BE480402A - - Google Patents

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BE480402A
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    • E04G23/02Repairing, e.g. filling cracks; Restoring; Altering; Enlarging
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Description


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 EMI1.1 
 t Procédé pour remplir des cavités tr 
La présente invention se rapporte à un procédé pour remplir des cavités et en particulier à un procédé qu.'on peut employer pour réparer ou construire tout ou partie d'ouvrages en/béton, maçonnerie, brique ou autres. L'inven- tion est plus spécialement applicable pour restaurer de façon stable aux intempéries des ouvrages présentant des parties désagrégées qui peuvent se prolonger à une certaine profondeur au-dessous de la surface. 



   Dans la préparation et la réparation de parties désa- grégées d'ouvrages de béton et de maçonnerie telles qu'on les pratiquait antérieurement on faisait sauter au ciseau sa les matériaux dégrégés et l'on remplissait la cavité en envoyant un jet d'un mélange de ciment, de sable et d'eau 

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 sur la surface irrégulière mise à vif.

   Toutefois, ce procédé n'est pas très satisfaisant parce que le retrait des matériaux qu'on place dans la zone de réparation est relativement élevé .La cause de ce retrait considérable peut résider en partie dans le fort pourcentage de particules de ciment et en partie dans le fait que la plupart sinon la totalité des particules solides présentes dans le mélange sont séparées par une pâte de ciment, de sorte que les particules solides sont positivement tirées les unes vers les autres par suite de la dessiccation et du retrait de la pâte de ciment et que l'ensemble de la zone de réparation se contracte . De ce fait, à la suite de la dessiccation, il peut arriver que le remplissage de la cavité se détache du matériau préexistant.

   De plus, comme après enlèvement des vieux matériaux les surfaces de l'ouvrage sont ordinairement irrégulières et extrêmement difficiles à garnir complètement par injection, il s'est révélé qu'il existe réellement des vides entre la zone de réparation et 1'ouvrage préexistant, si bien que la zone de réparation ne tarde pas à présenter des lacunes. 



   En conséquence, l'un des objets de la présente invention est de réaliser un procédé pour réparer les régions désagrégées d'ouvrages, procédé qui permet d'obtenir une liaison très tenace entre la zone réparée et l'ouvrage préexistant sans que des vides subsistent entre eux. 



   Un autre objet consiste à réaliser un procédé de remplissage des cavités, que ce soit en travail de réparation ou en construction neuve, suivant lequel la cavité est remplie d'une quantité appréciable de matière déjà solide. 



   Un autre objet est de réaliser un procédé pour construire ou réparer des parties d'ouvrage de béton ou autre dans lequel le retrait de la zone nouvellement construite est réduit au minimum. 

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   Un autre objet est de réaliser un procédé de rem- plissage des cavités grâce auquel un pourcentage appréciable de l'eau présente dans la composition ayant servi à colmater la cavité est soustraite de la zone de réparation de sorte qu'on obtient un remplissage très solide et dense et qu'il ne se produit qu'un faible retrait dans la zone de réparation. 



   Un autre objet est de réaliser un procédé pour constituer sur des ouvrages de béton, maçonnerie ou autres une surface ayant un aspect décoratif tout en possédant une grande résistance aux intempéries. 



   Un autre objet est de réaliser un procédé pour remplir des cavités à la fois efficace et économique aboutissant à la constitution d'un remplissage solide, dense, sensiblement imperméable et remarquablement résistant aux intempéries. 



   D'autres objets de l'invention seront mis en lumière au cours de la description suivante du procédé telle qu'elle est illustrée par les dessins dans lesquels les pièces analogues sont indiquées dans les diverses vues par les mêmes numéros de référence. 



   La fig. 1 est une coupe verticale d'une partie d'ouvrage désagréable dont on a retiré les parties défectueuses avant d'entreprendre sa réparation suivant l'invention. 



   La fig. 2 est une vue analogue à la fig. 1 montrant la cavité partiellement remplie d'un mélange en vrac maintenu par un coffrage convenable;
La fig. 3 est une uue de face de la partie d'ouvrage représentée à la fig. 2, montrant comment on peut fixer le coffrage sur la cavité;
La fig. 4 est une vue en élévation avec arrachements partiels d'un appareil pour servir suivant l'invention, et elle montre schématiquement à titre d'exemple comment on peut remplir la   caité   en y refoulant un matériau conve- 

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 nable à travers le mélange. 



