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Convention Internationale de 1883 eu égard à la demande de Brevet déposée en France le 15 Octobre 1942.
Les moyens mis en oeuvre pour adapter aux bicyclettes un moteur auxiliaire, électrique ou thermique, sont nombreux et divers.
Il est évident qu'on a un gros intérêt à rechercher des solutions mécaniques adaptables à toutes les machines neuves ou usagées qu'on se proposera de transformer, en posant comme principe que les organes supplémentaires (mo- teur, accessoires et transmission), d'un modèle uniforme propre à permettre une grande diffusion, doivent être mon- tés sans modification importante de la machine, de manière à ne pas grêver le prix d'achat de ces organes du coût d'une transformation longue et dispendieuse.
La présente invention a pour objet un dispositif de propulsion perfectionné qui tient compte de ces desidera- ta et qui est applicable à tous les cycles possédant un pé- dalier, en particulier aux bicyclettes ; son intérêt essen- tiel est qu'on peut l'adapter à une machine de série en ne faisant subit à celle-ci que des modifications de détails, la machine conservant sa structure générale et ses fonc- tions essentielles.
Le dispositif de propulsion qui fait l'objet de l'invention comprend essentiellement un moteur pourvu de moyens de fixation pour son assujettissement au cadre dans
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le voisinage du pédalier, une roue d'entraînement au! se monte coaxialement au pignon du pédalier pour lui être accouplée et enfin un dispositif de transmission destine à relier le moteur à la roue d'entraînement.
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Le dispositif de transmission comprend, de préfé- rence, une chaîne ou une courroie , la périphérie de la roue d'entraînement étant alors dentée ou à gorge. Les moyens de fixation du moteur au cadre peuvent, en vue d'un montage rapide, comporter des colliers destinés à enserrer les tubes du cadre; dans le cas de la transmission par chaîne ou courroie, il est avantageux de réaliser l'un des moyens de fixation sous la forme d"ane tige ou bielle de longueur régla-
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ble qui joue alors le rôle supplémentaire de tenê!eu' 3. l' :'g2rd de 1::. transmission.
L'emplacement le plus i"-vGß'L,pie. pour la fixation du moteur au cadre est la région comprise entre la roue avant, le pédalier et le tube oblique @lant
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du p 6''..-.lier à 1.; direction. La roue d'entraînement , j"OT¯7:: le mieux, i3..r:r8c;te la forme d'une couronne montée concentriquement à l'axe du pé- ('',lier.
Plusieurs formes de réalisation peuvent être envi-
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sçlg-ées pour assurer la liaison entre la roue C:.tellt:L't1¯i18¯:¯ellt et le pignon du pédalier.
Dans la forme de réalisation à laquelle la préfé-
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rence semble devoir étre accordée, la roue à 'ent#aiiiei::e;:t est placée du même côté que le pignon du pédalier par rapport au cadre c'est-à-dire gënér. Leüïent à droite. Dans ce cas il y a intérêt à la monter folle sur son moyeu qui, comme il a été dit plus haut, est solidaire du pédalier et à pré-
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voir entre cette roue et le j:1.j::
non du pédalier uns liaison non permanente , par exemple par goupille amovible, un méca- nisme de roue libre étant alors, pour le mieux, interposé entre le pignon du pédalier et son moyeu. Les deux moyeux,
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-;81..;:1. (le 1% roue d'entraînement et Cë..v.l. au pignon du péda- lier, peuvent être -"> fusionnés en une L>i':C% unique, ce' le-c5.
6 .t .-; n '1J.>' de préférence, Fi <J 2¯ 1 à .=# i i:. de 1" manivelle corres- pondante du pédalier.
...oins de ncssibilité es\ celle Oezi1>¯: ¯¯:J;Ji:te..L:.C: la roue d'en- traînement er le mignon du pédalier scr.t C ; . ?0''.. de part et d'autre du cadre.' Dans ce cas , le moyeu de la ..:.e<1## ;5 'eii- ft2'J'dt est, de 1't:l' i(;i7CG, GC)]¯:.Ct'<11'e de la ma-rivelle <#. située du ;jê;:.e c8;;.;,' e un mécanisme il roue libre est inter- rosé entre 1';. roue en question et son moyeu.
