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DISPOSITIF POUR TENDRE DES FILS METALLIQUES ET DES OBJETS
ANALOGUES.
Pour la mise sous tension de fils métalliques et 'en particulier de lignes aériennes pour la transmission de communications et pour les réseaux de distribution de courant, on utilise actuellement à peu près exclusivement des palans.
L'une des poulies est alors fixée au poteau considéré tandis que l'autre est attachée par l'intermédiaire d'une pince dite à joues, au fil à tendre. La mise sous tension se fait alors de telle manière qu'on attire l'extrémité libre du câble du palan jusqu'à ce que la course du palan soit épuisée. On doit alors interrompre le travail et, après allongement du palan, remettre en position la pince à joues. Ceci doit être répété plusieurs fois dans certaines circonstances, de sorte que la mise sous tension exige beaucoup de temps.
Elle nécessite en outre une dépense de force relativement grande, parce que le rendement des palans usuels est, comme on le sait, très minime.
La présente invention évite ces inconvénients en fournissant un dispositif de tension commode à desservir avec une dépense de travail relativement minime et qui rend possible un travail ininterrompu. Dans ce but le fil à tendre ou l'objet analogue est saisi successivement par plusieurs pinces qui sont fixées à au moins une chaîne sans fin pou-
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vant être mise en mouvement par une manivelle à main dans la direction de la tension, au moyen d'une commande empêchée de reculer, tandis qu'on veille à ce que la pince qui est en avant dans la direction du mouvement soit libérée seulement lorsque la pince suivante a saisi le fil.
D'autres caractéristiques de l'invention apparaîtront au cours de la description qui suit et sont protégées par les revendications.
Le dessin représente à titre d'exemple l'invention sous plusieurs formes de réalisation.
Les figures 1 et 2 montrent, en vue de côté et en vue de dessus respectivement, l'idée fondamentale de l'invention sous une représentation plus ou moins schématique.
La figure 3 montre en vue de côté un dispositif de tension réalisé suivant l'invention.
La figure 4 est une coupe longitudinale verticale.
La figure 5 est une vue par un des bouts par lequel le fil à tendre pénètre.
La figure 6 est une coupe verticale par la ligne VI-VI de la figure 4.
La figure 7 est une vue de dessus.
La figure 8 représente un dispositif servant à la suspension de l'appareil de tension.
On a désigné aux figures 1 et 2 par 1 et la deux chaînes sans fin qui se meuvent sur des paires de roues de chaîne 2, 2a et 3, 3a montées sur des arbres communs. La paire de roues de chaîne de droite peut être actionnée à l'aide d'une manivelle à main 4, de manière que le brin supérieur des chaînes se meuve dans la direction de la flèche. C'est dans cette direction que le fil considéré de ligne aérienne ou analogue doit être tendu. Sur l'arbre portant la paire de roues de chaîne 2, 2a, on a monté une roue à rochet 5 dont la denture vient en prise avec un cliquet 6 qui peut
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être dégagé au moyen d'une came 7 contre l'action d'un ressort non représenté.
Entre les deux chaînes, on a prévu à des distances égales l'un de l'autre, des organes d'entraînement ou supports désignés par 8 dans leur ensemble, qui servent à recevoir les pinces au moyen desquelles le fil 9 à tendre est saisi.
Chacun des organes d'entrainement présente une plaque de support 8b d'où partent vers le bas deux pattes 8c au moyen desquelles les organes d'entrainement sont montés sur des boulons 8a communs aux deux chaînes. Du côté supérieur de chaque plaque 8b, on a monté en 8d deux leviers 8g formant les mâchoires de pince,. qui sont attirés l'un vers l'autre par un faible ressort 8f. Les mâchoires de pince 8g se trouvent avec leur extrémité extérieure 8e à portée d'une butée fixe 10 qui est disposée devant la paire de roues de droite et a la forme d'un étrier présentant deux branches verticales 10a dirigées vers le bas.
Le fonctionnement est le suivant : Après que l'extrémité du fil à tendre a été insérée dans la mâchoire de la pince de l'organe d'entrainement 8 se trouvant le plus loin vers la gauche, la manivelle 4 est mise en rotation dans le sens de la flèche. Il en résulte que le brin supérieur des chaînes se meut avec ses organes d'entrainement vers la droite, que le fil 9 est saisi de façon sûre par la pince de l'organe d'entrainement qui, dans le cas représenté, a une forme à retenue automatique d'une manière connue, et que lors de la continuation de la rotation de la manivelle 4, le fil est entrainé et mis.sous tension.
