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PERFECTIONNEMENTS APPORTES AUX MOISSONNEUSES-BATTEUSES.
L'invention est relative à une moissonneuse-batteuse avec un mécanisme de coupe qui est monté sur la machine et par lequel les matières à battre sont introduites, dans le sens de la largeur ou transversalement, dans la batteuse dans laquelle ces matières avancent dans le même sens. Les moissonneuses-batteuses de ce genre ont divers avantages. Elles ont toutefois, même quand le mécanisme de coupe est relevé et quand le tourniquet rabatteur est démonté, un largeur très grande dans le sens transversal par rapport à la direction d'avancement, de sorte qu'elles conviennent très peu au transport sur des routes ou chaussées et sur les chemins de campagne étroits.
L'invention a pour but, surtout., d'éviter cet inconvénient et elle consiste, principalement, à monter la moissonneuse-batteuse sur un châssis de véhicule par l'intermédiaire d'une plaque tournante qui permet d'orienter, à volonté, la machine, pour le travail, dans le sens transversal par rapport à la direction de marche du véhicule et, pour le transport, dans le sens longitudinal par rapport à cette direction.
Un mode de réalisation avantageux de l'invention consiste à faire comporter au véhicule, qui supporte la moissonneuse-batteuse, un essieu unique et à constituer la plaque tournante par une couronne de roulement reposant sur des billes.
Un mode de réalisation perfectionné de l'invention consiste à faire comporter à la moissonneuse-batteuse un organe de verrouillage qui relie la partie tournante au châssis du véhicule qui la supporte, cet organe étant propre à maintenir la machine à sa position de travail ou à sa position de transport.
Les moissonneuses-batteuses établies selon l'invention, constituent tout particulièrement des machines qui ont des dimensions réduites et qui peuvent être commandées par le moteur, ayant une puissance relativement
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réduite, du tracteur sans l'intervention d'un moteur auxiliaire.
A cet effet, il suffit que le tracteur ait un moteur dont la puissance atteigne jusqu'à 25 CV comme ceux dont on se sert actuellement pour les petites exploitations agricoleso Pour actionner la moissonneuse-batteuse par le tracteur, pendant le travail, on se sert d'un arbre entraîneur intermédiaire, connu en soi, qui est porté par le châssis du véhicule supportant la machines
La moissonneuse-batteuse peut, en outre, être perfectionnée et adaptée plus-spécialement aux nécessités d'une petite exploitation agricole, lorsqu9on supporte la batteuse de manière qu'elle puisse être montée et des- cendue, dans un guide, par rapport au châssis du véhicule qui la supporte, la batteuse étant reliée à un appareil de levage, faisant partie de la machine, pour modifier la position en hauteur de la batteuse.
L'appareil de leva- ge peut servir, en outre, à conserver la position horizontale de la batteuse sur un terrain incline.
A l'aide d'une machine, ainsi constituée, on peut moissonner des champs en pente et circuler sur des chemins étroits et irréguliers. Des petits champs inclinés sont souvent la caractéristique de petites exploitations agri- coles.
Une autre amélioration de la moissonneuse-batteuse, dans le but sus-indiqué, peut être obtenue par l'intervention d'un secoueur particuliè- rement efficace. A cet effet, on fait comporter à la moissonneuse-batteuse, supportée par le plateau tournant, un secoueur à dents, dont les dents sont disposées excentriquement par rapport à l'axe de l'arbre portant les dents du secoueur.et dans un plan qui se trouve au-dessus de cet arbre de manière telle que les dents, quand elles sont à leur point mort inférieur, forment avec l'axe du plateau tournant un angle inférieur à 90 , de sorte que les dents, quand elles occupent cette position, sont inclinées vers le bas.
D'autres détails et avantages de l'objet de l'invention apparai- tront au cours de la description d'un mode de réalisation donné à titre d'exemple et montré sur les dessins ci-annexés.
Les figs. 1 et 2 montrent, respectivement en élévation et en plan, une moissonneuse-batteuse, établie selon l'invention, à sa position de travail.
La fige 3 montre, semblablement à la fig. 1, la moissonneusebatteuse à la position montrée sur la fig. 1 mais avec plus de détails pour le véhiculeo
La figo 4 montre, en plan, la moissonneuse-batteuse selon les figso 1 à 3, le véhicule et la moissonneuse-batteuse occupant leur position de transport.