Lorsaue 1 . ':î W.:wj ..orme de réalisation est adoptée, la trnsl<)::78.t:1.011 de la machine comporte, en. dehors du '. et ce ses accessoires, uniquement le lù;'llÉ$)1µ,.-' le....anivelle dr-;.ite et de la ",>,¯e iii pédalier 1/,j'] ls;t'ici; 1# rs =¯t ",enanl:# cette manivelle. Les ('.....:#..nés a monter en'lieu e-: m0 de 1', ..¯::l:.V'C'¯¯Le et de la roue ae / ,15 z,j¯ -1 1 ' :;v!1 ; :.t:.iC- deux .R-roures : 1 ) le moyeu calé par cl--co+-+-, :'.0\ la manivelle dont le centre 8'3 fixe sur 10 ,]¯ et .est munie de 18. roue d'entraînement, de JJ L'oue de pédalier et de sa roue-libre.
Le dispositif de propulsion assume alors cinq fone- tions essentielles:
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roue 1 ) transmettre directement l'effort du moteur à la roue de pédalier par la chaîne et la roue d'entraînement, renoue solidaire de la roue de pédalier par la goupille amovible; la roue de pédalier assure la propulsion de la machine suivant la manière classique;
2 ) transmettre l'effort du cycliste, qui s'exerce sur l'axe de pédalier par le moyen des manivelles, à la roue de pédalier par la roue-libre dont l'anneau intérieur est monte sur le centre de la manivelle droite;
3 ) permettre la dualité des efforts provenant du moteur etdu cycliste, ce dernier restant libre de pédaler à sa guise par le fait que la roue de pédalier , qui reçoit l'effort du moteur par la roue d'entraînement, n'entraîne pas la manivelle droite qui est solidaire de l'axe de péda- lier, la liaison entre roue de pédalier et manivelle s'ef- fectuant par une roue libre;
4 ) permettre le lancement du moteur par le cyclisten ce dernier agissant sur la transmission du moteur par les manivelles dont l'une, la droite, entraîne, par sa roue-libre la roue de pédalier et, en conséquence la roue d'entraînement qui en est solidaire, par le fait 'de la goupille amovible ;
5 ) permettre au cycliste d'assurer seul la propul- sion de la machine, en cas de défaillance du moteur, sans entraîner ce dernier; à cet effet, l'enlèvement de la gou- pille désolidarise la roue d'entraînement de la roue de pédalier de sorte que le cycliste n'a à vaincre que la ré- sistance passive très faible des roulements de cette roue d'entraînement.
Lorsqu'on adopte la deuxième forme de réalisation , la transformation de la machine comporte, en dehors du montage du moteur et de ses accessoires, le remplacement de la manivelle gauche d'origine, par une manivelle spéciale aménagée pour recevoir l'anneau intérieur de la roue libre interposée entre la roue d'entraînement et le moyeu soli- daire de cette pédale.
L'ensemble constitué par la manivelle spéciale gau- che et sa roue libre est disposé de telle manière que le pi- gnon ou la poulie,recevant l'effort du moteur auxiliaire, soit dans une position symétrique de celle de la roue de pé- dalier par rapport à l'axe longitudinal de la machine. La distance de la ligne de chaîne à l'axe longitudinal est donc de 40 m/m environ, cote normale/assurant le passage du pignon, sans risque d'entrer en contact avec le tube de la fourche horizontale arrière. Il en va de même dans le cas d'une com- mande par courroie.
La description qui va suivre , en regard des dessins annexés, donnés à titre d'exemples non limitatifs, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée, les par- ticularités qui ressortent tant du dessin que du texte faisant , bien entendu, partie de celle-ci.
La fig. 1 représente, vu d'avant en coupe transver- sale, le montage de la manivelle droite du pédalier lors- qu'on adopte la première forme de réalisation définie ci- dessus.
