" ou "grandes capitales" soit frappé en majuscule.
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Toutefois en cette opération, une fonction supplémentaire s'accomplit.
L'électro-aimant 45 s'excite et le contact 49 est ouvert alors qu'est fermé le contact 50. Comme le contact 51 demeure fermé., l'électro-aimant 45 est relié à la masse par une de ses bornes à travers les contacts 50 et 51 en série, alors que l'autre borne, 48, conduit à la source 40 à travers 1'électro-aimant 39. Les électro-aimants 39 et 35 demeurent donc alimentés .on permanence. Par suite l'élément commandé, chariot ou corbeille, demeurera
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aussi en permanence dans la position llmajusculesll, ce qui est l'effet ici recherché.
Si entre temps on vient à frapper une touche quelconque du cla-
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vier de service autre que la touche 7 "bas-de-casMc" l'impulsion correspondante arrive soit par la borne 43 ce qui ne produit aucun effet nouveau,
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soit par la borne 41 ce qui est incffectif puisquc le contact 49 est ouvert mais'n'a aucun inconvénient puisque l'effet attendu aurait été de mettre l'élément commandé en position "majusculos" ce qui est déjà réalisé..
Par contre si, entre temps, on enfonce la touche 7 "bas-de-casse", une impulsion arrive par la borne 42. Elle a d'abord pour effet do faire ouvrir le contact 51 par excitation de l'élcctro-aimant 46. L'électro- aimant 45 voit son circuit interrompu, le contact 50 s'ouvre, le contact 49 se ferme et on est ramera à l'état de repos initialement décrit. En outre l'impulsion reçue en 42 traverse l'électro-aimant 39 et le signe "bas-de- casse" a .donc été correctement frappé en majuscule comme il se doit. Ce n'est qu'ensuite que le chariot, ou la corbeille;, revient en position "minuscules" ce qui est bien l'effet requis en ce dernier cas, et y demeure.
Une modalité de réalisation de dispositif pour assurer un chan- gement de piste du ruban polychrome 13 de la Fig. 1 au cours de la frappe .dactylographique est schématisée, à titre non limitatif, sur la Fig. 5.
Une pièce 52 porte, par conformation propre par exemple, à sa partie supérieure, un "poigne" 53 dans lequel viendra s'engager le ruban polychrome dans la machine montée. Cette forme de peigne n'est bien entendu qu'indicative et, de façon plus générale d'ailleurs, on doit comprendre que les dessins visent surtout à la clarté et non spécifiquement à une reproduc- ' tion précise de pièces en leurs formes ce dimensions réelles.
Le ruban, non figuré, va être supposé à quatre pistes, respecti- vement noire, verte, bleue et rouge, étagées do haut en bas sur le ruban.
La pièce 52 -est, à sa basa, conformée de façon'particulière, en ce qu'elle présente trois rampes obliques 54, 55 et 56 de largeurs égales et d'obliquités régulièrement croissantes dans l'ordre de leur énumération.
La pièce 52 repose sur un socle nobilc 57 actionné par une tige 58, ceci par l'intermédiaire de trois coins 59, 60p et 61. La tige 58 est mue par le dispositif ordinaire, qui peut être de construction cla zigue, de montée du ruban dans une machine à écrire, et qui a pour effet de dégager l'emplace- ment do frappe en dehors des instants où une barre porte-caractères est effectivement actionnée..
Les coins 59, 60 et 61 présentent une surface de base horizon- tale glissant sur la surface supérieure du socle 57. Chacun d'eux est rappelé par un ressort tel que 62 dans la position où leur rampe supérieure est dégagée' au maximum de la rampe correspondante de la pièce 52. En cette condition, les trois rampes 54, 55 eg 56 sont au contact des rampes supé- rieures des coins 59, 60 et 61, la pièce 52 est au rapprochement maximum de la pièce 57: C'est alors la piste noiro du ruban polychrome qui entre en
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jeu si un caractère vient à être frappé sur le clavier.
Les coins 54, 55 et 56 sont munis de tiges respectives 63,64 et
65. Chaque tige peut Être indépendamment actionnée pour tirer le coin qu'elle commande contre l'action du ressort 62 lié à ce coin: Dès que cesse une telle action, le coin revient en sa position montrée, de repos, car le res- sort 62 reprend alors la commande.
La venue sur la gauche (du schéma) du coin 54 provoquera de toute évidence une certaine montée du porte-ruban 53, d'où un changement de piste, du noir au vert par exemple. La venue sur la gauche du coin 60 provoquera une montée plus importante, par exemple double, et par suite le passage au bleu du ruban pour la frappe' des caractèresL'actionnement du coin 61 provoquera alors une montée supérieure, de trois largeurs de pistes, et donc la frappe viendra au rouge sur la copie dactylographiée
On doit noter que le mécanisme en cours de description n'exclut pas une montée simultanément commandée par deux des coins, ou même par les trois. Il est bien évident toutefois que c'est le coin de plus grande pente qui imposera en un tel cas la couleur de la frappe.
Chacune des tiges 63, 64 et '65 est articulée sur une tie corres- pondante d'un plongeur d'élecro-aimant. Cette articula\,on est destinée à admettre le jeu imputable à la montée de la pièce 57. Ces électro-aimants sont indiqués en 66, 67 et 68 en correspondance des tiges 63, 64 et 65. Ils ont chacun une borne reliée à une batterie commune 240. Les autres bornes
69, 70 et 71 des trois électro-aimants sont individuellement reliées comme il va être précisé à un dispositif électreo-mécanique 72, lui même attaqué par les quatre entrées 73, 74,75 et 76.
Dans ce dispositif, la b@rne 73 ne sert que de rappel à la borne
71 de l'électro-aimant 68. Elle est connectée en multiple à toutes les liaisons 19 qui proviennent du clavier do service, y compris les touches spécialisées 5,6 et 7 de ce clavier.
Le reste du dispositif 72 est essentiellement constitué par les deux contacteurs 77 et 84.
Le contacteur 77 comprend un électro-aimant 78 et deux palettes jumelées 79 et 80, rappelées par un ressort 279. La palette 79 ferme deux contacts 82 et 83 en sa position de repos. La palette 80 laisse ouvert un contact 81 en'sa position de repos. Lo pôle fixe du contact 81 est à la masse.
L'une des bornes de l'électro-aimant'78 est reliée d'une part à la borne d'attaque 74, d'autre part à la palette 80 du contact de travail 81.
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L'autre borne de l'élocytro-amant 79 est dirigée vers la contacteur 84 qu'il attaque par le contact 85.
Le pôle fixe du- contact 82 est relié à la borne 70 de 1'électro- aimant 67. Le pelle fixe du contact 83 est relié à la borne 75 du dispositif 72.
Le contacteur 84 comprend un électro-aimant 86 et le contact déjà mentionné 85 dont la palette est indiquée en 87 et rappelée par le sort 287 pour que ce contact soit formé au repos de l'électro-aimant. L'un des pôles de l'électro-aimant 86 est à la masse, l'autre est relié à la borne d'entrée 76 du dispositif.
La borne 74 du dispositif 72 est reliée au fil 19 provenant de la touche 5, "petites capitales", du clavier de service. La borne 75 est reliée aux fils 19 provenant de toutes les touchas latérales du clavier principal. La borne 76 est reliée aux fils 19 des doux touches 6, "grandes capitales", ot 7, "bas-de-casse", de clavior de service.
Le fonctionnement du dispositif complet de la Fig. 5 peut alors s'exposer comme suit :-
En position de repos générale les contacts 82, 83 et 85 sont fermés, le contact 81 est ouvert. Los électro-aimants 78 et 84 ne sont pas excités. Les électro-aimants 66, 67 et 68 sont également désexcités. Les coins 59,60 et 61 sont sortis, c'cst à dire dans les positions montrée.';.
La pièce 52 est en position basse, le ruban est au noir dans l'exemple choisi.
L'opérateur enfonce l'une quelconque des touches du clavier principal 2, Fig. 1. Aucune de ces touches, on peut le préciser dès à présent, n'est assortie d'un fil de départ 19. La frappe se fait en noir, ce qui est l'effet recherché.
L'opérateur enfonce l'une quelconque dus touches du clavier de service. Par la liaison 73-71, 1'électro-aimant 68 est excité. Le coin 61 est attiré et le ruban monte à sa position la plus haute. Le signe de ser- vice sera frappé en rouge ce qui est correct dans 7¯'exemple en cours de description. Dès que la touche enfoncée aura. eté liberée, 1'électro-aimant 68 ne sera plus alimenté, le coin 61 reviendra à sa position de repos et donc le ruban reviendra au noir si aucun dos deux autres coins n'avait été antérieurement actionnés.
Comme dit, il n'y a pas incompatibilité entre la mise en position de travail de plusieurs coins dans le mécanisme décrit., et donc la montée au rouge a fort bien pu s'effectuer à partir d'une posi tion du porte-ruban correspondant aussi bien au vert qu'au bleu et, bien entendu,.qu'au noir:
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Les touches 5, 6 et 7 du clavier de swervic,e outre l'effet ci-dessus, provoquont los effets particuliers ci-après.
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Si la touche 5, "petites capitales" est actionnée, la borne 74 est mise à la masse et forme le circuit d'excitation en série des électro..
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aimants 78 ot 66 à la batterie 240 par 1, contact 5 ferme. Là ruban monte au vert. Comme l'électro-aimant '7 tJ'0xcite, la contact 81 se ferme et les contacts 82 ot 83 s'ouvrent. La formutul'ü du contact 81 établit le circuit de maintien de 1'électro-aimant 78 et, par suite, celui de 1'électro-aii i;;nt 66. Le coin 59 demeurera enfoné Après donc que le signe "petites capitales'' aura été frappé en rouge par l'action passagère du coin 61, toute frappe ultérieure s'effectuora avec le ruban au vert,, ce qui est bien l'effet recherché .
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Si alors l'une des touches ti; "grandes ei:iJi.tales", et 7, "bas-de- casse" vient à être enfoncée, d'une ¯part le coin 61 sera temporairement actionné, et le signe correspondant viendra donc en rouge sur la copie, mais d'autre part., par l'entrée 76, l'électro-aimant 86 sera excité et tlanc ouvert le contact 85. Le circuit de maintien susdit des électro-aimants 78 et 66 est donc interrompu et la position "ruban au vert" annulée. Le ruban
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revient au noir ce qui est l'effet l..s.r.. Si 1. contact 81 ôtait déjà ou- verte l'excitation de 1'électro-aimant 56 n'aurait ou aucun résultat spécial, le signe aurait été frappé en rougo puis 10 ruban serait revenu au noir, comme prévu.