Les figs. 5 et 6 montrent, respectivement en élévation et en plan, les détails d'un appareil de levage pour la moissonneuse-batteuseo
Les figs. 7 et 8 montrent, respectivement en coupe verticale et en plan, l'agencement intérieur de la batteuse pour autant que cela est nécessaire pour montrer le secoueur.
Les céréales sont coupées à l'aide du mécanisme de coupe 1 et sont posées, à l'aide du tourniquet rabatteur 14, sur le tablier 2 de la plateforme qui les amène aux tabliers 3 et 4 de l'élévateuro Ces tabliers 3 et 4 amènent les céréales au tambour débiteur 5 qui les amène au batteur 6 et au contre-batteur 7. La paille est projetée, à partir de cet endroit, contre le panneau basculant 15 et tombe sur le secoueur 8 qui remue la pail- le et l'amène vers la sortie 10 pour la paille. A l'extrémité 10 de la bat- teuse on peut monter à volonté, une presse à paille ou une lieuse de gerbes.
Ces détails sont connus en soi et ne font pas partie de l'invention.
Pour l'invention il est essentiel que l'ensemble formé par la moissonneuse-batteuse repose sur le châssis du véhicule par l'intermédiaire d'une plaque tournante.
Pour l'exemple montré on a recours à un véhicule avec essieu 27
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qui prend appui sur les deux roues 27a et 27bo La moissonneuse-batteuse est fixée rigidement, par son châssis 18, à la partie supérieure 19 d'une couronne tournante avec billes. -Le cran d'arrêt 20 permet d'établir une liaison rigide entre cette partie supérieure 19 et la partie inférieure 19a de ladite couronne à billeso Le pivot 22 est relié rigidement à l'essieu 27 et empêche le déplacement axial de cet essieu 27 par rapport au châssis 21 (fig. 4). Par ailleurs, on guide l'essieu par des jambes de force 24 munies de fentes de guidage.
La moissonneuse-batteuse est soulevée et abaissée à l'aide des tiges filetées 25 et du mécanisme de commande 26 c'est-à-dire que la machine peut être réglée pour toute longueur voulue des chaumeso
En travaillant sur un terrain en pente on peut, à l'aide du même mécanisme de commande et comme montré à plus grande échelle sur les figs. 5 et 6, régler la position de la machine à volonté et pendant le travail de ma- nière telle que l'on puisse travailler impeccablement et sans être gêné. Egalement pendant le travail sur un terrain en-pente., la moissonneuse-batteuse elle-même doit conserver sa position horizontale. Le mécanisme de coupe 1, par contres peut tourner autour d'une articulation 28 pendant ce travail sur un terrain en pente.
Le réglage en hauteur de la moissonneuse-batteuse a lieu, comme déjà dit, à l'aide des deux tiges filetées 25 qui peuvent être entraînées en rotation par les pignons coniques 26 et les arbres 41 et 42.
Pour faire monter ou descendre la machine, on refoule le volant 40 avec le guide 38 et l'arbre 43 suffisamment vers les crabots 34 pour que le cran d'arrêt 39, monté sur le bâti de la moissonneuse-batteuse, tombe dans la gorge 46. De cette manière on obtient une liaison rigide entre les crabots 37, le pignon à chaîne 3 6 et les crabots 34. L'arbre 41 est relié à l'arbre 42 par l'intermédiaire de la chaîne 44 et du pignon à chaîne correspondant 36 et 36a.
En faisant tourner le volant 40 dans le sens indirect ou dans le sens direct on obtient le soulèvement ou l'abaissement de la machine.
Si l'on veut obtenir que la machine occupe une position horizontale, pour un travail sur un terrain incliné,ce qui se produit surtout pendant le travail sur un terrain en pente, on déplace le volant 40 dans le sens axial et avec une amplitude telle que le cran d'arrêt 39 pénètre dans la gorge 45.De cette manière on obtient un déplacement par coulissement entre les crabots 37, qui sont calés sur l'arbre 43, et le pignon 36 ainsi que les crabots correspondants. La chaîne 44 transmet le mouvement de rotation à l'arbre 41 et fait tourner ainsi la tige correspondant à l'arbre 41, de sorte que l'on obtient ainsi le réglage voulu en hauteur d'un côté seulement de la machine.