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La l'ig. 2 est un rabattement de la fig. 1 avec arra- chenent et coupe partielle.
La fig. 3 est une vue partielle de l'ensemblede la machine, montrant la disposition des organes.
La figure 4 montre, va d'avant en coupe transversale, le montage de la/roune-libre sur la manivelle gauche du pédalier, dans le cas où. l'on adopte la deuxième forme de réali- sation.
La figure 5 est un rabattement de la figure 4, avec arrachement.
La figure 6 est une vue partielle de l'ensemble de la machine, montrant la disposition des organes.
La figure 7 est une vue analogue à celle de la figure 6, la manivelle gauche et la transmission entre moteur et pédalier étant enlevés.
Les figures 8 et 9 sont des vues de détail déduites de la fig. 7.
Dans les exemples choisis, la transmission entre moteur auxiliaire et pédalier est assurée par chaîne.
On se reportera tout d'abord à la fig. 1. Le moyeu 1 est calé sur l'axe de pédalier 2 existant sur la machine , par le moyen de la clavette 3 d'un type connu, tenue en place elle-même par l'écrou 4 prenant appui sur le moyeu 1 par l'intermédiaire de la rondelle 5. La manivelle droite 6 comporte, à son extrémité, un logement prévu pour être centré sur le moyeu 1 et fixé à ce dernier par trois vis 7 possédant une partie lisse 7 bis qui s'engage dans des 10-
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genents prévus à cet effet dans le moyeu 1, de 11l6.nière à éviter le matage et le cisaillement. Cette manivelle présente en outre deux filetages extérieurs, pas à droite, dont les diamètres sont étagés.
Le plus grand de ces filetages , 6 bis, reçoit le moyeu 8 du pignon fou ou roue
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d'ertrainement 9; l'autre filetage , 6 ter, reçoit l'allneau central 10 d'une roue-libre dont l'anneau extérieur 11 fait corps avec la roue de pédalier. La cuvette 12 , bloquée sur le moyeu 8 avec interposition des rond.elles de réglage de jeu 13, complète , avec les billes 14, le dispositif du pignon for 9. La cuvette 15, bloquée sur l'anneau cerztral 10, avec interposition de rondelles de réglge de jeu 16, complète, avec les cliquets 17 ( dont l'un est représenté sur la figure 2) et les billes 18, le dispositif de roue libre de la roue de pédalier 11.
La chaîne 19 transmet le movement du -oignon solidaire du moteur ou des organes intermédiaires faisant partie de celui-ci au pignon fou 9. La chaine 20 transmet le mouvement de la roue de pédalier 11 au pignon arrière de la machine, selon le mode classique.
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I,¯; goupille 21 s'engage dans une douille 2 7iss6e dans le voile du pignon i'ou 9 et, d'autre part dans une douille L3 vissée dans le vol 'le de #. en- 11.
La goupille 21 est! de¯pr(f6rn?, a buter contre cette trée dans la douille 2, de WctnlSre a buter contre cette dernière lE.issant subsister un certain jeu axi:Ü avec dernière lisant subsis coripo-.,te une partie la douille 22. -En outre, 12 goupile 21 conP?:.te une partie lisse 21 bis correspondant à un alesage prcls e 2 dOUI¯le , de manière constituer une surface d.' en tr8.In,et suffisante pour éviter le matage, Le filetage terminal de
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la goupille 21 se bloque dans un taraudage de la douille 23, sans influencer les voiles du pignon 9 et de la roue 11, ainsi que cela ressort de la présence du jeu axial signalé ci-dessus.
La fig. 1 fait apparaître également le.. carter de pédalier 25 et la partie visible de la cuvette de pédalier 26.
Comme le montre plus particulièrement la fig. 2, l'effort du moteur est transmis au pignon fou 9 par la chaîne 19, ce pignon étant normalement lié à la roue de pédalier 11 par la goupille 21, encastrée dans la douille 22.
La roue de pédalier 11 entraîne le pignon de la roue arrière par la chaîne 20 suivant le mode classique.
