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,,perfectionnements apportés aux machines du genre des machines à laver le linge et la vaisselle".
L'invention est relative aux machines du genre de celles pour le lavage du linge, de la vaisselle, etc...
Elle a pour but, surtout, de rendre telles, lesdites machines, qu'elles répondent mieux que jusqu'à présent aux divers desiderata de la pratique.
Elle consiste, principalement, à établir de manière telle, les machines du genre en question, que la masse des objets à traiter soit versée par le liquide de traitement dont, de préférence, une partie au moins est transformée en vapeur.
Elle consiste, mise à part cette disposi-
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tion principale, en certaines autres dispositions qui s'u- tilisent de préférence en même temps et dont il sera plus explicitement parlé ci-après.
Elle vise plus particulièrement un certain mode d'application, ainsi que certains modes de réalisa- tion, desdites dispositions ; etelle vise plus particuliè- rement encore, et ce à titre de produits industriels nou- veaux, les machines du genre en question comportant appli- dation de ces mêmes dispositions, ainsi que les éléments spéciaux propres à leur établissement.
Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des dessins ci-annexés, lesquels complément et dessins ne sont, bien entendu, donnés surtout qu'à titre dtindication.
La fig. l, de ce dessin, représente en coupe verticale axiale, une machine à laver établie con- formément à l'invention.
Les fig. 2 et 3 illustrent semblablement une machine à laver établie selon deux autres modes de réalisation.,
Selon l'invention, et plus particulière- ment selon celui de ses modes d'application, ainsi que selon celui des modes de réalisation de ses différentes parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant par exemple de laver du linge, on procède comme suit ou de façon analogue.
On dispose la masse du linge à laver dans un récipient approprié et, au lieu de faire barboter par agitation ce linge dans le liquide de lessivage, on fait . en sorte au'il soit traversé par le susdit liquide; o prévoit à cet effet, pour celui-ci, une conduite d'arri- vée d'un côté de la masse de linge, et une évacuation d'un autre côté.
De préférence, notamment dans le. cas où le
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liquide est chauffé pour travailler à une certaine tem- pérature, on fait en sorte qu'il soit partiellement trans- formé en vapeur, ce grâce à quoi, on fait traverser le linge par une émulsion de vapeur dans le liquide; ce qui conduit à éliminer les impuretés salissantes, non seule- ment par voie physique et chimique mais encore, partielle- ment au moins, par entraînement mécanique.
Bien qu'il soit possible, pour mettre en oeuvre la disposition précédente, de recourir à divers modes de réalisation, il semble avantageux de mettre à profit une autre disposition de l'invention selon la- quelle, pour faire traverser la masse de linge par le liquide de lessivage, on dispose cette masse M de linge dans un récipient 1 à fond 2 percé, mais complètement fermé par ailleurs, et on l'arrose pqr dessus à l'aide de ce liquide mis sous pression dans un autre récipient clos 3.
Ainsi, le liquide se trouvant sous pres- sion, est forcé à travers le linge vers les orifices per- cés dans le fond 2 du récipient 1 et est recueilli dans un compartiment 4 disposé au-dessous de ce récipient 1.
Pour mettre sous pression le liquide de lessivage dans son récipient 3, on opère de préférence en chauffant ce liquide, ce qui a pour effet de créer une pression de vapeur au-dessus de sa surface libre ; il est alors canalisé avec de la vapeur, par une tubulure 5, vers un système déversoir ou arroseur 6 disposé au-dessus du linge M; l'émulsion de ce liquide et de vapeur traver- se le linge pour être recueillie dans le compartiment 4 dans lequel on empêche toute élévation de pression par rapport à l'atmosphère ambiante en le reliant à celle-ci par l'intermédiaire d'une soupape 7, constituée essen- tiellement, par exemple, par une bille légère propre à obturer par son poids seul un orifice percé dans un siège.
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Mais dans certains cas où le liquide ne peut ou ne doit pas être chauffé, on peut bien entendu le mettre en pression par tous autres moyens convenables, et par exemple on relie le récipient 3 le contenant à une source d'air comprimé ou encore, on crée un vide par- tiel dans le compartiment 4, le récipient 3 étant alors ouvert à l'atmosphère; on pourrait également avoir re- cours à des dispositifs mécaniques, tels que des pompes pour assurer la mise en pression de ce liquide.
De toute façon, si on opère par chauffage, il est avantageux de calorifuger les récipients 1 et 3, mais pas le compartiment 2, lequel joue alors partielle- ment un rôle analogue au rôle d'un condenseur.
