BE533307A - - Google Patents

Description

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   La présente invention se rapporte à une machine destinée à fermer de façon étanche des emballages et à y faire le vide et plus particulièrement pour fermer en y faisant le vide des sachets ou sacs en matière souple contenant des produits alimentaires ou des produits analogues, présentant des orifices plats et formés par une matière pouvant être fermée de façon étanche par la chaleur, cette machine pou- vant être utilisée si désiré simplement pour la fermeture des embal- lages et comportant un dispositif de fermeture utilisable dans le cas de sachets, sacs ou autres emballages présentant on orifice pouvant être fermé de façon étanche par la chaleur, ce dispositif étant utili- sable en particulier quand cet orifice peut   Atre   mouillé,

   le dispo- sitif de fermeture par la chaleur pouvant être appliqué à une gamme d'utilisations importantes chaque fois qu'une fermeture à chaud est nécessaire. 



   L'un des buts de l'invention est de permettre la réalisation d'une pareille machine ayant un grand rendement et pouvant être commandée aisément par un ouvrier relativement peu spécialisé, qui puis- se être utilisée pour l'emballage de produits humides contenant une petite quantité de liquide, de même que pour des produits secs, et qui constitue d'une façon générale une machine parfaitement adaptée en vue d'une utilisation industrielle pour l'emballage de produits dans des sachets ou sacs pouvant être fermés à chaud. 



   La plupart des principes sur lesquels repose l'invention sont aisément applicables à la fermeture   d'emballages   ou de récipients d'autres types, dans lesquels on fait le vide, y compris au besoin des récipients ou emballages rigides. On tiendra compte de cette particularité au cours de la description qui va suivre. 



   Les dessins annexés donnés à titre d'exemple non limitatif et montrant un mode de réalisation d'une machine servant à fermer en y faisant le vide des emballages pouvant être constitués par exemple par des sachets ou sacs en matière souple contenant des produits alimentaires ainsi qu'une petite quantité de liquide et comportant des orifices pouvant être fermés à chaud permettront de mieux comprendre cette invention. 



   La fig. 1 est une vue de face de la machine. 



   La fig. 2 en est une vue de profil. 



   La fig. 3 en est une vue de l'arrière. 



   La fig.4 est une vue du dessus. 



   La fig. 5 est une vue en coupe partielle de détail, par la ligne 5-5 en   fig.     6.   



   La fig. 6 est une vue en coupe partielle de détail par la ligne 6-6 en fig.2. 



   La fig. 7 est une vue d'extrémité par la ligne 7-7 en fig. 6. 



   La fig. 8 est une vue en coupe verticale par la ligne   8-8   en   fig.     2.   



   La fig. 9 est une vue en coupe verticale par la ligne 9-9 en fig.   8.   



   La fig. 10 est une vue en coupe transversale par la   igne   10-10 en fig. 9. 



   La fig. 11 est une vue de l'arrière correspondant à la   fig.10.   



   La fig. 12 est une vue en coupe par la ligne 12-12 en fig.8. 



   La fig. 13 est une vue en coupe transversale, sensiblement par la ligne 13-13 en figo 9. 

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   La fig. 14 est une vue en coupe par la ligne   14-14   en   fig.13.   



   La fig. 15 est une vue en coupe par la ligne   15-15,   15a-15a en   fig.   14. 



   La figo 16 est une vue d'extrémité par la ligne 16-16 de la fig. 17, avec partie en coupe par la ligne   16a-16a   de cette figure. 



   La fig. 17 est une vue de détail avec coupe par la ligne 17- 17 en fig.9. 



   La fig. 18 est une vue en coupe transversale par la ligne 18-18 en   fig -    4.   



   La fige 19 est une vue du dessus correspondant à la fig, 18. 



   La fige 20 montre schématiquement en développement linéaire les différentes cames de la machine. 



   La machine représentée est une machine double c'est-à-dire comportant deux mécanismes servant à fermer les emballages en y faisant le vide. Pour plus de simplicité, la description qui va suivre se rapporte seulement à l'un de ces mécanismes, sauf quand il est nécessaire de se reporter aux deux. On comprendra que les deux mécanismes sont exactement identiques, sauf que dans certains cas la position des organes est inversée., 
Des pieds 1 supportent un carter creux 2 sur lequel est montée une table inclinée   3   disposée à une hauteur convenable pour recevoir les emballages, qui sont placés sur cette table par un ouvrier se tenant debout en face de la machine. Une plate-forme 4 est montée transversalement à la partie supérieure de la table   3 à   une certaine distance au-dessus du bord inférieur de celle-ci.

   Cette plate-forme 4 est également inclinée, mais selon une déclivité inférieure à celle de la face supérieure de la table 3, de sorte que le bord inférieur de cette plate-forme se trouve écarté d'une certaine distance au-dessus de la face supérieure de la table 3. La plate-forme constitue un support pour l'orifice de   l'un   des emballages 2. quand celui-ci est posé sur la face supérieure de la table   3.,   son orifice surmontant la plate-forme 4. Cet agencement présente l'avantage que l'ouvrier doit déformer nécessairement l'orifice du sac ou sachet pour l'adapter sur la   plate-forme   4, cette déformation étant angulaire par rapport au corps de   1'emballage   et tendant à lisser ou aplatir les deux parois de l'emballage qui délimitent cet orifice.

   Un support 6 peut être monté amoviblement sur la face supérieure de la table   3,   en dessous de la   plate-fôrme   4, de manière à maintenir l'emballage, la hauteur du support 6 étant fonction de l'épaisseur de   l'emballage 2.   et des produits alimentaires ou autres qu'il renferme. 



   La plate-forme 4 supporte une semelle élastique 7 et des boutons de pression 8   animés-d'un   mouvement de   va-et-vient   transversal, ces organes étant disposés parallèlement les uns aux autres de façon que l'orifice de l'emballage puisse leur être superposé. Deux trous   d'aspiration   servant au maintien de l'emballage traversant la plateforme 4 et la semelle   7,   de façon que l'aspiration exercée par ces trous.2 maintienne en place l'orifice de l'emballage une fois que celui-ci a été placé dans la position indiquée.

   L'inclinaison de la face supérieure de la table 3 et par suite de celle du support 6 est suffisante pour que les emballages glissent vers le bas sous l'effet de la pesanteur à l'écart de cette table, et le dispositif de maintien par aspiration précité permet à l'ouvrier la mise en place de l'emballage, qui est ensuite maintenu par ce dispositif . L'interruption de l'effet d'aspiration libère l'emballage, qui glisse automatiquement vers le bas à l'écart de la table. 

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   Au-dessus de la plate-forme 4' la table 3 porte un palier
10 qui est incliné angulairement vers l'avant par rapport à la machine et dans lequel est montée de manière à pouvoir se déplacer en un mouvement de   va-et-vient .une   monture   tubulàire     11.   La partie supérieure de cette monture fait saillie au-dessus de la table 3 et supporte de façon rigide un flasque 12 qui surplombe la plate-forme 4. 