Dès que l'organe d'entrainement est arrivée avec l'extrémité tendue du fil à l'extrémité de droite de la paire de chaînes, les extrémités des mâchoires de serrage 8g heurtent la branche 10a de la butée 10, de sorte que la pince s'ouvre et libère le fil.
Avant que ceci se produise, la pince qui est arrivée entre-
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temps au-dessus de la paire de roues de gauche, a été glissée sur le fil et maintenue en prise avec celui-ci par le ressort 6, de sorte qu'à cause de l'action mentionnée de serrage automatique de la pince, le fil libéré un peu après par la pince située vers l'avant, est maintenu de façon sûre. Si on continue à tourner la manivelle 4, la pince maintenant alors le fil arrive à portée de la butée 10, tandis que la pince suivante serre de nouveau le fil du côté gauche. Le jeu se répète ainsi de telle manière qu'un tirage et une mise sous tension ininterrompue du fil sont possibles par une rotation continue de la manivelle 4.
Dans la réalisation du dispositif de tension représentée aux figures 3 à 7, les organes décrits ci-dessus sont employés de la même manière. Les arbres des roues de chaîne sont ici montés dans les parois latérales 11a d'une caisse désignée par 11 dans son ensemble et qui peut être fermée par un couvercle non représenté. Une différence par rapport à la réalisation des figures 1 et 2, consiste en ce que les mâchoires de serrage 8g ne sont pas ici à retenue automatique,, de sorte qu'elles ne sont pas maintenues fermées déjà par la simple traction du fil tendu.
Les mâchoires de serrage ne sont pas non plus maintenues ensemble par un ressort, mais sont au contraire écartées l'une de l'autre à l'aide de deux ressorts en lame 8h (fig. 7), qui sont fixés en 8i aux mâchoires de serrage 8g et s'appliquent par des côtés différents contre deux broches 8k, 81 montées sur la plaque 8b de l'organe d'entraînement. Les surfaces par lesquelles les mâchoires de serrage s'appliquent contre le fil à tendre lorsque la pince est fermée, s'étendent dans cet état sensiblement parallèlement l'une à l'autre. Pour assurer la retenue nécessaire, les surfaces de serrage sont rainurées, comme on peut le voir à la figure 6, et les surfaces des rainures sont rendues rugueuses.
Les rainures
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n'ont toutefois pas la même profondeur sur toute la longueur de prise '; au contraire leur section transversale, en forme de demi-cercle de préférence, va en diminuant dans le sens du mouvement (voir fig. 7 à gauche) depuis par exemple 4mm. jusqu'à 1,5 mm., en correspondance avec les épaisseurs les plus usuelles de fils de lignes aériennes. On peut employer ainsi un seul et même type de pince pour la mise sous tension de fils de diamètres correspondants sans remplacement des pinces.
Ce mode de constitution des pinces offre en comparaison des pinces à retenue automatique, l'avantage que le dégagement n'offre aucune difficulté. On reviendra plus en détail sur ceci plus loin.
La fermeture des pinces se fait automatiquement au moyen de deux barres de commande 12 dont l'une est reliée à l'aide d'entretoises 12b de façon fixe à la paroi latérale correspondante de la caisse 11, tandis que l'autre barre 12 est réglable de telle manière que, par déplacement parallèle, elle peut être plus ou moins approchée du plan médian vertical de l'appareil. Dans ce but, la barre en question est reliée à des crémaillères 12a guidées dans la paroi correspondante lla de la caisse ; avec les crémaillères viennent en prise des roues dentées 15 qui sont montées sur un arbre commun 16 supporté à l'extérieur de la caisse 11. Cet arbre est prolongé au-delà de la paroi frontale de gauche lla de la caisse et porte en cet endroit une roue à rochet 17 ainsi qu'une tête moletée 18.
Avec la roue à rochet vient en prise-un cliquet 19 (fig. 5) qui peut tourner en 20 et est maintenu en prise avec la roue à rochet 17 par un ressort en lame 21 agissant sur son extrémité de gauche. Par soulèvement de l'extrémité libre 19a, le cliquet peut être retiré, en suite de quoi l'arbre 16 est libéré pour la rotation. Par rotation de l'arbre dans la direction
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non bloquée, la barre correspondante 12 est déplacée vers l'intérieur. La position limite intérieure représentée à la figure 7 pour la barre déplaçable correspond à la position de la barre fixe 12.