   La fig. 5 est une coupe analogue à la fig- 4 montrant une cavité qu'on a complètement remplie suivant l'invention et comment on peut employer un raccordement pour :naintenir la pression sur les matériaux remplissant la cavité afin de les maintenir en place et pour en extraire l'eau jusqu'à ce qu'il soit suffisamment ferme pour demeurer en place. 



   La fig. 6 est une coupe verticale d'une partie d'ouvrage neuf en voie de construction suivant la présente in-   vention.   



   Les figs. 7 et 8 sont des vues analogues à la fig. 6 et illustrent certaines phases du procédé de construction. 



   Suivant le procédé dont la présente invention fait l'objet on crée la cavité à remplir en enlevant au ciseau ou d'autre manière les parties désagrégées, défectueuses ou branlantes de la surface d'un ouvrage ancien et délimitant la cavité ainsi formée au moyen d'un coffrage, ou en délimitant au moyen d'éléments de coffrage une cavité à l'emplacement de laquelle il s'agit de construire un ouvrage ou une partie d'ouvrage. Si les circonstances sont telles qu'il est utile ou nécessaire d'enlever tout un pan d'un ouvrage ancien, on peut délimiter la cavité par des parois convenables de coffrage appliquées sur les parties saines de l'ouvrage .

   Pour simplifier on va décrire l'invention de façon détaillée par l'exemple de la réparation d'une partie désagrégée d'un mur de béton dans lequel la cavité à combler est formée par l'enlèvement des matériaux inutilisables etrecouverte par un coffrage. 



   Après qu'on a enlevé les parties mauvaises de l'ancien ouvrage on ferme la cavité à parois désormais saines au moyen d'un coffrage et on la remplit d'un mélange sans consistance. Afin de réduire au minimum les vides qui subsistent entre les particules du mélange et d'augmenter la densité du remplissage de la cavité on peut 

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 damer ou vibrer convenablement ce mélange pendant ou après qu'on l'a coulé, et l'on peut injecter dans la cavité une composition solidifiante sous pression destinée à combler les vides existant entre les éléments du mélange et entre ceux-ci et les parois de la cavité . Lorsque la cavité est délimitée en partie par une portion de l'ancien ouvrage on peut aussi injecter la composition par les vides on interstices qui peuvent subsister dans "l'ouvrage au voisinage de la cavité et qui communiquent avec elle.

   Lorsque la composition s'est solidifiée les constituants du mélange se trouvent liés en un bloc et le contenu de la cavité est lié dans son ensemble avec l'ancien ouvrage. Du fait que la cavité se trouve remplie d'un mélange déjà solide et que ses vides sont réduits à ceux qui existent entre les constituants du mélange, le retrait du contenu de la cavité ne peut se produire que dans la composition solidifiante employée pour remplir ces vides. De ce fait, l'ensemble du contenu de la cavité ne subit pas de retrait appréciable à la suite de la dessiccation de la composition solidifiante. 



   Il est souvent désirable que la pièce aucoffrage qui sert à délimiter la cavité soit de nature poreuse ou absorbante de façon qu'une fois qu'on a refoulé la composition solidifiante dans la cavité on puisse d'une manière convenable quelconque en retirer une partie de l'eau à travers le coffrage. Lorsque la composition comprend du ciment hydraulique on peut ainsi diminuer sensiblement le rapport entre l'eau et le ciment dans toute l'étendue de la zone de réparation, ce qui se traduira par une augmentation considérable de la résistance de la composition après prise. De plus, la diminution du rapport entre l'eau et le ciment à la surface du contenu de la cavité voisine du coffrage peut être relativement grande, de sorte qu'on 

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 obtient une surface extrêmement dure et éminemment résistante aux intempéries et au craquèlement. 



   Considérant plus particulièrement les dessins, dans un ouvrage de béton 1 dont on voit la surface en 2 et dans lequel on a formé une cavité 3 en enlevant des matériaux de mauvaise qualité ou désagrégés on perce des trous 4 convenablement disposés pour le scellement de boulons de retenue 5 dont la résistance et l'espacement sont calculés de manière à assurer la retenue d'un coffrage indiqué dans son ensemble en 6 contre la face ou surface 2 de l'ouvrage de béton 1 de manière à boucher la cavité 3 et à former avec elle une chambre C.

