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Procédé de fabrication d'objets em verre ereux et minees, tels que des verres à boire.
La présente invention est relative à la fabrication d'objets en verre creux et minces, ,tels que des verres à boire.
Dans la fabrication d'objets en verre creux et minces dont une extrémité est fermée et dont l'autre est à large ouverture, on a l'habitude, lorsque l'on souffle l'objet, de le mouler de façon à former un prolongement 'd'une forme commode pour tenir l'objet pendant qu'on le souffle, aprés quoi on sépare ce prolongement du corps de l'objet de ma- nière à donner à celui-ci sa vraie longueur et à faire 1' ouverture.
Pour séparer le prolongement d'avec l'objet proprement dit, on connaît un certain nombre de procédés. Ils peuvent être divisés en deux groupes, à savoir ceux dans lesquels la séparation s'effectue avant que l'objet soit complète- ment refroidi.. et ceux dans lesquels la séparation s'effec- tue après que l'objet a été complètement refroidi.
La plupart des procédés utilisés pour séparer le prolon- gemendt pendant que l'objet est - encore chaud ont un inconvé- nient commun, à savoir qu'il est difficile d'éviter la for- mation d'un bourrelet ou d'un bord épais d'où il résulte qu'il est nécessaire de faire un lissage après la sépanation.
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De même;dans le cas où. les prolongements sont séparés ou coupés de l'objet après qu'il s'est refroidi, certaines opé- rations ultérieures nécessaires pour faire un bord arrondi lisse augmentent beaucoup le coût de la fabrication.
Toutefois, on a constaté que l'on peut remédier à l'in- convénient ci-dessus en adoptant un procédé suivant lequel l'objet, pendant qu'il est encore chaud, est maintenu fixe par rapport à une série de flammes disposées circulairement autour de lui et que l'on fait tourner de façon que les flam- mes agissent sur la ligne suivant laquelle la séparation doit se faire. Quand le verre a été suffisamment ramolli, on serre le prolongement et on tire le corps de l'objet en étirant le verre réchauffé sans toutefois provoquer la séparation puis, après refroidissement momentané, on laisse de nouveau agir les flammes sur la partie étirée du verre afin d'achever la séparation en cassant le verre à la jonction entre la partie amincie et la partie relativement plus épaisse de l'objet.
Le but principal de la présente invention est de réaliser un type perfectionné d'appareil ou de machine à l'aide du- quel, ce procédé peut être mis en oeuvre et de réaliser d'im- portantes économies de fabrication.
L'invention consiste en uns machine servant à séparer ou diviser des objets en verre creux en deux parties ou à enle- ver leurs prolongements en réchauffant l'objet par une série de flammes disposées.circulairement autour de la ligne sui- vant laquelle doit se faire la séparation, à étirer le verre réchauffé de façon à le rendre fluide sans provoquer une sé- paration complète, à refroidir la paroi amincie du verre ain- si obtenu, puis à réchauffer la paroi amincie dans la région de sa jonction-avec la paroi plus épaisse normale de l'objet de façon à compléter la séparation, caractérisée par le fait qu' il est prévu un certain nombre d'unités de séparation des objets chacune étant disposée de façon à se déplacer dans.
un circuit sans fin et chacune comportant, coopérant avec elle, un dispositif porte-objet mobile par rapport a: un brûleur de réchauffage tournant, à plusieurs jets, et un dispositif de prise de l'objet, la disposition étant telle que les unités et les dispositifs qui les constituent 'fonctionnent en suc-
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cession, synchronisée, de préférence à partir d'une source de puissance commune.
La machine est munie de préférence d'une colonne fixe centrale et d'une paire de bâtis ou tables, disposés verti- calement à une certaine distance l'un de l'autre, se dépla- çant autour de la colonne et munis respectivement d'un cer- tain nombre de porte-objet et un certain nombre de disp osi- tifs de réchauffage des'objets ou brûleurs multiples. Des moyens sont également prévus, de préférence, pour soulever ou abaisser les dispositifs porte-objet par rapport aux brû- leurs en vue de déplacer les objets pour les mettre à portée et hors de portée de l'action des jets de flamme.
De façon à mieux faire comprendre l'invention et à permettre sa mise eh pratique facile, on va maintenant la décrire plus en détail en se référant aux dessins annexes dans lesquels :
La figure 1 est une coupe verticale d'une moitié de machine selon l'invention.
La figure 2 est une'coupe horizontale montrant, dans ses différentes parties, des coupes faites à différents ni- veaux de la figure 1.
