BE496827A - - Google Patents

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BE496827A
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    • GPHYSICS
    • G03PHOTOGRAPHY; CINEMATOGRAPHY; ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ELECTROGRAPHY; HOLOGRAPHY
    • G03BAPPARATUS OR ARRANGEMENTS FOR TAKING PHOTOGRAPHS OR FOR PROJECTING OR VIEWING THEM; APPARATUS OR ARRANGEMENTS EMPLOYING ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ACCESSORIES THEREFOR
    • G03B15/00Special procedures for taking photographs; Apparatus therefor

Landscapes

  • Physics & Mathematics (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Silver Salt Photography Or Processing Solution Therefor (AREA)

Description

       

   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  PROCEDE D'EXECUTION ET D'EXPOSITION D'UNE IMAGE PLANE DONNANT L'IMPRESSION 
DE LA REALITE. 



   La présente invention concerne-un procédé et des moyens pour donner à des images planes d'objets solides, obtenues notamment par photographier un aspect plus réel, au point que l'image semble être l'objet lui-même avec sa tex- ture, son relief et son épaisseur réelso   @   
L'invention concerne plus particulièrement des nouveaux procédés et tours de main ainsi que de nouveaux appareillages pour la mise en oeuvre des 'trois stades de l'invention, à savoir g 
1 ),la prise de   l'image,   
2 ) le développement et la réalisation de 1-'image ou du cliché à exposer 
3 )- L'exposition de cette   3.mage'ou   cliché. 



   Pour le premier stade,, l'invention concerne un procédé pour aména- ger, mettre en place et éclairer le sujet en vue d'exécuter une série de prises de vue avec une très grande rapidité, une fraction de seconde si   nécessiare.   



  Ce stade concerne également les moyens pour assurer l'éclairage nécessaire à cette série de prises de vues à grande   vitesseo   Il implique enfin un nouvel appareil pour effectuer ces prises de vue en série à grande vitesseo 
Le deuxième stade ou stade de production comprend un procédé utili- sant les clichés effectués au premier stade pour obtenir a) des négatifs de base en noir et blanc ou b) un jeu de négatifs séparant les différentes couleurs, ou c) des positifs entièrement colorés.

   Après quoi ce stade consiste à obtenir des images complètes ou partielles destinées à être combinées avec des images obtenues conformément aux solutions a), b), c)   ci-dessus,   de manière à donner 1?illusion ou effet désiré conformément à l'invention, de telles images étant obtenues par des moyens photographiques, électroniques ou tout autre moyen de - reproduction .approprié;, tel que offset, tirage à la presse, gravure ou analo- gue. 

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   Le troisième stade de l'invention ou stade d'exposition implique un nouveau moyen pour exposer les résultats des deux premiers stades (stade de prise de vue et de reproduction), tirés photographiquement ou d'autre maniè- re comme indiqué généralement ci-dessus et précisé ci-dessous en détail. Ce troisième stade peut également comporter des moyens pour exagérer et accentuer additionnellement les illustions ou effets désirés. 



   On a déjà fait antérieurement de nombreuses tentatives pour donner plus de réalité aux images planes d'objets solides. Quoique certaines aient abouti à un succès relatif pour donner une illustion de l'épaisseur et de la troisième dimension, sous certains angles limités et à certaines distances li- mitées, aucune de ces tentatives n'a été vraiment', couronnée de succès et n'a permis, dans les conditions d'observation normales, d'éviter que l'on ne s'a- perçoive qu'il s'agit d'une image en laissant croire au contraire que l'objet réel était effectivement présent. 



   On a constaté que la différence dans l'impression occulaire ressen- tie lorsqu'on fixe d'une part une image plane et d'autre part le ou les objets eux-mêmes, ne dépend pas essentiellement ou exclusivement de l'effet de relief ou effet stéréoscopique. On a constaté que la différence entre l'impression occulaire produite par l'image et l'impression occulaire produite par l'objet réel réside essentiellement dans la différence entre la brillance des différen- tes parties de l'objet ou groupe d'objets réel et la brillance des parties'cor- respondantès de l'image. Ainsi, plus est intense l'éclairement de l'objet, plus grande est la différence entre cet objet et son image.

   Par exemple, des objets solides réels soumis à un éclairage terne, diffus et faible, paraissait plus plats et plus analogues à une image plane lorsqu'ils sont vus à une dis- tance assez grande pour réduire l'effet stéréoscopique des deux yeux. Toute- fois, quel que soit le soin apporté à la reproduction des couleurs réelles sur une image, celle-ci ne peut pas donner l'illusion de la présence actuelle de l'objet solide lui-même, pour autant que l'échelle de brillance de ses dif- férentes parties diffère d'une façon appréciable, par rapport aux parties cor- respondantes d'un objet réel brillament éclairé et qui présente par suite des contrastes importants entre ses différentes parties. De plus, la, source qui éclaire un objet réel est en général vue ou tout au moins perçue,' aussi bien que l'objet lui-même.

   Au contraire, sur une image ordinaire, même si le cer- veau ne l'enregistre pas, l'oeil perçoit facilement qu'il n'y a pas de source de lumière réellement   présente,la   où l'image suggère qu'il y en a. En outre, la lumière réelle environnant l'image (c'est-à-dire la lumière de la pièce ou du local dans lequel l'image est observée) agit de la même manière sur toute la surface de cette image plane, en faisant évidemment ressortir son absence de relief, soit lorsque cette lumière se déplace, soit lorsque son intensité ou sa couleur change. Au contraire lorsque l'on observe un objet réel, l'oeil décèle que les.ombres et les points les plus brillants changent en fonction des changements de la source de lumière elle-même.

   Il est donc nécessaire de prévoir des moyens pour produire une image qui d'une part présentera une échel- le convenable de brillance, et d'autre part semblera se modifier comme un ob- jet à trois dimensions en fonction des changements de la lumière, tout au moins aux deux points de vue de l'intensité et la couleur si l'on ne peut pas l'obte- nir pour le mouvement. 



   Aux dessins annexés : 
La fige 1 est une vue en perspective par l'avant de l'aménagement possible d'un objet déterminé avec un dispositif d'éclairage approprié, montrant schématiquement les rayons lumineux au cours de la première phase d'éclairage. 



   La fige 2 est une vue analogue à la fig. 1 montrant la seconde pha- se d'éclairage. 



   La fig. 3 est une vue latérale de l'aménagement montré aux figs. 



  1 et 2. 



   La. fig.   4   montre un négatif photographique obtenu en utilisant la source A seulement, 
La fig. 5 montre un négatif obtenu à partir d'un positif dérivé 

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 du négatif de la fige   4.emplifiant   l'intensité lumineuse. Cette figure peut être considérée également comme la représentation d'un négatif obtenu en pla- gant un deuxième film en arrière du premier, de manière que celui-ci soit ex- trêmement sous-exposé. 



   La fig. 6 montre un négatif photographique obtenu en utilisant la source B seulement. 



   La figo 7 montre un négatif obtenu à partir d'un positif dérivé du négatif de la figo 6 emplifiant les ombres foncées, 
La   fig. 8   est une- vue par devant du positif lamellé tel qu'il est vu   par.de   la lumière réfléchie seulement. 



   La figo 9 est une vue par devant de ce même positif vu en lumière directe seulement, .La fige 10 est une vue par devant du même positif vu avec une com- binaison de lumière réfléchie et de lumière directe;, 
La fig. 11 est une vue développée de la reproduction photographi- que composite lamellée :

   en noir et blanc., 
La figo 12 est une vue latérale schématique à échelle exagérée de la reproduction photographique lamellée en noir et blanc de la fig. 11, 
La fig. 13 est une vue développée d'une autre forme de reproduc- tion photographique lamellée composite en noir et   blanc;

  ,   
La fig.   14   est une vue schématique latérale en dimensions exagé- rées de la reproduction lamellée de la fig. 13y 
La   fig-.   15 est une vue développée d'une reproduction photographi- que composite lamellée tirée avec des encres de couleur, 
La figo 16 est une vue schématique latérale en dimensions exagérées de la reproduction de la fig. 15, 
La fig. 17 est une vue développée d'une autre forme de reproduction lamellée composite tirée avec des encres de couleurs 
La figo 18 est une vue schématique latérale en dimensions exagérées de la reproduction de la fig. 17;

   
La fig. 19 est une vue développée d'une troisième forme de repro- duction composite lamellée tirée avec des encres de couleur, 
La fig. 20 est une vue schématique latérale en dimensions exagérées de la reproduction de la fig. 190 
La fig. 21 est une vue perspective par l'avant d'une forme possible de la boîte et du cadre de présentation et d'exposition des reproductions la- mellées, 
La fig. 22 est une coupe transversale de la boîte et du cadre de la fig.

   21, 
La figo 23 est une vue latérale d'un aménagement possible de l'ef- fet   d'éclairement,   en combinaison avec la boite et le cadre d'observation per- mettant d'augmenter l'illusion, 
La figo   24   est une vue en élévation fragmentaire d'une autre forme de la partie avant du cadre   d'observationo   
Pour mettre en oeuvre   1-'invention,   il faut réaliser une image pla- ne composite qui sera vue par l'observation avec la lumière directe et en com- binaison également, à des degrés variables, avec de la lumière réfléchie. 



   La lumière directe est derrière   l'image,   l'existence de cette lu- mière directe est et doit rester imperceptible à l'observateur qui sera ainsi convaincu qu'il observe l'image uniquement en lumière réfléchie. Cette condi- tion est extrêmement importante pour obtenir l'impression désirée, que l'on voit l'objet réel. 

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   La source de lumière réfléchie peut être simple ou multipleo El- le peut être la source d'éclairage ordinaire de la chambre, du local, ou tou- te source usuelle de lumière naturelle ou artificielle. L'observateur aura conscience de cette lumière normale exactement comme s'il observait l'objet lui-même. 



   Mais, en plus de l'existence réelle de cette source d'éclairage avant, il semblera y avoir une ou plusieurs sources de lumière réfléchie con- centrée en avant de l'image et semblant éclairer l'objet sous un ou plusieurs angles. Cette ou ces sources   imaginaires'sembleront   venir d'un ou plusieurs points situés à l'intérieur d'un cadre en saillie entourant l'image et ne seront pas visibles à l'observateuro 
Parfois,pour augmenter cet effet, une source réelle pourra être placée en dehors du cadre à un endroit où l'observateur pourra la voir. Elle aura pour but d'amener l'observateur à penser que cette source est soit la source principale soit tout au moins une source importante.

   Elle peut égale- ment servir à constituer une source de lumière extérieure fixe destinée à neutraliser la lumière ambiante incontrôlable et variable du local; mais tout d'abord une telle source visible aura pour effet d'éclairer le cadre et l'en- tourage mais non l'image; en outre, elle aura une intensité telle qu'elle pro- duira de la lumière réfléchie sur l'image mais qu'elle ne sera pas assez forte pour neutraliser la lumière directe venant de la face arrière de l'image. 



   Pour créer sur   l'image   l'effet ci-dessus indiqué résultant de l'éclairage avant, et également l'illusion d'une lumière avant concentrée sur le cadre alors que l'image est réellement éclairée par derrière, il est néces- saire de réaliser une image composite à partir des.divers clichés ou reproduc- tions obtenus à partir de l'objet éclairé tout d'abord seulement avec un éclai- rage avant uniforme, puis ensuite seulement avec une source concentrée placée sous un certain angle en avant de cet objet, ou inversement. Les clichés des sujets considérés doivent être pris rapidement en série car ces sujets étant susceptibles de se déplacer même d'une très faible quantité, il serait impos- sible, sans cela, d'obtenir une image composite dont les divers clichés soient convenablement repérés. 



   1  stade : Prise de l'image. 



   Dans l'exemple considéré   figso   1 et 3, on a supposé que l'objet à représenter était une bille polie appliquée sur une surface arrière plane, en avant de laquelle et à une certaine distance, est disposé un cadre 50. 



  Le cadre est représenté comme ayant une forme rectangulaire avec une ouvertu- re centrale rectangulaire à travers laquelle apparaissent la bille et sa sur- face d'appui arrière, mais d'autres formes de cadres peuvent être utilisées, Ce cadre peut être en carton, bois, métal ou autre matériau approprié, de pré- férence avec une surface rugueuse donnant du relief lorsqu'elle est éclairée sous un angle aiguo Il est préférable qu'il ait une couleur claire plutôt que foncée, mais l'invention n'est en rien limitée à ce point de vue. Au pre- mier stade,   on,fait   deux prises de vue photographiques du sujet éclairé par différentes sources pendant les différentes prises de vue. 



   Une source de lumière concentrée qui au dessin est schématisée par une ampoule électrique usuelle A, éclaire la bille et le cadre, ainsi que la partie de la surface arrière visible à travers ce cadreo Cette source est pla- cée dans un angle et en avant du cadre et de la bille de manière à porter om- breo A la fig. 1 le cadre et la bille sont représentés comme s'ils étaient éclairés par la source A seule. Des ombres foncées 51 et 52 sont portées sur la surface d'appui, par la bille et par le cadre respectivement, et un point brillant se forme sur la surface supérieure de la bille comme indiqué en 53. 



   La source concentrée A n'est pas obligatoirement un simple point tel qu'une lampe unique mais peut comporter plusieurs sources concentrées. 



  On peut utiliser des sources concentrées en deux ou plusieurs angles, néan- moins on ne peut évidemment pas utiliser trop de sources distinctes car cela tendrait à multiplier et à affaiblir les ombres, ce que l'on évite au contrai- re pendant la prise de vue, avec un sujet éclairé par une ou plusieurs sour- ces concentrées seulement. 

