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La présente invention a trait à la reproduction automati- que rapide d'originaux graphiques de l'espèce des rapports imprimé ou dactylographiés, de la correspondance, des dessins, etc... et concerne particulièrement l'appareil employé à cet effet.
La présente invention propose une machine de thermocopie destinée à la reproduction automatique rapide d'originaux graphi- ques sur un papier de copie thermosensible par les procédés ici décrits, comprenant, en combinaison, une source d'intense radiation, un moyen destiné à avancer un composé à deux éléments, l'original graphique et le papier de copie thermosensible, en contact intime
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sous pression, devant T-Ifi r. ;,(J!1 rcf', et, compromint. un rou3;iw zut une courroie continue, de rI iIlIPWJ i 011 [; !1 t,nt.l.',;, t'F::l;ïf,ïrit, 1fl. cha- leur, présentant une grande f.f'éltl::ltli i:3JVl,f.:
V.i:iwa' Y.LTi du ladito radiation, un moyen destiné ,', maintenir .'¯lfF7 t:r. courroie r.f;nr;.Lb3fj- ment alignée sur ledit rouleau, un ma/en ik-rjbim' y ]'81:1'.H' 1;1 vj- tesse de l'avance dudit composé devant lad 3 1,0 sourco do radiation, et un moyen destiné à aviver ladite .fyt1fr? do radiation j'eudynt le passage dudit composé devant ladite pont-ce .
En particulier, l'invention propose un appareil destiné à
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la copie rapide d'originaux graphiques à grande v3.fic;tc:f: et do manière sensiblement complètement automatique, pour produire des copies de clarté et de contraste améliores.
Des papiers de copie thermosensibles utiles sant décrits belge dans la demande de brevet/au même non, de mène date.
L'invention va maintenant être décrite en se référant au dessin annexé.
La fige 1 est une élévation latérale schématique d'un dis- positif de thermocopie réalisant des principes de la présente in- vention.
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La fig. 2 est un plan schér.aiue du dispositif de la fig.l.
Le dispositif des fig. 1 et 2 comprend une courroie trans- porteuse souple 1u portée par une série de tambours rotatifs 11, 12,
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13 directement 2;'..wÉ$ par le bâti 143 et un quatrième è..TiliQ't?r 15, monté de manière réglable dans un support 16 qui est aussi porté par le bâti 14. Le tambour inférieur 13 est actionné par un moyen de commande non représenté, qui est réglable par un cadran de ré-
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glage 17, comme l'indique schématiquement la fi±. 1.
Le support réglable 16 du tambour 15 consiste en un étrier principal 18 ayant une languette 19 s'ajustant dans un petit étrier
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20 et tenu en place par une cheville 21 servant de pitot ? 1'étrier principal 18 portant le tambour 15. Le petit (.1rÜT 2o est porté par un arbre 22 fixé de manière rotative, monté pour coulisser sur
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le bâti 14 et sollicité dans la direction du tambour 15 au moyen d'un ressort de compression 23 disposé entre un élément du bdti .14 et un arrêt 24. fixé à l'arbre 22.
Un ressort de tension 25 est attaché à un bout de l'étrier principal 18 et à l'autre bout, au bâti 14; un cordon 26 est aussi . attaché par un bout à l'étrier principal 18 et son autre bout est attaché à une poulie d'un moteur à couple constant 27, comme l'indique la fig. 1. Pour plus de clarté, le ressort, le cordon et le moteur sont supprimés fig. 2. Une paire d'arrêts 28,28', montés sur le bâti 14, limitent le mouvement de l'organe terminal de l'étrier 18. Un commutateur 29 est disposé près du bord de la courroie souple 10 et règle le fonctionnement du moteur 27, comme 'l'indique schématiquement la fig. 1. Des commutateurs 30 et 30' sont des commutateurs limiteurs, destinés à arrêter la machine dans le cas où la courroie 10 se cale ou échappe au réglage.