Un enfoncement de l'une des touches latérales 3 du clavier, Fig. 1, applique la masse sur la borne 75 du dispositif '72 ot, contraire-
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ment aux actions sus-décrites, la borne 73 demeure iso168, donc 1'électroaimant 68 demeure désexcite et la rub..rl ne monte pas au rouge. Deux ca;; peuvent se présenter. Ou bien 1'électro-aimant 78 a été antérieurement excité, le contact 83 relié à la borne d'attaque 75 est ouvert. L'enfonce- ment d'une touche latérale demeure sans action sur le mécanisme de la Fig. 5.
C'est ce qui doit Être on un tel cas car il nc peut s'agir alors que d'une fausse manoeuvre sur le clavier ; dans l'exemple en cours de description, une touche latérale nc peut être valablement enfoncée lorsqu'on est en
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Position "petites capital;s", Une t.:llo r-'anoe'uvre l1;j sorait possible qu'en ayant recours à une cinquième couleur d..; piste du ruban, ce qui sort du cadre de'l'exemple considéré bien qu'outrant de façon évidente dans le domaine d'application de l'invention. On voit donc que le montage dorme une
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sécurité vis à vis d'une fausse i:laI10CUVI',; du clavier do la machine dans le sens ci-dessus indique.
Ou biun 1' .:r.f'onc:nc;nt d'une touche latérale est .légitime et le contact 83 est trouve fermé lorsque la masse ost appliquée sur la borne 75. Le circuit d'excitation de 1'électro-aimant 67 est alors complété pour provoquer la montée au bleu du mécanisme de changement de piste du ruban, ce qui est l'effet attendu. Cotte montée est seulement
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temporaire et sitôt la touche latérale libérée, la borne 75 est isolée de la masse,l'électro-aimant 67 se désexcite ut le coin 60 rovient correctement à sa position de repos.
L'emploi d'un coin unique, à rampe d'obliquité uniforme ou con- ' formée sans ressaut, à déplacement d'amplitude conditionnée selon la montée
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désirée et commandée à partir du clavier, de la façon sus-précis6e, entra également dans le cadre de 11 invention.
Le codeur 8, Figt l, pe-u être réalise d'une manière; qui est représentée; pour partie de ce codeur, sur le scht:rr.:1. do la Fig. 6. Un tel mode de réalisation do codeur est d'ailleurs courant dans les calculateurs arithmétiques. Les liaisons 20 on provenance du distributeur 214 de la Figi 1 d'un
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arrivent sur la gaucho du schéma pour former un réseau de lignesY"quadrillage" dont le réseau do colonnes est forme de conducteurs 88 allant chacun à l'un des électro-aimants de commande de perforation du perforateur 9. On considère un code numérique de perforation à sept moments, donc sept électro-aimants, de (1) à (7) et par suite sopt colonnes 38 dans la matrice figurée.
On n'a représenté qu'un nombre réduit de conducteurs de ligne et rappelé sur chacun d'eux une définition de la touche dont provient le conducteur 20. La première ligne est relative à l'action de la barre d'espacement du clavier, toute frappe de cette barre devant bien entendu provoquer une perforation sur le ' ruban d'enregistrement. Les deux lignes suivantes se réfèrent à des signes portés sur des touches latérales 3, les trois lignes suivantes, à des tou- ches du clavier princiapl 2 et les quatre dernières lignes montrees se réfèrent à des signes portés par des touches du clavier de service 4. L'ox- tension du codeur est évidente en soi.
Chaque code numérique est défini. par la distribution des interconnexions entre une ligne particulière (.;CI
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l'ensemble des colonnes, et ces .nt.tjl'COi"ln,)x.i.on8 GI.,';:.:i.'octuent, d'une façon connue, au moyen d'éléments à conductibilité unidirectionne11iJ, diodes à cristal par exemple.
Avant de donner un exemple do code à sept moments applicable. dans
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la mise en pratique de ltinvwntion, birn que de façon nullement limitative en soi, il convient de se reporter a,la. Fig. 7 qui illustre, de façon direc- tement lisible, un exemple d; présentation de clavier établi en conformité de l'invention.
En cet exemple, la partie référencée "Clavier Principal" se subdivise en deux parties, l'une référencée "Touches Centrales comportant la frappe en "NOIR" ou "VERT", l'autre référencée "Touches Latérales com- portant la frappe en "BLEU". Les liaisons entre touches de la partie "Touches Centrales" et d'une part des touches faisant partie de l'ensomble
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référence "Clavier de Servie comportant la frappa en "ROUGE"., d'autre part de l'ensemble "Touches Latérales" indiquent des téléjumelages de
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caractères pour la copie dactylographique. C'est ainsi par exemple que l'enfoncement de la touche "petites capitales" du clavier de service provoquera l'impression, en rouge, sur la copie dactylographique, de la lettre P, celui de la touche "italique" l'impression, en rouge, de la lettre K, et ainsi de suite.
La partie centrale du clavier principal a une disposition simi- laire à celle du clavier usuel d'une machine à écrire. Dans l'exemple montré, elle comporte néanmoins quelques variantes :- 'Le chiffre un se distingue typographiquement de la lettre minus- cule "1" qui est d'ordinaire employée pour le représenter' en dactylographie.
Par exemple alors, le signe typographique représentant le chiffre un est porté en position "majuscule" de la touche qui a le signe "à" en position "minuscule", en substitution au signe "&" qui n'est pas usuel en typographie.
Le signe "-", souligner en dactylographie, ,n'est pas usuel en typographie où l'on utilise une variété particulière de caractères à une fin semblable, le plus souvent l'italique. On a donc reporté en position minus- cule de la touche ayant "8" en position majuscule, :Le caractère Il)11, fermez la parenthèse. Le signe dactylographique Il 011 est supprimé, ce qui est possi,- ble quand on lui fait correspondre la lettre 11011 on position supérieure (par actionnement de la touche "Supérieur" du clavier de service).
Une touche devient disponible au bout de la rangée supérieure du clavier normal de la machine à écrire et on l'utilise, en touche "morte", c'est à dire ne faisant pas avancer le chariot, pour y loger l'accent grave et ltaccent aigu. Il est en effet désirable de prévoir ces accents pour d'autres lettres que les lettres "é", "é","à", et "ù".
La partie latérale du clavior principal peut comporter un nombre variable de touches. A titre illustratif, on en a représenté un certain nombre.sur la Fig. 7, telles que : -
Une touche "union de fin de ligne" qui se traduira sur la copie dactylographiée par le signe "union normale" de la touche à laquelle elle est jumelée, mais par un code perforé différent ou, de façon plus simple, par l'absence de code puisque la calculatrice qui exploitera l'enregistrement ne devra tenir aucun compte des coupures dactylographiques. La frappe du trait @ dunio normal produira au contraire un code perforé sur le ruban.
Une touche "soustraction", dont lo sine; typographique est distinct du trait d'union ; cette touche produira un code sur le ruban tout en produisant le trait d'union normal sur la copie dactylographique..
Des touches pour les guillemets ouverts et formés, typographique- ment distincts et se traduisant par des codes distincts. Leur télé jumelage
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avec la touche "guillemot" do la machine à écrire ne los différenciera pas sur la copie dactylographique, à part leur couleur bleue, bien entendu.
Le signe "cédille" doit préférablement pouvoir aussi être affecté à d'autres lettres que le "ç". On a prévu pour lui une touche du clavier latéral, jumelée avec l'accent circonflexe. La frappe de la cédille provoque- ra l'impression d'un code spécial sur l'enregistrement perforé, l'impression en bleu d'un 'accent circonflexe sur la copie dactylographique.
Une touche latérale est affectée au signe "multiplication" typographiquement distinct du "x" minuscule, tout en étant jumelé avec la dite touche "x" de la machine à écrire pour la copie dactylographique.
Une autre touche latérale est affectée au chiffre zéro, typogra- phiquement distinct de la lettre "O", pour produire un code distinct sur le ruban., tout en ne marquant qu'un 0 majuscule on bleu sur la copie dactylo- graphique.
Une autre touche latérale peut comporter les signes "deux points de conduite" et "trois points de conduite", on position supérieure et en position inférieure respectivement. Elle est jumelée aux fins dactylogra- phiques à la touche "point" et "point virgule" par exemple., tout en engendrant des codes électriques distincts.
La liste ci-dessus n'est pas exhaustive mais indique bien ce qu'on peut attendre de la présence des touches latérales du clavier princi- pal. Une attention particulière doit maintenant être portée aux deux paires de touches latérales "cadratin" et "demi-cadratin" dont il a déjà été parlé.
Ces touches, qui correspondent à des "blancs" fixes, sont., en une de ces paires, jumelées pour la dactylographie à des touches du clavier principal, par exemple aux touches L et M en positions majuscules. Ceci permet, quand de besoin, de vérifier sur la dito copie que l'on a bien frappé un cadratin ou un demi-cadration et non l'espace justifiant normal (barre d'espacement de la machine). L'autre paire do ces touches provoque les mêmes codes perforés que les précédentes, rais sont lites pour la copie dactylographique à la barre d'espacement, d'où l'absence de signe visible sur la dite copie si l'opérateur l'estime plus commode.
En ce qui concerne le clavier principal, touches centrales et touches latérales, on peut maintenant résumer comme suit ses principales caractéristiques et ses principaux effets : -
En toute position ot comme usuel, les touches normales et les touches d'espacement (ainsi que la barre d'espacement) provoquent une avance d'un pas du chariot., les touches d'accent n'en provoquent pas ;
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Toute touche centrale provoque l'impression dactylographique'au noir pourries positions bas-de-casse et grandes-capitales, l'impression dactylographique on vert pour la position petites-apitales;
le signe frappé est direct, c'est à dire celui ..le la barre porte-caractères corres- pondant à la touche enfoncéc, en égand à la position en laquelle on se trouvé comme usùel, l'actionnement de la barre d'espacement ne provoque aucune impression ;
Toute touche latérale provoque l'impression dactylographique en bleu ; comme usuel, les touches jumelécs à la- barre d'espacement ne provo- quent aucune impression, elles provoquent seulement une avance d'un pas du chariot ; chaque impression due à une touche latérale apparait sous la forme du caractère de la touche jumelée du clavier central qui lui correspond ; on peut noter que, dans l'exemple décrit, la position petites-capitales n'est pas exploitée par les touches latérales mais ceci n'est nullement impératif en soi ;
Toute touche, centrale ou latérale, provoque l'enregistrement sur le ruban., ou autre support, d'un code qui lui est proprej ceci est aussi vrai pour les touches de "blancs" et la barre d'espacement : - le code de la barre d'espacement est un code d'espace justifiant, celui des touches de "blancs" . est un code d'espace non justifiant.
