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La présente invention se rapporte aux machines comptables et autres machines à calculer du même type et concerne plus particulièrement un méca- nisme de commande du mouvement des chariots mobiles de telles machines, dans le sens de tabulation direct et rétrograde.
Jusqu'à présent, lorsqu'on désirait commander manuellement le mouvement du chariot mobile, en particulier pour l'entraîner vers l'une ou l'autre de ses positions extrêmes, il est nécessaire de prévoir deux touches de commande séparées, par exemple une touche de @ tabulation" pour le mouvement direct de tabulation, et une touche de "retour" pour le mou- vement inverse.
Suivant l'objet de l'invention, le mécanisme de commande de tabula- tion pour un chariot mobile d'enregistrement d'une machine comptable, compor- tant des organes moteurs pour déplacer le chariot dans le sens direct et dans le sens rétrograde de commutation, un accouplement changeur de marche pla- cé entre les organes moteurs et le chariot mobile enregistreur, et un organe de freinage freinant normalement le mouvement dudit chariot dans un sens ou dans l'autre.
Le mécanisme est caractérisé en ce que l'organe de freina - ge est mis hors service par un organe de débrayage actionné par l'abaisse- ment partiel d'une touche de commande unique, par laquelle le chariot mo- bile enregistreur est libéré de façon à pouvoir être entraîne par les or- ganes moteurs dans le sens direct de tabulation, tandis qu'un,mécanisme agissant sur l'accouplement changeur de marche est mis en oeuvre par la touche de commande quand cette dernière est complètement abaissée, si bien que le chariot mobile enregistreur se trouve alors entraîné par les organes moteurs dans le sens rétrograde de tabulation.
On décrira maintenant les particularités ci-dessus, et d'autres caractéristiques subsidiaires de la présente invention ,dans leur applica- tion, à titre d'exemple seulement, à un mode de réalisation,illustré par le dessin annexé, dans lequel : fig. 1 est une vue en élévation, par l'avant de la machine, des mé- canismes d'entraînement et de commande du mouvement du chariot mobile dans les sens direct et rétrograde de tabulation. fig. 2 est une vue détaillée montrant la manière dont la barre d'échappement est reliée au bâti du chariot. fig. 3 est un détail des cliquets de débrayage du dispositif d'é- chappement, en position débrayée. fig 4 est un détail de la manette de commande du mouvement du cha- riot mobile aans les sens direct et rétrograde de tabulation. fig.
5 est une vue de détail du mécanisme de rappel à la position normale ou directe de tabulation, du mécanisme d'entraînement du chariot.
La machine sur laquelle peut s'appliquer l'invention, à titre d'exemple seulement, est d'un type bien connu, décrit en détail dans le Brevet Belgique N 486.157 et auquel on peut se rapporter pour l'explica- tion des parties mécaniques ne faisant pas partie du domaine de la prés en- te invention, et qui, pour cette raison, ne seront décrits ici qu'en ter- mes généraux.
La machine à laquelle on applique la présente invention est munie d'un chariot mobile comportant un bâti 25, dont un fragment est représenté à la fige 2, chariot monté de façon à permettre un déplacement transversal approprié sur la machine. Le chariot mobile est actionné par un moteur, soit dans le sens direct, soit dans le sens rétrograde de tabulation et, dans le présent exemple, on aprévu une transmission hydraulique pour relier le
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chariot mobile aux organes moteurs assurant son déplacement, ladite trans- mission étant normalement disposée de façon à pousser le chariot dans le sens direct de tabulation.
On a prévu un mécanisme de changement de marche, qui peut être mis en fonctionnement, soit manuellement, soit automatiquement de façon à obliger la transmission hydraulique à pousser le chariot dans le sens rétrograde de tabulation chaque fois que c'est nécessaire. On peut bien entendu, également appliquer tout aussi bien l'invention à une machine ayant un dispositif d'entraînement purement mécanique du chariot.