Une lampe tubulaire à filament linéaire 31, disposée dans un réflecteur elliptique ouvert 32, est disposée parallèlement au tambour central 12, la face ouverte du réflecteur étant étroitement voisine de la surface du tambour. Le filament de la lampe 31 est situé suivant-une des lignes focales du réflecteur elliptique consi- déré en section transversale, la position de l'autre ligne focale se situant juste en face de la surface du tambour 12. La lampe est actionnée par un commutateur 33, comme l'indique schématiquement la fig. 1. Des leviers de contact 34 et 35, attachés au commutateur
33, traversent respectivement un canal d'entrée 36 et un canal de sortie 37, les canaux formés entre des organes de bâti 38,39 et 40, comme l'indique la figure.
Le dispositif fonctionne comme suit :
Lorsque le rouleau 13 est actionné et que la courroie 10 est en mouvement, on met la page imprimée ou dactylographiée, dont on yeut prendre copie, en contact avec un papier de copie thermo- sensible convenable et le composé est introduit dans la machine par
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le canal d'entrée 36. Le contact du matériau en feuille avec le levier de contact 34 actionne le commutateur 33 et la lampe 31.
Il faut observer que la lampe est ainsi activée et amenée à la pleine température de fonctionnement avant que le matériau eu feuil- le 'atteigne uneposition d'irradiation. Les feuilles sont tirées entre la courroie 10 et le tambour 12 et en face de l'assemblage à lampe où ellessont fortement et brièvement irradiées, tout en étant fermement et uniformément maintenues ensemble en contact sous pression. Les feuilles sortent ensuite par la canal 37 en venant en contact avec le levier de contact 35, ce qui prolonge l'activation de la lampe 31 jusqu'à ce que les papiers aient com- plètement outrepassé le point d'exposition. Le parcours entre les contact 34 et 35 n'est pas plus grand que la longueur des feuilles passant dans la machine.
Le composé de l'original et de la repro- duction est Ôté du canal de sortie 37 et les feuilles sont alors séparées.
L'énergie de radiation, produite par la lampe 31 et concen- trée à la surface du composé de l'original et du papier de copie par le réflecteur 32, est différentiellement absorbée à la surface imprimée de l'original pour créer une configuration thermique dif- férentielle, correspondant au message imprimé. Cette configuration thermique forme alors une reproduction du message original dans le papier de copie thermosensible avec lequel il est en contact.
Le papier/copie thermosensible peut être mis en contact avec le côté de l'original imprimé opposé à celui où apparaît le message imprimé à copierai la surface imprimée fait alors face vers la lampe 31. Ce procédé d' "impression dorsale" requiert que la configuration thermique produite à la surface imprimée soit trans- mise à travers le papier de l'original imprimé pour atteindre le papier de copie thermosensible et y développer la copie. Il s'en- suit que ce procédé est le plus efficace pour les originaux minces et très bons conducteurs thermiques, tels que la correspondance
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dactylographiée sur papier à firme et d'autres papiers de haute qualité et de poids modère.
L'original imprimé peut, dans.une variante, être placé sous,le papier de copie thermosensible, lu surface imprimée étant en'contact avec la surface arrière de ce dernier. Le composé est alors passé par la machine de manière que le recto du papier de copie fasse face vers la source de radiation. Dans ce procédé d' "impression frontale , le papier de copie doit être apte à transmettre la radiation qui est alors transmise directement à thermique la surface imprimée de l'original ou se développe la configuration/ qui donne lieu à la formation d'une reproduction dans le papier de copie thermosensible.