La partie de gaucho de la Fig. 7 montre un exemple de clavier de service conforme à l'invention, à titre seulement illustratif bien entendu.
Pour la commodité, on peut distinguer sur ce clavier de service trois groupes de touches : - un groupe repéré par l'annotation cc au dessus des chiffres de.0 à 9, qui permet à l'opérateur de d@signer le numéro d"une ligne dactylographique qui sera à corriger ultérieurement ; un groupe de clefs Ik et de gravure Ig; la clef Ig comporte trois touches correspondant à trois gravures différentes , la clef Ik1 comporte les trois touches "normal", "superieur" et "inférieur", la clef Ik2, le trois touches "romain", "italique" et "gras", la clef Ik3, les trois touches "bas-de-casse", "petites capitales" et "grandes capitales" ;
un groupe de signaux d'annonces, par exemple encore :- "annonces de dimensions" :- DH (hauteur de page), DC (corps), DJ (justification),
DI (interlignage), "annonces de zone de cliché":- IB (entrée), IBB (sortie), "annonces de fin" :- IF (fin d'alinéa), IFF (fin do chapitre),
IFFF (fin d'ouvrage) ; une telle énumération n'étant pas limitative on soi.
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Chaque touche du clavier de service est téléjuweéc à une touche centrale du clavier principal. Le caractère frappé sur la copie dactylogra- phiéc sera donc le caractère de la touche jumelle, mais imprimé en rouge sur la dite copie. La frappe de chaque touche fera avancer le chariot d'un pas. Elle produira aussi l'enrogistrement d'un code distinct sur le ruban codé 10, Fig. 1.
A 1'exception du groupe des touches de la clef 1k3 dont les effets spéciaux ont été détaillés antérieurement dans l'exposée l'enfoncement de toute touche du clavier de service provoque automatiquement la frappe dactylographique en "grandes capitales" pour lc signe de service ainsi frappé, sans maintien do cette position, dans l'exemple décrit tout au moins.
Il existe en fait un quatrième groupe de signaux de service dans le dispositif:, c'est celui constitué par les chiffres formant les numéros des lignes dactylographiques. Ces signaux sont produits et perforés automa- tiquement d'une manière qui sera précisée plus loin;, en relation avec la Fig.9.
De l'examen du clavier et des fonctions antérieurement décrites, il ressort que chaque touche du clavier n'est pas, en fait, équipée des quatre liaisons indiquées pour une touche "banalisée" sur la Fig.2. En se reportant au tableau de distributeur de liaisons électriques de la Fige 8, 'dont la capacité 'a été limitée pour des raisons de commodité mais qui montre tous les cas effectifs qui se présentent en ce distributeur, on voit que : - chacune des touches indiquées, C (touche centrale),, L (touche latérale),
S (touche du clavier de service autre que lus touches 5,6 et 7), R (barre d'espacement) et les touchos 5, 6 et7 du clavier de service,, a une liaison
20 distincte vers le codeur 8;
chacune des touches indiquées a aussi une liaison 17 vers la corbeille l, mais à travers des réunions évidentes maintenant d'après ce qui précède chacune des touches L a de plus une liaison 19 vers le mécanisme de commande de changement de couleur du ruban,, mais en réunion entre toutes ces touches L, vers la borne 75 de ce mécaisme; chacune des touches du clavier de servicde, y compris les touches 5, 6 et 7, a une liaison 19 vers la borne 73 du mécanisme de changement de couleur du ruban et la touche 5 a de plus une liaison 19 vers la borne 74 de ce mécanisme., alors que les touches 6 et 7 en ont une, par réunion., vers la borne 76 dé ce même mécanisme ;
les touches S ont de plus, on rouinon, une liaison à la borne 41 du mécanisme de commande de montée du chariot(ou de la corbeille) alors que la borne 42 de ce même mécanisme reçoit une liaison provenant de la touche 7 et la borne 43, une liaison de réunion en provenance des touches 5 et 6.
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Les éléments à conductibilité unidirectionnelle assurant d'une part les réunions susdites, d'autre part l'interdiction des retours do com- mande entre circuits, sont indiquée sur le schéma de la Fig. 8, suffisamment explicite à ce point de vue qu'il soit utile de le décrire plus longuement.
L'exemple annoncé de code à sept moments applicable à la réalisa- tion de l'invention considérée ici peut maintenant être défini comme suit cest un code binaire ne comportant que les valeurs de chiffre zéro et un..
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<tb> Petites <SEP> capitales¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯1 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 0
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<tb> Touches <SEP> I <SEP> :- <SEP> N <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 0
<tb> g <SEP> N 2 <SEP> 1011101
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N 1 0 1 1 1 1
EMI20.11
<tb> Touches <SEP> d'annonces <SEP> de <SEP> dimensions
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IE .
Test do césure 1 1 a 0 1 1 U
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<tb> Touches <SEP> d'annonces <SEP> de <SEP> fin <SEP> de <SEP> : <SEP> IF <SEP> - <SEP> Alinéa <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 0
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<tb> IFFF <SEP> - <SEP> Ouvrage <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 0
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Il reste à définir les codes adoptés pour le numérotage des
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lignes dactylograpliiées, et qui seront dlivl'G3 par le compteur- numéroteur de lignes 11, fil. 1.
Ce pourra tr3, logiquement :-
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CL - NumÉros de lignes - C-iii f f r0 1 1 1 0 0 0 0
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<tb> 'Chiffrai <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 1
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<tb> Chiffre <SEP> 2 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2
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<tb> Chiffre <SEP> 3 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 1
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<tb> Chiffe <SEP> 7 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> 1
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On remarquera qu'un tol code, un fait constitué pour chaque "mot" de deax parties, un préfixe et un nombre, laisse toute latitude d'extension du programme du clavier pour des variantes plus complexes éventuelles des claviers de service et latérauxi
Le compteur-numéroteur Jo lignes, 11 Fig.l, peut, ihustrativement être réalisé selon le schéma de la Fig.9. En ce schéma, on a indiqué un numéroteur mécanique 90 de typo classiquo tel, par exemple, que les numéro- teurs utilisés pour le comptage des objets le numérotage des formules on imprimerie, etc...
Le compteur représente comprend cinq molettes correspon- dant respectivement aux unités - dizaines - centaines -milles et dizaines de mille. Ces cinq molettes 91 à 95 so succèdent de droite à gauche sur la figure en commençant par celle des unités. Le mécanisme interne du numéroteur n'a pas à Être décrit ici, car il s'agit d'un dispositif tout à fait classique.
On rappelle que, pour une unité, la molette 91 accomplit un dixième de tour.
Après un tour complet à partir de sa position origine, elle détermine l'avan- cement de la molette des dizaines de un dixième de tour,, et ainsi de suite.
Le numéroteur,, référence d'ensemble 90, est porté par l'axe 96, soutenu par le support 97 situé du côté dE' lA molotte des dizaines de mille.
Du c8té opposée un axe 98 est situ6 dans la prolongement de l'axe 96 mais est indépendant de ce dernier. L'axe 98 sert à la commande du mouve- ment de comptage, grâce à une clavette 99 qui s'étend le long de l'axe 98 et coulisse ainsi que l'axe lui-même dans le rochet 100. Ce dernier est porté par un support 101 et ne peut avoir qu'un mouvement de rotation.
Contrairement aux molettes des numérotours courants, les molettes du numéroteur 90 ne présentent pas de facettes gravées. Elles ont une surface extérieure isolante, ou en retrait par rapport au cylindre enveloppe sauf sur un secteur 102 égal à un dixième de circonférence. Co secteur est prévu pour constituer un élément de contact électrique et est en métal conducteur. Il est isolé de la masse par exemple en étant noyé dans une matière isolante sauf pour sa surface. Il est bien clair que le "chiffre" indiqué par une molette quelconque peut être caractérise par la punition angulaire.de son secteur.
L'ensemble du support 97, de l'axe 96,du numéroteur 90 et de l'axe 98 constitue un équipage qui pout effectuer un mouvement de translation horizontal en coulissant le long de la glissière 103. Un guidage supplémom- taire non représenté (pour ne passurcharger le dessin) s'oppose à la rotation de cet équipage autour de l'axe 103.
L'axe 103 peut tourner autour de ses paliers (non figurés) et son mouvement de rotation est commandé par un ergot 104 situe dans l'intérieur do la pièce 97 et qui coulisse dans une rainure 105 de l'axe 103. Cette
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rainure a une forme hélicoïdale au début de son tracé, sur la gauche du destin., puis elle devient rectiligne sur sa partie de droite. A l'extrémité de droite de l'axe 103 se trouve un manoton qui agit sur une tige 106. Cette tige 106 commande elle-môme un cliquet 107 qui engrène avec le rochet 100.
Sur la pièce support coulissante 97 est montée une tige 108 pourvue de deux doigts 109 (à gaucho) et 110 (à, droite). Le. distance entre ces doigts est égale à la course de la pièce 97 dans son plus grand déplacement. Ces deux doigts manoeuvrent un interrupteur 111 qui reste normalement dans la position où l'a mis la dernière manoeuvre du lovic;r 112. Autrement dit, lorsque la pièce 97 a été jusqu'à sa fin de course vers la gauche, le doigt 110 a agi et l'interrupteur 111 demeure ouvert jumqu'à la fin de course maximum vers la droit(,, de cette. piéco 97. A ce mement le doigt 109 agit sur le levier 112 et l'interrupteur 111 so ferme. Il demeure ferme jusqu'au retour de la pièce 97 on sa position extrêmede gauche et ainsi de suite ...
Sur la partie supérieure de la pièce 97 se trouve un bossage de contact 113, à la masse. Lors du mouvement de translation de la pièce 97, le bossage 113 passe sous une ligne de cinq contacts, 114 à 118. L'espacement entre ces contacts alignés est la même qu'entre les molettes du numéroteur 90.
Les quatre plots 114 à 117 sont électriquement connectés entre eux et à l'une des bornes do l'interrupteur 111. Le plot 118, le plus à droite, est isolé des quatre autres. Il est connecté d'une part à la seconde borne do l'interrupteur 111, d'autre part à une borne 119.