Bien qu'il soit encore ici possible de recourir à n'importe quel mode de chauffage du liquide dans le récipient 3, de préférence on met en service au moins une plaque chauffante 8 à résistance électrique, la température de l'eau étant automatiauement contrôlée par un système thermostatique 9.
Dans la plupart;des cas il ne sera pas suffisant de faire passer une seule fois le liquide de lessivage à travers la masse M de linge; aussi prévoit- on d'établir un cycle de circulation de ce liquide, en le faisant repasser du compartiment 4 dans le comparti- ment 3 auand une quantité déterminée est passée de 3 en 4 à travers la masse de linge M.
A cet effet, par exemple, on dispose sur le fond du compartiment 4 une soupape 10, normalement maintenue fermée et propre à être ouverte sous l'action d'une tige 11 reliée à un flotteur 12 agencé de manière à suivre le niveau dans le compartiment 4. Ainsi, quand le niveau est monté dans 4 de la susdite quantité déter- minée, le flotteur fait ouvrir la soupape 10 et le li- quide peut être évacué vers le récipient 3.
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Pour établir une machine à laver conformé- ment à l'invention, il est avantageux de recourir aux mo- des de réalisation suivants, selon la capacité envisagée.
Selon l'un de ces modes de réalisation, utilisable pour des machines domestiques, de capacité réduite, on superpose les deux récipients 1 et 3 et le compartiment 4, en les établissant par cloisonnement d'un corps cylindrique 13, le compartiment 4 étant intermé- diaire entre les deux autres. Le tube 5 est alors avanta- geusement dans l'axe de l'appareil et la soupape 10, main* tenue fermée par la pression dans le récipient 3, fait directement communiquer le compartiment de détente 4 avec ce récipient de chauffage 3, lequel est lui-même muni d'un orifice de remplissage 14 et d'une tubulure de vidange 15 obturée en marche par un robinet 16.
On calo- rifuge les récipients 1 et 3 de façon convenable, et avantageusement on dispose des fenêtres en verre "pyrex" pour permettre de se rendre compte des différents niveaux dans l'appareil et de son bon fonctionnement (fenêtres non représentées); on ferme enfin le récipient supérieur 1 par un couvercle 17 pouvant assurer l'étanchéité.
Selon un autre mode de réalisation utili- sable pour l'établissement des machines industrielles de grande capacité, on sépare les récipients 1 et 8 et le compartiment 4, et on les relie par les tuyauteries né- cessaires.
Dans de telles machines, la succession des cycles se produisant automatiquement, on peut avanta- geusement faire en sorte que le thermostat 9 coupe le courant à une température déterminée pour laquelle il s'est produit le nombre de cycles voulu pour assurer un lavage correct; le réglage du thermostat peut alors cor-, respondre à l'état du linge et/ou à sa quantité.
De préférence, on dispose sous le fond 2
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du récipient 1 un papier filtre 18, par exemple en fil de fer, en grillage etc... propre à retenir les particu- les solides contenues dans les objets en traitement et à éviter que lesdites particules ne viennent se déposer dans le récipient 3.
Le linge une fois lavé, on le rince, soit à l'eau chaude, le liquide de lessivage ayant été vidangé et remplacé par de l'eau claire, soit à la vapeur, en disposant seulement un fond d'eau dans le récipient 3; on le sèche ensuite.
Pour effectuer cette opération de séchage, bien qu'il soit possible d'avoir recours à tout disposi- tif d'essorage indépendant, il semble préférable d'opérer conformément à une autre disposition de l'invention selon laquelle on assèche le linge dans le même récipient 1 où il a été lavé.
A cet effet, conformément à ladite dispo- sition, on vaporise l'eau retenue par le linge à l'aide de chaleur transmise par les parois chauffées de ce ré- cipient.
De préférence, étant donné que le réci- pient 1 est calorifugé, on utilise pour chauffer ses pa- rois au moins une résistance électrique 19, par exemple disposée en ceinture autour de la paroi intérieure, sous le revêtement calorifuge 20. Ainsi de la chaleur est transmise, partie par contact, partie par rayonnement, au linge, et l'humidité incluse est vaporisée.
Pour favoriser cette vaporisation et la rendre continue on prévoit, toujours conformément à la susdite disposition, d'évacuer à l'extérieur les vapeurs dégagées ce, de préférence encore, en les aspirant par un tube 21, à l'aide de tout dispositif propre à créer un vide partiel, dans le récipient 1, par exemple une
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trompe à eau (non représentée).