Au bâti 25 du chariot, susceptible d'être déplacé longitudinale- ment (fig. 2),sont reliées deux cornières 26 (figs. 2 et 3) dont une seule est représentée et, auxquelles est fixée une barre d'échappement 27, qui s'étend sensiblement sur toute la longueur du chariot mobile. Dans la surfa- ce arrière de cette barre d'espacement 27 est creusée une gorge 28, dans la- quelle sont engagés plusieurs galets 29, fixés au bord supérieur d'une pla- que 30, elle-même fixée au moyen de divers goujons et goupilles à une autre plaque 70, solidaire du bâti de la machine. Ces galets 29, en coopération avec le canal 28, supportent la partie avant du chariot mobile 25 pour le mouvement de déplacement horizontal.
Le bâti 25 supporte également, au voi- sinage de son bord postérieur, un rail tubulaire (non figuré qui coo- père avec des galets correspondants(non figurés) fixés au bâti de la machi- ne. Une cornière 31, (figo 1) faisant également partie du bâti du chariot mobile susceptible d'être déplacé, et s'étendant sensiblement sur toute sa longueur, porte à son bord inférieur replié, une crémaillère 32 d'entraîne- ment du chariot mobile, dont les dents sont en prise avec un engrenage-d' entraînement 33, fixé à l'extrémité supérieure d'un arbre vertical 34, tou- rillonné dans des plaques supérieure et inférieure 35,et 36, fixées respec- tivement à leur tour au bâti de la machine et à un boîtier renfermant le mécanisme de la transmission hydraulique.
Un pignon large 3'7 est fixé à la partie inférieure de l'arbre 34 et est en prise- avec un engrenage mobile 38 fixé sur un court arbre ver- tical 39 tourillJnné dans un coussinet 41 fixé à une cornière 42, elle-même fixée à la plaque 36. Un index de couplage 43 est également fixé à l'arbre
39 et disposé de façon à être couplé dans ses déplacements à un goujon 44 fixé à un pignon 45 tournant sur le coussinet 41.Le pignon 45 est en prise avec un engrenage 100 (fig.
1) fixé à un moyeu 101 pouvant tourner autour d'un arbre vertical 102 tourillonné dans le boîtier de la transmission hydraulique, la pièce d'entraînement d'une transmission hydraulique (non figurée), étant reliée à son extrémité inférieure, et l'autre extrémité du- dit arbre 102 étant reliée au moteur d'entraînement de la machine (non fi- guré) moteur du type à marche continue par exemple. Le moyeu 101 comporte un accouplement fixé par des tenons à l'extrémité supérieure d'un manchon
103 pouvant jouer librement sur l'arbre 102 et portant une pièce mue par accouplement (non figurée).
Les pièces d'accouplement sont immergées dans un fluide de transmission approprié permettant d'obtenir entre elles une connexion souple, d'où il résulte que le fonctionnement de la pièce d'entraî- nement fait que la pièce entraînés; l'engrenage 100 et l'engrenage 45 tournent à l'unission de façon à déplacer le chariot mobile dans le sens direct de tabulation, ou vers la gauche, en regardant la machine par l'avant (fig. 1). Un pignon fou (non figuré) ,connecté entre l'engrenage 100 et l'engrenage 47, force ce dernier à tourner en sens inverse de l'engrenage
45, de façon à déplacer le chariot mobile dans le sens rétrograde de ta- bulation, ou vers la droite en regardant la machine par l'avant.
Un collier de décalage 48 (Fig. 1) est fixé de manière réglable à l'extrémité supérieure de l'arbre 39 au moyen de deux écrous semblables
49, vissés sur l'extrémité supérieure duiit arbre. Dans une rainure du col- lier mobile 48 s'engagent des tiges de décalage 50 alignées axialement et
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fixées à des bras analogues 51 à leur tour fixés à un arbre 52. Une manivel- le 53, à laquelle l'une des extrémités d'un bras 54 est connectée sur pivot, est également fixée à l'arbre 52, l'autre extrémité dudit bras pivotant à l'extrémité inférieure d'un levier 55, à son tour monté de façon à être suscepti- ble de tourner, sur un goujon 56 fixé au bâti de la machine.