Une couronne circulaire 120, solidaire du bâti du dispositif, est centrée sur l'axe 98 mais sans contact avec cet Elle présente une ouver- ture circulaire centrée dont le diamètre correspond à celui des bossages 102 des cinq molettes du numéroteur 90. Sur le champ interne de la couronne 120 se trouvent dix contacts 121 régulièrement espaces et isolés de la masse,, Chacun de ces contacts est relié à un fil 122. Légèrement décalée sur la droite de la couronne 120 so trouve uns deuziène couronne 123 -:le mêmes dimensions et forme, entièrement conductrice sur son champ intérieur, isolée de la masse et reliée à la berne 119.
A l'extrêmité de l'axe 98 se trouve un ergot 124 isolé de la masse.
Centrée sur l'axe 98 et plus à droite, se-trouve une couronne 125 suivie d'une autre couronne 126. L'une et l'autre sont conductrices mais la couronne 125 est isolée de la Masse alors que la couronne 126 est mise à la masse. Un ressort avec isolant interposé (non figuré) écarte normalement les couronnes 125 et 126, mais un contact électrique peut s'établir entre les deux pièces sous l'effet d'une poussée exercée de gauche à droite. La pièce 125 est reliée électriquement à la borne 119.
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Les couronnes 125 et 126 présentent un trou circulaire centre et en outre une encoche 127 qui livre juste le passage à 1'ergot 124 dans une de ses positions de rotation autour du l'axe 98, et pour cette position seule.
Cette position est celle qui correspond à la lecture du chiffre 1 sur la molette des unités 91. Les longueurs sont telles que, dans toute position de la molette des unités autre que cella qui vient d'être dite., lorsque cette molette se trouve engagée à la fuis dans la couronne 120 et la couronne 123, l'ergot 124 pousse la couronne 125 et établit le contact entre 125 et @26.
Plus loin encore sur la droite su trouve- une butée fixe 28. Lorsque l'engot 124 entre en contact avec cotte butée fixo, le plot 113 est exactement sous le plot 118 et la molette 95 du numéroteur 90 est engagée à la fois dans les deux couronnes 120 et 123.
L'ensemble de la pièce 97 et de son équipage est rappelé normale- ment vers la gaucho par un ressort, non montré, et en cette position à l'extrême gauche le numéroteur 90 est complètement dégagé des couronnes 120 ¯ et 123. Le bossage 113 est alors à gaucho du contact 114. Le doigt 110 est alors au contact du levier 112 qui a provoqué l'ouverture de l'interrupteur 111.
La distance qu'il faut quo la pièce 97 franchisse vers la droite pour que la molette 91 soit engagée à la fois dans les deux couronnes 120 et 123 est égale à une largeur de caractère de la machine à écrire. La largeur des molettes du numéroteur 90 est égalo à cette largeur, plus précisément à la longueur dont le chariot avance d'une lettre à la suivante.
Enfin, et toujours au même instant envisagé :ici, le chariot de la machine à écrire est juste au contact de l'équipage 97 par le moyen d'une butée appropriée.
Le fonctionnement do l'onsoumble du système de numérotage des lignes peut maintenant s'exposer commes suit : -
Partant'de la position décrite en dernier lieu, la frappe de la ligne va pouvoir commencer, le chariot se déplaçant alors vers la gauche.
Tant que la ligne est en cours de frappe, aucune action ne s'opère dans le système de compteur-numéroteur de lignes.
Lorsque 1'opérateur a commandé le retour du chariot, celui-ci revient vers la droite. Il rencontre dans sa course l'équipage 97 sur lequel il vient buter et l'entraîna dans sa course par coulissement le long de l'axe 103. Le.doigt 110 quitte le levier 112 mais le contact 111 reste ouvert.
Dès le départ., l'ergot 104 agit sur la rampe hélicoïdale de la rainure 105 et fait tourner l'axe 103 légèrement ce qui provoque un mouvement en arrière du cliquet 107 qui est alors armé, mais n'agit pas encore. Sa
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position sera ainsi maintenue jusqu'au retour de l'équipage 97 à sa position de repos.
Dans le mouvement général vers la droite, la molette 91.s'engage dans les couronnes 120 et 123. Le plot 113 et le plot 114 sont alors en contact.
Doux cas peuvent alors so présenter Si la molette dos unités,91, marque un chiffre autre que le chiffre l, l'ergot 124 ne peut s'engager dans l'encocha 127. Il vient buter sur la couronne 125 ce qui arrête le mouvement (-la translation et établit on même temps le contact entre les couronnes 125 et 126. Le contact entre 113 et 114 est ineffeotif puisque l'interrupteur 111 est ouvert.
Par contre la couronne 123 est mise à la. masse par l'intomediaire de la borne 119 et des couronnes 125 et 126. Le bossage conducteur 102 de la molette des unités 91 établit donc la mise à la masse de l'un des contacts 121 de la couronne 120 . par l'intermédiaire de la couronne 123. Un des fils 122 est donc mis à la masse.
Bien entendu., il y a lieu d'affecter- au départ un des chiffres., zéro. compris, à chacun de cos fils, l'ordre de suocession sur la couronne 120 étant l'ordre naturel et le sens de succession sur la couronne étant celui de la rotation des molettes du numéroteur. Le fil mis à la masse indique donc le chiffre qui doit être lu sur la molotte engagée dans les couronnes 120 et 123.
Il s'agit présentement de la molette des unités.
Les fils 122 sont connectés pour agir de la même façon que les fils aboutissant aux contacts de mise à la masse par les touches du clavier.
Ils provoquent donc en particulier la frappe du chiffre voulu et, par voie de conséquence normale,l'avancement du chariot d'une unitévers la gauche.
Le numéroteur se dégage alors des couronnes et on est ramené à la position de départ. On a frappé dans la marge le chiffre des unités et 1'opérateur peut recommencer à taper une ligne de texte correctement alignée. Toutefois il faut ajouter que, dans son retour à la position de départ, l'ergot 104 a retrouvé la rampe hélicoïdale de la rainure 105. Coci a eu pour .effet de permettre à l'axe 103 do tourner de façon à faire avancer le cliquet 107.
Celui-ci à son tour a actionné le rochet 100. Grâce à la clavette 99, ce mouvement de rotation a été transmis à la molette des unités 91 et le numéro- teur 90 a intégré une unité.
Si la molette 91, maintonatn, marquait le chiffre 1 lorsque., dans le fonctionnement ci-dessus, mouvement vers la droite de l'équipage, elle S'est trouvée dans les couronnes 120 et 123, l'ergot 124 va s'engager dans l'encoche 127. Aucune butée ne s'oppose donc à la poursuite du mouvement vers la droite, le contact 125/126 ne s'établit pas. Le mouvement vers la droite se poursuit jusqu'à ce que l'ergot 124 rencontre la butée 128. Chemin faisant,
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aucune des molettes 91, 92, 93 ut 94 n'a été lue bien qu'elles soient passées successivement sous les couronnes 120/123 puisqu'alors la couronne 123 n'est pas à la nasse, ni par 126 ni par 111.
En fin do coursa;, le bossage 113 se trouve soùs le contact 118. ce qui metla couronne 123 à la Au niasse; 120. même moment, la molette 95 des dizaines de mille est engagée dans les couronnes 123. Cotte molette est donc effec- tivoment lue ci est à dire qu'un dos fils 122 est mis à la masse. Ceci déter- mine comme dit précédemment l'actionnment dune barre porte-caractères de la machine à écrire et l'avance d'un pas de son chariot vers la gaucher La molette 95 se dégage des couronnes 120/123 et y est remplacée par la molette 94 des milles, Auparavant le doigt 109 a fait son office on fin de course @t a fermé l'interrupteur 111.
Les plots 114 à Il'7 vent donce se trouver en liaison électrique avec la borne 119 et la couronne 123 jusqu'à ce que le mouvement sur la gauche de l'équipage 97 ait été parachevé. On voit donc que le même processus que décrit va se répéter pour chacuno des molettes 94, 93, 92 et 91, dans l'ordre, Elles seront lues et un chiffre sera frappé pour chacune d'elles sur la feuille de papier et le chariot avancera d'un pas jusqu'à ce qu'on so trouve ramené à la position de départ. L'intégration d'une unité au numéroteur demeure inchangée.
Les départs de fil de commande du codeur sont indiquéssur le schéma. Les codes de lignes seront donc enregistrés en conformité de leur frappe dactylographique sur le ruban perforé.
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The present invention relates to keyboard systems, and apparatus incorporating them, for preparing text composition in printing.
There are known typesetting systems for printing texts in which typing of the text to be printed is used to punch or otherwise mark a tape or recording medium which is subsequently used in a typesetting machine for printing. printing of these texts. Such a system is described in French patent 1,103,000 by the same applicants, filed on March 24, 1954.
An object of the present invention is to use, for such typing, a typewriter, preferably of the electrically operated type, the keyboard of which is conditioned as required and, for example, by adding to a keyboard of the type. usual presentation, one or more auxiliary keyboards and one or more sets of auxiliary keys, to increase the information contained in the text of other information, in particular "service", useful for the dialing.
According to another characteristic of the invention, this extension of the capacity of the keyboard to a number, characters and signs much higher than that of the keys of an ordinary typewriter, is carried out without adding, preferably, character bar and without increasing the dimensions of the machine's character bin,
According to another characteristic of the invention, there is associated with such a keyboard a recording device tol a perforator adapted to quer a tape or a recording medium according to a determined code,
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in correspondence of the keys pressed follows in the main keyboard either in a service keyboard or also in a set of side keys:
And it is also provided in accordance with the invention that a keyboard system thus established, at the same time that it is adapted to control a recording mechanism such as a perforator on each keystroke, is also suitable to appear on a sheet of paper; for example in the ordinary way, the characters or signs corresponding to these recorded keystrokes.
As, however, the number of barrus pore-characters is preferably taken, as said, smaller than the number of keys on a keyboard according to the invention, provision has been made, according to yet another characteristic, to make a device cooperate with said keyboard. used to activate a character bar marl either by a central key of the main keyboard, or by a side key of the same keyboard, or by a. key of the service keypad, as well as a device for characterizing on the sheet of paper the characters and signs corresponding to actuations of side keys or keys of the service keypad.
According to one aspect of the invention, it is further provided to add in the keyboard, service for example, three keys respectively entitled "lower case", "large capitals" and "small capitals" and controlling by these keys a device determining the relative positions of the character basket and the machine carriage, on the one hand, a device for selecting characterization of the characters and signs subsequently typed, on the other hand. The depressing of the "bottom-out" key could, for example, ensure the maintenance in a defined relative position of the two trolley and basket elements while the depressing of one or other of the "large capitals" keys "ot" small capitals "will be able to ensure the maintenance of these elements or another determined relative position.
