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"COMMANDE A DISTANCE D'UN PHONOGRAPHE A MOTEUR ELECTRIQUE"
Dans certaines applications, il est désirable de pouvoir interrompre et reprendre instantanément des émissions phono- graphiques (surtout de longue durée), produites soit au moyen de phonographes ordinaires à aiguille (mécaniques ou électri- ques) avec ou sans amplification thermoionique, soit au moyen de phonographes à films sonores ou parlants, entraînés comme ceux des cinémas entre l'image d'un filament et la fente d'une cellule photoélectrique, dont le courant est utilisé pour la production du son suivant la façon connue.
Une commande à distance et brusque de l'émission du son est particulièrement utile pour la présentation phonographique de conférences enre- gistrées, interrompues par des projections pour l'enseigne- ment, pour l'accompagnement de musique chantée par des voix
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humaines (leçons de chant, chants dans les églises), pour la présentation d'exemples de prononciation dans les leçons de langues étrangères, etc..
D'après l'invention, on provo-que l'interruption brusque, (puis la reprise) de l'émission phonographique, par un organe de freinage qui bloque l'organe enregistré, après avoir fait couper d'abord (ou court-circuiter) l'un des circuits qui concourent à la production des sons, afin d'éviter que l'au- diteur perçoive un changement de tonalité dû au ralentisse- ment du moteur. A la reprise, les opérations se succèdent dans l'ordre inverse, On entraîne par frottement l'organe enregistré (disque, cylindre, film, etc..) au moyen d'un plateau plus lourd, formant volant à axe vertical ou horizontal, mu par un moteur électrique ou mécanique.
L'interrupteur correspondant peut être solidarisé avec l'organe qui bloque le disque au la bande enregistrée et être intercalé dans le circuit du pick-up ou d'une des lampes de l'amplificateur à lampes. L'action de cet interrupteur peut être retardée par un amortisseur à air (dash-pot) ou autre, ou par une minuterie, qui retarde d'un temps plus ou moins court, et réglable à volonté, la fermeture du courant qui produit le son, ou par tout autre retardateur approprié.
Enfin, une variante est prévue dans laquelle, au lieu de couper le circuit d'un pick-up, on soulève l'aiguille.
Les dessins annexés à la présente description représen- tent, sous une forme schématique, des exemples non limitatifs de réalisation des commandes à distance de l'émission sonore.
Dans ces dessins :
La fig. 1 représente une application à un phonographe électrique , aiguille, à disques.
La Fig. 1 bis est une variante de détail de Fig. 1.
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La Fig. 2 montre une autre variante de détail.
La Fig. 3 montre l'application à un électro-phonographe à film, ou bande, à reproduction photoélectrique.
La Fig. 3bis est une variante de détail de Fig. 3.
La Fig. 4 montre différentes variantes des dispositifs de bloquage appliqués à un phonographe électrique à disques.
La Fig. 5 explique un exemple de minuterie retardatrice.
La Fig. 6 explique un exemple de télérupteur commutateur.
Les Figs. 7 et 8 montrent un dispositif de souleveur de l'aiguille pour phonographe quelconque à aiguille.
La signification des lettres principales et des chiffres des figures est donnée dans l'explication de la Fig. 1, la- quelle Figure représente une coupe verticale axiale d'un phono- graphe électrique à disques. Dans cette Fig., M désigne le moteur ; R, un réducteur de vitesse; V, un plateau horizontal circulaire servant de volant; P, un autre plateau mince et léger reposant sur le plateau V, garni d'un fonds en velours ou caoutchouc, feutre, etc.., et muni d'un rebord rugueux, dentelé ou caoutchouté facile à freiner par un frotteur laté- ral.
D est le disque qu'on pose sur le plateau P; L est un levier à axe horizontal (ou éventuellement à axe vertical); E1,un électro-aimant quelconque de commande, par exemple un solénoïde à plongeur p, dont le circuit est commandé à dis- tance par un interrrupteur I; T1 T2 sont des tranformateurs statiques alimentés par un secteur de distribution et qui fournissent le courant aux électro-aimants si la tension du secteur est trop élevée pour eux.
. Quand l'électro-aimant E 1 n'est pas excité, le noyau p rappelé vers le bas par son poids, ou par un ressort, ferme par un contact I le circuit de la bobine du pick-up ou d'une des bobines de l'amplificateur U ou du haut-parleur. Les mouve-
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ments du plongeur sont convenablement retardés par un dash-pot ou pompe à air ou à liquide, formé d'un piston 1, d'un cylindre 2 et d'une soupape 3, convenablement disposée.
