Procédé d'exécution et de présentation d'une image plane d'un sujet pour donner l'impression de la présence réelle de ce sujet. La présente invention concerne un pro cédé d'exécution et de présentation d'une image plane d'un sujet pour donner l'impres sion de la présence réelle de ce sujet et un appareil pour la présentation de cette image <B>ou</B> cliché.
Le procédé suivant l'invention est carae- têrisé en ce que l'on photographie ce sujet, une première òis, éclairé par au moins une -aurce de lumière agencée de façon<B>à</B> donner une bonne apparence<B>de</B> relief, et -une deuxième fois éclairé par au moins une deuxième source de lumière, que l'on exécute une image composite utilisant les deux prises de vue ci-dessus, et que l'on présente l'image écl,airée par transparence en lumière directe, clans des conditions telles que la présence de la lumière directe soit dissimulée<B>à</B> l'obser vateur.
L'appareil suivant l'invention pour la pré- senfation d'une image plane conformément<B>à</B> la revendication I est caractérisé en ce qu'il comporte -une source de lumière arrière, des moyens pour diffuser cette lumière arrière, (les moyens réfléchissants adjacents aux bords de l'imaue empêchant l'observateur de voir au-delà de l'image, un cadre entourant cette ima.-e avec des surfaces réfléchissantes, et des moyens pour dissimuler la source arrière de lumière aux yeux de l'observateur.
On a<B>déjà</B> fait antérieurement de nom breuses tentatives pour donner une apparence plus réelle aux images planes d'objets solides. Quoique certaines aient abouti<B>à</B> -Lui succès relatif pour donner une illusion de l'épaisseur et de la troisième dimension, sous certains angles limités et<B>à</B> certaines distances limitées, aucune de ces tentatives n'a été vraiment couronnée de succès et n'a permis, dans les conditions d'observation normales, d'éviter que l'on ne saperçoive qu'il s'agit d'une image en laissant croire au contraire que l'ob jet réel était effectivement présent.
On a constaté que la différence dans l'im pression occulaire ressentie lorsqu'on fixe, d'une part, une image plane et, d'autre part, le ou les objets eux-mêmes, ne dépend pas essentiellement ou exclusivement de l'effet de relief ou effet stér & oscopiq-Lie. On a constaté que la différence entre l'impression occulaire produite par l'image et l'impression occulaire produite par l'objet réel réside essentielle ment dans la différence entre la brillance des différentes parties de l'objet ou groupe cl'ob- jets réels et la brillance des parties correspon dantes de l'image.
Ainsi, pl-Lis est intense l'éclairement de l'objet, pl-Lis grande est la différence entre cet objet et son image. Par exemple, des objets solides réels soumis<B>à</B> un éclairage terne, diffus et faible, paraissent plus plats et plus analogues<B>à</B> une image plane lorsqu'ils sont vus<B>à</B> une distance assez grande pour réduire l'effet stéréo,-ccpiq-LLe des deux yeux, Toutefois, quel que soit le# soin apporté<B>à</B> la reproduction des couleurs réelles 3ur une image, celle-ci ne peut pas donner L'illusion de la présence actuelle de l'objet so lide lui-même,
pour autant qae l'échelle de brillance de ses différentes parties diffère d'une façon appréciable par rapport aux par ties correspondantes dun objet réel brillam ment éclairé et qui présente, par suite, des contrastes importants entre ses différentes parties. De pluis, la source qui éclaire Lin objét réel est en général vue oLi tout, au moins perçue, aussi bien que l'objet lui-même.
Au contraire, sur Line image, ordinaire, même si le cerveau ne l'enregistre pas, P#il. perçoit facilement qu'il n'y a pas de source de lumière S7L réellement présente,<B>là</B> où l'image iggère qu'il<B>y</B> en a.
En oatre, la, lumière réelle envi- ronn,ant l'image (c'est-à-dire la lumière de la pièce ou du local dans lequel l'image est observée) agit de la même manière sur toute la surface de cette image plane, en faisant é-# -idemmP,nt ressortir son absence de relief, soit lorsque cette lumière se déplace, soit lors que son intensité ou sa couleur change. A-u contraire, lorsque l'on observe un objet réel, l'#il décèle que les ombres et les. points les plus brillants changent en fonction des chan gements de la source de lumière elle-même.
Il est donc nécessaire<B>de</B> prévoir des moyens pour produire une image qui, dune part, pré sentera une échelle convenable de brillances et, d'autre part, semblera se modifier comme un objet<B>à</B> trois dimensions en fonction des changements de la lumière, tout au moins aux de.uix Points de n-Le de l'intensité et la cou- leLtr si Pon ne peut pas l'obtenir pour le mou vement-' Les dessins annexés montrent,<B>à</B> titre d'exemples, quelques modes de réalisation du procédé suivant l'invention et divers appareils pour la mise en #uvre.
lia fiçy. <B>1</B> est une vue en perspective par l'avant de Faménagement possible d-Lui objet déterminé, montrant schématiquement l'éclai rage au cours,de, la, première prise de vue.
La fig. 2 est une vue analoguLe <B>à</B> la fig. <B>1,</B> montrant l'éclairage au cours de la seconde prise de vue, La fig. <B>3</B> est une vue latérale de l'aména gement montré aux fig. <B>1</B> et '22.
La fig. 4 montre un négatif photographi- qae obtenu en utilisant la source<B>À</B> seule ment.
La fig. <B>5</B> montre un négatif obtenu<B>à</B> par tir d'un positif dérivé dut négatif de la fig. 4 amplifiant l'intensité lumineuse. Cette figure peut être considérée également comme la re présentation d'un négatif obtenu en plaçant un deuxième film en arrière dLi premier, de manière que celui-ci soit extrêmement sous- exposé.
La fig. <B>6</B> montre un négatif photographi que obtenu en utilisant la source<B>B</B> sefflement. La fig. <B>7</B> montre un négatif obtenui <B>à</B> par tir d'un positif,dérivé du négatif de la fig. <B>6</B> amplifiant les ombres foncées.
La fig. <B>8</B> est une vue par devant du posi tif lamellé tel qu'il est vu par de la lumière réfléchie seulement.
La fig. <B>9</B> est une vue par devant de<B>ce</B> même positif vu en lumière directe seuilement. La fig. <B>10</B> est une vue par devant du même positif vu avec une combinaison de lumière réfléchie et de lumière directe.
La, fig. <B>Il</B> est une vue développée de la reproduction photographique composite la mellée en noir et blanc.
La fig. 12 est une vue latérale schématique <B>à</B> échelle exagérée de la reproduction photo graphique lamellée en noir et blanc<B>de</B> la fig. 1.1.
La fig. <B>13</B> est une vue développée dune mitre forme -de reproduction photographique lamellée composite en noir et. blanc.
La fig. 14 est une vue schématique laté rale en dimensions exagérées de la reproduc tion lamellée de la fig. <B>13.</B>
La fig. <B>15</B> est une vue développée d'une reproduction photographique composite la mellée tirée avec des encres de coaleur.
La fig. <B>16</B> est une vue schématique laté rale en -dimensions exagérées de la reproduc tion de la fig. <B>15.</B>
La, fig. <B>17</B> est une vue développée d'une autre forme de reproduction lamellée compo site tirée avec des encresde couletir. lia fig. <B>18</B> est une vue schématique latérale en dimensions exagérées de la reproduction de<B>là.</B> fi#g. <B>17.</B>
La fig. <B>19</B> est -une vue développée dune troisième forme de reproduction composite lamellée tirée avec des encres de couleur.
La fig. 20 est une vue schématique laté rale en dimensions exagérées de la reproduc tion de la fig. <B>19.</B>
La fig. 21 est une vue perspective par l'avant d'une forme possible de la boîte et du cadre de prMentation et d'exposition des reproductions lamellées.
La fig. 22 est -une coupe transversale de<B>le</B> boite et du cadre de la fig. 21.
La fig. <B>23</B> est une vue latérale d'un amé nagement possible, de l'effet d'éclairement, en combinaison avec la boîte et le cadre d'obser vation permettant d'augmenter Fillusion.
La fig. 24 est une vue en élévation frag mentaire de la partie avant du cadre de pré sentation d-'une variante.
Pour mettre en #uvre le procédé suivant l'invention, il faut réaliser une image plane composite qui sera vue par l'observateur par transparence avec la lumière directe et en combinaison également,<B>à</B> des degrés varia bles, avec de<B>la</B> illumière réfléchie.
La lumière directe est derrière l'image, l'existence de cette lumière directe est et doit rester imperceptible<B>à</B> l'observateur qui sera ainsi convaincu qu'il observe l'image -unique ment en lumière réfléchie. Cette condition est extrêmement importante pour obtenir l'im pression désirée, que l'on voit l'objet réel.
La source de lumière réfléchie peut être simple on multiple. Elle peut être la source d'éclairage ordinaire de l'a chambre, du local, ou toute source usuelle de lumière naturelle ou artificielle. L'observateur aura conscience de cette lumière normale exactement comme s'il observait l'objet 'lui-même.
Mais en plus de l'existence réelle de cette source d'éclairage avant, il semblera<B>y</B> avoir une ou plusieurs sources de lun-dère réfléchie concentrée en avant de l'image et semblant éclairer l'objet sous un ou plusieu-rs angles. Cette ou ces sources imaginaires sembleront venir d'un ou plusieurs points situés<B>à</B> l'inté rieur cl,#-uui cadre en saillie entourant l'image et ne seront pas visibles<B>à</B> l'observateur.
Parfois, pour augmenter cet effet, une source réelle pourra être placée en dehors du cadre<B>à</B> un endroit où l'observateur pourra la voir. Elle aura pour but d'amener l#àbserva- teux <B>à</B> penser que cette source est soit la source principale, soit tout au moins une source importante.
Elle peut également servir <B>à</B> constituer -une source de lumière ext6rieu#e fixe destinée<B>à</B> neutraliser ra lumière ambiante incontrôlable et variable du local; mais tout d'abord une tel-le source visible aura pour effet d'éclairer le cadre et l'entourage, en outre, elle aura une intensité telle qu'elle pro duira de la lumière réfléchie sur l'image, mais qu'elle ne sera pas assez forte pour neutraliser la lumière directe venant de la face arrière de l'image.
Pour créer sur l'image l'eff et ci-dessus indiqué semblant résulter de léclairage avant, alors que l'image est réellement éclairée par derrière, il est nécessaire de réaliser une image composite<B>à</B> partir des divers clichés ou reproductions obtenus<B>à</B> partir de l'objet éclairé tout d'abord seulement avec -un éclai rage avant uniforme, puis ensuite seulement avec une source concentrée placée sous uii cer tain angle en avant de cet objet, ou inverse ment.
Les clichés des sujets considérés doivent être pris rapidement en série, car ces sujets étant susceptibles de se déplacer même d-ui-te très faible quantité, il serait impossible, sans cela, d'obtenir une image composite dont les divers clichés soient convenablement repérés.
I.<B>-</B><I>Premier stade: Prise de</I> Pimage. Dans l'exemple illustré aux fig. <B>1</B> et<B>3,</B> on a supposé que l'objet<B>à</B> représenter était -une bille polie appliquée sur une surface arrière plane, en avant de laquelle et<B>à</B> une certaine distance est disposé un cadre<B>50.</B> Le cadre est représenté comme ayant -une forme rec- tang-ulaire avec une ouverture centrale rec tangulaire<B>à</B> travers laquelle apparaissent la bille et sa surface d'appui arrière, mais d?aLL- ires formes de cadres peuvent être utilisées.
Ce cadre peut être en carton, bois, métal ou autre matériau approprié, de préf6rence avec une surface ragaeuse donnant du relief lors qu'elle est éclairée sous un angle aigu. Il est préférable qu'il ait -une couleur claire plutôt que foncée, mais l'invention n'est en rien limitée<B>à</B> ce point de vue. -.lu premier stade., on fait deux prises de vue photographiques du sujet éclairé par différentes sources pen dant les différentes prises de vue.
Une source de linnière concentrée; qui, aLi dessin, êst schématisée par une ampoule élec. trique usuelle<B>A,</B> éclaire la bille et le cadre, ainsi que la partie de la surface arrière visi ble<B>à</B> travers ce cadre. Cette source est placée dans un angle et en avant du cadre et de la bille, de manière<B>à</B> porter ombre.<B>A</B> la fig. <B>1,</B> le cadre et la bille sont représentés comme s'ils étaient éclairés par la source<B>A</B> seule. Des ombres foncées<B>51</B> -et<B>52</B> sont portées sur la surface d'appui, par la bille et par le, cadre respectivement, et un point brillant se forme sur la surface supérieure de la bille, comme indiqué en<B>53.</B>
La source concentrée<B>A</B> n'est pas obliga toirement un simple point tel qu'une lampe unique, mais peut comporter plusieurs sour ces concentrées. On peut utiliser des sources concentrées en deux ou plusieurs angles, néanmoins, on ne peut évidemment pas utili ser trop de sources distinctes, car cela ten drait<B>à</B> multiplier et<B>à</B> affaiblir les ombres,<B>ce</B> que l'on évite au contraire pendant la prise de vue, avec un sujet éclairé par -tine ou plu sieurs sources concentrées seulement.
Parmi<B>les;</B> diverses sources concentrées, il <B>y</B> aura de préférence une source dominante. Il est pratiquement nécessaire que cette source, lorsque la représentation apparaît sous forme d'image finie, semble être<B>à</B> l'in- t6rieur du cadre dans lequel l'image est expo sée.