Dans cette position les galets de guidage 8m montés sur les mâchoires de serrage 8g viennent en prise avec les extrémités de gauche, un peu repliées vers l'extérieur, des deux barres, de sorte que lors des mouvements des chaînes 1, la dans la direction de la flèche, la pince correspondante est fermée et elle saisit le fil à tendre, Cet état est maintenu de façon permanente par les barres 12 qui s'étendent sur toute la longueur du brin de chaîne supérieur jusqu'à ce que les galets 8m quittent, à l'extrémité de droite, les barres. Les mâchoires de serrage sont alors écartées par les ressorts 8h, de sorte que le fil est libéré, Ceci se produit toutefois seulement après qu'à l'extrémité de gauche la pince suivante qui arrive a serré solidement le fil.
Les barres de commande 12 ou la position de l'endroit de leur entrée en action sur l'extrémité de gauche et de l'achèvement de leur prise sur l'extrémité de droite, doivent être choisies en conséquence.
L'ouverture des pinces à l'extrémité de droite s'effectue très facilement vu que dans la réalisation décrite des pinces, la tension de traction du fil n'a pas d'influence ou en tout cas pas d'influence notable sur la force de traction, contrairement aux pinces à retenue automatique du genre représenté à la figure 2. Dans cette réalisation, il faut pour l'ouverture des pinces des forces très considérables qui, en particulier lorsqu'il s'agit de tendre de longs fils de grand diamètre, obligent à prendre des mesures spéciales pour décharger le tronçon de fil tendu entre deux pinces successives.
Ce déchargement peut se faire, comme le montre la figure 1, par exemple par le fait que l'on desserre seulement
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la pince après que l'endroit où le fil est saisi par elle a dépassé le plan médian vertical passant par la paire de roues correspondante. A l'instant du dépassement de ce plan, la pince s'abaisse en effet avec la paire de roues.
Dès qu'elle a atteint la position indiquée en traits interrom- pus à la figure 1, comme le tronçon de fil se trouvant en- tre elle et la pince suivante prend¯ une inclinaison corres- pondante, cette partie de fil sur laquelle jusqu'à présent la pleine tension de traction reposait, est suffisamment détendue pour permettre une ouverture facile de la pince par la rencontre des. extrémités 8e des branches avec les butées 10a. Dans cette réalisation, le support de pince 8 doit être disposé de la manière visible à la figure 2, en- tre deux chaînes ou organes quelconques.
Une détente de la partie de fil tendue pourrait, en cas d'emploi de pinces à blocage automatique pour la réali- sation suivant les figures 3 à 7, être produite également par le fait qu'on supprime passagèrement le blocage de la commande de la paire de roues de chaîne de droite empêchant le recul. La commande ne se fait pas ici par une manivelle @ montée directement sur l'arbre des roues de chaîne de droi- te ; la manivelle 4 est au contraire montée sur un arbre spécial 22 sur lequel est calée en outre une petite roue dentée 23 qui engrène avec une plus grande roue dentée 24 montée sur l'arbre des roues de chaîne. La commande est du reste facilitée de cette manière.
On pourrait établir le dispositif de telle manière que par exemple moyennant l'em- ploi d'une came déplaçant l'arbre 22 de la manivelle auto- matiquement à 1'instant considéré dans la direction axiale, la prise entre les roues dentées 23 et 24 est interrompue passagèrement. Le brin supérieur des chaînes se détend alors jusqu'à. la suppression de la flèche du brin inférieur et il en est de même également de la partie de fil tendue entre
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les deux pinces, de sorte que le desserrage des pinces n'offre aucune difficulté, même lorsqu'on emploie comme pinces des pinces à serrage automatique du genre représenté à la figure 2.
Pendant la mise hors de prise des roues dentées 23 et 24, le recul des chaînes est empêché par l'encliquetage 5,6 prévu également dans le cas de la réalisation suivant les figures 3 et 7.
Comme le montre en particulier la figure 7, on a prévu au milieu du bord antérieur des plaques d'assises 8b portant les pinces, une encoche 8n qui sert à introduire exactement dans les mâchoires de la pince le fil 9 à serrer. Au lieu d'une encoche de ce genre, ayant avantageusement la forme d'U, on pourrait prévoir également aux bords des plaques 8b deux chevilles s'étendant obliquement vers le haut et vers l'extérieur, à une distance appropriée l'une de l'autre.