   Comme on le voit sur les dessins, le coffrage 6 comprend des éléments 7, 8, 9 , 10 et 11 qui peuvent être des planches d'une longueur et d'une largeur convenables pour recouvrir complètement la cavité 3 et des traverses de serrage 12 percées de trous 12 pour le passage des boulons 5 et destinées à retenir les planches 7, 8, 9, 10 et 11 rigidement contre la surface de l'ouvrage voisine de la cavité 3. Les boulons ou tirants 5 peuvent être du type à coin expanseux qu'on peut engager dans les trous 4 et y dilater de manière à les y retenir par frottement, ou bien ils peuvent être d'un autre type convenable quelconque .

   Au besoin, on peut   nrévoir   un joint étanche autour de la périphérie du coffrage entre ce dernier et   l'ouvrage .  Un tel joint peut comprendre une masse de sable fin maintenue serrée' entre le coffrage et l'ouvrage préexistant . 



   Pour la réparation d'une paroi verticale d'un ouvrage on peut supprimer la planche ou autre élément supérieur 11 du coffrage jusqu'au moment où la majeure partie de la cavité C soit   oléine   de mélange en vrac. Au cas où l'on supprime cet élément 11 ainsi qu'on le voit sur la fig. 2 on peut couler le mélange   14   dans la cavité en quantité suffisante pour qu'elle en soit à peu près 

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 remplie , et ce qu'il reste de vide peut être comblé à mesure qu'on introduit l'élément supérieur sous les organes de retenue 12. 



   Lorsqu'on travaille "en plafond" le coffrage 6 peut couvrir complètement la cavité et l'on peut remplir cellece en y projetant le mélange au moyen d'un violent jet d'air comprimé ou par tout autre procédé convenable. 



   Les éléments du coffrage peuvent être faits d'un matériau poreux, mais eu égard à la fragilité de ceux dont on dispose ces éléments seront le plus souvent faits de bois et recouverts d'un matériau poreux convenable . Comme on peut le voir d'après la fig. 2 la surface intérieure des éléments de coffrage tournée vers la cavité est recouverte de feuilles de matières poreuse et absorbante convenable 13, par exemple faite d'une matière fibreuse comprimée, de caoutchouc mousse, etc. 



   De préférence, le mélange qu'on aura introduit dans la cavité sera tassé ou vibré de façon convenable à l'effet de réduire au minimum les vides entre les particules du mélange . La fig. 2 montre en A un appareil vibreur ou tasseur convenable appliqué contre l'extérieur des éléments du couffrage de manière à faire subir des chocs au mélange et ainsi à le tasser. 



   Après que la cavité C telle qu'elle est représentée aux figs. 2 et 3 a été remplie de mélange en vrac et tassée ou vibrée, elle est prête pour l'introduction d'une composition solidifiante convenable . A cet effet, on peut munir l'un des éléments, par exemple l'élément 9, d'un passage 15 aboutissant dans la cavité et pourvu de raccords convenables pour établir la communication avec un appareil capable d'infuser la composition dans la cavité. 



   Ce passage 15 peut communiquer avec l'alésage d'un embout 16 fileté en vue de son raccordement avec une source 

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 j'alimentation et pourvu d'une bride 17 grâce à laquelle on peut fixer rigidement l'embout 16 à l'élément 9 qui recouvre la surface de la cavité. Cela permet d'établir une communication entre l'embout 16 et un appareil convenable destiné à refouler une composition solidifiante entre les éléments du mélange ainsi qu'entre ce dernier et les parois massives de la cavité avec lesquelles il est en contact. Au lieu de traverser le coffrage le passage par lequel la composition solidifiante est introduite peut être pratiqué obliquement à travers une partie de l'ouvrage préexistant. 



   La fig. 4 montre un appareil pour le refoulement d'une composition convenable dans la cavité. 



   On peut mélanger la composition et la tenir en réserve dans un récipient convenable 18 pourvu d'une vanne 19 commandant le passage de la matière entre le réservoir et le cylindre 19 d'une pompe convenable à déplacement positif. Le piston 21 refoule la matière du cylindre 20 par un clapet de refoulement 22 dans un conduit rigide ou souple 23 auquel on peut raccorder l'embout 16. Au besoin, les clapets 19 et 22 peuvent être commandés automatiquement pour que l'afflux de matière du réservoir dans le cylindre 20 et de celui-ci dans la conduite 23 puisse s'effectuer aux instants convenables.

   De cette façon, afin de refouler de la matière dans la cavité 3, il suffit de remplir le réservoir 18 de composition et de mettre la pompe en marche, grâce à quoi il se produit un refoulement de matière par la conduite 23, l'embout 16 et le passage 15 dans la cavité, ce qui comble les vides subsistant entre les divers éléments du mélange . Ensuite, lorsque la cavité a été remplie de composition solidifiante, on peut enlever une partie appréciable de l'eau présente dans la composition. 