La figure 3 est une coupe verticale de détail de l'une des unités de brûleurs montées à rotation et de son système de support.
Les figures 4 et 5 sont des vues de détail des dispo- sitifs ou têtes servant à porter les objets à traiter.
Les figures 6 et 7 sont des vues de détail représen- tant différentes positions d'un piston-valve associe aux dis- positifs ou têtes servant à tenir çu supporter les objets en vue de régler l'application à ceux-ci d'un effet de suc- cion.
Les figures 8 et 9 sont des vues de détail du disposi- tif de prise de l' objet.
La figure 10 est une vue de détail représentant les parties constitutives à un dispositif prévu pour permettre de régler les brûleurs en vue d'opérer sur des objets de di- mansions différentes.
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La figure 11 représente schématiquement la suite des opérations du déplacement effectue par l'objet pendant leur mouvement par rapport aux brûleurs.
La machine représentée sur les dessins ci-joints com- porte une base A qui, pour en faciliter le déplacement, est portée par des roues B. Cette base porte une colonne fixe autour de laquelle tournent différents @lements de la machi- ne. Par exemple, à l'extraite inférieure de la colonne, ou près d'elle, tourne un manchon F porté par un palier de bu- tée E, reposant sur un collier ou saillie extérieure Cl de la colore, et, sur la partie inférieure du manchor. F, est calée une grande couronne dentée mise en rotation par une source de puissance appropriée, par exemple un moteur élèc- trique G1.
Immédiatement au-dessus de la roue G, tourne star le manchon F, un manchon H portart deux roues à chaîne J et K et, au-dessus du manchon H, est calé sur le manchon F le moyeu d'une table circulaire L qui sert de support pour une série d'uxités tournantes de brûleurs que l'on décrira ci- dessous.
On voit que le manchon F monte au-delà du moyeu de la table L et que la surface extérieure de cette partie montai!.- te est'filetée et porte une pièce taraudée ou ecrou M portant à l'extérieur de sa face supérieure des dents d'engrenage.
De même, au-dessus de la pièce';::', se trouve le moyeu N d'une table circulaire 0, ce moyeu. se centrant de lui-même autour du manchon F et, à son extrémité supérieure, autour de la colonne 0 et son extrémité inférieure porte contre la partie intérieure de la face supérieure de la pièce M. Sur une par- tie cormnode du moyeu N, est fixée une console P portant un ar- bre disposé radialement muni d'un pignon R en prise avec les dents que porte la face supérieure de la pièce M.
Des moyens sont également prévus pour que la table 0 se déplace en concordance avec la table L lorsque la roue G fait tourner cette dernière et, dans ce but, la table L peut être munie de deux organes cylindriques montants S, coulissant dans des ouvertures appropriées de deux manchons de guidage T so- lidaires de la table 0 et pendant sous celle-ci. On voit, par suite, qu'en faisant tourner l'arbre Q et le pignon %
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la table 0 est soulevée ou abaissée par rapport à la table L, les pièces S coulissant dans les guides T.
Sur l'extremite supérieure du moyeu N de la table 0 porte un palier de, butée N1 qui supporte l'extrémité infé- rieure du moyeu V d'une troisième table circulaire W qui est montée en position sur la colonne 0 et qui est clavetée sur elle de façon à pouvoir coulisser axialement sur la colonne mais est empêchée de tourner par rapport à celle-ci. Sous la table W, sont fixés des éléments formant chemins cames 1 et 2 au moyen desquels sont commandés le fonctionnement et , les 'mouvements des différents éléments de la machine et dont il sera parlé plus loin.
Comme on l'a dit ci-dessus, la table L sert de support pour une série d'unités de brûleurs montés à rotation. Dans ce but, plusieurs consoles 7 sont disposées à intervalles égaux sur le pourtour de la table et sont fixés sous celle- ci de façon à faire saillie extérieurement au-delà du bord de la table et chacune de ces consoles sert à loger le pa- lier 8 d'un arbre creux tournant et disposé verticalement 9.
Au voisinage de l'extrémité inférieure de chacun des arbres 9, est calée sur lui une roue dentée à chaîne 10 et la portior de l'arbre 9 qui se trouve en-dessous de cette roue est en- tourée par une garniture et une boite à étoupes 9a ménagée dans la partie en saillie vers le bas 7a de la console 7. Sur l'extrémité supérieure de chacun des arbres 9, est fixé un organe servant de base pour une rangée circulaire de brûleurs et qui est fait d'une partie annulaire supérieure lla relire par deux arbres creux disposés radialement et descendant llb, avec une partie formant moyeu 11c reliée à l'arbre 9.