Depressing these keys will always bring about the corresponding relative positioning of the carriage and due to the basket, but the above maintenance may not be guaranteed, for at least one of the keys and for example the "down-" key. de-casse "only after confirmation by pressing another key on the keyboard, in the manner for example of keeping in the" capital letters "position of an ordinary typewriter.
If the maintenance is not assured, returning the key to the rest position will preferably ensure the transmission of a code to return to the previous position otherwise the operator must immediately press the service key. corresponding to this previous position,
The depression of any one of these three keys will cause the actuation of the device for selecting the characterization of the characters then typed and this characterization may, in a system according to the invention, also come from a color change beyond. struck, by use of a polychrome ribbon, the aforesaid device of which will ensure '
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selectively the change of colored track,
that of the action of ancillary means selectively cooperating with the ribbon (although the latter is moreover monochrome or polychrome and, in the latter case, also participated in this characterization) to modify the design of the characters then struck, for example by introducing gaps or additions that identify the category to which they are assigned while leaving them fully legible.
A means of characterization other than a change of color is, for example, the interposition of a "grid" which either avoids the printing of the whole of the design of the character on the paper or on the contrary by overload parts
According to yet another characteristic of the invention, provision is then made for the effects of pressing one of the aforementioned three keys on the characterization of subsequent signs and characters to be further placed, for at least one of these keys, under the control of the category of cos subsequent signs and characters.
For example, at first immediate and concomitant with the striking of one back three keys, and considering a polychrome characterization, the ribbon always rises to red then returns to a conditioned position, for example as follows :-
If the key hit was "lower case" or "large capitals", the ribbon returns to black if it was not there, or stays there if it was there, 'when = you press then a key other than a side key on the main keyboard. If one of these side keys is pressed, the ribbon turns blue but does not stay there
If the key pressed was "small caps", the ribbon turns green and stays there until one or the other of the other two keys in question is pressed.
You cannot then use the side keys of the main keyboard as long as the ribbon is green.
Of course, this example is given here only by way of illustration of the possibilities offered from this point of view by the invention.
It should be noted that the typing of each of the three keys "lowercase", "large capitals" and "small capitals" causes as it 1:. :::: must -the marking of a corresponding code on the support encoded registration of the machine.
According to yet another characteristic of the invention, and in conjunction with the aspect which has just been specified, provision is made to ensure a systematic characterization of the signs and characters corresponding to the pressing of keys on the keyboard. service with regard to the characterizations of signs and characters resulting from the pressing of keys of the main keyboard (and also from a characterization established for the side keys ;, which we have however just seen-that it was not applied that character by
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character and could not be maintained between gentle successive presses of these keys).
In the example above, we have taken red as the characterization of the signs and characters of said service keypad, black or green being reserved for the main keypad, as said,
To summarize, in a keyboard system in accordance with the invention, the meaning to be attached on the typewriter to the reading of signs and characters is made according to the particular characterization, color for example with which they appear
In the coded recording, on the other hand, a separate coda is provided for each key, with certain possible exceptions, for example for the 11 squared and "demi-cadratine" keys (specialized side keys), each of which is doubled.
Each pair of these doubled keys causes the same numeric code on the recording but the depression of one, linked to the space bar, does not make anything appear on the typing test while the depression of the other y causes the typing of a predetermined character but with the characterization "side key", for example blue in the example considered above. We can therefore at will show or not on the copy the trace of the particular nature of the "blank" of composition which has been struck.
To facilitate the development of the description of the invention, we will now refer to the accompanying figures, which schematically:
Fig. 1, an example of implementation of the invention
Fig. 2, a detail of an order provided by a key on the keyboard in this example
Fig. 3, a detail showing an example of an order for a character-carrying bar Fig. 4., A detail of the commando for raising the movable element of the machine, cart or basket, in order to obtain the uppercase or lowercase;
Fig. 5, a detail of the command for raising the ribbon according to the desired color;
Fig. 6, a partial example of the embodiment of the encoder of Fig. 1;
Fig. 7, an exemplary layout of the keyboard system established in accordance with the invention, FIG. 8, an example of distribution of the electrical connections from the keys of the keyboard;
Fig. 9, an exemplary embodiment of the typewritten line numbering counter of FIG, 1.
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From these examples ot their description can be deduced, without more., All technological variants of implementation of the invention and falling within its framework,
Referring to FIG. 1, we see, shown schematically, an exemplary embodiment of the invention in which the keyboard for operating a character basket 1 is divided into three parts, namely a keyboard of central keys 2, a keyboard of side keys 3 and a keypad for service keys 4. In the latter in particular, three particular sections have been indicated, respectively made up of the “small capitals” key 5, the “large capitals” key 6 and the “bas-de-casso” key 7 .
Also indicated at 314 is a commando key for returning the carriage and advancing the roller, which will act directly on a control mechanism for these effects, indicated at 414.
The assembly constituted by the keyboard constituted as said and the character basket is intended to produce a typed copy of the recording qpi is simultaneously produced on a perforated tape, for example, 10, by a perforator 9 controlled by the encoder 8. This encoder 8 is electrically associated with the keyboard via an electrical connection distributor 214. The encoded recording, and also the typing copy, will therefore include both the actual text to be printed and the service information relating to the encoder. this text. They will also include, in the example described, the line numbers of the typing copy. A line counter-numberer 11 is actuated by the advances of roller 201 and provides printing of line numbers in a manner which will be described later.
It is also connected by the electrical connections 211 to the electrical connection distributor 214 ot consequently acts on the encoder 8 from this distributor.
It can be noted here that this electrical connection distributor has four outputs. The first 17 goes to the basket of character bars 1, the second 18, to the mechanisms of the vertical movement of the basket (or carriage), while the third 19 goes to a mechanism for changing the colored tape track; of course., the fourth output 20 is directed to the encoder 8. The characters of cos outputs will be specified later.
The ribbon 13 used by the writing machine (electric preferably as said) comprises in the example shown several tracks of different colors. The movement of this polychrome ribbon, to bring it with respect to the character to be struck, is controlled. , by a track change mechanism 14. This mechanism is, through the intermediary of the distributor 214, under the control of both the keys of the "main" keyboard 2, the
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side keys 3 and keys of the service keypad 4, in which keys 5, 6 and 7 will have special effects on said mechanism 14.
The raising of the basket 1 to obtain the typing capitals is under the control of the mechanism 12 actuated from the keyboard by the intermediary of the electrical connection distributor 214.
The assembly represents in FIG. 1 therefore makes it possible to produce, on the one hand, a typed copy of which the lines are numbered consecutively, on the other hand, a perforated tape carrying the information of. this copy. Both of these documents include not only -The text to be printed but also all service indications which can be provided from the service keypad 4. On the typewriter obtained the service indications and information are intertwined in the text and distinguished from this text by a colored characterization.
These results can, for example, be obtained by means of the arrangements which will now be described.
With exceptions to be specified later, each keyboard key 15 is associated with an electrical contact 16 which closes when the key is pressed., FIG. 2. Key 15 is pressed against the action of a spring 215, conductive and grounded. A part of the contact 16 is fixed to the bar of the button 15, for example by soldering or soldering, therefore in electrical contact with the mass by the spring 215. The other part of the contact 16 is elastically supported by a spring 216. and electrically connected to this spring., which is fixed to and Electrically connected to, a conductive part 218 isolated from the ground by an insulating spacer 217.
Each time the button 15 is pressed, therefore, an electric masso is applied, through a unidirectional element 219, to the four outgoing wires 17 to 2 @ These outgoing lines are numbered corresponding to the outputs of the distributor. electrical connections 214 of FIG. l, to directly recall the destinations.
One way in which control of the character bars can be achieved is shown in Fig. 3. When pressing a key, Fig. 2, applied the mass to the wire 17, this mass closes the circuit to the battery of an electromagnet 21, hence the attraction of the plunger 22 during the period of application of this mass. The plunger 22 is linked to a crescent lever 23 which it therefore pivots temporarily against the action of the return spring 224. 0, 'is the temporary tilting of this crescent 23 which causes the actuation of the character-carrying bar 37 and, for example as follows: a crew 24 is essentially constituted by a bar hollowed out along its length.
This bar can pivot upwards from a substantially horizontal position, around an axis 25 to one of its
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ends. It rests normally by a support piece 26 on the upper part of the crescent 23. At its other end, the bar 24 has a slightly recessed portion 27. In its center, it carries an axis 28 which crosses it. A cama 29 is mounted madly on this on - ('Day of which it can make a complete revolution. In its position of ropros, the cam 29 has a recessed part facing a rubberized roller 32 driven by a permanent movement. and uniform in rotation around its axis 33.
At rest, therefore, the cam 29 is not in contact with the roller 32 and it is, moreover, prevented from turning by a lug 30 abutting against the tooth 31 of a comb which has as many teeth as there are. mechanisms similar to that presently described are therefore as many teeth as there are character-carrying bars to be actuated in the basket. When the crescent 23 rocks under the control of the electromagnet, it no longer supports the support piece 26 and the assembly 24 falls to the point where the cam 29 comes into contact with the roller 32. The roller drives the cam, released from its snap-fit with the comb 31, and this action is favored by the provision of a serrated contour of the cam in its useful part at least, as shown.
The contour of the cam has been established so that the crew 24 is gradually raised. This allows in particular the crescent 23 to resume its rest position. The ascent of the crew 24 then causes a tilting of a lever 34 around its fixed axis 35 and, by the traction of the bar 36, actuates the character-carrying bar 37 which pivots around its axis 38, hence typing the desired character using this bar (in the position indicated in dotted lines on the diagram). The subsequent fall of the dito barra brings it back to its rest position. The return to general rest of this mechanism is self-evident.
One way in which the raising of the basket, or the cart, to obtain upper or lower case, can be offended is shown schematically in FIG. 4, which shows the electrical control circuits. The rise of the carriage is actuated by an electromagnet 39, one of the terminals of which is connected to the battery 40 and the other 48 is connected to an assembly of contactors 44 and 47 arranged as follows: -
It has three drive terminals 41, 42 and 43. Terminal 41 is connected to all the wires 18 of the keys ::; service keypad 4 other than keys 5, 6 and 7 on this keypad. Terminal 42 is connected to wire 18 of key 7 (lowercase).
Terminal 43 is connected to wire 18 of key 5 (small capitals) and wire 18 of key 6 (large capitals) of this service keyboard.