Ceci nécessite que cette source dominante soit placée très près du sujet et eile doit créer une ombre assez forte pour donner une bonne apparence de relief lorsque le sujet est observé avec un seul- #il. Il- est très désirable pour une telle prise de vue avec l'éclairage ci-des sus indiqué, que les çbjet? PQastituant le sujet soient placés de manière<B>à</B> ne pas créer une multiplicité, d'ombres superposées et un senti ment- général de confusion dans laprésentation d'ensemble.
La. confusion ne peut en effet pa-1 être évitée dans l'observation d'une telle re production plane puisqu'on ne peut pas comp ter sur l'effet stéréoscopique des deux yeux.
On a prévu -une seconde souirce de lumière uniforme ou diffuse désignée dans son ensem <B>ble</B> par la lettre B. Cette source peut être constituée par une rampe de lampes 6lectri- que,s disposées dans une monture appropriée, avec ou sans verre diffusant en avant des lampes.<B>Il</B> doit être entendu que l'invention -n'est pas limitée<B>à</B> une forme particulière d'éclairage uniforme, ni même, sous réserve des conditions & exposées plus loin,<B>à</B> un éclai rage -uniforme, la forme représentée étant donnée simplement<B>à</B> titre d'exemple.
<B>A</B> la fig. 2, le cadre et la bille sont repr#- sentés comme s'ils étaient éclairés par la source B seule. En la comparant<B>à</B> la fig. <B>1,</B> dans laquelle l'éclairage est assuré par hi source<B>A</B> seule, on notera quà la fig. 2 le ea- dre,
la surface arrière et la bille sont presque uniformément éclairés avec un point brillant 54 dans -une position différente et moins con centrée que lorsque la bille est éclairée par la source<B>A.</B> L'ombre di ffuse <B>55</B> en arrière de la bille n'est pas aussi sombre ni aussi net tement délimitée qu'à la fig. <B>1.</B> L'ombre la plus sombre<B>56</B> aune petite surface, est direc tement sous la bille et est le seul élément d'om bre qui' approche en intensité l'ombre<B>51</B> pro duite fig. <B>1</B> par la source.A.
Le sujet sera photographié éclairé par la source concentrée<B>A,</B> puis immédiatement après, en série et de la même place exacte ment, on prendra sur un autre film une autre vue du même sujet éclairé par la source B, ou inversement.
On comprend qu'avec un sujet qui reste stationnaire, comme la bille représentée, il n'y a pas la même nécessité de prises de vue en séquence rapide que s'il s'agissait du portrait d'une personne vivante, d'une fleur ou ana logue. De tels sujets peuvent se déplacer très légèrement même dans une fraction de se- éonde, de sorte que, si deux prises de vue doi vent être f aites sous des conditions d'éclai rage différentes, il est de la plus haute impor tance que les prises de vue successives soient faites<B>à</B> des temps aussi rapprochés que possi ble, par exemple. séparées l'une de l'autre d'une fraction de seconde seulement.
Pour la description du procédé, il sera suffisant de supposer que l'objet<B>à</B> photogra phier est stationnaire ou<B>à</B> mouvement relati vement lent, de sorte que des prises de vue<B>à</B> séquence très rapide ne soient pas nécessaires. On notera toutefois que l'invention est appli cable aux deux types de sujets et que la seule différence de mise en #uvre, pour un sujet fixe et pour un sujet mobile, résidera dans la vitesse d'opération dont l'équipement photographique utilisé est capable.
Pour des sujets fixes ou<B>à</B> mouvement relativement lent, on peut -utiliser des équipements photographi ques existants sans aucun changement, pour autant que l'on prenne les précautions néces saires pour maintenir l'appareil fixe et qu'au cun mouvement ou vibration ne se produise lorsque l'on change la plaque ou le film.' II.<B>-</B> Deuxième<I>stade: Reproduction</I> <I>et tirage.</I>
Le principe de photographies distinctes du sujet lorsqu'il est éclairé par la source A, puis lorsqu'il est éclairé par la source B, peut être utilisé soit pour obtenir une image en noir et blanc, soit pour obtenir une image en couleurs, car l'invention peut être mise en pratique des deux manières. On décrira tout d'abord l'obtention d'une image en noir et blanc.
a) Reproduction<I>photographique</I> en noir et blanc.
Conformément<B>à</B> l'invention, on réalise une image composite sur -une plaque transpa- parente. Les -éléments correspondants résul tant de la photographie du sujet lorsqu'il est éclairé seulement par la source concentrée<B>A</B> seront vus en lumière directe. Les éléments de l'image composite résultant de la photographie du sujet lorsqu'il est éclairé par la source uniforme<B>B</B> seront vus principalement en lu- inière réfléchie. Dans ce qui suit, les éléments résultant des deux expositions différentes se ront désignés par<B>A</B><I>et</I> B avec des chiffres en exposants.
Comme on le voit fig. 4,<B>AI</B> est un négatif -légèrement sous-exposé obtenu par un filin photographique en noir et blanc, de prUé- rence sur un film donnant une très grande latitude et -un gamma élevé, de manière<B>à</B> don ner tous les détails des lumières et des om bres. Le négatif sous-exposé doit également être sous-développé de manière<B>à</B> donner une densité relativement<B>f</B> aible et augmenter par suite la gamme (ce négatif a été obtenu avec le sujet éclairé seulement par la source .4.). On notera que par sous-développement, on entend un développement effectué avec un révélateur faible.
De ce négatif unique <B>.Al,</B> on tire un positif<B>A2</B> (non représenté) sur un film ou une plaque, soit par contact, soit par projection, si l'on veut un agrandisse ment. Ce positif est surexposé de manière<B>à</B> ne donner des détails que pour les parties très éclairées. De ce positif, on tire un second négatif<B>As</B> (fig. <B>5).</B> Pour réduire encore plus le détail des ombres et des zones demi-om- brées, et<B>à</B> ne laisser par suite de détail que dans les zones très éclairées, ce second néga tif ils est sou & exposé.
On dispose: ainsi de deux négatifs<B>A'</B> et <B>As</B> (fig. 4 et<B>5), AI</B> comportant des détails <B>à</B> la fois dans les zones très éclairées et dans les ombres et<B>As</B> ne présentant de détails que dans les zones très éclairées,<B>A'</B> étant un négatif transparent sous-exposé et sous-déve loppé, comme indiqué ci-dessus.
Du négatif <B>AI,</B> on tire un positif A2 (fig. <B>11</B> et 12) sui une plaque Pl ayant une émulsion<B>à</B> haut con traste et forte densité, bien développé, de ma nière<B>à</B> obtenir un diapositif dense dans lequel les parties correspondant aux ombres les plus foncées sont très noires et denses, et où les points les plus lumineux sont complètement clairs.
Le but du positif obtenu<B>à</B> partir de <B>A',</B> comme il vient d'être décrit, est de cons tituer le moyen qui, en coopération avec les rayons lumineux directs passant<B>à</B> travers les zones transparentes, donnera les formes, orû- bres et lumières produites -par la source lumi neuse<B>A.</B> Comme l'image est dans son ensem ble très dense, la lumière transmise devra être d'une intensité telle qu'elle donne, dans la gamme des gris, les détails qui figuraient sur l'objet. Pl-Lis la lumière est intense, meilleur est le résultat, pourvu, que la gamme de den sités de la plaque soit. calculée en fonction <B>de</B> Ilntensité de la lumière directe.
En variantes des moyens pour réaliser le positif<B>A22,</B> on obtiendra un meilleur résultat si, au lieu de réaliser un négatif sous-exposé <B>AI,</B> on place -deux films l'Un derrière l'autre en donnant une exposition convenable de ma- nière <B>à</B> obtenir une surexposition sur le filin avant et une sous-exposition sur le filin arrière dont l'obtention est aidée par la pré sence de la couche sensible arrière du film avant.
Un mince film ne-Litre supplémentaire clé densité peut être également -utilisé entre les deux films lorsque la vitesse d'émulsion du film arrière différtente, de celle du film Avant, n'est pas assez lente encore par elle- même. Le filin axriùre sera légèrement décalé par rapport au loyer.
Il en résulte que les po,ints brillants (point principal ou, seule ment détails apparaissant sur le film arrière) ser ont légèrement plus grands que la normale, ce qui les amplifiera avantageusement. Ces deux négatifs peuvent être utilisés soit suc cessivement, soit simultanément en regard comme un négatif simple polir reproduire le positif<B>A2.</B> Dans ce cas, le film arrière est utilisé comme lin négatif<B>A3.</B> Ce procédé peut être -Utilisé pour des-travaux spécialement dif ficiles ou fins.
Ayant ainsi un positif A2 d'-une large #1 gamme de densités, il faut chercher<B>à</B> obtenir le maximum de lumière dans les zones les pl-Lis brillamment éclairées du sujet (points brillants).<B>A</B> cet. effet, on reproduit sur un film transparent lin positif<B>à</B> partir du néga tif A-S. Ce second positif<B>Al</B> (non représenté) donne des détails pour les points 1-Lunineux seulement. Pratiquement seuls les points bril lants apparaîtront.
On en fait lin tirage sur du produit cle marque Transfax Kodak blanc ou produit ï -inal .ogue sur lequel les parties affectées par la.
lumière disparaissent au développement, la couche de Transfax ou analogue ayant W# appliquée sur le positif développé A2 (voir W-15, fig. <B>11).</B> Ainsi, les points brillants qui dan#i le sujet produisaient presque -Lme ré flexion totale deviendront clairs.
Si les points brillants du négatif A3 sont larges et ont des bords diffus, le positif A4 doit être tramé, par exemple en utilisant Une traine d'imprimeur entre le négatif _433 et. le po.si- tif J14.
On obtient ainsi une image composite constituée de deux eouches (.1-12 et 'WA5) qui est a-ménagée pour être vue seulement par transparence en lumière directe.<B>A</B> cet-te image, on ajoute, de la manière qui va être décrite, une image composite destinée<B>à</B> êtrc vue en lumière réfléchie, la couche blanche '9TA5 indiquée ci-dessus servant, si néeessaire, de fond arrière blanc.
Comme on le voit dans la fig. <B>6,</B> un né- gatil BI est obtenu par tirage sur un film en noir et blanc avec le sujet éclairé par ki source B seulement. Pour donner les détails des ombres et pas les détails clé la lumière, ce négatif est très surexposé et normalement développé ou légèrement sous-développé.
DU négatif BI, on fait un positif. B" non représenté, qui est sous-exposé, clé manière<B>à</B> ne donner aucun détail pour les points bril lants et les zones moyennement éclairées.
DU positif B", on fait un autre négatii B3 (fig. <B>7)</B> qui est surexposé pour que les<B>dé-</B> tails soient encore réduits, qu'ils n'apparais sent que dans les ombres, et que même<B>là,</B> ils soient minimums. Ainsi, seules les ombres 1(-# plus sombres apparaîtront.
On dispose ainsi de deux négatifs BI et .133 provenant de l'exposition du sujet<B>à</B> l'éclairement B (voir fig. <B>6</B> et,<B>7).</B>
En partant du négatif Bl (normalement contrasté et lie comportant aucun clôt-ail dars les zones brillantes), on tire Un positif B2 Sur luie plaque P2 (voir fig. <B>11</B> et 12). Ce posi tif est sous-exposé et sous-développé en dois nant un tiragê avec des détails d'ans les arii- bres, encore accentués par cette sous-exposi tion.
Ce tirage est fait avec le négatif inversé, <B>de</B> sorte quie Fon obtient un positif inversé. Cette inversion est nécessaire parce que ulté rieurement, on place la face énitilsionnée clé la plaque Pl avec l'image composite<B>A</B> contre la face émulsionnée de la plaque P2 portant J'image B, avec interposition de TVA5 et. de BI, de sorte que les deux images soient l'une eontre l'autre et évidemment en concordance.
En variante des moyens de reproduction <B>de</B> 822<B>à</B> partir de B', les points brillants cor respondant<B>à</B> la source lumineuse<B>A</B> peavent être accentués en appli%iant le négatif _43 sur le négatif B2 et en tirant les deux en même temps.
Il en résultera que l'on ajoli- tera <B>à</B> l'image B2 des places claires corres pondant aux points brillants<B>53</B> de l'image .#l2, de sorte que la lumière directe passant.<B>à</B> travers Pl, <I>A2,</I> WA5, B2 et, P2 brillera libre- 'ment en ces points.
Une autre variante pour le même but qui, toutefois, supprimé la nécessité de mettre en concordance BI et. .4-3 potir le tirage, consiste <B>à</B> faire la prise,de vue conduisant a-Li négatif BI, pendant que la source<B>A à</B> brillance ré duite illuminé encore le sujet, en évitant ainsi de éréer des ombres visibles sur le sujet <B>déjà</B> illuminé par la source B. Ainsi apparitÎ- tront les points brillants désirés<B>53</B> provenant de, la source<B>A,</B> mais pas les ombres corres pondantes.
Quelques ombres légères difficile ment visibles peuvent apparaître, le but étant simplement d'éviter aussi pratiquement que possible toutes ombres provenant de la source<B>A.</B>
Suir l'avant du positif B2, on dépose une nouvelle couche d'un produit tel que le noir clé marqlle Pittman ou a-Litre produit ana logue pour obtenir un noir plus sombre que celui que l'on peut obtenir avec n'importe quelle émulsion photographique.