Il peut néanmoins arriver que la vapeur se condense partiellement sur les régions froides des parois du récipient 1; les gouttelettes retombent alors sur le linge et retardent l'opération de séchage; d'autre part, étant la vapeur/saturée est plus difficilement évacuée et ris- que de donner lieu à des condensations indésirables en des points destuyauteries.
C'est pourquoi, conformément encore à une autre disposition de l'invention, on prévoit de dénaturer la vapeur en la surchauffant, dans le récipient 1, au moins au voisinage des parois ou des régions des parois sur lesquelles elle.;donnerai% lieu à une condensation.
A cet effet, on chauffeles régions en question des parois à une température cpnvenable; et de préférence on a encore ici recours au chauffage électri- que à résistance.
C'est ainsi qu'en ce qui concerne par exem- ple le couvercle 17 sur lequel les condensations se pro- duisent le plus facilement, on le réchauffe à l'aide d'une résistance 22 disposée sous le revêtement calorifuge con- tre la paroi intérieure métallique.
Bien entendu, dans certains cas, une seule résistance, par exemple la résistance 22, peut jouer le rôle de résistance de vaporisation pour le séchage et de résistance de désaturation pour éviter les condensations.
Il va de soi que tout ce qui précède n'est nullement limitatif et se prête particulièrement à des variantes de réalisation et d'emploi.
Et par,exemple, pour laver de la vaisselle, on peut ranger celle-ci dans un panier 23, (représenté en trait mixte) où elle se trouve arrosée et léchée de tous côtés par l'émulsion de liquide de lavage ; rince et on
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sèche comme pour le linge ; on retire ensuite le panier.
L'invention s'étend encore à certaines au- tres dispositions ainsi que certains autres modes de réa- lisation illustrés sur les fig. 2 et 3 et qui vont être explicitées.
Selon la fig. 2, disposant encore d'un ap- pareil à trois compartiments, tels que 1, 3, 4, au lieu de prévoir de faire passer le liquide du condenseur 4 dans le récipient 3 par un clapet directement commandé par un flotteur, on a recours à un clapet libre dont le fonctionnement est déterminé par les différences des pres- sions régnant dans les deux compartiments en question.
A cet effet, par exemple, on utilise un clapet en forme de bille 10 reposant sur un siège 24 mé- nagé au point bas de la paroi interne 25 d'une espèce de boite cylindrique à double enveloppe. L'espace intérieur
26 communique avec le bas du récipient 3, tandis que l'es- pace annulaire 27 communiqua, par la tubulure 28, avec le bas du condenseur 4.
On conçoit qu'ainsi, tant que le récipient
3 se trouve sous pression, (pression suffisante pour faire monter le liquide en 5 jusque dans le compartiment 1 à linge) la bille reste appliquée sur son siège malgré la pression statique de la colonne d'eau condensée, qui se trouve elle à la pression atmosphérique du fait de la pré- sence de la soupape d'équilibre 7, telle que prévue plus haut.
Par contre, si par un moyen quelconque, la pression baisse en 3, la bille peut se soulever et le li- quide retombe de 4 en 3.
Cette baisse de pression peut être, par exemple, provoquée par le fait que tout le liquide est passé de 3 en 1 ; si le liquide passe de 4 en 3 sans que l'air soit évacué de 3, il s'arrêtera à un niveau infé
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rieur à la normale.
Dans le but de parer à cette difficulté, on prévoit'de faire communiquer les'parties supérieures des deux compartiments 3 et 4, lorsque désiré.
C'est ainsi qu'on relie ces deux récipients par une tuyauterie 29, munie vers le bas d'un petit pa- nier perforé 30; à l'intérieur du panier, une bille lé- gère 31 est normalement.appliquée contre l'embouchure du tube 29 par la pression régnant dans le récipient 3, pression qui lui est communiquée, soit par le liquide directement, par la tubulure 32 (munie d'une coupelle grillagée pour recevoir la bille lorsqu'elle tombe) dé- bouchant au bas du récipient 3, soit par la vapeur, à la fois par la tubulure 32 et la tubulure 33 débouchant à la partie supérieure de ce récipient 3.
Ainsi, lorsque la pression tombe dans le récipient 3, par exemple lorsque la quantité de liquide est épuisée, la bille 31 tombe dans la coupelle, ce qui établit la communication entre les atmosphères des com- partiments 3 et 4, par les tubes 29, 32 et 33; l'égalité de pression y est réalisée et la bille 10 est soulevée pour laisser descendre le liquide de 4 en 3, l'air s'é- chappant,de 5 en 4 par les tubulures 29,32 et 33.