Chacu- ne des rangées de brûleurs consiste en une série d'éléments de brûleurs disposés radialement et dirigés vers l'intérieur, comportant chacun, une tuyère 12, un prolongement tubulaire 13 porté par un support 14 et un tuyau flexible 15 réunissant le prolongement avec une chambre 10a managée dans la pièce annulaire ci-dessus lla.
Afin que les éléments de brûleurs ou les tuyères puis- sent être réglées dans des positions pour lesquelles elles puissent chauffer de la façon la plus avantageuse des objets
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de dimensions différentes, chacun des jeux de brûleurs est disposé et monté de façon que ceux-ci puissent se déplacer en se rapprochant ou s'écartant du centre commun autour du- quel ils sont disposes, c'est-à-dire en se rapprochant ou s'écartant de l'axe de.rotation de l'arbre 9.
Dans ce but, la pièce annulaire lla porte une plaque de recouvrement cir- culaire 16 (figures 3 et 10) dans la surface supérieure de laquelle sont ménagées des rainures radiales 16a et chacun des supports 14 de tuyères ci-dessus mentionnes comporte, à son. extremeit inférieure, un prolongement rectangulaire se logeant dans une de ces rainures et guidé apr elle.
air la plaque 16 est egalement disposée une autre plaque circulaire 17 pouvant se déplacer angulaireemnet par rapport à la premiè- re, dans une mesure limitée dans les deux sens, la plaque 17 coloriant une série de rainures 17a disposées en spirale et dans lesquelles passe une partie cylindrique 17b de l'un des supports 14. La plaque 17 est maintenue en position par une plaque de recouvrement circulaire 13 qui est fixée sur la plaque lla et, dans cette plaque de recouvrement, sont mé- nagées plusieurs rainures 18a disposées radialement et dans lesquelles passent les supports 14. On voit donc que chacun de ces supports 14 est entouré à la fois par une des rainures en spirale de la plaque 17 et par une des rainures radiales de la plaque 16.
En conséquence, en déplaçant angulairement la plaque 17 par rapport à la plaque 16, tous les supports 14 associés à une des pièces lla et la série de brûleurs ou de tuyères 12 portés par eux peuvent se déplacer simultané- ment, soit en se rapprochant, soit en s'écartant de leur cen- tre commun. Par exemple, les tuyères peuvent être faites de façon à se-déplacer des positions représentées en traits pleins à celles représentées en traits mixtes sur la figure 3 et vice-versa.
Les moyens servant à faire tourner les rangées circu- laires de brûleurs autour de leurs axes propres comportent une chaîne sans fin 19 qui, domme on peut le voir sur la fi- sure 2, passe tangentiellement sur l'extérieur d'une moitié du nombre total de roues à chaîne 10 de façon à engrener avec elles, puis passe intérieurement et partiellanent autour de
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la roue dentée E que porte le manchon R, revient vers l'extérieur et passe tangentiellement sur l'extérieur des roues dentées constituant l'autre moit ié du nombre total des roues dentées 10, après quoi elle revient de nouveau vers l'inté- rieur en passant autour d'une roue dentée 20 mise sous tension par un ressort et continue alors extérieurement pour achever son circuit sans fin.
Le manchon H est mis en rota- tion par une source de puissance appropriée et, dans ce but, la roue dentée J peut être reliée par une chaîne sans fin 19a à une roue dentée en liaison, par un réducteur, avec un moteur électrique Jl.
Les têtes ou dispositifs servant à maintenir ou sup- porter les objets en verre sont portés par la table % 0 et sont également espacés sur le pourtour de celle-ci de façon qu'il y ait une tâte pour chaque série circulaire de brûleurs.
Comme'on le voit., dans la forme de réalisation de l'invention représentée, chaque tête reçoit l'objet à traiter la tête en haut pour le prendre puis pour le retourner et pour lui donner ensuite certains déplacements axiaux à la fin desquels la tête est retournée pour ramener l'objet traité la tête en haut et le dispositif servant à serrer l'objet est alors libéré de sorte que l'objet peut être retiré de la machine.
Les têtes sont disposées autour de la table 0 de telle sorte que l'objet porté par chacune dtelles est exactement dans l'alignement axial de la rangée circulaire respective de brûleurs avec laquelle elle coopère. Toutes ces têtes sont identiques et, en,conséquence, il suffit de décrire leur cons. truotion en se référant à l'une d'elles.