Les variations des originaux graphiques ou des types de papiers de copie thermosensibles ou de la température ambiante ou des tensions du réseau ou d'autres variations requièrent que la vitesse du passage des papiers devant la source de radiation soit réglable. La machine est donc pourvue d'un moyen de réglage de vitesse, indiqué, fig. 1, sous la forme d'un organe de réglage manuel 17 qui permet de modifier comme il est requis la vitesse du rouleau de commande 13 et, donc, de la courroie 10. Le réglage de la vitesse est nécessaire, car la température ambiante à la surface du rouleau 12 varie pendant le fonctionnement continu ou intermittent de la machine; mais pour tout type donné de copie et de papier de copie et pour toute source convenablement construi- te d'énergie de radiation, l'étendue du réglage nécessaire peut être rendue minimum.
Le réglage de la température ambiante est aussi effectué par/mise en circulation d'air de refroidissement devant l'assem- blage de radiation, à l'aide d'un ventilateur soufflant non re- présenté.
La courroie 10 est maintenue dans sa trajectoire autour des divers rouleaux par un moyen ici représenté comme comprenant l'assemblage de montre réglable 16 portant le rouleau 15, en
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combinaison avec un moyen de réglage intermittent constitué par le commutateur 29 et le moteur 27 et le ressort 25. Le commutateur actionne et cesse d'actionner, alternativement, le moteur à couple constant 27 lorsque la courroie est sollicitée d'un côté à l'autre.
L'actionnement du moteur applique une traction par le c don 26 et, en faisant tourner l'assemblage autour de l'axe de .'arbre 22, abaisse le bout de l'étrier 18 contre l'arrêt 28' où il est main- tenu contre l'effet du ressort 25 tant que 1 'actionnèrent du moteur continue. L'inclinaison résultante de l'étrier 18 et, donc, du rouleau 15, amène la courroie 10 à progresser latéralement, dans le sens opposé à l'inclinaison, pendant qu'il est tiré autour des divers rouleaux de l'assemblage. Cet effet interrompt finalement l'actionnement du moteur 27 et permet au ressort 25 d'incliner l'étrier 18 dans le sen. apposé, jusqu'à ce que le bout de l'être vienne en contact avec l'arrêt 28. La courroie mobile progresse alors dans le sens opposé et le cycle se répète.
Puisque la courroie 10 est sensiblement inextensible sous la traction utilisée, il est nécessaire que le rouleau 15 soit apte à se mouvoir autour du pivot 21 lorsqu'il s'incline d'un côté à l'autre, afin qu'une traction uniforme d'un côté à l'autre de la courroie 10 puisse être maintenue et que le plissement soit évité. La traction est créée par le ressort de compression 23, ain- si que l'indique le dessin.
Les commutateurs limites 30 et 30' permettent l'oscilla- tion de la courroie entre les limites indiquées, mais sont cons- truits de manière à couper tout le courant dans le cas où la courroie s'éloigne trop de son parcours normal par suite d'une défaillance quelconque ou d'une manipulation incorrecte de la machine.
Du fait que la courroie transparente 10 est elle-même fortement irradiée pendant le processus de la copie, elle doit être sensiblement complètement non absorbante vis-à-vis de la ra-
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diation employée. Elle doit être hautement résistante à la cha- leur et résistante à l'etirement dans les conditions regnant dans la machine. Il a ete trouve que les courroies continues de polyté- trafluoréthylène ou. de matières polymères inertes analogues con- viennent fort bien à cette application..
Ces courroies sont de .préférence formées pur l'extrusion de la matière polymère sous lu forme d'un tube dont on peut prélever des sections sons la forcée des courroies voulues, continues.et suns raccord. Des étoffes légères, telles que le tissu de soie à tamis, sont pareillement utiles, ruais les régions de raccordement des courroies faites de telles matières créent des discontinuités qui produisent des irrégularités dans la copie, et les bords de ces courroies sont . pareillement susceptibles d'être insuffisamment rigides pour ac- tionner de manière continue et efficace les commutateurs de réglage.
Il faut observer, à la lumière, de ce qui précède, que le succès de l'application du procède de duplication ici décrit dépend de la formation, à la surface imprimée et de la transmis- sion à la surface thermosensible. d'une configuration thermique à un niveau de température suffisant à provoquer un changement visible du papier de copie thermosensible. Un isolement soigneux du composé de l'original et du papier de copie, réalisé de manière à éviter toute perte de chaleur par le composé, u donc été anté- rieurement estimé très important pour produire des reproductions réussies des originaux graphiques par ce procède.