   Par exemple, on peut maintenir la pression de fluide 

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 agissant sur la composition en reliant une conduite d'air ou de gaz comprimé à l'embout 16. Pour faciliter cette liaison un robinet 24 est relié à l'embout 16 au moyen d'un raccord 25 convenable . Le robinet 24 est à son tour relié à un second robinet 26 par un raccord 27 convenable, le robinet 26 étant fixé à la conduite 23 d'amenée de la composition. Lorsqu'on désire passer de la conduite 23 à une conduite 28 par où arrive l'air ou le gaz comprimé on peut fermer les robinets 24 et 26 pour empêcher la composition solidifiante de s'échapper et, après avoir dévissé le raccord 27, on peut retirer le robinet 26 et la conduite 23 et relier la conduite 28 au robinet 24 au moyen du raccord 27 (voir fig. 5);.

   On peut ensuite ouvrir le robinet 24 pour faire communiquer la pression de fluide régnant dans la conduite   2$ 'avec   la composition solidifiante présente dans la cavité et chasser 1'eau contenue dans cette composition à travers la matière poreuse 13. 



   Une autre façon de diminuer la teneur en eau de la composition consiste à secouer ou vibrer celle-ci après sa mise en place dans la cavité. On peut y parvenir en appliquant un appareil vibreur contre le coffrage de manière que les secousses ou vibrations se communiquent à la composition et que l'eau y/coptenue s'écoule à travers le coffrage poreux. Au besoin, on peut effectuer cette opération en complément du maintien de la pression de fluide sur la composition solidifiante. On peut envisager d'appliquer le traitement vibratoire pendant le refoulement de la composition solidifiante dans la cavité.

   C'est un procédé avantageux parce que la diminution de la teneur en eau est plus rapide, la composition solidifiante pénètre mieux dans les menus vides existant dans les éléments du mélange et entre ceux-ci et l'ouvrage préexistant et les vibrations tendent à consolider la composition pendant qu'on diminue la teneur en eau . 

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   On peut aussi effectuer cette diminution en appliquant par des moyens convenables un vide à l'extérieur du coffrage poreux. Ce procédé est analogue à celui qui consiste, ainsi qu'il a été dit , à maintenir la pression du fluide sur la composition car on engendre ainsi antre la pression à l'intérieur de cette composition et la pression atmosphérique à l'extérieur du coffrage une différence qui produit l'écoulement de l'eau à travers ce dernier. 



   Assurément, il n'est pas nécessaire que l'eau présente dans la composition solidifiante soit éliminée. Lorsque la cavité est délimitée en partie par un ouvrage de béton une partie de cette eau peut passer à travers les pores de ce béton et l'on aboutit au même résultat. En d'autres cas, une composition possédant une résistance suffisante sans élimination d'eau est à conseiller. 



   Dans la mise en oeuvre de la présente invention on peut employer des mélanges très divers et leur choix dépend des caractéristiques de la cavité et du type d'ouvrage qu'on bâtit ou sépare , sans perdre de vue que les risques de retrait de l'ensemble du remplissage diminue lorsque l'espace vide total entre les éléments du mélange est minimum. Pour réparer des parties désagrégées d'ouvrages de béton ainsi que le montre le dessin il y a généralement intérêt à ce que les éléments du mélange soient de faibles dimensions, et des exemples de matériaux convenables sont la pierre concassée, le gravier, etc. Sans/être restrictives les indications ci-après seront un guide dans le choix d'un mélange .

   Pour du travail courant la grosseur minimum est celle d'un matériau traversant un crible à mailles de 6 mm. et la grosseur maximum correspond au quart de la profondeur de la cavité. Si la cavité à boucher est relativement grande et profonde la grosseur minimum du matériau sera de 12 mm . Un mélange à base de gravier classé est la forme de choix pour l'obtention d'un espace vide total 

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 très têduit. 



   On peut employer n'importe quelle composition solidifian te ne risquant pas d'obstruer les tuyaux et susceptible de remplir les interstices entre les éléments du mélange et les parois de la cavité. Un matériau particulièrement recommandable est indiqué au brevet américain déposé sous le n    280.141   du 20 juin 1939. Il peut comprendre du ciment de Portland, de l'eau, une charge contenant en suspension un peu de silice acidique colloidale et une substance oléa- gineuse choisie dans le groupe composé des acides, esters et sels gras, comme le stéarete d'ammonium, etc. On mélange ces ingrédients en proportions convenables pour former une bouillie, la silice acidique colloidale intervenant pour retarder la gélification du ciment et la substance oléagi- neuse comme plastifiant et lubrifiant.