A ce sujet, on se ré- fèrera aux figures 4 et 5 sur lesquelles on voit qu'une con- sole 21 est fixée au moyen de boulons sur la face supérieure de la 'table 0 et oomporte un couloir horizontal rectangulaire formant guide pour un organe 22 coulissant radialement, sur le dessus duquel fait saillie un axe 23 portant un galet 24 en prise dans le chemin came 1 ménagé 'sur la table W et, sous la pièce 22, est découpée sur une partie de sa longueur une crémaillère. Celle-ci est en prise avec un pignon 25 qui est solidaire, d'une roue dentée plus grande 26 de telle sor-
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te qu'ils peuvent tourner librement tous les deux sur un axe fixe 27 porté par la console 21.
De marne, dans une partie montante de la console 21 est-ménagé un couloir rectangulaire vertical formant guide pour une pièce 28 coulissant verti- oalement, sur un coté de laquelle est découpée une crémaillère sur une partie de sa longueur, les dents de cette crémaillère étant en prise avec la roue dentée 26. La pièce 28 coulis- sant vertioalement est alésée axialement sur toute sa longueur et son extrémité inférieure comporte une saillie latérale 29 qui est alésée horizontalement de façon que l'alésage hori- zontal coupe l'alésage axial ou vertical.
Dans cet alésage horizontal se trouve une pièce analogue à un arbre 30 qui peut tourner d'un angle limité dans l'alésage horizontal et qui se termine, à une extrémité, par une bride 30a et, à son extrémité opposée, par un pignon 33 calé sur lui. Sur une partie de sa longueur, l'arbre 30 est'creux, un alésage 30b s'étendant axialement depuis l'extrémité à bride., sur une certaine distance, de telle sorte qu'à son extraite inté- rieure, l'alésage 30b débouche dans une ouverture ou lumière
30c découpée radialement dans la pièce 30 de façon à relier l'alésage 32 à l'alésage axial vertical 'de la pièce 28.
Sur'1'extranité à bride de la pièce 30, se trôuve une console 31 comportant une bride verticale servant à la fixer sur la pièce 30 et une bride horizontale sur laquelle est fixée une cuvette 32. La console 31 comporte un passage qui va de la face horizontale en traversant sa face vertica- le où il communicque avec l'alésage axial 30b de l'arbre 30.
Cette console comporte également une butée 31a venant en. prise avec une butée analogue 29a que comporte un prolonge- ment 29 de la pièce 28 lorsque 'l'arbre 30 se déplace en sens contraire des aiguilles d'une montre, en tournant surson axe pour venir dans une certaine position. L'intérieur de la ou- vette 32 est fait de façon à s'adapter approximativement à la forme du fond de l'objet à traiter et de petits trous 32a sont prévus de façon à aller du fond de l'intérieur de la cuvette jusqu'au passage ménagé dans la pièce 31.
L'exté- mité inférieure de l'alésage axial de la pièce 28 est fermé
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en-dessous de la région de l'arbre 30 par un bouchon 28a s'y adaptant étroitement et, au-dessus de la région de l'arbre 30, l'alésage est muni d'un piston-valve 34 se déplaçant axiale- ment (voir figures 4, 5, 6 et 7) fixé à l'extrémité inférieure d'une tige 35 qui monte dans la pièce 28 au-delà de l'extré- mité supérieure de celle-ci et se termine par un mentonnet 39.
Le piston est creux à partir de son extrémité inf érieure jus- qu'en un point qui est environ à moitié de sa longueur, où l'intérieur creux communiqua avec un trou transversal 34a al- lant jusqu'à sa surface oiroontérentielle.
Un manchon 38 s'adaptant étro it ement sur la tige 35 sert de guide pour 'sa partie supérieure et, immédiatement en- dessous, un ressort à boudin 36, travaillant à la compression et portant contre la douille 38, entoure la tige 35 et porte sur un collier 37 solidaire de la tige 35 de façon à mainte- nir normalement le piston-valve 34 dans la position basse (voir figures 3, 4, 5 et 6) dans laquelle le mentonnet 39 porte sur la douille'38 et le piston 34 établit, au moyen de son alésage central et du trou transversal 34a;
la communica- tion entre l'espace compris dans la pièce 28 sous le piston 34 et l'espace compris dans la pièce 28 au-dessous du piston 34* Au voisinage de l'extrémité supérieure de la pièce 28, l'es pace qui est au-dessus du piston-valve est en communication avec une ouverture latérale 28b dont il sera fait mention plus loin et, près de l'extrémité'inférieure de la pièce 28, son alésage'axial est relié à l'extérieur par une petite'ouver- ture 28c.