Le ressort 35 écarte, pendant cette manoeuvre, le pignon à chaine 36 avec ses crabots, des crabots entraîneurs 34 qui sont reliés rigidement à l'arbre 42, de sorte que cet arbre 42 et la tige filetée 25 qui correspond à cet arbre 42 ne sont pas déplacés dans ce cas.
Pour éviter le basculement de l'ensemble de la moissonneuse-batteuse quand on coupe la récolte versée ainsi que cela se faisant jusqu'ici, on monte le mécanisme de coupe 1 de manière telle qu'il puisse pivoter par rapport au châssis de la plateforme.
Le mécanisme de coupe 1, le châssis de la plate-forme et le tablier entraîneur peuvent pivoter autour de l'axe 280 Ce pivotement du mécanisme de coupe sert à adapter, pendant le travail sur un terrain en pente et quand la moissonneuse-bàtteuse est horizontale, la position du couteau à l'inclinaison du terrain.
On peut remplacer la commande par pignons et chaînes de l'appareil de levage par d'autres organes de transmission, par exemple par une transmission hydraulique.
Pour les moissonneuses batteuses connues jusqu'ici, un travail sur un terrain en pente n'était possible que dans certaines conditions et
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même dans ce cas on devait utiliser des tamis agencés de manière particulière et avoir recours à des angles d'écoulement particulièrement grands pour les matières à battre, afin que l'on soit certain-.
que la moissonneuse-batteuse fonctionne impeccablemento Ce dispositif particulier auxiliaire obligeait également à donner à la machine une hauteur totale considérableo Le dispositif selon l'invention a, par contre, cet avantage que la moissonneuse-batteuse peut fonctionner même quand le terrain est fortement incliné et qu'elle peut comporter les tamis et les angles d'écoulement usuels sans que la hauteur totale nécessaire soit augmentéeo
L'agencement intérieur de la moissonneuse-batteuse, montré sur les figs. 7 et 8, se présente de la manière suivante. Le canal de la batteuse, formé par les deux parois latérales 101, sert de logement, dans la partie fermée qui se trouve à l'avant, à un batteur 102 et un contre-batteur 103.
En dessous de cet ensemble est établie une table 104, qui est suspendue d'une manière pendulaire et qui peut se déplacer suivant un mouvement de va-et-vient au cours du travail de la machine dans les sens des flèches 105 et 106. Le plateau 107 de la table est incliné vers son extrémité 108. Audelà de 108 la table est prolongée par un tamis à talons 109 qui a une inclinaison dans le sens opposé par rapport au plateau 107 vers la sortie 110 du canal de la batteuse.
La table 104 est suspendue de la manière connue par des ressorts de suspension 111 et 112 au bâti de la machine, les ressorts arrière 111 étant reliés rigidement à l'arbre 113 du secoueur à dents de sorte que, pendant l'oscillation de la table 104, l'arbre 113 qui est supporté par le cadre 114 de la table en 115 (fig. 8) exécute des mouvements angulaires vers la droite et la gauche.
Sur l'arbre 113 est monté un nombre suffisant de dents élastiques 116 par l'intermédiaire du support 117 (fig;7) de sorte que les mouvements angulaires de l'arbre 113 sont transmis aux dents du secoueur de manière telle que les extrémités libres de ces dernières puissent se déplacer suivant un mouvement de va-et-vient dans le sens des flèches 118 et 119, ces extrémités libres étant orientées vers la sortie du canal de la batteuse. Au-dessus de l'arbre 113, portant les dents du secoueur, est éta- blie'une plaque de guidage 120 dont l'extrémité libre se trouve en dessous de la table 121 établie à la sortie du contre-batteur 103, de sorte que les courtes-pailles obtenues au cours du battage sont dirigées sans être gênées vers les dents 116.
Cette plaque de guidage 120 participe, bien entendu, aux oscillations des dents 116 comme décrit mais l'extrémité libre de cette plaque 120 monte quand les extrémités des dents descendent pour la raison que la plaque de guidage se trouve du côté opposé par rapport à l'axe de l'arbre 113.