La bille 31 étant prévue susceptible de flotter sur le liquide de traitement, remonte avec celui- ci et finit par obturer la tubulure 29 ; le liquide de traitement peut alors être remis sous pression et remon- ter par le tube 5 vers le compartiment à linge.
De préférence, on prévoit en outre, en combinaison avec le compartiment supérieur 1, des moyens pour éviter toute surpression dangereuse (notamment sus- ceptible d'amorcer prématurément le siphon dont parlé plus loin), moyens que l'on réalise avantageusement en faisant communiquer ledit compartiment avec le condenser
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4 et/ou, avec le réservoir 3 par une tubulure comportant une section étranglée, éventuellement réglable. Cette tu= bulure est représentée sur la fig. 2 en 29', et débouche par un étranglement 34 dans le conduit 29. La détente qui se produit à la sortie de cet étranglement permet de ré- gler la pression maximum dans le compartiment 1 à toute valeur convenable.
Pour assurer automatiquement la vidange du compartiment à linge après un temps de;séjour convenable du linge dans le liquide de lavage, on relie le comparti- ment 1 au condenseur 4, selon une autre disposition de l'invention, non pas par une paroi percée (le fond 2 étant seulement destiné à retenir le linge) mais par une tubu- lure 35 débouchant dans le bas du condenseur en 39; et avantageusement on fait en sorte que cette tubulure forme en 36 un siphon qui assure, une fois amorcé, la vidange continue et qui est susceptible de se réamorcer dans le cas où le liquide monterait dans le compartiment 1 à un niveau dangereux.
Le réglage de la pression maximum dans le compartiment 1, obtenu à l'aide des moyens visés plus haut, (étranglement 29 ) permet d'éviter l'amorçage préma- turé de ce siphon, donc d'assurer un maintien suffisamment prolongé du linge avec le liquide de lavage à chaque cycle.
Selon une autre disposition de l'invention, on prévoit un dispositif de sécurité susceptible d'assurer le fonctionnement du clapet 10-24 même si la bille 31 ne se décollait pas d'elle-même.
A cet effet, on dispose un flotteur 12 à l'extrémité d'un bras 11 pivotant autour d'un axe 37 et relié à une tige 38 coaxiale à l'intérieur du tube 29 et propre à venir pousser sur la bille 31 lorsque le liquide dans le condenseur 4 atteint un niveau(,,de déclenchement -prédéterminé.
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Concernant maintenant la tubulure d'arro- sage 5 reliant le réservoir 3 au compartiment à linge 1, on a prévu dans la machine décrite sur la fig. 2 de dis- poser cette tubulure sur le côté de la machine et non en son axe ; note donc qu'on ne peut y adapter un diffu- seur tel que celui prévu en 6 sur la fig. 1.
C'est pourquoi, notamment, selon une autre disposition, on relie cette tubulure à divers ajutages,
39 et 40 par exemple, disposés de manière à ne pas diri- ger leur jet gers le centre de la machine; de cette façon on imprime au linge à traiter; qui baigne dans le liquide, un mouvement de rotation favorisant le traitement par un brossage et un léger foulage. Ces ajutages peuvent d'ail- leurs être disposés à des hauteurs différentes et, comme il est représenté, en des points différents de la péri- phérie du compartiment.
Bien entendu, tout ce qui précède n'est nullement limitatif et se prête à diverses variantes de réalisation.
Selon une de ces variantes intéressante surtout pour les machines à laver le linge, par exemple, à faible capacité (3 kilogs de linge sec notamment), dis- posant d'une puissance de chauffe suffisamment forte (2,5 kilowatts par exemple), on peut supprimer un des compartiments et réaliser le cycle*complet avec seulement le compartiment à linge 1 et le récipient de chauffage 3.
La soupape atmosphérique 7 est.alors dis- posée à la partie supérieure du compartiment 1, et la tu- bulure 29 relie directement le panier 30 à bille 31, à la partie supérieure de ce même compartiment; inversement, le bas de ce compartiment est relié directement (éven- tuellement par l'intermédiaire d'un siphon 36 formé pqr le tube 35) à la boite à clapet 10.
@ Cette réalisation ne semble avantageuse
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précisément que lorsque la capacité de la machine est suf- fisamment petite pour que les suintements aux clapets 31 et 10 soient trop faibles pour laisser passer constamment du liquide en 3; la puissance de charte étant assez forte en revanche, les suintements existants sont immédiatement vaporisés et la pression peut donc tomber en 3 pour ter- miner un cycle et en commencer un second.