Sur cette couche, on fait un tirage avec le négatif B#', (détails dans les ombrW, de manière<B>à</B> obte nir un tirage positif B4 avec des ombres très noires.<B>A</B> part ces ombres, cette couche sera claire, comme pour le tirage<B>du</B> positif B2, le positif M sera tiré inversé. Les niâmes ré sultats peuvent être obtenuis par retouche<B>à</B> la main ou en employant le procédé de, tirage <B>à</B> l'écran de soie, pour autant que l'on utilise un corps très absorbant de la lumière, par exemple (le l'encre, une teinture ou des<B>pig-</B> ments très noirs.
En se référant<B>à</B> la fig. <B>11,</B> on voit que <B>là,</B> <B>pl</B>aque Pl est<B>à</B> gauche.<B>A</B> côté d'elle se trouvent le porte-émulsion et le tirage positif<B>A2</B> qui est dense et sombre avec les ombres les plus profondes très opaques. Sur le devant de<B>A2</B> est placé le tirage VA5 sur lequel apparaît<B>le</B> point brillant<B>53.</B> Si il est obtenu en utili- saut da Transfax (comme fig. <B>11),</B> ce tirage sera blanc excepté aux points brillants où il sera clair.
<B>. A</B> côté est placé le tirage positif B4 qui vient d'être décrit et qui est clair,<B>à</B> part les ombres les plus noires.<B>A</B> côté, et entre B4 et la plaque de verre supérieure P2, est placé le tirage positif B2 qui comporte des détails dans les ombres et dans les zones intermé diaires, mais qui est clair dans les zones blanches et très lumineuses et peut aussi res ter clair dans les zones des points brillants <B>53</B> produits par la source lumineuse<B>A;</B> c'est un tirage faible, de sorte que B2 Comme BII peut être vu en lumière réfléchie, par la cou che blanche de 'WA5.
Au lieu de faire le tirage sur deax pla ques, il est également possible d-e, réaliser une image sur uine, plaque comme représenté fig. <B>13</B> et 14. Dans ce, cas, la plaqae de verre P33 porte le tirage positif A2 provenant cla négatif<B>A',</B> tiré sur el-le, comme précédem ment décrit, avec les détails dans la, lumière et dans les ombres et, en outre, de la gradua tion et de<B>la -</B> den#sité.
Ensuite, sur un film distinct., on tire le positif normal ou tramé identiqae. <B>à</B> A4, t..n utilisant le négatif<B>As</B> de la manière ci-dessus indiquée; ce, film distinct est intermédiaire ct son image sera tirée sur une couche de Transfax apposée sur A2. Ensuite, on fût un négatif BlH <B>à</B> demi-teinte très lumineux (non représenté)<B>à</B> partir d'Lin positif inter médiaire non représenté provenant de B'.
E nsuite, sur #du #f ransfax ou analogue, on fait un tirage en utilisant le positif A4 (pour don ner les points clairs brillants<B>53</B> provenant de la source<B>A)</B> et le négatif BIH faible<B>à</B> demi- teinte, tous deux en co7incidence. Il en ré sulte -RIB2. Comme on a fait les tirages sur Transfax ou analogue,, les parties affectées -par la lumière disparaissent.
Il en résulte qae l'utilisation du négatif BIH et du négatif<B>AI</B> provoque l'effacement du Transfax plus ou moins dans les ombres produites par B'H et les points lumineux<B>53</B> provenant de A4 et resté plus ou moins dans les parties lLLmine#,i-' ses carrespondant <B>à</B> B'H. C'est ce que Pou désire, parce que sous les ombres, il<B>y</B> a un tirage<B>A2</B> qui, étant très dense, apparaît noir sous la lumière réfléchie, et que l'on verra a* travers,
ce qui est nécessaire pour que les ombres pl-Lis ou moins transparentes et les va leurs médianes soient -visibles en lumière ré fléchie (voir fig. <B>3).</B>
<B>A</B> côté, par-dessus le Transfax , c'est-à-dire le tirage WB2 obtenu<B>à</B> partir de A4 et B'H, on tire les ombres les plas noires en utilisant le négatif B3 et, unëcran de soie avec un noir spécial, noir Pittman ou analogue.
L'image obtenue par lun des moyens ci- dessus décrits sera une image photographique en noir et blanc et sera exposée de. la manière qui va être décrite, en utilisant de la lumière directe aussi bien que deïlla-lamière réfléchie. L'image obtenue de la manière ci-dessus pourra être teintée<B>à</B> la main pourvu que les couleur,. soient très transparentes et appli- quiées en couche mince.
Les procédés ci-dessus qui conviennent pour de petites -quantités sont impraticables pour -tine production en masse. Ainsi, l'invention prévoit des moyens pour pro duire les images en grande quantité, aLi prix et dans le temps minima, ce que l'on peut réaliser facilement, en faisant des ini- pressions <B>à</B> l'encre ou autres sur tout sup port transparent ou translucide. <B><I>b)</I></B><I> Tirage avec des</I> encres de couleur.
Les prisesde vue dans<B>ce</B> cas sont faites avec les mêmes sources d'éclairage que décri- tes précédemment. te même<B>si</B> l'objet n'est pas immobile, lies prises de vue doivent être faites en séquence rapide; mais si il est im mobile, %'nécessité des prises de vue en sé quence rapide n'est pas essentielle et l'on peut -utiliser les équipements photographiques existants, avec les mêmes précautions qu'indi quées plus haut.
En décrivant le tirage, il doit. être bien entendu que l'on n'exclut pas les procédés de tirage en masse, le tirage proprement, dit pou- vaut être fait de différentes manières.
On part comme base de n'importe quelle feuille telle qu'une matière plastique trans parente ou blanche ou du papier blanc de composition et grain très fin, avec un degré de transparence tel qu'il permette le passage de, lumière provenant de l'arrière, cette lu mière se répartissant -uniformément sur toute la feuille.
La feuille de base peut servir<B>à</B> supporter l'application d'une décalcomanie si on, le<B>dé-</B> sire.<B>A</B> titre d'exemple particulier non limi- tatil, on décrira l'invention en partant d'une feuille ou plaque transparente.
La photographie prise du sujet éclairé par la source concentrée<B>A</B> peut être faite sar du produit de marque Kodachrome ou plaque ou film simple analogue; elle peut être faite également par le procédé de séparation des coulears sur des négatifs de sélection. En<B>gé-</B> néral, ces négatifs sont pris sur des films blancs et noirs<B>à</B> travers des -écrans colorés, de manière<B>à</B> obtenir des négatifs enregis trant chaque couleur désirée.
Si on utilise du produit de marque Kodachrome ou analo gue, il est ensuite nécessaire de faire des né gatifs de sélection de couleurs; il est néan moins pl-Lis commode -de prendre l'original<B>da</B> produit de marque Kodachro#me qa'avec une caniera <B>à</B> sélection des couleurs en une seule exposition, car l'équipement d'un tel appareil est pl-Lis encombrant.
Les négatifs de sélection des couleurs doi vent être légers ou faibles avec une gradua tion élevée depuis les points les plus brillants jusq-LL'aux ombres les plus foncées, comme pour<B>.11</B> dans les tirages photographiques en noir et blanc précédemment décrits.
E'nsuite, les différentes plaques pour ti rage avec des encres ou des colorante,<B>à</B> savoir bleu, magenta, jaune, sont obtenues<B>à</B> partir clés négatifs de sélection, comme utilisés cou- raminent dans ce mode de tirage.
Les plaques gTavées sont ensuite utilisées pour faire des tirages avec des encres ou co lorants transparents, mais très denses sur la feuffle de base transparente P4.
Pour certains sujets, il peut être n6ces- saire de mélanger certains pigments opaques avec les encres pour arrêter même davantage la quantité de lumière directe. Les négatifs utilisés pour faire les plaques étant très peu contrastés, Futilisation d'encres denses apporte sur la face arrière le contraste réel que l'on désire et qui existe sur le sujet photo <B>-</B> aphié réel.
On ajoute en général du noir gr qui doit avoir -également ici la même densité ou une densité plus grande, Le résultat sera un ensemble A2r, (voir fig. <B>15)</B> équivalant<B>à A.2</B> dans le procédé précédent des tirages photo graphiques, en noir et blanc.
Les taches très lumineuses doivent être aussi claires que possible, c'est pourquoi la typographie n'est pas aussi avantageuse que l'héliogravure. Le tirage lithographique offsct du noir convient bien dans certains cas. De toute façon, l#e tirage doit être. plus épais que les tirages normaux. transparents.
.Avant maintenant -une image développée <B>a</B> partir de la source<B>A</B> (cette image devant être vue par tramsparence en lumière directe), on imprime sur sa face supérieure avec, -une encre blanche ayant un degré convenable de tritn.slticidit6 et de recouvrement. Cette im pression blanche est destinée<B>à</B> fournir les zones blanches de l'image suivante B, mais elle peut comporter certaines zones nues dans les parties les plus brillantes. S'il<B>y</B> a des zones nues, la lumière provenant de l'arrière (lumière directe lorsque l'image este-xposée), sera pratiquement transmise en totalité dans ces zones.
Mais, si l'a lumière directe provient d'une source concentrée et qu'il n'y a aucune surface diff-usante derrière les, tirages, le blanc ne devra comporter aucune zone nue, car la source lumineuse pourrait être visible. Ainsi, lorsque l'on -utilise derrière l'image une source concentrée clé lumière directe, le man que de diffusion peut être compensé par l'image elle-même.
Le tirage en blane est fait avec -une pla que gravée préparée de la manière suivante: On se rappelle que pour obtenir une image en noir et blanc, on préparait un négatif<B>A3</B> ne donnant de détails que dans les parties lm plus- brillantes. Pour la préparation d'une plaque destinée au tirage<B>à</B> l'encre, le blanc sera apposé partout sauf dans les points les plus brillants.
On prépare donc un négatif semblable<B>à</B> 213 <B>à</B> partir d'un ou plusieurs des négatifs<B>de</B> sélection<B>de</B> couleurs dont l'équi valent dans<B>le;</B> noir et blanc était<B>AI.</B> Dans certains cas, les points brillants sont colorés; il est donc nécessaire de choisir les négatiî.s de sélection montrant le mieux les points brillants.<B>A</B> partir de ces négatifs, on obtient un positif en noir et blanc A"c non repré senté, en utilisant le même procédé de prise de vue et de développement que pour obtenir #V', de ce positif, on obtient le négatif Ak désiré (non représenté).
Celui-ci' est ensuite utilisé pour faire la plaque positive de gra vure destinée a-Li tirage blanc IVAc.
Ayant maintenant la partie d'image, desti née<B>à</B> être vue en lumière directe et l'ayant recouverte par de l'encre blanche translucide, on va décrire le tirage de l'image destinée<B>à</B> être vue en lumière réfléchie. <B><I>10</I></B> Avec un<I>tirage</I> noir supplémentaire.
Avec le sujet éclairé par la source B, on peut obtenir les négatifs sélectionnant les cou leurs (comme pour l'éclairage par la source <B>A)</B> an moyen dm-le caméra ordinaire<B>de</B> sé'- lection des couleurs en une seule exposition ou avec du produit de marque Kodachrolue>,, ou procédé analogue, étant entendu que, comme précédemment, toutes les, précautions ont été prises pour que la caméra reste par- 'faitement immobile et que le sujet ne, se clé- place pas entre<B>le,</B> moment de cette prise clé vue et le moment de la prise de vue avec la source<B>A.</B>
Si l'on utilise du produit<B>de</B> marque Kodachrome avec l'éclairage B, on petit<B>à</B> partir de ce matériau utiliser les procédés né- fra <B>,</B> tifs <B>de</B> sélection des couleurs poar obtenir les négatifs de sélection. De préférence, les négatifs seront surexposés de manière qu'il <B>y</B> ait un minimum de détails dans les points brillants et un maximum dans les autres.
De ces négatifs, on fait les plaques gravées comme d'habitude pour<B>de</B> tels tirages, et<B>à</B> partir de ces. plaques, on tire, avec des eiieres trè3 transparentes et très claires, -une image composite B-2c par-dessus le tirage blanc. Ces tirages doivent être très clairs pour être visi bles seulement en lumière réfléchie et être entièrement traversés par la lumière directe. L'épaisseur du- tirage peut être réglée conve nablement, car la quantité d'encre d'impres sion dépend ordinairement de la quantité de pigments de la plaque de tirage ainsi qu'il est bien connu dans cette technique. Ceci con cerne le noir aussi bien que les couleurs<B>élé-</B> mentaires.
<B>Il</B> peut<B>y</B> avoir,des ombres visibles même dans les parties les pl-Lis noires -d'un sujet.. On désire que ces ombres apparaissent. En con séquence,<B>à</B> côté du tirage du positif B2c en couleurs et avec du noir suivant le procédé Trichrome-et-noir, on fait -un tirage addition nel avec une plaque de tirage noire supplé mentaire, préparée comme il va être décrit.
Comme le but que l'on se propose est d'ob tenir une plaqîLe pour tirer les détails des ombres les plus noires, on prend celui ou ceux des négatifs de sélection de couleurs résul tant de l'exposition<B>à</B> la lumière B, qui mon trent le mieux les ombres les plus noires et on les tire photographiquement pour obtenir un positif sous-exposé que l'on appellera B"c (non représenté).<B>A</B> partir de B"c, on fait lin négatif Bse non représenté qui est sur exposé pour accentuer encore plus les ombres et ne montrant rien d'autre que celles-ci.<B>A</B> partir de Bsc, on réalise la plaque de tirage supplémentaire.
et on l'utilise pour tirer un noir supplémentaire B2bk par-demis l'image colorée composite B2c. Pour ce tirage supplé mentaire, l'encre doit être la plus noire (c'est- à#dire a#7ant le plus grand pouvoir d'absorp tion de la lumière) que l'on puisse trouver dans les encres d'impression, de manière a absorber au maximum la lumière réfléchie.<B>Il</B> doit toutefois être tiré léger pour laisser passer la lumière, directe, c'est-à-dire de ma- iiière que les couleurs qui se trouvent der rière puissent être vues<B>à</B> travers,
en lumière directe. En effet, comme il<B>v</B> a des couleurs, même dans les ombres les plus noires, tout au moins<B>à</B> lin degré très faible, elles doivent si possible apparaître pour rendre la cou leur réelle, mais si nécessaire, on petit utiliser également une encre opaque, car V#il ne<B>dé-</B> tecte pas facilement la coloration des zones les plus sombres. <I>21 Avec tirage normal et tirage noir</I> sup plémentaire combinés.