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   Parmi les diverses sources concentrées, il y aura de préférence une source dominante. Il est pratiquement nécessaire que cette   sourcep   lors- que la représentation apparait sous forme d'image finie, semble être à   l'inté-   rieur du cadre dans lequel l'image est exposée. Ceci nécessite que cette cour- ce dominante soit placée très près du sujet et elle doit créer une quantité d'ombre suffisante pour donner une bonne apparence de relief'lorsque le sujet est observé avec un seul oeil. Il est très désirable pour une telle prise de vue avec l'éclairage ci-dessus indiqué, que les objets constituant le sujet soient placés de manière à ne pas créer une multiplicité   dombres   superposées et un sentiment général de confusion dans la présentation d'ensemble.

   La con- fusion ne peut en effet pas être évitée dans l'observation d'une telle repro- duction plane puisqu'on ne peut pas compter sur l'effet stéréoscopique des deux yeux. 



   On a prévu une seconde source de lumière uniforme ou diffuse dési- gnée dans son ensemble par la lettre Bo Cette source peut être constituée par une rampe de lampes électriques disposées dans une monture appropriée, avec ou sans verre diffusant en avant des lampes. Il doit être entendu que l'inven- tion n'est pas limitée à une forme particulière d'éclairage uniforme, ni même, sous réserve des conditions exposées plus loin, à un éclairage uniforme, la forme représentée étant d.onnée simplement à titre d'exemple. 



   A la fig. 2, le cadre et la bille sont représentés comme s'ils é- taient éclairés par la source B seule. En la comparant à la fig. 1, dans la- quelle l'éclairage est assuré par la source A seule, on notera qu'à la fige 2 le cadre, la surface arrière et la bille sont presque.uniformément éclairés avec un point brillant 54 dans une position différente et moins concentrée que lorsque la bille est éclairée par la source A. L'ombre diffuse 55 en arrière de la bille n'est pas aussi sombre ni aussi nettement délimitée qu'à la fige l. L'ombre la plus sombre 56 a une petite surface, est directement sous la bil- le et est le seul élément d'ombre qui approche en intensité l'ombre 51 produi- te fig. 1 par la source A. 



   Suivant l'invention, le sujet sera photographié comme s'il était éclairé par la source concentrée A, puis immédiatement après, en série et de la même place exactement,   on.   prendra   sur -un   autre film une autre vue du même sujet éclairé par la source B, ou inversement. 



   On comprend qu'avec un sujet qui reste stationnaire, comme la bil- le représentée, il n'y a pas la même nécessité de prises de vue en séquence rapide que s'il s'agissait du portrait d'une personne vivante, d'une fleur ou analogue. De tels sujets sont sujets à se déplacer même très légèrement dans une fraction de seconde de sorte que, si deux prises de vue doivent être fai- tes sous des conditions d'éclairage différent, il est de la plus haute impor- tance que les prises de vue successives soient faites à. des temps aussi rap- prochés que possiblepar exemple séparées l'une de l'autre d'une fraction de seconde seulement. 



   Pour la description de   l'invention,   il sera suffisant de supposer que l'objetà photographier est stationnaire ou à mouvement relativement lent, de sorte que des prises de vue à séquence très rapide ne   soient.pas     nécessai-   res. On notera toutefois que l'invention est applicable aux deux types de su- jet et que la seule variante de mise en oeuvre, pour un sujet fixe et pour un sujet mobile, résidera dans la vitesse d'opération dont l'équipement photogra- phique utilisé est capable.

   Pour des sujets fixes ou à mouvement relativement lent, on peut utiliser des équipements photographiques existants sans aucun changement, pour autant   quel?on   presse les précautions nécessaires pour main- tenir l'appareil fixe et qu'aucun mouvement ou vibration ne se produise lors- que l'on change la plaque ou le film. 



     II - 2    stade .reproduction et tirage.- 
Le principe   de photographies   distinctes du sujet lorsqu'il est é- clairé par la source A, puis lorsqu'il est éclairé par la source B peut être utilisé soit pour obtenir une image en noir et blanc, soit pour obtenir une image en   couleurs,,   car l'invention peut être mise en pratique des deux maniè- 

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 res. On décrira tout d'abord l'obtention d'une image en noir et blanc. a) Reproduction photographique en noir et   blanc,,-   
Conformément à l'invention, on réalise une image composite sur une plaque transparente. Les éléments correspondants résultant'de la photographie du sujet lorsqu'il est éclairé seulement par la source concentrée A seront vus en lumière directe.

   Les éléments de l'image composite résultant de la photo- graphie du sujet lorsqu'il est éclaire par la source uniforme B seront vus prin- cipalement en lumière réfléchie. Dans ce qui suit les éléments résultant des deux expositions différentes seront désignés par A et B avec des chiffres en exposants. 



   Comme on le voit fige 4, Al est un négatif légèrement sous-exposé obtenu par un film photographique en noir et blanc, de préférence sur un film donnant une très grande latitude et un gamma élevé, de manière à donner tous les détails des lumières et des ombres. Le négatif sous-exposé   doit¯également   être sous(developpé de manière à donner une densité relativement faible et augmenter par suite la gamme (ce négatif a été obtenu avec le sujet éclairé seulement par la source A) On notera que par sous-développement, on entend un développement effectué avec un révélateur faible. De ce négatif unique A1, on tire un positif A2 (non représenté) sur un film ou une plaque, soit par contact soit par projection, si l'on veut un agrandissement.

   Ce positif est sur-exposé de manière à ne donner des détails que pour les parties très éclai- rées. De ce positif on tire un second négatif A3   (figo   5). Pour réduire en- core plus le détail des ombres et des zones demi-ombrées, et à ne laisser par suite de détail que dans les zones très éclairées, ce second négatif A3 est sous-exposé. 



   On dispose ainsi de deux négatifs Al et A3 (figs.   4   et 5), A1 com- portant des détails à la fois dans les zones très éclairées et dans les ombres et A3 ne présentant de détails que dans les zones très éclairées, Al étant un négatif transparent sous-exposé et sous-développé comme indiqué ci-dessus,   Du négatif A1, on'tire un positif A2 (figs. 11 et 12) sur une plaque Pl ayant une émulsion a haut contraste et forte densité, bien développé, de manière   à obtenir un dispositif dense dans lequel les parties correspondantes aux om- bres les plus foncées sont très noires et denses, et où les points les plus lumineux sont complètement clairs.

   Le but du positif obtenu à partir de Al comme il vient d'être décrit, est de constituer le moyen qui, en coopération avec les rayons lumineux directs passant à travers les zones transparentes, donnera les formes, ombres et lumières produites par la source lumineuse A. 



  Comme l'image est dans son ensemble très dense, la lumière transmise devra être d'une intensité telle qu'elle donne dans la gamme des gris, les détails qui figuraient sur l'objet. Plus la lumière est intense, meilleur est le ré- sultat, pourvu que la gamme de densité de la plaque soit calculée en fonction de l'intensité de la lumière directe. 



   En variantes des moyens pour réaliser le positif A2, on obtiendra un meilleur résultat si, au lieu de réaliser un négatif sous-'exposé Al, on pla- ce deux films l'un derrière l'autre en donnant une exposition convenable de manière à obtenir une sur-exposition sur le film avant et une sous-exposition sur le fil arrière dont l'obtention est aidée par la présence de la couche sen- sible arrière du film avant. Un mince film neutre supplémentaire de densité, peut être également utilisé entre les deux films lorsque.la vitesse d'émulsion du film arrière, différente de celle du film d'avant, n'est pas assez lente encore par elle-même. Le film arrière sera légèrement décalé par rapport au foyer.

   Il en résulte que les points brillants (point principal ou seulement détails apparaissant sur le film arrière) seront légèrement plus grands que la normale ce qui les amplifiera avantageusement. Ces deux négatifs peuvent être utilisés, soit successivement, soit   simultanément   en regard comme un né- gatif simple pour reproduire le positif A2. Dans ce cas, le film arrière est utilisé comme un négatif A3. Ce procédé peut être   ùtilisé   pour des tra- vaux spécialement difficiles ou fins. 



   Ayant ainsi un positif A2 d'une large gamme de densité, il faut chercher à obtenir le maximum de lumière dans les zones les plus brillamment 

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 .éclairées du   suiet     (noints     brillants).   A cet effet, on reproduit sur un film transparent un positif à partir du négatif A3. Ge second positif A4 (non- représenté) donne des détails pour les points lumineux seulement. Pratiquement seuls les points brillants apparaitronto 
On en fait un tirage sur du Transfax Kodak blanc ou produit analo- gue sur lequel les parties affectées par la lumière disparaissent au dévelop- pement, la couche de   cransfax   ou analogue ayant été appliquée sur le posi- tif développé A2 (voir WA5 fig. 11).

   Ainsi les points brillants qui dans le sujet produisaient presque une réflexion totale deviendront clairs. Si les points brillants du négatif A3 sont larges et ont des bords   diffus;,   le positif A doit être de demi-teinte, par exemple en utilisant un écran entre le néga- tif A3 et le positif A4. 



   On obtient ainsi une image composite constituée de deux couches (A2 et WA5) qui est aménagée pour être vue seulement par transparence en lu- mière directe. A cette image on ajoute de la manière qui va être   décrite,. une   image composite destinée à être vue en lumière réfléchie, la couche blanche ;.'. 



  WA 5 indiquée ci-dessus servant, si nécessaire, de fond arrière   blancm   
Comme on le voit fig. 6, un négatif B1 est obtenu par tirage sur un film en noir et blanc avec le sujet éclairé par la source B seulement. Pour donner les détails des ombres et pas les détails de la lumière, ce négatif est très sur-exposé et normalement développé ou légèrement sous-développé. 



   Du négatif Bl on fait un positif B" non représenté, qui est sous- exposé, de manière à ne donner aucun détail pour les points brillants et les zones moyennement éclairées. 



   Du positif B" on fait un autre négatif B3 (fig. 7) qui est sur-ex- posé pour que les détails soient encore   réduits,   qu'ils n'apparaissent que dans les ombres, et que même là ils soient minimum. Ainsi seules les ombres les plus sombres apparaîtront. 



   On dispose ainsi de deux'négatifs Bl et B3 provenant de l'exposi- tion du sujet à l'éclairement B (voir figs. 6 et 7). 



   En partant du négatif Bl (normalement contrasté et ne comportant aucun détail dans les zones brillantes) on tire un positif B2 sur une plaque 
P2 (voir figs. 11 et 12). Ce positif est sous-exposé et sous-développé en donnant un tirage avec des détails dans les ombres, encore accentués par cet- te sous-exposition. Ce tirage est fait avec le négatif inversé de sorte que l'on obtient un positif inverséo Cette inversion est nécessaire parce que ultérieurement on place la face émulsionnée de la plaque P1 avec l'image com- posite A contre la face émulsionnée de la plaque P2 portant l'image B, de sorte que les deux images soient l'une contre l'autre et évidemment en concor- dance. 



   En variante des moyens de reproduction de B2 à partir de Bl, les points brillants correspondants à la source lumineuse A peuvent être accentués en appliquant le négatif A3 sur le négatif B2. et en tirant les deux en .même temps. Il en résultera que   lon   ajoutera à l'image B2 des places.claires cor- respondant aux points brillants 53 de l'image A2 de sorte que la lumière direc- te passant à travers P1,A1,WA5, B et P2 brillera librement en ces points. 



   Une autre variante pour le même but, qui toutefois supprime la né- cessité de mettre en concordance Bl et A3 pour le tirage, consiste à faire la prise de vue conduisant au négatif Bl, pendant que la source A à brillance ré- duite illumine encore le sujet, en évitant ainsi de créer des ombres visibles sur le sujet déjà illuminé par la source B. Ainsi apparaitront les points brillants désirés 53 provenant'de la source A, mais pas les ombres correspon- dantes. Quelques ombres légères difficilement visibles peuvent apparaître le but étant simplement d'éviter aussi pratiquement que possible toutes ombres provenant de la source A. 



   Sur l'avant du positif B2 on dépose une nouvelle couche telle que du noir Pittman ou autre produit analogue pour obtenir un noir plus sombre que celui que l'on peut obtenir avec n'importe quelle émulsion photographique. Sur 

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 cette couche on fait un tirage avec le négatif B3 (détails dans la ombres) de manière à obtenir un tirage positif B4 avec des ombres très noires. A part ces ombres, cette couche sera claire, Comme pour le tirage du positif B2, le positif B4 sera tiré inversé. Les mêmes résultats peuvent être obtenus par retouche à la main ou en employant le procédé de tirage à l'écran de soie, pour autant que l'on utilise un corps très absorbant de la lumière, par exemple de l'encre, une teinture ou des pigments très noirs, 
En se référant à la fige 11, on voit que la plaque P1 est à gauche. 



  A côté d'elle se trouve le porte-émulsion et le tirage positif A2 qui est den- se et sombre, avec les ombres les plus profondes très opaques.. Sur le devant de A2 est placé le tirage WA5 sur lequel apparait le point brillant 53. Si il est obtenu en utilisant du transfax (comme fige 11) ce tirage sera blanc excepté aux points brillants où il sera claire 
A côté est placé le tirage positif B4 qui vient d'être décrit et qui est clair, à part les ombres les plus noires.

   A côté et entre B4 et la plaque de verre supérieure P2,est placé le tirage positif B2, qui comporte des détails dans les ombres et dans les zones intermédiaires mais qui est clair dans les zones blanches et très lumineuses'et peut aussi rester clair- dans les zones des points brillants 53 produits par la source lumineuse A; c'est un tirage faible de sorte que B2 comme B4 peut être vu en lumière ré- fléchie étant recouvert par derrière par la couche blanche'de WA5. 



   Au lieu de faire le tirage sur deux plaques, il est également pos- sible de réaliser une image sur une plaque comme représenté fig. 13 et 14. 



  Dans ce cas, la plaque de verre P3 porte le tirage positif A2 provenant du négatif Al, tiré sur elle comme précédemment décrit, avec les détails dans la lumière et dans les ombres, et en outre de la graduation et de la densi- té. 