A la gauche de la Fig. 1, on a représenté une variante dans laquelle L'est un levier qui, sous l'action du poids du noyau p', bloque normalement le plateau P; l' électro-aimant E'1, commandé à distance, sert à débloquer ce plateau et ferme par le levier L' le contact I', quiremplace le contact I précédemment indiqué.
Des cliquets d'arrêt d'un type connu peuvent être ajoutés en c(ou C') pour retenir les Leviers L (ou L') quand les noyaux p (ou p') arrivent à fond de course ; électro- aimants E2 ( ou E'2) servent à déclancher ces cliquets afin de provoquer le déblocage par L (ou le blocage par I@). La commande alternative des électro-aimants E1 et E peut être faite à distance par un commutateur en forme de poire K deux plots qui laisse toujours un des dits électro-aimants excités.
Il est préférable d'ajouter un plot mort qui permet d'envoyer alternativement des courants de faible durée. Ce résultat peut être obtenu en excitant les électro-aimants par un télé- rupteur, comme l'indique la variante située à la gauche de la Fig. 1. Dans cette variante, J est la boîte contenant un télé- rupteur commutateur (dont la Fig. 6 donnera un exemple), K' est un bouton de sonnette qui permet d'envoyer à distance un courant temporaire dans la bobine du télérupteur. On peut aussi construire le commutateur K comme le télérupteur de Fig. 6.
En Fig. 2, le plateau P est remplacé par un plateau P' à bord saillant plat pincé, comme entre des mâchoires, par deux armatures mobiles m,m de l'électro E , rappelées par le ressort r. Les mêmes armatures peuvent être utilisées aussi pour fermer, par les contacts I, un courant sur une minuterie d qui produit la fermeture retardée du circuit du pick-up, comme on l'expli- quera plus loin.
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Les leviers à axe horizontal des Figs. 1 et 2 peuvent être évidemment remplacés par des leviers à axe vertical, mobiles dans un plan parallèle à celui du plateau P; dans ce cas, les noyaux et les pistons des pompes à air se déplace- ront horizontalement. Dans les Figs. 1, 3, 5, 6 l'électro et son dash-pot peuvent aussi être placés au dessous des leviers L, ou L' comme en Fig. 7.
En Fig. 3, relative à un phonographe photo-électrique à films parlants, le moteur M entraîne, directement ou par un réducteur R1, un arbre horizontal S S, sur lequel tourne fou le cylindre G entraînant le film sonore (non représenta. Le cylindre G est pressé contre un plateau V calé sur l'arbre du moteur S S par un ressort r, et porte une saillie ou un disque circulaire P, que peut bloquer un levier L tournant autour de l'axe a. Ce levier est soulevé par le plongeur p de l'électro-aimant de déblocage E . Ce levier peut porter un bras coudé L' servant à fermer le contact I' jouant le rôle
1 indiqué plus haut. Lè bras L'1 vient s'engager sous un cliquet C destiné à maintenir le blocage après coupure du courant de l'électro E1.
On peut débloquer ensuite le disque P en envoyant le courant par l'interrupteur K dans un autre électro- aimant E2 qui dégage le dit cliquet.
L'interrupteur K, commande par exemple un télérupteur à deux directions, suivant Fig. 6, ou, un type quelconque approprié.
La Fig. 3bis montre une variante du mode d'entraînement de la Fig. 3. Sur l'arbre SS muni de paliers à butées gg, et mu par le moteur M, est calé le rouleau dérouleur de film G, solidarisés avec le disque de freinage P et avec un disque de fer X1 servant d'armature à un embrayage magnétique. La partie attirante X2 de cet embrayage est une pièce en fer munie d'une auge circulaire dans laquelle est logée la bobine
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excitatrice E. La pièce X2 coulisse le long de l'arbre SS, qui l'entraîne par une clavette s. En l'absence de courant, l'em- brayage est décollé par des ressorts de rappel (par exemple r,r) fixés à une traverse n calée sur l'arbre. Quand on excite la bobine de l'électro E, l'embrayage vient se serrer cantre l'armature X1 et entraîne le rouleau G.
On pourrait aussi bien monter le rouleau et l'armature fous sur l'arbre, et entraînés par une clavette s' qui leur permettrait de coulisser longitudinalement, tout en calant la partie X2 sur cet arbre.