La fig. 3 illustre à titre indicatif un appareil de ce genre sans condenseur. La soupape 7 de mise à l'atmosphère est ici prévue dans le compartiment à linge, ce qui pourra entraîner une certaine perte de va- peur. Les cycles de remplissage et de vidage du comparti- ment supérieur se feront ici par le jeu de la tuyauterie d'arrosage 5 et de la tubulure de décharge 28, avec cla- pet 10. Les tuyauteries 29, 32, avec la bille 31 de dé- compression, assurent la relation entre les atmosphères des deux chambres 1 et 3. Un conduit d'arrivée d'eau est prévu en 50 à la partie supérieure.
Bien entendu, les résistances 8 sont con- trôlées par un thermostat pour couper le courant si pour une raison quelconque la température s'élevait dangereuse- ment, par exemple, en cas de mauvais fonctionnement du clapet 10, aui laisserait vide de liquide le récipient 3.
En suite de quoi, et quel que soit le mode de réalisation adopté, on peut réaliser une machine à la ver qui, à supposer qu'il y ait condenseur, (cas de la fig. 1 ou de la fig. 2), donne lieu à divers cycles suc- cessifs de montée du liquide et de la vapeur dans le com- partiment supérieur, puis de retour au condenseur et à nouveau vers le compartiment inférieur.
Le liouide contenu dans le compartiment in- férieur est en effet sollicité à monter, éventuellement mélangé à de la vapeur, vers le compartiment supérieur par la tubulure 5 et cela sous l'effet de la pression de va-
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peut tendant à régner au sommet dudit réservoir 3. Ce mélange est ainsi distribué dans le compartiment à linge
1 jusqu'à ce que, notamment par l'effet du dispositif de vidange à siphon 36 (fig. 2), ce fluide soit amené à des- cendre vers le condenseur 4, par la tubulure 35.
Le liquide monte dans ledit condenseur où la vapeur se transforme en eau et, lorsque les conditions statiques sont telles que la bille 10 puisse se lever, le liquide fait retour au réservoir inférieur 3, après quoi le cycle peut recommencer. La x bille 31 assure, dans tous les cas, en combinaison ou non avec le flotteur
12 et sa tige 38, les communications correctes entre les réservoirs 3 et 4, pour assurer le retour du liquide dans le réservoir inférieur.
Comme il va de soi et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se li- mite nullement à celui de ses modes d'application, non plus qu'aux modes de réalisation de ses diverses parties, ayant été plus spécialement envisagés ; en embrasse, au contraire, toutes les variantes.
REVENDICATIONS.
1 - Machine à traiter des objets par des liquides, notamment machine à laver le linge, caractérisée par le fait qu'elle est munie de moyens pour faire traverser la masse des objets à traiter par le liquide de traitement.
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,, improvements made to machines such as washing machines and dishes.
The invention relates to machines of the type of those for washing clothes, dishes, etc.
Its aim, above all, is to make the said machines such, that they respond better than hitherto to the various desiderata of practice.
It consists, mainly, in establishing in such a way, the machines of the kind in question, that the mass of the objects to be treated is poured by the treatment liquid, of which, preferably, at least a part is transformed into vapor.
It consists, apart from this provision
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principle, in certain other provisions which are preferably used at the same time and which will be discussed more explicitly below.
It relates more particularly to a certain mode of application, as well as certain embodiments, of said provisions; and it relates more particularly still, and as new industrial products, to machines of the type in question comprising the application of these same provisions, as well as the special elements specific to their establishment.
And it can, in any case, be clearly understood with the aid of the additional description which follows, as well as the appended drawings, which supplement and drawings are, of course, given above all by way of indication.
Fig. 1 of this drawing represents in axial vertical section a washing machine constructed in accordance with the invention.
Figs. 2 and 3 similarly illustrate a washing machine established according to two other embodiments.
According to the invention, and more particularly according to that of its modes of application, as well as according to that of the embodiments of its various parts, to which it seems that preference should be given, being proposed by example of washing clothes, the procedure is as follows or analogously.
The mass of laundry to be washed is placed in a suitable container and, instead of bubbling the laundry in the washing liquid by agitation, it is done. so that it is crossed by the aforesaid liquid; o provides for this purpose, for the latter, an inlet pipe on one side of the mass of laundry, and an outlet on the other side.
Preferably, in particular in the. case the
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liquid is heated to work at a certain temperature, it is made so that it is partially transformed into vapor, whereby the laundry is passed through a vapor emulsion in the liquid; which leads to the elimination of dirty impurities, not only physically and chemically but also, at least partially, by mechanical drive.