   Ensuite, sur un film distinct on tire le positif normal ou à demi- teinte identique à A4, en utilisant le négatif A3 de la manière ci-dessus in- diquée. Ensuite, on fait un négatif B1H1 à demi-teinte très lumineux (no repré- senté) à partir d'un positif intermédiaire non représenté provenant de B1. 



  Ensuite, sur du transfax ou analogue, on fait un tirage en utilisant le posi- tif A4 {pour donner les points clairs brillants 53 provenant de la source A) et le négatif B1H faible à demi-teinte, tous deux en coïncidence. Il en résul- te WB2. Comme   ouatait   les tirages sur transfax ou analoguejles parties af- fectées par la lumière disparaissent. Il en résulte que l'utilisation du né- gatif B1H et du négatif A4 provoque l'effacement du transfax plus ou moins dans   les ombres produites par B1H et les points lumineux 53 provenant de A4 et reste plus ou moins dans les parties lumineuses correspondant à BiH.

   C'est ce   que l'on désire, parce que sous les ombres, il y a une tirage A2 qui, étant très dense, apparaît noir sous la lumière réfléchie, et que l'on verra à tra- vers, ce qui est nécessaire pour que les ombres plus ou moins transparentes et les valeurs médianes soient visibles en lumière réfléchie (voir fige 3). 



   A côté, par-dessus le transfax, c'est-à-dire le tirage WB2 ob- tenu à partir de A4 et BlH, on tire les ombres les plus noires en   utilisant   le négatif B3 et un écran de soie avec un noir spécial, noir Pittman ou ana-   logue.   



   L'image obtenue par l'un des moyens ci-dessus décrits sera une ima- ge photographique en noir et blanc et sera exposée de la manière qui va être décrite, en utilisant de la lumière directe aussi bien que de la lumière ré- fléchie. L'image obtenue de la manière ci-dessus, pourra être teintée à la main pourvu que les couleurs soient très transparentes et appliquées en couche mince. 



   Les procédés ci-dessus qui conviennent   pour   de petites quantités sont impraticables pour une production en   mas@e   Ainsi l'un des objets de l'invention consiste à prévoir des moyens pour produire les images en grande quantité, au prix et dans le temps minima, ce que   l'on   peut réaliser facilement en faisant des impressions à l'encre par voie électronique ou autre sur tout support approprié transparent ou translucide. 

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   b)     Tirage avec  des encres de couleur, 
Les prises de vue dans ce cas, sont faites avec les mêmes sources   déclairage   que décrites-précédemment.

   De même si l'objet n'est pas immobile, les prises de vue doivent être faites en séquence rapide; mais si il est   immo   bile, la nécessité des prises de vue   en.séquence   rapide n'est pas essentielle et l'on peut utiliser les équipements photographiques existants avec les mêmes précautions qu'indiquées plus haut. 



   En décrivant le tirage, il doit être bien attendu que l'on   n'exclue   pas les procédés de tirage en masse, le tirage proprement dit pouvant être fait de différentes manières. 



   On part comme base de n'importe quelle feuille telle qu'une matiè- re plastique transparente ou blanche ou du papier blanc de composition et grain très fin, avec un degré de transparence tel qu'il permette le passage de lumiè- re provenant de l'arrière, cette lumière se -répartissant uniformément sur tou- te la feuille. 



   La feuille de base peut servir à supporter l'application d'une dé- calcomanie si on le désire. A titre d'exemple particulier non limitatif,on décrira l'invention en partant d'une feuille ou plaque transparente. 



   La photographie prise du sujet éclairé par la source concentrée A, peut être faite sur Kodachrome ou plaque ou film simple analogue; elle peut être faite également par le procédé de séparation des couleurs sur des négatifs de sélection. En général, ces négatifs sont pris sur des films blancs et noirs à travers des écrans colorés, de manière à obtenir des négatifs enregistrant chaque couleur désirée.. Si on utilise du Kodachrome ou analogue, il est ensui- te nécessaire de faire de toute manière appropriée des négatifs de sélection de couleurs= il est néanmoins plus commode de prendre l'original en   Kodachrome   qu'avec une caméra à sélection des couleurs en une seule exposition, car l'équi- pement d'un tel appareil est plus encombrant. 



   Les négatifs de sélection des couleurs doivent être légers ou fai- bles avec une graduation élevée depuis les points les plus brillants jusqu'aux ombres les plus foncées, comme pour Al dans les tirages photographiques en noir et blanc précédemment décrito 
Ensuite, les différentes plaques pour tirage avec des encres ou des colorants, à savoir bleu, magenta, jaune, sont obtenus à partir des négatifs de sélection comme utilisés couramment dans ce mode de tirage. On peut égale- ment avoir recours pour le stade du procédé à un procédé électronique ou élec- trosatique avec poudre chargée électriquement au lieu du procédé habituel à plaque gravée 
Les plaques gravées sont ensuite utilisées pour faire des tirages avec des encres ou colorants transparents mais très denses sur la feuille de base transparente P4. 



   Pour certains sujets, il peut être nécessaire de mélanger certains pigments opaques avec les encres pour arrêter même davantage la quantité de lumière directe. Les négatifs utilisés pour faire les plaques étant très peu contrastés, l'utilisation d'encres denses   apporte   sur la face arrière le con- traste réel que l'on désire et qui existe sur le sujet photographié réel? On ajoute en général du noir qui doit avoir également ici la même densité ou une densité plus grande. Le résultat sera un ensemble A2c (voir fig. 15) équiva- lent à A2 dans le procédé précédent des tirages photographiques en noir et blanc. 



   Les taches lumineuses doivent être aussi claires que possible,   c'est   pourquoi le tirage à la presse n'est pas aussi avantageux que la gravu- re. Le tirage lithographique du noir convient bien dans certains cas. De toute façon;, le tirage doit être plus épais que les tirages normaux   transpa-     rents.   



   Ayant maintenant une image développée à partir de la source A (cet- te image devant être vue par transparence en lumière directe) on imprime sur sa face supérieure avec une encre blanche ayant un degré convenable de trans- 

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   lucid+.é   et de recouvrement. Cette impression blanche est destinée à fournir les zones blanches de l'image suivante B mais elle peut comporter certaines zones nues dans les parties les plus brillantes.

   S'il y a des zones nues, la lumière provenant de l'arrière (lumière directe lorsque l'image est exposée), sera pratiquement transmise en totalité dans ces   zones.   Mais si la lumière di- recte provient d'une source concentrée et qu'il n'y a aucune surface diffusan- te derrière les tirages, le 'blanc ne devra comporter aucune zone nue car la source lumineuse pourrait être visible. Ainsi, lorsque l'on utilise derrière l'image une source-concentrée de lumière   directe,   le manque de diffusion peut être compensé par l'image elle-même. 



   Le tirage en blanc est fait avec une plaque gravée préparée de la manière suivante 
On se rappelle que pour obtenir une image en noir et blanc, on pré- parait un négatif A3 ne donnant de détails que dans les parties les plus bril- lantes. Pour la préparation d'une plaque destinée au tirage à l'encre, le blanc sera apposé partout sauf dans les points les plus brillants. On prépare donc un négatif semblable à A3 à partir   d'un   ou plusieurs des négatifs de sélection de couleurs dont l'équivalent dans le noir et blanc était A1. Dans certains cas, les points brillants sont colorés; il est donc nécessaire de choisir les négatifs de sélection rentrant le mieux les points brillants.

   A partir de ces négatifs, on obtient un positif en noir et blanc A"c non représenté, en utili- sant le même procédé de prise de vue et de développement que pour obtenir A"; de ce positif on obtient le négatif A3c désiré (non représenté). Celui-ci est ensuite utilisé pour faire la plaque positive de gravure, destinée au tirage blanc Wac. 



   Ayant maintenant la partie d'image destinée à être vue en lumière directe et l'ayant recouverte par de   1:encre   blanche translucide, on va décri- re le tirage de l'image destinée à être vue en lumière réfléchie. 



   1 )   Avec un tirage noir   supplémentaire. 



   Avec le sujet éclairé par la source B, on peut obtenir les négatifs sélectionnant les couleurs (comme pour l'éclaireage par la source A) au moyen d'une caméra ordinaire de sélection dea couleurs en une seule exposition ou avec du kodachrome ou procédé analogue, étant entendu que comme précédemment., toutes les précautions ont été prises pour que la caméra reste parfaitement immobile et que le sujet ne se déplace pas entre le moment de cette prise de vue et le moment de la prise de vue avec la source A. 



   Si l'on utilise du Kodachrome avec l'éclairae B, on peut à partir de-ce Kodachrome utiliser les procédés négatifs de sélection des couleurs pour obtenir les négatifs de sélection. De préférence, les négatifs seront sur-ex- posés de manière qu'il y ait un minimum de détails dans les points brillants et un maximum dans les autres. De ces négatifs on fait les plaques gravées comme d'habitude pour de tels tirages, et   à   partir de ces plaques, on   tire;,   avec des encres très transparentes et très claires, une image composite B2c par dessus le tirage blanc. Ces tirages doivent être très clairs pour être visibles seulement en lumière réfléchie et être entièrement traversés par la lumière directe.

   L'épaisseur du tirage peut être contrôlée convenablement car la quantité d'encre d'impression dépend ordinairement de la quantité de pigments de la plaque de tirage ainsi qu'il est bien   connu.   dans cette technique. Ceci concerne le noir aussi bien que les couleurs élémentaires. 



   Il peut y avoir des ombres visibles même dans les parties les plus noires d'un sujet. On désire que ces ombres apparaissent. En conséquence, à côté du tirage du positif. B2c en couleurs et avec du noir suivant le procé- dé   Trichrome-et-noir   on fait un tirage additionnel avec une plaque de tirage noire supplémentaire, préparée comme il va êt e   décrit;

     
Comme le but que l'on se   propose   est d'obtenir une plaque pour ti- rer les détails des ombres les plus noires, on prend celui ou ceux des néga- tifs de sélection de couleurs résultant de   l'exposition   à la lumière   B,  qui montrent le mieux les ombres les plus noires et on les tire photographiquement pour obtenir un positif sous-exposé que l'on appellera B"c (non représenté). 

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  A partir de B'c on fait un négatif B3c non représenté qui est sur-exposé pour accentuer encore plus les ombres et ne montrant rien d'autres que celles-ci. 



  A partir de B3c on réalise la plaque de tirage supplémentaire et on   Inutilisé   pour tirer un noir supplémentaire B2 bk par-dessus l'image colorée composite B2c. Pour ce tirage supplémentaire l'encre doit être la plus noire (c'est-à- dire ayant le plus grand pouvoir d'absorbtion de la lumière) que l'on puisse trouver dans les encres   d'impression.   Il doit toutefois être tiré léger de manière que les coulèurs qui se trouvent derrière puissent être vues à tra- vers, en lumière directeo Comme il y a des couleurs, même dans les ombres les plus noires, tout au moins à un degré très faible, elles doivent si possible, apparaître, pour rendre la couleur réelle, mais si nécessaire on peut utiliser également une encre opaque car 1-'oeil ne détecte pas facilement la coloration des zones les plus sombres. 



   2 ) Avec tirage normal et tirage noir supplémentaire combinés.- 
Comme on le voit figs. 17 et 18, sans changer le mode de tirage qui vient d'être décrit pour les autres couleurs, on peut supprimer l'un des tirages noirs en combinant les effets des deux en une seule plaque de la maniè- re suivante :

   
La plaque de tirage en noir est obtenue à la fois à partir du né- gatif B3c comme ci-dessus, et du négatif utilisé pour le tirage noir normal mais, dans ce cas, le dernier est maintenu à un contraste très faible de ma- nière que lorsque la plaque obtenue à partir de ce négatif est utilisée pour le tirage avec une encre très absorbante de la lumière (en lumière réfléchie), on obtient un résultat B2Bk tel, que les ombres fondées seront aussi sombres que   lorsqu'on   utilise deux plaques de tirage noir et que les ombres les plus légères et les gris seront couverts à la valeur désirée   Duisque   ces zones sont tirées plus légèrement que la normale avec la même encre hautement absorbante. 



   3 ) Avec tirage blanc modifié et seulement un tirage   supplémentai-   re noir 
Comme on le voit   figso   19 et   20¯on   peut envisager encore une autre   variante pour la préparation de l'image destinée a être vue en lumière réfléchie. Dans les première et seconde possibilités de tirage coloré qui ont été   décrites, les images A2c et   WAc   étaient les mêmes, la différence entre les deux variantes résidant dans le tirage en noir. Dans la variante que l'on va décri-   re,  les images A2c sont les mêmes que   précédemment,-   et les couleurs (bleu, ma- genta, et jaune) ainsi que le noir supplémentaire de l'image B sont les mêmes que dans la première variante en couleur figs. 17 et 18. 



   Toutefois, la plaque normale noire des plaques usuelles de tirage en couleur n'est pas utilisée dans ce cas. A la place, on modifie la plaque pour le tirage en blanc de manière à ne pas tirer les points brillants extrê- mes à et ne pas tirer ou à ne tirer que très légèrement les zones noires, pour les raisons qui vont être exposéeso Pour obtenir la plaque de tirage en blanc, on transforme tput d'abord le négatif normal sélectant le noir et les couleurs, en un positif. Avec celui-ci on combine le négatif A3c tel qu'utilisé dans la première variante, pour obtenir la plaque de tirage en blanc. La plaque ainsi obtenue est le négatif de la plaque normale noire mais comporte en plus, en positif, les points brillants 53. Avec cette plaque, on tire (voir Wc) en blanc sur le dessus de A2c. 