Terminals 41 and 43 drive a contactor 44 which includes an electromagnet 45. Terminal 43 directly drives this electromagnet, the output of which is to terminal 48 of electromagnet 39. The circuit of terminal 41 passes. by a contact 49 which is normally closed in its position of
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rest, and do co contact 49 ,, to the dito terminal 48. The contact paddle 49. est mechanically secured to that of another contact 50. The paddle of this contact 50 is grounded. The other polo of contact 50 is electrically connected
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the contact paddle 51 which belongs to the contactour 47 Ce: contactor 47 comprises an electromagnet 46 ayaut 42 for one of its terminals and 48 for the other.
The other pole of contact 51 is -1 (-; curio.uunont connected to terminal 43.
The operation of this device is as follows: - At rest, thanks to the return springs 249 and 251, the contacts 49 and 51 are kept closed; Contact 50 is instead open
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If an impulse comes from any key on the service keyboard other than keys 5; 6 and 7, the attack is via terminal 41.
Contact 49 being closed, the electromagnet 39 is energized and the carriage (or basket) is raised. The service signal corresponding to the key pressed is typed in upper case, which is the desired result. As soon as the pulse ceases, the electromagnet 39 ceases to be supplied and the controlled element, cart or basket, returns to the "lowercase" position, which is also the desired effect.
If an actuating impulse comes from key 7 (lower case) / it arrives via terminal 42 and directly supplies the electromagnet
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39 so that the sign chosen to signify "lower case" is typed 0; "1 capital letter. At the same time, contact 51 is open, which eliminates any parasitic effect in the control. As soon as the pulse has ceased the electro - magnet 39
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is no longer powered and the aforementioned element returns to the "lowercase" position, as due.
If an impulse comes from one of the keys 5
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"small capitals !! and 6" large capitals ", it arrives via terminal 4.3. The electromagnet 39 is still oxidized so that the sign chosen to mean" small capitals "or" large capitals "is capitalized .
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However, in this operation an additional function is performed.
The electromagnet 45 is energized and the contact 49 is open while the contact 50 is closed. As the contact 51 remains closed., The electromagnet 45 is connected to ground by one of its terminals across. the contacts 50 and 51 in series, while the other terminal, 48, leads to the source 40 through the electromagnet 39. The electromagnets 39 and 35 therefore remain permanently supplied. As a result, the item ordered, cart or basket, will remain
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also permanently in the llmajusculesll position, which is the desired effect here.
If, in the meantime, you hit any key on the keyboard
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service switch other than key 7 "bas-de-casMc" the corresponding impulse arrives either via terminal 43 which has no new effect,
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either by terminal 41 which is not effective since contact 49 is open but has no inconvenience since the expected effect would have been to put the controlled element in "majusculos" position which has already been achieved.
On the other hand, if, in the meantime, the "lowercase" key 7 is pressed, an impulse arrives via terminal 42. It first has the effect of opening contact 51 by energizing the electromagnet 46 The electromagnet 45 sees its circuit interrupted, the contact 50 opens, the contact 49 closes and we will row to the rest state initially described. Furthermore, the pulse received at 42 passes through the electromagnet 39 and the "lowercase" sign has therefore been correctly capitalized as it should. It is only then that the cart, or the basket ;, returns to the "lowercase" position which is indeed the effect required in the latter case, and remains there.
One embodiment of a device for ensuring a track change of the polychrome ribbon 13 of FIG. 1 during typing is shown schematically, without limitation, in FIG. 5.
A part 52 carries, by its own conformation for example, at its upper part, a "handle" 53 in which the polychrome ribbon will be engaged in the mounted machine. This comb shape is of course only indicative and, more generally, moreover, it should be understood that the drawings aim above all at clarity and not specifically at a precise reproduction of parts in their shapes and dimensions. real.
The ribbon, not shown, will be assumed to have four tracks, respectively black, green, blue and red, stepped from top to bottom on the ribbon.
The piece 52 -is, at its base, shaped in a particular way, in that it has three oblique ramps 54, 55 and 56 of equal widths and regularly increasing obliquities in the order of their enumeration.
The part 52 rests on a nobilc base 57 actuated by a rod 58, this by means of three wedges 59, 60p and 61. The rod 58 is moved by the ordinary device, which may be of cla zigue construction, of the lifting device. ribbon in a typewriter, and which has the effect of clearing the typing location outside of the instants when a character bar is actually actuated.
The wedges 59, 60 and 61 have a horizontal base surface sliding on the upper surface of the plinth 57. Each of them is biased by a spring such as 62 in the position where their upper ramp is released at the maximum of the distance. corresponding ramp of the part 52. In this condition, the three ramps 54, 55 eg 56 are in contact with the upper ramps of the corners 59, 60 and 61, the part 52 is at the maximum approximation of the part 57: It is then the black track of the polychrome ribbon which enters
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game if a character is to be typed on the keyboard.
The wedges 54, 55 and 56 are provided with respective rods 63,64 and
65. Each rod can be independently actuated to pull the wedge it controls against the action of the spring 62 linked to this wedge: As soon as such an action ceases, the wedge returns to its position shown, of rest, because the res- sort 62 then takes over control.
The coming on the left (of the diagram) of the corner 54 will obviously cause a certain rise of the tape holder 53, hence a change of track, from black to green for example. The coming to the left of the corner 60 will cause a more important rise, for example double, and consequently the passage to blue of the ribbon for the typing 'of the characters. The actuation of the corner 61 will then cause a higher rise, of three widths of tracks, and so the keystroke will come red on the typed copy
It should be noted that the mechanism being described does not exclude a rise simultaneously controlled by two of the wedges, or even by all three. It is quite obvious, however, that it is the corner with the greatest slope which in such a case will impose the color of the strike.
Each of the rods 63, 64 and '65 is hinged to a corresponding tie of an electromagnet plunger. This articula \, one is intended to admit the play attributable to the rise of the part 57. These electromagnets are indicated at 66, 67 and 68 in correspondence of the rods 63, 64 and 65. They each have a terminal connected to a common battery 240. The other terminals
69, 70 and 71 of the three electromagnets are individually connected, as will be specified, to an electro-mechanical device 72, itself driven by the four inputs 73, 74, 75 and 76.
In this device, the b @ rne 73 only serves as a reminder to the terminal
71 of the electromagnet 68. It is connected in multiple to all the links 19 which come from the service keyboard, including the specialized keys 5, 6 and 7 of this keyboard.
The rest of the device 72 is essentially constituted by the two contactors 77 and 84.
The contactor 77 comprises an electromagnet 78 and two twin vanes 79 and 80, biased by a spring 279. The vane 79 closes two contacts 82 and 83 in its rest position. The pallet 80 leaves a contact 81 open in its rest position. The fixed pole of contact 81 is earthed.
One of the terminals of the electromagnet 78 is connected on the one hand to the drive terminal 74, on the other hand to the paddle 80 of the working contact 81.
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The other terminal of the elocytro-lover 79 is directed towards the contactor 84 which it attacks by the contact 85.
The fixed pole of contact 82 is connected to terminal 70 of electromagnet 67. The fixed spade of contact 83 is connected to terminal 75 of device 72.
The contactor 84 comprises an electromagnet 86 and the already mentioned contact 85, the pallet of which is indicated at 87 and recalled by the lot 287 so that this contact is formed when the electromagnet is at rest. One of the poles of the electromagnet 86 is earthed, the other is connected to the input terminal 76 of the device.
Terminal 74 of device 72 is connected to wire 19 from key 5, "small caps", of the service keypad. Terminal 75 is connected to wires 19 coming from all the side keys of the main keyboard. The terminal 76 is connected to the wires 19 of the soft keys 6, "large capitals", ot 7, "lower case", of the service keyboard.
The operation of the complete device of FIG. 5 can then be exposed as follows: -
In the general rest position, contacts 82, 83 and 85 are closed, contact 81 is open. The electromagnets 78 and 84 are not excited. The electromagnets 66, 67 and 68 are also de-energized. The wedges 59,60 and 61 are out, ie in the positions shown. ';.
The part 52 is in the low position, the ribbon is black in the example chosen.
The operator presses any of the keys on the main keyboard 2, Fig. 1. None of these keys, we can specify now, is accompanied by a starting wire 19. The typing is done in black, which is the desired effect.
The operator presses any of the keys on the service keypad. Through link 73-71, the electromagnet 68 is energized. The wedge 61 is attracted and the ribbon rises to its highest position. The service sign will be typed in red, which is correct in the example being described. As soon as the key pressed will have. Once released, the electromagnet 68 will no longer be powered, the wedge 61 will return to its rest position and therefore the tape will return to black if no back two other wedges had previously been actuated.
As said, there is no incompatibility between placing several wedges in the working position in the mechanism described., And therefore the rise to red could very well have been carried out from a position of the tape holder. corresponding to both green and blue and, of course, as well as black:
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Keys 5, 6 and 7 on the swervic keyboard, in addition to the above effect, will cause the following special effects.
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If key 5, "small caps" is pressed, terminal 74 is grounded and forms the series excitation circuit of the electro.
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magnets 78 ot 66 to battery 240 by 1, contact 5 closes. There ribbon goes up to green. As the electromagnet '7 turns on, the contact 81 closes and the contacts 82 and 83 open. The formulation of contact 81 establishes the holding circuit of the electromagnet 78 and, consequently, that of the electromagnet 66. The wedge 59 will remain embedded After therefore the sign "small caps '' will have been struck in red by the passing action of corner 61, any subsequent strike will be made with the ribbon in green, which is the desired effect.
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If then one of the keys ti; "large ei: iJi.tales", and 7, "lowercase" has just been pressed, on the one hand the corner 61 will be temporarily activated, and the corresponding sign will therefore appear in red on the copy, but d 'on the other hand., through the input 76, the electromagnet 86 will be energized and the contact 85 will be opened. The aforementioned maintenance circuit of the electromagnets 78 and 66 is therefore interrupted and the "green stripe" position canceled. . Tape
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returns to black which is the effect l..sr. If 1. contact 81 already removed the excitation of the electromagnet 56 would have or no special result, the sign would have been struck in red then 10 ribbon would have returned to black, as expected.
Pressing one of the side keys 3 of the keyboard, Fig. 1, apply earth to terminal 75 of device '72 ot, opposite-
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ment to the above-described actions, terminal 73 remains iso168, therefore the electromagnet 68 remains de-energized and the rub..rl does not go red. Two ca ;; may arise. Or else the electromagnet 78 has been previously energized, the contact 83 connected to the driver terminal 75 is open. Pressing a side key has no effect on the mechanism of FIG. 5.
This is what must be in such a case because it can only be a question of a false operation on the keyboard; in the example being described, a side key nc can be validly pressed when you are in
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Position "small capital; s", A t.:llo r-'anoe'uvre l1; j seemed possible that by having recourse to a fifth color d ..; tape track, which goes beyond the scope of the example considered although obviously out of the scope of the invention. We can therefore see that the assembly sleeps a
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security with respect to a false i: laI10CUVI ',; of the machine keypad in the direction above indicated.