   Ce flasque sert au montage d'un dispositif 13 placé au-dessus des boutons 8 et formant des glissières qui s'étendent diagonalement vers l'intérieur depuis les extrémités de la plate-forme 4. Des bras de pression 14 sont montés à coulissement dans chacune de ces glissières et portent à leurs extrémités inférieures des têtes 15 qui viennent prendre appui contre la partie du sac voisine de l'orifice et disposée au-dessus des boutons 8 et qui s'écartent progressivement l'un de l'autre quand le flasque 12 se déplace vers le bas avec la monture tubulaire 11.

   Ces bras 14 sont sollicités vers le bas par des ressorts   16   par rapport au dispositif 13, et une fois qu'ils ont été déplacés vers le haut comme indiqué précédemment, ils sont empêchés de redescendre pendant le mouvement vers le haut du dispositif par un verrou 17 conjugué à une détente 18 quilors de son actionnement, permet aux bras   d'être   déplacés'élastiquement vers le bas. Cet agencement a pour but de faire disparaître les faux plis de la partie supérieure de l'emballage avant sa fermeture et, après celle-ci, d'empêcher cette partie supérieure   d'onduler,   ce qui se produirait quand le dispositif 13 se déplace vers le haut après la fermeture. On décrira plus loin le mode de commande de la détente 18. 



   Le flasque 12 supporte le dispositif 13 par une potence 19 qui maintient également une barre de fermeture à chaud 20 disposée derrière le dispositif 13. On comprendra que les emballages présentent des orifices pouvant être fermés par la chaleur sur leur face interne, la fermeture pouvant être effectuée par des organes agissant à chaud.

   La barre 20 porte à chacune de ses extrémités des vis 21 dirigées vers le haut et traversant des trous ménagés dans les   extré-   mités de la   potence 19,   les vis 21 passant librement à travers ces trous, Des ressorts 22 travaillent à la compression et interposés entre les têtes des   vis 21   et la face supérieure de la potence 19 sollicitent continuellement, de façon élastique, la barre de fermeture   à,   chaud 20 vers cette potence, et la potence 19 et la barre 20 présentent toutes deux en leur centre des logements recevant une bille 23, de sorte que la barre de fermeture   20   peut se déplacer en un mouvement universel d'amplitude limitée par rapport à la potence 19. 



   Comme décrit ci-avant, des organes sont prévus pour tendre la partie voisine de l'orifice de l'emballage transversalement ou pour en faire disparaître les faux plis et pour fermer à chaud cet   orifice.   Comme indiqué précédemment, on doit d'abord faire le vide dans cet emballage. 



   Ce résultat est obtenu grâce à un capot   24   dont   l'extrémi-   té arrière est articulée sur la partie supérieure de la table 3 par des   pivots 2!5,   ce capot 24 étant conformé de manière à entourer sensiblement la partie supérieure de la monture tubulaire 11, son flasque 12, et les organes portés par celui-ci, même pendant la mouvement versle haut ou vers le bas de cette monture, et à entourer également la partie de la table 3 supportant   l'emballage 2   et le support 6 placé sous celui-ci. Ce capot   24   a un fond ouvert et porte un joint d'étanchéité marginal 26 qui vient reposer en réalisant sensiblement l'étanchéité à l'air sur la face supérieure de la table 3 quand il est rabattu vers le bas et fermé.

   Quand le capot est soulevé ou ouvert par pivotement vers le haut sur ses pivots 25, l'ouvrier dispose d'une liberté totale pour placer l'emballage de la manière décrite. 

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   Quand on abaisse le capot et qu'on réalise une aspiration à l'intérieur de celui-ci, ledit capot est appliqué étroitement sur la table par la pression atmosphérique. Pour permettre au joint 26 de réaliser une étanchéité convenable, les pivots 25 se présentent sous la forme d'axes fixés sur le capot 24 et engagés dans des orifices allongés 27 ménagés dans les flasques 28 portés par la table. 



  Ces orifices 27 présentent un axe longitudinal perpendiculaire à la table, de manière à permettre non seulement au capot de s'appliquer de façon convenable sur cette table, mais aussi d'être soulevé verticalement sur une courte distance avant de pivoter quand un effort de relevage est exercé sur ce   capoto   Ceci permet au joint d'être écarté de la table sans glissement relatif entre ce joint et la table, ce qui provoquerait une usure progressive du joint. 



   Le capot 24 se ferme sous l'effet de la pesanteur et il est ouvert par le déplacenent vers le haut de la monture tubulaire   11,   le flasque   12   supportant un gale; 29 et le capot 24 présentant une butée 30 coopérant avec ce galet 29de façon que la capot soit relevé lors du déplacement vers le haut de la monture tubulaire.

   Les positions du galet 29 et de la butée 30 sont telles que quand la monture tubulaire se déplace vers le   bas,.elle   permet au capot de se fermer complètement avant que cette monture n'atteigne sa position limite inférieure, ce qui permet à la monture de continuer son déplacement vers le bas pour actionner les têtes de pression 15 venant coopérer avec la partie voisine de l'orifice de l'emballage sensiblement au moment où le capot se ferme complètement, et pour ensuite déplacer la barre de fermeture à chaud vers le bas, afin de fermer à chaud cet orifice
La monture tubulaire   11   sert de conduit pour faire le vide à l'intérieur du capot 24 ou pour y faire entrer l'air de nouveau, c'est-à-dire l'aérer. Le terme "aérer" est utilisé pour indiquer que l'élément correspondant est mis en communication avec l'atmosphère. 



  La monture sert également de guide pour des conduits 31 fournissant la chaleur à la barre de fermeture 20. Cette monture tubulaire   11   présente une paroi d'obturation 32 sur sa longueur, de manière à délimiter un conduit communiquant au-dessus de ladite paroi avec l'intérieur du capot. Des lumières 33 sont ménagées dans la paroi latérale de la monture tubulaire   11   au-dessus de cette paroi d'obturation 32, et cette partie de la monture tubulaire   11   est entourée par un collecteur 34 à travers lequel la monture'tubulaire   11   peut coulisser d'une manière sensiblement étanche à   l'air.   



   L'étanchéité est assurée par un joint unique lla qui est adapté autour de la monture 11 directement à la partie inférieure du collecteur   34,   lequel forme un ensemble fermé relié directement à la face inférieure de la table 3. Ainsi, ce joint unique assure l'étan-   chéisation   de tous les organes mobiles en communication avec l'intérieur du capot quand celui-ci est'abaissé sur la table, tout au moins en ce qui concerne les organes servant à ouvrir le capot et à actionner les éléments montés à l'intérieur de celui-ci. 



   Le collecteur 34 forme une portion d'un carter de vanné et il fait communiquer l'intérieur de la monture tubulaire avec un conduit d'aspiration principal 35, par l'intérmédiaire d'un siège 36 fermé par un clapet 37 qui est sollicité vers sa position de fermeture par un ressort 38 travaillant à la compression. Le clapet 37 porte une tige 39 qui fait saillie vers l'avant de la machine, à l'extérieur du collecteur 34. Le collecteur peut être mis en communication avec   l'atmosphère,   car il présente à l'arrière un orifice muni d'un siège 40, fermé par un clapet 41 sollicité vers sa position de fermeture par un ressort 42 travaillant à la compression.