   La plaque de tirage en blanc ne reproduit pas ou ne reproduit que très légèrement les zones noires et les gris, puisque c'est une plaque négati- ve: quant aux points brillants extrêmes 53 qui, dans le sujet, étaient des points de réflexion totale ou presque.totale, le blanc ne sera pas tiré du tout car les parties correspondantes sont positives sur la plaque. Si l'on se rappelle que   l'on   a tiré sur le dessus des couches de couleur et de noir de A2c.   qui   en lumière réfléchie, étant très denses apparaissent toutes noires, il est clair que lorsque la plaque de blanc ne donne aucun tirage ou ne donne qu'un tirage léger,ce noir apparaitra à travers en permettant aux noirs et gris d'être vus en lumière réfléchie.

   En même temps, le fait de ne pas tirer les points bril- lants 53 permettra à ces points de briller par l'arrière, c'est-à-dire d'être 

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 fournis par la lumière directe. 



   Pour exécuter les images de certains sujets, le tirage peut être fait sur les faces opposées d'une feuille de papier blanc translucide. Dans le cas, le papier remplacera le tirage blanc sur le dessus de l'image dévelop- pée provenant de   l'éclàirage   en source A. Les difficultés d'amener en concor- dance les images provenant de la source A, imprimées sur une face du papier opposée à celle   ou*'sont   imprimées les images provenant de la source B, peuvent être surmontées en prenant les précautions appropriées et en utilisant les pro- cédés connus. 



   Bien que l'on ait décrit trois variantes à titre d'exemple, on con- çoit que l'ionvention n'est ,pas limitée   à   ces trois cas. c) Tirage   photographique   en couleurs.- 
Pour le tirage photographique de l'image en couleurs on adopte un processus semblable à celui qui a.été décrit, en ce sens que la prise de vue avec éclairage par la source A est imprimée transparente, de manière à être vue seulement par la lumière directe, tandis que la prise de vue faite avec éclairage par la source B est tirée   pour   être observée en lumière réfléchie. 



  Entre ces   deux   tirages, est interposé un tirage en blanc sur transfax ou ana- logue, une couche de laque blanche ou une feuille de matière 'translucide pour tirage photographique utilisant un écran'de soie ou analogue..   .   



   Pour la prise de vue avec éclairage par la source A, on utilise du Kodachrome ou analogue9 Ici comme précédemment, il est souhaitable de sous- exposer pour avoir une image dense et pour accentuer les points lumineux; mais, par suite des possibilités limitées du film et même en utilisant des fil- tres de correction des couleurs, on ne peut satisfaire les conditions de sous- exposition que partiellement. La sous-exposition du Kodachrome, tout en don- nant un bon contraste pour les points lumineux, ne donne pas assez de   profon-   deur ni assez de détails dans les zones sombres.

   En conséquence, on complète le Kodachrome par un tirage photographique en noir et blanco Le négatif de cette prise de vue en noir et blanc sera fait avec éclairage en source A en   même temps que la prise de vue en Kodachrome, mais le noir ét blanc sera très sur-exposé parce que on désire renforcer seulement les zones noires. Il n'est   pas désirable d'ailleurs de renforcer toutes les zones. Il est possible avec les appareillages existants de faire les deux prises de vue à la fois sur deux films différents. Comme le film kodachrome est normalement moins -rapide que le film noir et blanc,la même exposition qui sous-expose le kodachrome, sur- exposera le noir et blanc si l'on utilise un film noir et blanc assez rapide. 



  Même s'il en résulte une sur-exposition insuffisante, la durée de l'exposition peut être augmentée et un filtre neutre de densité peut être utilisé avec le kodachrome (contre le film) pour que son exposition ne soit pas également pro- longée. 



   Il n'est pas toujours nécessaire d'utiliser le noir et blanc sup- plémentaire car comme on va le voir, l'image prisé avec l'éclàirement B com- pensera dans une certaine mesure le manque de détails dans les ombres les plus profondes de l'image obtenue avec l'éclairage   A.   Ayant ainsi le Kodachrome (que pour plus de commodité l'on appellera AK) et le noir et blanc sur-exposé négatif non¯représenté que l'on appellera Aa', on tire à partir de Aa' un po- sitif Aa2 non représenté. Ce positif peut être tiré directement par dessus le Kodachrome en y appliquant préalablement une couche d'émulsion. Le positif sera sous-exposé pour donner dès-détails dans les ombres seulement. 



   Evidemment,le procédé habituel de transfert de colorants peut être également utilisé pour faire l'image colorée équivalente à AK pourvu que la concentration de couleurs soit suffisante   polit   donner la densité désirée. Ce procédé de teinture est avantageux lorsque l'on désire faire une image agran- die ou faire une quantité   d'images..   Elle évite également la nécessité d'un noir et blanc supplémentaire, car en produisant les négatifs sélectifs des couleurs, on peut assurer un meilleur contrôle. On peut également utiliser un procédé de coloration à la main du type Flexachrome. 



   Par-dessus l'image composite des couleurs et des ombres, on appli- 

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 que une couche blanche par tirage photographique, par exemple avec un écran de soie ou avec du transfax de la manière décrite précédemment, pour obtenir des zones claires pour les points brillants ou bien l'on applique une couche   delaque   blanche projetée ou une feuille de matière translucide.

   La laque ou matière translucide couvrira toutefois toute la surface ce qui provoquera un manque facheux dans les points brillants.- 
L'image B est exécutée suivant les principes décrits ci-dessus en ce qui concerne les tirages photographiques en noir et blanc et les tirages en couleurs avec des   encreso   Dans le cas considéré de tirages photographiques l'image B s'est faite de préférence par le procédé connu de transfert en cou- leurs sur une plaque ou un film séparé et appliqué sur l'image Ao 
En exécutant l'image B sur une plaque ou film séparé,   l'image   est inversée de manière à pouvoir être appliquée directement contre la couche blanche (qui est sur le dessus de l'image A)' sans qu'il y ait aucune plaque ou film entre les deux.

   En variante, le transfert de couleurs de l'image B' peut être fait directement sur une couche de gélatine formant une base sur le dessus de la couche blanche précédemment appliquée par dessus l'image Ao 
Le tirage par le procédé de transfert de colorants peut être con- trôlé comme le   conçoivent   tous les spécialistes, de manière à obtenir un tira- ge très léger.

   Pour les mêmes raisons que pour les variantes précédemment dé-   crites,   il faut avoir un tirage très léger pour l'image Bo Ce tirage léger est avantageusement renforcé dans les zones noires de la même manière que dans les réalisations précédemment décrites de   l'inventiono   Pour renforcer les noirs, on peut appliquer un pigment noir ou de la teinture par transfert de colorant ou par le procédé Carbro, ou avec du noir Pittman, ou avec de l'en- cre en utilisant un écran de soie,soit directement., soit sur la face arrière d'un film ou plaque de verre'transparent. 



   Il en résulte une image A, renforcée ou non dans les zones noires, .qui sera vue en lumière directe. On ajoute par dessus une couche ou une im- pression blanche; ensuite une image B appliquée par transfert de colorants dans la gélatine ou comme film séparé par dessus l'impression blanche, cette image B devant être vue en lumière réfléchie. 



   III - Troisième stade :exposition de l'image compsite.- 
Pour exposer convenablement l'image plane composite,,   ondoit     utili-   ser un cadre ou appareillage spécial d'exposition (voir figs. 21, 22 et 24) 
Pour beaucoup de sujets, il faut un cadre autour du sujet au moment de la prise de vue, de manière que ce cadre apparaisse sur l'image et donne une surface de comparaison qui recevra principalement la lumière de la ou des sources concentrées A. Pour obtenir le meilleur résultat, il est désirable que ce cadre soit exécuté en un matériau   aasez   rugueux pour donner des gradua- tions dans'les ombres légères et donner une apparence ou une sensation de la texture du cadreo Ceci a pour but de provoquer une réaction   psychologique   en donnant davantage l'impression que la lumière est en avant.

   Il faut en effet avoir toujours présent à l'esprit,que l'observateur ne doit pas avoir l'impres- sion qu'il voit quelque chose de transparento 
Le but principal est d'une part d'éviter la sensation de trans-   parence,   et d'autre part de donner à l'observateur la sensation que l'image et le sujet qu'elle représente sont vus uniquement en lumière réfléchie. On doit donc avoir l'impression que la source principale de lumière est seulement sur la partie avant du cadre. Le but est de suggérer l'existence de la sour- ce concentrée A qui était réellement présente lors de la prise de vue. La sour- ce diffuse B est réellement constituée par l'éclairage normal de la pièce. 



   Le cadre extérieur qui va être décrit peut être utilisé pour expo- ser l'image, qu'elle soit tirée avec des encres ou   photographiquemert   qu'elle soit en noir et blanc ou en couleurs. 



   Le cadre est généralement de même forme qu'un cadre de tableau or- dinaire, mais peut avoir tout contour ou forme extérieur désiré. Dans l'exem- ple représenté (voir figs. 21 et 22) il est rectangulaire. La tranche avant 

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 du cadre comporte quatre plans tels que 20, qui se coupent en constituant une surface rectangulaire continue, ces plans étant inclinés vers l'extérieur et vers l'arrière. Ils coupent quatre autres surfaces planes 21 inclinées vers l'intérieur et vers l'arrière, c'est-à-dire vers l'image. L'angle d'inclinai- son n'a pas d'importance, et il n'est pas nécessaire que les surfaces 20 et 21 soient inclinées pour se couper suivant une arête en saillie. Les surfaces 20 peuvent être parallèles à l'image et couper à angle droit des surfaces 21 perpendiculaires à l'image.

   En arrière des surfaces 21 est disposé un paral- lélogramme de surfaces planes 22 se coupant à angle droit. Ces surfaces 22 sont en matière réfléchissante telle que par exemple de l'aluminium en feuil- le. Il est désirable que les surfaces 22 soient en retrait sous le cadre. 



  Il n'est pas nécessaire qu'elles soient visibles, mais il est plus pratique de réaliser le cadre de manière qu'elles le soient, et, dans ce cas, elles doivent être en matière réfléchissante. 



   Derrière les surfaces 22 est placée l'image I de préférence insé- rée entre des plaques de verre ou autre matière transparente maintenues dans le cadre par exemple dans une rainure de celui-cio Si les surfaces 22 sont visibles, il est préférable qu'elles soient directement adjacentes à l'image. 



  Il est évident que sans cela l'image devra être prolongée suffisamment pour que l'espace entre elle et les surfaces 22 ne permette pas à l'observateur de regarder à l'intérieur du cadre et de voir où l'image s'arrête. 



   Le cadre ou tout au moins sa partie avant peut être creuse comme en 26 et avoir des- parois arrières 24. Il doit avoir une épaisseur suffisan- te pour permettre à l'observateur de croire qu'une ou plusieurs sources de lu- mière sont disposées dans ce cadre. 



   En variante de construction, la partie avant ou partie directement visible 41 peut être soit plate soit munie d'un moulurage de cadre de tableau usuel, (voir fige   24).   La face arrière 42 de cette partie avant 41 peut être en matière réfléchissante, plate et parallèle à   l'image;

     elle peut venir cou- per une autre surface réfléchissante 44 perpendiculaire à l'image qui maintient la première à une certaine distance de cette image La surface réfléchissante   44   peut vouper une troisième surface réfléchissante 46 parallèle à l'image et raccordée ou tout au moins adjacente à son bordo Comme toutes les surfaces sont réfléchissantes, il n'est pas possible à l'oeil de l'observateur, de dé- tecter qu'il n'y a pas dans le cadre, de source de lumière correspondant à la source concentrée   A   qui existait réellement lorsque la prise de vue a eu lieu, 
Le cadre conforme à la fige 22 ou à la fig. 24 comporte une deuxiè- me tranche ou tranche intermédiaire comprenant quatre surfaces 27 se coupant en formant un rectangle. Dans chacune d'elles, part une paroi 27' parallèle à l'image.

   Les parois 27' sont munies d'une gouttière ou autre organe de main- tien des bords d'un organe de protection contre la chaleur. Cet organe est constitué par exemple par un écran comportant deux plaques de verre 28 et 30 écartées l'une de l'autre en réservant entre elles un espace d'air mort 29. 



  Cet espace d'air a pour but d'isoler l'image de la chaleur provenant de la lam- pe 31 qui va être décrite. L'une de ces plaques de verre ou les deux peuvent être résistantes à la chaleur ou absorbantes de la chaleur et ne pas être sus- ceptibles de se casser sous l'effet de la chaleur par exo en verre pyrex. 



  L'une des plaques de verre 28 ou 30 ou les deux peuvent être en verre dépoli ou nervuré ou tout autre verre diffusant analogue; il n'est pas nécessaire ce- pendant qu'il soit diffusant si l'on utilise un réflecteur convenable tel que celui qui va être décrit, ou si l'image comporte elle-même une surface diffu- santé. 



   La troisième tranche ou tranche réfléchissante de l'appareil de présentation comporte un réflecteur ou diffuseur 32 qui peut être de type quel- conque. Un type qui a été utilisé avec succès comporte simplement deux feuil- les convergentes d'amiante en arrière d'une¯lampe électrique 31. Le réflecteur ou diffuseur n'a pas besoin de comporter deux surfaces planes ; il peut en com- porter quatre ou davantage et n'a même pas besoin d'être constitué de surfaces planes. Tout moyen réfléchissant ou diffusant qui donne une lumière sensible- ment uniformément répartie sur les plaques de verre 28 et 30 et sur l'image sera satisfaisante. En fait, le but unique de la tranche arrière est de.four- 

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 nir une forte lumière distribuée régulièrement sur l'image I. 



   Dans la pratique, il est plus commode d'utiliser une seule lampe électrique. On a utilisé avantageusement des lampes photo flood n 2 pour couvrir une surface de 30x45 cm mais pour des buts commerciaux une lumière de même intensité et de durée plus longue peut être plus avantageuse. La quar tité de lumière diffusée à l'arrière de l'image doit être plusieurs fois plus forte que toute autre source de lumière utilisée antérieurement pour les pré- sentations normales par transparenceo 
Comme dans les lampes à incandescence courantes cette quantité de lumière produit une chaleur intense, il est nécessaire de prévoir des moyens pour ventiler l'ensemble du cadre.