   Par exemple, on a obtenu d'excellents résultats avec un mélange contenant 1 partie de ciment de Portland, et 1,5 partie de laitier de haut-fourneau éteint à l'eau, granulé et broyé assez fine- ment pour qu'il traverse un tamis de 40 mailles au centimètre et une surface d'au moins environ 2200 cm2 au gramme . A ce mélange on ajoute 55 à 68 litres d'eau par sac de ciment et une quantité suffisante d'une émulsion contenant un alcalin sel xxxxx de l'acide stéarique pour qu'il y ait 500 à 700 grs. de stéarate par sac de ciment. On a obtenu de bons résultats en employant en parties égales du ciment de Portland et de cendres volantes à faible teneur en carbone dont la finesse, exprimée par la surface rapportée au poids, variait de 2500 à 3500 cm2 par gramme ou même plus. 



   Dans l'exemple précédent on peut avantageusement rem- placer la scorie de haut-fourneau par un matériau siliceux   chimiquement)actif   quelconque de nature volcanique ou diato- macée, comme les cendres volcaniques, le tuff, la,terre d'infusoires et le schiste ou d'autres matériaux possédant 

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 les mêmes propriétés. On peut ajouter ces matières soit au clinker et les broyer en même temps que le ciment soit les ajouter au ciment sous forme finement pulvérisée. 



   Bien qu'on puisse employer   n'importe   quel ciment Portland du commerce, on a trouvé qu'on a obtenu les meilleurs résultats avec un ciment plutôt pauvre en aluminate tricalqique et dont la surface est au moins de 1600 à 1800 cm2 au gramme, ses particules traversant un tamis de 40 mailles au centimètre et sa teneur en particules ayant un diamètre moyen inférieur à 5 microns étant relativement faible. 



   Il va sans dire que la quantité d'eau à employer variera beaucoup suivant la dimension des vides existant entre le mélange et les vides existant dans l'ouvrage préexistant qui délimite la cavité. Il y a intérêt à employer aussi peu d'eau que possible pour obtenir une consistance permettant à la composition de couler facilement et de remplir les vides et interstices de la cavité. 



   Dans certains cas il s'est révélé éminemment utile d'employer dans la composition solidifiante du sable fin en outre des constituants énumérés ci-dessus.   L'emploi   de sable dans la composition solidifiantedonne un mortier moins riche en ciment et de ce fait moins enclin à se retirer. De même, comme il adéjà été dit, les éléments de contact du mélange'présent dans le coffrage tendent à diminuer le retrait, de sorte que les ouvrages construits par le procédé décrit ici ont un retrait relativement faible. 



   On envisage également d'appliquer la présente invention à la construction d'ouvrages neufs tels que murs, barrages, piles de pont, édifices, cavités ou réservoirs, etc. Pour la construction de parois armées relativement minces et d'autres ouvrages dont la configuration ou la position rendent difficile la mise en place du béton la présente   in-   vention peut permettre une construction mieux réussie,et cela à des emplacements où elle n'était pas possible jusqu'à 

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 ce jour. 



   Les figs. 6 à 8 montrent comment ce procédé de construction peut être mis en oeuvre pour la confection d'un ouvrage tel qu'un mur . On délimite une cavité C au moyen de parois de coffrage convenables 30 qu'on a représentées comme étant faites de bois et revêtues d'une matière poreuse absorbante appropriée 13. Ces parois sont placées dans une position convenable et couronnées d'un coffrage de faîte 31 dans lequel sont ménagées une ou plusieurs ouvertures 32. Les parois 30 sont maintenues en position convenable par des supports   3   entretoisés par des tirants 34. Alors que la cavité est vide on peut introduire par les ouvertures 32 du coffrage de faite 31 des buses 35 qui sont reliées à des conduites 36 et qui descendent jusqu'au voisinage du bas de la cavité.

   On peut introduire le mélange d'une manière convenable quelconque, soit en le refoulant par les buses 35 soit en le déversant par des ouvertures pratiquées dans le coffrage de faîte 31. Après qu'on a rempli la cavité de mélange on peut le vibrer par des moyens convenables indiqués en A afin de le tasser et de réduiru au minimum l'ensemble des vides qui subsistent dans la cavité (voir la fig. 6), vides qui seront comblés par de la composition solidifiante. 