L'effort du cycliste , qui s'exerce sur l'axe du pé- dalier 2, par le moyen de la manivelle gauche (non figurée sur les dessins), et sur le moyeu 1 par le moyen de la ma- nivelle droite 6, est reçu par l'anneau central 10 de la roue libre, ces différentes pièces étant solidaires les unes des autres. De l'anneau central 10, l'effort passe à l'anneau extérieur faisant corps avec la roue de pédalier 11, par les cliquets 17 dont l'orientation est prévue à cet effet. On se trouve donc ramené au cas précédent.
Il ressort de l'examen de la fig. 2 que le pignon fou 9 entraîne la roue de pédalier 11 dans le sens de la flèche (rotation à droite, suivant la figure) et que, d'au- tre part, l'axe de pédalier 2 et les pièces qui en sont so- lidaires (manivelle 6, moyeu.1, anneau central 10) tournant dans ce même sens à droite, le cycliste peut pédaler à vo- lonté. L'encliquetage de la roue-libre lui permet soit de rester inactif, soit de contribuer à la-propulsion de la machine.
Le démarrage du moteur s'effectue par le moyen de la chaîne 19 ; dans ce cas, le cycliste , en pédalant ', entrai- ne la machine par l'encliquetage de la roue libre et le moteur par la goupille 21 rendant le pignon fou 9 solidaire de la-roue de pédalier 11.
Enfin, en cas d'arrêt du moteur, le cycliste peut continuer à .rouler , après enlèvement de la goupille 21 car. l'effort reçu par les manivelles passe à la roue de pé- dalier 11 par l'anneau central 10 et l'encliquetage de la roue libre.
La fig. 3 montre la disposition d'ensemble des or- ganes. Le moteur, par exemple un moteur électrique, est fi- guré schématiquement en 27; il comporte un jeu d'engrenages réducteurs 28, 29, 30 et 31 dont le dernier élément 31 est solidaire du pignon de transmission 32 qui, par le moyen de la chaîne 19, entraîne le pignon fou 9. Le moteur 27 est fixé au tube oblique du cadre de préférence par un sys- tème de,colliers dont l'un 33 est visible sur la figure.
La manivelle droite 6, fixée par las vis 7, entraîne la roue de pédalier 11 et le pignon fou 9 solidaires l'un de l'autre par le moyen de la goupille 21. La transmission classique entre la roue de pédalier 11 et le pignon de la roue arrière , non visible sur la figure , comporte l'emploi de la chaîne 20.
La manivelle gauche 34 est figurée à l'arrière plan.
La figure 3 met bien en évidence le fait que la bicyclette
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conserve sa structure générale et que la présence de moteur auxiliaire ne modifie pas les fonctions essentiellse de la machine.
La fig. 4 montre que le pignon de chaîne 35 joue le rôle de roue à cliquet par sa denture 56. Il entraîne par les cljquets 37, l'anneau central 38 vissé sur la manivelle gauche 39. Un écrou 40 bloqué sur la rondelle de réglage 41, complète le système des deux chemins de roulement ui par le moyen des billes 42, permetla rotation du pignon 35 sur l'anneau central 38.
La manivelle gauche 39, comportant le riletage sur lequel se visse l'anneau central 38;est calée sur l'axe de pédalier 43 par la clavette 44 arrêtée par l'écrou 45 avec interposition de la rondelle 46. Le carter de pédalier
47 est représenté pour mémoire dans la figure 4 ainsi que le cuvette 49 du roulement gauche du pédalier etson contre- écrou 48. La chaîne 50 est en place sur la denture du pi- gnon 35.
La disposition des organes attachés à la manivelle gauche 39 est telle que l'axe du pignon 35 est situé à 40 mm environ de l'axe du pédalier, ainsi que cela a été déjà mentionné ci-dessus.
Le carter de transmission du moteur est mentionné en 51 sur la fig. 6. Il contient la cascade des engrenages ré- ducteurs 52, 53, 54 et 55 , figurés en traits mixtes , qui entraînent le pignon de chaîne 56. Ce dernier est lié au pignon 35 par la chaîne 50. La manivelle gauche 39 calée sur l'axe de pédalier 43, entraîne celui-ci dans le sens de la flèche en coopération avec la manivelle droite 57 et le pignon 35, lequel agit par l'encliquetage de sa roue libre.