Comme on le, voit fig. <B>17</B> et<B>18,</B> sans chan ger le mode de tirage qui vient d'être décrit pour les autres couleurs, on petit supprimer Pan des tirages noirs en combinant les effets des deux en une, seule plaque de la manière suivante: La plaque de tirage en noir est obtenue <B>à</B> la fois<B>à,</B> partir du négatif B3c, comme ci- dessus, et dit négatif utilisé pour le tirage noir normal;
mais, dans ce cas, le dernier est maintenu<B>à</B> un contraste très faible, de ma nière que lorsque la plaque obtenue<B>à</B> partir de ce négatif est utilisée pour le tirage avec une encre très absorbante de la lumière (au moins en lumière réfléchie), on obtient un résultat B2Bk tel que les ombres fondées se-- ront aussi sombres que lorsqu'on utilise deux plaques de tirage noir et que les ombres les pliis légères et les gris seront couverts<B>à</B> la valeur désirée puisque ces zones sont tirées plus légèrement que la normale avec la même encre hautement absorbante.
31, <I>Avec tirage</I> blanc modifié et seulement un tirage supplémentaire noir.
Comme on le voit fig. <B>19</B> et 20, on petit envisager encore -une autre variante pour la préparation de l'image destinée<B>à</B> être vue eu lumière réfléchie. Dans les première et se conde possibilités de tirage coloré qui ont été décrites, les images --12c et IVAc étaient les mêmes, la différence entre les deux variantes résidant dans le tirage en noir.
Dans la va riante que l'on va décrire, les images A-*>(. sont les mêmes que précédemment, et les cou leurs (bleu, magenta et jaune) ainsi que le noir supplémentaire de l'image B sont les mêmes que dans la, première variante en cou leur, fig. <B>17</B> et<B>18.</B>
Toutefois, la plaque normale noire des plaques usuelles de tirage en couleur n'est pas utilisée dans ce cas.<B>A</B> la place, on modi fie la plaque pour le tirage en blanc, de ma nière<B>à</B> ne pas tirer les, points brillants extré- mes et<B>à</B> ne, pas tirer ou<B>à</B> ne tirer que très légèrement les zones noires pour les raisons qui vont être -exposées. Pour obtenir la pla que de tirage en blanc, on transforme tout d'abord le négatif normal sélectant le noir et les couleurs, en un positif. Avec celui-ci, on combine le, négatif Ase, tel quutilisé dans la première variante, pour obtenir la plaque de tirage en blanc.
La plaque ainsi obtenue e#t le négatif<B>de</B> la plaque normale noire, mais comporte en plus, en positif, les points bril lants<B>53.</B> Avec cette plaque, on tire (voir _Wc) en blanc sur le dessus de A2c.
La plaque de tirage en blanc ne repro duit pas ou ne reproduit que très légèrement les zones noires et les gris, puisque c'est une plaque négative; quant aux points brillants extrêmes<B>53</B> qui, dans le sujet, étaient des points de réflexion totale ou presque totale, le blanc ne sera pas tiré du tout, car les par ties correspondantes sont positives sur la pla que.
Si l'on se rappelle que l'on a tiré sur le dessus des couches de couleur et de noir de A2c qui, en lumière réfléchie, étant très den ses apparaissent toutes noires, il est clair que lorsque la plaque de blanc ne donne auciui tirage ou ne donne quun tirage léger, ce noir apparaîÎtra <B>à</B> travers en permettant aux noirs et gris d'être vus en lumière réfléchie. En même temps, le fait de ne pas tirer les points brillants<B>53</B> permettra<B>à</B> ces points<B>(le</B> briller par l'arrière, c'est-à-dire d'être fournis par la lumière directe.
Pour exécuter- les images de certains su jets, le tirage peut être fait sur les, faces opposées d'une leuille <B>de</B> papier blanc trail.8- lucide. Dans ce cas, le papier remplacera le tirage blanc sur le dessus de l'image déve loppée provenant de l'éclairage en source<B>A.</B> c) <I>Tirage photographique</I> en couleurs.
Pour le tirage photographique de l'image en couleurs, on adopte -un processus semblable <B>à</B> celui qui a été décrit, en ce sens que la prise de vue avec éclairage par la source<B>A</B> est iiii- primée transparente, de manière<B>à</B> être vue seulement par la lumière directe, tandis que la prise de vue faite avec éclairage par la source B est tirée pour être observée en lu mière réfléchie. Entre ces deux tirages est interposé lui tirage en blanc sur Transfax ou analogue, une couche de laque blanche ou une feuille de matière translucide pour tirage photographique utilisant un écran de soie ou analogue.
Pour la prise de vue avec éclairage par la source<B>A,</B> on utilise du produit de marque Kodachrome ou analogue. Ici, comme pré cédemment, il est souhaitable de sous-exposer pour avoir une image dense et pour accentuer les, points lumineux; mais, par suite des possi- bilitéslimitées du film et même en utÀlisant des filtres de correction des couleurs, on ne peut satisfaire les conditions de sous-exposition que partiellement. La sous-exposition du produit. de marque Kodachrome , tout en donnant un bon contraste pour les points lumineux, ne donne pas assez de profondeur ni assez de détails dans les zones sombres.
En consé- quence, on complète le produit de marque Kodachrome par un tirage photographique en noir et blanc. Le négatif de cette prise de vue en noir et blanc sera fait avec éclairage en -source<B>A</B> -en même temps que la prise de vue en produit de marque Kodachrome%#; mais<B>le.</B> noir et blanc sera très surexposé parce qu'on désire renforcer seulement les zones noires. Il n'est pas désirable d'ail-leurs de renforcer tolites les zones.<B>Il</B> est -possible avec i les appareillages existants de faire les deux prises de vue<B>à</B> la fois sur deux films<B>diffé-</B> rents.
Comme le film dit produit de marque Kodachrome est normalement moins rapide que le film noir et blanc, 'La même exposition qui sous-expose le produit de marque Koda- chrome sous-exposera le noir et, blanc si l'on utilise un film noir et blanc assez rapide. Même s'il en résulte une surexposition insuf fisante, la durée de l'exposition peut être ang-mentée et un filtre neutre de densité peut être utilisé avec le prodait de manque Koda- chroine (contre le film) pour que son exposi tion ne soit pas également prolongée.
<B>il</B> n#est pas toujours nécessaire d'atiliser <B>le</B> noir et blanc supplémentaire, car comme on va le voir, l'image prise avec l'éclairement B compensera dans une certaine mesure le manque de détails -clans les ombres les plus profondes de l'ima-e obtenue avec l'éclairage <B>A.</B> Ayant ainsi le produit de marque Koda- chrome (que pour plus de commodité l'on appellera AK) et le noir et blanc surexposé négatif non repr ésenté que l'on appellera A(e,
on tire<B>à</B> partir de Aa' -Lin positif Aa2 non représenté. Ce positif peut être tiré directe ment par-dessus le produit de marque Koda- chrome en<B>y</B> appliquant préalablement une couche d'émulsion. Le positi-f sera sous-exposé pour donner des détails dans les ombres -seule ment.
Evidemment, le procédé habituel de trans- fert de colorants peut être également utili-é pour faire l'image colorée équivalente<B>à</B><I>AK</I> pourvu que la concentration de couleurs soit suffisante pour donner la densité désirée. Ce procédé<B>de</B> teinture est avantageux lorsque <B>-</B>l'on désire faire une image agrandie ou faire une, quantité d'images. Elle évite également la nécessité dun noir et blanc sapplémen- taire, car en produisant les négatifs sélectifs des couleurs, on peut assurer un meillelar con trôle.
On peut également utiliser un procédé de coloration<B>à</B> la main du type du produit de marque Flexachrome .
Par-dessus l'image composite des couleurs et des ombres, on applique une couche blan che par tirage p4Qtogra-phique, par exemple avec un écran<B>de</B> soie ou avec du Tra1isfa_,#,,> de la manière décrite précédemment, pour obtenir des zones claires pour les points bril lants, ou bien l'on applique une couche de la que blanche projetée ou une feuille de ma tière translucide. La laque ou matière trans lucide couvrira toutefois toute la surface,<B>ce</B> qui provoquera -Lui manque fâcheux<B>de</B> laini- nosité dans les points brillants.
L'image B est exécutée suivant les princi pes décrits ci-dessus en ce qai concerne les tirages photographiques en noir et blanc el les tirages en couleurs avec des encres. Dans le cas considéré de tirages photographiqueq, l'image B est faite de préférence par le pro cédé connu de transfert en couleurs sur une plaque ou un film séparé et appliqaé sui,<B>E</B> l'image<B>A.</B>
En exécutant l'image B sur une plaque ou film séparé, l'image est inversée de ma nière<B>à</B> pouvoir être appliquée directement contre la couche blanche (qui est sur le des sus de l'image<B>A)</B> sans qu'il<B>y</B> ait au cune plaque ou film entre les deux. En va riante, le transfert de couleurs de l'image B peut être fait directement sur une couche de gélatine formant une base sur le dessus de la couche blanche précédemment appliqaée par-dessus l'image<B>A.</B>
Le tirage par le procédé, de transfert de colorants peut être exécuté, comme le con- coivent toits les spécialistes, de manière ) obtenir un tirage très léger. Pour les mêmes raisons que pour les variantes précédeminent décrites, il Ta-Lit avoir un tirage très léger pour l'iniage B. Ce tirage léger est avanta geusement renforcé dans les zones, noires de la même manière que dans les réalisations .précédemment décrites de l'invention.
Polir renforcer les noirs, on peut appliquer un pi ment noir ou de la teinture par transfert de colorants ou par le procédé Carbro, ou avec du noir de marque Pittman, ou avec de l'en cre en utilisant un écran de soie, soit, direc tement, soit sur la face arrière d'un film ou plaque de verre transparent.
Il en résulte une image A, renforcée ou non dans les zones noires, qui sera vue en lumière directe. On ajoute par-dessus une couche on une impression blanche; ensuite une image B appliquée par transfert de colorants dans la gélatine ou comme film séparé par-dessus l'impression blanche, cette image B devant être vue en lumière réfléchie. III.<B>-</B><I>Troisième stade: Présentation de</I> <I>l'image composite.</I> Pour exposer convenablement l'image plane composite, on doit -utiliser un cadre ou appareillage spécial d'exposition (voir fig. 21, 22 et 24).
Pour beaucoup de sujets, il faut un cadre autour du sujet au moment de la prise de vue, de manière que ce cadre apparaisse sur l'image et donne une surface de comparaison qui recevra principalement la lumière de la ou des sources concentrées<B>A.</B> Pour obtenir<B>le</B> meilleur résultat, il est désirable que ce cadre soit exécuté en un matériau assez rugueux pour donner des graduations, dans les ombres légères et. donner -une apparence ou une sen sation de la texture du cadre. Ceci a pour but de provoquer une réaction psychologique en donnant davantage l'impression que la lumière est en avant. Il faut en effet avoir toujours présent<B>à</B> l'esprit que l'observateur ne doit pas avoir l'impression qu'il voit quel que chose de transparent.
Le but principal est, d'une part, d'éviter la sensation de transparence et, d'autre part, de donner<B>à</B> l'observateur la sensation que l'image et le sujet qu'elle représente sont vus uniquement en lumière réfléchie. On doit donc avoir l'impression que la ou les sources clé lumière sont seulement sur lapartie avant du cadre. Le. but est de suggérer l'existence de la source concentrée<B>A</B> qui était réellement présente lors de la prise de vue. La source diffuse B est réellement constituée par l'éclairage normal de la pièce.
Le cadre extérieur qui va être décrit peut être utilisé pour présenter l'image, qu'elle soit tirée-avec des encres ou photographiquement, qu'elle soit en noir et blanc ou en couleurs.
Le cadre peut avoir tout contour ou forme extérieur désiré. Dans ].'exemple représenté (voir fig. 21 et 22), il est rectangulaire. La tranche ava;î1t; du cadre comporte quatre plans tels que 20, qui se- coupent en consti tuant une surface rectangulaire continue, ces plans étant inclinés vers l'extérieur et vers l'arrière. Ils coupent quatre au tres surfaces planes 21. inclinées vers l'in térieur et vers l'arrière, c'est-à-dire vers l'image.
L'angle d'inclinaison n'a pas dim- portance, et il n'est pas nécessaire que les sur- fa-ces 20 et<B>21</B> soient inclinées pour se couper suivant une arête en 'saillie. Les surfaces 20 pourraient être parallèles<B>à</B> l'image et cou per<B>à</B> angle droit des surfaces 21 perpendieu- laires <B>à</B> l'image. En arrière des surfaces 21- est disposé un encadrement de surfaces planes 22 se coupant<B>à</B> angle droit. Ces surfaces 22 sont en matière réfléchissante telle que par exemple<B>de</B> l'aluminium en feuille.