   On peut ensuite refouler la composition solidifiante dans la cavité entre les éléments du mélange par les buses 35. A mesure que la composition solidifiante remplit la cavité on peut retirer les buses, en veillant à ce que le niveau de la composition soit au-dessus de l'orifice des buses (voir fig. 7) . On peut introduire la composition solidifiante dans la cavité ainsi qu'on l'a représenté à la fig.6. 



  Dans les parois de coffrage 30 on peut prévoir un certain nombre d'embouts ou raccords 37 quton peut raccorder à des sources 'convenables (non figurées). On peut relier la source de composition solidifiante d'abord au raccord situé le plus bas, et à mesure que le niveau de composition solidifiante 

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 s'élève dans la cavité C on peut saccorder la source suc- cessivement avec les raccords situés plus haut. En commen- çant par le bas l'introduction de composition solidifiante et opérant de bas en haut ou du dedans vers le dehors on supprime la possibilité d'entraînement d'air. Après que la cavité a été remplie et qu'on a retiré les buses si l'on en a employé on peut diminuer la teneur en eau de la composition ainsi qu'il a été dit.

   La fig. 8 montre la cavité ux après que la composition solidifiante a été refoulée dans les vides et alors qu'on le sert de l'appareil vibratoire A pour diminuer la teneur en eau de la composition. 



   Une fois achevé un mur construit suivant la présente invention est un bloc solide et dense sensiblement sans vides ou porosités à l'intérieur. Le retrait à la prise est très faible et l'on peut donner à l'ouvrage une résistance comparable ou même supérieure à celle des ouvrages construits par les procédés connus. On peut aussi envisager de constituer les parois du coffrage par une série de dalles de béton fabriquées et jointées . De cette manière, lorsque l'ouvrage est terminé, on peut les laisser en place et elles sont solidement reliées à la masse par la composition solidifiante. 



   Une autre application du procédé décrit ci-dessus est la construction de brise-lames, jetées, fondations de quai, etc., dans lesquels une partie de l'ouvrage peut être immergée . Pour l'application du proeédé el la construction de tels ouvrages on peut monter les coffrages dans leur position convenable et remplir la cavité d'un mélange approprié . On peut ensuite refouler la composition solidifiante dans les vides du mélange au moyen de buses ou conduites disposées dans le mélange et descendant jusqu'au voisinage de la base de l'ouvrage. A mesure que la composi- tion   solidif iante   monte et déplace l'eau qui peut se trouver dans la cavité on peut remonter les conduites par les-   @   

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 quelles arrive la composition. 



   On peut aussi appliquer la présente invention à la production, de surfaces décoratives sur des ouvrages de béton et autres. Dans cette variante du procédé les coffrages employés auront de préférence une surface élastique située au voisinage de la cavité et l'on pourra introduire dans celle-ci une quantité de mélange suffisante pour déprimer la surface élastique du coffrage . Lorsqu'on introduit la composition solidifiante dans les vides du mélange pré- sent dans la cavité elle remplit sensiblement tous les vi- des et espaces entre le mélange et les parois du coffrage sauf là où le mélange a repoussé la surface du coffrage. 



   Après que la composition s'est solidifiée et qu'on a reti- ré le coffrage on peut laisser le mélange voisin de la sur- face de l'ouvrage saillir légèrement, mais il est solide- ment noyé dans la surface et il procure une apparence plai- sante et décorative. En variant le mélange employé et ajoutant des pigments convenables à la composition solidifiante on peut colorer à sa guise la surface . Evidemment, dans cette application de l'invention, les parois de coffrage employés peuvent être poreuses ou absorbantes en même temps que présenter une surface élastique au voisinage de la cavité de manière qu'après que la composition solidifiante a été refoulée dans la cavité on puisse en diminuer la teneur en eau ainsi qu'il a été dit . Un revêtement de coffrage convenable pour ce genre de travail est un caoutchouc mousse de qualité assez ferme. 



   On peut construire des habitations, bâtiments, murs décoratifs, etc., en fabriquant des dalles de béton relativement minces du type précité dans lesquelles le mélange fait quelque peu saillie à la surface et amployant ensuite ces dalles comme coffrages pour monter les murs de l'ouvrage conformément au procédé précédemment décrit. Les 

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 dalles constituent une surface décorative mais sont en même temps solidement liées à l'ouvrage. 



   L'intérêt du présent procédé réside en ce que les remplissages ainsi effectués sont compacts, robustes, durables et très résistants aux intempéries. Ils ne subis- sent qu'un faible retrait grâce à l'emploi d'un mélange en vrac dont les éléments sont très serrés, leur compacité pouvant être encore augmentée par un traitement vibratoire. 