La bobine d'excitation de la partie Xpeut être connectée en
2 série ou en dérivation avec celle de l'électro-aimant de dé- blocage E1 de Fig. 3. Mais il est préférable d'enchaîner sui- vant une succession rationnelle les excitations des divers électro-aimants :un contact I", mu par un régulateur à force centrifuge Z, fermera le courant dans la bobine de l'embrayage quand le moteur aura pris sa vitesse normale; un autre contact (non représenté), fermé par l'embrayage au collage (par exemple le contact entre la pièce attirante et son armature) enverra le courant dans l'électro-aimant de déblocage E ; lelerier de ce dernier mettra ensuite en fonction les circuits producteurs du son.
Les dispositifs à embrayage magnétique peuvent être aussi utilisés pour les phonographes à axe de rotation verticale, comme en Fig. 1; la Fig. de détail (Fig. 1 bis) indique sché- matiquement cette variante : par exemple le plateau à volant V de Fig. 1 est remplacé par la partie attirante X3 d'un embrayage magnétique E3 à axe vertical, entouré d'une couronne isolante c sur laquelle frotte le plateau support très mince P@, formé par exemple d'une tôle de fer flexible (avec éventuellement un entourage ondulé). On laisse entre X3 et P' un très faible entrefer permettant le décollage de P' quand E3 n'est pas excité.
Quand le courant d'excitation est envoyé par un in- terrupteur (fermé à la main ou par télérupteur) l'embrayage entraîne P' dès que le régulateur à force centrifuge Z ferme
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son contact I".
La Fig. 4 montre en plan une variante de la Fig. 1; le levier de blocage est ici remplacé par une tige horizontale F, coulissant dans des paliers q, et pressée par les ressorts r contre le bord du léger plateau tournant P portant le disque (ou éventuellement contre le bord du disque lui-même). L'envoi d'un courant par l'interrupteur à trois plots K, dans l'élec- tro-aimant E1 attire, par le plongeur p, la tige F qui débloque le plateau P et qui reste enclenchée sous le cliquet C'mobile autour de l'axe b; pour bloquer le disque, on dégage le cliquet par envoi d'un courant dans l'électro E2. Le dash-pot 1, 2, 3 qui retarde la reprise du son peut être remplacé par une minu- terie comme on l'expliquera plus loin (Fig. 5).
Le circuit faisait agir la bobine de pick-up o sur l'amplificateur pro- ducteur de son contenus dans l'ensemble schématique U, est ouvert par l'interrupteur I avant que la tige ? bloque le plateau F (ou bien un court-circuit de la bobine est fermé par un interrupteur à placer sur la face opposée du levier L.)
L'électro-aimant E2 sert à libérer le cliquet C et à produire ainsi le blocage ; levier L', actionné par la tige F, ouvre ou ferme le contact I intercalé dans le circuit producteur de son. Les électro-aimants E1 E2 sont excités alternativement par le commutateur K, ou mieux par un télé- rupteur commutateur.
Un quelconque des électro-aimants E1 ou E 2 peut être remplacé par un renvoi de sonnette, tel que lOtiré du dehors par un fil 11, ou par une poire N2 dans laquelle l'air compri- mé est envoyé par une autre poire N1, pressée à distance.
En réduisait le diamètre du plateau V des Figs. 1 et 4, on peut supprimer le plateau léger P et faire agir le frein sur le bord même du disque phonographique, qui, dans ce but, pourra dépasser le bord du plateau d'entraînement V.
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On peut ajouter éventuellement sur le bras mobile B de l'aiguille, un contact de fin de course j, réglé par une vis v portée par un bras fixe q', qui coupe toute l'alimentation par un relais u, non représenté en détail.
On peut aussi ajouter un dispositif de coupure du cir- cuit d'alimentation de tout l'appareil, moteur compris, ou seulement d'une partie) par exemple formede deux interrupteurs de va-et-vient K1 et K2; ce dernier peut être contenu dans une poire au bout d'un fil triple, relié aux circuits de l'ap- pareil par une fiche d'accouplement tripolaire H.
La Fig. 5 montre le principe d'une minuterie actionnée par le levier L et l'électro E1", pour ralentir la mise en action du pick-up' ( ou de tout autre élément de circuit concourant à la production du son). L'électro E"1 attire par son plongeur p le levier mobile autour de l'axe et muni éventuellement d'une tige F qui bloque le plateau tournant P (ou un disque lui-même) et d'un prolongement L' qui viendra s'engager sous le cliquet C. Le levier L tourne fou autour de l'axe a d'une roue à cliquet 4 qui entrai ne une roue dentée 5 qui porte le cliquet; la roue 5 entraîne par un ou plusieurs engrenages 6, 7, une roue à ailettes 8 qui ralentit le mouvement de la roue 5.