Dans une fente pratiquée dans un prolongement supérieur du levier 51, s'engage un goujon
57 porté par un bras 58 fixé sur un arbre 59 tourillonné dans bâti de la machine. Un bras 60 portant un goujon 61 est également fixé à l'arbre 59, et le goujon 61 traverse une ouverture 62 portée par un levier 63 monté, de façon à pouvoir pivoter, sur un goujon 64 fixé à la plaque 70. Un pro- longement 66 du levier 63 vers la gauche porte une languette 67 avec laquel- le il coopère, ladite languette étant recourbée vers l'intérieur à partir du bras droit du levier 68 se déplaçant librement sur un goujon 69 fixé entre les plaques 30 et 70.
La languette 67 du levier 68 (figs. 1 et 3) comporte des prolongements vers la gauche des cliquets d'échappement 71 et 72 munis de fentes simi- laires et coopère avec ces cliquets. Un goujon 73 fixé à la plaque 30 s'en- gage dans lesdites fentes, de façon à réaliser un montage dans lequel les cliquets permettant la rotation et un léger mouvement de translation. Les cliquets d'échappement 71 et 72, portent, sur des prolongements vers la droi- te, des dents dirigées vers le haut et coopérant avec une denture prévue sur le bord inférieur de la barre d'échappement 27, pour commander le mou- vement d'espacement des lettres et le mouvement ddrect de tabulation du chariot de tabulation.
Des cliquets amortisseurs 74 et 75 sont associés aux cliquets d'échappement, et peuvent jouer librement sur un tourillon 76 fixé dans la plaque 30, ces cliquets amortisseurs comportant uns dent dirigée vers le haut pour coopérer avec la denture portée par le bord inférieur de la barre d'é- chappement 27, de façon à supprimer tout rebondissement exagéré du chariot mobile dans son mouvement de tabulation dans le sens direct, d'une colonne à l'autre, et à commander le mouvement rétrograde de tabulation du chariot mobile. Des ressorts 77, tendus entre les cliquets d'échappement et les cliquets amortisseurs correspondants, poussent ceux-ci respectivement dans le sens senestrorsum et dans le sens dextrorsum, de façon à maintenir leurs dents engagées élastiquement dans celles de la barre d'échappement 27.
Un prolongement vers la droite 78 du levier 63 (fig. 1), est arti- culé à l'extrémité supérieure d'une courte tige d'assemblage 79, dont une portion, recourbée vers le bas, comporte une faute dans laquelle s'engage un goujon 80 (fig. 4) fixé à un levier 81 tounant en 82 sur le bâti prin- cipal de droite (non figuré) de la machine. L'extrémité de gauche du levier 81 est munie d'une tête de touche 83. Un ressort 84, tendu entre le goujon porté par le levier 81 et une butée 85 fixée au bâti principal de droite, pousse ce levier vers le haut pour en maintenir normalement une portion déterminée en contact avec la butée 85. L'abaissement du levier 81 est limi- té au moyen d'un téton 86 coopérant avec une butée 87 fixée au bâti prin- cipal de droite.
Un bras 89, fixé à l'arbre 59 (figs. 1 et 5) porte un goujon 90 s' engageant dans une fente prévue dans un levier inverseur 91 supporté par la plaque 70 et susceptible de se déplacer' par rapport à ladite plaque.