@ Dans l'état normal ci-dessus décrit, dans lequel le piston-valve 34 'est dans sa position basse, ce piston recou- vre et ferme l'ouverture 28c (comme on le voit sur la figure 6) Toutefois, lorsque le menonnet 39 est soulevé en amenant le piston 34 à sa position de la figure 7, l'extrémité supérieure du piston, étant donné qu'il s'ajuste'dans cette partie de l'alésage axial de la pièce 28, coupe complètement la communi- cation entre les espaces qui'se trouvent dans la pièce 28 au- :
dessous et au-dessus du piston et, en même temps, l'extrémité inférieure du piston découvre l'extrémité intérieure de l'ou- verture 28o de façon à constituer en cet endroit un passage pour 1' air qui, par suite, s'échappe à l'extérieur dans cette
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région de l'alésage axial de la pièce 28 située en-dessous du piston 34.
Comme on peut le voir sur la figure 4, une partie descendante 2la de la console 21 forme guide'dans léquel ast montée une crémaillère courte 40 de façon à pouvoir y cou- lisser verticalement. La crémaillère est en prise avec le pignon 33 et est normalement maintenue en position soulevée, pour laquelle son collier de butée 41 porte contre l'extré- mité inférieure du guide 21a, par une chaîne ou autre or- gane flexible 42 fixée à la partie supérieure de la crémail- lère et passant 'sur une poulie 43 montée sur la console 21, revenant ensuite horizontalement vers le centre de la machi- ne, passant alors sur une poulie 44 (voir figure 1) portée par la table 0, puis'redescendant et portant un contre- poids 45.
'Sur le pourtour de la table à came fixe W est ou sont fixées une ou plusieurs consoles 46 servant à porter une came fixe 47 qui, à un certain moment du déplacement des éléments tournants de la machine, vient en prise avec le mentonnet 39 et le soulève de la position que l'on voit sur les figures 4, 5 et 6, pour laquelle le piston 34 est dans sa position basée ou ouvert, pour l'amener dans la position de la figure 7 dans laquelle le piston 34 est soulevé pour venir en position haute ou fermée.
D'après ce qui précède, on voit que lorsque le ga- . let came 24 et la crémaillère 22 sont poussés complètement vers la droite comme cela est représenté sur la figure 4, sous l'action du chemin came l, la pièce 28, mobile verti- calement,est complètement soulevée par la mise en prise des roues dentées 25 et 26 avec les crémaillères 22 et 28 respectivement . Dé même, 'Sa. fait de la traction sur la chai- ne 42 produite par le contrepoids 45, le collier 41 de la crémaillère 40 porte contre l'extrémité inférieure du guide 21a et, du fait de la mise en prise des dents de cette cré- caillère avec le pignon 33, ce dernier est maintenu dans une position pour laquelle la cuvette porte-pièce 32 est dirigée vers le haut .
Si mainteneant, au cours d'un tour de la machi- ne, le galet 24 vient porter sur une partie inclinée vers l'extérieur dit chemin, came 1, le coulisseau 22 se déplace vers la gauche et, à son tour, fait tourner les pignons 25 et 26 et par suite fait descendre le coulisseau 23. Etant
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donné que le pignon 33 est en prise avec la crémaillère 40 qui est maintenue fixe par la traction du contrepoids 45; la 'descente du pignon 33 fait que celui-ci tourle en SE;!.±. contraire des aiguilles d'une montre jusqu'à ce qu'il se soit déplacé de 180@, après quoi la cuvette est retour- née.
A 'ce moment, là butée µla vient porter contre la butée 29a du prolongement de la pièce 28 et le pignon 33 ne peut plus continuer à tourner. En conséquence, la continuation de la descente de la pièce 28 fait que le pignon bloqué entraîne avec lui la crémaillère 40 vers le bas, en antago- nisme à la traction du contre-poids, aucun mouvement rela- tif ne se produisant entre la crémaillère 40, le pignon 33 et le coulisseau 28.
Lorsque la pièce 28 est de nouveau soulevée, les opérations sont inversées c'est-à-dire que la traction exer- césmvers le haut sur la crémaillère 40 par le contrepoids 45 agissant sur le pignon 33 continue à maintenir la butée 3]La¯ appliquée contre la butée 29a jusqu'à ce que, au moment voulu, le collier de butée 41 vienne porter de nouveau con- tre l'extrémité inférieure du guide 21a de la crémaillère.
La crémaillère 40 ne pouvant alors continuer à se déplacer et le pignon continuant à être soulevé par la pièce 28 est obligé de tourner dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce que la pièce 28 s'arrête en haut de. sa course et que la cuvette 32 soit alors revenue en posi- tion dirigée vers le haut.