Or biun 1 '.: R.f'onc: nc; nt of a side key is. Legitimate and the contact 83 is found closed when the ground is applied to the terminal 75. The excitation circuit of the electro- magnet 67 is then completed to cause the ribbon track change mechanism to rise to blue, which is the expected effect. Cotte mounted is only
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temporary and as soon as the side key is released, terminal 75 is isolated from ground, the electromagnet 67 de-energizes and the wedge 60 returns correctly to its rest position.
The use of a single wedge, with a uniform or shaped slope without a projection, with amplitude displacement conditioned by the rise
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desired and controlled from the keyboard, in the above-mentioned manner, also came within the scope of the invention.
The encoder 8, Figt l, can be implemented in a manner; who is represented; for part of this encoder, on scht: rr .: 1. do in Fig. 6. Such an embodiment of an encoder is moreover common in arithmetic computers. The connections 20 come from the distributor 214 of Figi 1 of a
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arrive on the gaucho of the diagram to form a network of "grid" lines Y whose network of columns is in the form of conductors 88 each going to one of the perforation control electromagnets of the perforator 9. We consider a digital perforation code at seven times, therefore seven electromagnets, from (1) to (7) and consequently sopt columns 38 in the illustrated matrix.
Only a small number of line conductors have been shown and a definition of the key from which the conductor 20 comes. The first line relates to the action of the space bar on the keyboard, any strike of this bar must of course cause a perforation on the recording tape. The next two lines refer to signs on side keys 3, the next three lines refer to keys on the main keypad 2 and the last four lines shown refer to signs on keys on the service keypad 4 The voltage of the encoder is self-evident.
Each numeric code is defined. by the distribution of interconnections between a particular line (.; CI
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all of the columns, and these .nt.tjl'COi "ln,) xion8 GI., ';:.: i. octute, in a known manner, by means of unidirectional conductivity elements, diodes with crystal for example.
Before giving an example do applicable seven time code. in
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the practice of ltinvwntion, birn that in no way limiting in itself, it is advisable to refer to the. Fig. 7 which illustrates, in a directly readable manner, an example of; keyboard layout established in accordance with the invention.
In this example, the part referenced "Main Keyboard" is subdivided into two parts, one referenced "Central Keys comprising the keystroke in" BLACK "or" GREEN ", the other referenced" Side Keys comprising the keystroke in " BLUE". The links between the keys of the "Central Keys" part and on the one hand the keys that are part of the set
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reference "Servie keyboard comprising the hit in" RED "., on the other hand of the set" Lateral Keys "indicate remote pairings of
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characters for typing. Thus, for example, pressing the "small capitals" key on the service keyboard will cause the printing, in red, on the typing copy, of the letter P, that of the "italic" key printing, in red, the letter K, and so on.
The central part of the main keyboard has a layout similar to that of the usual keyboard of a typewriter. In the example shown, it nevertheless has some variations: - 'The digit one is typographically distinguished from the lowercase letter "1" which is usually used to represent it in typing.
For example, then, the typographic sign representing the number one is carried to the "capital" position of the key which has the "to" sign in the "lowercase" position, replacing the "&" sign which is not usual in typography.
The sign "-", to underline in typing,, is not usual in typography where one uses a particular variety of characters for a similar purpose, most often the italics. We have therefore transferred to the lowercase position of the key having "8" in the uppercase position,: The character II) 11, close the parenthesis. The typing sign Il 011 is deleted, which is possible when the letter 11011 is matched in its upper position (by pressing the "Upper" key on the service keyboard).
A key becomes available at the end of the upper row of the normal keyboard of the typewriter and it is used, as a "dead" key, ie not moving the carriage forward, to accommodate the grave accent and acute accent. It is in fact desirable to provide these accents for letters other than the letters "é", "é", "à", and "ù".
The side part of the main keyboard can have a variable number of keys. By way of illustration, a certain number of them have been shown in FIG. 7, such as: -
An "end of line union" key which will result on the typed copy by the "normal union" sign of the key to which it is paired, but by a different punched code or, more simply, by the absence of code since the calculator which will use the recording will not have to take any typing clippings into account. Typing the normal @ dunio line will instead produce a perforated code on the ribbon.
A "subtraction" key, including lo sine; typographic is distinct from the hyphen; this key will produce a code on the ribbon while producing the normal hyphen on the typed copy.
Keys for open and formed quotation marks, typographically distinct and resulting in distinct codes. Their TV twinning
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with the "guillemot" key the typewriter will not differentiate them on the typewriter, apart from their blue color, of course.
The sign "cedilla" should preferably also be able to be assigned to letters other than the "ç". A side keyboard key is provided for him, paired with the circumflex accent. The striking of the cedilla will cause a special code to be printed on the perforated record, the impression in blue of a circumflex accent on the typed copy.
A side key is assigned to the typographically distinct "multiplication" sign of the lowercase "x", while being paired with the so called "x" key of the typewriter for typing copying.
Another side key is assigned to the digit zero, typographically distinct from the letter "O", to produce a distinct code on the tape., While marking only an uppercase or blue 0 on the typing copy.
Another side key may include the signs "two driving points" and "three driving points", in upper position and in lower position respectively. It is paired for typing purposes with the "full stop" and "semicolon" key, for example, while generating distinct electrical codes.
The above list is not exhaustive but clearly indicates what can be expected from the presence of the side keys on the main keyboard. Particular attention should now be paid to the two pairs of side keys "em" and "en" which have already been mentioned.
These keys, which correspond to fixed "blanks", are, in one of these pairs, paired for typing with keys on the main keyboard, for example the L and M keys in upper case positions. This makes it possible, when necessary, to check on the copy that you have typed an em or a half-frame and not the normal justifying space (machine space bar). The other pair of these keys causes the same punched codes as the previous ones, spokes are read for typed copy with the space bar, hence the absence of visible sign on said copy if the operator considers it. more convenient.
Regarding the main keyboard, central keys and side keys, we can now summarize its main characteristics and main effects as follows: -
In any position ot as usual, the normal keys and the space keys (as well as the space bar) cause the carriage to advance one step, the accent keys do not;
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Any central touch causes typing in black rotten lowercase and large capitals positions, typing in green for small capitals;
the typed sign is direct, that is to say that ..the character bar corresponding to the pressed key, in addition to the position in which we find ourselves as usual, the actuation of the space bar does not cause any impression;
Any lateral touch causes the typing impression in blue; as usual, the keys combined with the space bar do not cause any printing, they only cause the carriage to advance one step; each impression due to a side key appears in the form of the character of the twin key of the central keyboard which corresponds to it; it may be noted that, in the example described, the small-capitals position is not exploited by the side keys but this is in no way imperative in itself;
Any key, central or lateral, causes the recording on the tape., Or other medium, of a code which is specific to it; this is also true for the "blank" keys and the space bar: - the code of the space bar is a justifying space code, that of the "blank" keys. is a non-substantiating space code.
The gaucho part of FIG. 7 shows an example of a service keyboard in accordance with the invention, of course only as an illustration.
For convenience, we can distinguish three groups of keys on this service keypad: - one group identified by the annotation cc above the digits 0 to 9, which allows the operator to sign the number d " a typing line which will have to be corrected later; a group of Ik keys and Ig engraving; the Ig key has three keys corresponding to three different engravings, the Ik1 key has the three "normal", "upper" and "lower" keys, the Ik2 key, the three "roman", "italic" and "bold" keys, the Ik3 key, the three "lower case", "small capitals" and "large capitals" keys;
a group of advertisement signals, for example: - "dimension announcements": - DH (page height), DC (body), DJ (justification),
DI (line spacing), "snapshot zone announcements": - IB (entry), IBB (exit), "end announcements": - IF (end of paragraph), IFF (end of chapter),
IFFF (end of book); such an enumeration is not limiting on itself.
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Each key on the service keypad is televised to a central key on the main keypad. The character typed on the typed copy will therefore be the character of the twin key, but printed in red on the said copy. Hitting each key will move the cart forward one step. It will also produce the recording of a distinct code on the coded tape 10, FIG. 1.
With the exception of the group of keys of the key 1k3, the special effects of which have been detailed previously in the description, the pressing of any key on the service keyboard automatically causes typing in "large capitals" for the service sign as well. struck, without maintaining this position, at least in the example described.
There is in fact a fourth group of service signals in the device: it is the one made up of the digits forming the numbers of the typing lines. These signals are produced and perforated automatically in a manner which will be specified later ;, in relation to Fig. 9.
From the examination of the keyboard and the functions previously described, it emerges that each key of the keyboard is not, in fact, equipped with the four connections indicated for a "commonplace" key in Fig.2. Referring to the electrical connections distributor table in Fig. 8, 'whose capacity' has been limited for reasons of convenience but which shows all the actual cases that arise in this distributor, we see that: - each of the buttons indicated, C (center key), L (side key),
S (service keypad key other than keys 5,6 and 7), R (space bar) and keys 5, 6 and 7 of the service keypad ,, has a link
20 separate to encoder 8;
each of the indicated keys also has a link 17 to basket 1, but through meetings now evident from the above each of the keys L additionally has a link 19 to the ribbon color change control mechanism ,, but in meeting between all these keys L, towards terminal 75 of this mechanism; each of the keys of the service keypad, including keys 5, 6 and 7, has a link 19 to terminal 73 of the ribbon color change mechanism and key 5 has in addition a link 19 to terminal 74 of this mechanism., while the keys 6 and 7 have one, by union., to terminal 76 of the same mechanism;
the S keys have moreover, one rouinon, a connection to the terminal 41 of the control mechanism for raising the carriage (or the basket) while the terminal 42 of this same mechanism receives a connection coming from the key 7 and the terminal 43, a meeting link from keys 5 and 6.
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The unidirectional conductivity elements ensuring on the one hand the aforementioned assemblies, on the other hand the prohibition of control returns between circuits, are indicated in the diagram of FIG. 8, sufficiently explicit from this point of view that it is useful to describe it at greater length.
The advertised seven-time code example applicable to the embodiment of the invention considered here can now be defined as follows: it is a binary code comprising only the digit values zero and one.
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Main keyboard, Fig. 7 - Monovalent keys: -¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯ <# ..