   Ce clapet 

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41 porte égalament une tige 43 qui s'étend vers l'avant à travers le carter et qui est sensiblement parallèle à la tige 39, cette tige 43 faisant saillie à l'avant du carter de le même façon que l'extrémité exerne de la tige 39. 



   On a indiqué précédemment que l'aspiration s'effectuait par des trous 2 servant à maintenir l'emballage sur la table. Ces trous 9 sont reliés à un conduit 44 qui est mis en communication à travers le carter de vanne avec un conduit 45 relié à une source d'aspiration four- nissant toutefois un vide qui n'est pas aussi poussé que celui fourni par la source avec laquelle le conduit principal 35 communique. La liai- son entre les conduits   44   et 45 est assurée par un siège   46   fermé par un clapet 47 qui est sollicité vers sa position de fermeture par un ressort 48 travaillant à la compression.

   Ce clapet 47 porte également une tige d'actionnement 49 s'étendant vers l'avant à travers le carter de vanne et sensiblement parallèle aux tiges 39 et   43.   Ainsi, trois tiges font saillie vers l'avant et, quand on exerce une pression sur l'une d'entre elles, le clapet associé est ouvert, 
Comme indiqué précédemment, on a considéré simplement dans la description l'un de deux mécanismes identiques. On remarquera que le dispositif de vanne qui vient d'être décrit est raccordé par ses deux parties au même conduit d'aspiration principal 35, et que les deux conduits   ¯45. peuvent   être également réunis en vue de leur raccordement à une source commune de vide de   maintieno   Ainsi, les deux mécanismes sont commandés dans chaque cas à partir de sources d'aspiration uniques. 



   Les tiges de clapet décrites sont associées chacune à un culbuteur d'actionnement 50, 51   et.52.   Ces culbuteurs sont montés à pivotement sur l'arbre 53, qui est monté transversalement à l'intérieur du carter 2. Le culbuteur 50 attaque la tige 39, le culbuteur 51 la tige 43 et le culbuteur 52 la tige 49. Ces culbuteurs sont disposés d'une façon générale verticalement, leurs extrémités supérieures venant porter sur les diverses tiges des clapets et leurs extrémités inférieures s'étendant sur une distance notable au-dessous de l'arbre 53. Chacune de ces extrémités inférieures est actionnée par une came rotative. Ainsi, une came 54 vient attaquer l'extrémité inférieure du culbuteur 50, une came 55 le culbuteur 51, et une   came ±   le culbuteur 52.

   Ces cames sont calées sur un arbre 57 qui est tourillonné entre les parois du carter 2 à l'intérieur de celui-ci, et cet arbre à cames est entraîné par une commande par chaîne et roue   dentée 58   le reliant à un moteur électrique 59 par l'intermédiaire d'un réducteur de vitesse approprié. 



  Cet arbre à cames porte également une came 60 munie d'une rainure 61   @   dans laquelle se déplace un galet   palpeur 62,  ce galet étant   monté   sur une extrémité d'un levier 63 dont l'autre extrémité est articulée sur l'arbre 53. Ce levier comporte un prolongement 64 portant un galet 65 venant attaquer une butée 66 prévue sur un flasque 67, 
Ce flasque 67 est rendu solidaire de l'extrémité inférieure de la monture tubulaire 11, de sorte que lors du soulèvement du galet 65 par la rainure   61,   la monture est déplacée vers le haut et vers le bas, son déplacement vers le bas étant assuré à la fois sous l'effet de la pesanteur et par le fait que le flasque 67 est relié au prolongement 64 par un ressort 68 travaillant à la traction. 



   Si l'on se reporte de nouveau au carter de vanne, on remarquera que le conduit 44 en communication avec les trous 2 est relié non seulement aux conduits 45, mais aussi avec l'intérieur du carter, qui est en communication avec l'atmosphère quand le clapet 41 est ouvert. 



  Cette communication est assurée par un conduit de faible longueur 69, qui relie le conduit 44 à la tige 43, cette dernière présentant une fente 70 coopérant avec un guide 71 servant de vanne. L'agencement est tel 

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 quepeu avant l'ouverture du clapet 41, le conduit 44 soit mis en communication par la fente 70 avec le carter de vanne, qui communique alors lui-même avec   l'atmosphère,,   
La mise en marche et l'arrêt de la machine sont commandés par un arbre à commande manuelle   72   traversant les parois du carter 2 et portant à l'extérieur un levier de commande 73a.

   Cet arbre 72 peut être amené par rotation dans l'une ou l'autre de deux positions déterminées par un taquet rectangulaire 74 calé sur l'arbre 72 et monté à pivotement sur une biellette recourbée 75 dont l'arbre extrémité est reliée à un ressort 76 travaillant à la traction et fixé de façon appropriée. 



  La biellette 75 est reliée au   taquet   74 par un axe de pivotement 77 disposé de manière à passer par une position formant un point mort quand   l'arbre   est déplacé partiellement pour être amené dans l'une ou l'autre de ces deux positions,le ressort 76 amenant alors brusquement cet arbre dans l'une de ces deux positions et l'y maintenant. L'axe de pivotement 77 forme un prolongement extérieur, de sorte que quand l'arbre 72 est amené dans l'une de ses positions extrêmes, cet axe 77 vient attaquer le bras de commande 78 d'un commutateur limiteur 79. Le montage de ce commutateur peut être étudié de manière à assurer la commande du moteur 59 pour la mise en marche ou l'arrêt de ce dernier, et il peut commander également les moteurs nécessaires pour faire le vide ou pour chauffer la barre de fermeture à chaud si désiré.

   Quand l'arbre 72 est amené dans son autre position extrême, les cames 73 portées par cet arbre viennent attaquer des prolongements 74 de chacun des flasques 67, de manière à maintenir chacune des montures tubulaires   11   soulevées suffisamment pour que les barres de fermeture à chaud 20 soient écartées des semelles 7. Habituellement, chaque semelle 7 est en une matière élastique qui peut être endommagée si elle est comprimée de façon continue tout en étant chauffée par la barre 20 pendant un laps de temps notableo On évite cet endommagement par l'agencement décrit. 



   Les profils des différentes cames sont représentés sur la fig. 