Comme on peut le voir sur la figure 1, sur l'extrémi- té supérieure de la colonne 0 est monté un distributeur fait d'un élément central fixe 3 sur lequel tourne un élé- ment tournant comportant deux pièces annulaires superposées 4 et 5. L'élément fixe consiste en une pièce cylindrique creuse disposée verticalement, divisée en ce qui concerne sa hauteur en deux chambres distinctes 3a et 3b.
Sur chaque chambre, est monté un tuyau d'alimenta- tion séparé, à savoir : la chambre inférieure 3b communique avec une source de vide et sur la chambre supérieure est branchée une source fournissant un mélange de gaz de houil- le ou équivalent et d'oxygène ou d'air comprimé. Des ouver- tures sont ménagées dans les parois de chacune des chambres
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de la pièce 3 de façon que le gaz ou l'air respectivement puissent aller à la pièce 3 ou en sortir ainsi qu'aux pièces, 4 et 5. De même, des tuyaux vont des surfaces extérieures de chacun des éléments tournants 4 et 5 aux points nécessai- res de la machine.
Par exemple, à chacune des têtes ou dis- positifs porte-pièce se trouve une tuyauterie 48 disposée radialement et reliant l'ouverture de sortie 28b ménagée dans la partie supérieure de la pièce 28à la 'pièce 4, pour faire le vide, cette tuyauterie comportant des articulations en 48a et 48b de façon à permettre les déplacements verti- eau--- dês aux mouvements de la pièce 28 et au réglage en hau- teur assuré par la table 0: De même, pour chaque série an- nulaire de 'brûleurs il y a un branchement 50 amenant un mé- lange de gaz et d'oxygène ou d'air sous pression depuis une chambre de la pièce 5.
Pour coopérer avec les têtes ou. dispositifs porte- pièce, en vue d'effectuer un certain étirage du verre une fois que les objets ont été localement réchauffés dans les éris malsirs de . brûleurs, il est également prévu de préférence une série de mécanismes de prise, un de ces bre- leurs correspondant à chacune das têtes porte-pièce et à sa série de brûleurs.
Dans ce but, des supports 52 peuvent être montés sur la facs supérieure de la table R dé 'façon à être- également espacés autour de cellè-ci, sur les extrémités su- périeures de ces supports étant fixées des consoles dirigées vers le haut et vers l'extérieur et portant deux pivots diriges vers le haut 54 sur lesquels pivotent respective- ment deux bras 55 et 56 se terminant chacun à une extrémité par une pièce en formé de mâchoire 57 servant prendre le prolongement d'un objet à manoeuvrer. L'autre extrémité de chaque bras respectivement est reliée par un axe 53 à l'une de deux bielles 59 et 60.
De même, faisant saillié horizon- talement sur le supporta se trouve un guide vertical 61 qui se termine par une plaque 62 et sur laquelle coulisse une pièce 63 comportant trois axes verticaux 63a, 64a, 65a. Une extrémité de chacune des bielles 59 et 60 pivote sur les axes 65a et 63a respectivement et, sur l'age 64a, pivote une ex- trémité d'une bielle 64 dont l'autre extrémité passe bibre- ment dans une ouverture de la plaque 62.
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Autour du guide 61, se trouve un ressort à, boudin
65 travaillant à la compression, dont une extrémité porte contre la pièce coulissante 63 et l'autre contre la plaque 62. On voit ainsi que la pression du ressort 65 sur la piè- ce-63,* par l'intermédiaire des bielles 59 et 60 agissant sur les bras 55 et 56, tend à serrer les mâchoires l'une contre l'autre. L'extrémité de la bielle 64 qui est éloignée de la pièce 63 . vient librement en prise avec un axe 66 por- té verticalement par une extrémité d'un bras 67 dont l'au- tre extrémité est calée sur un arbre vertical 68 et ce der- nier est dirigé vers le haut et est porté dans un palier 69 placé sous la table 0.
L'arbre 68 passe au-dessus du palier
69 et sur le prolongement est calé le moyeu d'un bras 70 muni à son extrémité d'un axe 71 portant un galet 72 en pri- se avec le chemin came 2 du dessous de la table W.''
Le mouvement des éléments tournants de la machine autour de la colonne centrale C est de préférence continu, mais, si on le désire, il peut être prévu un dispositif servant à les faire tourner de façon intermittente ou pas à pas dans des conditions pour lesquelles des périodes de rotation alternant avec des périodes de repos.
