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PERFECTIONNEMENTS AUX EMBALLAGES .ET A LA FABRICATION'PAR COULEE'ET'AU CONDITIONNEMENT D'ARTICLES TELS QUE SUPPOSITOIRES, OVULES, BOUGIES.,-
CRAYONS, ,ARTICLES' EN CHOCOLAT ET'AUTRES. ARTICLES ANALOGUES.
La présente invention est relative aux emballages et à la fabri- cation par coulée et au conditionnement d'articles tels que suppositoires, ovules, bougies, crayons, articles en chocolat et autres articles analogues., Dans ce qui suit, il ne sera question, pour plus de simplification.que de suppositoires mais il doit être entendu que tout ce qu'il en sera dit s'ap- plique aussi à ces autres articles.
En général, les suppositoires sont coulés dans des moules métal- liques, démoulés après refroidissement, puis vendus nus, ou enveloppés, ou mis dans des emballages appropriés. On a proposé aussi de couler directement les suppositoires dans des moules appropriés,par exemple en gélatine, et de les vendre sans démoulage préalable, les moules mêmes servant alors d'embal- lages. Dans ce cas, le trou de coulée est fermé par un obturateur fixe, une pastille posée à. chaud par exemple, ou par un obturateur mobile, une plaquet- te coulissante par exemple, Un inconvénient de cette façon de faire cest qu'il est parfois difficile, au moment d'utiliser le suppositojre, de le sor- tir de son moule-emballage par suite de son adhérence à la paroi du moule.
En outre,pour le sortiril faut le faire passer par le trou ayant servi à le couler; il s'ensuit que pratiquement la section maximum du suppositoire est au plus égale à celle du trou de coulée, donc à celle de l'une de ses ex- trémitéso Un semblable emballage ne peut par suite être utilisé pour les suppositoires de la forme dite "torpille", les ovules, etc.., qui ne pourraient être démoulés que par destruction de l'emballage et endommagement concomitant de son contenu.
La présente invention a pour objet des perfectionnements à la fa- brication des suppositoires par coulée en moules-emballages en vue de remé- dier, au moins partiellement, aux inconvénients précités.
Un de ces perfectionnements réside en ce que le moule-emballage
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mono ou multialvéolaire a son alvéole ou chaque alvéole sectionné transversa- lement à son axe ou suivant un plan de symétrie passant par le dit axe et est ainsi composé d'au moins deux tronçons s'emboîtant amoviblement l'un sur l'au- tre, la section à l'emboîtement étant de préférence égale à celle de la sec- tion maximum de l'alvéole. La sortie du suppositoire de son emballage est ainsi rendue très facile, même pour la forme torpille.
Avec les moyens d'obturation (quels qu'ils soient) des orifices de coulée, le moule-emballage objet de l'invention est ainsi composé d'au moins trois parties,à la différence de ceux connus qui n'en comportent que deux:,
Dans une réalisation particulière d'un tel moule-emballage mul- ti-alvéolaire en trois parties, celui-ci est constitué par une boite qui comprend un corps de boîte, de préférence en matière plastique, pourvu de multiples alvéoles parallèles ouverts à leurs extrémités opposées sur les faces de dessus et de dessous du dit corps de boîte, et deux obturateurs recouvrant les dites faces et dont l'un au moins, qui maintient la deuxième partie de chaque alvéole en place sur celle formée dans le corps de boîte, est amovible.
Cet obturateur s'emboîte par exemple sur le corps de boîte à la manière d'un couvercle usuel.
Dans une forme de réalisation, toutes les deuxièmes parties des alvéoles font partie intégrante du dit couvercle et viennent routes avec lui quand on l'enlève, découvrant ainsi les extrémités de tous les suppositoires contenus dans la boîte.
Dans une variante de réalisation, la deuxième partie de chaque alvéole constitue une sorte de chapeau indépendant enlevable, séparément, de sorte qu'on ne découvre les suppositoires qu'au fur et à mesure de leur uti- lisation.