Although it is possible, in order to implement the preceding arrangement, to have recourse to various embodiments, it seems advantageous to take advantage of another arrangement of the invention according to which, to pass the mass of laundry through. the washing liquid, this mass M of laundry is placed in a container 1 with a pierced bottom 2, but otherwise completely closed, and it is sprinkled over it using this liquid put under pressure in another closed container 3 .
Thus, the liquid being under pressure is forced through the linen towards the orifices drilled in the bottom 2 of the container 1 and is collected in a compartment 4 placed below this container 1.
To pressurize the leaching liquid in its container 3, the operation is preferably carried out by heating this liquid, which has the effect of creating a vapor pressure above its free surface; it is then channeled with steam, via a pipe 5, to a weir or sprinkler system 6 placed above the laundry M; the emulsion of this liquid and vapor passes through the laundry to be collected in compartment 4 in which any rise in pressure relative to the ambient atmosphere is prevented by connecting it to the latter by means of a valve 7, consisting essentially, for example, of a light ball capable of closing off, by its weight alone, an orifice drilled in a seat.
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But in certain cases where the liquid cannot or must not be heated, it can of course be put under pressure by any other suitable means, and for example the receptacle 3 containing it is connected to a source of compressed air or else, a partial vacuum is created in the compartment 4, the container 3 then being open to the atmosphere; mechanical devices, such as pumps, could also be used to pressurize this liquid.
In any event, if the operation is carried out by heating, it is advantageous to insulate the receptacles 1 and 3, but not the compartment 2, which then partially plays a role analogous to the role of a condenser.
Although it is still possible here to have recourse to any method of heating the liquid in the container 3, preferably at least one electric resistance heating plate 8 is put into service, the temperature of the water being automatically controlled. by a thermostatic system 9.
In most cases it will not be sufficient to pass the washing liquid once through the mass M of laundry; also provision is made to establish a circulation cycle for this liquid, by passing it back from compartment 4 to compartment 3 when a determined quantity has passed from 3 to 4 through the mass of laundry M.
For this purpose, for example, there is on the bottom of compartment 4 a valve 10, normally kept closed and able to be opened under the action of a rod 11 connected to a float 12 arranged so as to follow the level in the compartment 4. Thus, when the level has risen in 4 of the aforementioned determined quantity, the float opens the valve 10 and the liquid can be discharged to the container 3.
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In order to establish a washing machine according to the invention, it is advantageous to have recourse to the following embodiments, depending on the capacity envisaged.
According to one of these embodiments, usable for domestic machines, of reduced capacity, the two containers 1 and 3 and the compartment 4 are superimposed, by establishing them by partitioning a cylindrical body 13, the compartment 4 being interposed. - diary between the other two. The tube 5 is then advantageously in the axis of the apparatus and the valve 10, hand * held closed by the pressure in the container 3, makes the expansion compartment 4 directly communicate with this heating container 3, which is itself provided with a filling orifice 14 and a drain pipe 15 closed in operation by a valve 16.
The receptacles 1 and 3 are suitably insulated, and advantageously "pyrex" glass windows are placed to enable the different levels in the apparatus and its correct operation to be observed (windows not shown); Finally, the upper container 1 is closed by a cover 17 capable of sealing.
According to another embodiment which can be used for establishing large-capacity industrial machines, the receptacles 1 and 8 and the compartment 4 are separated, and they are connected by the necessary pipes.
In such machines, the succession of cycles occurring automatically, it is advantageously possible to have the thermostat 9 cut off the current at a determined temperature for which the required number of cycles has occurred to ensure correct washing; the thermostat setting can then correspond to the condition of the laundry and / or its quantity.
Preferably, under the bottom 2
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from the container 1 a filter paper 18, for example made of wire, mesh, etc. suitable for retaining the solid particles contained in the objects being treated and preventing said particles from being deposited in the container 3.
Once the laundry has been washed, it is rinsed either with hot water, the washing liquid having been drained and replaced by clear water, or with steam, with only a small amount of water in the container 3 ; it is then dried.
In order to carry out this drying operation, although it is possible to have recourse to any independent spinning device, it seems preferable to operate in accordance with another arrangement of the invention according to which the laundry is dried in the dryer. same container 1 where it was washed.
To this end, in accordance with said arrangement, the water retained by the laundry is vaporized with the aid of heat transmitted by the heated walls of this receptacle.
Preferably, given that the receptacle 1 is heat-insulated, at least one electrical resistance 19 is used to heat its walls, for example arranged in a belt around the inner wall, under the heat-insulating coating 20. Thus, heat. is transmitted, part by contact, part by radiation, to the laundry, and the moisture included is vaporized.