Les dents 116 du secoueur, qui sont montées excentriquement sur l'arbre 113 qui les supporte, sont établies à une hauteur suffisante au-dessus de la table 104 pour qu'elles ne dépassent pas l'horizontale en étant relevées jusqu'à leur point mort supérieur alors qu'elles sont inclinées vers la sortie 110 du canal de battage quand elles occupent leur point mort inférieur. Il en résulte que la paille se dirige, pratiquement, sur un plan incliné vers la sortie 110 dudit canal.
Par ailleurs, comme les dents 116 du secoueur occupent une position élevée par rapport au plateau 107 de la table 104, elles facilitent le passage de la paille sur les gradins transporteurs 122 ou sur le secoueur à ergots, établi à la place de ces gradins, ces dispositifs étant montés à une hauteur suffisante au-dessus du tamis à talons 109 pour que les longues pailles, qui ont été séparées par les dents du secoueur des courtes pailles et des grains, ne viennent plus en contact avec ces courtes pailles et avec les grains.
Pendant que les grains traversent le tamis à talons 109 et tombent sur le plateau collecteur 123, les courtes pailles avancent, sur le tamis 109 et dans le sens de la flèche 124 jusqu'au-delà de la table 104.
Le secoueur à dents présente les avantages suivants. Comme les dents sont établies excentriquement par rapport à l'axe de l'arbre qui les supporte, il est possible que les dents oscillantes, même si elles occupent leur position la plus élevée, présentent constamment une inclinaison vers leurs extrémités libres et vers la sortie du canal de battage. De cette ma-
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nière, il est évident que,, pendant l'oscillation des dents 116 de pair avec le mouvement de va-et-vient de la table 104, la paille avance facilement vers la sortie 110.
De même il est possible de donner aux dents une longueur suffisante pour qu'elles pénètrent dans la zone de travail des gradins transporteurs ou du secoueur à ergots et pour que, pendant la montée et la descente des dents, la paille battue vienne se poser d'abord sur les gradins transporteurs et soit soulevée ensuite par les dents de sorte que la paille subit des chocs secoueurs particulièrement intenses par lesquels les grains, entraînés par la paille battue, sont séparés d'une manière particulièrement efficace de la pailleo Il est évidemment important que la paille battue pas- se, d'une manière impeccable, sur le secoueur à dents élastiques ce qui est obtenu par le fait que la plaque de guidage 120, qui se trouve au-dessus de l'arbre des dents et qui oscille avec les dents,
se trouve avec son extrémité libre en dessous de la plaque 121 qui est établie à la sortie du contrebatteur 103, car si la plus grande partie de la paille battue est projetée de la manière indiquée contre le panneau basculant 15 supporté par la paroi supérieure du canal de battage, il peut arriver que les courtes pailles et meme les longues pailles tombent directement sur le plateau 107 de la table 104, à la sortie de la plaque 121 du contre-batteur 103, ce qui pourrait obturer le passage entre le contre-batteur et l'ensemble formé par le secoueur à dents.
Les emplacements excentrés des doigts 116 du secoueur et de la plaque de guidage 120 ont encore, par ailleurs, un effet favorable pour la raison que pendant le mouvement vers l'arrière de la table 104, les doigts se- , coueurs 116 et la plaque de guidage 120 font des mouvements dans des directions opposées d'où résulte un glissement de la paille battue vers la sortie 110 de la paille.
Un autre avantage de l'invention réside dans le fait que les longues pailles ne viennent pratiquement pas en contact avec le plateau 107 de la table mais sont dirigées sur la plaque de guidage 120, sur les dents 116 du secoueur et sur les gradins transporteurs 122 vers l'extérieur alors que seul le mélange grains-courtes pailles coule le long du plateau 107 de la table vers le tamis à talons 109. Comme la moissonneuse-batteuse doit travailler souvent sur un terrain irrégulier ou même sur un terrain à forte pente, ces effets obtenus par le secoueur à dents sont particulièrement importants.
REVENDICATIONS.