Dans une autre variante encore, prévue lorsque l'article moulé présente, du coté de l'orifice de coulée, une partie en "contre-dépouillé", l'alvéole ou chaque alvéole du moule-emballage comprend deux tronçons s'em- boîtant mutuellement suivant un plan de joint passant par l'axe géométrique de l'alvéole et maintenus, d'une part, par l'extrémité ouverte de lalvéole, dans une plaquette de liaison et,d'autre part, à l'extrémité opposée à la précédente, par une calotte obturatrice emboîtée sur les deux tronçons précités, suivant un plan de joint perpendiculaire à l'axe géométrique de l'al- véoleo
Le plan de joint passant par l'emboîtement de la calotte avec les deux tronçons d'alvéole peut être placé en n'importe quel point,
entre le plan passant par le maître-couple de l'alvéole et l'extrémité ou pointe de la ca- lotte.
L'invention a aussi pour objet un procédé de coulée des supposi- toires et autres articles en cause.
Ce procédé est remarquable notamment par le fait qu'on coule ces articles simultanément dans une pluralité de moules-emballages maintenus de façon que tous les alvéoles soient parallèles les uns aux autres, en versant la matière sur la surface d'un élément de coulée commun aux différents alvéo- les, distincts d'eux de façon à pouvoir en être séparé et qui présente des trous, débouchants ou borgnes, à l'aplomb des alvéoles.
Dans l'application de ce procédé aux moules-emballages en forme de boite définis ci-dessus, on place le corps de boite= sens dessus dessous et assemblé à l'obturateur amovible¯qui forme alors le fond puis on pose sur le corps de boîte le dit élément de-coulée qui, dans ce cas, est en forme de plaque traversée de part en part par les dits trous, à l'aplomb des alvéoles la coulée s'effectuant ainsi au travers de cette plaque, et, la coulée finie et la plaque enlevée, on met en place l'autre obturateur ou fond qui présente de petites dépressions à l'aplomb de chaque alvéole afin de loger les bouts extrêmes des suppositoires formés dans les trous de la plaque perforée.
Dans une autre mise en oeuvre de ce procédé, applicable à des mou- les-emballages quelconques, le dit élément de coulée est utilisé à grouper
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et à maintenir les uns par rapport aux autres des moules-emballages mono ou pluri-alvéolaires de façon que tous les alvéoles soient parallèles, ces mou- les étant à cet effet engagés dans les trous dudit élément de coulée à rai- son d'un par trou, l'extrémité ouverte de chaque alvéole (extrémité par la- quelle on coule la matière) arrivant de préférence à fleur de la surface su- périeure de cet élément sur laquelle on verse la matière à couler,
Linvention a également pour objet le produit industriel nou- veau que constitue un élément de coulée pour la mise en oeuvre du procédé susdit et qui est remarquable en ce qu'il comporte un corps pourvu de trous, borgnes ou le traversant 1 de part en part, destiné à être associé à une pluralité de moules-emballages, de façon que ces trous se trouvent à l'aplomb des alvéoles à remplir.
Dans une réalisation particulière destinée à grouper et à main= tenir des moules-emballages mono ou pluri-alvéolaires, les trous du dit élé- ment présentent chacun un bord en gradin agencé pour recevoir une collerette entourant l'extrémité ouverte du moule-emballage s'emboîtant dans ce troua
Dans une variante de réalisation, les bords des trous traversants sont agencés pour maintenir, par serrage, les extrémités ouvertes des moules- emballages, que l'on engage alors par en dessous dans les dits trous, ceux-ci pouvant par exemple être légèrement coniques, présenter une surface rugueuse9 un filet en hélice, etc...
L'élément de coulée peut en outre, quelle que soit sa réalisation par ailleurs, pour grouper et maintenir les moules, être agencé pour porter le poids de ces moules, par exemple en comportant la combinaison d'une pla- que perforée et d'une contre-plaque destinée à supporter la base des moules- emballages, cette contre-plaque étant éventuellement accrochable à la dite plaque perforée, voire par un dispositif permettant de régler à volonté la distance entre elles.