En un point du levier L est attaché un ressort spirale i, dont l'au- tre extrémité est fixée à un goujon k porté par la roue à cli- quet 4. En tournant, sous l'action du ressort ainsi tendu, la roue dentée 4 vient rompre, après un certain temps, (réglable en déplaçant le contact I autour de l'axer), le contact d'un interrupteur I qui normalement, établit un court-circuit entre les bornes de la bobine du pick-up (ou d'une bobine de l'ampli- ficateur, au du haut-parleur).
Cette minuterie peut être utilisée en d de la Fig. 2.
Les Figs. 7 et 8 montrent en coupe verticale et en plan pour un phonographe quelconque (à membrane vibrante ou à pick- up), qu'on peut interrompre à distance et reprendre l'émission
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au moyen d'une barre coudée y qui soulève l'organe qui appuie l'aiguille z sur le disque D. Le bras B, tournant autour du tuyau vertical W (qui peut aboutir à un pavillon dans le cas d'un phonographe à pavillon), porte une partie B' articulée autour d'une charnière t et présentant une face inférieure plane horizontale. Deux paliers w supportent les arbres ou extrémités recourbées b de la barre horizontale coudée y dis- posée sous la partie B' et garnie de velours ou feutre, caout- chouc, etc..
Sur l'un de ces arbres b est calé un levier L soutenant par une tige verticale F le noyau de fer p d'un électro-aimant à solénoïde E et le piston 1 d'un cylindre
1 dash-pot 2, muni d'une soupape 3 qui se ferme quand le noyau p est rappelé vers le haut par le ressort de rappel r 1 en l'absence de courant dans l'électro E.
Quand le solénoïde E est excité, la barre y tournant autour des arbres b dégage l'aiguille en soulevant le bras ar- ticulé B'. Un prolongement L2 du levier L s'engage à bout de course sous un cliquet C rappelé par un ressort r. Ce cliquet est ensuite, quand on veut, libéré par l'envoi du courant dans l'électro E2. Comme on l'a expliqué en Fig. I, on peut comman- der alternativement les électro-aimants E1 et E2, soit par un télé- rupteur-inverseur, actionné par un bouton de sonnette , soit par le commutateur K, à trois plots, éventuellement remplacé par des commandes pneumatiques ou mécaniques, comme en Fig. 4.
On peut ajouter un levier de contact L' commandé par un régulateur à force centrifuge Z fixé sur l'arbre du moteur, et qui coupe par le contact I" le circuit de l'électro-aimant E2 tant que le moteur M n'a pas atteint la vitesse normale.
On se réserve de combiner à volonté les dispositions représentées dans les différentes figures, qui ne sont pas limitatives ; on se réserve aussi de simplifier à volonté ces
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dispositifs en supprimant tel ou tel de leurs éléments qui ne serait pas nécessaire dans telle ou telle application.
La Fig. 6 représente (en traits pleins) un exemple de télérupteur commandé par un électro-aimant E qui, recevant un courant par une ligne 65-66, attire le plongeur p porté par une tige isolante 27 qui fait tourner le levier L autour d'un axe a.
Sur cet axe a, tourne fou un disque isolant 24 portant à sa périphérie des secteurs métalliques 25, reliés électriquement à l'axe a, et une roue dentée 21 munie d'un nombre double de dents. Le levier L pousse une dent par le cliquet 22, chaque fois que le plongeur p retombe par son poids (ou par l'action d'un ressort de rappel). Par exemple, si le disque 24 porte six secteurs métalliques, la roue à cliquet a douze dents, et les balais f1, f2 sont décalés de 30 , l'un frotte sur un secteur métallique, l'autre sur une partie isolante.
Le conducteur 60 est relié au pôle commun des électro-aimant E'1, E de la Fig. 1, et les fils 61 et 62 aux autres bornes des électro-aimants ; l'axe a est relié au conducteur 63, soit par un interrupteur 28 à contact métallique, soit par l'interrupteur à mercure 67 que fait basculer la tige 27.
A chaque envoi de courant dans 65-66, l'électro-aimant E ferme l'interrupteur et le courant passe par l'un des fils 61-62 ; re- tombant ensuite, le levier L fait passer un des secteurs métalli- ques 25, du balai f1 au balai f2.
Sur la même figure, on a tracé en pointillé le schéma d'un autre mode de commande. Le bouton poussoir 31, remplaçant la bobine E, permet de pousser à la main le levier L par une tige 30 convenablement guidée ; on cesse d'agir sur le bouton 31, ce dernier est repoussé par un ressort spirale 32. On sup- prime le basculeur à mercure. Cet interrupteur-commutateur peut être employé dans toutes les positions et peut être contenu dans la poire K des Figs. 1, 4 et 7.
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