   A cet effet, l'arrière de la tranche de ré- flection 32 est distincte et séparée, par des galets de réglage ou tout autre moyen, de la section intermédiaire de manière à réserver des orifices de ven- tilation 36. La tranche intermédiaire est également séparée de la tranche an- térieure formant cadre proprement dit, par exemple par des boulons 34 réservant des passages de ventilation 36'.   Ces passages   36-36' doivent s'opposer entiè- rement à la sortie de lumière à l'extérieur à travers eux. 



   Pour augmenter l'illusion et par suite attirer l'attention sur l'i- mage exposée, la source lumineuse arrière peut être. éteinte et allumée rapide- ment, de préférence avec une période d'illumination plus longue que la pério- de d'extinction. La période d'extinction doit être   assez;   courte pour que les yeux n'aient pas l'occasion de perdre-entièrement la persistance de l'image. 



  Lorsque il n'y a pas beaucoup de lumière ambiante, c'est-à-dire pas beaucoup de lumière dans l'enceinte où l'image est exposée, la lumière arrière peut être coupée entièrement pendant l'extinction. Lorsqu'il y a beaucoup de lu- mière ambiante, la lampe arrière sera simplement shuntée ou mise en veilleuse. 



   L'extinction tend à augmenter l'illusion parce qu'elle donne à l'ob- servateur la même impression que si la source lumineuse A était coupée et bran- chée en présence de l'objet réel. En d'autres termes, les ombres et les reflets se produisent lorsque la source A éclaire l'objet réel et   disparait   lorsque cette source est coupée. De même, eh coupant la source arrière lors de l'ex- position de l'image, on provoquera l'apparition et la disparition des mêmes re- flets et ombres. 



   Dans tout ce qui précède, la source B a été considérée comme une source uniforme ou diffuse. Toutefois, lors de la prise de vue cette source n'a pas besoin d'être uniforme ou diffusante et peut être concentrée tout au moins partiellement. Dans ce caspour la présentation,de l'image, une source de lumière 60 pourra être placée en dehors du cadre comme fige 23 dans la mê- me position relative que la source B lors de la prise de vue. Ceci ne doit être fait toutefois que lorsque l'on sait par avance que l'illumination géné- rale du local de présentation n'aura pas une intensité telle qu'elle rende inef- ficace la lampe 60. Le but est de donner à l'observateur, l'impression que les ombres de l'image qui ont été créées par la source B sont créées par la source 60.

   Cette source extérieure 60 peut être rétablie et coupée pour aug- menter l'illusion de la présence   de'l'objet   réel. Dans ce cas, contrairement à ce qui a été dit précédemment pour les interruptions de la source lumineuse arrière, il est possible de rétablir et de couper soit l'une quelconque des sources avant et arrière, soit les deux; mais si les deux sont coupées, elles ne doivent pas être coupées en même tempso Ici également, il est nécessaire que la période d'obscurité soit assez courte pour que les yeux n'aient pas la possibilité de perdre entièrement la persistance de   l'image.   



   Dans l'invention telle que décrite ci-dessus, la source arrière utilisée pour la présentation a été supposée être blanche. Toutefois, pour créer un effet théatral on peut prévoir deux ou plusieurs sources arrière -et avant de différentes couleurs, le nombre et la position des sources avant étant soumises aux restrictions   exposées,précédemment    En branchant une ou plusieurs, ou une combinaison de ces sources différemment colorées, l'apparence de l'ima- ge peut changer pour donner un effet similaire à celui que l'on observe au théa- tre lorsque des projecteurs de différentes couleurs sont braqués sur la scène. 



  L'apparence de réalité, ou en d'autres termes de la présence de l'objet réel, 

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 n'est pas perdue, mais est au contraire conservée lorsque la couleur des lam- pes arrières change. 



   L'invention a été décrite dans l'application à des images fixes, il doit être entendu qu'elle s'applique aussi bien à des images mobiles ciné- matographiques et à la télévision.



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  PROCESS FOR EXECUTION AND EXPOSURE OF A FLAT IMAGE GIVING THE PRINTING
REALITY.



   The present invention relates to a method and means for giving plane images of solid objects, obtained in particular by photographing a more real appearance, to the point that the image appears to be the object itself with its texture, its real relief and thickness o @
The invention relates more particularly to new methods and tricks as well as to new apparatus for carrying out the three stages of the invention, namely g
1), taking the image,
2) the development and realization of 1-image or the cliché to be exhibited
3) - The exhibition of this 3.mage'or cliché.



   For the first stage, the invention relates to a method for arranging, positioning and lighting the subject with a view to carrying out a series of shots with great speed, a fraction of a second if necessary.



  This stage also concerns the means to ensure the lighting necessary for this series of high-speed shots o It finally involves a new device to take these high-speed series shots.
The second stage or production stage comprises a process using the photographs taken in the first stage to obtain a) basic black and white negatives or b) a set of negatives separating the different colors, or c) fully colored positives. .

   After which this stage consists in obtaining complete or partial images intended to be combined with images obtained in accordance with solutions a), b), c) above, so as to give the desired illusion or effect according to the invention. , such images being obtained by photographic, electronic or any other suitable means of reproduction, such as offset, press printing, engraving or the like.

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   The third stage of the invention or exhibition stage involves a new means of exhibiting the results of the first two stages (shooting and reproduction stage), photographically or otherwise as indicated generally above. and specified below in detail. This third stage may also include means for exaggerating and additionally accentuating the illustions or desired effects.



   Numerous attempts have already been made to give more reality to plane images of solid objects. Although some have been relatively successful in giving an illustion of thickness and the third dimension, at certain limited angles and at certain limited distances, none of these attempts have been truly ', successful and n 'made it possible, under normal observation conditions, to prevent one from perceiving that it is an image by suggesting on the contrary that the real object was actually present.



   It has been observed that the difference in the ocular impression felt when one fixes a plane image on the one hand and the object or objects themselves on the other, does not depend essentially or exclusively on the relief effect. or stereoscopic effect. It has been found that the difference between the ocular impression produced by the image and the ocular impression produced by the real object lies essentially in the difference between the brilliance of the different parts of the real object or group of objects. and the brightness of the corresponding parts of the image. Thus, the more intense the illumination of the object, the greater the difference between this object and its image.

   For example, real solid objects subjected to dull, diffuse, and dim lighting appeared flatter and more like a flat image when viewed at a distance large enough to reduce the stereoscopic effect of both eyes. However, no matter how much care is taken in reproducing actual colors in an image, the image cannot give the illusion of the actual presence of the solid object itself, as long as the scale of The brightness of its different parts differs appreciably from the corresponding parts of a real object which is brilliantly lit and which consequently presents important contrasts between its different parts. In addition, the source which illuminates a real object is generally seen or at least perceived, as well as the object itself.

   On the contrary, in an ordinary image, even if the brain does not register it, the eye easily perceives that there is no source of light really present, where the image suggests that there is in a. In addition, the real light surrounding the image (that is to say the light of the room or the room in which the image is observed) acts in the same way over the entire surface of this plane image, making obviously highlight its absence of relief, either when this light moves, or when its intensity or its color changes. On the contrary, when observing a real object, the eye detects that the shadows and the brightest points change according to changes in the light source itself.

   It is therefore necessary to provide means for producing an image which on the one hand will present a suitable scale of brightness, and on the other hand will appear to change like a three-dimensional object according to changes in light, at least from the two points of view of intensity and color if one cannot obtain it for movement.



   In the accompanying drawings:
Figure 1 is a perspective view from the front of the possible arrangement of a given object with an appropriate lighting device, schematically showing the light rays during the first lighting phase.



   Fig 2 is a view similar to FIG. 1 showing the second lighting phase.



   Fig. 3 is a side view of the arrangement shown in figs.



  1 and 2.



   Fig. 4 shows a photographic negative obtained using source A only,
Fig. 5 shows a negative obtained from a derivative positive

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 of the negative of the freeze 4.plifying the luminous intensity. This figure can also be considered as the representation of a negative obtained by placing a second film behind the first, so that the latter is extremely underexposed.



   Fig. 6 shows a photographic negative obtained using source B only.



   Figo 7 shows a negative obtained from a positive derived from the negative of figo 6 filling in the dark shadows,
Fig. 8 is a front view of the laminated positive as seen by reflected light only.



   Fig. 9 is a front view of the same positive seen in direct light only. Fig. 10 is a front view of the same positive seen with a combination of reflected light and direct light;
Fig. 11 is a developed view of the laminated composite photographic reproduction:

   in black and white.,
Figo 12 is an exaggerated scale schematic side view of the black and white laminated photographic reproduction of fig. 11,
Fig. 13 is a developed view of another form of composite laminated black and white photographic reproduction;

  ,
Fig. 14 is an exaggerated side schematic view of the laminated reproduction of FIG. 13y
The fig-. 15 is a developed view of a laminated composite photographic reproduction printed with colored inks,
Fig. 16 is an exaggerated dimensional schematic side view of the reproduction of fig. 15,
Fig. 17 is a developed view of another form of composite laminate reproduction printed with colored inks
Fig. 18 is an exaggerated dimensional schematic side view of the reproduction of fig. 17;

   
Fig. 19 is a developed view of a third form of laminated composite reproduction printed with colored inks,
Fig. 20 is an exaggerated dimensional schematic side view of the reproduction of FIG. 190
Fig. 21 is a perspective view from the front of one possible form of the box and the display and display frame for the label reproductions,
Fig. 22 is a cross section of the box and frame of FIG.

   21,
Fig. 23 is a side view of a possible arrangement of the illumination effect, in combination with the box and the viewing frame to increase the illusion,
Figo 24 is a fragmentary elevational view of another form of the front part of the viewing frame
In order to practice the invention, it is necessary to make a composite flat image which will be seen by observation with direct light and also in combination, to varying degrees, with reflected light.



   The direct light is behind the image, the existence of this direct light is and must remain imperceptible to the observer who will thus be convinced that he is observing the image only in reflected light. This condition is extremely important in order to obtain the desired impression, that one sees the real object.

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   The reflected light source can be single or multiple. It can be the ordinary lighting source for the room, the room, or any usual source of natural or artificial light. The observer will be aware of this normal light just as if he were observing the object itself.



   But, in addition to the actual existence of this front light source, there will appear to be one or more sources of reflected light concentrated in front of the image and appearing to illuminate the object from one or more angles. This imaginary source (s) will appear to come from one or more points within a projecting frame surrounding the image and will not be visible to the observer.
Sometimes, to increase this effect, a real source can be placed outside the frame where the observer can see it. It will aim to get the observer to think that this source is either the main source or at least an important source.

   It can also be used to constitute a fixed external light source intended to neutralize the uncontrollable and variable ambient light of the room; but first of all such a visible source will have the effect of illuminating the frame and the surround but not the image; furthermore, it will have an intensity such that it will produce light reflected on the image but not strong enough to neutralize direct light coming from the back side of the image.



   To create on the image the effect shown above resulting from the front lighting, and also the illusion of a front light concentrated on the frame while the image is actually illuminated from behind, it is necessary to produce a composite image from various shots or reproductions obtained from the object illuminated first only with uniform front illumination, then only then with a concentrated source placed at a certain forward angle of this object, or vice versa. The photographs of the subjects considered must be taken rapidly in series because these subjects being capable of moving even a very small amount, it would be impossible, without this, to obtain a composite image in which the various photographs are suitably identified.



   1st stage: Image capture.



   In the example considered in Figs 1 and 3, it was assumed that the object to be represented was a polished ball applied to a flat rear surface, in front of which and at a certain distance, a frame 50 is placed.



  The frame is shown as having a rectangular shape with a central rectangular opening through which the ball and its rear bearing surface appear, but other forms of frames can be used. This frame can be made of cardboard, wood, metal or other suitable material, preferably with a rough surface giving relief when illuminated at an acute angle. It is preferable that it be light in color rather than dark, but the invention does not apply. nothing limited from this point of view. In the first stage, two photographic shots are taken of the subject illuminated by different sources during the different shots.



   A concentrated light source which in the drawing is shown schematically by a usual electric bulb A, illuminates the ball and the frame, as well as the part of the rear surface visible through this frame o This source is placed at an angle and in front of the frame and ball so as to cast shade. In fig. 1 the frame and the ball are represented as if they were illuminated by source A alone. Dark shadows 51 and 52 are cast on the bearing surface, by the ball and by the frame respectively, and a bright spot forms on the top surface of the ball as indicated at 53.



   The concentrated source A is not necessarily a single point such as a single lamp but may include several concentrated sources.



  We can use sources concentrated in two or more angles, nevertheless we obviously cannot use too many distinct sources because this would tend to multiply and weaken the shadows, which on the contrary is avoided during the shooting. sight, with a subject illuminated by one or more concentrated sources only.

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   Among the various concentrated sources, there will preferably be a dominant source. It is practically necessary that this source, when the representation appears as a finished image, appear to be within the frame in which the image is exposed. This requires that this dominant run be placed very close to the subject and it must create a sufficient amount of shadow to give a good appearance of relief when the subject is viewed with one eye. It is very desirable for such a shot with the lighting indicated above, that the objects constituting the subject be placed so as not to create a multiplicity of superimposed shadows and a general feeling of confusion in the overall presentation.

   Confusion cannot in fact be avoided in observing such a flat reproduction since one cannot rely on the stereoscopic effect of the two eyes.



   Provision has been made for a second source of uniform or diffused light, denoted as a whole by the letter Bo. This source may consist of a bank of electric lamps arranged in a suitable frame, with or without diffusing glass in front of the lamps. It should be understood that the invention is not limited to a particular form of uniform illumination, or even, subject to the conditions set out below, to uniform illumination, the form shown being given merely by way of reference. example.