La roue de pédalier 58 transmet l'effort à la roue arrière par le moyen de la chaîne 59 suivant la disposition classique puisque cette partie de la machine n'a pas été affectée par la transformation. Le carter de transmission 51 est relié au tube oblique 60 du cadre, allant du pédalier à l direction, par le collier 61 et le boulon 62 passant dans une oreille du carter 51 ou d'un organe attenant , par exemple:le moteur .
Une deuxième attache, visible sur la fig. 7 ,est prévue sous la forme d'une bielle réglable jouant le rôle de tendeur pour la chaîne 50 et s'opposant à la rotation de l'ensemble autour de l'axe du boulon d'attache 62. Son rôle identique dans le casd'une transmission par courroies.
La tige 63, filetée, par exemple avec un pas à gauche, est liée au carter 51 par un tourillon 64 qui en est solidaire.
La tige 65 , filetée avec un -cas à droite , es liée au tube oblique 60 du cadre par un collier 66 tenu en place par
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un boulon"67. L'écrou 68,taraudé pas a gauche-pas à droite , assure la liaison entre les tiges 63 et 65 et permet de régler la longueur de la bielle.
Sur la figure 7 sont encore visibles, l'axe de péda- lier 43 , le carter de pédalier 47, la manivelle droite 57, la roue de pédalier 58 et la chaîne 59.
La figure 8 montre le carter 51 sur lequel est centré le moteur 69 qui, dans l'exemple choisi, est un moteur élec- trique. L'oreille 70 ménagée sur le carter du moteur 69,
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est tenue par le collier 61 dans lequel passe le boulon 62.
Le tourillon 64, solidaire du carter 51, guide la tige 63 maintenue en place par la rondelle 71 et une goupille ou par tout autre moyen connu. Les mêmes éléments se retrou- vant dans la fig. 9.
Il va de soi que des formes de réalisation de détail peuvent être apportées au dispositif qui vient d'être décrit sans sortir pour cela du cadre de l'invention.
REVENDICATIONS.
1 ) Dispositif de propulsion mécanique.pour cy- cles, caractérisé par le fait qu'il comprend un moteur pour- vu de moyens de fixation pour son assujettissement au cadre dans le voisinage du pédalier, une roue d'entraînement qui se monte coaxialement au pignon du pédalier pour lui être accouplé et un dispositif de transmission destiné à relier le moteur à la roue d'entraînement.
2 ) Dispositif selon 1 , caractérisé par le fait que le dispositif de transmission.comprend une chaîne ou une courroie , la périphérique de la roue d'entraînement étant alors dentée ou à go rge.
3 ) Dispositif selon 1 , caractérisé par le fait que les moyens de fixation du.moteur au cadre comprennent des colliers destinés à enserrer les tubes de ce cadre.
4 ) Dispositif selon 1 , caractérisé parle fait que l'un,des moyens de fixation du moteur au cadre comprend une 'cige ou Nielle de longueur réglable, particu- lièrement dans le cas de la transmission spécifiée sous
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2 .
5 ) Dispositif selon 1 , caractérisé par le fait que la roue d'entraînement affecte la forme d'une couronne montée, par l'intermédiaire d'un roulement, sur un moyeu rendu solidaire de l'axe du pédalier.
6 ) Dispositif selon 1 , caractérisé par le fait que la roue d'entraînement se,place du même côté du pignon du pédalier par rapport au cadre .
7 ) Dispositif selon 6 , caractérisé par le fait que la roue d'entraînement est montée folle sur son moyeu, soli-. daire de l'axe du pédalier, et entre cette roue et le pi- gnon du pédalier est établie une liaison non permanente , par exemple par goupille amovible.
8 ) Dispositif selon 6 , caractérisé par le fait qu'un mécanisme de roue libre est interposé entre le pignon du pédalier et son moyeu.
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