Il est<B>dé-</B> sirable que les surfaces 22 soient en retrait sous le cadre. Il West pas nécessaire qu'elles soient visibles, mais il est plus pratique de réaliser le cadre de manière q-Welles le soient, et, dans ce cas, elles doivent être en matière réfléchissante.
En arrière des surfaces 22 est placée l'image I de préférence insérkentre des pla ques de verre ou autre matière transparente maintenues dans le cadre, par exemple dans une rainure de celui-ci. Si les surfaces 22 sont visibles, il est préférable qLi'el.1-#e#-. soient di rectement adjacentes<B>à</B> l'image. Il est évident <U>que</U> sans cela l'image devra être prolongee suffisamment pour que l'espace entre elle et -les surfaces 22 ne permette pas<B>à</B> l'observa teur de regarder<B>à</B> l'intérieur -du cadre et de voir où l'image- s'arrête.
Le cadre ou. tout au moins sa partie avant peut être creuse. comme en<B>26</B> et avoir des parois arrière 24. Il doit avoir une épaisseur suffisante pour permettre<B>à</B> l'observateur de croire quune ou plusieurs sources de lumière sont disposées dans ce cadre.
En variante de construction, la partie avant ou partie directement visible 41 peut être plate (voir fig. 24). La face arrière 42 de cette partie avant 41 peut être en matière réfléchissante, plate et parallèle<B>à</B> l'image; elle petit venir couper une a-Litre surfaee, ré- fléchissante 44 perpendiculaire<B>à</B> l'image, et qui maintient la première<B>à</B> une certaine dis tance de cette image. La surface réfléchissante 44 peut couper une troisième surface réflé chissante 46 parallèle<B>à</B> l'image et raccordée ou tout au moins adjacente<B>à</B> son bord.
Comme toutes les surfaces sont réfl6chissan- tes, il n'est pas possible<B>à</B> l'#il de l'observa teur de détecter qu'il n'y a pas dans le cadre de source de lumière correspondant<B>à</B> la source concentrée<B>A</B> qui existait réellement lorsque la prise de vue a eu lie-Li.
Le cadre des fig. 22 ou 24 comporte une deuxième partie oit tranche intermédiaire comprenant quatre surfaces<B>27</B> se coupant en formant lin rectangle. Chacune d'elles se con tinue par -une paroi<B>27'</B> parallèle<B>à</B> Fimage. Les parois<B>271</B> sont munies d'une gouttière ou autre organe de maintien des bords d'un organe de protection contre la chaleur. Cet organe est constitué par exemple par un écran comportant deux plaques de verre<B>28</B> et<B>30</B> écartées lune de l'autre en réservant entre elles Lin espace d'air mort<B>29.</B> Cet espace d'air a pour but d'isoler l'image de la chaleur pro venant de la lampe<B>31</B> qui va être décrite.
L'une de ces plaques de verre ou les deux peuvent être résistantes<B>à</B> la chaleur ou absor bantes de la chaleur et ne pas être suscepti bles de se casser sous l>effet de la chaleur, pai exemple en verre pyrex. L'une des pla ques de verrè 28 ou<B>30</B> ou les deux peuvent être en verre dépoli ou nervuré ou tout autre verre diffusant analogue;
il n'est pas néces saire cependant qu'il soit diffusant si l'on utilise un réflecteur convenable tel que celui qui va être décrit, ou si l'image comporte elle- même -une sLir#face diffusante.
La troisième partie ou tranche réfléchis sante de l'appareil de présentation comporte un réflecteur ou diffuseur<B>32.</B> Un type qui a été -utilisé avec succès comporte simplement deux feuilles convergentes d'amiante en arrière d'une lampe électrique<B>31.</B> Le réflec- teur ou diffuseur n'a pas besoin de compor ter deux surfaces planes; il peut en comporter quatre ou davantage et n'a même pas besoin & êtreconstituédesudaces planes. Tout. moyen réfléchissant ou diffusa-nt qui donne une lu mière sensiblement uniformément répartie sur les plaques de verre<B>28</B> et<B>30</B> et sur l'image sera satisfaisant.
En fait, le but unique de la partie arrière est de fournir -une forte Ia- mière distribuée régulièrement sur l'image<B>1.</B>
Dans la pratique, il est plus commode d'utiliser une seule lampe électrique. On a utilisé avantageusement dès lampes photo flood no 2 i)o-Lir couvrir -une surface de <B>30</B> X 45 cm, mais pour des buts commerciaux -une lumière de même intensité et de durée plus longue peut être plus avantageuse. La quantité de lumière diffusée<B>à</B> Farrière de l'image doit être plusieurs fois plus forte que toute autre source de lumière -utilisée anté rieurement pour les présentations normales par transparence.
Comme dans les lampes<B>à</B> incandescence eourantes cette quantité de lumière. produit une chaleur intense, il est nécessaire de pré voir des moyens polir ventiler l'ensemble du cadre.<B>A</B> cet effet, l'arrière de la partie for mant réflecteur<B>32</B> est distincte et séparée par des cales de réglage de la section inter médiaire, de manière<B>à</B> réserver des orifices de ventilation<B>36.</B> La partie intermédiaire est également séparée de la partie antérieure, formant cadre, proprement. dit, par des entre toises rivées 34 réservant des passages de ven tilation<B>36.</B> Ces passages<B>36-36'</B> doivent s'op poser entièrement<B>à</B> la sortie de lumière îâ l'extérieur<B>à</B> travers eux.
Pour augmenter l'illusion et, par suite, attirer l'attention sur l'image exposée, la source lumineuse arrière peut être éteinte ct allumée rapidement, de préférence avec une période d'illumination pl-Lis longue que la p & - riode d'extinction. La période d'extinction doit être assez courte pour que les yeux n'aient pas l'occasion de perdre entièrement la per sistance de l'image. Lorsqu'il n'y a pas beau coup de lumière ambiante, c'est-à-dire pas beaucoup de lumière dans l'enceinte<B>où</B> l'image est exposée, la lumière arrière petit être coupée entièrement pendant l'extinction.
Lor-qqii5il <B>y</B> a beaucoup de lumière ambiante, la lampe arrière sera simplement shuntée ou mise en veilleuse.
L'extinction tend<B>à</B> augmenter Fillusion i ,)arce qu'elle donne <B>à</B> l'observateur la même impression que si la source lumineuse<B>A</B> était coupée et branchée en présence de l'objet réel. E'n d'autres termes, les ombres et les reflets .se produisent comme lorsque la source Jl éclaire l'objet réel et disparaissent lorsque cette source est coupée.
Dans tout ce qui pré cède, la source B a -été considérée comme une source uniforme ou diffuse. Toutefois, lors de la prise de vue, cette source n'a pas besoin d'être un-iforme ou diffusante et peut être concentrée to-Lit au moins partiellement. Dans ce cas, pour la présentation de l'image, -une source de lumière<B>60</B> pourra être placée en dehors du cadre, comme fig. <B>23,</B> dans<B>la</B> même position relative que la source B lors de la prise de vue.
Ceci ne doit être fait toutefois que lorsque l'on sait par avance que Fillumination générale du local de présenta tion n'a-Lira pas une intensité telle qu'elle rende inefficace la lampe<B>60.</B> Le but est de donner<B>à</B> l'observateur l'impression que les ombres clé l'image qui ont été créées,par la source B sont créées par la source<B>60.</B> Cette source extérieure<B>60</B> peut être rétablie et. coupée pour augnnenter l'illusion clé la présence de l'objet réel.
Dans ce cas, contrairement<B>à</B> ce qui a été idit précé- déminent pour les interruptions de la .source lumineuse arrière, il est possible clé ré tablir et de couper soit l'une quelconque des qoLirces avant et arrière, soit les deux; mais les deux sont coupées, elles ne doivent pas être coupées en même -temps. Ici également, il est nécessaire que la période d'obscurité soit assez courte pour que les yeux n'aient pas la possibilité de perdre entièrement la persis- lance de l'image.
Dans l'invention telle que décrite ci-des sus, la source arrière utilisée pour la présen tation a été supposée être blanche. Toutefois, pour créer un effet théâtral, on peut prévoir deux ou plusieurs sources arrière et avant de différentes couleurs, le nombre et la position des sources avant étant soumis aux restrie- tions exposées précédemment. Un branchant une ou plusieurs, ou une combinaison de ces sources différemment colorées, l'apparence de l'image peut changer pour donner un effet similaire<B>à</B> celui que l'on observe a-Li théâtre lorsq-ae des projecteurs de différentes cou leurs sont braqués sur la scène.
L'apparence de réalité, ou en d'autres termes de la présence de l'objet réel, n'est pas perdue, mais est au contraire conservée lorsque la couleur des lampes arrière change.
L'invention a été décrite dans l'applica tion<B>à</B> des images fixes, il doit être entendu qu'elle s'applique aussi bien<B>à</B> clés images mo biles cinématographiques et<B>à</B> la télévision.
A method of performing and presenting a flat image of a subject to give the impression of the actual presence of that subject. The present invention relates to a method of performing and presenting a plane image of a subject to give the impression of the real presence of this subject and to an apparatus for the presentation of this image <B> or </ B> cliché.
The method according to the invention is characterized in that this subject is photographed, a first òis, illuminated by at least one -aurce of light arranged in such a way <B> to </B> give a good appearance <B > of </B> relief, and -a second time illuminated by at least a second light source, that we execute a composite image using the two shots above, and that we present the image Illuminated, aired by transparency in direct light, under conditions such that the presence of direct light is concealed <B> from </B> the observer.
The apparatus according to the invention for the presentation of a planar image in accordance with <B> to </B> claim I is characterized in that it comprises -a rear light source, means for diffusing this light rear, (the reflective means adjacent to the edges of the image preventing the viewer from seeing beyond the image, a frame surrounding this image with reflective surfaces, and means for concealing the rear light source in the eyes of the observer.
Many attempts have been made <B> already </B> to make plane images of solid objects appear more real. While some have resulted <B> in </B> -He relative success in giving an illusion of thickness and the third dimension, at certain limited angles and <B> at </B> certain limited distances, none of these These attempts were not really successful and did not make it possible, under normal observation conditions, to prevent us from noticing that it is an image by suggesting on the contrary that the actual jet ob was actually present.
It has been found that the difference in the ocular impression felt when one fixes, on the one hand, a plane image and, on the other hand, the object (s) themselves, does not depend essentially or exclusively on the relief effect or ster & oscopiq-Lie effect. It has been found that the difference between the ocular impression produced by the image and the ocular impression produced by the real object lies essentially in the difference between the brilliance of the different parts of the object or group of objects. actual values and the brightness of the corresponding parts of the image.
Thus, pl-Lis is intense the illumination of the object, pl-Lis large is the difference between this object and its image. For example, real solid objects subjected <B> to </B> dull, diffuse and dim lighting, appear flatter and more like <B> </B> a flat image when viewed <B> at </B> a distance large enough to reduce the stereo effect, -ccpiq-LLe of both eyes, However, no matter how # care is taken <B> in </B> the reproduction of actual colors in an image, that - this cannot give the illusion of the current presence of the solid object itself,
provided that the scale of brightness of its different parts differs appreciably from the corresponding parts of a real brilliantly lit object and which consequently presents significant contrasts between its different parts. Moreover, the source which illuminates the real object is generally seen or at least perceived, as well as the object itself.
On the contrary, on Line image, ordinary, even if the brain does not register it, P # il. readily perceives that there is no real S7L light source present, <B> there </B> where the image iggers that <B> there </B> is.
On the other hand, the real light surrounding the image (that is to say the light of the room or of the room in which the image is observed) acts in the same way on the whole surface of this image. plane image, by making é- # -idemmP, nt stand out its absence of relief, either when this light moves, or when its intensity or its color changes. On the contrary, when we observe a real object, the # it detects that the shadows and the. the brightest spots change according to changes in the light source itself.
It is therefore necessary <B> to </B> provide means to produce an image which, on the one hand, will present a suitable scale of brightness and, on the other hand, will appear to change like an object <B> to </ B> three dimensions as a function of the changes of the light, at least at the de.uix points of n-Le of the intensity and the col- leLtr if Pon cannot obtain it for the movement- 'The appended drawings show, <B> by </B> by way of examples, some embodiments of the method according to the invention and various apparatuses for the implementation.
lia fiçy. <B> 1 </B> is a perspective view from the front of the possible arrangement of Him as a given object, schematically showing the lighting during the first shot.
Fig. 2 is a view similar to <B> </B> FIG. <B> 1, </B> showing the lighting during the second shot, FIG. <B> 3 </B> is a side view of the arrangement shown in figs. <B> 1 </B> and '22.
Fig. 4 shows a photographic negative obtained using the <B> À </B> source only.
Fig. <B> 5 </B> shows a negative obtained <B> to </B> by shooting a positive derived from the negative of fig. 4 amplifying the light intensity. This figure can also be considered as the representation of a negative obtained by placing a second film behind the first, so that the latter is extremely underexposed.
Fig. <B> 6 </B> shows a photographic negative obtained using the <B> B </B> sefflement source. Fig. <B> 7 </B> shows a negative obtained <B> to </B> by shooting a positive, derived from the negative of fig. <B> 6 </B> amplifying dark shadows.
Fig. <B> 8 </B> is a front view of the laminated posi tive as seen by reflected light only.
Fig. <B> 9 </B> is a front view of <B> this </B> even positive seen in threshold direct light. Fig. <B> 10 </B> is a front view of the same positive seen with a combination of reflected light and direct light.
The, fig. <B> It </B> is a developed view of the composite photographic reproduction in black and white.