  20. La ligne 6la montre le profil de la rainure 61. On voit que pendant la rotation de la came   60,   le capot est tout d'abord ouvert, puis fermé.lorsque la monture 11 s'est déplacée vers le bas d'une amplitude suf-   fisante.   Après un certain laps de temps, la monture poursuit son déplacement vers le bas pour assurer l'actionnement des têtes ou doigts d'étalement et de la barre.de fermeture à chaude La courbe   54a montre   l'action de la came 54, qui agit pour soulever le clapet   37   pendant que le capot 24 est fermé et avant la fermeture à chaud de   l'emballage.   La ligne 55a montre l'action de la came 55, qui permet la fermeture du clapet 41 depuis l'ouverture du capot 24 jusqu'après la fermeture à chaud de l'emballage,

   le clapet d'aération 41 étant ouvert aux autres moments pour permettre   1 ouverture   du capot 24. Comme   explique   précédemment, les trous   d'aspiration   pour le maintien de l'emballage sont mis en communication avec l'atmosphère après l'ouverture du clapet 41. Habituellement, cette mise en communication libère l'emballage, de sorte que celui-ci peut glisser vers le bas. Mais on peut concevoir si désiré un agencement permettant d'envoyer de l'air comprimé vers l'arrière à travers les trous 9 au moment approprié, quand l'emballage doit être libéré.

   La ligne 56a montre l'action de la came 56, qui ouvre le clapet 47 peu après la fermeture du clapet 41 et le maintient ouvert environ jusqu'à l'ouverture du clapet d'aspiration principal   37,   la came 56 permettant alors la fermeture du clapet 47.  Cette   action est désirable car l'aspiration principale est normalement plus forte que celle utilisée pour le maintien de l'emballage, car la source d'aspiration principale prélèverait de l'air à la source d'aspiration de maintien, si la communication entre les deux n'était pas interrompue de la   matiè-   re indiquée, 

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La machine représentée est du type double et comprend deux capots. Les cames associées à un capot sont déplacées   angulairement   de 180  par rapport aux cames de l'autre capot.

   Les capots s'ouvrent et se ferment alternativement, tandis qu'un effet d'aspiraton et d'é- banchéisation est   exercé'alternativement   dans les deux capots. 



   Les détails décrits pour un seul capot sont avantageux dans le cas d'une machine double, en particulier quand les deux capots et les deux jeux de trous ou de lumières de maintien sont reliés à une seule source d'aspiration principale et à une seule source d'aspira- tion de maintien. Par exemple, quand le clapet d'aspiration   princi-   pal 37 de l'un des capots en position fermée est ouvert, les lumières de maintien de ce capot fermé sont séparées des lumières de maintien de l'autre capot étant donné que le clapet 47 du capot fermé oecupe alors sa position de fermeture. Par suite, le vide poussé obtenu dans le capot fermé ne peut exercer un effet d'aspiration par suite d'une communication entre les deux conduits 45 reliés à la même source d'as- piration de maintien.

   Etant donné que chaque capot subit une période d'aspiration sensiblement égale à la moitié de la durée de son cycle, une durée d'aspiration maximum peut ainsi être obtenue alors que la source d'aspiration principale n'est reliée qu'à un seul capot à la fois, de manière à éviter l'aspiration importante qui est requise quand plu- sieurs capots sont reliés à la source de façon telle que les durées d'aspiration se chevauchent partiellement. 



   On comprendra maintenant que l'agencement de chacun des ap- pareils décrits a été étudié en vue de permettre leur combinaison ai- sée pour   l'obtention   d'une machine double présentant les nombreux a- vantages pratiques précités. 



   Comme montré, un transporteur continu   80   peut être prévu de manière à amener des emballages remplis mais non fermés à l'un ou l' autre de deux ouvriers se tenant debout devant la machine. Il est pos- sible à un ouvrier d'alimenter les deux capots. L'ouvrier prélève l'un des emballages amenés par le transporteur 80 et place cet emballage sur la table 3 en dessous del'un des capots, qui est alors ouvert. 



  L'orifice de l'emballage est tendu alors de manière à l'aplatir, et il est disposé angulairement par rapport au reste de l'emballage, ce qui aplatit encore cet orifice, la partie voisine dudit orifice re- posant sur la plate-forme 4 et sur les semelles 3 et 8. L'aspiration exercée par les trous 2 retient cette partie voisine de l'orifice, de sorte que l'ouvrier peut retirer rapidement ses mains quand le ca- pot commence à se fermer. Juste avant que ce capot ne soit complète- ment fermé, les têtes 12 viennent légèrement au contact de la partie voisine de l'orifice, de manière à maintenir l'emballage sur la table inclinée quand l'aspiration de maintien est interrompue par la ferme- ture du clapet 47.

   Le clapet 37 s'ouvre alors, de sorte que le vide est créé dans l'emballage et sous le capot, puis on ferme le capot 24 et, sous l'effet de la rainure 61, l'ensemble 13 et la barre de fer- meture à chaud 20 sont déplacés vers le bas. Pendant ce déplacement vers le bas la partie voisine de l'orifice de l'emballage est   lissée'--   et tendue transversalement, après quoi la barre de fermeture à chaud descend   complètement.   Le galet 65 et la butée   66   sont disposés de ma- nière à s'écarter pendant le stade de fermeture à chaud final, de sorte   que la barre ¯de fermeture à chaud est tirée vers le bas par la tension durressort 68 qui maintient---normalement le galet 65 en contact avec la   butée 66.

   La came 55 ouvre le clapet   41,  de sorte que le capoo commence à être mis en communication avec làatmosphère, la pression croissante comprimant les parois de l'emballage l'une vers   l'autre;   en particulier les parties voisines de   l'orifice, .de   manière à réduire   toute*tendance   de cet orifice à s'ouvrir quand la barre de fermeture est 

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 rappelée vers le haut et que la fermeture étanche réalisée est encore peu résistante.

   La rainure   61   soulève ensuite la monture 11 de manière à relever la barre de fermeture à chaud   20'et   l'ensemble 13, les bras 14 demeurant à ce moment verrouillés dans leur position supérieu-   re.   Peu   apès'   le galet 29 vient coopérer avec la butée 30 et soulève le capot, le clapet d'aspiration principal 37 ayant été fermé au préalable et le clapet de mise en communication avec l'atmosphère 41 ayant été ouvert. L'ouverture du clapet 41 met également à l'atmosphère les trous de maintien par aspiration 9, de sorte que l'emballage est libéré et glisse vers le bas sur la table.

   Une goulotte 81 peut être prévue pour diriger l'emballage fermé de façon étanche et dans lequel on a fait le vide vers un transporteur 82 qui entraîne l'emballage résultant à l'écart de la machine.La vitesse avec laquelle les deux capots effectuant un cycle complet d'opérations peut être   étudiée   pour permettre à un seul ouvrier de travailler de façon continue en vue de l'alimentation de la machine en emballage, l'ouvrier devant introduire constamment un emballage dans un capot ouvert. 



   Dans le cas où l'un des capots 24 se referme sur les mains de l'ouvrier, il n'en résulte aucun accident étant donné que ce capot est   d'un   poids relativement réduit et ne se ferme que sous l'effet de la pesanteur o Aucune aspiration ne peut être déclenchée dans le capot tant que celui-ci demeure ouvert. Tout accident survenant aux mains de l'ouvrier par suite de l'abaissement de la barre de fermeture à chaud 20 est empêché par une butée 83qui est reliée au flasque 12 commandant le mouvement de la barre de fermeture à chaud 20.   Getté   butée est maintenue relevée par un levier 84 qui est articulé sur la table 3 et qui est soumis à la sollicitation d'un ressort 85 de manière à venir s'enclencher sous la butée 83 quand le capot 24 est ouvert. 