Le fonctionnement de certains éléments ou parties de la machine a déjà été décrit en détail, mais pour rendre clair le fonctionnement de la machine dans son ensemble, on va maintenant décrire la façon dont elle effectue les différentes opérations de. séparation du prolongement d'avec l'objet proprement dit, dans son application à une machine dans laquelle les différents porte-pièce et les séries de brûleurs tournent de façgn continue autour de la colonne centrale. On comprend que, dans cette machine, chaque série de brûleurs tourne continuellement autour de son axe propre en plus de son déplacement autour de la colonne.
Une source fournissant un mélange d'oxygène ou d'air et de gaz de houil- le ou son équivalent est reliée la chambre ménagée dans la pièce tournante 5 du distributeur prévu à l'extrémité supérieure de la colonne et ce mélange de gaz peut passer continuellement à tous les brûleurs par des tuyauteries 50 qui descendent, en allant vers l'extérieur, depuis l'organe tournant 5 et sont reliées, à. leurs extrémités inférieures,
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par des coudes 7a,à des ouvertures ménagées dansles extré- mités inférieures des parties descendantes 7b des consoles 7 afin que le mélange de gaz puisse monter par les arbres creux 9 dans les passages prévus dans les parties de base lla de la rangée circulaire de 'brûleurs.
En outre, la cham- bre ménagée dans la partie tournante 4 du distributeur est reliée à une source de vide et communique avec les alésages axiaux des pièces 28, associées aux différents dispositifs ou têtes porte-objet.
A chaque tour de la machine, chaque tête porte-objet se déplace relativement par rapport à la série circulaire de brûleurs avec laquelle elle est associée de façon à amener l'objet à traiter dans les différentes phases de l'opération ou positions représentées schématiquement sur la figure 11.
En position I ou à l'endroit du déplacement des éléments'tournants de la machine suivant lequel les ob- jets à traiter sont mis en place, la tête porte-objet a été complètement soulevée par action des pièces commandées par le chemin came 1= la cuvette 32 portée par cette tête porte- pièce a été complètement soulevée par action des pièces com- mandées par le chemin came 1, la cuvette 32 portée par cette tête porte-pièce a son ouverture dirigée vers le haut comme représenté et le piston 34 associé à cette tête porte-pièce a été fermé sous l'action de la came 47 du mentonnet 39.
Dans ces conditions, un objet et son prolongement sur lequel on doit opérer est placé en position droite dans la cuvette et lorsque la tête s'écarte de cette position, le mentonnet 49 passe au-delà de la commnade de la.came 47 et le ressort 36 fait immédiatement descendre le piston-valve 34 et l'ou- vre. La base de l'objet reposant sur les petits trous 32a de la base de la cuvette 32 tend à fermer ces derniers ét sous l'action du vide, l'air résiduel qui peut-se trouver entre l'objet et la cuvette descend maintenant par ces pe- tits trous et par la pièce 31, puis par l'alésage axial 30b et les lumières 30c et -ensuite passe, par le piston-valve ouvert 34, dans l'extrémité supérieure de l'alésage axial de la pièce 28 pour aller par les tuyaux 48 à la source de pression négative ou vide.
L'objet est alors solidement main- tenu dans la cuvette 32 par la pression atmosphérique et, la tête continuant à;tourner, le galet 24 du coulisseau 22 est
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mis en prise avec une partie inclinée vers l'intérieur du chemin came 1 d'où il résulte que du fait de l'engrenage du porte-pièce, le coulisseau 28 commence à descendre et, en même temps, la cuvette 22 commence à se déplacer vers l'ex- térieur et vers le bas jusqu'à ce qu'elle soit complètement retournée, l'objet occupant la position II de la figure 11.
L'objet, qui retourné et maintenu dans la cuvette 32,
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continue alors 1'. .esc:.."r- jusqu'à occuper la position III de la figure 11 dans laquelle son extrémité inférieure est placée dans l'aimeau tournant de flalll.11es provenant des tuyè- res 12, les flammes frappant la paroi de l'objet au niveau suivant lequel la séparation doit s'effectuer.
A ce moment du déplacement de la tête, le galet 24 arrive sur une partie de chemin came 1 qui est circulaire et en conséquence le coulisseau 28 ne reçoit aucun mouvement.