   In fig. 2, the frame and the ball are represented as if they were illuminated by source B alone. Comparing it to fig. 1, in which the illumination is provided by the source A alone, it will be noted that in freeze 2 the frame, the rear surface and the ball are almost. Uniformly illuminated with a bright point 54 in a different position and less concentrated as when the ball is illuminated by the source A. The diffuse shadow 55 behind the ball is not as dark nor as clearly defined as in the freeze l. The darkest shadow 56 has a small area, is directly below the ball, and is the only shadow element that approaches in intensity the shadow 51 produced in fig. 1 by source A.



   According to the invention, the subject will be photographed as if it were illuminated by the concentrated source A, then immediately afterwards, in series and in exactly the same place, on. take on another film another view of the same subject lit by source B, or vice versa.



   It is understandable that with a subject which remains stationary, such as the image represented, there is not the same need for shots in rapid sequence as if it were a portrait of a living person, d 'a flower or the like. Such subjects are prone to move even very slightly in a fraction of a second so that if two shots are to be taken under different lighting conditions, it is of the utmost importance that the shots are taken. successive views are made at. times as close as possible, for example separated from each other by only a fraction of a second.



   For the description of the invention, it will be sufficient to assume that the object to be photographed is stationary or relatively slowly moving, so that very fast sequence shots are not necessary. It will be noted, however, that the invention is applicable to both types of subject and that the only variant of implementation, for a fixed subject and for a mobile subject, will lie in the speed of operation of which the photographic equipment. used is capable.

   For still or relatively slow-moving subjects, existing photographic equipment can be used without any change, as long as the necessary precautions are taken to keep the camera stationary and that no movement or vibration occurs. whether you change the plate or the film.



     II - 2 stage .reproduction and printing.-
The principle of separate photographs of the subject when it is illuminated by source A, then when it is illuminated by source B, can be used either to obtain a black and white image, or to obtain a color image, , because the invention can be put into practice in both ways

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 res. We will first describe the obtaining of a black and white image. a) Photographic reproduction in black and white ,, -
According to the invention, a composite image is produced on a transparent plate. The corresponding elements resulting from the photograph of the subject when it is illuminated only by the concentrated source A will be seen in direct light.

   The elements of the composite image resulting from the photograph of the subject when it is illuminated by the uniform source B will be seen mainly in reflected light. In what follows the elements resulting from the two different exposures will be designated by A and B with figures in exponents.



   As seen in fig 4, Al is a slightly underexposed negative obtained by a black and white photographic film, preferably on a film giving a very wide latitude and a high gamma, so as to give all the details of the lights and shadows. The underexposed negative must also be under (developed so as to give a relatively low density and consequently increase the range (this negative was obtained with the subject illuminated only by source A). Note that by underdevelopment, this is understood to mean a development carried out with a weak developer, from this single negative A1, a positive A2 (not shown) is drawn on a film or a plate, either by contact or by projection, if an enlargement is desired.

   This positive is overexposed so as to give details only for the very bright parts. From this positive we draw a second negative A3 (figo 5). To further reduce the detail of the shadows and semi-shaded areas, and therefore to leave detail only in the very bright areas, this second negative A3 is underexposed.



   We thus have two negatives A1 and A3 (figs. 4 and 5), A1 comprising details both in the very bright areas and in the shadows and A3 only showing details in the very bright areas, Al being an underexposed and underdeveloped transparent negative as indicated above, From the A1 negative, a positive A2 (figs. 11 and 12) is drawn on a Pl plate having a high contrast and high density emulsion, well developed, so as to obtain a dense device in which the parts corresponding to the darkest shadows are very black and dense, and where the brightest points are completely clear.

   The purpose of the positive obtained from Al as it has just been described is to constitute the means which, in cooperation with the direct light rays passing through the transparent areas, will give the shapes, shadows and lights produced by the light source AT.



  As the image as a whole is very dense, the transmitted light should be of such intensity as to give in the gray scale the details that appeared on the object. The more intense the light, the better the result, provided the density range of the plate is calculated based on the intensity of the direct light.



   As a variant of the means for producing the positive A2, a better result will be obtained if, instead of producing an underexposed negative A1, two films are placed one behind the other, giving a suitable exposure so as to obtaining an overexposure on the front film and an underexposure on the rear wire, the achievement of which is aided by the presence of the rear sensitive layer of the front film. An additional thin neutral film of density, can also be used between the two films when the emulsion speed of the back film, different from that of the front film, is not slow enough yet by itself. The rear film will be slightly offset from the focus.

   As a result, the shiny points (main point or only details appearing on the rear film) will be slightly larger than normal, which will advantageously amplify them. These two negatives can be used, either successively or simultaneously opposite each other like a single negative to reproduce the positive A2. In this case, the back film is used as an A3 negative. This method can be used for especially difficult or fine jobs.



   Having thus a positive A2 of a wide range of density, it is necessary to seek to obtain the maximum of light in the most brilliant areas.

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 .lit suiet (shiny noints). To this end, a positive is reproduced on a transparent film from the negative A3. The second positive A4 (not shown) gives details for bright spots only. Almost only the bright spots will appear.
It is made a print on Transfax Kodak white or the like on which the parts affected by the light disappear during development, the layer of cransfax or the like having been applied to the developed positive A2 (see WA5 fig. 11).

   Thus the bright spots which in the subject produced almost total reflection will become clear. If the shiny dots of the A3 negative are wide and have diffuse edges, the positive A should be half-tone, for example by using a screen between the negative A3 and the positive A4.



   A composite image is thus obtained consisting of two layers (A2 and WA5) which is arranged to be seen only by transparency in direct light. To this image we add in the manner which will be described ,. a composite image intended to be viewed in reflected light, the white layer;. '.



  WA 5 indicated above serving, if necessary, as a white background
As seen in fig. 6, a B1 negative is obtained by printing on black and white film with the subject illuminated by source B only. To give shadow detail and not light detail, this negative is very overexposed and normally developed or slightly underdeveloped.



   From the negative B 1 a positive B "is made, not shown, which is underexposed, so as not to give any detail for the bright spots and the moderately lit areas.



   From the positive B "we make another negative B3 (fig. 7) which is overexposed so that the details are still reduced, that they appear only in the shadows, and that even there they are minimal. only the darkest shadows will appear.



   We thus have two negatives B1 and B3 coming from the exposure of the subject to the illumination B (see figs. 6 and 7).



   Starting from the negative Bl (normally contrasted and not including any detail in the shiny areas) we draw a positive B2 on a plate
P2 (see figs. 11 and 12). This positive is underexposed and underdeveloped giving a print with details in the shadows, further accentuated by this underexposure. This print is done with the negative inverted so that we obtain an inverted positiveo This inversion is necessary because subsequently we place the emulsified face of the plate P1 with the composite image A against the emulsified face of the plate P2 bearing the image B, so that the two images are against each other and obviously match.



   As a variant of the means for reproducing B2 from B1, the bright spots corresponding to the light source A can be accentuated by applying the negative A3 to the negative B2. and pulling both at the same time. As a result, bright places corresponding to the bright points 53 of image A2 will be added to image B2 so that the direct light passing through P1, A1, WA5, B and P2 will shine freely in these points.



   Another variant for the same purpose, which however eliminates the need to match B1 and A3 for the print, consists in taking the picture leading to the negative B1, while the source A with reduced brightness still illuminates. the subject, thus avoiding creating visible shadows on the subject already illuminated by source B. Thus the desired bright spots 53 from source A will appear, but not the corresponding shadows. Some light shadows that are difficult to see may appear, the goal being simply to avoid as practically as possible all shadows coming from source A.



   On the front of the positive B2 is deposited a new layer such as Pittman black or other similar product to obtain a darker black than that which can be obtained with any photographic emulsion. Sure

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 this layer we make a print with the negative B3 (details in the shadows) so as to obtain a positive print B4 with very black shadows. Apart from these shadows, this layer will be light, As for the drawing of the positive B2, the positive B4 will be drawn reversed. The same results can be obtained by hand touch-up or by employing the silk screen printing process, as long as a very light absorbing body is used, for example ink, dye or very black pigments,
Referring to fig 11, we see that the plate P1 is on the left.



  Next to it is the emulsion holder and the positive print A2 which is dense and dark, with the deepest very opaque shadows. On the front of A2 is placed the print WA5 on which the bright dot appears. 53. If it is obtained using transfax (as fig 11) this print will be white except at the shiny points where it will be clear.
Beside is placed the positive print B4 which has just been described and which is clear, apart from the darkest shadows.

   Beside and between B4 and the upper glass plate P2, is placed the positive print B2, which has details in the shadows and in the intermediate areas but which is clear in the white and very bright areas and can also remain clear- in the areas of the bright dots 53 produced by the light source A; it is a weak draft so that both B2 and B4 can be seen in reflected light being covered from behind by the white layer of WA5.



   Instead of printing on two plates, it is also possible to make an image on one plate as shown in fig. 13 and 14.



  In this case, the glass plate P3 carries the positive print A2 from the negative A1, drawn on it as previously described, with the details in light and in the shadows, and in addition of the graduation and the density.



   Then, on a separate film, the normal or halftone positive identical to A4 is drawn, using the negative A3 in the manner above. Next, a very bright halftone B1H1 negative (no shown) is made from an intermediate positive not shown from B1.



  Then, on transfax or the like, a print is made using the A4 positive (to give the bright bright dots 53 from source A) and the faint half-tone negative B1H, both coincident. The result is WB2. As the prints on transfax or the like wadded, the parts affected by the light disappear. It follows that the use of the negative B1H and the negative A4 causes the effacement of the transfax more or less in the shadows produced by B1H and the light points 53 coming from A4 and remains more or less in the luminous parts corresponding to BiH.

   This is what we want, because under the shadows, there is an A2 print which, being very dense, appears black under the reflected light, and which we will see through, what is necessary so that the more or less transparent shadows and the median values are visible in reflected light (see fig. 3).



   Beside, over the transfax, that is to say the print WB2 obtained from A4 and BlH, we draw the darkest shadows using the B3 negative and a silk screen with a special black , Pittman black or the like.



   The image obtained by any of the means described above will be a black and white photographic image and will be exposed in the manner to be described, using direct light as well as reflected light. . The image obtained in the above manner can be tinted by hand provided the colors are very transparent and applied in a thin layer.



   The above methods which are suitable for small quantities are impracticable for mass production. Thus one of the objects of the invention consists in providing means for producing the images in large quantity, at the minimum price and in the minimum time. , which can be easily achieved by printing in ink electronically or otherwise on any suitable transparent or translucent support.

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   b) Printing with colored inks,
The shots in this case are made with the same light sources as described previously.

   Similarly if the object is not stationary, the shots must be taken in rapid sequence; but if it is immobile, the need for rapid sequence shots is not essential and existing photographic equipment can be used with the same precautions as indicated above.



   In describing the printing, it should be expected that one does not exclude mass printing processes, the actual printing can be done in different ways.



   The starting point is any sheet such as transparent or white plastic or white paper of very fine composition and grain, with a degree of transparency such as to allow the passage of light coming from. the back, this light spreading evenly over the entire sheet.



   The base sheet can be used to support the application of decalcomania if desired. By way of non-limiting particular example, the invention will be described starting from a transparent sheet or plate.



   The photograph taken of the subject illuminated by the concentrated source A, can be made on Kodachrome or similar plate or single film; it can also be done by the color separation process on selection negatives. Usually these negatives are taken on white and black films through colored screens, so as to obtain negatives recording every desired color. If Kodachrome or the like is used, then it is necessary to do so anyway. Appropriate color selection negatives = it is nevertheless more convenient to take the original in Kodachrome than with a color selection camera in a single exposure, since the equipment of such a device is more cumbersome.



   Color selection negatives should be light or low with a high graduation from the brightest points to the darkest shadows, as for Al in the black and white photographic prints previously described.
Then, the different plates for printing with inks or dyes, namely blue, magenta, yellow, are obtained from the selection negatives as commonly used in this printing mode. An electronic or electrosatic process with electrically charged powder can also be used for the process stage instead of the usual engraved plate process.
The engraved plates are then used to make prints with transparent but very dense inks or dyes on the P4 clear base sheet.



   For some subjects, it may be necessary to mix some opaque pigments with the inks to even further stop the amount of direct light. The negatives used to make the plates being very low contrast, the use of dense inks brings on the back side the real contrast which one desires and which exists on the real subject photographed? In general, black is added, which must also have the same density or a greater density here. The result will be an A2c set (see fig. 15) equivalent to A2 in the previous process of black and white photographic prints.



   The light spots should be as light as possible, which is why press printing is not as advantageous as engraving. The lithographic printing of black is suitable in certain cases. Either way ;, the print must be thicker than normal transparent prints.



   Having now an image developed from source A (this image to be seen by transparency in direct light), its upper face is printed with a white ink having a suitable degree of transparency.

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   lucid + .é and recovery. This white print is intended to provide the white areas of the next image B, but it may have some bare areas in the brightest parts.

   If there are bare areas, the light coming from behind (direct light when the image is exposed), will be transmitted almost entirely in these areas. But if the direct light is from a concentrated source and there is no diffusing surface behind the prints, the white should not have any bare areas as the light source could be visible. Thus, when a concentrated source of direct light is used behind the image, the lack of diffusion can be compensated for by the image itself.



   The blank print is made with an engraved plate prepared as follows
Remember that to obtain a black and white image, we prepared an A3 negative giving details only in the brightest parts. For the preparation of a plate intended for ink printing, white will be affixed everywhere except in the brightest spots. So an A3-like negative is prepared from one or more of the color selection negatives whose black and white equivalent was A1. In some cases, the bright spots are colored; it is therefore necessary to choose the selection negatives which best fit the shiny points.

   From these negatives, a black and white positive A "c, not shown, is obtained using the same shooting and developing process as for obtaining A"; from this positive one obtains the desired negative A3c (not shown). This is then used to make the positive engraving plate, intended for the white Wac print.