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Touchas Tic: glue antu
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<tb> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP>
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A C 0 0 0 o 0 1
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<tb> E <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 0 <SEP>
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X 0 0 0 1 0 .10 y 0 0 0 1 0 1 1
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EMI18.8
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EMI18.9
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EMI18.10
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EMI18.11
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<Desc / Clms Page number 19>
Main keyboard, 'Freeze 7 - Multipurpose keys -
EMI19.1
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Main keyboard, Fig. 7 - Spacing bar @
EMI19.2
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<Desc / Clms Page number 20>
Service keypad, Freeze 7: -
EMI20.1
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EMI20.2
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EMI20.4
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0 0 1 0..0 1 Keys -Normal 1 0 1 0 0 0
EMI20.5
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EMI20.7
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EMI20.9
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EMI20.10
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EMI20.11
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EMI20.12
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EMI20.13
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It remains to define the codes adopted for the numbering of
EMI20.14
lines typed, and which will be issued by the line counter-numberer 11, fil. 1.
This could be tr3, logically: -
EMI20.15
CL - Line numbers - C-iii f f r0 1 1 1 0 0 0 0
EMI20.16
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EMI20.17
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<Desc / Clms Page number 21>
It will be noted that a tol code, a fact made up for each "word" of deax parts, a prefix and a number, leaves all latitude to extend the keyboard program for possible more complex variants of the service and side keyboards.
The counter-numberer Jo lines, 11 Fig.l, can, illustratively be realized according to the diagram of Fig.9. In this diagram, we have indicated a mechanical numberer 90 of classic typo such, for example, that the numberers used for the counting of the objects the numbering of the formulas in printing, etc ...
The counter represents comprises five dials corresponding respectively to the units - tens - hundreds - thousands and tens of thousands. These five knobs 91 to 95 so follow from right to left in the figure, starting with that of the units. The internal mechanism of the dialer does not have to be described here, as it is a quite conventional device.
It will be recalled that, for one unit, the wheel 91 completes a tenth of a turn.
After a complete revolution from its original position, it determines the advancement of the tens-to-tenth of a turn, and so on.
The numberer, assembly reference 90, is carried by the axis 96, supported by the support 97 located on the side of the tens of thousands molotte.
On the opposite side an axis 98 is located in the extension of the axis 96 but is independent of the latter. The axis 98 is used to control the counting movement, thanks to a key 99 which extends along the axis 98 and slides as well as the axis itself in the ratchet 100. The latter is carried. by a support 101 and can only have a rotational movement.
Unlike the wheels of common number turns, the wheels of the 90 numberer do not have engraved facets. They have an insulating outer surface, or set back relative to the envelope cylinder except over a sector 102 equal to one tenth of the circumference. Co sector is intended to constitute an electrical contact element and is made of conductive metal. It is isolated from the mass for example by being embedded in an insulating material except for its surface. It is quite clear that the "figure" indicated by any wheel can be characterized by the angular punishment of its sector.
The whole of the support 97, of the axis 96, of the numberer 90 and of the axis 98 constitutes a unit which can perform a horizontal translational movement by sliding along the slide 103. An additional guide not shown ( so as not to overload the drawing) opposes the rotation of this crew around axis 103.
The axis 103 can turn around its bearings (not shown) and its rotational movement is controlled by a lug 104 located inside the part 97 and which slides in a groove 105 of the axis 103. This
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groove has a helical shape at the beginning of its outline, on the left of the destiny., then it becomes rectilinear on its right part. At the right end of the axis 103 is a crankshaft which acts on a rod 106. This rod 106 itself controls a pawl 107 which meshes with the ratchet 100.
On the sliding support piece 97 is mounted a rod 108 provided with two fingers 109 (gaucho) and 110 (right). The. distance between these fingers is equal to the stroke of the part 97 in its greatest displacement. These two fingers operate a switch 111 which normally remains in the position where it was put by the last operation of the lovic; r 112. In other words, when the part 97 has been until its end of travel towards the left, the finger 110 has acted and the switch 111 remains open until the maximum limit switch to the right (,, of this. piece 97. At this time, the finger 109 acts on the lever 112 and the switch 111 is closed. closes until part 97 returns to its extreme left position and so on ...
On the top of part 97 is a contact boss 113, grounded. During the translational movement of the part 97, the boss 113 passes under a line of five contacts, 114 to 118. The spacing between these aligned contacts is the same as between the dials of the numberer 90.
The four pads 114 to 117 are electrically connected to each other and to one of the terminals of the switch 111. The pad 118, furthest to the right, is isolated from the other four. It is connected on the one hand to the second terminal of the switch 111, on the other hand to a terminal 119.
A circular ring 120, integral with the frame of the device, is centered on the axis 98 but without contact with this It has a centered circular opening whose diameter corresponds to that of the bosses 102 of the five dials of the numberer 90. On the field. internal of the crown 120 are ten contacts 121 regularly spaces and isolated from the ground ,, Each of these contacts is connected to a wire 122. Slightly shifted to the right of the crown 120 so find a deuziene crown 123 -: the same dimensions and form, fully conductive on its inner field, isolated from ground and connected to the bern 119.
At the end of the axis 98 is a lug 124 isolated from the mass.
Centered on the axis 98 and further to the right, is a crown 125 followed by another crown 126. Both are conductive but the crown 125 is isolated from the Mass while the crown 126 is put. to ground. A spring with interposed insulation (not shown) normally separates the crowns 125 and 126, but an electrical contact can be established between the two parts under the effect of a thrust exerted from left to right. Part 125 is electrically connected to terminal 119.
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The crowns 125 and 126 have a central circular hole and furthermore a notch 127 which just provides the passage to the lug 124 in one of its positions of rotation about the axis 98, and for this position alone.
This position is that which corresponds to the reading of the number 1 on the dial of the units 91. The lengths are such that, in any position of the dial of the units other than that which has just been said., When this dial is engaged when fleeing in crown 120 and crown 123, lug 124 pushes crown 125 and establishes contact between 125 and @ 26.
Still further on the right there is a fixed stop 28. When the engot 124 comes into contact with the fixed stop, the stud 113 is exactly under the stud 118 and the wheel 95 of the numberer 90 is engaged both in the two crowns 120 and 123.
The whole of part 97 and its crew is returned normally towards the gaucho by a spring, not shown, and in this position on the extreme left the numberer 90 is completely disengaged from the crowns 120 ¯ and 123. The boss 113 is then to the left of contact 114. The finger 110 is then in contact with the lever 112 which has caused the opening of the switch 111.
The distance that must be taken for the part 97 to cross to the right for the wheel 91 to be engaged in both the two rings 120 and 123 is equal to a character width of the typewriter. The width of the dials of the numberer 90 is equal to this width, more precisely to the length of which the carriage advances from one letter to the next.
Finally, and always at the same instant envisaged: here, the carriage of the typewriter is just in contact with the crew 97 by means of an appropriate stop.
The operation of the onset of the line numbering system can now be explained as follows: -
Starting from the position described last, the hitting of the line will be able to begin, the carriage then moving to the left.
As long as the line is being typed, no action takes place in the line counter-numberer system.
When the operator has commanded the return of the carriage, the latter returns to the right. In its course it meets the crew 97 on which it comes up against and dragged it along in its course by sliding along the axis 103. The finger 110 leaves the lever 112 but the contact 111 remains open.
From the start, the lug 104 acts on the helical ramp of the groove 105 and turns the axis 103 slightly which causes a backward movement of the pawl 107 which is then cocked, but does not yet act. Her
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position will thus be maintained until the crew 97 returns to its rest position.
In the general movement to the right, the wheel 91. engages in the rings 120 and 123. The stud 113 and the stud 114 are then in contact.
Mild cases can then be presented If the back unit dial, 91, marks a number other than the number l, the lug 124 cannot engage in the notch 127. It comes into contact with the crown 125 which stops the movement. (-the translation and at the same time establishes the contact between the rings 125 and 126. The contact between 113 and 114 is ineffective since the switch 111 is open.
On the other hand, the crown 123 is set to. ground via terminal 119 and crowns 125 and 126. The conductive boss 102 of the wheel of the units 91 therefore establishes the grounding of one of the contacts 121 of the crown 120. via the crown 123. One of the wires 122 is therefore grounded.
Of course., One of the digits., Zero must be assigned at the start. understood, to each of cos son, the order of succession on the crown 120 being the natural order and the direction of succession on the crown being that of the rotation of the dials of the dialer. The grounded wire therefore indicates the number which must be read on the molotte engaged in the crowns 120 and 123.
This is currently the units wheel.
The wires 122 are connected to act in the same way as the wires terminating at the ground contacts by the keys of the keyboard.
They therefore cause in particular the striking of the desired number and, by way of normal consequence, the advance of the carriage by one unit towards the left.
The numberer is then released from the crowns and we are brought back to the starting position. The ones digit has been typed in the margin and the operator can resume typing a correctly aligned line of text. However it should be added that, in its return to the starting position, the lug 104 found the helical ramp of the groove 105. Coci had the effect of allowing the axis 103 to rotate so as to advance the pawl 107.
This in turn actuated the ratchet 100. By means of the key 99, this rotational movement was transmitted to the wheel of the units 91 and the numberer 90 integrated a unit.
If the dial 91, maintonatn, marked the number 1 when., In the above operation, movement to the right of the crew, it Was found in the crowns 120 and 123, the lug 124 will engage in the notch 127. No stop is therefore opposed to the continuation of the movement to the right, the contact 125/126 is not established. The movement to the right continues until the lug 124 meets the stop 128. Along the way,
<Desc / Clms Page number 25>
none of the wheels 91, 92, 93 and 94 have been read although they have passed successively under the crowns 120/123 since then the crown 123 is not in the trap, neither by 126 nor by 111.
At the end of the course, the boss 113 is found below the contact 118, which puts the crown 123 at the mass; 120. At the same time, the tens-of-thousand wheel 95 is engaged in the crowns 123. This wheel is therefore effectively read, that is to say that a back wire 122 is grounded. As said previously, this determines the actuation of a typewriter's character bar and the advance of its carriage by one step to the left. The wheel 95 is released from the crowns 120/123 and is replaced there by the wheel 94 miles, Previously the finger 109 did its office on limit switch @ you closed switch 111.
The blocks 114 to Il'7 wind therefore be in an electrical connection with the terminal 119 and the ring 123 until the movement on the left of the crew 97 has been completed. We therefore see that the same process as described will be repeated for each of the wheels 94, 93, 92 and 91, in order, They will be read and a number will be struck for each of them on the sheet of paper and the carriage. will advance one step until it is returned to the starting position. The integration of a unit into the dialer remains unchanged.
The encoder control wire feeders are shown in the diagram. The line codes will therefore be recorded in accordance with their typing on the perforated tape.