   Quant à la composition solidifiante elle a d'excellentes propriétés de fluidité, pénétrant à travers les moindres passages et interstices sans que ces constituants se sépa- rent , son retrait est faible et lors même qu'on n'en diminue pas la teneur en eau ainsi qu'il a été dit la solidi- té du remplissage peut dépasser celle des bétons actuellement en usage. 



   Lorsque la cavité à remplir est délimitée en partie par des portions d'un ouvrage préexistant le remplissage est solidement lié à l'ouvrage ancien du fait que la composition solidifiante peut être refoulée dans les vides et interstices de ces ouvrages qui avoisinent la cavité ou communiquent avec elle, et la composition ae solidifie et adhère fortement à l'ouvrage ancien.   fin   a constaté que cette composition solidifiante refoulée dans la cavité pénètre relativement loin dans les interstices de l'ouvrage qui communiquent avec la cavité. 



   Il doit être entendu que la forme particulière de l'invention telle qu'elle a été décrite et représentée, ainsi que la technique particulière exposée, n'ont été données qu'à titre d'explication et d'illustration, et qu'elles sont susceptibles de modificationc qui n'en demeurent pas moins dans l'esprit de l'invention. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS 1. Procédé pour restaurer des ouvrages présentant des parties désagrégées en communication avec la surface de l'ouvrage, dans lequel procédé on retire du matériau de l'ou- <Desc/Clms Page number 17> vrage pour former une cavité à parois continues dans la surface de l'ouvrage, on place un coffrage sur la cavité, on remplit sensiblement la cavité ainsi formée d'un mélange ou agrégat en vrac et on y injecte une matière de réparation fluide et durcissante, de manière à remplir les vides existant entre les morceaux du mélange ou agrégat et les vides de l'ouvrage existant au voisinage de la cavité ou communiquant avec celle-ci.
    2. Procédé pour restaurer la surface d'ouvrages en béton et analogues, dans lequel procédé on retire du matériau de l'ouvrage, on définit une cavité à la surface de l'ouvrage par l'emploi d'éléments de coffrage, on remplit sensihlement la cavité à l'aide d'un mélange ou agrégat en vrac et on injecte une composition fluide contenant du ciment Portlant, une charge comprenant de la silice acide colloidale et un agent lubrifiant, dans la cavité et à travers le mélange ou agrégat y contenu.
    3. Procédé pour restaurer les surfaces d'ouvrages en-béton et analogues, dans lequel procédé, on retire les parties endommagées de l'ouvrage de manière à former une cavité à parois continues dans la surface de l'ouvrage, on recouvre la cavité d'un coffrage, on remplit sensiblement la cavité ainsi formée à l'aide d'un mélange ou agrégat en vrac et on injecte une composition fluide, comprenant du ciment Portland, du laitier de haut-fourneau finement divisé et un dérivé d'acide gras, dans la cavité et à travers l'agrégat.
    4. Procédé pour remplir des cavités dont une paroi au moins est définie par un coffrage à propriétés poreuses, dans lequel procédé on remplit sensiblement la cavité à l'aide d'un mélange ou agrégat en vrac, on injecte une composition fluide ayant la propriété de se solidifier et contenant un ciment hydraulique et de l'eau dans la cavité et à travers l'agrégat et on fait vibrer la composi- <Desc/Clms Page number 18> tion contenue dans la cavité de manière à refouler l'eau dans le coffrage poreux et à réduire ainsi la teneur en eau de la composition.
    5. Procédé pour remplir des cavités dont une paroi au moins est définie par un coffrage à propriétés poreuses, dans lequel procédé on remplit sensiblement la cavité à l'aide d'un mélange ou agrégat en vrac, on injecte une composition fluide ayant la propriété de se solidifier et contenant un ciment hydraulique et de l'eau dans la cavité et on établit une différence entre la pression régnant à l'intérieur de la composition qui remplit la cavité et la pression régnant à l'extérieur du coffrage, de afin de refouler de l'eau dans le coffrage et/diminuer ainsi la teneur en eau de la composition.
    6. Procédé pour former des surfaces murales décorati- ves, dans lequel on définit la surface par un élément à surface élastiquement déformable, on place suffisamment d'agrégat en vrac contre l'élément précité pour amener l'agrégat à déformer par pression certaines parties de la surface élastiquement déformable, on injecte une composi- tion à base de ciment fluide et susceptible de se solidi- fier à travers l'agrégat et on éloigne l'élément précité, en sorte que les parties de l'agrégat qui déformaient la surface déformable font saillie sur cette surface et présentent une apparence décorative.