   Now having the part of the image intended to be seen in direct light and having covered it with 1: translucent white ink, the printing of the image intended to be seen in reflected light will be described.



   1) With an additional black print.



   With the subject illuminated by source B, the color-selecting negatives (as for illumination by source A) can be obtained by means of an ordinary color-selection camera in a single exposure or with kodachrome or the like. , it being understood that as before., all precautions have been taken so that the camera remains perfectly still and that the subject does not move between the time of this shooting and the time of shooting with the source A.



   If Kodachrome is used with the B light, from this Kodachrome one can use the negative color selection processes to obtain the selection negatives. Preferably the negatives will be overexposed so that there is a minimum of detail in the bright spots and maximum in the others. From these negatives we make the engraved plates as usual for such prints, and from these plates, we draw ;, with very transparent and very clear inks, a B2c composite image over the white print. These prints must be very clear so that they can only be seen in reflected light and be completely penetrated by direct light.

   The thickness of the print can be properly controlled since the amount of printing ink usually depends on the amount of pigments in the printing plate as is well known. in this technique. This concerns black as well as elementary colors.



   There may be visible shadows even in the darkest parts of a subject. We want these shadows to appear. As a result, next to the draw of the positive. B2c in color and with black according to the Trichrome-and-black process an additional print is made with an additional black print plate, prepared as will be described;

     
As the goal we propose is to obtain a plate to extract the details of the darkest shadows, we take the one or those of the color selection negatives resulting from exposure to light B, which best show the darkest shadows and are photographically drawn to obtain an underexposed positive which will be called B "c (not shown).

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  From B'c we make a negative B3c, not shown, which is overexposed to accentuate the shadows even more and showing nothing other than these.



  From B3c the additional draw plate is made and unused to draw an additional black B2 bk over the composite colored image B2c. For this additional print run the ink must be the blackest (that is to say having the greatest light absorbing power) that can be found in printing inks. It must, however, be drawn light so that the colors behind it can be seen through, in direct light. As there are colors, even in the darkest shadows, at least to a very low degree, if possible, they should appear, to make the color real, but if necessary an opaque ink can also be used because the eye does not easily detect the coloring of the darker areas.



   2) With normal print and additional black print combined.
As seen in figs. 17 and 18, without changing the print mode which has just been described for the other colors, one can eliminate one of the black prints by combining the effects of both in a single plate as follows:

   
The black print plate is obtained both from the negative B3c as above, and from the negative used for the normal black print but in this case the latter is kept at a very low contrast of ma- However, when the plate obtained from this negative is used for printing with an ink that absorbs very light (in reflected light), we obtain a B2Bk result such that the shadows based on it will be as dark as when using two black print plates and the lightest shadows and grays will be covered to the desired value since these areas are printed lighter than normal with the same highly absorbent ink.



   3) With modified white print and only one additional black print
As can be seen in Figs 19 and 20, yet another variant can be considered for the preparation of the image intended to be seen in reflected light. In the first and second color printing possibilities which have been described, the A2c and WAc images were the same, the difference between the two variants being in the black printing. In the variant which will be described, the images A2c are the same as before, - and the colors (blue, magenta, and yellow) as well as the additional black of image B are the same as in the first variant in color figs. 17 and 18.



   However, the normal black plate of the usual color printing plates is not used in this case. Instead, we modify the plate for the white print in such a way as not to pull the bright dots extreme to and not to pull or to pull only very lightly the black areas, for the reasons which will be explained. the printing plate in white, we first transform the normal negative, selecting black and colors, into a positive. With this we combine the negative A3c as used in the first variant, to obtain the printing plate in white. The plate thus obtained is the negative of the normal black plate but also comprises, in positive, the shiny dots 53. With this plate, we shoot (see Wc) in white on the top of A2c.



   The white print plate does not reproduce or only very slightly reproduces the black areas and the grays, since it is a negative plate: as to the extreme bright points 53 which, in the subject, were points of total reflection or almost. total, the blank will not be drawn at all because the corresponding parts are positive on the plate. If we remember that we shot on top of the color and black layers of A2c. which in reflected light, being very dense appear all black, it is clear that when the white plate gives no print or gives only a slight print, this black will appear through allowing blacks and grays to be seen in reflected light.

   At the same time, the fact of not pulling the shining stitches 53 will allow these stitches to shine from behind, that is to say to be

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 provided by direct light.



   To perform the images of some subjects, the print can be done on opposite sides of a sheet of translucent white paper. In this case, the paper will replace the white print on top of the developed image coming from the lighting in source A. Difficulties in bringing the images from source A, printed on one side, to match. paper opposite to that on which the images from source B are printed, can be overcome by taking appropriate precautions and using known methods.



   Although three variations have been described by way of example, it is understood that the invention is not limited to these three cases. c) Color photographic print.
For the photographic printing of the color image a process similar to that which has been described is adopted, in that the shooting with illumination by the source A is printed transparent, so as to be seen only by the light. direct, while the picture taken with lighting by the source B is shot to be observed in reflected light.



  Between these two prints is interposed a white print on transfax or the like, a layer of white lacquer or a sheet of translucent material for photographic printing using a silk screen or the like.



   For shooting with lighting by source A, Kodachrome or the like is used9 Here as before, it is desirable to underexpose in order to have a dense image and to accentuate the bright points; but, owing to the limited possibilities of the film and even using color correction filters, the underexposure conditions can only be partially satisfied. The underexposure of the Kodachrome, while giving good contrast for the bright spots, does not give enough depth or enough detail in dark areas.

   Consequently, we complete the Kodachrome by a photographic print in black and white. The negative of this black and white shot will be made with lighting in source A at the same time as the Kodachrome shot, but the black and white will be very overexposed because we want to strengthen only the black areas. It is not desirable, moreover, to reinforce all the zones. It is possible with the existing equipment to take two shots at the same time on two different films. Since kodachrome film is normally slower than black and white film, the same exposure that underexposes kodachrome, will overexpose black and white when using fairly fast black and white film.



  Even if this results in insufficient overexposure, the exposure time can be increased and a neutral density filter can be used with the kodachrome (against the film) so that its exposure is not also prolonged.



   It is not always necessary to use the additional black and white because as we will see, the image prized with B-light will compensate to some extent for the lack of detail in the deepest shadows. of the image obtained with lighting A. Having thus the Kodachrome (which for convenience we will call AK) and the overexposed negative black and white not represented that we will call Aa ', we shoot at starting from Aa 'a positive Aa2 not shown. This positive can be drawn directly over the Kodachrome by first applying a layer of emulsion. The positive will be underexposed to give details in the shadows only.



   Obviously, the usual dye transfer method can also be used to make the colored image equivalent to AK provided that the color concentration is sufficient to give the desired density. This dyeing process is advantageous when it is desired to make an enlarged image or to make a quantity of images. It also obviates the need for additional black and white, since by producing the color selective negatives one can ensure better control. It is also possible to use a manual coloring process of the Flexachrome type.



   Over the composite image of colors and shadows, we apply

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 as a white layer by photographic printing, for example with a silk screen or with transfax in the manner described above, to obtain light areas for the shiny spots or else a sprayed white lacquer layer or a sheet of material is applied translucent.

   The lacquer or translucent material will however cover the entire surface which will cause an annoying lack in the shiny points.
Image B is produced according to the principles described above with regard to black and white photographic prints and color prints with inkso In the case considered of photographic prints, image B is preferably made by the known method of color transfer onto a separate plate or film and applied to the Ao image
By running image B on a separate plate or film, the image is inverted so that it can be applied directly against the white layer (which is on top of image A) 'without there being any plates. or film in between.

   Alternatively, the transfer of colors from image B 'can be done directly onto a gelatin layer forming a base on top of the white layer previously applied over image Ao.
The draw by the dye transfer process can be controlled as will be appreciated by all skilled in the art, so as to obtain a very light draw.

   For the same reasons as for the variants described above, it is necessary to have a very light print for the image Bo This light print is advantageously reinforced in the black zones in the same way as in the previously described embodiments of the invention. To enhance blacks, a black pigment or dye can be applied by dye transfer or the Carbro process, or with Pittman black, or with ink using a silk screen, either directly or on the back side of a transparent film or glass plate.



   This results in an image A, reinforced or not in the black areas, which will be seen in direct light. A white layer or print is added over it; then a B image applied by transfer of dyes into the gelatin or as a separate film over the white print, this B image to be viewed in reflected light.



   III - Third stage: exhibition of the compsite image.
To properly expose the composite plane image, one must use a special exposure frame or apparatus (see figs. 21, 22 and 24).
For many subjects, a frame is needed around the subject at the time of shooting, so that this frame appears in the image and provides a comparison surface that will mainly receive light from the concentrated source (s) A. To obtain the best result, it is desirable that this frame be made of a rough material to give gradations in the light shadows and to give an appearance or a feeling of the texture of the frame. This is to elicit a psychological reaction. giving more the impression that the light is ahead.

   It is in fact always necessary to keep in mind that the observer must not have the impression that he is seeing something transparento
The main aim is on the one hand to avoid the feeling of transparency, and on the other hand to give the observer the feeling that the image and the subject it represents are seen only in reflected light. We must therefore have the impression that the main source of light is only on the front part of the frame. The aim is to suggest the existence of the concentrated source A which was really present when the picture was taken. The diffuse source B is really constituted by the normal lighting of the room.



   The outer frame which will be described can be used to display the image, whether it is printed with inks or photographically, whether it is black and white or in color.



   The frame is generally the same shape as a regular picture frame, but can have any desired outline or exterior shape. In the example shown (see figs. 21 and 22) it is rectangular. The front edge

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 of the frame has four planes such as 20, which intersect to form a continuous rectangular surface, these planes being inclined outward and backward. They cut four other flat surfaces 21 inclined inwards and backwards, that is to say towards the image. The angle of inclination does not matter, and surfaces 20 and 21 need not be inclined to intersect along a protruding edge. Surfaces 20 may be parallel to the image and intersect at right angles to surfaces 21 perpendicular to the image.

   Behind the surfaces 21 is disposed a parallelogram of planar surfaces 22 intersecting at right angles. These surfaces 22 are made of reflective material such as, for example, aluminum foil. It is desirable that the surfaces 22 be recessed under the frame.



  They do not have to be visible, but it is more practical to make the frame so that they are, and in this case they must be of reflective material.



   Behind the surfaces 22 is placed the image I preferably inserted between plates of glass or other transparent material held in the frame, for example in a groove thereof. If the surfaces 22 are visible, it is preferable that they are directly adjacent to the image.



  It is obvious that otherwise the image will have to be extended enough so that the space between it and the surfaces 22 does not allow the observer to look inside the frame and see where the image ends.



   The frame or at least its front part may be hollow as in 26 and have rear walls 24. It must be of sufficient thickness to allow the observer to believe that one or more light sources are. arranged in this frame.



   As an alternative construction, the front part or directly visible part 41 may be either flat or provided with a customary picture frame molding (see fig. 24). The rear face 42 of this front part 41 can be made of reflective material, flat and parallel to the image;

     it can come to cut another reflecting surface 44 perpendicular to the image which keeps the first at a certain distance from this image The reflecting surface 44 can cut a third reflecting surface 46 parallel to the image and connected or at least adjacent with its bordo As all the surfaces are reflective, it is not possible for the eye of the observer, to detect that there is not in the frame, a source of light corresponding to the concentrated source Who actually existed when the shooting took place,
The frame conforming to fig 22 or to fig. 24 comprises a second slice or intermediate slice comprising four surfaces 27 intersecting to form a rectangle. In each of them, leaves a wall 27 'parallel to the image.

   The walls 27 'are provided with a gutter or other member for maintaining the edges of a member for protecting against the heat. This member is constituted, for example, by a screen comprising two glass plates 28 and 30 spaced apart from one another, reserving between them a dead air space 29.



  The purpose of this air space is to isolate the image from the heat coming from the lamp 31 which will be described. One or both of these glass plates may be heat resistant or heat absorbent and not susceptible to heat breakage eg pyrex glass.



  One or both of the glass plates 28 or 30 may be frosted or ribbed glass or any other similar diffusing glass; it is not necessary, however, for it to be diffusing if a suitable reflector such as that which will be described is used, or if the image itself has a diffusing surface.



   The third wafer or reflective wafer of the presentation apparatus includes a reflector or diffuser 32 which may be of any type. One type which has been used successfully simply has two converging asbestos sheets behind an electric lamp 31. The reflector or diffuser need not have two flat surfaces; it can have four or more and does not even need to be made up of flat surfaces. Any reflecting or diffusing means which gives light substantially evenly distributed over the glass plates 28 and 30 and over the image will be satisfactory. In fact, the sole purpose of the rear slice is to.

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 nir a strong light distributed evenly on image I.



   In practice, it is more convenient to use a single electric lamp. Photo flood lamps No. 2 have been advantageously used to cover an area of 30x45cm but for commercial purposes light of the same intensity and of longer duration may be more advantageous. The quar tity of light scattered behind the image should be several times greater than any other light source previously used for normal transparency presentations.
As in current incandescent lamps this amount of light produces intense heat, it is necessary to provide means to ventilate the entire frame.

   To this end, the rear of the reflection section 32 is distinct and separated, by adjusting rollers or any other means, from the intermediate section so as to reserve ventilation openings 36. The intermediate section is also separated from the front section forming the actual frame, for example by bolts 34 reserving ventilation passages 36 '. These passages 36-36 'must completely oppose the exit of light to the outside through them.



   To increase the illusion and thereby draw attention to the exposed image, the rear light source may be. switched off and on quickly, preferably with an illumination period longer than the switch-off period. The extinction period must be enough; short so that the eyes do not have the opportunity to completely lose the persistence of the image.



  When there is not a lot of ambient light, i.e. not a lot of light in the enclosure where the image is exposed, the rear light may be cut off entirely during the shutdown. When there is a lot of ambient light, the rear light will simply be bypassed or put on standby.