  Ce capot porte une lame-ressort 86 qui vient porter contre un axe 87 fixé sur le levier 84 de manièreà faire basculer ce levier   84   à l'écart du trajet de la butée 83 pendant sa descente quand le capot 24 est sensiblement fermé. 



   La table inclinée 3 présente un avantage particulier pour l'emballage de produits alimentaires ou d'autres produits contenant au moins une certaine quantité de   liquidé,-Cette-inclinaison   permet   à..   un emballage contenant du liquide d'occuper constamment une position telle que le liquide ne soit pas en contact avec la face interne de la partie voisine de l'orifice devant être fermé à chaud. 



   Lors du conditionnement de produits.contenant un liquide, il n'est pas possible toutefois d'empêcher complètement ce liquide ou l'humidité d'atteindre la zone de fermeture à chaud de l'orifice de l'emballage. La machine représentée réduit les difficultés qui en résultent en donnant à la partie supérieure de la semelle 7 recevant la barre de fermeture une forme légèrement convexe dans une direction transversale; de façon que quand la barre de fermeture à chaud s'applique sur cette semelle le liquide soit repoussé à l'écart de la zone de fermeture à   chaud.   Même dans ce cas, une certaine humidité peut demeurer, et il est nécessaire de provoquer son évaporation pour permettre la fermeture à chaud. 



   Jusqu'ici, les machines de fermeture à chaud utilisaient habituellement des barres deffermeture chauffées par une résistance électrique. L'énergie électrique est commandée par un thermostat, de manière à maintenir la barre à la température désirée. Il en résulte cet inconvénient que, quand il faut fournie une quantité de chaleur additionnelle pour provoquer la vaporisation de l'humidité dans la zone de fermeture à chaud, la source de chaleur ne peut plus, pour des raisons pratiques, maintenir une température continue et uniforme. 

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   Cette difficulté est due aux exigences variables à la fois sur la lon- gueur de la surface de fermeture à chaud et localement en des   zonps   parfois imprévisibles de cette longueur, et même entre les limites pourtant étroites définissant le largeur de ladite surface. Les mêmes difficultés peuvent également se présenter quand la zone de fermetu- re à chaud est sèche. 



   Dans le cas de la machine, objet de l'invention, la barre de fermeture à chaud   20   est en métal et elle présente intérieurement un canal   88   qui s'étend sur toute la longueur de cette barre et dont le diamètre peut être aussi grand que possible. Ce canal est aussi voi- sin que possible de la surface de fermeture à chaud de la barre et il correspond à cette surface, de façon qu'il existe une séparation minimum entre le liquide de chauffage et la surface de fermeture à chaud. 



  Il reçoit de façon continue et avec un débit élevé du liquide maintenu à une température suffisamment supérieure à la   ,température   de fermeture à chaud pour compenser la chute de température qui se produit nécessairement et fourni par une source de liquide chaud de volume relativement grand. Ce liquide est maintenu à la température nécessaire en tenant compte de toutes les pertes thermiques afférentes. On utilise à cet effet une huile appropriée. Le débit élevé en huile de chauffage maintient la barre de fermeture à chaud à la température de fermeture appropriée, sensiblement sans variations dues à la chaleur requise pour évaporer l'humidité ou à toute autre condition variable avant que la fermeture à chaud ne puisse s'effectuer.

   Dans des condiditions de travail normales, il est impossible en pratique que l'humidité de la zone de fermeture à chaud abaisse de façon notable la température appropriée de la barre de fermeture à chaud. Par suite, la machine objet de l'invention est particulièrement avantageuse quand on l'utilise pour fermer à chaud des emballages contenant des produits humides ou de petites quantités de liquides comme cela est le cas par exemple pour des produits de conserves   imprégnée,,,   de saumure. Les autres problèmes exigeant des quantités de chaleur variables et en soi importantes sont également résolus. 



   L'huile chaude est amenée à la barre de fermeture à chaud par les conduits 31, qui s'étendent vers le bas à travers la partie médiane de la monture tubulaire 11 et qui sont reliés à la barre de fermeture à chaud par des portions en cols de cygnes 90. L'extrémité de ces portions est raccordée directement à la barre de fermeture à chaud 20 (qui se déplace avec la monture 11) dans une position médiane parrapport à la partie supérieure de cette monture. Les conduits 31 sont reliés à cette dernière par une monture élastique 91 qui forme une lame-ressort agissant dans le plan des cols de cygnes 90, de façon que ces derniers puissent se dilater et se contracter   t ansver-   salement, la monture 91 empêchant tout autre déplacement.

   Les conduits 31 se prolongent vers le bas à l'intérieur de la monture 11 et traversent le couvercle 32, sur lequel ils sont fixés. Ce couvercle 32 est constitué par un élément de fermeture en forme de piston qui peut se déplacer légèrement vers le haut et vers le bas à l'intérieur de la monture tubulaire   11   afin d'absorber toute dilatation et contraction thermique ou autre des conduits 31.

   Les extrémités inférieures des conduits 31 se terminent par un élément 92 relié à des conduits souples 93 aboutissant aux lumière d'alimentation et de retour d'un réchauffeur de liquide approprié   équipé   d'une pompe assurant une circulation forcée du liquide chaud, Le réchauffeur de liquide doit avoir une capacité suffisante pour assurer un écoulement rapide et uniforme de liquide ayant la température 1 nécessaire pour la fermeture à chaud quand il est amené au système aboutissant à la barre de fermeture à   chaude   

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En bref, on notera que le palier 10 et le collecteur ou carter de vanne sont groupés en un ensemble ramassé disposé légèrement en dessous de la vanne supérieure de la table,

   de sorte que les conduits par lesquels l'air doit être aspiré sont   toujours   très courts et   d'un   agencement ramassée Tous les organes de la   machine   sont relativement accessibles* L'arrière du carter de vanne peut être démontable comme montré, et une fois ouvert tous les clapets sont aisément accessibles par l'arrière de la machine. 



   On remarquera également que la forme convexe de la semelle coopérant avec la barre assure une fermeture à chaud satisfaisante même si cette barre est légèrement inclinée transversalement par rapport à la semelle. Par ailleurs, les conduits en cols de cygnes décrits et la monture flexible 91   enrobent   que la dilatation et la contraction thermiques des conduits n'écartant notablement la barre de fermeture à chaud montée de façon universelle de sa position   -convenable ,   En d'autres termes, les conduits peuvent se déformer, tandis que la barre de fermeture à chaud demeure dans la même positions Une inclinaison longitudinale de la barre de fermeture à chaud est également permise car les portions de conduits en cols de cygnes peuvent être raccordées de façon pivotante à la monture 91;

  les tronçons de conduits disposés sous cette monture 91 pouvant s'infléchir ou se courber, 
Lors de l'utilisation de la plate-forme 4 de la manière décrite, on comprendra que les parties voisines de l'orifice du sac ou sachet sont aplaties d'une manière telle que les faces internes tendent à être appliquées à force l'une sur l'autre, bien que ces parties puissent avoir une forme incurvée ou ondulée. Par suite de la rigidité inhérente des sacs ou sachets fermés à chaud, les parties voisines de l'orifice tendent à concerner cette position de contact sous l'effet de leur forme mécanique résultante, en particulier quand ces sacs ou sachets contiennent un produit épais qui écarte ainsi les parois du sac ou sachet au-dessous de ces parties. 