Ce levier 91 porte un goujon 92 autour duquel on fait tourner un bras 93 sol- licité par un ressort puissant 94 dans le sens senestrorsum. Ce ressort est tendu entrer bras 93 et un goujon de butée 95, de façon à obliger une queue prolongeant le bras 93 et dirigée vers le bas à s'engager élastiquement sur le goujon 90 et à le retenir dans la fente ouverte dans le levier 91, mû par le mécanisme normal de tabulation du chariot dans le sens rétrogra- de, comme on l'explique dans le Brevet sus-mentionné. Ainsi basculent le bras 89, l'arbre 59 et l'arbre 58 dans le sens senestrorsum ét de ce fait,
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le levier 55 pivote à son tour dans. le sens dextrorsum ce qui, par l'inter- médiaire de la bielle 54 imprime un mouvement de rotation dans le sens senestrorsum à la manivelle 53, à l'arbre 52, et aux bras 51.
Il en résulte que les tiges 50, en coopération avec le collier 48, déplacent vers le bas le collier, l'arbre 39, l'engrenage 38 et l'index d'accouplement 43, pour dégager celui-ci du goujon 44 et l'engager, avec le goujon 46 ,dans l'en- grenage 47, pour provoquer le mouvement du chariot de tabulation dans le sens rétrograde de tabulation, par l'intermédiaire de l'engrenage 47 de l'index d'accouplement 43, de l'engrenage 38, de l'engrenage 37, de l'ar- bre 34, de l'engrenage 33 et de la crémaillère 32 (fig. 1).
Quand le chariot mobile atteint la position de la colonne chois Le, en se déplaçant dans le sens rétrograde de tabulation, le levier 91 revient, de façon connue, à sa position normale, ce qui, par l'intermédiaire de 1' index élastique 93, entraîne le mouvement corrélatif du bras 89 et du mé- canisme annexe de manière à ramener l'index d'accouplement 43 vers le haut, sur le trajet du goujon 44 dans l'engrenage 45, si bien que le chariot mobi- le sera normalement forcé à se déplacer dans le sens direct de tabulation.
Le levier-touche 81 (fig. 4) s'abaisse en deux phases la première libérant le mécanisme d'échappement et permettant ainsi le mouvement du cha- riot mobile dans le sens direct de tabulation. La second phase de l'abais- sement de la touche 81, exige qu'on exerce une pression plus forte pour faire fonctionner le mécanisme de changement de marche, de manière à provo- quer le mouvement du chariot mobile dans le sens rétrograde de tabulation.
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Le goujon 61 (fig. 1) porté par le bras 60,peut coopérer avec un prolongement vers la droite d'un levier de changement de marche 86 pivotant sur un tourillon 97 porté par le levier 63. La première phase de l'abaisse- ment de la touche 81, par-l'intermédiaire de la tige d'assemblage 79 bascu- le le levier 63 dans le sens dextrorsum faisant pivoter à son tour le le- vier associé 68 dans le sens senestrorsum d'où il résulte que la languette 67 s'engage dans les prolongements des cliquets d'échappement 71 et 72 (figs.
1 et 3) et fait basculer ceux-ci dans le sens dextrorsum, dégageant ainsi leurs dents de celles de la barre d'échappement 27. Les prolongements vers la droite des cliquets 71 et 72, en coopération avec les prolongements vers la gauche correspondants des cliquets amortisseurs 74 et 75, font simulta- nément basculer ces cliquets dans le sens senestrorsum de façon à dégager leurs dents de celles de la barre d'échappement 27, à libérer cette barre et à permettre le mouvement du chariot mobile.
Le mouvement du levier 63 dans le sens dextrorsum provoque le mouvement contraire du levier de chan- gement de marche 96, en coopération avec le goujon 61 et par suite de l'iner- tie des pièces du mécanisme de tabulation, jusqu'à ce que le prolongement vers le bas 98 dudit levier, entre en contact avec le dessus du goujon car- ré 65, qui se prolonge à travers un orifice de dégagement prévu dans le le- vier 63, et est fixé à la plaque 70. A ce moment, l'opérateur sent la résis- tance offertepar le mécanisme de changement de marche, signalant ainsi la fin de la première phase du mouvement de la touche 81 et du levier 63. Com- me l'index d'accouplement 43 (fig. 1) est alors de nouveau sur le trajet du goujon 44, le chariot mobile se déplace dans le sens direct de tabula- tion.