On peut aussi, dans le cas d'élément de coulée à trous à gradin, établir ces trous de façon à permettre d'y faire passer les moules- emballages à l'exclusion de leur collerette, de façon que ces moules qu'on introduit alors par en dessus s'y trouvent suspendus par cette collerette re- posant sur le dit gradin, de préférence de façon que la surface extérieure de cette collerette affleure le dessus du dit élément de coulée. Ou encore on peut constituer l'élément de coulée par un bloc alvéolé à alvéoles borgnes ou non, destinés à recevoir les moules-emballages de façon que ces derniers reposent dans ces alvéoles en s'appuyant sur les parois de ces derniers et se trouvent ainsi supportés.
A titre d'exemples nullement limitatifs, on a représenté sur le dessin ci-joint diverses formes de réalisation de l'invention.
Dans ce dessin g la fig, 1 est une coupe longitudinale d'un moule-emballage mono- alvéolaire pour suppositoires; la fig. 2 est une vue analogue d'une variante pour ovule; la fig. 3 représente en vue extérieure une variante d'un moule- emballage pluri-alvéolaire; la fig. 4 est une vue extérieure partielle d'une variante de la fig. 3; la fig, 5 est une vue extérieure, en perspective, d'un moule-em- ballage en forme de boîte, celle-ci étant représentée fermée; la fig. 6 est une coupe de la boîte représentée à la fig. 5, ses trois parties constitutives étant figurées déboîtées et écartées les unes des autres; la fig. 7 représente la boîte moule-emballage de la fig. 6 en po- sition d'utilisation, tête en bas, pour la coulée des suppositoires;
la figo 8 représente, en coupe, une boîte moule-emballage à fer- meture individuelle de chaque alvéole,
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les figs. 9 et 10 sont des coupes longitudinales de deux varian- tes de réalisation de moules-emballages; la fig. 11 est une vue partielle, en plan, d'une plaque de coulée porte-alvéoles à orifices rectangulaires à bord en gradin; la fig. 12 est une vue, analogue à la précédente, d'une plaque de coulée porte-alvéoles à orifices circulaires; la fig. 13 est une vue en coupe, à plus grande échelle, sensi- blement suivant la ligne III-III de la fig. 11, montrant en outre un moule- emballage à alvéoles multiples en ligne, avec collerette de maintien de cha- que élément de moule-emballage;
la fig. 14 est une coupe à plus grande échelle, sensiblement sui- vant la ligne IV-IV de la fig. 12, montrant en outre deux types de moules- emballages individuels prêts à être introduits dans les trous de la plaque perforée; la fig. 15, enfin, est une coupe axiale, à plus grande échelle, d'un alvéole de moule-emballage comportant deux tronçons s'emboîtant par un plan de joint passant par l'axe géométrique de l'alvéole et une calotte s'emboîtant sur les deux tronçons précités.
Dans l'exemple représenté à la fig. 1, le moule-emballage compor- te un tronçon 1 sensiblement cylindrique sur une extrémité duquel s'emboîte une coiffe ogivale 2. La matière en est avantageusement une matière plasti- que, opaque ou transparente, de préférence rigide à la température ordinaire mais elle pourrait aussi être sounle, consister en gélatine, etc... L'au- tre extrémité du tronçon lest fermée par unfond rapporté 3 qui se fixe au tron- çon par utilisation des propriétés d'auto-soudure ae .La matière utilisée lors- qu'il s'agit de gélatine ou d'une matière plastique.
Pour couler le supposi- toire, on dispose ce moule-emballage la pointe en bas appuyée sur un support et le fond3 enlevé; on coule alors la matière dans le moule; on rase ce der- nier et l'on ferme.l'extrémité de coulée du tronçon 1 en fixant en place le fond 3, L'ensemble est alors mis tel quel dans le commerce. Pour utiliser le suppositoire on tire sur la coiffe 2 pour la séparer du tronçon 1 et l'on sert ensuite le suppositoire de celle des deux parties, 1, 2, à laquel- le il a pu rester attenant.