Des fentes verticales 25, 26 prévues dans les deux parois frontales llb et 11c du logement du dispositif de tension servent également au guidage du fil. Devant la fente 25 on a disposé encore (fig. 5) deux rouleaux de guidage 27, 28 dont le rouleau supérieur 27 est monté sur une tige 29 qui peut être attirée vers l'extérieur contre l'action d'un ressort 31 à l'aide d'un bouton 30. Il est possible de cette manière d'introduire commodément le fil entre les deux rouleaux de guidage.
Indépendamment de la conformation spéciale décrite cidessus des rainures des mâchoires de serrage, on peut obtenir encore un pincement sûr du fil, qui est indépendant en outre de, la répartition des dents de la roue à rochet 17, par le fait qu'on donne aux barres de guidage 12 ou à l'une d'entre elles une certaine souplesse élastique. Ceci peut s'obtenir par exemple par le fait qu'on dispose du côté intérieur de la barre une surface de glissement particulière, par exemple faite d'une mince lame de tôle d'acier, qui est
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séparép de la barre par une lame d'une matière élastique, par exemple de caoutchouc. La liaison de la lame en tôle d'acier à la'barre se fait avantageusement à l'aide de rivets traversant librement cette dernière.
En cas d'emploi de barres de commande ayant une pareille souplesse élastique, il'n'est pas nécessaire que, lors de la subdivision de la roue à rochet 17, on tienne compte de la gradation d'épaisseur des fils à tendre.
On pourrait également transporter du reste la souplesse dans le mécânisme 1 reliant la barre de commande; 12. à la roue à rochet 17, et relier par exemple de façon qu'il puisse tourner élastiquement l'arbre de roues dentées 16 à la roue à rochet ou aux roues dentées 15.
La possibilité de déplacement d'au moins l'une des barres de commande 12 offre le grand avantage que l'on peut interrompre à volonté l'opération de mise sous tension.
Dans la réalisation représentée aux figures 1 et 2, une interruption est possible seulement lorsque la pince antérieure a dépassé avec son endroit de serrage la ligne des sommets de la paire de roues de chaine correspondante. Il arrive toutefois fréquemment qu'alors la tension du fil est déjà trop forte. Dans la réalisation suivant les figures 3 à 7, on peut donner au fil exactement la tension désirée.
Il suffit de tourner la manivelle 4 jusqu'à ce que cette tension soit atteinte. Même lorsque, à cet instant, la pince antérieure nta pas encore atteint son endroit de dégagement, on peut la dégager sans difficulté par le fait qu'après soulèvement du cliquet 19 (fig. 5), on fait tourner de façon correspondante la tête moletée 18, en suite de quoi la barre de commande 12 déplaçable est attirée en arrière et la pince considérée est libérée, de sorte qu'elle s'ouvre sous l'action de ses ressorts 8h.
Pour empêcher que la pince qui reçoit le fil à ltextré-
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mité de gauche du brin supérieur des chaînes bascule vers le haut par suite de la forte action de traction, ce qui n'est pas empêché complètement par la tension du brin correspondant des chaines, les plaqùes 8b portant les @ pinces sont élargies latéralement (fig. 6) de façon qu'elles s'engagent en-dessous des barres.12. On produit ainsi un guidage sûr des plaques sur toute la longueur jusqu'au dégagement des pinces à nouveau à l'extrémité de droite. Pour guider davantage les plaques de pince, on a prévu, en-dessous des barres 12, d'autres barres 14 qui supportent les plaques de pince vers le bas.
Pour placer l'appareil de tension sur le poteau de. li- gne considéré ou le support analogue, on utilise le dispositif représenté à la figure 8. Celui-ci consiste en une sorte d'étrier 32 dont les branches 32a et 32b sont reliées par une tige 33. A l'une des branches 32a on a fixé au moyen de vis 36 par une de ses extrémités, une chaîne 35. L'autre extrémité de la chaîne 35 peut être glissée au moyen de deux de ses maillons par dessus les chevilles 37 montées sur l'autre branche 32b de l'étrier. On peut immobiliser la chaîne dans cette position par un recouvrement 38 qui consiste en un morceau de cornière monté en 39 par pivot sur une patte de la branche 32b ; le recouvrement est immobilisé dans cette position par un cran à ressort.
On a articulé à la partie inférieure de la caisse (fig.
3) en 39 un appui 40 qui est fait d'un fer U placé avecle côté ouvert vers le haut. Ce fer U est replié deux fois à angle droit à l'extrémité libre, ce qui forme un crochet 40a qui porte sur une traverse 41 une pointe 41a ou une pièce analogue.