Fig. 12 is an exaggerated scale schematic side view <B> to </B> of the black and white laminated photo graphic reproduction of <B> of </B> FIG. 1.1.
Fig. <B> 13 </B> is an expanded view of a composite laminated photographic miter-form miter in black and. White.
Fig. 14 is a side schematic view in exaggerated dimensions of the laminated reproduction of FIG. <B> 13. </B>
Fig. <B> 15 </B> is a developed view of a composite photographic reproduction mellée drawn with coaling inks.
Fig. <B> 16 </B> is a schematic side view in exaggerated dimensions of the reproduction in fig. <B> 15. </B>
The, fig. <B> 17 </B> is an expanded view of another form of composite laminate reproduction printed with couletir inks. lia fig. <B> 18 </B> is an exaggerated dimensional schematic side view of the reproduction of <B> there. </B> fi # g. <B> 17. </B>
Fig. <B> 19 </B> is a developed view of a third form of laminated composite reproduction printed with colored inks.
Fig. 20 is an exaggerated dimensional schematic side view of the reproduction of FIG. <B> 19. </B>
Fig. 21 is a perspective view from the front of one possible form of the box and the display and display frame for the laminated reproductions.
Fig. 22 is a cross section of the <B> the </B> box and frame of FIG. 21.
Fig. <B> 23 </B> is a side view of a possible arrangement, the lighting effect, in combination with the box and the observation frame to increase Fillusion.
Fig. 24 is a fragmentary elevational view of the front part of the presentation frame of a variant.
To carry out the method according to the invention, it is necessary to produce a composite plane image which will be seen by the observer by transparency with direct light and also in combination, <B> at </B> varying degrees, with reflective <B> </B> lighting.
The direct light is behind the image, the existence of this direct light is and must remain imperceptible <B> to </B> the observer who will thus be convinced that he is observing the image -only in reflected light. This condition is extremely important to obtain the desired impression, that we see the real object.
The reflected light source can be single or multiple. It can be the ordinary source of lighting for the room, the room, or any usual source of natural or artificial light. The observer will be aware of this normal light just as if he were observing the object itself.
But in addition to the actual existence of this front light source, it will appear <B> there </B> to have one or more reflected light sources concentrated in front of the image and appearing to illuminate the object below. one or more angles. This imaginary source (s) will appear to come from one or more points located <B> to </B> inside key, # - a protruding frame surrounding the image and will not be visible <B> to </ B > the observer.
Sometimes, to increase this effect, a real source can be placed outside the <B> to </B> frame where it can be seen by the observer. Its aim will be to get the observant <B> to </B> think that this source is either the main source, or at least an important source.
It can also be used <B> to </B> constitute -a fixed outdoor light source intended <B> to </B> neutralize the uncontrollable and variable ambient light of the room; but first of all such a visible source will have the effect of illuminating the frame and the surroundings, moreover, it will have an intensity such that it will produce light reflected on the image, but that it will will not be strong enough to neutralize direct light coming from the back side of the image.
To create on the image the effect indicated above appearing to result from the front lighting, while the image is actually illuminated from behind, it is necessary to produce a composite image <B> from </B> from the various photos or reproductions obtained <B> from </B> from the object lit first only with uniform front lighting, then only then with a concentrated source placed at a certain angle in front of this object, Or vice versa.
The pictures of the subjects considered must be taken quickly in series, because these subjects being liable to move even in a very small quantity, it would be impossible, without this, to obtain a composite image of which the various pictures are suitably identified. .
I. <B> - </B> <I> First stage: Taking of </I> Pimage. In the example illustrated in fig. <B> 1 </B> and <B> 3, </B> it was assumed that the object <B> to </B> to represent was -a polished ball applied to a flat rear surface, in front of which and <B> at </B> a certain distance is disposed a frame <B> 50. </B> The frame is shown as having -a rectangular shape with a rec-tangular central opening <B> at < / B> through which appear the ball and its rear bearing surface, but other forms of frames can be used.
This frame may be of cardboard, wood, metal or other suitable material, preferably with a rough surface giving relief when illuminated at an acute angle. It is preferable that it have a light color rather than a dark one, but the invention is in no way limited <B> to </B> this point of view. -.lu first stage., we take two photographic shots of the subject lit by different sources during the different shots.
A source of concentrated linneal; which, aLi drawing, is schematized by an electric bulb. usual light <B> A, </B> illuminates the ball and the frame, as well as the part of the rear surface visible <B> to </B> through this frame. This source is placed at an angle and in front of the frame and the ball, so as to <B> </B> cast shadow. <B> A </B> fig. <B> 1, </B> the frame and the ball are represented as if they were illuminated by the source <B> A </B> alone. Dark shadows <B> 51 </B> -and <B> 52 </B> are cast on the bearing surface, by the ball and by the, frame respectively, and a bright spot forms on the upper surface of the ball, as indicated in <B> 53. </B>
The concentrated source <B> A </B> does not have to be a single point such as a single lamp, but may have several concentrates. One can use sources concentrated in two or more angles, nevertheless, one cannot obviously use too many distinct sources, because this would tend <B> to </B> to multiply and <B> to </B> to weaken the shadows, <B> this </B> that is avoided on the contrary during the shooting, with a subject lit by -tine or several concentrated sources only.
Among <B> the; </B> various concentrated sources, there will preferably <B> </B> be one dominant source. It is practically necessary that this source, when the representation appears as a finished image, appear to be <B> within </B> within the frame in which the image is exposed.
This requires that this dominant source be placed very close to the subject and it must create a shadow strong enough to give a good appearance of relief when the subject is viewed with a single eye. It is very desirable for such a shooting with the above-mentioned lighting, that the çbject? PQatituating the subject are placed so <B> to </B> not to create multiplicity, overlapping shadows and a general feeling of confusion in the overall presentation.
Confusion cannot in fact be avoided in observing such a flat reproduction since the stereoscopic effect of both eyes cannot be relied upon.
Provision has been made for a second source of uniform or diffused light, designated in its entirety <B> ble </B> by the letter B. This source may be constituted by a ramp of electric lamps, s arranged in a suitable mount, with or without diffusing glass in front of the lamps. <B> It </B> must be understood that the invention -is not limited <B> to </B> a particular form of uniform lighting, nor even, subject to the conditions & set forth below, <B> to </B> uniform lighting, the form shown being given simply <B> to </B> as an example.
<B> A </B> in fig. 2, the frame and the ball are represented as if they were illuminated by source B alone. By comparing it <B> to </B> fig. <B> 1, </B> in which the lighting is provided by hi source <B> A </B> alone, it will be noted that in fig. 2 the ea- dre,
the back surface and the ball are almost uniformly illuminated with a shining point 54 in a different and less focused position than when the ball is illuminated by the source <B> A. </B> The shadow diffuse <B> 55 </B> behind the log is not as dark or as sharply defined as in fig. <B> 1. </B> The darkest shadow <B> 56 </B> has a small area, is directly under the ball and is the only element of shade which approaches the shadow in intensity. <B> 51 </B> product fig. <B> 1 </B> by source.A.
The subject will be photographed illuminated by the concentrated source <B> A, </B> then immediately afterwards, in series and from the exact same place, another view of the same subject illuminated by source B will be taken on another film, Or vice versa.
We understand that with a subject that remains stationary, such as the marble represented, there is not the same need for rapid sequence shots as if it were a portrait of a living person, of a flower or ana logue. Such subjects may move very slightly even in a fraction of a second, so that if two shots are to be taken under different lighting conditions, it is of the utmost importance that the successive shots are taken <B> at </B> times as close as possible, for example. separated from each other by only a fraction of a second.
For the description of the process, it will be sufficient to assume that the <B> to </B> photographic object is stationary or <B> to </B> relatively slow movement, so that shots <B > to </B> very fast sequence is not necessary. It will be noted, however, that the invention is applicable to both types of subjects and that the only difference in implementation, for a fixed subject and for a moving subject, will reside in the speed of operation of which the photographic equipment used is. able.
For still or relatively slow moving subjects, existing photographic equipment may be used without any change, provided that the necessary precautions are taken to keep the camera stationary and that no movement or vibration occurs when changing the plate or film. ' II. <B> - </B> Second <I> stage: Reproduction </I> <I> and printing. </I>
The principle of separate photographs of the subject when it is illuminated by source A, then when it is illuminated by source B, can be used either to obtain a black and white image or to obtain a color image, because the invention can be put into practice in two ways. We will first describe the obtaining of a black and white image.
a) Black and white <I> photographic </I> reproduction.
In accordance <B> to </B> the invention, a composite image is produced on a transparent plate. The corresponding items resulting from photographing the subject when it is illuminated only by the concentrated source <B> A </B> will be seen in direct light. Elements of the composite image resulting from photographing the subject when illuminated by the uniform <B> B </B> source will be seen mainly in reflected light. In what follows, the elements resulting from the two different exposures will be designated by <B> A </B> <I> and </I> B with figures in superscript.
As seen in fig. 4, <B> AI </B> is a negative - slightly underexposed obtained by a photographic wire in black and white, preferably on a film giving a very large latitude and - a high gamma, so <B > to </B> give all the details of the lights and shadows. The underexposed negative must also be underdeveloped so as to <B> </B> give a relatively low density <B> f </B> and consequently increase the gamut (this negative was obtained with the subject lit only by the source .4.). It will be noted that by underdevelopment is meant a development carried out with a weak developer.
From this single negative <B> .Al, </B> we draw a positive <B> A2 </B> (not shown) on a film or a plate, either by contact, or by projection, if one wishes an enlargement. This positive is overexposed so <B> to </B> only gives details for the very bright parts. From this positive, we draw a second negative <B> As </B> (fig. <B> 5). </B> To further reduce the detail of the shadows and semi-shaded areas, and <B > to </B> therefore leave details only in very bright areas, this second negative is underlined.
We have: thus two negatives <B> A '</B> and <B> As </B> (fig. 4 and <B> 5), AI </B> with details <B> to </ B> both in brightly lit areas and in shadows and <B> As </B> showing detail only in brightly lit areas, <B> A '</B> being an underexposed transparent negative and underdeveloped, as shown above.
From the negative <B> AI, </B> a positive A2 is taken (fig. <B> 11 </B> and 12) on a Pl plate having a high contrast and strong <B> </B> emulsion density, well developed, so as to <B> </B> obtain a dense slide in which the parts corresponding to the darkest shadows are very black and dense, and where the brightest points are completely clear.
The purpose of the positive obtained <B> to </B> from <B> A ', </B> as it has just been described, is to constitute the means which, in cooperation with the direct light rays passing < B> through the transparent areas, will give the shapes, ores and lights produced by the light source <B> A. </B> As the image as a whole is very dense, the The light transmitted must be of such intensity as to give, in the gray scale, the details which appeared on the object. The more intense the light, the better the result, provided the range of density of the plate is. calculated as a function of <B> </B> Intensity of direct light.
In variants of the means to achieve the positive <B> A22, </B> one will obtain a better result if, instead of making an underexposed negative <B> AI, </B> one places two films one behind the other by giving a suitable exposure so as <B> to </B> obtain an overexposure on the front rope and an underexposure on the rear rope, the obtaining of which is aided by the presence of the layer sensitive rear of the front film.
An additional thin film ne-Liter key density can also be used between the two films when the emulsion speed of the rear film different from that of the Front film is not slow enough by itself yet. The axriùre line will be slightly offset from the rent.
As a result, the bright spots (main point or, only details appearing on the back film) will be slightly larger than normal, which will advantageously amplify them. These two negatives can be used either successively or simultaneously as a single polish negative reproducing the positive <B> A2. </B> In this case, the back film is used as negative linen <B> A3. </ B> This process can be -Used for especially difficult or fine work.
Thus having a positive A2 of a wide # 1 range of densities, it is necessary to seek <B> to </B> obtain the maximum light in the most brilliantly lit areas of the subject (bright points). <B > A </B> this. Indeed, one reproduces on a transparent film positive linen <B> to </B> from the negative A-S. This second positive <B> Al </B> (not shown) gives details for 1-Luninous points only. Almost only the bright spots will appear.
It is made into a print on a white Transfax Kodak brand product or final product on which the parts affected by the.
light disappears during development, the layer of Transfax or the like having W # applied to the developed positive A2 (see W-15, fig. <B> 11). </B> Thus, the bright spots which in the subject produced almost -The total reflection will become clear.
If the glossy dots of the A3 negative are wide and have diffuse edges, the A4 positive should be screened, for example by using a printer trail between the negative _433 and. the po.si- tive J14.
We thus obtain a composite image consisting of two layers (.1-12 and 'WA5) which is designed to be seen only by transparency in direct light. <B> A </B> this image, we add, as will be described, a composite image intended <B> for </B> to be seen in reflected light, the white layer 9TA5 indicated above serving, if necessary, as a white background.
As seen in fig. <B> 6, </B> a BI negative is obtained by printing on a black and white film with the subject illuminated by the source B only. To give shadow detail and not key light detail, this negative is very overexposed and normally developed or slightly underdeveloped.
DU negative BI, we make a positive. B "not shown, which is underexposed, so <B> to </B> give no details for bright spots and moderately lit areas.
DU positive B ", we do another negatii B3 (fig. <B> 7) </B> which is overexposed so that the <B> details </B> are still reduced, so that they do not appear only in the shadows, and even <B> there, </B> they are minimal, so only 1 (- # darker shadows will appear.
We thus have two negatives BI and .133 coming from the exposure of the subject <B> to </B> illumination B (see fig. <B> 6 </B> and, <B> 7). < / B>
Starting from the negative Bl (normally contrasted and plain with no close-garlic in the shiny areas), we draw a positive B2 on the plate P2 (see fig. <B> 11 </B> and 12). This posi tive is underexposed and underdeveloped by having a tiragê with details of years the airs, further accentuated by this underexposure.