1.- Moissonneuse-batteuse comprenant un mécanisme de coupe qui est monté sur la machine et par lequel les matières à battre sont introduites, dans le sens de la largeur ou transversalement, dans la batteuse dans laquelle ces matières avancent dans le même sens, caractérisée par le fait que l'on monte la moissonneuse-batteuse sur le châssis de véhicule par l'intermédiaire d'une plaque tournante qui permet d'orientera à volonté, la machine, pour le travail, dans le sens transversal par rapport à la direction de marche du véhicule et, pour le transport, dans le sens longitudinal par rapport à cette direction.
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IMPROVEMENTS FOR COMBINE HARVESTS.
The invention relates to a combine harvester with a cutting mechanism which is mounted on the machine and by which the materials to be threshed are introduced, in the direction of the width or transversely, in the threshing machine in which these materials advance in the Same direction. Combines of this kind have various advantages. However, even when the cutting mechanism is raised and the reel turnstile is removed, they have a very large width transversely to the direction of travel, so that they are very unsuitable for transport on roads. or causeways and on narrow country lanes.
The object of the invention is, above all., To avoid this drawback and it consists, mainly, in mounting the combine on a vehicle frame by means of a turntable which makes it possible to orient, at will, the machine, for work, in the transverse direction with respect to the direction of travel of the vehicle and, for transport, in the longitudinal direction with respect to this direction.
An advantageous embodiment of the invention consists in making the vehicle, which supports the combine harvester, comprise a single axle and in constituting the turntable by a rolling ring resting on balls.
An improved embodiment of the invention consists in having the combine harvester include a locking member which connects the rotating part to the chassis of the vehicle which supports it, this member being suitable for maintaining the machine in its working position or at its transport position.
Combine harvesters established according to the invention constitute in particular machines which have reduced dimensions and which can be controlled by the engine, having a relatively high power.
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reduced, tractor without the intervention of an auxiliary motor.
For this purpose, it is sufficient that the tractor has an engine whose power reaches up to 25 HP like those currently used for small farms o To operate the combine by the tractor, during work, it is used an intermediate drive shaft, known per se, which is carried by the chassis of the vehicle supporting the machines
The combine harvester can, moreover, be improved and adapted more-especially to the needs of a small farm, when the thresher is supported in such a way that it can be mounted and lowered, in a guide, relative to the frame. of the vehicle which supports it, the threshing machine being connected to a lifting device, forming part of the machine, to modify the height position of the threshing machine.
The lifting device can also be used to maintain the horizontal position of the threshing machine on sloping ground.
With the help of a machine, thus constituted, it is possible to harvest sloping fields and to travel on narrow and irregular paths. Small, sloping fields are often a feature of small farms.
A further improvement of the combine harvester for the above purpose can be achieved by the intervention of a particularly efficient shaker. For this purpose, the combine, supported by the rotating plate, is made to include a toothed shaker, the teeth of which are disposed eccentrically with respect to the axis of the shaft carrying the shaker teeth. And in a plane which is located above this shaft in such a way that the teeth, when they are at their lower dead center, form with the axis of the turntable an angle of less than 90, so that the teeth, when they occupy this position , are tilted down.
Other details and advantages of the subject of the invention will emerge from the description of an embodiment given by way of example and shown in the accompanying drawings.
Figs. 1 and 2 show, respectively in elevation and in plan, a combine harvester, established according to the invention, in its working position.
Fig. 3 shows, similarly to fig. 1, the combine in the position shown in fig. 1 but with more details for the vehicle
Figo 4 shows, in plan, the combine according to figso 1 to 3, the vehicle and the combine in their transport position.
Figs. 5 and 6 show, respectively in elevation and in plan, the details of a lifting device for the combine harvester.
Figs. 7 and 8 show, respectively in vertical section and in plan, the internal arrangement of the thresher as far as this is necessary to show the shaker.
The cereals are cut using the cutting mechanism 1 and are placed, using the reel turnstile 14, on the apron 2 of the platform which brings them to the aprons 3 and 4 of the elevator o These aprons 3 and 4 feed the cereals to the debtor drum 5 which brings them to the thresher 6 and the concave 7. The straw is thrown, from this point, against the tilting panel 15 and falls on the shaker 8 which stirs the straw and the 'leads to exit 10 for straw. At the end 10 of the threshing machine you can mount at will, a straw baler or a bundle of sheaves.
These details are known per se and do not form part of the invention.
For the invention it is essential that the assembly formed by the combine harvester rests on the chassis of the vehicle via a turntable.