To promote this vaporization and make it continuous, provision is made, still in accordance with the aforesaid arrangement, to evacuate the vapors given off to the outside, preferably again, by sucking them through a tube 21, using any clean device. to create a partial vacuum, in the container 1, for example a
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water pump (not shown).
However, it may happen that the vapor condenses partially on the cold regions of the walls of the container 1; the droplets then fall back on the laundry and delay the drying operation; on the other hand, being the saturated steam is more difficult to evacuate and risks giving rise to undesirable condensations at points of the piping.
This is why, in accordance with yet another arrangement of the invention, provision is made to denature the steam by superheating it, in the container 1, at least in the vicinity of the walls or of the regions of the walls on which it. to condensation.
For this purpose, the regions in question of the walls are heated to a suitable temperature; and preferably here again recourse is had to electric resistance heating.
Thus, as regards, for example, the cover 17 on which condensation occurs most easily, it is heated by means of a resistance 22 arranged under the heat-insulating coating against the heat. metal interior wall.
Of course, in some cases a single resistor, for example resistor 22, can act as a vaporization resistor for drying and a desaturation resistor to prevent condensation.
It goes without saying that all of the above is in no way limiting and lends itself particularly to variant embodiments and use.
And for example, to wash dishes, it can be stored in a basket 23 (shown in phantom) where it is watered and licked on all sides by the emulsion of washing liquid; rinse and we
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dries as for laundry; the basket is then removed.
The invention also extends to certain other arrangements as well as certain other embodiments illustrated in FIGS. 2 and 3 and which will be explained.
According to fig. 2, still having an apparatus with three compartments, such as 1, 3, 4, instead of providing for the liquid from the condenser 4 to pass into the receptacle 3 via a valve directly controlled by a float, recourse is had to to a free valve, the operation of which is determined by the pressure differences prevailing in the two compartments in question.
For this purpose, for example, use is made of a ball-shaped valve 10 resting on a seat 24 arranged at the low point of the internal wall 25 of a kind of double-cased cylindrical box. Interior space
26 communicates with the bottom of the container 3, while the annular space 27 communicates, through the tubing 28, with the bottom of the condenser 4.
It can be seen that as long as the container
3 is under pressure, (sufficient pressure to raise the liquid in 5 to the laundry compartment 1) the ball remains applied to its seat despite the static pressure of the condensed water column, which is at pressure atmospheric due to the presence of the balance valve 7, as provided above.
On the other hand, if by any means whatsoever, the pressure drops at 3, the ball can rise and the liquid falls by 4 at 3.
This drop in pressure can be, for example, caused by the fact that all the liquid has passed from 3 to 1; if the liquid passes from 4 to 3 without the air being evacuated from 3, it will stop at a lower level
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laughing at normal.
In order to overcome this difficulty, provision is made to communicate les'parties upper two compartments 3 and 4, when desired.
This is how these two receptacles are connected by a pipe 29, provided at the bottom with a small perforated basket 30; inside the basket, a light ball 31 is normally applied against the mouth of the tube 29 by the pressure prevailing in the container 3, pressure which is communicated to it, either by the liquid directly, by the tubing 32 ( provided with a mesh cup to receive the ball when it falls) opening at the bottom of the container 3, or by steam, both through the pipe 32 and the pipe 33 opening at the upper part of this container 3.
Thus, when the pressure drops in the container 3, for example when the quantity of liquid is exhausted, the ball 31 falls into the cup, which establishes communication between the atmospheres of compartments 3 and 4, through the tubes 29, 32 and 33; equal pressure is achieved there and the ball 10 is raised to let the liquid descend from 4 to 3, the air escaping, from 5 to 4 through the pipes 29, 32 and 33.
The ball 31 being provided capable of floating on the treatment liquid, rises with the latter and ends up closing off the tubing 29; the treatment liquid can then be re-pressurized and return through tube 5 to the laundry compartment.
Preferably, there is also provided, in combination with the upper compartment 1, means for avoiding any dangerous overpressure (in particular liable to prematurely prime the siphon referred to below), means which are advantageously produced by communicating said compartment with the condenser
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4 and / or, with the reservoir 3 by a pipe comprising a constricted section, possibly adjustable. This tu = bulure is represented in fig. 2 at 29 ', and opens out through a constriction 34 into the conduit 29. The expansion which occurs at the outlet of this constriction makes it possible to adjust the maximum pressure in the compartment 1 to any suitable value.