Le mode de fonctionnement est le suivant : Le dispositif représenté à la figure 8 est suspendu au moyen de la ti-
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ge 33 à deux crochets 34a (fig. 3) qui sont formés par exemple par repliement des extrémités de deux tirants 34 fixés .à la caisse 11. On passe alors la chaîne 35 autour'du poteau de ligne auquel le fil doit être fixé et on immobilise l'extrémité libre de la chaîne sur les chevilles 37 et cela dans une position telle que le poteau considéré est embrassé solidement par la chaîne. La chaîne est immobilisée dans cette position par le rabattement du recouvrement 38. On soulève alors l'appareil de mise sous tension, qui tourne dans ce mouvement autour de la tige 33, jusqu'à ce qu'il soit à peu près horizontal, et on peut tenir compte à ce moment de la flèche du fil à tendre.
L'appui 40 est immobi- lisé dans cette position contre le poteau par la pointe %la, la longueur de l'appui étant beaucoup plus grande que la distance de son point d'articulation 39 au poteau. La mise sous tension peut alors commencer. Si le dispositif de mise sous tension ne doit pas être disposé sur le poteau luimême mais sur la traverse partant les isolateurs de la ligne aérienne, l'appui est rabattu contre le côté inférieur de la caisse 11 et est immobilisé au moyen d'un recouvrement 42. On suspend alors l'ensemble à l'aide du support 40a, en forme de crochet, de l'appui 40, à la traverse considérée . qui est représentée à la figure 3 par des hachures.
Le sup- port 40a entourant la traverse-peut être disposé directement sur l'appareil de tension au lieu d'être à ltextrémité de l'appui 40, par exemple sous la forme de tronçons de fers U rivés au fond de la caisse 11.
A la place des chaînes sans fin portant les pinces du fil et qui ne doivent d'ailleurs pas être doubles, on peut employer naturellement aussi d'autres organes de traction sans fin, par exemple des rubans, des câbles, etc. En cas d'emploi de chaînes, l'une des deux paires de roues de chaine, celle qui n'est pas actionnée, ne. doit pas consister
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essentiellement en des roues dentées ; ces roues, qui ser- vent au guidage des chaînes ou pièces analogues, peuvent au contraire être lisses également. Le blocage de la commande pour empêcher le recul doit alors agir sur les roues de chaîne dentées.
A la place des deux barres de commande représentées au dessin, on pourrait prévoir également une seule barre qui serait placée alors non pas à côté mais au-dessus du brin de chaîne supérieur.
Lorsque dans ce qui précède ainsi que dans les revendi- cations il est question de la mise sous tension d'un fil métallique, ceci ne doit pas limiter le champ d'application de l'objet de l'invention à la mise sous tension de fils ; on peut envisager au contraire aussi d'autres organes de traction comme des câbles, des cordes, etc. L'expression "fil"doit embrasser tout organe de traction souple, étendu en longueur.
Revendications.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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DEVICE FOR TENSIONING METAL WIRES AND OBJECTS
ANALOGUES.
For the tensioning of metal wires and in particular of overhead lines for the transmission of communications and for power distribution networks, hoists are currently used almost exclusively.
One of the pulleys is then fixed to the post in question while the other is attached by means of a so-called cheek clamp, to the string. The tension is then made in such a way that the free end of the hoist cable is drawn until the hoist stroke is exhausted. Work must then be interrupted and, after lengthening the hoist, put the cheek clamp back into position. This has to be repeated several times under certain circumstances, so that powering up takes a long time.
It also requires a relatively large expenditure of force, because the efficiency of conventional hoists is, as we know, very minimal.
The present invention overcomes these drawbacks by providing a tensioning device which is convenient to service with relatively minimal labor expenditure and which makes uninterrupted work possible. For this purpose the wire to be stretched or the like object is seized successively by several clamps which are attached to at least one endless chain for
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can be set in motion by a hand crank in the direction of the tension, by means of a control prevented from moving backwards, while it is ensured that the clamp which is forward in the direction of the movement is released only when the next gripper grabbed the wire.
Other characteristics of the invention will become apparent from the description which follows and are protected by the claims.
The drawing shows by way of example the invention in several embodiments.
Figures 1 and 2 show, in side view and in top view respectively, the fundamental idea of the invention in a more or less schematic representation.
FIG. 3 shows a side view of a tensioning device produced according to the invention.
Figure 4 is a vertical longitudinal section.
FIG. 5 is a view through one of the ends through which the thread to be stretched penetrates.
Figure 6 is a vertical section through the line VI-VI of Figure 4.
Figure 7 is a top view.
Figure 8 shows a device for suspending the tensioning device.