   La table 3 est inclinée vers l'avant de la machine selon un angle compris entre 30 et 60  par rapport à l'horizontale. La position angulaire de cette table ne doit pas trop se rapprocher de la verticale, mais elle doit être suffisante pour que les emballages glissent vers le bas sous l'effet de la pesanteur par suite de cette inclinaison. Quand la surface de la table supportant les emballages est unie et plate et quend les emballages ont la forme de sachets souples ayant des orifices plats, une inclinaison comprise entre 30 et 60  convient parfaitement° Un angle d'inclinaison excessif constitue un inconvénient, car il peut en résulter un dérangement du produit contenu dans   l'embal-   lage dans lequel on doit faire le vide et qui doit être fermé de façon étanche.

   Par exemple, des tranches de fromage ou d'autres produits alimentaires plats peuvent être réparties de façon appropriée dans des sacs ou sachets souples transparents, les anglesc d'inclinaison indiqués étant insuffisants pour déranger ce type de produits sous l'effet de la pe-   santeur,,   Toutefois, une inclinaison se rapprochant de la verticale provoque un dérangement et empêche l'obtention d'un emballage d'aspect satisfaisant, 
Bien que l'on ait indiqué ici que le capot 24 est fermé sous l'effet de la pesanteur et ouvert par une commande   par came,,   il est possible de transformer la machine afin d'augmenter le degré de commande manuelle.

   Par exemple, si l'on doit utiliser une pédale pour fermer le capot, il est possible d'utiliser un ressort qui rappelle le capot vers sa position relevée, la pédale étant utilisée pour abaisser à force le capot sur la table. Une fois que le capot a été abaissé, le vide produit à l'intérieur de ce capot maintient celui-ci abaissé jusqu'à ce qu'il soit mis en communication avec l'atmosphère, le ressort provoquant 

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 alors le relevage automatique du capot. Un agencement de ce type peut être désirable dans le cas d'une machine n'utilisant que l'un ces ca- pots et étudiée principalement en vue d'une commande manuelle. 



   On remarquera que les doigts ou têtes d'étalement et de lis- sage   15 de   l'orifice du sac ou sachet servent à maintenir celui-ci sur la table indépendamment de toute rétention par aspiration après la fer- meture du capot. Ces doigts ou têtes peuvent être conformés de manière à pincer le sac ou sachet vers son orifice de façon très légère dès que le capot est complètement fermé. Cet agencement est avantageux car il maintient le sac ou sachet dans la tête après qu'on a fait le vide et que l'aspiration par les trous.2 a été supprimée. Ces doigts ou tê- tes libèrent naturellement le sac ou sachet quand le capot est relevé, afin de lui permettre de tomber automatiquement vers le bas à l'écart de la table inclinée. 



   On comprendra que si l'on utilise une plate-forme 6 la face supérieure de celle-ci doit être lisse et inclinée, et il est judicieux de considérer la face supérieure de la plate-forme 6 comme formant la table même. 



   Il est également possible de prévoir un plus grand nombre de trous d'aspiration traversant la table. Ceci peut être désirable dans le cas de sacs ou sachets contenant des produits lourds. Un grand nombre de trous peuvent être prévus dans la table, ces trous étant reliés de façon appropriée à l'aspiration, et l'ouvrier peut obturer certains de ces trous qui ne sont pas nécessaires pour assurer une rétention satisfaisante du sac ou sachet, Si les sacs ou sachets tendent à adhérer à la table par suite de ce nombre plus élevé de trous d'aspiration ou pour toute autre raison, il est possible de prévoir un dispositif par lequel, à la fin du cycle de fermeture à chaud, un jet d'air comprimé est envoyé par les trous pour séparer le sac ou sachet de la table. 



  Les trous traversant la semelle associée à la barre de fermeture à chaud tendent à aplatir initialement l'orifice du sac ou sachet et par suite l'empreinte de ces trous demeure sur le sac ou sachet après la fermeture à chaud. Il est possible de réaliser un système de différenciation des sacs en disposant les trous des semelles d'une manière prédéterminée et reconnaissable. Dans le cas contraire, ces trous peuvent être disposés simplement en une rangée longitudinale sur la semelle 7. 



   Des modifications peuvent être apportées au mode de réalisation décrit, dans le domaine des équivalences techniques, sans s'écarter de   l'invention.   



   REVENDICATIONS 
1. Procédé de fermeture à chaud de sacs ou sachets à orifice plat munis de faces internes permettant cette fermeture à chaud et contenant un produit renfermant une certaine quantité de liquide, consistant à comprimer les parois de l'orifice du sac ou sachet entre une barre de fermeture à chaud et une semelle, et à fournir de façon continue à la barre une quantité de chaleur suffisante pour maintenir sa température à une valeur sensiblement constante, indépendamment de la   quantité   de chaleur dissipée par le chauffage et la vaporisation du liquide retenu entre les surfaces en contact réalisant la fermeture à chaud.

Claims (1)

1. 2. Procédé de fermeture à chaud de sacs ou sachets suivant la revendication 1,selon lequel la chaleur est fournie par un courant continu de liquide chaud traversant la barre de fermeture à chaud.

   3. Machine pour la fermeture à chaud d'emballages tels que sacs <Desc/Clms Page number 12> ou sachets dont les portions voisines de l'orifice permettent cette fermeture et contenant un produit tendant à écarter l'une de l'autre les parois du sac ou sachet,comprenant une surface de support du sac ou sachet et une semelle de fermeture à chaud recevant les portions voisines de l'orifice de ce sac et inclinée angulairement par rapport à cette surface, ainsi qu'un élément de fermeture à chaud monté de manière à coopérer avec cette semelle.

   4. Machine suivant la revendication 3, dans laquelle l'élément de fermeture à chaud est formé par une barre traversée par un canal raccordé à une source de fluide chaud, des organes reliant cette barre à une monture d'une manière permettant un déplacement relatif limité entre la barre et la monture.