   The extinction tends to increase the illusion because it gives the observer the same impression as if the light source A were cut and connected in the presence of the real object. In other words, shadows and reflections occur when source A illuminates the real object and disappears when that source is turned off. Likewise, by cutting off the rear source when the image is exposed, the same reflections and shadows will appear and disappear.



   In all of the above, the source B has been considered as a uniform or diffuse source. However, when shooting this source does not need to be uniform or diffusing and can be concentrated at least partially. In this case, for the presentation of the image, a light source 60 can be placed outside the frame as a freeze 23 in the same relative position as the source B when the picture is taken. This should only be done, however, when it is known in advance that the general illumination of the display room will not be of such an intensity as to render the lamp 60 ineffective. The aim is to give light to the display room. observer, the impression that the shadows of the image which were created by source B are created by source 60.

   This external source 60 can be restored and turned off to increase the illusion of the presence of the real object. In this case, contrary to what has been said previously for the interruptions of the rear light source, it is possible to restore and cut either any one of the front and rear sources, or both; but if both are cut, they should not be cut at the same time. Here, too, it is necessary that the period of darkness be short enough so that the eyes do not have the possibility of losing the persistence of the image entirely. .



   In the invention as described above, the rear source used for presentation has been assumed to be white. However, to create a theatrical effect we can provide two or more rear and front sources of different colors, the number and position of the front sources being subject to the restrictions set out above By connecting one or more, or a combination of these sources differently colored, the appearance of the image may change to give an effect similar to that seen in theater when spotlights of different colors are shone on the stage.



  The appearance of reality, or in other words the presence of the real object,

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 is not lost, but is instead retained when the color of the rear lamps changes.



   The invention has been described in the application to still images, it should be understood that it applies equally well to moving cinematographic images and to television.


    

Claims (1)

Des modifications évidentes pour tout homme de l'art, rentrent dans le cadre de 1'invention,, RESUME. Modifications obvious to any person skilled in the art, come within the scope of the invention, ABSTRACT. L'invention concerne l'exécution et la présentation de l'image plane d'un objet pour donner l'impression de la présence réelle de cet ob- jet et porte sur les pôints suivants : 1. - Un procédé caractérisé par les points suivants pris sépa- rément ou en combinaison s 1 ) On photographie l'objet une première fois, éclairé par au moins une source de lumière susceptible de donner une bonne apparence de re- lief,et une deuxième-fois éclairé par au moins une deuxième source de lumiè- re, on exécute une image composite utilisant les deux prises de vue ci-dessus et l'on présente l'image éclairée par transparence en lumière directe, dans des conditions telles que la présence de la lumière directe soit dissimulée à l'observateur. The invention relates to the execution and presentation of the plane image of an object to give the impression of the real presence of this object and relates to the following points: 1. - A process characterized by the following points taken separately or in combination s 1) The object is photographed a first time, illuminated by at least one light source capable of giving a good appearance of relief, and a second time illuminated by at least a second light source, one carries out a composite image using the two shots above and presenting the image illuminated by transparency in direct light, under conditions such that the presence of direct light is concealed from the viewer. 2 ) On exécute une image transparente à partir de chacune des deux prises de vue, les deux images transparentes étant utilisées pour l'exé- cution de l'image composite. 2) A transparent image is executed from each of the two shots, the two transparent images being used for the execution of the composite image. 3 ) La source de lumière utilisée pour la deuxième prise de vue est diffusante de manière à ne pas porter d'ombres fortes. 3) The light source used for the second shot is diffusing so as not to cast strong shadows. 4 ) L'image est exposée par transparence en lumière directe, tout en donnant l'impression qu'une source de lumière utilisée pour la présentation est placée en avant de l'image dans la même position relative que la source de lumière qui éclairait l'objet pendant la première prise de vue photographi- queo 5 ) L'image est présentée en lumière réfléchie. 4) The image is exposed by transparency in direct light, while giving the impression that a light source used for the presentation is placed in front of the image in the same relative position as the light source which illuminated the image. 'object during the first photographic shot. 5) The image is presented in reflected light. 6 ) L'une des images constituant l'image composite a une transpa- rence plus dense que l'autre et des moyens sont prévus pour permettre à l'ima- ge la moins dense d?être vue comme une image en lumière réfléchie. 6) One of the images constituting the composite image has a denser transparency than the other and means are provided to allow the less dense image to be viewed as a reflected light image. 7 ) La lumière réfléchie provient d'une source de lumière placée à l'avant, visible par l'observateur, mais ayant une intensité insuffisante pour neutraliser la lumière directe provenant de l'arrière à travers l'image. 7) The reflected light comes from a light source placed in the front, visible to the observer, but having insufficient intensity to neutralize the direct light coming from behind through the image. 8 ) La.deuxième source de lumière est au moins partiellement con- centrée pendant la deuxième prise de vue et la source de lumière avant, visi- ble par l'observateur pendant la présentation a une position équivalente à la position que cette deuxième source occupait pendant la prise de vue correspon- dante. 8) The second light source is at least partially focused during the second shot and the front light source, visible to the observer during the presentation, has a position equivalent to the position that this second source occupied during the corresponding shot. 9 ) Au moins l'une des sources de lumière utilisées pour la présen- tation de l'objet est intermittente, la période d'extinction étant assez cour- te pour que l'oeil de.l'observateur ne perde pas la persistance de cette image. 9) At least one of the light sources used for the presentation of the object is intermittent, the extinction period being short enough so that the eye of the observer does not lose the persistence of the object. this image. 10 ) La source de lumière directe .utilisée pour la présentation de l'image a une couleur changeante pour donner un effet théâtral. 10) The direct light source used for the presentation of the image has a changing color to give a theatrical effect. 11 ) L'image composite comporte une série de couches dont une par- tie au moins est obtenue par tirage photographique. 11) The composite image comprises a series of layers, at least part of which is obtained by photographic printing. 12 ) L'une des couches comporte une impression blanche translucide pour permettre à l'une des images d'être vue en lumière réfléchie. 12) One of the layers has a translucent white print to allow one of the images to be viewed in reflected light. 13 ) L'une des couches est exécutée en accentuant les points bril- lants. <Desc/Clms Page number 17> 13) One of the layers is executed with emphasis on shiny points. <Desc / Clms Page number 17> 14 ) Une couche destinée à être vue en lumière réfléchie comporte un tirage blanc translucide et est exécutée de manière à accentuer les points brillants. 14) A coat intended for viewing in reflected light has a translucent white print and is executed to accentuate the bright spots. 15 ) L'une des couches est effectuée de manière à accentuer les ombres. 15) One of the layers is done so as to emphasize the shadows. 16 ) La couche effectuée de manière à accentuer les ombres est l'une des couches destinée à être vue en lumière réfléchie. 16) The layer made to accentuate the shadows is one of the layers intended to be seen in reflected light. 17 ) L'image composite comporte une image arrière destinée à être vue en lumière directe et une image avant destinée à être vue seulement en lu- mière réfléchie, l'une au moins des images étant de préférence tirée en couleur, par exemple par des encres colorées. 17) The composite image comprises a rear image intended to be seen in direct light and a front image intended to be seen only in reflected light, at least one of the images preferably being drawn in color, for example by images. colored inks. 18 ) Une couche d'impression en blanc est disposée entre les ima- ges avant et arrière., pour fournir le blanc nécessaire à l'image avant. 18) A white print layer is placed between the front and back images., To provide the necessary white for the front image. 19 ) Cette impression en blanc est exécutée de manière à accentuer les points brillants en ne tirant pas ou en tirant seulement très légèrement en fonction de leur brillance, de manière à assurer une transparence complète en lumière directe, là où on le désire. 19) This printing in white is performed in such a way as to accentuate the bright points by not pulling or pulling only very slightly depending on their brightness, so as to ensure complete transparency in direct light, where desired. 20 ) L'image avant est vue principalement mais non exclusivement en lumière' réfléchie et l'image avant n'est pas tirée normalement noire mais au contraire est tirée très légèrement, par exemple avec une encre noire ab- sorbante pour donner une profondeur supérieure à la normale dans les ombres profondes et une profondeur normale dans les parties moins noires., par exemple en tirant plus légèrement dans ces zones avec cette encre très noire. 20) The front image is seen mainly but not exclusively in reflected light and the front image is not drawn normally black but instead is drawn very lightly, for example with absorbent black ink to give greater depth. to normal in deep shadows and normal depth in less black parts, for example by drawing more lightly in those areas with this very black ink. 21 ) L'image avant est observée principalement, mais non exclusi- vement en lumière réfléchie, un tirage¯noir additionnel étant prévu sur l'ima- ge avant pour accentuer les ombres profondes. 21) The front image is observed mainly, but not exclusively in reflected light, with an additional black drawer being provided on the front image to accentuate deep shadows. 22 ) Le tirage en blanc n'est pas tiré dans les points brillants extrêmes et n'est pas tiré ou n'est tiré que légèrement dans les zones de noir profond ou de noir léger respectivemnt, en permettant ainsi à l'image arrière d'être vue en lumière réfléchie et d'apparaître noire dans les zones noires. 22) The white print is not pulled in the extreme bright spots and is not pulled or pulled only lightly in the deep black or light black areas respectively, thus allowing the rear image to 'be seen in reflected light and appear black in black areas. 23 ) L'image avant est vue principalement mais non exclusivement en lumière réfléchie et l'image arrière est dense mais transparente, tandis que l'image avant est très transparente par exemple en utilisant des encres très légères. 23) The front image is seen mainly but not exclusively in reflected light and the rear image is dense but transparent, while the front image is very transparent eg using very light inks. 24 ) L'image arrière comporte un tirage noir additionnel pour as- sombrir davantage les portions correspondant aux ombres noires et profondes. 24) The rear image has an additional black print to further darken the portions corresponding to black and deep shadows. 25 ) L'image arrière comporte un transparent coloré dans lequel les couleurs sont fournies par des pigments. 25) The back image has a colored transparency in which the colors are provided by pigments. 26 ) Les deux images sont tirées avec des pigments. 26) Both images are drawn with pigments. 27 ) L'image arrière comporte un transparent photographique coloré. 27) The back image has a colored photographic transparency. 28 ) L'image arrière comporte un transparent coloré dans lequel les couleurs sont fournies par teintureso 29 ) L'image avant est obtenue par transfert de colorant et est visible en lumière réfléchie mais transparente pour permettre le passage de lumière directe de l'arrière à travers l'image arrière. 28) The back image has a colored transparency in which the colors are provided by tinctureso 29) The front image is obtained by dye transfer and is visible in reflected light but transparent to allow direct light to pass from the rear through the rear image. 30 ) L'image arrière comporte un tirage photographique addition- nel noir pour accentuer les parties correspondant aux ombres noires et profon- des. 30) The back image has an additional black photographic print to emphasize the parts corresponding to the dark and deep shadows. 31 ) Les images sont obtenues par des plaques transparentes pla- cées en regard l'une de l'autre avec des images en concordance. 31) The images are obtained by transparent plates placed opposite one another with images in agreement. 32 ) Les images sont exécutées les unes sur les autres sur une pla- que transparente unique. 32) The images are executed on top of each other on a single transparent plate. 33 ) L'image composite comporte une image arrière et une image a- vant, l'image arrière étant développée à partir de la prise de vue du sujet <Desc/Clms Page number 18> éclairé par la source donnant l'apparence du relief. 33) The composite image consists of a rear image and a front image, the rear image being developed from the shooting of the subject <Desc / Clms Page number 18> illuminated by the source giving the appearance of relief. II. - Un appareil pour la présentation d'une image plane composite caractérisé par les principaux points suivants pris séparément ou en combinai- son : 1 ) Il comporte des moyens pour maintenir l'image, une source de lumière arrière, des moyens pour diffuser cette lumière arrière, des moyens réfléchissants adjacents aux bords de lmage empêchant l'observateur.de voir au-delà de l'image, un cadre entourant cette image et des surfaces réfléchis- santes et des moyens pour dissimuler la source arrière de lumière aux yeux de l'observateur. II. - An apparatus for the presentation of a composite plane image characterized by the following main points taken separately or in combination: 1) It comprises means for maintaining the image, a rear light source, means for diffusing this rear light, reflecting means adjacent to the edges of the image preventing the observer from seeing beyond the image, a frame surrounding this image and reflective surfaces and means for concealing the rear source of light from the viewer's eyes. 2 ) Les moyens réfléchissants comportent des surfaces perpendicu- laires au plan de l'imageo 3 ) Les moyens réfléchissants comportent certaines surfaces perpen- diculaires et certaines autres surfaces parallèles au plan de l'image. 2) The reflective means comprise surfaces perpendicular to the plane of the image. 3) The reflecting means include certain perpendicular surfaces and certain other surfaces parallel to the plane of the image. 4 ) Les moyens diffusants comportent un réflecteur. 4) The diffusing means include a reflector. 5 ) Entre la source lumineuse arrière et l'image sont prévus des moyens pour isoler et protéger celle-ci contre la chaleur de la source arriè- re. 5) Means are provided between the rear light source and the image to isolate and protect the latter against the heat of the rear source. 6 ) Les moyens isolants comportent des plaques séparées l'une de l'autre en verre résistant à la chaleur et absorbant la chaleur, réservant en- tre elles un espace d'air clos. 6) The insulating means comprise plates separated from each other in heat-resistant and heat-absorbing glass, reserving between them an enclosed air space. 7 ) Il comporte plusieurs tranches distinctes, l'image étant main- tenue dans la tranche avant, et la source lumineuse arrière étant portée par la tranche arrière, et des moyens étant prévus pour ventiler l'appareil de ma- nière à évacuer la chaleur produite par la source lumineuse. en annexe : 5 dessins. 7) It comprises several distinct slices, the image being kept in the front edge, and the rear light source being carried by the rear edge, and means being provided to ventilate the apparatus so as to evacuate the heat. produced by the light source. in appendix: 5 drawings.
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