    7. Procédé pour remplir des cavités existant dans la surface d'ouvrages en béton et analogues, dans lequel procédé on recouvre la cavité d'un coffrage à propriétés absorbantes et poreuses, on remplit sensiblement la cavité d'un agrégat on mélange en vrac, on rend l'agrégat com- pact en le soumettant à une multiplicité de chocs et on injecte une composition fluide et susceptible de se soli- difier à travers l'agrégat jusqu'aux parois de la cavité. <Desc/Clms Page number 19>
    8. Procédé pour remplir des cavités dont une paroi au moins est définie par un coffrage dont une surfa- ce dirigée vers la cavité est susceptible d'absorber de l'eau, dans lequel procédé on remplit sensiblement la cavité au moyen d'un mélange ou agrégat en vrac, on rend l'agrégat compact en lui communiquant une multiplicité de chocs, on injecte une composition fluide et susceptible de se solidifier dans tous les vides de l'agrégat et on établit une différence entre la pression régnant à l'intérieur de la composition qui remplit la cavité et la pres- sion régnant à l'extérieur du coffrage, afin de refouler de l'eau dans la surfape absorbante du coffrage et de diminuer ainsi la teneur en eau de la gomposition.
    9. Procédé de construction,dans lequel on définit une cavité au moins partiellemént par des éléments ayant une surface décorative à l'extérieur de la cavité, on remplit la cavité au moyen d'un mélange ou agrégat en vrac, on injecte une composition fluide et susceptible de se solidifier dans la cavité de façon à former une seule masse compacte à l'aide de l'agrégat et à solidari- ser les parois de la cavité avec l'agrégat.
    10. Procédé de construction, dans lequel on entoure un espace de coffrages appropriés pour recevoir du béton, on remplit l'espace délimité par les coffrages à l'aide d'agrégat et on place un tuyau aboutissant dans l'agrégat lui-même, on injecte une composition à fluidité relativement élevée, contenant du ciment Portland, une charge et un lubrifiant à travers le tuyau susdit et on poursuit l'injection jusqu'à ce que la composition remplisse sensiblement les vides existant dans l'agrégat, en sorte qu'il se forme un béton possédant un faible degré de contraction à la prise.
    11. Procédé de construction,dans lequel on entoure un <Desc/Clms Page number 20> espace de coffrages,permettant de remplir cet espace de béton, on remplit cet espace d'un mélange ou agrégat, on injecte dans les parties les plus éloignées de cet espace une composition à fluidité relativement élevée, contenant un ciment hydraulique, une charge et un lubrifiant, et on oontinue l'addition sous pression de la composition précitée jusqu'à ce qu'elle remplisse sensiblement les vides existant dans l'agrégat , en sorte qu'il se forme un béton possédant un faible degré de contraction à la pri- se.
    12. Procédé de construction, dans lequel on définit un espace à l'aide d'éléments de coffrage permettant de rem- plir cet espace de béton, on remplit sensiblement cet espace à l'aide d'un mélange ou agrégat, on injecte dans les parties les plus éloignées de cet espace une matière à base d'un ciment hydraulique capable de durcir jusqu'à obtenir une résistance élevée et possédant une fluidité suffisante pour pénétrer dans les vides de l'agrégat et on continue l'addition sous pression de la matière à base de ciment jusqu'à ce qu'elle remplisse sensiblement les vides existant dans l'agrégat , ei sorte qudil se forme un béton possédant un faible degré de contraction à la prise.
    13. Procédé de construction.dans lequel on entoure un espace de coffrages permettant de remplir cet espace de bé- ton, on remplit cet espace d'un mélange ou agrégat, on injecte dans les parties les plus éloignées de cet espace une composition à fluidité relativement élevée contenant du ciment Portland, une charge contenant de la silice colloï- dale et une matière oléagineuse pour accroître la fluidité de la-composition et on continue l'addition sous pression ,de la composition précitée jusqu'à ce qu'elle remplisse sensi 'blement les vides existant dans l'agrégat, en sorte qu'il '.se forme-un" béton possédant un faible degré de contraction & là 'prise.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
ITPI20080064A1 (it) * 2008-07-16 2010-01-17 Serra Srl Dispositivo per il risanamento e trattamento di pareti

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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ITPI20080064A1 (it) * 2008-07-16 2010-01-17 Serra Srl Dispositivo per il risanamento e trattamento di pareti

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