For the example shown we use a vehicle with axle 27
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which is supported on the two wheels 27a and 27bo The combine is rigidly fixed, by its frame 18, to the upper part 19 of a rotating ring with balls. -The stopper 20 makes it possible to establish a rigid connection between this upper part 19 and the lower part 19a of said ring gear o The pivot 22 is rigidly connected to the axle 27 and prevents the axial displacement of this axle 27 by compared to the frame 21 (fig. 4). Furthermore, the axle is guided by struts 24 provided with guide slots.
The combine is raised and lowered with the help of the threaded rods 25 and the operating mechanism 26 i.e. the machine can be adjusted for any desired length of stubble.
By working on a sloping ground, it is possible, using the same control mechanism and as shown on a larger scale in figs. 5 and 6, adjust the position of the machine as desired and during work so that you can work impeccably and without being hampered. Also when working on sloping ground, the combine itself must keep its horizontal position. The cutting mechanism 1, on the other hand, can rotate around an articulation 28 during this work on sloping ground.
The height adjustment of the combine takes place, as already said, by means of the two threaded rods 25 which can be driven in rotation by the bevel gears 26 and the shafts 41 and 42.
To raise or lower the machine, we push the flywheel 40 with the guide 38 and the shaft 43 sufficiently towards the dogs 34 so that the stopper 39, mounted on the frame of the combine, falls into the groove 46. In this way a rigid connection is obtained between the dogs 37, the chain sprocket 36 and the dogs 34. The shaft 41 is connected to the shaft 42 by means of the chain 44 and the chain sprocket. corresponding 36 and 36a.
By turning the handwheel 40 in the indirect direction or in the direct direction, the machine is raised or lowered.
If it is desired to obtain that the machine occupies a horizontal position, for work on inclined ground, which occurs above all during work on sloping ground, the flywheel 40 is moved in the axial direction and with an amplitude such that the stopper 39 penetrates into the groove 45. In this way a displacement is obtained by sliding between the dogs 37, which are wedged on the shaft 43, and the pinion 36 as well as the corresponding dogs. The chain 44 transmits the rotational movement to the shaft 41 and thus rotates the rod corresponding to the shaft 41, so that the desired height adjustment is thus obtained on one side of the machine only.
The spring 35 separates, during this maneuver, the chain pinion 36 with its dogs, driving dogs 34 which are rigidly connected to the shaft 42, so that this shaft 42 and the threaded rod 25 which corresponds to this shaft 42 do not are not moved in this case.
To prevent the whole combine from tipping over when cutting the poured crop as has been done up to now, the cutting mechanism 1 is mounted in such a way that it can pivot relative to the platform frame. .
The cutting mechanism 1, the platform frame and the driving carriage can pivot around the axis 280 This pivoting of the cutting mechanism is used to adapt, when working on sloping ground and when the combine is horizontal, the position of the knife at the inclination of the ground.
The sprocket and chain drive of the lifting device can be replaced by other transmission members, for example by a hydraulic transmission.
For the combine harvesters known hitherto, working on a slope was only possible under certain conditions and
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even in this case one had to use sieves arranged in a particular way and to have recourse to particularly large angles of flow for the materials to be beaten, in order to be certain.
that the combine works flawlessly o This particular auxiliary device also made it necessary to give the machine a considerable total height o The device according to the invention has, on the other hand, the advantage that the combine can work even when the ground is strongly inclined and that it can include the usual screens and flow angles without increasing the total height required.
The interior arrangement of the combine, shown in figs. 7 and 8, appears as follows. The threshing machine channel, formed by the two side walls 101, serves as a housing, in the closed part which is at the front, for a threshing machine 102 and a concave 103.
Below this assembly is established a table 104, which is suspended in a pendulum manner and which can move in a reciprocating motion during the work of the machine in the directions of arrows 105 and 106. The table top 107 is inclined towards its end 108. Beyond 108 the table is extended by a heel screen 109 which slopes in the opposite direction from table 107 towards outlet 110 of the threshing channel.
The table 104 is suspended in known manner by suspension springs 111 and 112 from the machine frame, the rear springs 111 being rigidly connected to the shaft 113 of the toothed shaker so that during the oscillation of the table 104, the shaft 113 which is supported by the frame 114 of the table at 115 (Fig. 8) performs angular movements to the right and to the left.