We denote in Figures 1 and 2 by 1 and the two endless chains which move on pairs of chain wheels 2, 2a and 3, 3a mounted on common shafts. The pair of right chain wheels can be operated using a hand crank 4, so that the upper strand of the chains moves in the direction of the arrow. It is in this direction that the considered wire of an overhead line or the like must be stretched. On the shaft carrying the pair of chain wheels 2, 2a, a ratchet wheel 5 has been mounted, the teeth of which engage with a pawl 6 which can
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be released by means of a cam 7 against the action of a spring, not shown.
Between the two chains, there are provided at equal distances from each other, drive members or supports designated by 8 as a whole, which serve to receive the clamps by means of which the wire 9 to be stretched is gripped. .
Each of the drive members has a support plate 8b from which two legs 8c extend downwards by means of which the drive members are mounted on bolts 8a common to the two chains. On the upper side of each plate 8b, two levers 8g forming the gripper jaws have been mounted at 8d. which are attracted to each other by a weak spring 8f. The clamp jaws 8g are located with their outer end 8e within reach of a fixed stop 10 which is arranged in front of the pair of right wheels and has the shape of a caliper having two vertical branches 10a directed downwards.
The operation is as follows: After the end of the wire to be stretched has been inserted into the jaw of the clamp of the driving member 8 located furthest to the left, the crank 4 is rotated in the direction of the arrow. As a result, the upper strand of the chains moves with its driving members to the right, that the wire 9 is securely gripped by the clamp of the driving member which, in the case shown, has a shape with automatic retention in a known manner, and that during the continued rotation of the crank 4, the wire is driven and put under tension.
As soon as the driving member has arrived with the taut end of the wire at the right-hand end of the pair of chains, the ends of the clamping jaws 8g strike the branch 10a of the stop 10, so that the clamp opens and releases the thread.
Before this happened, the clamp that came in between
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time above the left pair of wheels, has been slid over the wire and held in engagement therewith by the spring 6, so that due to the mentioned action of automatic clamping of the clamp, the the wire released a little later by the clamp located at the front, is held securely. If we continue to turn the crank 4, the clamp now then the thread comes within reach of the stop 10, while the following clamp again tightens the thread on the left side. The play is thus repeated in such a way that drawing and uninterrupted tensioning of the thread are possible by a continuous rotation of the crank 4.
In the embodiment of the tensioning device shown in Figures 3 to 7, the members described above are used in the same way. The shafts of the chain wheels are here mounted in the side walls 11a of a body designated by 11 as a whole and which can be closed by a cover, not shown. A difference with respect to the embodiment of Figures 1 and 2, consists in that the clamping jaws 8g are not here self-retaining, so that they are not held closed already by the simple pull of the stretched wire.
The clamping jaws are not held together by a spring either, but are on the contrary separated from each other by means of two leaf springs 8h (fig. 7), which are fixed at 8i to the jaws. 8g clamping and are applied from different sides against two pins 8k, 81 mounted on the plate 8b of the drive member. The surfaces by which the clamping jaws are applied against the wire to be stretched when the clamp is closed, extend in this state substantially parallel to one another. To provide the necessary restraint, the clamping surfaces are grooved, as can be seen in Fig. 6, and the surfaces of the grooves are roughened.
Grooves
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however, do not have the same depth over the entire grip length '; on the contrary, their cross section, preferably in the form of a semi-circle, decreases in the direction of movement (see fig. 7 on the left) from, for example, 4mm. up to 1.5 mm., corresponding to the most usual thicknesses of overhead line wires. It is thus possible to use one and the same type of clamp for the tensioning of wires of corresponding diameters without replacing the clamps.
This method of constituting the grippers offers, in comparison with automatic retaining grippers, the advantage that the release offers no difficulty. We will come back to this in more detail later.
The clamps are closed automatically by means of two control bars 12, one of which is connected by means of spacers 12b in a fixed manner to the corresponding side wall of the body 11, while the other bar 12 is adjustable in such a way that, by parallel displacement, it can be more or less approached the vertical median plane of the apparatus. For this purpose, the bar in question is connected to racks 12a guided in the corresponding wall 11a of the body; with the racks come into engagement the toothed wheels 15 which are mounted on a common shaft 16 supported outside the body 11. This shaft is extended beyond the left front wall of the body and carries in this place a ratchet wheel 17 as well as a knurled head 18.