L'objet continue ainsi à être réchauffé dans le brû-
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leur pendant ur. te ct4ter;.:ir au bout duquel le alet 2- vient sur une partie inclinée vers 1'.intérieur diu. clmin. viant sur une le coulisseau 2, 1 'ob.1 et est s oulev/ came 21 ce qui a pour effet de souleve:r:f au-a. 0 2 ,:::1;:;, m .1. 'e,:neau de flammes jusdu'4, occuper la position IV:reJ.Jl'és8ntée sur lafigure 11. Dans cette position, le chemin came est
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circulaire sur une petite distance de sorte que le cou 1:.r;-- ceau 2 est obligé w.omentan0::,t ,Je ¯ : ete,u dans sa course montants.
En en venant maintenant au système de prise qui coo-
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père avec la tête porte-pi0ce .,- "::,).::':.. te, on voit que, pen- dant la suite d'opérations précédente, le chemin came 2 a maintenu le galet 72, l'axe 71 et le levier 70 tirés vers la droite en regardant'la figure IV et, par l'intermédiaire de l'arbre 68 et du levier 67, l'axe,66, du fait de sa mise en prise avec la bielle 64, a maintenu la pièce 63 -tirée vers la droite, en antagonisme à la pression du ressort 65 et, par l'intermédiaire des bielles 59 et 60 agissant sur les bras 55 et 56, les mâchoires 57-7 sont maintenues très
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écartéest Juste avant que le éou1lsseau 28 se soit momentané- ment arrêté au cours de sa montée, comme 'indiqué ci-dessus,
le galet 72 est venu . sur une partie du chemin came 2 inclinée vers l'extérieur, permettant au ressort 65 de fermer les mâ- choires 57-57 et, au moment où le coulisseau 28 s'arrête, les mâchoires 57-57 se ferment sur le prolongement, en le serrant sous la pression du ressort 65 qui agit sur la trin-
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glerie intermédiaire. Dès que les mâchoires se sont fermées, le galet 24 vient porter sur une autre partie courte incli- née vers l'intérieur du chemin came 1, suivie d'une autre partie circulaire du chemin came.
En conséquence, le cou- lisseau 28 est de nouveau légèrement soulevé puis s' arrête encore et, étant donné qu'à ce moment l'objet est maintenu- à la fois dans la cuvette qui a été soulevée et par les mâ- choires qui sont restées fixes, le verre ramolli, dans la zone de réchauffage cède, s'allonge et s'amincit jusqu'à ce que l'objet occupe la position indiquée en V sur la figure 11 Pendant la partie d'arrêt suivante du chemin came 1, la z8ne ainsi amincie de l'objet se refroidit et le galet 72 vient porter sur une partie inclinée de l'extérieur du chemin came 2 ce qui fait que les bras 55 et 56 font ouvrir les mâchoires 57-57 et les maintiennent écartées pendant tout le restant du cycle de l'opération.
A la fin de la période d'arrêt ci-dessus mentionnée, le galet 24 vient porter sur une partie inclinée vers l'ex- térieur du chemin came 1 et le coulisseau 28 redescend pour ramener l'objet dans la marne position .(position VI de la figure 11), dans l'anneau de flammes où il se trouvait pré- cédemment. Le galet 24 se trouve alors sur une partie circu- laire du chemin came -1 qui maintient le coulisseau 28 fixe pendant un temps court durant lequel les flammes portent sur la jonction de la partie d'épaisseur nomale de la pa- roi de l'objet avec- la partie étirée et amincie et dès que ceci se produit, le prolongement est instantanément coupé de façon nette sur tout son pourtour du fait des efforts inter- nes qui se produisent dans la partie amincie du verre.
Les flammes portent également sur les bords de la paroi 11 de l'objet de façon à le lisser et ensuite le galet 24 porte sur une partie inclinée vers l'intérieur du chemin came 1 suivi d'une partie circulaire. Le coulisseau 28 est, de ce fait, d'abord soulevé-d'une petite quantité avec la cuvette 32 re- tournée de sorte que -l'objet est amené dans la position VII de la figure 11, après quoi une nouvelle montée du coulis- seau fait retourner la cuvette 32 pour l'amener en position relevée et pour la maintenir en dette position complètement relevée avec l'objet la tête en haut qui est 'la position VIII de la figure 11.
Peu après le mentonnet 39 vient en prise
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sur la came 47 et est soulevé par elle d'où il résulte Que le piston-valve 34 est soulevé et coupe la communication entre la source de vide et la cuvette 32 et en même temps découvre le trou 28c pour permettre à l'air d'entrer sous le piston 34 de façon à neutraliser l'état de vide existant alors.
. L'objet qui est maintenant complètement traité est alors retiré de la machine et la suite d'opérations ci-des- sus se répète sur l' obj et suivant placé en position dans le dispositif porte-objet. Cette suite d'opérations se ré- pète également pour chacune des unités de la machine.