On the shaft 113 is mounted a sufficient number of resilient teeth 116 via the support 117 (fig; 7) so that the angular movements of the shaft 113 are transmitted to the teeth of the shaker in such a way that the free ends of the latter can move in a back and forth movement in the direction of arrows 118 and 119, these free ends being oriented towards the outlet of the threshing channel. Above the shaft 113, carrying the teeth of the shaker, is established a guide plate 120, the free end of which is below the table 121 established at the outlet of the concave 103, so that the short straws obtained during threshing are directed without being hampered towards the teeth 116.
This guide plate 120 participates, of course, in the oscillations of the teeth 116 as described but the free end of this plate 120 rises when the ends of the teeth descend for the reason that the guide plate is on the opposite side with respect to the 'shaft axis 113.
The teeth 116 of the shaker, which are mounted eccentrically on the shaft 113 which supports them, are set at a sufficient height above the table 104 so that they do not exceed the horizontal by being raised to their point. upper dead center while they are inclined towards the outlet 110 of the threshing channel when they occupy their lower dead center. As a result, the straw is directed, in practice, on an inclined plane towards the outlet 110 of said channel.
Moreover, as the teeth 116 of the shaker occupy a high position relative to the plate 107 of the table 104, they facilitate the passage of the straw on the conveyor steps 122 or on the lug shaker, established in place of these steps, these devices being mounted at a sufficient height above the heel sieve 109 so that the long straws, which have been separated by the shaker teeth from the short straws and grains, no longer come into contact with these short straws and with the grains.
As the beans pass through the heel screen 109 and fall onto the drip tray 123, the short straws advance, over the screen 109 and in the direction of arrow 124 to past the table 104.
The tooth shaker has the following advantages. As the teeth are established eccentrically with respect to the axis of the shaft which supports them, it is possible that the oscillating teeth, even if they occupy their highest position, constantly present an inclination towards their free ends and towards the exit. of the threshing channel. From this ma-
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However, it is evident that, during the oscillation of the teeth 116 together with the reciprocating movement of the table 104, the straw easily advances towards the outlet 110.
Likewise, it is possible to give the tines a sufficient length so that they penetrate into the working area of the conveyor steps or of the lug shaker and so that, during the raising and lowering of the tines, the threshed straw comes to rest. '' first on the conveyor steps and is then lifted by the tines so that the straw undergoes particularly intense shaking shocks by which the grains, carried by the threshed straw, are separated in a particularly efficient way from the straw o It is obviously important that the threshed straw passes, in an impeccable manner, over the elastic tine shaker, which is obtained by the fact that the guide plate 120, which is located above the shaft of the tines and which oscillates with the teeth,
lies with its free end below the plate 121 which is set at the outlet of the concave 103, since if most of the threshed straw is thrown in the manner shown against the tilting panel 15 supported by the upper wall of the channel threshing, it may happen that the short straws and even the long straws fall directly on the plate 107 of the table 104, at the exit of the plate 121 of the concave 103, which could block the passage between the concave and the assembly formed by the tooth shaker.
The eccentric locations of the shaker fingers 116 and of the guide plate 120, on the other hand, still have a favorable effect for the reason that during the rearward movement of the table 104, the secondary fingers 116 and the plate guide 120 make movements in opposite directions resulting in a sliding of the threshed straw towards the outlet 110 of the straw.
Another advantage of the invention lies in the fact that the long straws practically do not come into contact with the plate 107 of the table but are directed on the guide plate 120, on the teeth 116 of the shaker and on the conveyor steps 122. outwards while only the grain-short straw mixture flows down the table top 107 to the heel sieve 109. As the combine often has to work on uneven ground or even on steeply sloping ground, these effects obtained by the tooth shaker are particularly important.
CLAIMS.
1.- Combine harvester comprising a cutting mechanism which is mounted on the machine and by which the materials to be threshed are introduced, in the direction of the width or transversely, into the threshing machine in which these materials advance in the same direction, characterized by the fact that the combine is mounted on the vehicle frame by means of a turntable which will allow the machine to be oriented at will, for the work, in the transverse direction with respect to the direction of the vehicle and, for transport, in the longitudinal direction in relation to this direction.