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" Perfectionnements apportas aux appareils électriques émettent des signaux d'alarme. "
L'invention est relative à dès appareils électri- ques émettant des signaux d'alarme, et elle a pour but, sur- tout, de rendre ces dispositifs tels qu'ils soient extrême- ment efficaces et qy'on puisse se servir, .dans certains ces, pour leur fonctionnement des fils téléphoniques ou analogues, qui existent.
D'une manière générale l'invention consiste, prin- cipalement, à faire comporter, aux appareils signalisateurs ou émetteurs du genre en question, un circuit local qui est prêt à être excité par le fonctionnement automatique ou au- tre par des moyens de commande appropriés. Ces moyens de commande peuvent être mécaniques ou actionnés par la che- leur, la lumière, les vibrations ou autres facteurs variab- les ou toute combinaison voulue de ces moyens. Par exemple le circuit peut être excité par l'interruption d'un faisceau de lumière visible ou invisible.
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Ce circuit local peut commander des moyens propres à transmettre un signal ou un message à un point écarté, par exemple à un poste de police, de pompiers ou autre etla transmission se faisant de préférence {suivant les agence- ments particuliers),après qu'une liaison par téléphone ou analogue a été établie, sous forme d'un message chre istré qui peut être répété jusqu'à ce que l'attention a été atti- rée, ou autrement.
Il est évident que plusieurs agencements divers peuvent être réalisés conformément à l'invention et que les
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signaux peuvent non seulement être des alarmes 11.8is ,g81s,o Clt d'autres signaux, annonces, salutations ou autres d'une na- ture prédéterminée ou enregistrée.
Le dessin ci-annexé montre, à titre d'exemple et sous forme d'un schéma, un mode de réalisation simple con- venant à la mise en oeuvre de l'invention.
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On a désigné par 1 un'' source lumiheuse 1 'e,Ú 41,.:#ne un faisceau 2 avec ou sans filtre pour des rayons infra-
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rouges ou autres. Ce filtre ccopsre avec une cellule di- électrique 3 eonven-blement disposée de manière sU,c, lors- qu'elle fonctionne, on obtienne 18 tr:;'1.::':;uiSEion d'un :.1±:;l1J1 par la ligne 4 quand le faisceau 3 est inte :wc,.l.¯ . =,.8 li'je 4 est reliée à un amplificateur 5 pour les signaux prove- nant de la cellule photo-électrique. L'a(j,lif:Lc8tG'::' 5, à son tour, est relié par la lif.Ds 6 a un appareil 7 pour li mise en circuit d'un relojs ou d'un émetteur de ba ticn.;vtsA Cet appareil est agencé de toute manière JP1)ro1,r i. (c oueiccn- con
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que po..r /lenir à l'usage 8nvisE!G'.
Par exemple on peut relier cet apparcil directe- ment à une ligne (téléphonique ou autre) par laquelle un signal correspondant au numéro d'un cadran "999" est trans- mis automatiquement et continûment jusqu'à ce que ce signal est interrompu pour être prêt à fonctionner à nouveau.
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Pour l'exemple montré, l'appareil est relié par une ligne 8 à un phonographe 9 muni d'un mécanisme moteur approprié pour entraîner l'organe d'enregistrement dans un ou dans les deux sens et qui peut entrer en jeu dès qu'il reçoit une impulsion par la ligne 8 ou après un lapse de temps voulu'. L'organe d'enregistrement peut être d'un type approprié mais il est constitué, de préférence, par un fil ou une bande magnétique qui, dans certains cas, peut être sans fin de sorte que l'enregistrement est répété jusqu'à ce que l'appareil reproducteur des sohs est mis hors oircuit.
Pour l'exemple montré, cet appareil comprend un organe mi- crophonique 10 dans lequel passe le fil ou la bande 11 pas- sant depuis la bobine 12 vers la bobine 13. Par conséquent, quand l'appareil reproducteur des sons entre en aotion, le fil ou la bande est déroulé de la bobine 12 et enroulé sur la bobine 13 et l'enregistrement est reproduit par l'organe 10. Quand on arrive à la fin de l'enregistrement les moyens moteurs sont tels qu'ils entrainent automatiquement le fil ou la bande en sens inverse après quoi le message peut être répété autant que nécessaire ou il peut être interrompu à ce moment, après la transmission de l'alarme, du signal, de l'annonce, de salutations ou autres.
Si nécessaire, la reproducteur des sons n'entre pas on jeu qu'après que le signal de l'appareil 7 a été reçu au poste récepteur, cette réception étant automatiquement signalée, en retour, à l'appareil 7 pour le mettre hors d' action et pour faire fonctionner l'appareil reproducteur des sons 9.
Cet appareil 9 est relié, de préférence, par une ligne 14 à un amplificateur de fréquences audibles 15 con- neoté, à son tour, à la ligne principale 16.
Cette ligne 16 peut, comme déjà dit, être une ligne téléphonique ou autres Par exemple, cette ligne peut aboutir à un ou plusieurs appareils reproducteurs qui peuvent être du type à haut-parleur.
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On se rend compte que le faisceau de lumière 2 et la cellule photo-électrique constituent les moyens de commande primaires pour la mise en action du circuitlocal quand le faisceau est interrompu. Toutefois, il est noter que toute autre commande, automatique ou non., peut être uti- lisée, Pour l'exemple montra et si on s'en sert comme sig- nal contre le cambriolage, le faisceau doit être invisible et être orienté de manière qu'il soit interrompu par le pas- sage d'une personne non-autorisée, telle qu'un cambrioleur.
De cette manière le circuit primaire est excite pour trans- mettre le signal "999" vers la ligne téléphonique et, au besoin, également pour déclencher la reproduction d'un mes- sage enregistré, convenablement libellé .
L'ensemble du mécanisme de commande et les organes
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émetteurs de l'alarme, ccns.titu±sscloP l'invention, pe ,.s-er : être logés dans une ou plusieurs boîtes disposées en des endroits appropriés et reliés ou connectés à tout circuit usuel, par exemple un circuit téléphonique.
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