   5, Machine suivant la revendication 3, comportant un capot dont le côté ouvert est dirigé vers une paroi et qui est monté de façon à pouvoir s'ouvrir et se fermer par rapport à cette paroi, laquelle présente un orifice en coïncidence avec ce capot, une monture tubulaire traversant cet orifice et dont la partie terminale actionne le capot en vue d'assurer son ouverture et sa fermeture et permet le passage d'un fluide vers l'intérieur du capot quand celui-ci est fermé, un carter monté du côté opposé de la paroi et entourant radialement une partie de la monture s'étendant vers le bas sous ce coté opposé de la paroi, cette monture se prolongeant au delà de l'extrémité du carter, et un joint assurant l'étanchéité entre cette partie formant prolongement et le carter et permettant le déplacement de la monture par rapport audit carter.

   6. Machine suivant la revendication 5,comprenant des organes de chauffage disposés à l'intérieur du capot quand celui-ci est fermé et des conduits conjugués aux organes de chauffage, partant de ceux-ci et traversant la monture tubulaire.

   7. Machine suivant les revendications 5 et 6, dans laquelle les organes de chauffage sont reliés à la monture et se déplacent avec elle, les conduits étant également reliés à cette monture pour se déplacer avec elle.

   8. Machine suivant la revendication 3, comprenant une table fixe portant deux postés de travail écartés transversalement et disposés de manière à permettre la mise en place à la main d'emballages dans ces postes de travail, un capot dont une face est ouverte associé à chacun de ces postes, des organes pour le montage de chaque capot au poste correspondant afin de permettre son ouverture et sa fermeture contre la table, un dispositif assumant alternativement l'ouverture et la fermeture des deux capots de façon continue, afin que l'un des capots soit ouvert quand l'autre est fermé, des organes faisant le vide dans chaque capot quand il est fermé et fermant de façon étanche un emballage disposé dans ce capot pendant qu'on y fait le vide,

   et un dispositif servant à synchroniser le dispositif d'ouverture et de fermeture et les organes servant à faire le vide afin d'assurer leur commande à des intervalles de temps sensiblement égaux.

   9. Machine suivant la revendication 8, dans laquelle les organes servant à faire le vide sont reliés à une seule source d'aspiration, et comprenant des organes séparant positivement les capots l'un de l'autre bien que chaque capot soit relié à cette source d'aspiration.

   10. Machine suivant la revendication 3, comprenant un capot mobile dont le côté ouvert est dirigé vers une paroi fixe au voisinage de laquelle il est monté, le capot et la paroi étant agencés de manière à entourer l'emballage placé entre eux quand le capot est déplacé vers la <Desc/Clms Page number 13> paroi, un orifice étant ménagé dans cette paroi en coïncidence .' avec le côté ouvert du capot et celui-ci étant sollicité vers cette paroi, une monture tubulaire animée d'un mouvement de va-et-vient, fai- sant saillie à travers cet orifice et dont une extrémité est disposée du côté de la paroi dirigé vers le capot, tandis que le reste s'étend du côté opposé de cette paroi,

   des organes de fermeture de l'emballage montés entre la paroi et le capot et reliés à l'extrémité de la monture de manière à être actionnés par le mouvement de la monture à l'écart du capot, un élément fixé sur l'extrémité de cette monture de manière à venir coopérer avec le capot et à l'écarter de la paroi quand cette monture est déplacée en direction dudit capot, un dispositif monté du coté* opposé delà-,paroi, entraînant 'en un mouvement de va-et-vient la partie voisine de la monture, un colleoteur d'aspiration disposé sur ce coté opposé de la paroi et relié de façon coulissante à la partie correspondante de la monture, et des organes reliant le collecteur à une source d'aspiration quand la monture est écartée du capot.

   11. Machine suivant la revendication 10, dans laquelle le collecteur d'aspiration est monté entre le dispositif d'entraînement en va-et-vient et la paroi, au voisinage immédiat de cette dernière, les organes reliant le collecteur à une source d'aspiration comprenant une vanne montée au voisinage immédiat de ce collecteur.

   12. Machine suivant les revendications 10 et 11, dans laquelle le collecteur et la vanne forment un ensemble monobloc monté sur la face opposée de la paroi.

   13. Machine suivant la revendication 10, dans laquelle les organes de montage du capot sont écartés de l'extrémité de la monture, ce capot pouvant à la fois pivoter par rapport à la paroi et se rapprocher et s'écarter de cette paroi par un déplacement linéaire.

   14. Machine suivant la revendication 10, dans laquelle les organes de fermeture agissant sous l'effet de la chaleur et sont conjugués à des conduits leur fournissant la chaleur nécessaire et disposés à l'intérieur de la monture tubulaire, ces conduits sortant du prolongement de la monture du côté opposé de la paroi.

   15e Machine suivant la revendication 10, dans laquelle les organes de fermeture se présentent sous la forme d'une barre de fermeture à chaud chauffée par un liquide et comprennent un flasque relié à l'extrémité de la monture et disposé transversalement à elle, maintenant la barre dans une position déportée transversalement par rapport à l'extrémité de la monture, des conduits de liquide associés à des portions en cols de cygnes partant de la barre et aboutissant à la partie médiane de la monture et dont les portions rectilignes s'étendent à l'intérieur de ladite monture pour sortir par le prolongement de celle-ci, et des organes reliant les extrémités des portions en cols de cygnes les plus éloignées de la barre de fermeture à chaud à l'extrémité de la monture avec une certaine flexibilité dans le plan de ces portions en cols de cygnes,

   mais de façon rigide dans les autres directions.

   16. Machine suivant la revendication 15, dans laquelle les parties rectilignes des conduits traverserait le prolongement de la monture jusqu'en un point situé au delà du collecteur d'aspiration, et comprenant en ce point un déflecteur monté sur les conduits et pouvant coulisser à l'intérieur de la monture de manière à réaliser une obturation étanche à l'air de cette dernière tout en permettant la dilatation et la contraotion des parties rectilignes des conduits.

   17. Machine suivant la revendication 10, dans laquelle le dispositif entraînant en un mouvemeht de va-et-vient le prolongement <Desc/Clms Page number 14> de la monture agit par butée de manière à repousser ce prolongement vers le capot, des organes élastiques maintenant ce contact par butée et d'autres organes empêchant positivement l'extrémité de la monture de s'écarter du capot, ces organes étant actionnés quand le côté ouvert du capot est écarté de la face de la paroi avec laquelle il coopère.

   18. Machine suivant la revendication 10, dans laquelle les organes de fermeture comprennent une barre de fermeture à chaud reliée à l'extrémité de la monture et une semelle élastique reliée à la paroi et coopérant avec cette barre quand la monture est écartée du capot, le dispositif assurant le déplacement en va-et-vient du prolongement de la monture réalisant un simple contact par butée, de manière à repousser ce prolongement vers le capot tandis que les organes élastiques maintiennent ce contact par butée, le dispositif précité comprenant un moteur d'entraînement, une commande destinée à arrêter ce moteur, et des organes actionnés par cette commande pour repousser mécaniquement la monture vers le capot sur une distance suffisante pour écarter la barre de fermeture à chaud de la semelle.