This print is made with the negative reversed, <B> de </B> so that Fon obtains an reversed positive. This inversion is necessary because, subsequently, we place the face named key plate Pl with the composite image <B> A </B> against the emulsified face of the plate P2 carrying the image B, with the interposition of TVA5 and . of BI, so that the two images are against each other and obviously in agreement.
As a variant of the means of reproduction <B> from </B> 822 <B> to </B> from B ', the bright points corresponding <B> to </B> the light source <B> A </ B> can be emphasized by applying the negative _43 to the negative B2 and pulling both at the same time.
As a result, we will adjust <B> to </B> the image B2 of the light places corresponding to the bright points <B> 53 </B> of the image. # L2, so that the direct light passing. <B> to </B> through P1, <I> A2, </I> WA5, B2 and, P2 will shine freely at these points.
Another variant for the same purpose which, however, removed the need to reconcile BI and. .4-3 in the draw, consists <B> </B> in taking the shot, of view leading to a-Li negative BI, while the source <B> A at </B> reduced brightness still illuminates the subject , thus avoiding to create visible shadows on the subject <B> already </B> illuminated by the source B. Thus will appear the desired bright points <B> 53 </B> coming from, the source <B> A, </B> but not the corresponding shadows.
Some light shadows that are difficult to see may appear, the aim being simply to avoid as practically as possible any shadows coming from the <B> A </B> source.
Following the front of the positive B2, we apply a new layer of a product such as key black mark Pittman or a-Liter similar product to obtain a darker black than that which can be obtained with any photographic emulsion.
On this layer, we make a print with the negative B # ', (details in the shadows, so <B> to </B> obtain a positive print B4 with very black shadows. <B> A </B> Apart from these shadows, this layer will be light, as for the <B> printing of the </B> positive B2, the positive M will be drawn inverted. The results can be obtained by retouching <B> by hand </B> or by employing the process of silk screen printing, provided that a very light absorbent body is used, for example (ink, dye or < B> very black pigments.
Referring <B> to </B> in fig. <B> 11, </B> we see that <B> there, </B> <B> pl </B> aque Pl is <B> to </B> left. <B> A </B> next to her is the emulsion holder and the positive <B> A2 </B> print which is dense and dark with the deepest shadows very opaque. On the front of <B> A2 </B> is placed the VA5 print on which appears <B> the </B> shiny point <B> 53. </B> If it is obtained by using the Transfax ( as fig. <B> 11), </B> this print will be white except at the shiny spots where it will be clear.
<B>. A </B> side is placed the positive print B4 which has just been described and which is clear, <B> to </B> share the darker shadows. <B> A </B> side, and between B4 and the upper glass plate P2, is placed the positive print B2 which has details in the shadows and in the intermediate areas, but which is clear in the white and very bright areas and can also remain bright in the areas of the bright dots <B> 53 </B> produced by light source <B> A; </B> it is a weak draft, so that B2 As BII can be seen in reflected light, by the white layer of 'WA5.
Instead of printing on x plates, it is also possible to make an image on a plate as shown in fig. <B> 13 </B> and 14. In this case, the glass plate P33 carries the positive A2 print coming from the negative <B> A ', </B> drawn on it, as previously described, with details in light and shadow and, in addition, with graduation and <B> la - </B> density.
Then, on a separate film, we draw the positive normal or screened identiqae. <B> to </B> A4, t..n using the negative <B> As </B> as indicated above; this, separate film is intermediate and its image will be drawn on a layer of Transfax affixed to A2. Then a very bright halftone BLH <B> </B> negative (not shown) <B> at </B> from a positive intermediate Lin not shown from B 'was produced.
Then, on #du #f ransfax or the like, we make a print using the positive A4 (to give the bright clear dots <B> 53 </B> coming from the source <B> A) </B> and the low <B> to </B> half-tone BIH negative, both coincident. The result is -RIB2. As the prints were made on Transfax or the like, the parts affected by the light disappear.
It follows that the use of the negative BIH and the negative <B> AI </B> causes the effacement of the Transfax more or less in the shadows produced by B'H and the luminous points <B> 53 </B> coming from A4 and remained more or less in the lLLmine # parts, i- 'its corresponding <B> to </B> B'H. This is what Pou wants, because under the shadows there is <B> there </B> an <B> A2 </B> print which, being very dense, appears black under the reflected light, and the 'we will see through,
what is necessary so that the shadows pl-Lis or less transparent and their medians are visible in reflected light (see fig. <B> 3). </B>
<B> A </B> side, over the Transfax, that is to say the WB2 printout obtained <B> from </B> from A4 and B'H, we draw the shadows the black plas using the B3 negative and a silk screen with special black, Pittman black or the like.
The image obtained by one of the means described above will be a black and white photographic image and will be exposed from. as will be described, using direct light as well as reflected light. The image obtained in the above manner can be hand-tinted <B> </B> provided the colors ,. are very transparent and applied in a thin layer.
The above processes which are suitable for small quantities are impractical for mass production. Thus, the invention provides means for producing the images in large quantity, at the minimum price and in the minimum time, which can be easily achieved by making <B> to </B> pressure. ink or others on any transparent or translucent medium. <B><I>b)</I></B> <I> Printing with </I> colored inks.
The shots in this <B> this </B> case are made with the same light sources as described above. Even <B> if </B> the object is not stationary, the shots must be taken in rapid sequence; but if it is immobile, the need for rapid sequencing is not essential and existing photographic equipment can be used, with the same precautions as indicated above.
In describing the draw, he must. it should be understood that one does not exclude mass printing processes, the printing itself, so called, can be done in different ways.
The starting point is any sheet such as transparent or white plastic or white paper of composition and very fine grain, with a degree of transparency such as to allow the passage of light from the light. rear, this light being distributed uniformly over the entire sheet.
The base sheet can be used <B> to </B> support the application of a decal if desired. <B> A </B> as a specific example without limitation, the invention will be described starting from a transparent sheet or plate.
The photograph taken of the subject illuminated by the concentrated source <B> A </B> may be taken without the Kodachrome brand product or analogous plate or single film; it can also be done by the color separation process on selection negatives. Usually these negatives are taken on white and black films <B> through </B> colored screens, in order to <B> </B> obtain recorded negatives. trant each desired color.
If Kodachrome or similar brand product is used, then it is necessary to negate the color selection; it is nevertheless convenient to take the original <B> da </B> Kodachro brand product # me qa'with a caniera <B> to </B> selection of colors in a single exposure, because the equipment of such an apparatus is more cumbersome.
Color selection negatives should be light or low with a high graduation from the brightest points to the darkest shadows, as with <B> .11 </B> in black photographic prints. and white previously described.
Next, the various printing plates with inks or dyes, <B> to </B> namely blue, magenta, yellow, are obtained <B> to </B> from negative selection keys, as used run in this pulling mode.
The gTaved plates are then used to make prints with transparent inks or colors, but very dense on the transparent base sheet P4.
For some subjects, it may be necessary to mix certain opaque pigments with the inks to even further block the amount of direct light. Since the negatives used to make the plates are very low in contrast, the use of dense inks provides on the back side the real contrast which is desired and which exists on the real aphic <B> - </B> photo subject.
In general, black gr is added which must also have the same density here or a greater density, The result will be a set A2r, (see fig. <B> 15) </B> equivalent to <B> to A.2 </B> in the previous process graphic photo prints, in black and white.
Very bright spots should be as light as possible, which is why letterpress is not as advantageous as gravure. The offsct lithographic print of black is suitable in some cases. Either way, the draw must be. thicker than normal prints. transparent.
.Before now -an image developed <B> a </B> from source <B> A </B> (this image must be seen by transparency in direct light), we print on its upper face with, -a white ink having a suitable degree of clarity and coverage. This white print is intended to <B> </B> provide the white areas of the following image B, but it may have some bare areas in the brighter parts. If <B> y </B> has bare areas, the light coming from behind (direct light when the image is exposed), will be transmitted almost entirely in these areas.
But, if the direct light is from a concentrated source and there is no diffuse surface behind the prints, the white should not have any bare areas, as the light source may be visible. Thus, when a concentrated source of direct light is used behind the image, the lack of diffusion can be compensated for by the image itself.
The white print is made with an engraved plate prepared as follows: Remember that to obtain a black and white image, we prepared a negative <B> A3 </B> giving details only in the brighter lm parts. For the preparation of a plate intended for <B> ink </B> printing, white will be affixed everywhere except in the brightest spots.
We therefore prepare a negative similar to <B> to </B> 213 <B> to </B> from one or more of the negative <B> of </B> selection <B> of </B> colors whose the equi valent in <B> the; </B> black and white was <B> AI. </B> In some cases, the bright dots are colored; it is therefore necessary to choose the selection negatives that best show the bright spots. <B> A </B> from these negatives, we obtain a black and white positive A "c not shown, using the same process of shooting and developing as to obtain #V ', from this positive, the desired negative Ak is obtained (not shown).
This is then used to make the positive etch plate for a-Li white print IVAc.
Having now the part of the image, intended <B> to </B> to be seen in direct light and having covered it with translucent white ink, we will describe the printing of the image intended <B> for </B> be seen in reflected light. <B><I>10</I> </B> With an additional black <I> print </I>.
With the subject illuminated by the source B, the negatives can be obtained by selecting the colors (as for the illumination by the source <B> A) </B> by means of the ordinary camera <B> of </ B > selection of colors in a single exposure or with Kodachrolue brand product> ,, or similar process, it being understood that, as before, all precautions have been taken so that the camera remains perfectly still and that the subject does not position himself between <B> the, </B> the moment of this key capture and the moment of the shooting with the source <B> A. </B>
If we use the product <B> of </B> brand Kodachrome with lighting B, we can <B> to </B> from this material use the ne- fra <B>, </ B > <B> of </B> color selection tifs to get the selection negatives. Preferably, the negatives will be overexposed so that <B> there </B> has a minimum of detail in the bright spots and a maximum in the others.
From these negatives, engraved plates are made as usual for <B> from </B> such prints, and <B> to </B> from these. plates, we shoot, with very transparent and very clear lines, -a composite image B-2c over the white print. These prints must be very clear in order to be visible only in reflected light and to be completely penetrated by direct light. The thickness of the print can be adjusted suitably, since the amount of printing ink ordinarily depends on the amount of pigment in the printing plate as is well known in the art. This concerns black as well as <B> elementary </B> colors.
<B> There </B> can <B> y </B> have visible shadows even in the darkest parts of a subject. We want these shadows to appear. In consequence, <B> to </B> side of the printing of the positive B2c in color and with black following the Trichrome-et-noir process, an additional printing is made with an additional black printing plate, prepared as it will be described.
As the goal we propose is to obtain a plate to draw the details of the darkest shadows, we take the one or those of the color selection negatives resulting from the exposure <B> to </ B > light B, which best shows the darkest shadows and we shoot them photographically to obtain an underexposed positive that we will call B "c (not shown). <B> A </B> from B "c, we make negative Bse not shown which is overexposed to accentuate the shadows even more and showing nothing other than these. <B> A </B> from Bsc, we make the plate of additional draw.
and it is used to draw an additional black B2bk by-halves the composite colored image B2c. For this additional print run, the ink must be the blackest (i.e. has the greatest light absorbing power) that can be found in the printing inks, so as to absorb the reflected light as much as possible. <B> It </B> must however be pulled lightly to let the light pass, direct, that is to say so that the colors behind can be seen <B> through </B>,
in direct light. Indeed, as it <B> v </B> has colors, even in the darkest shadows, at least <B> at </B> very low degree, they should appear if possible to make the neck their real ones, but if necessary, we can also use an opaque ink, because V # it does not <B> </B> easily detect the coloring of the darkest areas. <I> 21 With normal draft and additional black draft </I> combined.
As can be seen in fig. <B> 17 </B> and <B> 18, </B> without changing the printing mode which has just been described for the other colors, we can remove Pan from the black prints by combining the effects of the two in one, only plate as follows: The black print plate is obtained <B> at </B> both <B> at, </B> from negative B3c, as above, and said negative used for the normal black print;
but, in this case, the latter is kept <B> at </B> a very low contrast, so that when the plate obtained <B> at </B> from this negative is used for the printing with a very light-absorbent ink (at least in reflected light), a B2Bk result is obtained such that grounded shadows will be as dark as when using two black printing plates and shadows light creases and grays will be covered <B> at </B> the desired value since these areas are printed lighter than normal with the same highly absorbent ink.
31, <I> With modified white print </I> and only one additional black print.
As seen in fig. <B> 19 </B> and 20, we can consider yet another variant for the preparation of the image intended <B> to </B> to be seen in reflected light. In the first and second color print possibilities which have been described, the --12c and IVAc images were the same, the difference between the two variants being in the black print.
In the variant that will be described, the images A - *> (. Are the same as before, and the colors (blue, magenta and yellow) as well as the additional black of image B are the same as in the first color variant, fig. <B> 17 </B> and <B> 18. </B>
However, the normal black plate of the usual color printing plates is not used in this case. <B> A </B> instead, the plate is modified for the white printing, <B> to </B> not to draw the extreme bright points and <B> to </B> not to draw or <B> to </B> only draw very lightly the black areas for the following reasons. be -exposed. To obtain the print plate in white, we first transform the normal negative, selecting black and colors, into a positive. With this, we combine the negative Ase, as used in the first variant, to obtain the white print plate.