To automatically ensure the emptying of the laundry compartment after a suitable residence time of the laundry in the washing liquid, the compartment 1 is connected to the condenser 4, according to another arrangement of the invention, not by a perforated wall. (the bottom 2 being only intended to retain the laundry) but via a pipe 35 opening into the bottom of the condenser at 39; and advantageously it is arranged that this tubing forms a siphon 36, which ensures, once initiated, the continuous emptying and which is capable of being re-primed in the event that the liquid would rise in compartment 1 to a dangerous level.
The adjustment of the maximum pressure in compartment 1, obtained using the means referred to above, (constriction 29) makes it possible to prevent the premature priming of this siphon, and therefore to ensure a sufficiently prolonged hold of the laundry with the washing liquid in each cycle.
According to another arrangement of the invention, there is provided a safety device capable of ensuring the operation of the valve 10-24 even if the ball 31 does not come off by itself.
For this purpose, there is a float 12 at the end of an arm 11 pivoting about an axis 37 and connected to a rod 38 coaxial inside the tube 29 and suitable for pushing on the ball 31 when the liquid in the condenser 4 reaches a level (,, trigger -predetermined.
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With regard to the watering pipe 5 connecting the reservoir 3 to the laundry compartment 1, provision has been made in the machine described in FIG. 2 to place this tubing on the side of the machine and not on its axis; note therefore that it is not possible to adapt a diffuser such as that provided at 6 in FIG. 1.
This is why, in particular, according to another arrangement, this tubing is connected to various nozzles,
39 and 40 for example, arranged so as not to direct their jet towards the center of the machine; in this way we print on the laundry to be treated; which bathes in the liquid, a rotational movement favoring the treatment by brushing and light treading. These nozzles can moreover be arranged at different heights and, as shown, at different points on the periphery of the compartment.
Of course, all of the above is in no way limiting and lends itself to various variant embodiments.
According to one of these variants, which is particularly interesting for washing machines, for example, with low capacity (3 kilograms of dry laundry in particular), having a sufficiently high heating power (2.5 kilowatts for example), you can remove one of the compartments and perform the complete cycle * with only laundry compartment 1 and heating container 3.
The atmospheric valve 7 is then disposed at the upper part of the compartment 1, and the tube 29 directly connects the basket 30 with ball 31, to the upper part of this same compartment; conversely, the bottom of this compartment is connected directly (possibly via a siphon 36 formed by the tube 35) to the valve box 10.
@ This achievement does not seem advantageous
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precisely when the capacity of the machine is small enough for the seeps at the valves 31 and 10 to be too low to constantly allow liquid to pass through 3; the charter power being strong enough, on the other hand, the existing seeps are immediately vaporized and the pressure can therefore drop into 3 to complete a cycle and start a second.
Fig. 3 illustrates by way of indication an apparatus of this type without a condenser. The vent valve 7 is here provided in the laundry compartment, which may cause a certain loss of steam. The cycles of filling and emptying the upper compartment will be carried out here by the play of the sprinkling pipe 5 and the discharge pipe 28, with valve 10. The pipes 29, 32, with the ball 31 of decompression, ensure the relationship between the atmospheres of the two chambers 1 and 3. A water inlet pipe is provided at 50 at the top.
Of course, the resistors 8 are controlled by a thermostat to cut off the current if for some reason the temperature increases dangerously, for example, in the event of a malfunction of the valve 10, the container would be left empty of liquid. 3.
As a result, and whatever the embodiment adopted, it is possible to produce a worm machine which, assuming that there is a condenser (case of fig. 1 or of fig. 2), gives takes place in various successive cycles of rising liquid and steam in the upper compartment, then back to the condenser and again to the lower compartment.
The fluid contained in the lower compartment is in fact urged to rise, possibly mixed with steam, towards the upper compartment through the pipe 5 and this under the effect of the vapor pressure.
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may tend to prevail at the top of said reservoir 3. This mixture is thus distributed in the laundry compartment
1 until, in particular by the effect of the siphon drain device 36 (FIG. 2), this fluid is brought down to the condenser 4, via the pipe 35.
The liquid rises in said condenser where the vapor turns into water and, when the static conditions are such that the ball 10 can rise, the liquid returns to the lower tank 3, after which the cycle can start again. The x ball 31 ensures, in all cases, in combination or not with the float
12 and its rod 38, the correct communications between the reservoirs 3 and 4, to ensure the return of the liquid to the lower reservoir.
As goes without saying and as it follows moreover already from the foregoing, the invention is in no way limited to that of its modes of application, nor to the embodiments of its various parts, having been more specifically considered; embraces, on the contrary, all the variants.
CLAIMS.
1 - Machine for treating objects with liquids, in particular a washing machine, characterized in that it is provided with means for passing the mass of objects to be treated through the treatment liquid.