Chose surpre- nante, il a été à présent trouve que le commosé peut être tenu en contact étroit avec une surface très bonne conductrice de cha- leur, telle que celle du rouleau 13 lorsqu'il est fait d'acier ou d'aluminium poli, pendant l'irradiation et la formation de la copie, les copies produites ayant même une plus grande clarté et un plus grand contraste que ceux qui pouvaient être obtenus ante-.
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rieurement. On a trouvé, par exemple, que tout obscurcissement léger des régions du fond, qui peut se produire pour le .composé complètement isolé, est complètement supprimé.
Apparemment, le rouleau métallique conducteur de chaleur peut reprendre une quan- tité'suffisante de chaleur de ces régions pour maintenir-la tem- pérature du papier.de copie bien en-dessous du point requis pour produire ne fût-ce que le commencement d'un changement de couleur.
En même temps, l'intense radiation procure une abondance de cha- leur dans les régions du message qui sont encrées et absorbent la chaleur, et provoque une augmentation de la température dans ces régions à un degré suffisant pour procurer un changement visible complet dans le papier de copie. On estime que l'encre elle-même ,contribue à cette augmentation de la température en agissant en tant que non-conducteur de la chaleur. Mais, indépend nt de la théorie, l'observation a montré que des reproductions améliorées sont obtenues dans bien des cas en employant un rouleau 13 conduc- teur thermique, plutôt qu'un rouleau ayant une surface calorifu- gée. Toutefois, un rouleau ayant une conductivité thermique rédui-' te,tel. qu'un rouleau métallique couvert ou gainé de plastique, est utile dans certaines conditions.
Dans le système décrit, où il est rait usage d'un rouleau métallique 13, une source de radiation aple à procurer une énergie de radiation de très granle intensité est requise. Un système spé- cifique, qui a été trouvé utile, comprend une lampe "T-3" de la
General Electric Co. Cette source d'énergie consiste en un filament en boudin linéaire porté par des organes d'espacement convenables le long de l'axe d'un tube de quartz transparent ayant un diamè- tre externe de 3/8 de pouce. Le filament boudiné a un diamètre de 0,042 pouce et 10 pouces de longueur et consomme 1350 watts à
280 volts pour produire une température mesurée à la couleur d'en- viron 2800 K.
La lampe est située de manière que le filament se dispose à un point focal de la section transversale d'un réflec- teur elliptique ayant un grund axe de 0,8436 pouce et un petit axe
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de 0,7556 ponce et disposé cornue le motre le dessin. On cree une intensité de radiation suffisante, dans l'appareil décrit et avec un papier de copie sensible aux températures voisines de 90 ù 100 C, pour créer une reproduction claire et distincte d'une feuil- le 'entière de 11 poucesdactylographiée dans l'espace de deux se- condes, ce qui est un temps très court.
Bien que d'autres systèmes de guidage rie courroie soient connus, le système employant, un montage universel alternatif agissant sur un tambour de réglage, comme celai qui est icmi décrit et représenté, présente de nombreux avantages. On évite le bombe- ment des rouleaux et, de ce fait, la longueur de la courroie peut être constante sur toute sa largeur. Le léser mouvement alternatif - d'un côté à l'autre empêche l'usure localises de la courroie qui pourrait être autrement provoquée par des irrégularités de surface des rouleaux. L'exactitude de l'alignement des divers rouleaux a une importance moins critique que dans le cas contraire.
On présente donc une machine de thermocopie apte à pro- duire rapidement et presque entièrement automatiquement des ther- mocopies exceptionnellement claires et distinctes, sur un papier de copie thermosensible, d'originaax graphiques tels que les manus- crits dactylographiés
REVENDICATIONS.
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