Le relâchement de la pression du doigt sur la touche 81 permet au ressort 84 de la rappeler avec les pièces connexes, dans la position norma- le, obligeant à nouveau les cliquets d'échappement à s'engager dans les dents de la barre 27 de façon à mettre un terme au mouvement de tabulation du chariot mobile. Si l'on désire que le chariot mobile se déplace dans le sens rétrograde de tabulation, on imprime une pression supplémentaire à la touche 81 (figs.1 et 4) et ceci oblige le prolongement 98, en coopé- ration aveclla goujon 65, à faire basculer le levier 96 dans le sens dextror- sum par rapport au levier 63 qui, par l'intermédiaire du goujon 6',fait
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basculer le bras 60, l'arbre 59, le bras 58 et le bras 89 (fig. 5), dans le sens senestrorsum sous l'action du bras élastique 93 et du ressort 94.
Le mouvement senestrorsum du bras 58, par l'intermédaire du levier 55 et de la tige d'assemblage 54, fait basculer la manivelle 53, l'arbre 52 et les bras 51 dans le même sens de façon à déplacer l'index d'accouplement 43 vers le bas, de la façon expliquée ci-dessus, et à amener cet index sur le trajet du goujon d'entraînement 46 de l'engrenage 47. De la sorte, l'en- grenage entraîne le chariot mobile dans le sens rétrograde de tabulation quand on imprime un mouvement manuel de course maximum à la touche 81. Cette course maximum est terminée quand le prolongement 86 (fig. 4) de la touche
81 contacte le goujon 87.
Le relâchement de la pression imprimée à la touche 81 permet au ressort 84 de la ramener vers le haut dans sa position normale et, en même temps, le ressort 94 etle bras 93 ramènent l'arbre 59 et les pièces connexes dans leur position normale, comme le montre la fig 1 si bien que le chariot mobile est prêt à nouveau à se déplac'er dans le sens direct de tabulationo
Il y a une différence notable entreles pressions exigées pour faire passer la touche 81 dans ses deux positions successives, à cause de l'action du ressort 94, si bien que l'opérateur peut déterminer aisément à quel moment la première phase du mouvement est terminée.
Dans les deux phases de son mouvement, le levier-touche 81 doit être maintenu abaissé aussi longtemps que l'on désire que le chariot mobile se déplace soit dans le sens direct, soit dans le sens rétrograde de tabulation, du fait que, la pression instantanée appliquée à la touche 81 étant relâchée, les cli- quets d'échappement et d'amortissement se mettent en action de façon à terminer le mouvement du chariot, quelle que soit le sens de son déplacement.
On utilise plus commodément la touche 81 pour provoquer le mouve- ment du chariot mobile vers chacune de ses positions extrêmes.
REVENDICATIONS.
1. Mécanisme de commande de tabulation d'un chariot mobile d'enregis- trement d'une machine comptable, (Comportant les organes moteurs pour dépla- cer le chariot dans le sens direct ou dans le sens rétrograde de tabulation, un accouplement changeur de marche commandable entre les organes moteurs et le chariot mobile d'enregistrement, et un organe de freinage freinant normalement le mouvement dudit chariot dans un sens ou dans l'autre, mécanis- me ' 'caractérisé en ce que l'organe de freinage est mis hors service par un o.gane de débrayage mis en action par l'abaissement partiel d'une tou- che de commande unique, d'où il résulte que le chariot mobile enregistreur est libéré de façon à pouvoir être entraîné par les organes moteurs dans le sens direct de tabulation,
tandis qu'un mécanisme agissant sur l'accou- plement changeur de marche est mis en oeuvre par la touche de commande quand cette dernière est complètement abaissée, si bien que le chariot mobile en- registreur se trouve alors entraîné par les organes moteurs dans le sens rétrograde de tabulation.