La variante représentée sur la fig. 2 illustre l'application de l'invention au cas d'un moule-emballage multi-alvéolaire. Sur cette fi- gure, chaque alvéole du moule-emballage comporte deux tronçons la - 2a emboi- tés l'un sur l'autre, le tronçon la étant solidaire de la plaquette 4 servant à la liaison des alvéoles. L'obturation des alvéoles après la coulée des suppositoires se fait soit individuellement par alvéole au moyen d'une pas- tille dont on fixe les bords sur la plaque 4, soit simultanément pour tous les alvéoles au moyen d'un couvercle s'emboîtant, par pression, sur la plaque 4 ou coulissant, et guidé par la dite plaque.
Ce mode de fermeture est celui du moule-emballage multi-alvéolaire représenté à la fig. 3 où chaque alvéole comprend deux tronçons 1c et 2c analogues aux éléments 1 et 2 du moule-embal- lage mono-alvéolaire représenté à la fig. 1. Sur la plaquette 4c qui solida- rise les uns avec les autres les différents tronçons 1c coulisse un couvercle amovible 5 à section transversale en forme d'U très plat dont les ailes pré- sentent chacune un rebord dirigé vers l'intérieur de façon à constituer deux rainures dans lesquelles sont engagés les bords opposés de la plaquette.
Dans une variante, au lieu d'être coulissant, le couvercle 5 peut être du type à emboîtement, sous pression, sur la plaquette 4c.
La variante représentée sur la fig, 4 présente un agencement sy- métrique de la réalisation de la fig. 3. Le couvercle 5a est alors agencé sous forme d'un H très plat dont les ailes sont réalisées comme celles du couvercle 5 de la fig. 3.
Le moule-emballage formant boîte représenté aux fig. 5 à 7 com- porte une paroi extérieure formant un corps parallélépipédique 7 ouvert des- sus et dessous, à l'intérieur duquel des cloisons 8, venues de préférence de
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moulage avec la paroi extérieure, délimitent des tronçons dyalvéole 1d; sur ce corps, 7;, et du côté où les tronçons d'alvéolé offrent la moindre section s'emboîte un fond 9 présentant en regard du débouché de chaque alvéole une petite dépression 10 La fixation en place de .ce fond peut se faire par tous les moyens usuels suivant sa matière constitutive et celle du corps 7, avanta- geusement une matière plastique;
sur l'autre face du corps 7 s'emboite un couvercle 11 à l'intérieur duquel est rapportée et fixée une cloison 12 fa- çonnée de manière à former au droit de chaque tronçon 1d un deuxième tron- ion 2d constituant avec le précédent l'alvéole de moulage. Pour couler les suppositoires, on renverse le corps 7 et on le pose sur le couvercle 11 éga- lement renversé, comme le montre la fige7; les alvéoles de moulage sont ainsi constitués; on pose alors sur le corps 7 une plaque perforée 13 et on coule par ses trous la matière constitutive des suppositoires ; rase le mou- le puis on enlève la plaque-13l'on fixe en place le fond 9 et l'on retourne la boîte qui peut être mise diréctement en vente.
En enlevant le couvercle 11, on découvre les extrémités supérieures de tous les suppositoires contenus dans la boîte, lesquels en l'espèce ont été figurés sous la forme dite "tor- pille", le plan de joint des deux tronçons d'alvéole étant alors ménagé au droit du maître-couple du suppositoireo
Dans la variante représentée à la fig. 8 un léger chambrage est ménagé à l'extrémité de plus grande section de chaque tronçon d'alvéole le du corps de boite 7e et dans chacun de ces chambrages s'encastre l'extrémité du deuxième tronçon d'alvéole 2ej les divers tronçons 2e sont ainsi indépen- dants les uns des autres ainsi que du couvercle 11e et s'enlèvent isolément, le couvercle lle.ayant alors pour fonction de les maintenir en place.
Les figs. 9 et 10 se rapportent à des moules-emballages dont chaque alvéole comporte'deux tronçons 101 et 102 (ou 101a et 102) s'emboî= tant suivant uri plan de joint passant par l'axe géométrique de remballage., les deux tronçons précités étant maintenus, par leur extrémité ouverte, dans la plaquette de liaison 104 (ou 104a).