   190 Machine pour la fermeture à chaud de sacs ou sachets dont les portions voisines de l'orifice sont plates et peuvent être réunies de façon étanche sous l'effet de la chaleur suivant la revendication 3, comportant un support ménageant une surface sur laquelle les sacs ou sachets sont disposés, une surface secondaire formée par une semelle destinée à coopérer avec une barre de fermeture à chaud et sur laquelle les portions voisines de l'orifice du sac ou sachet sont placée cette surface secondaire étant inclinée par rapport à la précédente de sorte que les portions voisines de l'orifice du sac ou sachet doivent être déformées angulairement par rapport à celui-ci lors de leur mise en place sur la surface secondaire et sur la.semelle, ce qui tend ainsi à les aplatir,

   et une barre de fermeture à chaud montée de fa- çon à pouvoir se déplacer en un mouvement de va-et-vient afin d'être appliquée contre cette semelle et sur l'orifice d'un sac ou sachet reposant sur elleo 20. Machine suivant la revendication 19, dans laquelle la première surface est inclinée par rapport à la seconde selon un angle favorisant la chute des sacs ou sachets sous l'effet de la pesanteur, cette surface secondaire étant traversée par des trous conjugués à des organes réalisant à travers ces trous une aspiration destinée à maintenir sur ceux-ci les portions aplaties voisines de l'orifice du sac ou sacheto 210 Machine suivant la revendication 3,

   comportant un bâti muni vers l'avant d'une table sur laquelle les sacs ou sachets sont disposés et qui est inclinée vers l'avant selon un angle assurant la chute des sacs ou sachets sous l'effet de la pesanteur, un capot dont le côté ouvert est dirigé vers la table, ce capot étant, à l'arrière, monté à pivotement sur cette table de façon à pouvoir être ouvert et fermé par rapport à elle, un orifice étant ménagé dans la table sous le capot au voisinage de son bord arrière, une monture tubulaire pouvant se déplacer en va-et-vient, faisant saillie par cet orifice et dont l'extrémité supérieure est disposée au-dessus de la table tandis que son prolongement fait saillie sous celle-ci, un collecteur combibiné à un carter de vanne disposé directement sous la table et relié à celle-ci,

   de manière à entourer le prolongement de la monture en assurant la communication pour le passage d'un fluide, le prolongement de la monture se déplaçant en va-et-vient à travers le carter et son extrémité antérieure faisant saillie sous celui-ci, ce carter comportant une lumière d'aspiration principale reliée à une source d'aspi- ration, une vanne montée dans le carter et commandant l'écoulement entre cette lumière et la monture, associée à une tige pouvant se déplacer <Desc/Clms Page number 15> en va-et-vient et faisant saillie à travers le carter en vue d'action- ner la vanne lors de la commande de cette tige,un arbre à cames mon- té sur le bâti en dessous du cartel, un organe palpeur disposé sur l'extrémité inférieure de la monture,

   l'arbre à cames portant une ca- me attaquant l'organe palpeur et dont le profil est tel que la rota- tion de cette came déplace la monture vers le haut pour la rappeler ensuite dans une position de repos, puis vers le bas pour la rappe- ler également vers cette position de repos, des organes portés par l'extrémité supérieure de la monture venant buter contre le capot afin de le repousser quand la monture est déplacée vers le h4ut et revient à sa position de repos, une barre de fermeture à chaud portée par l' extrémité supérieure de la monture pour fermer les orifices des sacs ou sachets disposés sur la table et actionnée par le déplacement vers le bas de la monture et son rappel à la position de repos,

   l'arbre à cames portant une seconde came attaquant un second organe palpeur re- lié à la tige de la vanne afin d'entraîner celle-ci en un mouvement de va-et-vient lors de la rotation de cette seconde came, dont le pro- fil est étudié de manière à provoquer l'ouverture de la vanne alors que la première came maintient la monture dans sa position de repos, des organes assurant l'entraînement en rotation de cet arbre à cames.

   22. Machine suivant la revendication 3, comprenant un bâti formant une surface inclinée dirigée vers le haut, sur laquelle les emballages glissent vers le bas sous l'effet de la pesanteur par suite de cette inclinaison, des organes maintenant ces emballages de fa- çon amovible sur la surface, un capot ouvert vers le bas, agencé de manière à recouvrir l'emballage ainsi maintenu sur la surface inclinée, ce capot pouvant être ouvert ou fermé par rapport à cette surface et étant écarté du trajet de glissement des emballages, des organes servant à faire le vide dans le capot quand il est fermé et d' autres organes assurant la fermeture étanche des emballages également quand ce capot est fermé, les emballages glissant automatiquement vers le bas sur la surface quand le capot est ouvert et quand ils @ont libérés par les organes de maintien.

   23. Machine suivant le revendication 22, dans laquelle l'angle d'inclinaison de cette surface est compris entre 30 et 60 degrés par rapport à 1 'horizontale 24. Machine suivant la revendication 22, dans laquelle les organes de maintien sont formés par au moins un conduit traversant la surface et débouchant sous l'emballage quand ce dernier occupe une position dans laquelle il est recouvert par le capot, des organes exer- çant une aspiration vers le bas par ce conduit, afin de maintenir l' emballage appliqué contre cette surface= 25.

   Machine suivant la revendication 24, dans laquelle le conduit est disposé au voisinage de la partie supérieure de la surface, cette dernière étant étudiée de façon que l'emballage puisse être constitué par un sac ou sachet contenant un produit fluide et dont l'orifice ouvert est appliqué sur la surface de manière à être dirigé vers le haut, la partie supérieure du sac ou sachet coïncidant avec le conduit tandis que le produit qu'il contient se trouve placé vers le baso 26. Machine suivant la revendication 24, comportant des doigts montés dans le capot et disposés de manière à exercer une pression sur la partie supérieure du sac ou sachet quand ce capot est fermé.

   270 Machine suivant la revendication 22, comprenant des organes permettant son utilisation avec des emballages dont l'orifice peut être fermé de façon étanche par la chaleur, la surface inclinée <Desc/Clms Page number 16> comprenant une semelle transversale sensiblement horizontale sur laquelle peut reposer l'orifice d'un emballage, les organes de maintien étant formés par des conduits traversant cette semelle et étant conjugués à des organes exerçant une aspiration vers le bas de manière à maintenir est orifice appliqué sur la semelle, les organes de fermeture comportant une barre qui est appliquée contre la semelle quand le capot est fermé.

   28. Machine suivant la revendication 22, dans laquelle les organes de maintien comprennent au moins un conduit traversant la surface et débouchant sous l'emballage quand ce dernier occupe une position dans laquelle il est recouvert par le capot, des organes exerçant une aspiration vers le bas par ce conduit afin de maintenir l'emballage appliqué sur la surface, les organes servant à faire le vide dans le capot et ces organes d'aspiration étant, du point de vue pneumatique, indépendants les uns des autres, ce conduit étant obturé quand les organes servant à faire le vide dans le capot sont actionnés.

   29. Machine suivant la revendication 28, comprenant un dispositif automatique actionnant successivement les organes d'obturation du conduit, puis les organes servant à faire le vide dans le capot. en annexe 12 dessins.