With the ratchet wheel engages a pawl 19 (Fig. 5) which can rotate at 20 and is held in engagement with the ratchet wheel 17 by a leaf spring 21 acting on its left end. By lifting the free end 19a, the pawl can be withdrawn, after which the shaft 16 is released for rotation. By rotating the shaft in the direction
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unblocked, the corresponding bar 12 is moved inward. The internal limit position shown in Figure 7 for the movable bar corresponds to the position of the fixed bar 12.
In this position the guide rollers 8m mounted on the clamping jaws 8g engage with the left ends, slightly bent outwards, of the two bars, so that during the movements of the chains 1, the in the direction of the arrow, the corresponding clamp is closed and it grasps the wire to be stretched, This state is permanently maintained by the bars 12 which extend over the entire length of the upper chain strand until the rollers 8m leave , at the far right, the bars. The clamping jaws are then moved apart by the springs 8h, so that the wire is released. This, however, only happens after at the left end the next coming gripper has firmly clamped the wire.
The control rods 12 or the position of where they come into action on the left end and the end of their grip on the right end, should be chosen accordingly.
The opening of the clamps at the right end is carried out very easily since in the described embodiment of the clamps, the tensile tension of the wire has no influence or in any case no appreciable influence on the force. pull, unlike the self-retaining pliers of the kind shown in Figure 2. In this embodiment, it takes for the opening of the pliers very considerable forces which, in particular when it comes to tensioning long threads of great size. diameter, require special measures to be taken to unload the section of wire stretched between two successive clamps.
This unloading can be done, as shown in figure 1, for example by the fact that we only loosen
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the clamp after the point where the wire is gripped by it has passed the vertical mid-plane passing through the corresponding pair of wheels. At the moment of exceeding this plane, the clamp is in fact lowered with the pair of wheels.
As soon as it has reached the position shown in broken lines in figure 1, as the section of wire between it and the following clamp takes a corresponding inclination, that part of the wire on which until now the full pulling tension was resting, is relaxed enough to allow easy opening of the clamp by meeting the. 8th ends of the branches with the stops 10a. In this embodiment, the clamp support 8 must be arranged as shown in FIG. 2, between any two chains or members.
A relaxation of the stretched wire part could, in the case of use of self-locking pliers for the realization according to Figures 3 to 7, also be produced by the fact that the blocking of the control of the control is temporarily removed. pair of right chain wheels preventing recoil. The control is not done here by a crank @ mounted directly on the shaft of the right chain wheels; the crank 4 is on the contrary mounted on a special shaft 22 on which is further wedged a small toothed wheel 23 which meshes with a larger toothed wheel 24 mounted on the shaft of the chain wheels. Ordering is also made easier in this way.
The device could be set up in such a way that, for example, by employing a cam moving the shaft 22 of the crank automatically at the instant considered in the axial direction, the engagement between the toothed wheels 23 and 24 is briefly interrupted. The upper strand of the chains then relaxes up. removal of the sag of the lower strand and the same also applies to the part of the wire stretched between
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the two clamps, so that the loosening of the clamps does not present any difficulty, even when using as clamps automatic clamps of the kind shown in Figure 2.
During the disengagement of the toothed wheels 23 and 24, the retraction of the chains is prevented by the catch 5,6 also provided in the case of the embodiment according to Figures 3 and 7.
As shown in particular in Figure 7, there is provided in the middle of the front edge of the base plates 8b carrying the clamps, a notch 8n which serves to introduce exactly into the jaws of the clamp the wire 9 to be tightened. Instead of a notch of this kind, advantageously having the shape of a U, one could also provide at the edges of the plates 8b two pegs extending obliquely upwards and outwards, at an appropriate distance from one of them. the other.
Vertical slots 25, 26 provided in the two front walls 11b and 11c of the housing of the tension device also serve to guide the thread. In front of the slot 25 there are also disposed (fig. 5) two guide rollers 27, 28, the upper roller 27 of which is mounted on a rod 29 which can be drawn outwards against the action of a spring 31 at the end. By means of a button 30. In this way, it is possible to conveniently introduce the thread between the two guide rollers.
Independently of the above-described special conformation of the grooves of the clamping jaws, it is still possible to obtain a sure clamping of the wire, which is further independent of, the distribution of the teeth of the ratchet wheel 17, by the fact that the guide bars 12 or to one of them a certain elastic flexibility. This can be achieved, for example, by the fact that there is a particular sliding surface on the inside of the bar, for example made of a thin sheet of steel sheet, which is
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separated from the bar by a blade of an elastic material, for example rubber. The connection of the sheet steel blade to the bar is advantageously done by means of rivets freely passing through the latter.