The plate thus obtained is the negative <B> of </B> the normal black plate, but also includes, in positive, the shiny dots <B> 53. </B> With this plate, we draw ( see _Wc) in white on top of A2c.
The white print plate does not reproduce or only slightly reproduces the black areas and grays, since it is a negative plate; as for the extreme bright points <B> 53 </B> which, in the subject, were points of total or almost total reflection, the white will not be drawn at all, since the corresponding parts are positive on the plate.
If we remember that we have drawn on the top of the layers of color and black of A2c which, in reflected light, being very dark appear all black, it is clear that when the white plate gives no print or give only a light print, this black will appear <B> to </B> through allowing blacks and grays to be seen in reflected light. At the same time, the fact of not drawing the shiny dots <B> 53 </B> will allow <B> to </B> these <B> dots (the </B> shine from behind is that is, to be provided by direct light.
To execute the images of certain subjects, the printing can be done on the opposite sides of a sheet of <B> </B> white trail.8- lucid paper. In this case, the paper will replace the white print on top of the developed image from the <B> A </B> source lighting c) <I> Photographic print </I> in color.
For the photographic printing of the color image, a process similar <B> to </B> that which has been described is adopted, in the sense that the shooting with illumination by the source <B> A </ B> is iiii- primed transparent, so <B> to </B> can be seen only in direct light, while the picture taken under illumination by source B is drawn to be observed in reflected light. Between these two prints is interposed his white print on Transfax or the like, a layer of white lacquer or a sheet of translucent material for photographic printing using a silk screen or the like.
For shooting with lighting from the <B> A, </B> source, Kodachrome brand product or the like is used. Here, as before, it is desirable to underexpose in order to have a dense image and to accentuate the bright spots; however, due to the limited possibilities of the film and even using color correction filters, the underexposure conditions can only be partially satisfied. The underexposure of the product. Kodachrome brand, while giving good contrast for bright spots, does not give enough depth or detail in dark areas.
Consequently, the Kodachrome brand product is supplemented by a black and white photographic print. The negative of this black and white shot will be taken with <B> A </B> source lighting - at the same time as the Kodachrome% # branded product shot; but <B> the. </B> black and white will be very overexposed because we want to reinforce only the black areas. It is also not desirable to reinforce all the areas. <B> It </B> is possible with the existing equipment to take both shots <B> at </B> at the same time on two <B> different- </B> rents.
As the so-called Kodachrome branded product film is normally slower than black and white film, 'The same exposure that underexposes the Kodachrome branded product will underexpose black and white if black film is used. and white pretty fast. Even if this results in insuf ficient overexposure, the duration of the exposure may be distorted and a neutral density filter may be used with the Kodachroine deficiency product (against the film) to prevent its exposure. is not also prolonged.
<B> it </B> is not always necessary to use the extra black and white <B> </B>, because as we will see, the image taken with illumination B will compensate to a certain extent. measures the lack of detail -in the deepest shadows of the image obtained with <B> A </B> lighting Thus having the Kodachrome brand product (which for convenience we will call AK) and the unrepresented negative overexposed black and white that will be called A (e,
we draw <B> to </B> from Aa '-Lin positive Aa2 not shown. This positive can be drawn directly over the Kodachrome brand product by <B> y </B> pre-applying an emulsion coat. The positi-f will be underexposed to give detail in the shadows -only.
Obviously, the usual dye transfer process can also be used to make the colored image equivalent to <B> to </B> <I> AK </I> provided the concentration of colors is sufficient to give the desired density. This <B> </B> dyeing process is advantageous when <B> - </B> it is desired to make an enlarged image or to make a large number of images. It also obviates the need for additional black and white, because by producing the color selective negatives, better control can be ensured.
A <B> </B> hand coloring process of the type of the Flexachrome brand product can also be used.
Over the composite image of colors and shadows, a white layer is applied by photographic printing, for example with a <B> silk </B> screen or with Tra1isfa _, # ,,> in the manner described above, to obtain light areas for the shiny dots, or else a layer of projected white water or a sheet of translucent material is applied. The lacquer or trans-lucid material will however cover the entire surface, <B> this </B> which will cause it annoying <B> lack of </B> wool in the shiny points.
Image B is executed according to the principles described above for black and white photographic prints and color prints with inks. In the case under consideration of photographic prints, the image B is preferably made by the known method of color transfer onto a separate plate or film and applied to the <B> E </B> image <B> A. </B>
By running image B on a separate plate or film, the image is inverted so that <B> </B> can be applied directly against the white layer (which is on top of image <B > A) </B> without <B> y </B> having any plate or film in between. Alternatively, the color transfer from image B can be done directly onto a gelatin layer forming a base on top of the white layer previously applied over image <B> A. </B>
The printing by the dye transfer process can be carried out, as those skilled in the art agree, so as to obtain a very light printing. For the same reasons as for the variants previously described, it Ta-Lit have a very light draft for the B alloy. This light draft is advantageously reinforced in the areas, black in the same way as in the previously described embodiments of invention.
Polishing reinforce blacks, you can apply a black pi ment or dye transfer dyes or by the Carbro process, or with Pittman brand black, or with ink using a silk screen, either, directly, either on the back side of a film or transparent glass plate.
This results in an image A, reinforced or not in the black areas, which will be seen in direct light. A white print is added over a layer; then a B-image applied by transfer of dyes into the gelatin or as a separate film over the white print, this B-image to be viewed in reflected light. III. <B> - </B> <I> Third stage: Presentation of the </I> <I> composite image. </I> To properly expose the composite plane image, one must -use a frame or special exhibition equipment (see fig. 21, 22 and 24).
For many subjects, a frame is needed around the subject at the time of shooting, so that this frame appears in the image and provides a comparison surface that will mainly receive light from the focused source (s) <B> A. </B> To obtain <B> the </B> best result, it is desirable that this frame be made of a material rough enough to give graduations, in light shadows and. give an appearance or feel to the texture of the frame. The purpose of this is to provoke a psychological reaction by giving more the impression that the light is ahead. It is in fact always necessary to keep <B> in </B> in mind that the observer must not have the impression that he is seeing something transparent.
The main goal is, on the one hand, to avoid the feeling of transparency and, on the other hand, to give <B> to </B> the observer the feeling that the image and the subject it represents are seen only in reflected light. We must therefore have the impression that the key light source (s) are only on the front part of the frame. The. The goal is to suggest the existence of the concentrated source <B> A </B> which was actually present when the picture was taken. The diffuse source B is really constituted by the normal lighting of the room.
The outer frame which will be described can be used to present the image, whether printed with inks or photographically, whether in black and white or in color.
The frame can have any desired exterior contour or shape. In the example shown (see Figs. 21 and 22), it is rectangular. The slice ava; î1t; of the frame comprises four planes such as 20, which intersect to form a continuous rectangular surface, these planes being inclined outwards and backwards. They cut four at very flat surfaces 21. inclined inwards and backwards, that is to say towards the image.
The angle of inclination is irrelevant, and the surfaces 20 and <B> 21 </B> need not be inclined to intersect along a protruding edge. The surfaces 20 could be parallel <B> to </B> the image and neck per <B> at </B> right angles to the surfaces 21 perpendicular <B> to </B> the image. Behind the surfaces 21- is disposed a frame of planar surfaces 22 intersecting <B> at </B> right angles. These surfaces 22 are made of reflective material such as for example <B> of </B> aluminum sheet.
It is <B> </B> desirable that the surfaces 22 be recessed under the frame. They do not need to be visible, but it is more practical to make the frame so that they are, and in this case they should be of reflective material.
Behind the surfaces 22 is placed the image I preferably inserted between plates of glass or other transparent material held in the frame, for example in a groove thereof. If the surfaces 22 are visible, it is preferable qLi'el.1- # e # -. are directly adjacent <B> to </B> the image. It is obvious <U> that </U> without this the image will have to be extended enough so that the space between it and the surfaces 22 does not allow <B> </B> the observer to look < B> inside </B> -of the frame and see where the image- stops.
The frame or. at least its front part can be hollow. as in <B> 26 </B> and have rear walls 24. It must be of sufficient thickness to allow <B> </B> the observer to believe that one or more light sources are arranged in this frame.
As an alternative construction, the front part or directly visible part 41 may be flat (see FIG. 24). The rear face 42 of this front part 41 can be made of reflective material, flat and parallel <B> to </B> the image; it may come and cut a surface a-liter, reflecting 44 perpendicular <B> to </B> the image, and which maintains the first <B> at </B> a certain distance from this image. The reflective surface 44 may intersect a third reflective surface 46 parallel <B> to </B> the image and connected or at least adjacent <B> to </B> its edge.
As all surfaces are reflective, it is not possible <B> for </B> the eye of the observer to detect that there is no corresponding light source in the frame. <B> to </B> the concentrated source <B> A </B> that actually existed when the shot took lie-Li.
The frame of fig. 22 or 24 comprises a second part oit intermediate edge comprising four surfaces <B> 27 </B> intersecting to form a rectangle. Each of them is con tinued by a wall <B> 27 '</B> parallel <B> to </B> the image. The walls <B> 271 </B> are provided with a gutter or other member for maintaining the edges of a member for protection against heat. This member is constituted for example by a screen comprising two glass plates <B> 28 </B> and <B> 30 </B> spaced apart one from the other, reserving between them Lin the dead air space <B> 29. </B> The purpose of this air space is to isolate the image from the heat coming from the lamp <B> 31 </B> which will be described.
One or both of these glass plates may be heat resistant or heat absorbing and not susceptible to breaking under the influence of heat, for example. pyrex glass. One or both of the glass plates 28 or <B> 30 </B> may be frosted or ribbed glass or any similar diffusing glass;
it is not necessary, however, for it to be diffusing if a suitable reflector such as that which will be described is used, or if the image itself includes a diffusing face.
The third part or healthy reflective slice of the presentation device has a <B> 32. </B> reflector or diffuser. One type which has been successfully used simply has two converging sheets of asbestos behind a lamp. electric <B> 31. </B> The reflector or diffuser does not need to have two flat surfaces; it can have four or more and does not even need to consist of flatterations. All. reflecting or diffusing means which gives a light substantially uniformly distributed over the glass plates <B> 28 </B> and <B> 30 </B> and on the image will be satisfactory.
In fact, the sole purpose of the rear part is to provide a strong image evenly distributed on the image <B> 1. </B>
In practice, it is more convenient to use a single electric lamp. Photo flood lamps no 2 i) o-Lir have been advantageously used to cover - an area of <B> 30 </B> X 45 cm, but for commercial purposes - a light of the same intensity and of longer duration can be used. more advantageous. The amount of light scattered <B> at </B> the rear of the image should be several times stronger than any other light source - previously used for normal transparency presentations.
As in common <B> incandescent </B> lamps this amount of light. produces intense heat, it is necessary to provide polishing means to ventilate the whole frame. <B> A </B> this effect, the rear of the reflector for mant part <B> 32 </B> is separate and separated by wedges for adjusting the intermediate section, so <B> to </B> reserve ventilation openings <B> 36. </B> The intermediate part is also separated from the anterior part, forming frame, neatly. said, by riveted gauges 34 reserving ventilation passages <B> 36. </B> These passages <B> 36-36 '</B> must be entirely opposed <B> to </B> the exit of light îâ the outside <B> to </B> through them.
To increase the illusion and hence draw attention to the exposed image, the rear light source may be turned off and turned on quickly, preferably with a period of illumination longer than the period of illumination. 'extinction. The extinction period should be short enough that the eyes do not have the opportunity to completely lose the persistence of the image. When there is not much ambient light, i.e. not a lot of light in the enclosure <B> where </B> the image is exposed, the rear light may be cut off entirely. during extinction.
Lor-qqii5il <B> y </B> has a lot of ambient light, the tail light will simply be bypassed or put to sleep.
The extinction tends <B> to </B> increase Fillusion i,) because it gives <B> </B> the observer the same impression as if the light source <B> A </B> were cut and connected in the presence of the real object. In other words, shadows and reflections occur as when the source Jl illuminates the real object and disappear when this source is turned off.
In everything that precedes, the source B has been considered as a uniform or diffuse source. However, when shooting, this source does not need to be uniform or diffusing and can be focused to-Lit at least partially. In this case, for the presentation of the image, -a light source <B> 60 </B> can be placed outside the frame, as fig. <B> 23, </B> in <B> the </B> same relative position as source B when shooting.
This should only be done, however, when it is known in advance that the general illumination of the display room will not have an intensity such as to render the <B> 60 lamp ineffective. </B> The aim is to give <B> to </B> the observer the impression that the key shadows of the image that were created, by source B, are created by source <B> 60. </B> This external source < B> 60 </B> can be restored and. cut to increase the key illusion of the presence of the real object.
In this case, unlike <B> to </B> what was previously stated for the interruptions of the rear light source, it is possible to reset and cut either any of the front and rear qoLirces. , or both; but both are cut, they must not be cut at the same time. Here too, it is necessary that the dark period be short enough so that the eyes do not have the possibility of completely losing the persistence of the image.
In the invention as described above, the rear source used for the presentation has been assumed to be white. However, to create a theatrical effect, two or more rear and front sources of different colors can be provided, the number and position of the front sources being subject to the restrictions set out above. By plugging in one or more, or a combination of these differently colored sources, the appearance of the image may change to give an effect similar <B> to </B> that seen in a-Li theater when spotlights of different colors are shined on the stage.
The appearance of reality, or in other words the presence of the real object, is not lost, but is instead retained when the color of the rear lamps changes.
The invention has been described in the application <B> to </B> still images, it should be understood that it applies equally well <B> to </B> key cinematographic moving images and < B> to </B> television.