Sur les figs. 11 et 13, la plaque 21, qui peut être en métal, en matière plastique, etc..., comporte des orifices rectangulaires 22 dont le bord présente un gradin 23o La profondeur du gradin précité correspond sen- siblement à l'épaisseur de la collerette de liaison 25 qui assure la réunion de plusieurs éléments de moule-emballage 26 et qui peut recevoir un couvercle coulissant, ou à emboîtement, par exemple le couvercle 5 ou 5a mentionne plus haut. Par ailleurs,les dimensions maxima des orifices 22 correspondent sen- siblement aux dimensions (longueur et largeur) de la collerette 25.
Pour la confection et l'emballage de suppositoires par exemple, on garnit chacun des orifices 22 d'un moule-emballage à alvéoles multiples 25-26, le débouché de chaque alvéole à remplir se trouvant au niveau de la surface supérieure de la plaque 21. On coule ensuite, sur la plaque en ques tion, la matière à suppositoire qui pénètre dans les alvéoles des moules-em- ballages et les remplit.
Un coup de raclette suffit pour enlever tout excès de matière à la surface de la plaque 21 et des collerettes 22, après quoi il suffit de retirer les moules-emballages.garnis des suppositoires coulés et de les munir de leurs couvercles,
Il est bien évident que tout ce qui a été dit ci-dessus au sujet de moules-emballages à alvéoles multiples et à collerettes rapplique égale- ment à des moules-emballages individuels (un alvéole chacun) munis d'une col- lerette Sur les figs. 12 et 14, la plaque 31 est percée de simples trous 32 (ici circulaires) permettant d'engager, à force et par en dessous;
, les ex- trémités ouvertes 33a, 34a, etc.... de moules-emballages 33, 34, etc..., re- présentés ici sous forme d'éléments isolés pour ovules, etc..., mais qui bour- raient aussi être établis' sous forme de groupes dont les éléments seraient réu- nis par des moyens de liaison appropriés quelconques.
Les trous 32 présentent une légère conicité permettant l'engage= ment-. aisé, par en dessous., des,éléments'de moules-emballages. Ces trous peu- vent être lisses ou rugueux ou encore comporter un filet de vis procurant le maintien des éléments précités dans la plaque.'
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Dans une variante, on peut également prévoir, pour le maintien des moules-emballages dans les trous 32 de la plaque 31, une contre-plaque (non représentée sur le dessin) qui s'appliquerait sur les extrémités des moules-emballages, opposées à celles où se trouvent les trous de remplissa- ge.
Dans le cas des figs. 12 et 14, la coulée s'effectue de la manie-. re indiquée précédemment au sujet des figso 11 et 13.
Sur la fig. 15, on a désigné par 201 et 202, deux tronçons d'al- véole emboîtés suivant un plan de joint 203 et dont une extrémité est mainte- nue dans une plaquette de liaison 204.
L'extrémité opposée des tronçons 201 et 202 est maintenue par une calotte 205 emboîtée sur les tronçons précités, suivant un plan transversal de joint 206 disposé entre le plan renfermant le maître-couple de l'alvéole et l'extrémité de la calotte.
Bien entendu, l'invention, n'est nullement limitée aux détails d'exécution représentés ou décrits, lesquels n'ont été donnés qu'à titre d'exemple. C'est ainsi notamment qu'au lieu d'une plaque perforée de groupe- ment et de maintien des moules-emballages mono ou pluri-alvéolaires, on peut utiliser un bloc alvéolé à alvéoles borgnes ou non, destinés à recevoir les moules-emballages de façon que ces derniers s'appuient sur les parois des dits alvéoles et se trouvent ainsi supportés.
Il est par ailleurs évident que les moules-emballages mentionnés ci-dessus peuvent servir, d'une part, au moulage et à l'emballage de tous produits susceptibles d'être coulés, autres que ceux dont il a été fait men- tion jusqu'à présent et, d'autre part, à l'emballage seul de produits ou ar- ticles préfabriqués, par exemple des tétines, des bougies d'allumage, etc.
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