When using control rods having such elastic flexibility, it is not necessary that, during the subdivision of the ratchet wheel 17, account should be taken of the thickness gradation of the threads to be stretched.
The flexibility could also be transported in the mechanism 1 connecting the control bar; 12. to the ratchet wheel 17, and connect for example so that it can elastically rotate the toothed wheel shaft 16 to the ratchet wheel or to the toothed wheels 15.
The possibility of moving at least one of the control rods 12 offers the great advantage that the power-on operation can be interrupted at will.
In the embodiment shown in Figures 1 and 2, an interruption is possible only when the front clamp has passed with its clamping location the line of the vertices of the pair of corresponding chain wheels. However, it often happens that the thread tension is already too strong. In the embodiment according to Figures 3 to 7, the yarn can be given exactly the desired tension.
It suffices to turn the crank 4 until this tension is reached. Even when, at this moment, the anterior clamp has not yet reached its place of disengagement, it can be disengaged without difficulty by the fact that after lifting the pawl 19 (fig. 5), the knurled head is rotated in a corresponding manner. 18, following which the movable control bar 12 is drawn back and the clamp in question is released, so that it opens under the action of its springs 8h.
To prevent the clamp which receives the wire at the extremity
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left side of the upper end of the chains tilts upwards due to the strong pulling action, which is not completely prevented by the tension of the corresponding end of the chains, the plates 8b carrying the clamps are widened laterally (fig 6) so that they engage below the bars. 12. This produces a safe guiding of the plates over the entire length until the clamps are released again at the right end. To further guide the gripper plates, there are provided, below the bars 12, other bars 14 which support the gripper plates downward.
To place the tension device on the pole. line considered or the similar support, the device shown in FIG. 8 is used. This consists of a sort of stirrup 32, the branches 32a and 32b of which are connected by a rod 33. To one of the branches 32a a chain 35 has been fixed by means of screws 36 by one of its ends. The other end of the chain 35 can be slid by means of two of its links over the plugs 37 mounted on the other branch 32b of the 'stirrup. The chain can be immobilized in this position by a cover 38 which consists of a piece of angle iron mounted at 39 by a pivot on a tab of the branch 32b; the cover is immobilized in this position by a spring catch.
We have hinged to the lower part of the body (fig.
3) at 39 a support 40 which is made of a U-iron placed with the open side up. This U-iron is bent twice at right angles at the free end, which forms a hook 40a which carries on a cross member 41 a point 41a or a similar part.
The operating mode is as follows: The device shown in Figure 8 is suspended by means of the
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ge 33 with two hooks 34a (fig. 3) which are formed for example by folding the ends of two tie rods 34 fixed. to the body 11. We then pass the chain 35 around the line post to which the wire is to be fixed and the free end of the chain is immobilized on the pegs 37 and this in a position such that the post in question is firmly embraced by the chain. The chain is immobilized in this position by the folding of the cover 38. The tensioning device is then raised, which rotates in this movement around the rod 33, until it is approximately horizontal, and the deflection of the wire to be stretched can be taken into account at this time.
The support 40 is immobilized in this position against the post by the point% la, the length of the support being much greater than the distance from its point of articulation 39 to the post. Power-up can then begin. If the tensioning device is not to be placed on the pole itself but on the cross member from the insulators of the overhead line, the support is folded against the lower side of the body 11 and is immobilized by means of a cover 42. The assembly is then suspended using the support 40a, in the form of a hook, from the support 40, to the cross member in question. which is represented in FIG. 3 by hatching.
The support 40a surrounding the cross member can be placed directly on the tensioning device instead of being at the end of the support 40, for example in the form of sections of U bars riveted to the bottom of the body 11.
Instead of endless chains carrying the wire clamps and which, moreover, must not be double, one can of course also use other endless traction members, for example ribbons, cables, etc. If chains are used, one of the two pairs of chain wheels, the one that is not actuated, does not. must not consist
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essentially in toothed wheels; these wheels, which serve to guide chains or similar parts, can on the contrary also be smooth. Locking the control to prevent kickback must then act on the toothed chain wheels.
Instead of the two control bars shown in the drawing, a single bar could also be provided which would then be placed not next to but above the upper chain strand.
When in the foregoing as well as in the claims it is a question of the tensioning of a metal wire, this should not limit the field of application of the object of the invention to the tensioning of a metal wire. son ; on the contrary, it is also possible to envisage other traction members such as cables, ropes, etc. The expression "wire" should embrace any flexible traction member, extended in length.
Claims.
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